Archive pour le Tag 'systématique'

Réforme sociale : l’étatisation systématique du débat à cause de l’impuissance du Medef

Réforme sociale : l’étatisation systématique du débat à cause de l’impuissance du Medef

D’une certaine manière, le silence du Medef est assez scandaleux dans une période où les enjeux économiques et sociaux sont aussi importants. Par son silence et son manque de courage, le Medef est en train de transférer ses responsabilités de partenaires sociales à l’Etat. Du coup, le gouvernement et les organisations syndicales tombent dans le piège de l’étatisation du débat. Or dans le domaine social, l’État a rarement fait preuve de son efficacité et ce terrain n’est pas de sa responsabilité quand il ne met pas en cause l’intérêt général comme dans le code du travail. Il n’est pas normal que les organisations patronales et les organisations syndicales ne se soient pas saisies en priorité de la problématique du travail sous tous ses aspects. Ce n’est pas au gouvernement qui n’y connaît rien de décider seul de cette question. Il faut arrêter la folie de Macron de vouloir lui-même procéder aux réformes du champ social. Il n’en a ni la légitimité, ni la connaissance. Les réformes sociales (qui touchent aussi au plan économique la plupart du temps) doivent en priorité être débattue entre partenaires sociaux. Ce n’est qu’ensuite que le politique doit prendre le relais s’il y a lieu de légiférer.

Il serait temps que le Medef et les organisations syndicales de salariés tirent la sonnette d’alarme pour rappeler au chef de l’État son rôle et ses limites. Macron est en effet en train de transformer la démocratie française en autocratie où il se prend à la fois pour le syndicaliste en chef, pour le patron de toutes les entreprises, pour les organisations intermédiaires, pour le Parlement, pour le gouvernement et pour le monarque.

De ce point de vue, il y a sans doute une erreur du Medef à adopter une position qui consiste à faire le dos rond en acceptant finalement le transfert de responsabilité sociale sur le gouvernement.

Ce Medef doit aussi changer sa culture trop souvent réactionnaire et bien loin de ce qui se pratique en matière de négociation sociale dans les pays du Nord de l’Europe et en particulier en Allemagne. Le Medef et autres organisations patronales avec les syndicats doivent cogérer le débat sur les questions socioéconomiques.

Et les syndicats de salariés de leur côté ne doivent pas tomber dans le piège de la politisation de la problématique sociale. Il ne faut pas se tourner systématiquement vers les partis politiques, le Parlement, le gouvernement ou le chef de l’État. Il faut se retourner vers les chefs d’entreprises au niveau national et au plan local selon la nature des questions.

Les partenaires sociaux doivent aussi faire leur révolution culturelle et en quelque sorte se dépolitiser à tout point de vue.

Débat social : pourquoi l’étatisation systématique

Réforme sociale : pourquoi l’étatisation systématique du débat

La plupart des deux partenaires en opposition sur la réforme des retraites à savoir le gouvernement et les organisations syndicales tombent dans le piège de l’étatisation du débat. Or dans le domaine social, l’État a rarement fait preuve de son efficacité et ce terrain n’est pas de sa responsabilité quand il ne met pas en cause l’intérêt général comme dans le code du travail. Il n’est pas normal que les organisations patronales et les organisations syndicales ne se soient pas saisies en priorité de la problématique du travail sous tous ses aspects. Ce n’est pas au gouvernement qui n’y connaît rien de décider seul de cette question. Il faut arrêter la folie de Macron de vouloir lui-même procéder aux réformes du champ social. Il n’en a ni la légitimité, ni la connaissance. Les réformes sociales (qui touchent aussi au plan économique la plupart du temps) doivent en priorité être débattue entre partenaires sociaux. Ce n’est qu’ensuite que le politique doit prendre le relais s’il y a lieu de légiférer.

Il serait temps que le Medef et les organisations syndicales de salariés tirent la sonnette d’alarme pour rappeler au chef de l’État son rôle et ses limites. Macron est en effet en train de transformer la démocratie française en autocratie où il se prend à la fois pour le syndicaliste en chef, pour le patron de toutes les entreprises, pour les organisations intermédiaires, pour le Parlement, pour le gouvernement et pour le monarque.

De ce point de vue, il y a sans doute une erreur du Medef à adopter une position qui consiste à faire le dos rond en acceptant finalement le transfert de responsabilité sociale sur le gouvernement.

Ce Medef doit aussi changer sa culture trop souvent réactionnaire et bien loin de ce qui se pratique en matière de négociation sociale dans les pays du Nord de l’Europe et en particulier en Allemagne. Le Medef et autres organisations patronales avec les syndicats doivent cogérer le débat sur les questions socioéconomiques.

Et les syndicats de salariés de leur côté ne doivent pas tomber dans le piège de la politisation de la problématique sociale. Il ne faut pas se tourner systématiquement vers les partis politiques, le Parlement, le gouvernement ou le chef de l’État. Il faut se retourner vers les chefs d’entreprises au niveau national et au plan local selon la nature des questions.

Les partenaires sociaux doivent aussi faire leur révolution culturelle et en quelque sorte se dépolitiser à tout point de vue.

Réforme sociale : pourquoi l’étatisation systématique du débat ?

Réforme sociale : pourquoi l’étatisation systématique du débat

La plupart des deux partenaires en opposition sur la réforme des retraites à savoir le gouvernement et les organisations syndicales tombent dans le piège de l’étatisation du débat. Or dans le domaine social, l’État a rarement fait preuve de son efficacité et ce terrain n’est pas de sa responsabilité quand il ne met pas en cause l’intérêt général. Il n’est pas normal que les organisations patronales et les organisations syndicales ne se soient pas saisies en priorité de la problématique du travail sous tous ses aspects. Ce n’est pas au gouvernement qui n’y connaît rien de gérer seule cette question. Il faut arrêter la folie de Macron de vouloir lui-même procéder aux réformes du champ social. Il n’en a ni la légitimité, ni la connaissance. Les réformes sociales (qui touchent aussi au plan économique la plupart du temps) doivent en priorité être débattue entre partenaires sociaux. Ce n’est qu’ensuite que le politique doit prendre le relais s’il y a lieu de légiférer.

Il serait temps que le Medef et les organisations syndicales de salariés tirent la sonnette d’alarme pour rappeler au chef de l’État son rôle et ses limites. Macron est en effet en train de transformer la démocratie française en autocratie où il se prend à la fois pour le syndicaliste en chef, pour le patron de toutes les entreprises, pour les organisations intermédiaires, pour le Parlement, pour le gouvernement et pour le monarque.

De ce point de vue, il y a sans doute une erreur du Medef à adopter une position qui consiste à faire le dos rond en acceptant finalement le transfert de responsabilité sociale sur le gouvernement.

Ce Medef doit aussi changer sa culture trop souvent réactionnaire et bien loin de ce qui se pratique en matière de négociation sociale dans les pays du Nord de l’Europe et en particulier en Allemagne. Le Medef et autres organisations patronales avec les syndicats doivent cogérer le débat sur les questions socioéconomiques.

Et les syndicats de salariés de leur côté ne doivent pas tomber dans le piège de la politisation de la problématique sociale. Il ne faut pas se tourner systématiquement vers les partis politiques, le Parlement, le gouvernement ou le chef de l’État. Il faut se retourner vers les chefs d’entreprises au niveau national et au plan local selon la nature des questions.

Les partenaires sociaux doivent aussi faire leur révolution culturelle et en quelque sorte se dépolitiser à tout point de vue.

« Reconduite systématique des « étrangers » menaçants ( Darmanin )

« Reconduite  systématique des « étrangers » menaçants ( Darmanin )

Le ministre de l’intérieur a recommandé au préfet  »reconduire systématiquement les étrangers » ayant commis des  »infractions graves » ou  »représentant une menace grave pour l’ordre public » et de lui rendre compte  »personnellement » du nombre de reconduites chaque trimestre.

 

« Je vous demande de mettre systématiquement en œuvre les procédures à même d’interrompre, dans les meilleurs délais, la présence de ces personnes sur notre territoire », écrit le ministre de l’Intérieur dans ce courrier, écrit quatre jours après l’attaque perpétrée par un ressortissant pakistanais devant les anciens locaux de Charlie Hebdo. Aussi, le ministre fait référence aux  »événements survenus récemment » qui « doivent vous inviter à la plus grande vigilance ».

 

Le ministre incite les préfets à privilégier trois « leviers ». D’abord une « coordination étroite » entre  »forces de sécurité »,  »autorité judiciaire » ou  »administration pénitentiaire » pour  »préparer l’éloignement des étrangers incarcérés avec toute l’anticipation nécessaire ». Il leur demande aussi une  »mise en œuvre complète et systématique de toutes les procédures administratives pertinentes », en rappelant que le  »droit actuel » permet de procéder à des « refus ou retraits de titre » voire de  »la nationalité française ». Enfin, il veut les voir utiliser  »tous les outils opérationnels » pour procéder à ces « éloignements » à savoir  »rétention »,  »assignation » ou  »participation à des vols groupés ».

 

« Nous menons actuellement une réflexion sur les dispositions législatives que nous pourrions prendre dans les prochains mois afin de faciliter certaines procédures », écrit encore Gérald Darmanin.

Coronavirus : vers le port systématique du masque à l’extérieur

Coronavirus : vers le port systématique du masque à l’extérieur

 

Alors que les contaminations ne cessent de progresser dans le pays et que l’hypothèse d’une vraie deuxième vague se profile à partir de l’hiver voire de l’automne par petites touches, le gouvernement s’oriente vers le port systématique du masque à l’extérieur.

“Depuis deux semaines environ, la situation épidémiologique, que nous surveillons de très près, évolue en effet dans le mauvais sens”, a dit le chef du gouvernement, évoquant lors d’une visite au centre hospitalier universitaire (CHU) de Montpellier (Hérault) l’augmentation du nombre de cas et mettant en avant les hospitalisations et admissions dans les services de réanimation qui ont tendance à repartir à la hausse.

Près de 1.400 contaminations supplémentaires au coronavirus ont été enregistrés au cours des dernières 24 heures, pour un total de 204.172 cas confirmés depuis le début de l’épidémie, selon les chiffres communiqués en fin d’après-midi par l’agence Santé publique France, tandis que la circulation du virus s’intensifie, notamment chez les jeunes.

Le gouvernement a donc décidé d’une nouvelle série de mesures pour éviter que cet “été pas comme les autres” ne conduise à une dégradation trop marquée de la situation sanitaire.

En premier lieu, a expliqué le chef du gouvernement, il est demandé aux préfets et aux élus locaux d’”étendre le plus possible l’obligation du port du masque dans les espaces publics”.

“Nous allons également intensifier nos actions dans la vingtaine des plus grandes métropoles nationales, où se concentrent des populations nombreuses et des grands rassemblements”, a-t-il ajouté.

Le gouvernement a par ailleurs décidé de prolonger de deux mois, jusqu’au 30 octobre, l’interdiction des événements rassemblant plus de 5.000 personnes, tout en maintenant la possibilité de dérogations préfectorales en fonction des protocoles sanitaires mis en place.

Parallèlement, l’exécutif entend renforcer la politique de dépistage en améliorant l’accès aux tests pour les personnes présentant des symptômes de la maladie, via des circuits dédiés, afin de disposer de résultats rapides.

“Il nous faudra également renforcer les mesures visant à assurer l’effectivité de ce qu’on appelle la quatorzaine ou l’isolement”, a poursuivi Jean Castex, qui a également annoncé une intensification des actions de contrôle et de verbalisation des manquements quand ils seront constatés.

“Eviter par dessus tout un retour en arrière, un reconfinement important, c’est indispensable et c’est à notre portée”, a ajouté le Premier ministre.

Le chef du gouvernement, qui poursuivait dans la station balnéaire de La Grande-Motte son déplacement dans l’Hérault, a indiqué qu’une réflexion était par ailleurs engagée pour “voir comment on peut au maximum généraliser sur le lieu de travail le port du masque”.

“Il n’y pas deux lieux de travail qui se ressemblent et c’est pourquoi l’application de mesures absolument systématiques est parfois contraire à l’effet recherché”, a-t-il cependant noté.




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