Archive pour le Tag 'syndicats'

Sans surprise la grande presse tape maintenant sur des syndicats

Sans surprise la grande presse tape maintenant sur des syndicats

Le Figaro mais aussi le JDD , les télés d’information continue commencent à taper sur cette intersyndicale qui agace les grands intérêts financiers. Évidemment l’objectif est d’enfoncer des coins pour faire sauter cette unité et revenir au bon vieux temps d’avant où les divisions syndicales faisaient éclater le rapport de force en faveur du grand patronat.

Rien d’étonnant à cela la grande presse est essentiellement détenue par des financiers à plus de 80 %. Comme l’action syndicale conduit par l’intersyndicale a montré à la fois son unité et sa responsabilité, les grands médias ont bien été contraints d’en parler du bout des lèvres. Maintenant qu’on observe une pause des grandes manifestations les grands médias peuvent recommencer à taper sur les syndicats. Le problème c’est que la grande presse n’est pas aussi populaire que cela alors que les syndicats ont acquis grâce à l’intersyndicale une crédibilité retrouvée.

D’une façon générale les grands médias télé etc. sont culturellement réactionnaires . Ils ont largement parlé des grandes manifestations de ces derniers mois pour ne pas perdre encore davantage de lecteurs ou de téléspectateurs. Désormais c’est le retour aux bonnes vieilles certitudes d’antan qui se fondent la détestation des syndicats. On est loin évidemment de l’acceptation syndicale des pays du nord et notamment de l’Allemagne.

Retraite : les syndicats font de la résistance

Retraite : les syndicats font de la résistance

Comme prévu les syndicats n’entendent pas tourner la page de la réforme des retraites. Reçus à Matignon la CFDT et FO d’abord ont souhaité le retrait et insister pour qu’un vote soit bien organisé à l’Assemblée nationale en vue de l’annulation. Au-delà des retraites, les deux syndicats ont insisté sur la nécessité d’un changement de méthode pour fixer le programme et le calendrier du chantier plus général du travail mais surtout pour que la pseudo concertation se transforme en véritable négociation.

La Première ministre Elisabeth Borne a reçu mardi à Matignon le secrétaire général de Force ouvrière, Frédéric Souillot, puis son homologue de la CFDT, Laurent Berger, pour des entretiens en tête-à-tête destinés à renouer le dialogue après des mois de tensions sur la réforme des retraites.

Les deux représentants syndicaux de la CFDT et de FO ont exprimé leur intention de poursuivre la mobilisation face à la réforme portée par l’exécutif, alors qu’une nouvelle journée de grève et de manifestations est programmée le 6 juin.

« Notre première revendication, c’est le retrait de cette réforme des retraites dont nous ne voulons toujours pas. Et 94% des actifs n’en veulent pas », a dit Frédéric Souillot à l’issue de sa réunion avec la cheffe du gouvernement, indiquant avoir aussi évoqué « l’augmentation des salaires, des pensions et des minima sociaux parce que l’inflation continue ».

Laurent Berger a déclaré pour sa part qu’il serait « inacceptable » que la proposition visant à supprimer le report de l’âge légal de la retraite, de 62 ans à 64 ans, ne soit pas examinée par le Parlement.

Elisabeth Borne recevra mercredi les représentants de la CGT, la CFE-CGC et la CFTC.

Les syndicats chez la première ministre : une exigence surtout de changement de méthode

Les syndicats chez la première ministre : une exigence surtout de changement de méthode


Les syndicats vont être reçu sur deux jours par la première ministre. Bien entendu, ils ne vont pas se priver d’exprimer leur désaccord total sur la réforme des retraites et demander l’annulation de la loi. Les autres sujets porteront surtout sur tout ce qui tourne autour de la problématique travail. Il y aura surtout une grande exigence syndicale sur le changement de méthode. En effet ,les syndicats refusent désormais d’être simplement convoqués pour écouter un projet gouvernemental sur lequel ils ne sont autorisés qu’à faire quelques commentaire dont ensuite il n’est pas tenu compte. Les syndicats veulent élaborer des priorités et d’autres méthodes ; une espèce de co-construction.

La Première ministre entend « veiller » à donner aux syndicats « des signaux positifs sur la méthode qu’on veut mettre en place ». « Même après ces mois agités, je reste convaincue qu’il faut donner plus de place à la négociation et au dialogue social », a-t-elle défendu dans Le Journal du dimanche.

« Il va falloir qu’on ait des gages » afin de « réinstaurer un climat de confiance », prévenait, fin avril, le président de la CFE-CGC, François Hommeril.

« On va avoir cette difficulté de retourner, discuter, travailler et faire des propositions avec des gens qui nous ont trahi et nous ont mal considérés. »

La CFDT a aussi des exigences concernant la méthode. « On retourne discuter, mais pas à n’importe quelles conditions », prévient le syndicat, émettant des doutes sur la volonté de l’exécutif de changer de manière de procéder. « Si des choses ne sont pas étudiées parce que tout est décidé à l’avance, ça ne nous convient pas. » De son côté, la CGT rappelle ses conditions pour un dialogue social apaisé : « Il n’y aura pas de retour à la normale si cette réforme [des retraites] n’est pas abandonnée. »

Retraite : Macron toujours aussi vindicatif insulte syndicats et opposition

Retraite : Macron toujours aussi vindicatif insulte syndicats et opposition


La période de contrition du chef de l’État aura peut durer. Il revient en effet dans une interview fleuve sur nombre de sujets et en particulier sur la réforme des retraites. Il en profite pour insulter les syndicats et l’opposition qui serait responsable du rejet de l’opinion. Et de polémiquer de plus belle avec la plus grande mauvaise foi. Macron fustige ceux qui « ont prétendu que l’on pouvait éviter la réforme, sans dire ce qu’ils proposaient à la place », alors que la proposition de loi du groupe Liot pour abroger la réforme doit être discutée à l’Assemblée le 8 juin prochain.

Cet interview fleuve et lardée de contrevérités et de contradictions au point que le chef de l’État se permet aussi de faire la leçon à l’agence de notation Fitch qui a dégradé la France. Le problème c’est que les autres agences de notation vont certainement en faire autant et il sera difficile à macron de considérer mais qu’il a raison face aux institutions internationales. Les faits et les chiffres sont là. Le déficit budgétaire atteint presque 6 % du PIB, la dette dépasse les 3000 milliards, la charge de la dette annuelle représente 50 milliards et macro ne dispose pas de majorité à l’assemblée. Conclusion pour les agences de notation :Les capacités de transformation en France se trouve très contraintes

Pour Macron sur la retraite « Il devra d’abord y avoir un débat où chacun devra prendre ses responsabilités et expliquer comment on finance ! On ne peut s’affranchir du débat quand on est une force politique républicaine, quand on est un syndicat dans le champ républicain, quand on est une force patronale… Voilà la vérité qu’on doit aux Français », balaie le chef de l’État.

Et Emmanuel Macron de poursuivre : « Tout le monde n’est pas d’accord pour ne pas travailler plus longtemps ? D’accord. Mais que l’on m’explique alors comment, sans réforme, financer une proposition de loi à 15 milliards d’euros. Par le déficit, avec les intérêts à venir ? En réduisant d’autres politiques publiques ? En baissant les pensions? En augmentant les cotisations? Certains disent « les gros salaires doivent payer ». Ne nous mentons pas: les classes moyennes aussi devront payer ».

Le président, qui assure croire « à l’émancipation par le travail », explique ne pas partager « l’opinion de ceux qui prétendent que 64 ans, c’est deux ans de vie sacrifiée ». « Non, le travail, même si je ne sous-estime pas qu’il n’est pas toujours facile, c’est ce qui permet de construire un avenir, pour soi, pour ses enfants. Je veux dire aux belles âmes qui proposent d’avoir un modèle social toujours plus généreux en travaillant moins, à ces gens qui construisent le désastre : qu’est-ce qu’ils proposent, à part plus de dette et moins de souveraineté pour le financer ? ». Le problème c’est que le désastre est déjà là et qu’on ne serait le l’imputer au déficit d’une dizaine de milliards du système des retraites

Les syndicats à Matignon : imposer calendrier et méthode

Les syndicats à Matignon : imposer calendrier et méthode

À juste titre, la CFTC, qui se rendra aussi à Matignon à l’invitation de la première ministre, comme la CFDT et la CGT , rappelle que c’est au syndicat a imposer la méthode. Dans ce cadre la question du pouvoir d’achat doit devenir prioritaire. Ce qu’avait déjà indiqué Laurent Berger de la CFDT. Il s’agit d’un aspect essentiel. En effet jusque-là, le gouvernement n’a jamais accepté le concept de négociation lui préférant la simple concertation. Pour résumer, le gouvernement réunit les syndicats, présente ses orientations ,écoute plus ou moins les remarques et surtout n’en tient pratiquement pas compte. Il s’agit aujourd’hui de co construire la négociation sociale d’où l’importance fondamentale de la méthode. « Je ne vois pas comment on ne peut pas y aller, mais en imposant nos thématiques et notre méthode », prévient la CFTC

« Je ne vois pas comment on ne peut pas y aller, mais en imposant nos thématiques » et « notre méthode », a affirmé samedi 6 mai sur franceinfo Cyril Chabanier, président de la Confédération française des travailleurs chrétiens (CFTC) alors que la Première ministre Elisabeth Borne a invité les syndicats à des entretiens individuels à Matignon les 16 et 17 mai. La CFDT et la CFTC ont accepté l’invitation. La CGT a également dit oui samedi matin.

Selon la dernière vague quotidienne du baromètre OpinionWay-Kéa Partners pour « Les Echos » et Radio classique publié mercredi, le pouvoir d’achat reste la priorité numéro un des électeurs, talonné par la protection sociale, et en particulier la santé.

Répondant à une liste de thématiques qui compteront pour eux au moment de faire leur choix dans l’urne, 52 % des sondés ont ainsi évoqué le pouvoir d’achat, suivi de très près par la protection sociale (51 %). Les thèmes régaliens restent forts mais sont distancés, la sécurité étant une priorité pour 41 % des sondés et l’immigration par 36 % d’entre eux.

La CFTC se rendra à Matignon avec circonspection : « Si on voit que c’est juste une opération de communication pour faire de l’apaisement mais qu’il n’y a rien derrière », alors « les concertations ne dureront pas très longtemps », a-t-il prévenu.

Cyril Chabanier souhaite évoquer « le pouvoir d’achat » et « le partage de la valeur » avec la Première ministre. Il demandera également que « les aides aux entreprises soient conditionnées à l’entame de négociations salariales dans les entreprises ». Et il prévient, les syndicats seront « extrêmement exigeants ».

« Ces trois mois et demi de conflit social [sur les retraites] nous ont extrêmement marqués, avec une attitude et une méthode qui nous a choqués. Ce n’est pas évident de retourner discuter. »

Les syndicats invités à Matignon : Aux syndicats d’imposer le calendrier et la méthode

Les syndicats invités à Matignon : Aux syndicats d’imposer le calendrier et la méthode

À juste titre, la CFTC, qui se rendra aussi à Matignon à l’invitation de la première ministre comme la CFDT et la CGT rappelle que c’est au syndicat a imposer la méthode. Dans ce cadre la question du pouvoir d’achat doit devenir prioritaire. Ce qu’avait déjà indiqué Laurent Berger de la CFDT. Il s’agit d’un aspect essentiel. En effet jusque-là, le gouvernement n’a jamais accepté le concept de négociation lui préférant la simple concertation. Pour résumer, le gouvernement réunit les syndicats, présente ses orientations ,écoute plus ou moins les remarques et surtout n’en tient pratiquement pas compte. Il s’agit aujourd’hui de co construire la négociation sociale d’où l’importance fondamentale de la méthode. « Je ne vois pas comment on ne peut pas y aller, mais en imposant nos thématiques et notre méthode », prévient la CFTC

« Je ne vois pas comment on ne peut pas y aller, mais en imposant nos thématiques » et « notre méthode », a affirmé samedi 6 mai sur franceinfo Cyril Chabanier, président de la Confédération française des travailleurs chrétiens (CFTC) alors que la Première ministre Elisabeth Borne a invité les syndicats à des entretiens individuels à Matignon les 16 et 17 mai. La CFDT et la CFTC ont accepté l’invitation. La CGT a également dit oui samedi matin.

La CFTC se rendra à Matignon avec circonspection : « Si on voit que c’est juste une opération de communication pour faire de l’apaisement mais qu’il n’y a rien derrière », alors « les concertations ne dureront pas très longtemps », a-t-il prévenu.

Cyril Chabanier souhaite évoquer « le pouvoir d’achat » et « le partage de la valeur » avec la Première ministre. Il demandera également que « les aides aux entreprises soient conditionnées à l’entame de négociations salariales dans les entreprises ». Et il prévient, les syndicats seront « extrêmement exigeants ».

« Ces trois mois et demi de conflit social [sur les retraites] nous ont extrêmement marqués, avec une attitude et une méthode qui nous a choqués. Ce n’est pas évident de retourner discuter. »

Rencontres des syndicats à Matignon : Aux syndicats d’ imposerle calendrier et la méthode

Rencontres des syndicats à Matignon : Aux syndicats d’imposer le calendrier et la méthode

À juste titre, la CFTC, qui se rendra aussi à Matignon à l’invitation de la première ministre comme la CFDT et la CGT rappelle que c’est au syndicat a imposer la méthode. Dans ce cadre la question du pouvoir d’achat doit devenir prioritaire. Ce qu’avait déjà indiqué Laurent Berger de la CFDT. Il s’agit d’un aspect essentiel. En effet jusque-là, le gouvernement n’a jamais accepté le concept de négociation lui préférant la simple concertation. Pour résumer, le gouvernement réunit les syndicats, présente ses orientations ,écoute plus ou moins les remarques et surtout n’en tient pratiquement pas compte. Il s’agit aujourd’hui de co construire la négociation sociale d’où l’importance fondamentale de la méthode. « Je ne vois pas comment on ne peut pas y aller, mais en imposant nos thématiques et notre méthode », prévient la CFTC

« Je ne vois pas comment on ne peut pas y aller, mais en imposant nos thématiques » et « notre méthode », a affirmé samedi 6 mai sur franceinfo Cyril Chabanier, président de la Confédération française des travailleurs chrétiens (CFTC) alors que la Première ministre Elisabeth Borne a invité les syndicats à des entretiens individuels à Matignon les 16 et 17 mai. La CFDT et la CFTC ont accepté l’invitation. La CGT a également dit oui samedi matin.

La CFTC se rendra à Matignon avec circonspection : « Si on voit que c’est juste une opération de communication pour faire de l’apaisement mais qu’il n’y a rien derrière », alors « les concertations ne dureront pas très longtemps », a-t-il prévenu.

Cyril Chabanier souhaite évoquer « le pouvoir d’achat » et « le partage de la valeur » avec la Première ministre. Il demandera également que « les aides aux entreprises soient conditionnées à l’entame de négociations salariales dans les entreprises ». Et il prévient, les syndicats seront « extrêmement exigeants ».

« Ces trois mois et demi de conflit social [sur les retraites] nous ont extrêmement marqués, avec une attitude et une méthode qui nous a choqués. Ce n’est pas évident de retourner discuter. »

Syndicats: Invitation de la Première ministre les 16 et 17 mai

Syndicats: Invitation de la Première ministre les 16 et 17 mai

La première ministre a invité les cinq syndicats représentatifs à la rencontrer à Matignon dans une dizaine de jours. Ces derniers seront reçus un par un. Le gouvernement évidemment va s’efforcer de diviser l’union qui a résisté depuis plusieurs mois aux tentatives de manœuvre du pouvoir. Pour le Gouvernement, l’objectif est clair: faire oublier l’affaire de la réforme des retraites et proposer des réflexions sur des sujets relativement vagues pour passer à autre chose avec le maximum de syndicats.

Dans la forme, la Première ministre prend toujours la précaution de ne pas fâcher les syndicats. Pourtant, elle est cependant l’archétype de ces technocrates qui doivent leur carrière uniquement à leur passage dans les différents cabinets de droite et de gauche et qui finalement d’une part sont coupés des réalités sociales, d’autre part ne sont pas performants pour la gestion de ce qui relève de l’intérêt national. Surtout avec une Élisabeth Borne qui conçoit la concertation à sens unique et qui a bien du mal à comprendre ce qu’est une négociation et encore une cogestion.

L’objectif de cette rencontre est surtout de conforter le positionnement politique d’une Première ministre aujourd’hui relativement paralysée et en plus souvent critiquée par Macron et d’autres dans la majorité même.

Ces entrevues seront menées en «format bilatéral». Elles auront donc lieu une par une, et sans que l’intersyndicale ne soit reçue au complet, au contraire de la dernière réunion, qui s’était tenue début avril. Elle s’était alors soldée par un échec. La première ministre avait déjà annoncé sa volonté de revoir les représentants des salariés, afin de déployer son «agenda social». Elle se disait alors «convaincue qu’à tous les niveaux, c’est par le dialogue social qu’on apporte des bonnes solutions au bénéfice des salariés».

Syndicats: Invitation de la Première ministre les 16 et 17 mai

Syndicats: Invitation de la Première ministre les 16 et 17 mai

La première ministre a invité les cinq syndicats représentatifs à la rencontrer à Matignon dans une dizaine de jours. Ces derniers seront reçus un par un. Le gouvernement évidemment va s’efforcer de diviser l’union qui a résisté depuis plusieurs mois aux tentatives de manœuvre du pouvoir. Pour le Gouvernement, l’objectif est clair: faire oublier l’affaire de la réforme des retraites et proposer des réflexions sur des sujets relativement vagues pour passer à autre chose avec le maximum de syndicats.

Dans la forme, la Première ministre prend toujours la précaution de ne pas fâcher les syndicats. Pourtant, elle est cependant l’archétype de ces technocrates qui doivent leur carrière uniquement à leur passage dans les différents cabinets de droite et de gauche et qui finalement d’une part sont coupés des réalités sociales, d’autre part ne sont pas performants pour la gestion de ce qui relève de l’intérêt national. Surtout avec une Élisabeth Borne qui conçoit la concertation à sens unique et qui a bien du mal à comprendre ce qu’est une négociation et encore une cogestion.

L’objectif de cette rencontre est surtout de conforter le positionnement politique d’une Première ministre aujourd’hui relativement paralysée et en plus souvent critiquée par Macron et d’autres dans la majorité même.

Ces entrevues seront menées en «format bilatéral». Elles auront donc lieu une par une, et sans que l’intersyndicale ne soit reçue au complet, au contraire de la dernière réunion, qui s’était tenue début avril. Elle s’était alors soldée par un échec. La première ministre avait déjà annoncé sa volonté de revoir les représentants des salariés, afin de déployer son «agenda social». Elle se disait alors «convaincue qu’à tous les niveaux, c’est par le dialogue social qu’on apporte des bonnes solutions au bénéfice des salariés».

Fonction publique : les syndicats demandent des augmentations significatives et immédiates

Fonction publique : les syndicats demandent des augmentations significatives et immédiates

Les huit organisations représentatives de la fonction publique ont réclamé, mercredi 26 avril, des augmentations salariales « importantes » et applicables dès le jour de la Fête du travail.

Ces huit syndicats (CGT, FO, CFDT, Unsa, FSU, Solidaires, CFE-CGC et FA-FP) « exigent des mesures générales importantes, pour tous les fonctionnaires comme pour tous les non-titulaires », écrivent-ils dans un communiqué.

Une hausse des traitements des fonctionnaires « est d’autant plus urgente et indispensable dans le contexte actuel d’inflation galopante », argumentent-ils. Le taux d’inflation a atteint près de 6% sur un an en mars selon l’Insee. Malgré l’augmentation générale de 3,5% accordée à l’été 2022, après des années de gel des rémunérations, les 5,7 millions d’agents publics « subissent une situation extrêmement dégradée », s’inquiètent-ils.

L

La dernière hypocrisie de Macron : promulguer la loi avant de recevoir les syndicats

La dernière hypocrisie de Macron : promulguer la loi avant de recevoir les syndicats


C’est évidemment un nouveau pied de nez adressé aux syndicats par Macron qui en urgence veut promulguer la loi de réforme des retraites durant le week-end. Et qui deux jours après proposait de rencontrer les syndicats pour leur parler social.

Une manière évidemment pour lui de tenter de fermer de manière radicale et définitive le dossier des retraites en signifiant aux syndicatx le peu de considération qu’il leur porte.

D’une certaine manière, les syndicats renvoient la balle au président de la république lorsqu’ils avaient demandé à être reçus et que le président leur avait opposé un refus.

Reste que cette invitation de Macron prévue mardi constitue une véritable hypocrisie et une provocation supplémentaire. Malheureusement pour lui, l’affaire de la réforme des retraites est loin d’être enterrée d’une part parce qu’il y a la perspective d’un référendum d’initiative partagée et surtout parce que cela ouvre aussi la perspective de maintenir à l’agenda politique la priorité au dossier des retraites qui restent donc complètement ouvert.

Un dossier qui pourrait par ailleurs- tant qu’il n’est pas complètement bouclé et accepté par les parties- bloquer toutes avancées dans d’autres domaines d’autant que Macron n’a pas résolu le fait qu’il demeure sans majorité politique à l’Assemblée nationale en plus de son discrédit dans l’opinion.

Borne et les syndicats: encore une rencontre inutile et une manipulation médiatique

Borne et les syndicats: encore une rencontre inutile et une manipulation médiatique

La réunion de Borne avec les syndicats relève de la pure communication. En effet la première ministre n’avait strictement rien à dire de nouveau à propos de la réforme des retraites. Elle a fait comme d’habitude une longue introduction sur l’intérêt du dialogue social. Le problème c’est qu’elle refuse de négocier sur les retraites. Ce qui a justifié le départ des syndicats.Il ne pouvait évidemment rien sortir de positif de la rencontre avec une Première ministre en sursis et par ailleurs prisonnière de l’ entêtement de Macron qui ne veut rien entendre de la colère concernant la réforme des retraites.

Élisabeth Borne a tenté sans doute un dernier geste envers les syndicats pour sauver sa place. Ainsi elle invite l’intersyndicale a participé à un débat sans vrai mandat du président la république et sans ordre du jour. On connaît évidemment déjà le résultat. Les syndicats ont évidemment parlé de retraite et de leur refus de 64 ans et la première ministre de son côté a rappelé que la réforme suit son chemin démocratique jusqu’au conseil constitutionnel. Et l’on va vaguement évoquer d’éventuelles chantiers sociaux dont la plus grande responsabilité n’incombe d’ailleurs pas à l’État . Bref un vrai dialogue de sourds. Borne va vouloir parler d’avenir qu’elle n’a plus ! Et les syndicats vont souhaiter parler du présent que veut ignorer Borne.

Un nouvel échec première ministre qui s’est pourtant pourtant félicitée de la réunion ! Bref une manipulation médiatique.

Conclusion, la première ministre veut encore montrer qu’elle existe. Et les syndicats qui ont participé à la réunion ont montré de leur côté qu’elle ne sert à rien

Borne et les syndicats: encore une rencontre inutile et une manipulation médiatique

Borne et les syndicats: encore une rencontre inutile et une manipulation médiatique

La réunion de Borne avec les syndicats relève de la pure communication. En effet la première ministre n’avait strictement rien à dire de nouveau à propos de la réforme des retraites. Elle a fait comme d’habitude une longue introduction sur l’intérêt du dialogue social. Le problème c’est qu’elle refuse de négocier sur les retraites. Ce qui a justifié le départ des syndicats.Il ne pouvait évidemment rien sortir de positif de la rencontre avec une Première ministre en sursis et par ailleurs prisonnière de l’ entêtement de Macron qui ne veut rien entendre de la colère concernant la réforme des retraites.

Élisabeth Borne a tenté sans doute un dernier geste envers les syndicats pour sauver sa place. Ainsi elle invite l’intersyndicale a participé à un débat sans vrai mandat du président la république et sans ordre du jour. On connaît évidemment déjà le résultat. Les syndicats ont évidemment parlé de retraite et de leur refus de 64 ans et la première ministre de son côté a rappelé que la réforme suit son chemin démocratique jusqu’au conseil constitutionnel. Et l’on va vaguement évoquer d’éventuelles chantiers sociaux dont la plus grande responsabilité n’incombe d’ailleurs pas à l’État . Bref un vrai dialogue de sourds. Borne va vouloir parler d’avenir qu’elle n’a plus ! Et les syndicats vont souhaiter parler du présent que veut ignorer Borne.

Un nouvel échec première ministre qui s’est pourtant pourtant félicitée de la réunion ! Bref une manipulation médiatique.

L’intersyndicale est donc invitée aujourd’hui à Matignon. Le gouvernement veut reprendre le dialogue rompu après le retour au 49.3 pour passer la réforme des retraites et l’embrasement social qui a suivi. L’exécutif ne semble pourtant pas ouvert à la discussion sur la réforme des retraites. Le Conseil constitutionnel a de son côté annoncé qu’il rendrait ses décisions sur le texte en principe le 14 avril.

Reste à savoir sur quel sujet les discussions porteront. Si Matignon a confirmé l’invitation, l’ordre du jour n’est pas connu. Cela constitue une pratique assez inhabituelle. Mais pour le pouvoir l’important est de faire semblant de montrer sa bonne volonté en invitant les syndicats à parler même de n’importe quoi. Une sorte de piège dans les syndicats ne pourront se sortir que s’il dénonce l’absence total de pouvoir de la première ministre et la manipulation médiatique de la rencontre.

Les syndicats ne pouvaient pas ne pas répondre à cette invitation puisqu’à plusieurs reprises ils avaient demandé à être reçus.

Mais l’exécutif maintient que le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans s’appliquera. Par la voix d’Olivier Véran son porte-parole, le gouvernement a encore écarté à l’issue du Conseil des ministres mardi, l’hypothèse d’une pause dans l’application de la réforme.

Conclusion, la première ministre veut encore montrer qu’elle existe. Et les syndicats qui ont participé à la réunion ont montré de leur côté qu’elle ne sert à rien

Rencontre de Borne avec les syndicats: une rencontre inutile

Rencontre de Borne avec les syndicats: une rencontre inutile et une manipulation médiatique

Il ne peut évidemment rien sortir de positif de la rencontre avec une Première ministre en sursis et par ailleurs prisonnière de l’entêtement de Macron qui ne veut rien entendre de la colère concernant la réforme des retraites.

Élisabeth Borne tente sans doute un dernier geste envers les syndicats pour sauver sa place. Ainsi elle invite l’intersyndicale a participé à un débat sans vrai mandat du président la république et sans ordre du jour. On connaît évidemment déjà le résultat. Les syndicats vont évidemment parler de retraite et de leur refus de 64 ans et la première ministre de son côté va rappeler que la réforme suit son chemin démocratique jusqu’au conseil constitutionnel. Et l’on va vaguement évoquer d’éventuelles chantiers sociaux dont la plus grande responsabilité n’incombe d’ailleurs pas à l’État . Bref un vrai dialogue de sourds. Borne va vouloir parler d’avenir qu’elle n’a plus ! Et les syndicats vont souhaiter parler du présent que veut ignorer Borne

L’intersyndicale est donc invitée aujourd’hui à Matignon. Le gouvernement veut reprendre le dialogue rompu après le retour au 49.3 pour passer la réforme des retraites et l’embrasement social qui a suivi. L’exécutif ne semble pourtant pas ouvert à la discussion sur la réforme des retraites. Le Conseil constitutionnel a de son côté annoncé qu’il rendrait ses décisions sur le texte en principe le 14 avril.

Reste à savoir sur quel sujet les discussions porteront. Si Matignon a confirmé l’invitation, l’ordre du jour n’est pas connu. Cela constitue une pratique assez inhabituelle. Mais pour le pouvoir l’important est de faire semblant de montrer sa bonne volonté en invitant les syndicats à parler même de n’importe quoi. Une sorte de piège dans les syndicats ne pourront se sortir que s’il dénonce l’absence total de pouvoir de la première ministre et la manipulation médiatique de la rencontre.

Les syndicats ne pouvaient pas ne pas répondre à cette invitation puisqu’à plusieurs reprises ils avaient demandé à être reçus.

Mais l’exécutif maintient que le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans s’appliquera. Par la voix d’Olivier Véran son porte-parole, le gouvernement a encore écarté à l’issue du Conseil des ministresmardi, l’hypothèse d’une pause dans l’application de la réforme.

Conclusion, la première ministre veut encore montrer qu’elle existe. Et les syndicats qui participeront à la réunion veulent montrer de leur côté qu’elle ne sert à rien

Les Syndicats reçus chez Borne: un bavardage pour rien ?

Les Syndicats reçus chez Borne: un bavardage pour rien ?

Élisabeth Borne tente sans doute un dernier geste envers les syndicats pour sauver sa place. Ainsi elle invite l’intersyndicale a participé à un débat sans mandat du président la république et sans ordre du jour. On connaît évidemment déjà le résultat. Les syndicats vont évidemment parler de retraite et de leur refus de 64 ans et la première ministre de son côté va rappeler que la réforme suit son chemin démocratique jusqu’au conseil constitutionnel. Et l’on va vaguement évoquer d’éventuelles chantiers sociaux dont la plus grande responsabilité n’incombe d’ailleurs pas à l’État . Bref un vrai dialogue de sourds. Borne va vouloir parler d’avenir qu’elle n’a plus ! Et les syndicats vont souhaiter parler du présent que veut ignorer Borne

L’intersyndicale est donc invitée en début de semaine prochaine à Matignon. Le gouvernement veut reprendre le dialogue rompu après le retour au 49.3 pour passer la réforme des retraites et l’embrasement social qui a suivi. L’exécutif ne semble pourtant pas ouvert à la discussion sur la réforme des retraites. Le Conseil constitutionnel a de son côté annoncé qu’il rendrait ses décisions sur le texte de « On ira. On en a parlé entre nous. Oui, on pense collectivement qu’il faut y aller pour porter nos propositions », a confirmé Laurent Berger. Les autres syndicats ont réagi à l’invitation avec plus de réserve. « On a encore besoin d’en discuter en intersyndicale », a tempéré la codéléguée de Solidaires, Murielle Guilbert, tout comme François Hommeril, président de la CFE-CGC souhaite « une discussion entre nous au préalable ».

Reste à savoir sur quel sujet les discussions porteront. Si Matignon a confirmé l’invitation, l’ordre du jour n’est pas connu. « Ce qui est sûr c’est que nous on ira discuter des retraites. Et du travail parce que ça va avec, mais (surtout) des retraites ! », a prévenu Laurent Berger.

De son côté, l’exécutif maintient que le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans s’appliquera. Par la voix d’Olivier Véran son porte-parole, le gouvernement a encore écarté à l’issue du Conseil des ministres mardi, l’hypothèse d’une pause dans l’application de la réforme.

Conclusion, la première ministre veut encore montrer qu’elle existe. Et des syndicats qui participeront à la réunion comme ceux qui risquent de refuser de s’y rendre veulent montrer de leur côté qu’elle ne sert à rien

12345...10



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol