Archive pour le Tag 'suspendu'

Le réseau X (Twitter) suspendu au Brésil

Le réseau X (Twitter) suspendu au Brésil

 

La mesure de suspension du réseau du milliardaire Elon Musk au Brésil est sans doute un avertissement pour celui qui a tendance à mélanger business, influence politique et idéologie personnelle. Le Brésil vient donc de prendre une mesure de suspension du réseau X. Par ailleurs ce réseau aura aussi des comptes à rendre à l’Union européenne compte tenu de la désinformation et de la provocation récurrente d’Elon Musk. À tout le moins on pourrait espérer un boycott du réseau X qui a fait de la provocation et de  l’intoxication son mode de développement . 

 

Un juge de la Cour suprême brésilienne a ordonné vendredi la suspension au Brésil dans les 24 heures du réseau social X, propriété du magnat Elon Musk, à la suite d’un long bras de fer.
C’est le dernier épisode en date de la joute entre Alexandre de Moraes, juge du Tribunal fédéral suprême (STF) et figure de la lutte contre la désinformation au Brésil, et le milliardaire américain, chantre de la liberté d’expression.

Le magistrat a ordonné à l’Agence nationale des télécommunications (Anatel) d’ »adopter toutes les mesures nécessaires » pour que cette mesure entre en vigueur dans un délai de 24 heures dans le plus grand pays d’Amérique latine.

Il a également demandé aux géants de la tech Google et Apple, ainsi qu’aux fournisseurs d’accès internet, d’ »introduire des obstacles technologiques capables d’empêcher l’utilisation de l’application X » et l’accès au site web.

Et il a menacé d’amendes de 50.000 reais (environ 8.000 euros) par jour les personnes qui recourraient à des « subterfuges technologiques » pour contourner le blocage, comme l’usage de réseaux privés virtuels (VPN).

Dictature Iran : un footballeur suspendu pour avoir enlacé une supportrice

Dictature Iran : un footballeur suspendu pour avoir enlacé une supportrice

Le gardien international Hossein Hosseini a été suspendu un match par la Fédération iranienne de football pour avoir enlacé une supportrice lors d’un match de championnat, a annoncé lundi un média sportif local.

L’incident s’est produit le 12 avril lorsqu’une supportrice de l’Esteghlal de Téhéran avait interrompu le match entre son club et Aluminium Arak en entrant sur le terrain.

Hossein Hosseini avait pris brièvement la jeune fille dans ses bras après son arrestation par les agents de sécurité du stade. la

 fédération a condamné le joueur à une amende de 300 millions de tomans (4.400 euros) et une suspension d’un match pour «mauvais comportement envers les agents de sécurité du match», a indiqué le quotidien Khabar Varzeshi.

Sciences Po Grenoble: des enseignants de l’IEP enfonce le professeur suspendu

Sciences Po Grenoble: des enseignants de l’IEP enfonce le professeur suspendu

 

 

D’une certaine manière , un « collectif » d’enseignants pratique la défense syndicaliste à l’envers en enfonçant un collègue suspendu. Une version au parfum totalitaire du concept syndical. Pas étonnant le collègue puni avait dénoncé le wokismee qui vaut dans cet institut politique. Un institut politique qui mériterait certainement une évaluation de la part des autorités. En effet , c’est  la directions même de l’institut politique de Grenoble qui a pris la décision de suspendre l’enseignant coupable de délit d’opinion à propos de sa dénonciation du gauchisme à la mode à Sciences-po Grenoble.

 

D’une façon plus générale, l’évaluation devrait valoir pour la totalité des instituts politiques qui se sont multipliés comme des petits pains partout en France et qui peuvent susciter l’interrogation quant à leur utilité réelle.

 

La politique n’est pas seulement un sujet d’étude, un sujet théorique, un brevet d’accès aux fonctions publiques, c’est une réalité pratiquée par les citoyens chaque jour dans des champs d’intérêt général très varié et qui sollicite autre chose qu’une seule l’approche théorique. Les instituts politiques servent surtout aujourd’hui d’une part à véhiculer des théories gauchistes en même temps qu’à fournir les troupes d’assistants parlementaires et de futurs élus. Dès lors,  il ne faut pas s’étonner que la composition sociologique des responsables politiques soit en rupture avec la réalité socio-économique et culturelle du pays.

 

L’exemple le plus frappant de ce phénomène peut s’observer chez les responsables du parti en marche noyautée par les élèves des instituts politiques mais le phénomène  d’autres organisations.

 

La France a sans doute davantage besoin d’instituts de formation d’ingénieurs, de techniciens, de personnel de santé, de gestionnaires, de chercheurs que d’étudiants en politique qui finiront dans l’administration ou dans des fonctions électives.

Contrôle technique motos suspendu : La démagogie de Macron

Contrôle technique des deux-roues suspendu : La démagogie de Macron

« C’est un vrai déni de démocratie », a assuré le représentant de Ras le scoot, après le revirement du gouvernement à propos du contrôle technique pour les motards, qui ne sera finalement pas obligatoire.

 

« C’est encore une petite minorité, mais un lobby puissant, qui a l’oreille du roi Macron », a dénoncé jeudi 12 août sur franceinfo Franck-Olivier Torro, porte-parole de Ras le scoot, association qui se bat contre les nuisances et les incivilités des deux-roues motorisés. Le gouvernement a annoncé qu’il suspendait finalement l’entrée en vigueur du contrôle technique tous les deux ans pour les deux-roues motorisées, contrairement au décret publié mercredi dans le Journal officiel.

 Quelle est votre réaction à cette suspension ?

Franck-Olivier Torro : Nous sommes surpris et déçus, mais pas complètement étonnés. Nous sommes déçus parce qu’effectivement, on voyait ça comme une très bonne mesure afin de mettre un peu d’équité entre les véhicules. Nous ne comprenons pas pourquoi les deux-roues motorisés seraient exemptés du contrôle technique, alors que les autres véhicules y sont obligés. Nous ne sommes pas tout à fait étonnés parce que nous avons l’habitude des volte-face du gouvernement sous le poids des lobbies. En fait, il a suffi qu’Emmanuel Macron ait au téléphone le représentant des motards en colère pour qu’ils annulent ce décret, c’est assez incroyable. C’est un vrai déni de démocratie ou un fait du prince. C’est quand même assez inquiétant pour la démocratie. C’est le roi Macron qui décide d’ajourner ou de reléguer aux calendes grecques ce contrôle technique qui aurait dû être mis en place depuis longtemps déjà.

Vous vous réjouissiez de ce contrôle technique, qui selon vous, aurait permis de lutter contre la pollution de l’air et la pollution sonore ?

Oui, cela aurait eu un impact positif sur la lutte contre la pollution de l’air puisqu’aujourd’hui, un deux-roues motorisé pollue beaucoup plus qu’une voiture, contrairement à ce qu’essaie de nous faire croire le lobby de la moto. Il y a eu des études qui prouvent que la moto peut polluer cinq fois plus qu’une voiture récente, même si elle consomme moins. En plus de ça, il y a toute la problématique de la pollution sonore. Il est vrai de dire qu’il y a un ballet incessant de motards avec des pots sans chicane ou avec des lignes d’échappement qui ont été modifiées juste pour le plaisir de faire du bruit. C’est dommage. C’est encore une petite minorité, mais un lobby puissant, qui a l’oreille du roi Macron.

Ce contrôle technique aurait dû avoir lieu tous les deux ans et devait rentrer en vigueur en 2023. Comment expliquez-vous que cette mesure soit déjà en place chez nos voisins, contrairement à chez nous ?

Je ne sais pas, c’est difficile à expliquer. Effectivement, l’Italie l’a mis en place dans les années 2000, le Royaume-Uni aussi, l’Allemagne aussi. Je ne comprends pas pourquoi nous sommes toujours les bons derniers à prendre ce genre de mesures qui devraient être prises rapidement, qui permettraient de supprimer une partie du parc qui est devenu obsolète, de supprimer des scooters et des motos qui ne devraient plus circuler.

Facebook : Trump suspendu pour deux ans au moins

Facebook : Trump suspendu pour deux ans au moins

une suspension de deux ans sur Facebook qui pourra être prolongée si des ­experts estiment que le retour de Donald Trump sur Facebook présente un danger. En cas de nouvelles infractions aux règles, l’ex-président risquera une désactivation permanente de ses comptes.

Cette règle a été pensée pour le cas de Donald Trump, mais s’appliquera à l’ensemble des personnalités publiques lors de circonstances graves, comme des troubles civils. Les suspensions de comptes pourront aller de un mois à deux ans, comme le montre un graphique publié par Nick Clegg, directeur des affaires publiques de Facebook.

Les dirigeants politiques vont perdre en partie leur totem d’immunité. Leurs écrits ne seront plus automatiquement protégés et pourront donc être modérés.

Vaccin d’AstraZeneca : suspendu aussi au Canada

Vaccin d’AstraZeneca : suspendu aussi au Canada

 

Le canada vaccin demande  une nouvelle analyse des bénéfices et des risques du vaccin en fonction de l’âge et du sexe.

Cette démarche intervient après que des informations en Europe ont fait état de cas rares mais graves de thrombo-embolie – la formation de caillots sanguins – chez des personnes ayant reçu le vaccin d’AstraZeneca, en particulier les jeunes femmes.

Plusieurs pays, dont la France, ont suspendu pendant plusieurs jours l’utilisation du vaccin.

Aucun cas similaire n’a pour le moment été signalé au Canada, où environ 307.000 doses du vaccin du laboratoire anglo-suédois ont été administrées.

« Nous suspendons l’utilisation du vaccin d’AstraZeneca pour les adultes âgés de moins de 55 ans dans l’attente d’une analyse supplémentaire sur la balance risques-bénéfices », a déclaré le directeur adjoint de l’autorité de santé canadienne, Howard Njoo, lors d’un point de presse.

Il a ajouté qu’Ottawa adoptait cette approche « prudente » car d’autres vaccins contre le COVID-19 étaient disponibles. La plupart des stocks de vaccins au Canada proviennent jusqu’à présent de Pfizer et de Moderna.

Le ministère de la Santé a indiqué dans un communiqué être en discussion avec AstraZeneca, dont il attend des informations complémentaires pour « déterminer si des mesures de régulation supplémentaires sont nécessaires ».

On ne sait pas dans l’immédiat le temps que pourrait prendre cette évaluation.

 

Le dioxyde de titane, colorant suspecté d’être cancérogène, suspendu

Le dioxyde de titane, colorant suspecté d’être cancérogène, suspendu

 

Cet additif dans l’alimentation est soupçonné d’être cancérigène Le dioxyde de titane, reconnaissable à la mention E171 dans la liste des ingrédients, avait été suspendu une première fois le 1er janvier 2020. Cette décision faisait suite à la publication, en 2017, d’une étude de l’Institut national de la recherche agronomique (aujourd’hui Inrae) qui avait mis en évidence chez les rats un risque de cancer colorectal lié la présence de cet additif dans les denrées alimentaires, et d’un rapport de l’agence de sécurité sanitaire des aliments (Anses) qui n’avait pu, en 2019 « lever les incertitudes sur l’innocuité » du colorant. Dans l’attente de l’avis de l’Agence européenne de sécurité des aliments (Efsa) attendu pour 2021, le gouvernement a décidé de prolonger la suspension de l’additif.

Le dioxyde de titane toujours présent dans les médicaments et les produits d’hygiène

Engagé depuis plusieurs années dans la lutte contre le dioxyde de titane, l’association Agir pour l’environnement salue cette décision, mais voudrait que le gouvernement aille plus loin. « Il faut être logique : cette suspension aurait du être élargie aux dentifrices et aux médicaments. Le dioxyde de titane fait courir des risques graves à la population alors qu’il n’a pas de vraie utilité et peut être facilement substitué », déclare-t-elle dans un communiqué.

 

Un plan de relance européen suspendu à un grand marchandage

Un plan de relance européen suspendu à un grand marchandage

Le plan européen se résume à un budget de 750 milliards sur fond d’un plan pluriannuel de 1000 milliards ( plus les mesure de la BCE)  gérés directement par l’union économique qui en assumera la responsabilité donc aussi la solidarité. Les discussions risquent d’être difficiles notamment de la part de certains pays nord  qui vont se battre pour limiter la part de s non remboursables par rapport à la part de prêts qui elles sera remboursable voir assortie de critères de gestion budgétaire. Le second sujet de marchandage va concerner les compensations que en obtenir les pays les plus opposés à ce plan considéré comme trop généreux vis-à-vis des états dits laxistes. L’affaire est encore loin d’être bouclée car dans ce domaine il faut l’unanimité des pays de l’union européenne. Les discussions vont durer tout l’été et les décisions finales ne pourront pas intervenir avant fin 2020. Il y a aussi une dimension politique car ce plan de soutien économique directement géré et assumé par l’union économique constitue un acte d’intégration indiscutable qui va ouvrir des discussions notamment de la part de tendances politiques souverainistes.

L’accord est encore loin d’être acquis même s’il constitue déjà un signe positif vis-à-vis des acteurs économiques et les marchés .  Paris et Berlin ont pris là un risque majeur puisque au travers de ce plan et des suites qu’il aura, c’est aussi la puissance du moteur franco-allemand qui sera jaugée. Alors qu’Emmanuel Macron a appelé mercredi les États membres à aller «vite», Angela Merkel a admis que la tâche ne serait pas simple. «Il est clair que les négociations, qui sont difficiles, ne seront pas conclues lors du prochain Conseil de l’UE» du 18 et 19 juin, a estimé la chancelière allemande, ajoutant que «l’objectif devait être de trouver suffisamment de temps à l’automne pour que les Parlements nationaux et le Parlement européen puissent discuter».

Les capitales ont commencé mercredi à prendre connaissance de ce plan de relance et du budget. Et il leur faudra plusieurs jours pour le digérer et comprendre le sort qui est réservé à chacun. Mais, alors que Paris affirme qu’il n’est pas question de remettre en cause les 500 milliards de subventions, plusieurs États membres ont d’ores et déjà manifesté une forme de retrait vis-à-vis des propositions de la Commission. Parmi eux, les pays dits «frugaux» (les Pays-Bas, l’Autriche, la Suède et le Danemark) qui sont opposés au principe des subventions mais veillent à observer des positions mesurées. Les leaders de ces quatre pays se sont d’ailleurs coordonnés mercredi après-midi au cours d’une réunion commune.

Pour le chancelier autrichien Sebastian Kurz, le plan imaginé par la Commission est «une base de négociations» où «la part entre prêts et subventions» doit être discutée. «Au nom de notre responsabilité vis-à-vis de nos contribuables, nous nous positionnons clairement en faveur de prêts», a-t-il réaffirmé. Les Pays-Bas ont fait aussi profil bas tout en restant fermes sur le fond. «Nos positions sont très éloignées et il s’agit d’un dossier d’unanimité ; les négociations prendront donc du temps. Il est difficile d’imaginer que cette proposition sera l’état final de ces négociations», indique un diplomate néerlandais

 

 

 

 

 

 

Benalla : ni puni, ni suspendu !

Benalla : ni puni, ni suspendu !  

Officiellement après ses exploits et ses tabassages de deux  manifestants,  Benalla aurait été puni et suspendu pendant 15 jours. On lui aurait retiré ses missions relatives à la protection du chef de l’État. En réalité,  il semble bien que Benalla n’est pas été puni, ni même suspendu. Aucun document officiel n’atteste en effet de cette suspension. Alain Gibelin, directeur de l’ordre public et de la circulation (DOPC) de la préfecture de police, a semé le doute dans les esprits sur la réalité même de la suspension. Alain Gibelin, qui a également souligné que la présence du chargé de mission élyséen Place de la Contrescarpe le 1er mai n’était pas régulière, a indiqué qu’Alexandre Benalla avait participé à des réunions préparatoires à des déplacements d’Emmanuel Macron tout au long la première quinzaine de mai. On sait par ailleurs que Ben Allah n’a pas été privé de ses responsabilités puisqu’il s’est occupé par ailleurs par exemple de la sécurité du président lors des manifestations du 14 juillet et de la réception de l’équipe de France de football à l’Elysée. Et Alain Gibelin de conclure « Non. Et je répète que la sanction prise à l’encontre d’Alexandre Benalla à aucun moment n’a été porté ni à ma connaissance, ni à celle de mes collaborateurs. »

Migrants Calais: L’arrêté contre la distribution de repas suspendu

Migrants Calais: L’arrêté contre la distribution de repas suspendu

 

Dans son jugement, le tribunal administratif de Lille  estime que la décision de la mairie avait pour effet « de priver une population en très grande précarité d’une assistance alimentaire vitale » et affirme que les décisions de la mairie n’étaient pas proportionnées, adaptées et nécessaires. Le tribunal évoque aussi « une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté d’aller et venir, à la liberté de réunion ». « L’arrêté est cassé, pour nous c’est une petite victoire », a déclaré à Reuters Yann Manzi, l’un des fondateurs de l’association Utopia 56. « On est très contents, le droit humain est respecté, on va continuer à faire de l’humanitaire, à penser aux êtres humains », a-t-il ajouté. « Cette décision n’entame pas ma détermination à protéger les Calaisiens et Calaisiennes. Je reste convaincue de l’urgente nécessité de tout mettre en œuvre pour empêcher la reconstitution de points de fixation » a réagi la maire de Calais Natacha Bouchart dans un communiqué. La maire Les Républicains de Calais avait pris le 2 mars dernier un arrêté municipal interdisant les rassemblements dans les zones de distribution de repas par les bénévoles des associations humanitaires présentes dans la ville. Natacha Bouchart avait expliqué qu’elle craignait un appel d’air et un point de fixation des migrants. L’arrêté mettait par ailleurs en avant les risques de « tensions permanentes entre les ethnies ». Plusieurs associations mobilisées à Calais avaient alors saisi le tribunal administratif de Lille.

Platini suspendu pour plusieurs années » par la mafia de la Fifa.

Platini suspendu pour plusieurs années » par la mafia de la Fifa.

Avant même d’avoir entendu Platini comme c’était  prévu,  le porte-parole de la commission dite d’éthique de la FIFA déclare que Platini sera certainement suspendu pour plusieurs années.  Michel Platini et ses avocats ont évidemment pris connaissance « avec colère et consternation » de ces déclarations. Dans un communiqué, ils expliquent qu’il s’agit d’une « violation patente de la présomption d’innocence » puisque la sanction semble avoir déjà été fixée et que l’audience du 18 décembre ne sera « manifestement d’aucune utilité ». Cette fois la Fifa n’a pas fait dans la dentelle pour écarter définitivement Platini. Une sentence sera donc  rendue par le sulfureux comité d’ « éthique » de l’organisation. Sulfureux parce que ce comité s’est souvent livré à de drôles de manœuvres en couvrant des faits   de corruption et qu’il est composé de membres qui militent en faveur d’autres candidats pour la présidence de la Fifa. Bref ce comité n’a d’éthique que le nom et la plupart des dirigeants de la Fifa sont impliqués dans des affaires de corruption. D’une certaine manière c’est un peu le tribunal de la mafia qui juge la mafia. Pourquoi aussi ne pas condamner Platini à la peine de mort ? Certes Platini n’est pas complètement blanc, il a aussi couvert certaines pratiques douteuses pour l’attribution de la coupe du monde. Les conditions de sa rémunération par la Fifa manquent  aussi de clarté. Pour autant la proposition du comité d’éthique de la Fifa est complètement disproportionnée par rapport au fait reproché. Il serait temps  gouvernement français prenne enfin ses responsabilités dans cette affaire et la première orientation à prendre consiste sans doute à demander la dissolution pure et simple de cette organisation mafieuse qu’est la Fifa ou déjà 16 responsables ont été officiellement mis en examen par la justice. Mais des dizaines d’autres mériteraient le même sort pour leur implication dans des affaires de corruption, de conflit d’intérêts ou de manœuvres frauduleuses.

Air France: le plan de licenciement n’est plus suspendu !(Valls)

Air France: le plan de licenciement n’est plus suspendu !(Valls)

Ça branle sérieusement dans le manche gouvernement concernant Air France. Alors que Ségolène avait très récemment affirmé que ce plan devait être suspendu pour permettre la reprise des négociations, Valls lui affirmait ce matin le contraire sur BFM. Autre point de désaccord Ségolène royal souhaité un médiateur tandis que Valls entend privilégier le dialogue direct entre syndicats et direction. Une mise au point de Valls qui s’imposait car la direction d’Air France commençait  à être sérieusement agacée  par les interventions répétées des différents membres du gouvernement à propos du conflit. Valls estdonc  revenu ce jeudi sur le plan de restructuration chez Air France, réaffirmant que celui-ci n’était «pas suspendu», sur BFM TV. «La compagnie française fait face à la concurrence du low-cost et des grandes compagnies, en particulier celles du Golfe, qui ont su se réformer».  Après les violences qui se sont déroulées lundi dernier en marge du CCE d’Air France, à Roissy, le dialogue entre les différentes parties a repris en fin de semaine. «Il doit se poursuivre pour permettre à la compagnie d’affronter là aussi cette concurrence et pour que chacun assume pleinement ses responsabilités», a déclaré le Premier ministre au micro de Jean-Jacques Bourdin, qui a réaffirmé son soutien à la direction de la compagnie.  Il a ensuite justifié l’obligation de réforme de la compagnie, nécessaire à sa survie. «Air France doit faire des efforts, des réformes si nous voulons que la compagnie nationale qui porte nos couleurs survive. Alors que les pilotes ont appelé le gouvernement et la France à intervenir dans ce dossier, Manuel Valls a affirmé que «l’État est prêt à assumer ses responsabilités». «Le gouvernement soutient le plan de restructuration d’Air France et appelle au dialogue. Aujourd’hui il n’y a pas besoin de médiateur».

Foot-business : Blatter suspendu de la FIFA

Foot-business : Blatter suspendu de la  FIFA

 

Ça chauffe de plus en plus pour le sulfureux président de la FIFA, aussi pour Platini. La commission d’éthique de l’organisation serait prête à suspendre « provisoirement ». En réalité de plus en plus acculé par les enquêtes judiciaires et les différentes révélations, cette commission d’éthique tente de sauver les meubles de l’institution. Le premier sacrifié par cette justice interne serait donc le président lui-même. Mais Michel Platini ne sortira pas complètement blanchi de cette affaire dans la mesure où inversement de près de 2 millions lui a été fait par la FIFA presque 10 ans après de supposées prestations. La vérité c’est que cette institution est pourrie jusqu’à l’os du faite qu’elle brasse des centaines et des centaines de millions sans contrôle financier fiscal et sans contrôle démocratique. Dans cette affaire ce sont la plupart des membres de la FIFA qui essaye de sauver leur peau y compris s’il le faut en enfonçant la terre voir Platini. Sepp Blatter, président de la Fédération internationale de football (FIFA), sera donc  suspendu 90 jours si la commission d’éthique de l’organisation approuve la recommandation de sa chambre d’enquête, a annoncé mercredi un de ses proches, interrogé par Reuters.  La décision définitive de Hans-Joachim Eckert, président de la chambre d’enquête du comité, est attendue vendredi, a précisé Klaus Stöhlker, ami et ancien conseiller de l’intéressé. »Il n’y a pas de décision définitive. Il s’agit d’une recommandation de la base du comité à la direction », a-t-il déclaré à Reuters, ajoutant que Sepp Blatter en avait été informé, ce qu’il nie Selon ses avocats, Sepp Blatter n’a été informé d’aucune initiative à son sujet. Dans un communiqué, ils disent s’attendre à ce que « le comité d’éthique demande à entendre le président et ses représentants, et qu’il procède à un examen complet des éléments avant de recommander une mesure disciplinaire ».  Le comité est réuni depuis lundi à Zurich pour statuer sur les cas de Sepp Blatter et du président de l’UEFA Michel Platini.  La justice suisse a ouvert une procédure pénale à l’encontre du premier dans le cadre de l’enquête sur le versement à Michel Platini d’une somme de deux millions de francs suisses (1,8 million d’euros) en 2011 et sur un contrat de droits de retransmissions télévisées signé par le patron du football mondial.

Jean-Marie Le Pen pas encore exclu mais suspendu du FN

Jean-Marie Le Pen pas encore exclu mais suspendu du FN

 

Jean-Marie le Pen a dénoncé sur i-Télé une « félonie ». « Je souhaite que la présidente du Front national se marie le plus tôt possible pour ne pas garder le même nom que moi », a-t-il dit. « Je suis toujours président honoraire, adhérent suspendu, c’est une solution bâtarde (…) Les Français vont peut-être penser qu’il y a des choses plus importantes à faire que de changer de nom ou de changer de références. » Jean-Marie Le Pen avait refusé de s’expliquer devant le bureau exécutif, quittant le siège du parti qu’il a fondé en début d’après-midi à l’issue d’un bureau politique durant lequel il a été, selon ses propres mots, « désavoué ». « Le bureau exécutif, réuni ce jour à l’issue du bureau politique, a constaté à la majorité de ses membres la nécessité de supprimer l’article 11 bis des statuts du Front national relatif à la présidence d’honneur », a indiqué le Front national dans un communiqué. L’assemblée générale extraordinaire, organisée dans un délai de trois mois, proposera aux militants une « rénovation plus complète des statuts » en vue de permettre au « mouvement modernisé dans son fonctionnement, perfectionné dans son organisation », d’aborder les échéances électorales dans « d’excellentes conditions ». En attendant, « le bureau exécutif a décidé, conformément à l’article 19, de suspendre le président d’honneur de sa qualité d’adhérent, jusqu’au vote de la dite assemblée générale extraordinaire », conclut le communiqué. Par ces décisions, les dirigeants du FN cherchent à éviter que les provocations de Jean-Marie Le Pen, 86 ans, n’écornent la stratégie de « dédiabolisation » engagée par Marine Le Pen, qui a succédé à son père à la tête du parti d’extrême droite en 2011.  Tout au long du week-end, ils ont martelé le même message : Jean-Marie Le Pen ne peut parler au nom du FN et engager le parti lorsqu’il réitère ses propos sur les chambres à gaz nazies, « détail » de l’Histoire selon lui, comme il l’a encore fait mi-avril. « Je ne parle plus au nom du Front national depuis que je ne suis plus président. Depuis quatre ans que Marine Le Pen est présidente, c’est elle qui parle au nom du Front national. Moi, je parle au nom de Jean-Marie Le Pen », a-t-il dit.

 

PSG-Foot : Ibrahimovic suspendu 4 matchs

 

 

 

 

Il est clair que l’arbitrage n’est pas  la hauteur du foot moderne mais ce n’est pas une raison pour justifier des propos tenus par Ibra.qui a écopé de 4 matchs de suspensions. Ce n’est pas un problème spécifiquement français mais une question internationale, l’arbitrage dans le foot est à coté de ses godasses. Les arbitres sont complètement dépassés et faussent trop souvent les résultats. Même avec 5 arbitres sur le terrain cela ne change rien d’autant qu’en fait un seul arbitre officie réellement (contrairement aux basket par exemple). La plupart des arbitres ne connaissent à peu près rien au ballon ( là encore contrairement au basket), ils n’ont ni compétence , ni autorité ( contrairement par exemple au rugby). Tout est à revoir dans ce domaine.  Ibra de son coté compte tenu de ses performances très moyennes depuis des mois devrait davantage consacrer son énergie au service de l’équipe plutôt qu’à des diatribes avec les arbitres. L’attaquant du PSG était convoqué pour son dérapage verbal commis à l’issue de la défaite parisienne à Bordeaux (3-2), le 15 mars. Il n’a pas fait le déplacement et a été représenté par Olivier Létrang, directeur sportif adjoint du club, Romain Voillemot, responsable juridique, et son avocat François Klein. Dans le détail, Zlatan Ibrahimovic écope ainsi de trois matchs de suspension (il en risquait quatre, selon le barème de la Ligue) pour son dérapage bordelais, le quatrième match relevant de la révocation du sursis qu’il trainait depuis la fin janvier, à cause d’un mauvais geste sur le Stéphanois Romain Hamouma.  Les «éventuelles erreurs commises» par l’arbitrage ne justifient pas ses propos «grossiers et injurieux», juge la Ligue, qui estime avoir «tenu compte de la «frustration» du joueur. «La commission n’a pas été pleinement convaincue par les explications du PSG», a ajouté Sébastien Deneux, président de la commission de discipline de la Ligue de football professionnel. «La commission n’est pas là pour faire des exemples, on a des règlements et des barèmes de sanctions», a-t-il également précisé. Zlatan Ibrahimovic manquera ainsi les rencontres contre Nice, le 18 avril, contre Lille, le 25, contre Metz, le 28, et contre Nantes, le 2 mai. Et reviendra sur les terrains le 9 mai contre Guingamp, antépénultième journée du championnat. «Ça fait quinze ans que je joue au foot et je n’ai jamais vu un arbitre aussi nul dans ce pays de merde. Ce pays ne mérite pas le PSG. Le PSG ne devrait même pas être dans ce pays, nous sommes trop bons pour ce pays», avait éructé l’avant-centre avant de rentrer au vestiaire, le tout sous l’œil d’une caméra de Canal +. Olivier Létang, directeur sportif adjoint du Paris SG, a estimé jeudi après une audition d’une heure que Zlatan Ibrahimovic ne devait «pas être suspendu» après ses déclarations à l’issue du match Bordeaux-PSG. «Pour nous, une chose est sûre : Zlatan ne doit pas être suspendu dans la mesure où il n’a tenu aucun propos grossier ou injurieux envers un membre du corps arbitral», avait-il argumenté. «Le quatrième arbitre de la rencontre, qui était présent ce soir, a confirmé que les propos qui ont été tenus l’ont été une fois que la porte des officiels était fermée», avait-il ajouté.

 

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