Archive pour le Tag 'Surtaxation'

Surtaxation des voitures les plus lourdes

Surtaxation des voitures les plus lourdes

 

Le poids des voitures varie considérablement de moins d’une tonne et parfois même jusqu’à 2 t. La pollution notamment les émissions de carbone sont à peu près proportionnel. En moyenne le poids d’une voiture et de l’ordre de 1200 kg. Un chiffre évidemment bien au-dessus des 600 kg de la vieilles 4 ou des 500 kg environ de la célèbres  .  Le plus lourd étant l’Audi Q3, 1700 kg, loin devant le Volkswagen Tiguan et ses 1512 kg. Deux véhicules affichent même un poids plume, en-dessous des 1243 kilos de la voiture moyenne des Français : le Peugeot 2008 avec 1161 kg et le Citroën C3 Aircross avec 1203 kg. Seuls les SUV les plus lourds seront taxés.40.000 euros. C’est le surcoût que paiera un Français achetant une voiture neuve à partir du 1er janvier 2022 avec le malus maximal. Comme chaque fin d’année, le malus automobile subit un lifting. Ou plutôt, une cure d’alourdissement, officialisée par un décret dont la publication est attendue ce vendredi. Cela concerne d’abord le malus «traditionnel», lié aux émissions de CO2 de chaque véhicule. Le millésime 2022 commence à 128 grammes de CO2 émis par kilomètre parcouru, contre 133 grammes par kilomètre en 2021. Surtout, le malus maximal est très largement alourdi, passant de 30.000 euros pour des émissions de 219 g/km à 40.000 euros pour 224 g/km. À titre d’exemple, le gros SUV Audi Q7 diesel, qui émet 216 g/km, va se retrouver avec un malus de 32.094 euros. À comparer à un prix de base de près de 72.000 euros.

Loi travail : une surtaxation des CDD ?

Loi travail : une surtaxation des CDD ?

D’après France Info le Premier ministre envisage de surtaxer les CDD pour inciter les employeurs à embaucher. Manuel Valls devait terminer mercredi soir ses consultations avec les partenaires sociaux et doit désormais leur proposer une nouvelle mouture du texte d’ici lundi. Parmi les pistes de travail, une surtaxation des CDD tient la corde à Matignon. De fait, près de 9 contrats sur 10 signés aujourd’hui sont des contrats précaires. L’idée, c’est donc de rendre le CDD moins attractif pour l’employeur en augmentant les cotisations patronales. Si le CDD est moins attractif, l’employeur devrait signer plus facilement des CDI, d’autant que le projet de loi prévoit de faciliter le licenciement. Les syndicats réclament cette mesure depuis longtemps. La nouveauté, c’est que l’argent ainsi récolté permettrait de financer la formation des travailleurs précaires. Cependant, tous les syndicats ne sont pas convaincus par le projet. Pour Jean-Eudes Du Mesnil, secrétaire général de la CGPME, ce n’est pas forcément une bonne idée. « Ce serait prendre le problème par le mauvais côté. Cela signifierait que l’on augmenterait le coût du travail, et que l’on pénaliserait la création d’emplois. Il faudrait s’interroger sur l’embauche en CDD privilégiée par les patrons plutôt que celle en CDI. Nous voulons rassurer les chefs d’entreprise en leur disant que si d’aventure ils sont contraints de restreindre leur activité économique, on pourrait sécuriser les critères de licenciement économique ».

Surtaxation des CDD : fiasco

surtaxation des CDD : fiasco

La surtaxation des contrats courts s’apparente pour le moment à un coup d’épée dans l’eau. Cette mesure, qui consiste à alourdir le montant des cotisations patronales d’assurance-chômage sur les CDD de moins de trois mois, est entrée en vigueur le 1er juillet dernier. Cette mesure trouvait son origine dans l’accord entre syndicats et patronat sur l’emploi de janvier 2013 et était destinée à favoriser les embauches en CDI. Mais selon un premier bilan interne de l’Unédic et de l’Acoss, cité par les Echos.fr vendredi 6 juin, le dispositif ne rencontre pas le succès escompté sur plusieurs points.  Tout d’abord, la mesure « n’a pas entraîné de changements notables des comportements: les employeurs recourent toujours autant au travail précaire, d’autant que l’intérim n’est pas concerné », peut-on lire sur le site du quotidien économique. Ensuite, le relèvement des cotisations ne devrait pas avoir les conséquences financières escomptées. D’août 2013 à mars 2014, 36 millions d’euros ont été glanés selon le bilan de l’Unedic, qui en déduit qu’en année pleine le chiffre devrait atteindre 50 à 70 millions d’euros. Soit deux à trois fois moins que les 150 millions d’euros prévus lors de l’introduction de la mesure.




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