Archive pour le Tag 'suppresion'

Alstom : après la vente de l’énergie la suppresion des usines transport en France ?

Alstom : après la vente de l’énergie la suppresion des usines transport en France ?

 

Les actionnaires sont contents, le PDG auusi (i a touché 3 millions de prime de Noel !), Alstom a vendu la branche électrique à général Electric. Reste donc à Alstom la branche transport en pleine décroissance ; E te point que plus de la moitié des salariés portraient être licenciés notamment à Belfort. A terme vers 2020, avec la délocalisation de la production c’est l’ensemble des usines Alstom qi pourraient disparaitre. .  La « charrette » pourrait être annoncée lors du comité central d’entreprise d’Alstom Transport le 13 janvier et bouclée pour la fin 2015. « L’usine n’a pas pris de commandes depuis trois ans, déplore Olivier Kohler, représentant de la CFDT. Si ça continue, l’usine risque de fermer d’ici à 2017. » Tout un symbole : Alstom pourrait disparaître de Belfort. Un front renversé avec General Electric, qui compte embaucher sur place. Le groupe américain s’est engagé à créer 1.000 emplois en France d’ici à trois ans. Le site de La Rochelle, qui construit aussi des TGV, pourrait également subir des restructurations. Au-delà de la fin du « tout-TGV » en France, les commandes de métros et de tramways sont en berne. Toute la filière ferroviaire souffre, et Alstom avec. « À partir de 2016, il n’y aura plus grand-chose à fabriquer dans les usines françaises, explique Jean-Pierre Audoux, le président de la Fédération des industries ferroviaires. Et plus rien après 2020. » Pourtant, Alstom Transport a réalisé cette année un chiffre d’affaires record de 3 milliards au premier semestre. Le groupe engrange les commandes mais les usines françaises tournent au ralenti. Le contrat géant de 4 milliards d’euros en Afrique du Sud, pour 600 trains, sera honoré là-bas et ne remplira pas les sites en France. Idem pour le contrat de 1,3 milliard d’euros avec le Kazakhstan. « Les clients demandent une localisation de la production chez eux », se défend la direction. Un argument insuffisant aux yeux des salariés, notamment belfortains. « Alstom organise la pénurie dans ses usines françaises, s’agace un concurrent. Il préfère produire à l’étranger pour casser les prix et délocaliser. » Et à cause de la reprise de la branche énergie par GE, Alstom transport va manquer de moyens financiers suffisants. Sur les 12,35 milliards d’euros de la vente de la division énergie à General Electric, il ne devrait récupérer que 1 à 2 milliards d’euros, après le remboursement d’une partie de la dette et le versement de près de 4 milliards d’euros aux actionnaires, et au premier chef Bouygues. L’entreprise doit aussi faire face à l’émergence de géants chinois deux fois plus gros qu’elle.

 

Immobilier : la quasi suppresion de l’APL va faire plonger le marché

Immobilier : la quasi suppresion de l’APL va faire plonger le marché

 

 C’est u véritable tsunami qui se prépare dans l’immobilier avec la quasi suppresion de l’APL. Un marché déjà en crise grave et qui pourrait encore plonger.  Le projet de loi de finances 2015 prévoit de quasiment supprimer l’APL (aide personnalisée au logement) Accession, qui accorde une aide mensuelle sous conditions de ressources aux emprunteurs qui deviennent propriétaires de leur résidence principale. Une modification aux implications lourdes pour les primo-accédants aux revenus modestes. En tout, ce sont près de 30.000 personnes par an qui bénéficient de l’APL Accession, dont le dispositif sera examiné mercredi 29 octobre puis voté le 04 novembre. Passé presque inaperçu, l’article 52 du PLF 2015 a prévu une modification de l’APL Accession qui ne devrait être versée à l’avenir qu’en cas de baisse de 30 % de revenus et non systématiquement à la mise en place du crédit. Actuellement, l’APL est accordée par l’Etat à tous les emprunteurs qui deviennent propriétaires dans l’ancien via un Prêt conventionné (PC) ou un Prêt Accession Sociale (PAS), prêt accordé sous conditions de revenus, sur des durées allant jusqu’à 30 ans et permettant également de bénéficier de frais de dossiers et de garanties réduits. La quasi-suppression de l’APL Accession pourrait exclure du marché de nombreux emprunteurs modestes qui n’auront pas la possibilité de trouver un financement pour leur projet sans cette aide, leur taux d’endettement devenant trop important. Une mesure que déplore Sandrine Allonier, Responsable des Relations Banques du courtier immobilier VousFinancer.com, qui explique que « l’APL est une aide très efficace car elle est directement versée à la banque prêteuse et vient donc réduire la mensualité de crédit payée par l’emprunteur jusqu’à 30%, voire davantage dans certains cas. Prise en compte par les banques dans le plan de financement, elle permet donc à des ménages dont l’endettement aurait été trop élevé sans cette aide de devenir propriétaire » précise-t-elle. Revalorisée en 2013 et début octobre lors de la modification du zonage et de la hausse des plafonds de revenus, la suppression de cette aide en 2015 pourrait exclure de l’accès à la propriété un certain nombre de jeunes emprunteurs. « En 2014, entre 10 et 15 % des prêts que nous avons financés donnent droit aux APL. La suppression de celles-ci risque d’avoir un impact très négatif sur les primo-accédants dont beaucoup se sont déjà retirés du marché. D’un côté le gouvernement élargit le prêt à taux zéro dans le neuf et le réhabilite dans l’ancien en zone rurale, et de l’autre il supprime les APL qui ont un véritable impact sur l’endettement des ménages et donc sur leur capacité à devenir propriétaire. C’est donner d’un côté pour reprendre de l’autre. A un moment où le marché commence à reprendre des couleurs ce type de mesure pourrait casser la dynamique enclenchée et donner un nouveau coup de frein au marché immobilier » conclut Jérôme Robin, président et fondateur de Vousfinancer.com.

 

Après la suppresion de lécotaxe , Sapin ne veut pas taxer les autoroutes

 

Après la suppresion de lécotaxe , Sapin ne veut pas taxer les autoroutes

 

Sapin et Macron s’opposent pour l’instant à la taxation des autoroutes. Des autoroutes aux profits pourtant scandaleux, du fait de l’erreur stratégique de l’Etat  qui a bradé ces infrastructures au privé. Une privatisation commencée sous Jospin en 20002, continuée par Raffarin et de Villepin. Sapin et Macron ont des égards curieux  pour ces grandes sociétés d’autoroutes sous le prétexte de dispositions juridiques liant l’Etat et ces sociétés.  Motif : les sociétés d’autoroutes bénéficient, a expliqué en substance  Michel Sapin ce jeudi à Washington en raison de la solidité des contrats de concession signés par ces groupe. Le locataire de Bercy met ainsi un frein au projet de Ségolène Royal visant les bénéfices de ces sociétés. Comme Hollande Sapin pourrait auusi dire «  j’aime la finance ».  «Ma priorité reste le prélèvement du profit des autoroutes», avait peu avant déclaré la ministre de l’Ecologie alors que les sociétés concessionnaires d’autoroutes sont dans le viseur du gouvernement depuis la publication en septembre d’un rapport de l’Autorité de la concurrence, qui faisait état d’une situation de «rente».   L’une des pistes pour financer le manque à gagner de l’annulation de l’écotaxe est l’augmentation du prix du gazole de deux centimes par litre. Une piste privilégiée par le gouvernement contre l’avis de la ministre de l’Ecologie. . Sapin pointe donc du doigt la faille de son projet. «Les sociétés autoroutières ont bénéficié (…) de contrats extrêmement avantageux (…), extrêmement bien faits, ils prévoient que s’il y a une augmentation de fiscalité (…) il doit y avoir une compensation», a déclaré le ministre lors d’une conférence de presse à Washington  Sapin réduit la politique à pas grand chose si c’est uniquement appliquer les dispositions juridiques existantes. Compte tenu de l’énorme rentabilité des autoroutes la renationalisation devrait même être envisagée. Au moins une nationalisation dont on est certain qu’elle rapporterait au budget.

Bouygues Telecom : suppresion de 1500 emplois

Bouygues Telecom : suppresion de 1500 emplois

 

Bouygues Telecom a annoncé mercredi, à l’issue d’un comité d’entreprise exceptionnel, qu’il allait se séparer de 1.516 salariés soit près de 17% de ses effectifs. Le troisième opérateur mobile, dont l’offre de rachat de SFR a été repoussée en mai dernier au profit de Numericable, a affiché 19 millions d’euros au premier trimestre 2014. Le support informatique et la branche marketing sont les premiers secteurs touchés mais Bouygues assure que les boutiques et la relation clients seront épargnées. C’est le PDG de Bouygues Telecom Olivier Roussat en personne qui a tenu à présenter le plan économique de son entreprise : “Le constat a été dressé début janvier que le modèle économique de Bouygues Telecom, avec son organisation et sa structure de coûts actuelles, ne tourne plus”, a justifié le patron du troisième opérateur. Sur les 9.000 employés actuels, 1.516 sont concernés, sous la forme de départs volontaires ou bien d’un reclassement. Dans un communiqué, Bouygues Telecom a détaillé les secteurs de son entreprise qui seraient touchés par ces coupes : le support informatique et le marketing seront les premiers impactés par ces coupes d’effectifs. Mais “le plan de suppressions d’emplois ne concerne absolument pas les boutiques ni la relation clients”, a insisté Olivier Roussat. Début mai, des discussions pour un rapprochement entre Orange et Bouygues Telecom ont été évoquées par Les Echos. Puis ce fut au tour de Free d’offrir 4 à 5 milliards d’euros pour racheter son concurrent direct. Mais comme l’a confirmé le PDG de Bouygues Telecom, “les négociations n’ont pas abouti”. “Notre projet, c’est de faire un Bouygues Telecom qui vit durablement à quatre. Au présent, c’est le projet de Bouygues Telecom, je n’en ai pas d’autre”, a ajouté le patron de la filiale du groupe de BTP.

Baisse des impôts et suppresion du sénat….en Italie

Baisse des impôts et suppresion du sénat….en Italie

 

Non ce n’est pas en France mais en Italie. Baisse des impôts pour les plus pauvres et pour les PME, abolition du Sénat: le nouveau chef du gouvernement italien Matteo Renzi a présenté mercredi une série de mesures coup de poing pour faire prendre à l’Italie « le bon tournant ». Fidèle à son image de battant, il a affirmé qu’il jouait son avenir sur cette réforme constitutionnelle: « si je n’y arrive pas, je considèrerai non seulement mon expérience gouvernementale comme terminée mais aussi ma carrière politique ». Selon son mantra, la classe politique « doit donner l’exemple » et cette réforme signifierait « 315 parlementaires et autant de salaires en moins ».  Autre geste (plus immédiat) pour réduire les coûts de la politique, l’Etat vendra aux enchères d’ici la mi-avril 100 voitures de fonction de ministères.  Mais la mesure qui a le plus frappé les esprits a été l’annonce à grand renfort de « slides » (fiches projetées sur un écran) d’une baisse de l’impôt sur le revenu pour 10 millions de personnes, qui représentera un coût de 10 milliards d’euros pour l’Etat, « entièrement financé », selon M. Renzi.   »Pour nous, il est évident que mettre dans les poches des Italiens 1.000 euros nets en plus (sur un an) aidera à la consommation: c’est une mesure d’attention, d’équité, une mesure de portée historique », a annoncé le Premier ministre, en précisant que ces mesures bénéficieront aux plus pauvres et à la classe moyenne.  Critiquant les « polémiques » sur le financement de ces mesures, il a assuré que l’Italie respecterait le critère européen de 3% pour le rapport entre déficit et PIB. Les 10 milliards seront couverts par « des économies sur les dépenses (publiques), les conditions macroéconomiques générales (baisse des intérêts que doit payer l’Italie sur sa dette, ndlr), sans aucune augmentation des taxes », a-t-il garanti.  Matteo Renzi a confirmé vouloir faire prendre un « tournant » à l’Italie, dont le PIB a connu un léger mieux au dernier trimestre 2013 (+0,1%), après neuf trimestres consécutifs de récession, mais dont la reprise est encore fragile.  Des mesures sont aussi prévues pour les entreprises: abaissement de 10% de la taxe professionnelle (Irap) financé par une hausse de la taxation des rentes financières (passant de 20 à 26%), des fonds supplémentaires pour garantir les crédits aux PME, qui souffrent énormément de la crise, une baisse du coût de l’énergie pour les entreprises.  Le gouvernement injectera aussi de l’argent sonnant et trébuchant (68 milliards d’euros d’ici juillet) en accélérant le remboursement des dettes des administrations publiques à leurs fournisseurs privés.  Parallèlement, Matteo Renzi a annoncé des mesures pour relancer le marché de l’emploi alors que l’Italie a l’un des taux de chômage les plus importants en Europe (12,9%), notamment chez les jeunes actifs de 15-24 ans, avec un record de 42,4% en janvier.  Le gouvernement va réorganiser tout le système des aides sociales sur le principe d’une généralisation de l’indemnité chômage. Les contrats à durée déterminée pourront être prolongés jusqu’à 3 ans (actuellement un an au maximum) et l’apprentissage sera encouragé.  Autre mesure phare: 3,5 milliards d’euros budgétés et « à dépenser immédiatement » pour la rénovation des écoles dont beaucoup sont en très mauvais état. « L’école est l’endroit d’où on doit collectivement repartir pour sortir de la crise », a-t–il dit.




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