Archive pour le Tag 'supermarché'

Ukraine – La Russie cible un supermarché : 16 morts

Ukraine – La Russie cible un supermarché : 16 morts

 

Suite à un bombardement d’un supermarché qui a fait 16 morts 16 morts le président ukrainien a une nouvelle fois dénoncée l’atrocité de la guerre menée par la Russie. Pour eux (les Russes), c’est un plaisir de brûler », a déclaré dimanche le président Volodymyr Zelensky. « Nous savons tous à qui nous avons affaire. La Russie est gouvernée par des gens qui veulent que ce soit une norme de brûler des vies, de détruire des villes et des villages, de diviser les peuples et d’effacer les frontières nationales par la guerre. »

Une frappe russe sur un hypermarché de bricolage à Kharkiv, deuxième ville ukrainienne, a fait 16 morts, selon un bilan publié dimanche 26 mai par le gouverneur régional, Oleg Synegoubov. Ce dernier avait affirmé, à l’issue de la frappe qui a eu lieu samedi, qu’au moins six personnes avaient été tuées, qu’une quarantaine d’autres personnes avaient été blessées et que 16 manquaient à l’appel. Selon les pompiers, l’incendie, qui a été contenu, a brûlé 10 000 mètres carrés.

Selon le ministre de l’Intérieur ukrainien, Igor Klymenko, « des échantillons biologiques ont été prélevés sur 10 citoyens et leurs proches qui ont déjà contacté la police. Trois des victimes ont été identifiées. L’identification des (autres) corps est en cours ». Il a également précisé qu’il avait « fallu plus de 16 heures pour éteindre l’incendie dans l’hypermarché (…) provoqué par des frappes russes ciblées ».

« Pour eux (les Russes), c’est un plaisir de brûler », a déclaré dimanche le président Volodymyr Zelensky. « Nous savons tous à qui nous avons affaire. La Russie est gouvernée par des gens qui veulent que ce soit une norme de brûler des vies, de détruire des villes et des villages, de diviser les peuples et d’effacer les frontières nationales par la guerre. »

 

 

 

Supermarché : envolée des prix

Supermarché : envolée des prix

Officiellement d’après l’indice obsolète de l’INSEE les prix de l’alimentation ont bondi de 11 %. D’après d’autres études, les hausses se situent plutôt autour de 15 % voire 20%. En effet, faut ajouter des changements de marques, de conditionnement et même la diminution des contenus. En réalité les prix augmentent tout au long de la chaîne de production et on pourra le vérifier avec la hausse des profits de l’industrie alimentaire et de la grande distribution.

Dans les rayons des supermarchés, les prix poursuivent leurs envolées. Le panier sélectionné par le « 20 Heures » connaît un troisième mois consécutif d’augmentation à deux chiffres, avec 13,9 % de hausse, par rapport à novembre 2021. Une flambée des prix qui s’invite à table. En entrée : la salade connaît une hausse de 9,5 % et son assaisonnement à l’huile d’olive a bondi de plus de 41 %. Le verre et l’emballage sont en cause.

Le plat n’est pas non plus épargné, au contraire. Le prix du steak haché surgelé flambe de plus de 30 %, pour les pâtes, c’est 27 % de hausse sur les marques et pour les haricots, le prix est 20 % plus cher que l’an dernier. La pizza surgelée aussi coûte plus d’argent. C’est au dessert que l’inflation commence à légèrement ralentir avec une augmentation de 14 % pour les yaourts et de 15,7 % pour le café. Les négociations commerciales entre fabricants et distributeurs devraient amener l’envolée à se poursuivre.

Pour les moins favorisés qui gagnent par exemple moins de 900 € par mois, les dépenses contraintes peuvent atteindre jusqu’à 80 % du budget. Du coup, le poste consommation alimentaire est fortement réduit.La consommation alimentaire est l’une des principales variables d’ajustement pour compenser l’inflation que subissent les ménages.La baisse de consommation touche surtout les ménages très défavorisés, de l’ordre de 20 % de la population , mais aussi désormais les couches moyennes. D’après l’INSEE, la consommation alimentaire des Français est en recul continu sur les neuf premiers mois de l’année de près de 5%. . Il est plus facile de la réduire que son loyer ou ses abonnements. Ces consommateurs achètent des produits qui coûtent moins cher au kilo, substituent du soja à de la viande, renoncent aux produits sucrés.

Un sondage Elabe ne fait que confirmer le décalage entre le niveau de l’inflation autour de 6 % et l’augmentation du pouvoir d’achat environ de 3%, soit une perte de 3 points , soit au moins 1000 € par an par ménage. Selon un sondage* Elabe pour BFMTV, près des trois quarts d’entre eux (73%) ont déjà le sentiment que leur pouvoir d’achat s’est dégradé (+16 points en un an).

Pas une catégorie de la population ne semble cette fois épargnée. Ce sentiment de dégradation est ressenti tant par les cadres/professions intermédiaires (76%, +22 points) que les employés/ouvriers (73%, +19 points), les moins de 35 ans (67%, +25 points) que les 65 ans et plus (73%, +10 points).

Avec la hausse des prix, l’immense majorité des Français doit ainsi se priver. 85% des personnes interrogées disent devoir « se serrer la ceinture », dont 30% beaucoup et 55% un peu.
De plus en plus de renoncements

Un sentiment partagé par une très large majorité de Français au sein de toutes les catégories de population: 79% des cadres et 91% des catégories populaires se trouvent dans cette situation. Mais ce sont les catégories populaires (41% disent devoir beaucoup « se serrer la ceinture »), les 25-49 ans (41%)
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un nombre e croissant de Français assure devoir renoncer à des dépenses essentielles. Ainsi, plus d’un tiers a renoncé à acheter certains produits alimentaires (39%, +13 points).

Le succès des marques de distributeurs premier prix mais aussi moyen et haut de gamme, moins chères en moyenne de 30% que les grandes marques, illustre ce souci d’économies et pas seulement dans les catégories sociales les plus modestes. Le moral général des ménages mesuré par l’INSEE est tombé au plus bas depuis dix ans sur fond de dégradation des perspectives économiques .

2023 sera l’année d’une croissance quasi-nulle, voire négative, avec d’inévitables conséquences sur le pouvoir d’achat. Une éventuelle récession coïncidera avec le creux habituel de la consommation qui suit les fêtes de vingt d’années. Michel-Edouard Leclerc dit s’attendre à des achats qui se maintiennent pour décembre avant de plonger après Noël. A l’antenne de RMC le 8 novembre, celui qui fait office de porte-parole de la grande distribution a justifié son pessimisme en arguant d’une « inflation à deux chiffres ».
«
« A l’exception des 20% de ménages modestes qui peuvent connaître des situations très difficile y compris pour se nourrir, il n’y a pas de changement profond des rythmes de consommation, qui sont inscrits profondément dans nos vies, nos habitudes sociales », confirme l’économiste et historien spécialiste de l’inflation Michel-Pierre Chélini qui cite les épisodes d’inflation 1974-1975 et 1981-1983 suivis de rebonds systématiques de la consommation. « Dans les périodes d’inflation depuis 50 ans, il y a éventuellement de la consommation différée face à l’incertitude économique mais pas de destruction de la consommation », conclut-il; Peut-être un peu hâtivement car l’inflation malheureusement risque de durer!

Inflation et supermarché : Des augmentations jusqu’à 30 %

Inflation et supermarché : Des augmentations jusqu’à 30 %

D’après l’INSEE, l’augmentation moyenne des prix en supermarché serait de l’ordre de 10 %. La réalité pour ceux qui effectuent leur course dans les grands magasins est différente. On assiste en effet une vague d’envolée des prix de la plupart des produits y compris ceux qui n’ont rien à voir avec l’énergie ou encore la guerre en Ukraine.

Certes certains produits sont concernés par le contexte économique et géopolitique mais les producteurs et les distributeurs eux-mêmes en profitent pour glisser discrètement des hausses supplémentaires de sorte que l’augmentation moyenne dans la distribution est plus proche de 20 % que de 10 %.

Ainsi par exemple, les derniers chiffres du cabinet spécialisés NielsenIQ, les pâtes ont vu leur prix moyen en rayon bondir d’environ 20% en octobre sur un an (contre 18% en août dernier). L’huile – touchée par des pénuries ces derniers mois – est juste derrière, avec 19% d’inflation. Des hausses à mettre sur le compte de la flambée des cours des céréales depuis plusieurs mois, provoquée par la guerre en Ukraine mais aussi par l’épisode de sécheresse au Canada en 2021.
Déjà fortement inflationnistes ces derniers mois, les viandes et volailles surgelées sont la catégorie de produits qui a vu ses étiquettes le plus gonfler en un an. La hausse des prix atteint désormais près de 30% (28,6% précisément).

«Par rapport à septembre dernier, c’est l’univers du papier avec les essuie-tout (+6,29%) et le papier hygiénique (+4,84%) qui connaît les plus fortes hausses de prix», note le panéliste NielsenIQ. Ainsi, sur un an, l’essuie-tout devient le deuxième produit le plus inflationniste (+23%), quand le papier toilette se place cinquième (+18%). En cause, l’explosion du coût de la pâte à papier, qui subit les tensions sur le marché du bois, ainsi que la hausse des coûts de l’énergie et des coûts de transport.

Dans la suite du top 10, on retrouve le beurre, margarine, crème fraîche (+17%), les œufs (+15%), les légumes en conserve (+14%), les légumes secs (+14%) et les pains industriels frais (+13%).
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Rachi Dati veut être caissière dans un supermarché, du chic au toc !

Rachi Dati veut être caissière dans un supermarché, du chic au toc !

 

Dati, qui n’a guère de chances d’être candidate sérieuse à la Mairie de Paris, serait prête à quitter a jet’ set pour un poste de caissière dans un  supermarché. Déclaration toc évidemment de l’ancienne ministre au look chic .L’ancienne Garde des Sceaux a confié que si elle devait arrêter la politique, elle ne verrait aucun inconvénient à travailler comme caissière. Devant le nombre de réactions déclenchées par ses propos, la maire du VIIème arrondissement de Paris a déclaré les avoir tenus « en off » au magazine Challenges. Rachida Dati ne semble plus vraiment croire en ses chances pour briguer la Mairie de Paris aux élections municipales de 2014. Elle aurait même déjà songé à une reconversion plutôt inattendue. Dans une interview parue dans le magazine Challenges daté de ce jeudi, l’ancienne proche de Nicolas Sarkozy a déclaré que si elle devait « quitter la politique », elle pourrait « redevenir caissière dans un Franprix ». Et d’insister en précisant: « Ça ne me dérangerait pas. » L’ancienne ministre de la Justice a souvent affirmé avoir payé ses études grâce en travaillant. En 2009, Le Point avait enquêté sur les jobs étudiants de Rachida Dati et retrouvé ses anciens collègues du Prisunic (ancien Monoprix, ndlr). Ces derniers avaient alors affirmé l’avoir vu seulement en été « un mois, deux années de suite». Le groupe Casino, qui détient la marque Franprix, a réagit avec humour aux déclarations de Rachida Dati, en lui adressant un message sur Twitter. « On vous y accueillera avec plaisir », pouvait-on lire dans un tweet adressé à @datirachida. Mais celle-ci ne semble pas avoir vraiment apprécié l’ampleur de cette affaire. Après la publication de l’interview, le magazine Challenges affirme avoir été contacté par l’ancienne ministre qui pensait que la conversation concernée était « en off ».  Pour se justifier, l’hebdomadaire spécialisé en économie explique que c’est pour mettre en opposition le train de vie de Rachida Dati avec l’engagement qu’elle venait de prendre en cas de retrait de la vie politique. « .

 




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