Archive pour le Tag 'super'

Super profits mais baisse des salaires (l’OCDE)

Super profits mais baisse des salaires (l’OCDE)

Alors que les salaires ont continué de baisser de 4 % en euros constants, les marges parallèlement s’envolent d’après une étude de l’OCDE. Les entreprises de la plupart des pays affichent donc des profits suffisamment importants pour pouvoir absorber des hausses de salaires nécessaires à un environnement d’inflation élevé a déclaré l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) .

Les entreprises n’ont pas augmenté les salaires au même rythme que l’inflation dans 31 pays sur les 34 suivis dans le dernier rapport des perspectives de l’emploi, publié par l’organisme basé à Paris.

Une fois l’inflation prise en compte, les salaires ont chuté de 3,8% sur un an au premier trimestre 2023, celui des hongrois affichant la plus forte régression, en baisse de 15,6%, selon le rapport.

Si l’inflation a érodé le pouvoir d’achat des travailleurs, les profits des entreprises ont progressé plus rapidement que les salaires après la pandémie dans tous les pays suivis dans le rapport.

« Une crise du coût de la vie doit être partagée entre les gouvernements, les entreprises et les travailleurs », a déclaré Stefano Scarpetta, directeur de la direction de l’emploi, du travail et des affaires sociales (ELS) de l’OCDE.

« Il y a un peu de marge pour que les profits s’ajustent à des salaires plus élevés sans générer de spirale prix/salaires », a-t-il ajouté.

Ces augmentations de salaires varient en fonction des pays et des secteurs, a-t-il précisé.

Inflation : super bénéfices pour grandes entreprises et la facture pour les ménages !

Inflation : super bénéfices pour grandes entreprises et la facture pour les ménages !


Les bénéfices des grands entreprises progressent encore 200 au premier semestre 2023.Après les superprofits de 2022, ce sont les superprofits du premier semestre 2023 qui sont donc annoncés pour beaucoup d’entreprises. Des résultats qui ne sont pas dus simplement à la performance économique mais aussi à la spéculation sur l’inflation finalement payée doublement par les ménages; par l’augmentation des prix d’une part, par la baisse pouvoir d’achat d’autre part.

Les entreprises françaises du CAC40 se portent très bien : en 2022, grâce aux records du luxe et de l’énergie, elles ont généré 142 milliards d’euros de bénéfices cumulés.

Le chiffre d’affaires de ces entreprises atteint 1.729 milliards d’euros, selon un décompte de l’AFP, en hausse de 19 % sur un an, grâce aux ventes gonflées par l’inflation pour de nombreux groupes. Le bénéfice net recule de 9 % par rapport aux près de 156 milliards de 2021, année marquée par le résultat hors norme de près de 25 milliards de Vivendi en raison d’une cession. En 2022, le géant de médias est même passé dans le rouge, affichant avec 1 milliard d’euros la pire perte du CAC40.

Comme les bénéfices, les reversements aux actionnaires progressent, sous une pluie de critiques reprochant aux entreprises de ne pas verser autant aux salariés, ni d’en faire assez pour le climat. Aucun groupe du CAC40 n’a annoncé baisser son dividende alors que ceux-ci avaient déjà atteint un record en 2022, en France (56,5 milliards d’euros) et dans le monde (1.560 milliards de dollars).

Les résultats pour 2023, l’annonce des résultats confirme la vague de superprofits finalement payée par les ménages

Super profits: Macron découvre la lune

Super profits: Macron découvre la lune


Incroyable, Macron acculé reconnaît que beaucoup de multinationales ont fait des super profits qui méritent d’être taxés et de contribuer ainsi à financer les retraites. Une découverte tardive. Pourtant en 2023 il s’agit d’une somme tournant autour de 80 milliards dont 25 milliards pour le rachat d’actions. Une paille ou plutôt un record !

Grâce à la politique monétaires accommodantes qui a déversé des milliards gratuits sans condition, nombre d’entreprises ont profité de la situation pour augmenter sans raison leur prix. C’est la véritable origine de l’inflation avec la question de l’énergie.

En réponse à la « colère » des opposants à la réforme des retraites. Le président de la République, Emmanuel Macron, a annoncé mercredi 22 mars avoir demandé à son gouvernement de travailler « à une contribution exceptionnelle des entreprises » ayant enregistré des bénéfices records .

Les grandes entreprises ayant réalisé des bénéfices tels qu’elles peuvent racheter leurs actions et ainsi rémunérer les actionnaires doivent « distribue[r] davantage à leurs salariés », a assuré Emmanuel Macron, lors de son interview à France 2 et TF1, pointant le « cynisme » de certaines d’entre elles. Quelle forme prendra cette contribution ? « Il faut trouver la bonne technique » !!!, a-t-il répondu.

Les députés Renaissance et l’exécutif « réfléchissent » aussi depuis plusieurs mois à un « dividende salarié », une promesse de campagne d’Emmanuel Macron. « Quand il y a une augmentation du dividende chez les actionnaires, il doit y avoir la même chose pour les salariés », avait résumé le président de la République, fin octobre, lors de sa participation à l’émission « L’Evènement » sur France 2.

Super profits : Macron ment !

Super profits : Macron ment !

Avec d’un côté la multiplication des superprofits des multinationales et de l’autre l’amputation du pouvoir d’achat des salariés, on assiste à une vaste opération anti redistributive via l’inflation. Il y a quelques jours à la télévision Macron interrogé sur les supers profits notamment de Total a osé affirmer que cette entreprise multinationale ne faisait pas un euro de bénéfice en France et que l’essentiel des profits venait d’activités à l’international.

Effectivement la majeure partie de l’activité de Total se développe au niveau international. Cependant Total assure aussi une activité en France qui est nettement bénéficiaire. Le problème comme pour la plupart des multinationales c’est qu’on procède à des transferts fiscaux qui permettent d’échapper aux impôts dans les pays à forte fiscalité. La technique comptable est classique, il s’agit d’externaliser les profits dans les pays à faible fiscalité ou même sans fiscalité du tout et inversement d’internaliser des couts dans les pays à haut niveau d’impôts.

Il n’est pas étonnant que Macron soutienne ce mécanisme, lui l’ancien banquier au service de la finance.
L’argument de Macron vise d’une part à s’opposer à la mise en place d’une taxation des super profits en même temps de s’opposer aussi à un rattrapage des salaires et revenus sur l’inflation. Bref, un immense transfert financier anti redistributif.

Les Français payent la note avec l’inflation et les multinationales encaissent les dividendes de la même inflation car les superprofits de Total sont surtout du à la hausse des cours de l’énergie notamment du gaz.

Le groupe pétrolier français TotalEnergies a annoncé jeudi 27 octobre 2022 que son bénéfice s’était encore envolé de 43 % au troisième trimestre par rapport au même trimestre de 2021, et s’établissait à 6,6 milliards de dollars.

Les 6,6 milliards de dollars de bénéfices annoncés par TotalEnergies pour le troisième trimestre s’ajoutent aux 5,7 milliards du deuxième trimestre et aux 4,9 milliards du premier trimestre. En 2022, TotalEnergies a déjà réalisé en neuf mois plus de bénéfices que sur l’année 2021 entière. Et le quatrième trimestre 2022 devrait encore creuser l’écart.

La plupart des grandes multinationales annoncent aussi des profits exceptionnels pour l’année 2022 grâce à la spéculation qui consiste à profiter et à alimenter l’inflation. À défaut d’une taxe sur les superprofits, on impose une dévaluation du pouvoir d’achat des ménages. Bref, une vaste opération anti redistributive.

Super profit de TotalEnergies : Macron ment

Super profit de TotalEnergies : Macron ment !

Il y a quelques jours à la télévision Macron interrogé sur les supers profits de Total a osé affirmer que cette entreprise multinationale ne faisait pas un euro de bénéfice en France et que l’essentiel des profits venait d’activités à l’international.

Effectivement la majeure partie de l’activité de Total se développe au niveau international. Cependant Total assure aussi une activité en France qui est nettement bénéficiaire. Le problème comme pour la plupart des multinationales c’est qu’on procède à des transferts fiscaux qui permettent d’échapper aux impôts dans les pays à forte fiscalité. La technique comptable est classique, il s’agit d’externaliser les profits dans les pays à faible fiscalité ou même sans fiscalité du tout et inversement d’internaliser des couts dans les pays à haut niveau d’impôts.

Il n’est pas étonnant que Macron soutienne ce mécanisme, lui l’ancien banquier au service de la finance.
L’argument de Macron vise d’une part à s’opposer à la mise en place d’une taxation des super profits en même temps de s’opposer aussi à un rattrapage des salaires et revenus sur l’inflation. Bref, un immense transfert financier anti redistributif.

Les Français payent la note avec l’inflation et les multinationales encaissent les dividendes de la même inflation car les superprofits de Total sont surtout du à la hausse des cours de l’énergie notamment du gaz.

Le groupe pétrolier français TotalEnergies a annoncé jeudi 27 octobre 2022 que son bénéfice s’était encore envolé de 43 % au troisième trimestre par rapport au même trimestre de 2021, et s’établissait à 6,6 milliards de dollars.

Les 6,6 milliards de dollars de bénéfices annoncés par TotalEnergies pour le troisième trimestre s’ajoutent aux 5,7 milliards du deuxième trimestre et aux 4,9 milliards du premier trimestre. En 2022, TotalEnergies a déjà réalisé en neuf mois plus de bénéfices que sur l’année 2021 entière. Et le quatrième trimestre 2022 devrait encore creuser l’écart.

Super bénéfice de TotalEnergies : Macron ment !

Super bénéfice de TotalEnergies : Macron ment !

Il y a quelques jours à la télévision Macron interrogé sur les supers profits de Total a osé affirmer que cette entreprise multinationale ne faisait pas un euro de bénéfice en France et que l’essentiel des profits venait d’activités à l’international.

Effectivement la majeure partie de l’activité de Total se développe au niveau international. Cependant Total assure aussi une activité en France qui est nettement bénéficiaire. Le problème comme pour la plupart des multinationales c’est qu’on procède à des transferts fiscaux qui permettent d’échapper aux impôts dans les pays à forte fiscalité. La technique comptable est classique, il s’agit d’externaliser les profits dans les pays à faible fiscalité ou même sans fiscalité du tout et inversement d’internaliser des couts dans les pays à haut niveau d’impôts.

Il n’est pas étonnant que Macron soutienne ce mécanisme, lui l’ancien banquier au service de la finance.
L’argument de Macron vise d’une part à s’opposer à la mise en place d’une taxation des super profits en même temps de s’opposer aussi à un rattrapage des salaires et revenus sur l’inflation. Bref, un immense transfert financier anti redistributif.

Les Français payent la note avec l’inflation et les multinationales encaissent les dividendes de la même inflation car les superprofits de Total sont surtout du à la hausse des cours de l’énergie notamment du gaz.

Le groupe pétrolier français TotalEnergies a annoncé jeudi 27 octobre 2022 que son bénéfice s’était encore envolé de 43 % au troisième trimestre par rapport au même trimestre de 2021, et s’établissait à 6,6 milliards de dollars.

Les 6,6 milliards de dollars de bénéfices annoncés par TotalEnergies pour le troisième trimestre s’ajoutent aux 5,7 milliards du deuxième trimestre et aux 4,9 milliards du premier trimestre. En 2022, TotalEnergies a déjà réalisé en neuf mois plus de bénéfices que sur l’année 2021 entière. Et le quatrième trimestre 2022 devrait encore creuser l’écart.

Fiscalité États-Unis : une nouvelle taxe sur les super riches

Fiscalité États-Unis : une nouvelle taxe sur les super riches

 

Le président Biden propose une sorte de taxe sur le patrimoine des plus riches ( Un impôt sur la fortune revisité !). dans le cadre de son projet de budget pour l’année fiscale 2023;  une forme innovante de taxation des plus-values non réalisées par les Américains les plus riches. Moins de 20.000 foyers de multimillionnaires auraient à prépayer des impôts sur leur patrimoine, notamment en valeurs boursières. Le Trésor souhaite obliger les foyers au patrimoine de plus de 100 millions de dollars à payer au minimum 20% de leurs revenus en impôts. Le fisc américain dégagerait ainsi 360 milliards de dollars de recettes supplémentaires sur 10 ans, selon l’estimation de la Maison-Blanche.

Carburants: le super sans plomb à 1,60 €

 

 

Les prix à la pompe ne cessent d’augmenter en raison de la crise économique.. Le litre de gazole valait 1,43 euro en moyenne la semaine dernière et celui de super sans plomb 1,58 euro, selon les chiffres officiels du ministère de la Transition écologique. Cela représente une hausse de 12 % et de près de 16 % respectivement depuis le début de l’année. «Les prix des carburants ont fortement progressé en juin et en juillet, tirés par le cours du baril de brent, qui s’est hissé à 73 puis à 74 dollars le baril respectivement, en moyenne, sur ces deux mois», souligne Alberto Balboni, économiste chez Xerfi. Ces derniers jours toutefois des interrogations ont émergé à propos de la solidité de la reprise et on a commencé à constater un tassement des prix à la production mais qui évidemment ne se répercute pas encore à la pompe. Les prix devraient ensuite se stabiliser d’ici la fin de l’année.

Macron joue super toubib pour les plus de 80 ans

Macron joue super toubib pour les plus de 80 ans

 

 En dépit des critiques de l’agence européenne de santé, Macron persiste dans son intention de lancer une campagne de vaccination pour les personnes âgées avec une troisième dose dès la fin de l’année. Macron qui ne doute pas de ses compétences de scientifiques s’engage dans une voie démagogique particulièrement inquiétante. Plus l’élection présidentielle va se rapprocher et plus Macron risque de jouer les aventuriers médicaux. Pour récupérer quelques voix il sera prêt à promettre tout et n’importe quoi.

Le pire évidemment c’est que certains scientifiques en quête de reconnaissance et qui mange dans la gamelle politique soutiennent de façon très ambiguë la position du président de la république. Ainsi, Olivier Guérin, gériatre au CHU de Nice et membre du Conseil scientifique avait rédigé le rapport rendu au Président début juillet sur cette troisième dose. « Il est important d’utiliser le terme de rappel car le schéma vaccinal classique comporte toujours bien deux doses, explique-t-il. Certaines personnes avec des pathologies ou des traitements spécifiques en ont déjà reçu une troisième. Ce qui est en jeu aujourd’hui c’est un rappel pour les plus de 80 ans qui sont aussi ceux à avoir été vaccinés les premiers, dès le mois de janvier».

Le type de déclaration tordue qui s’accommode de la tambouille politique avec les nécessités sanitaires. Il est en effet évident que ceux qui ont été vaccinés dès janvier mériteront une troisième dose un an après. Mais c’est autre chose que de prévoir des maintenant une troisième dose générale tous les plus de 80 ans dont certains n’ont été vaccinés qu’en avril mai ……ou pas du tout.

Super Ligue Foot : pour une élite autoprotégée ?

 

 

Frank McCourt, « propriétaire » de l’Olympique de Marseille estime qu’il  ne faut pas laisser des intérêts puissants fausser la concurrence, souligne, dans une tribune au « Monde ».

 

Tribune Ces derniers jours, le monde du football a assisté à la tentative d’un groupe de clubs d’élite décidés à prendre le contrôle de ce sport. Leur volonté affichée était de s’arroger le pouvoir, de multiplier leurs revenus en dressant des barrières pour protéger leurs membres contre la concurrence ouverte et la participation démocratique. Devant la réprobation des autres équipes, des responsables politiques et, surtout, des supporteurs, la Super Ligue européenne s’est effondrée.

Ce que montre ce projet ne concerne pas seulement le football. Il s’agit du capitalisme et de la démocratie. La question posée est de savoir si nous nous dressons contre les tentatives de concentration de la richesse et du pouvoir. Cette question est d’une importance cruciale, car si le tollé contre cette tentative de coup d’Etat dans le football a été immédiat et bénéfique, nous avons déjà assisté, dans un autre secteur, à la manière dont un groupe d’intérêts privés, puissant et fortuné, peut truquer le système pour le soumettre à son bon vouloir, sans opposition.

Truquer le système

En moins de deux décennies, quelques grandes entreprises de la Silicon Valley ont progressivement pris le contrôle des systèmes que nous utilisons pour partager des informations, transmettre des données et interagir avec nos proches. Elles l’ont fait avec un succès alarmant, en accédant à des quantités colossales d’informations et en imposant leurs règles au marché. Bien que des utilisateurs, des organisations ou des responsables publics aient tenté, de manière isolée, de mettre un frein aux excès anticoncurrentiels et antidémocratiques de l’industrie technologique, des entreprises comme Google et Facebook continuent d’exercer une influence presque sans entrave sur le marché.

 

Ce n’est pas la moindre menace. A une époque où nos vies se développent de plus en plus en ligne, les entreprises et les infrastructures technologiques sont au centre de tout ce que nous faisons, leurs activités alimentent notre économie. Leurs fonctions dans les réseaux sociaux définissent les termes de notre espace public.

Les protocoles techniques, qui régissent le fonctionnement de ces entités, finissent par bénéficier aux entreprises privées monopolistiques plutôt qu’aux utilisateurs eux-mêmes. Ils excluent la concurrence économique et exploitent nos données afin de maintenir leur emprise économique. Ils empoisonnent notre participation à la conversation citoyenne en offrant aux utilisateurs un flux constant de théories du complot, de radicalisme et d’idéologie violente pour faire le buzz et en tirer un profit commercial.

Foot-Projet de Super Ligue : le triomphe de l’argent ?

Projet de Super Ligue : le triomphe de  l’argent ? 

Un papier du Monde souligne la tyrannie du fric dans le football. 

Pour augmenter leurs revenus, douze clubs de football européens veulent créer une compétition concurrente de la Ligue des champions, organisée par l’UEFA. Cette intention purement mercantile réduit les amateurs de football à de simples clients.

 

Editorial du « Monde ». En 1990, l’attaquant anglais Gary Lineker définissait ainsi le football : « Un jeu simple : vingt-deux joueurs se disputent un ballon pendant quatre-vingt-dix minutes, et à la fin c’est l’Allemagne qui gagne. » La formule a vieilli et pourrait évoluer avec le projet de création d’une Super Ligue européenne qui menace de dynamiter l’organisation des compétitions sur le Vieux Continent. Le football se jouerait toujours à onze contre onze, mais avec l’argent, désormais, en éternel vainqueur.

 

Que la finance soit au cœur de ce sport n’est pas une nouveauté. Contrats mirifiques, droits de retransmission astronomiques… voilà bien longtemps que le ballon rond est une histoire de gros sous. Néanmoins, un palier est sur le point d’être franchi avec l’initiative annoncée, lundi 19 avril, par douze clubs très puissants. Leur but : faire sécession d’avec l’Union européenne des associations de football (UEFA), le « gouvernement » du football continental, en créant une compétition en lieu et place de la Ligue des champions, une compétition insuffisamment lucrative à leurs yeux.

A ce stade, trois clubs espagnols (Real Madrid, FC Barcelone, Atlético Madrid), six anglais (Manchester United, Arsenal, Chelsea, Liverpool, Manchester City et Tottenham) et trois italiens (Juventus, Milan AC, Inter Milan) entendent devenir à la fois acteurs et organisateurs d’un spectacle censé générer davantage de revenus, que se partageront un plus petit nombre de bénéficiaires. Les Français et les Allemands manquent à l’appel, le Paris – Saint-Germain et le Bayern Munich ayant refusé de participer à la fronde.

Elite autodésignée

En restreignant encore davantage l’accès à l’élite continentale, la Super Ligue donnerait naissance à un entre-soi qui ferait perdre à la compétition l’un de ses attraits : la possibilité qu’un faible puisse se mesurer à un puissant. Elle signifierait la fin de la qualification au mérite, en excluant 99 % des clubs européens au profit d’une élite autodésignée sur le seul critère de l’argent. L’organisation pyramidale du football, qui garantit un certain degré de solidarité entre le sommet et la base, serait déstabilisée.

Dès lors, quel intérêt auraient les clubs d’une seconde zone qui ne dit pas son nom à continuer de financer un centre de formation, à recruter de nouveaux joueurs, à faire appel à des investisseurs pour les aider à rêver d’une ascension désormais impossible ?


Les promoteurs de ce barnum élitiste se sont visiblement inspirés des Etats-Unis. Ce n’est pas un hasard si quatre frondeurs (Manchester United, Arsenal, Liverpool et Milan AC) ont des propriétaires américains et si c’est une banque de Wall Street, JPMorgan, qui assurera le financement. Leur Super Ligue serait un calque des franchises de basket ou de football américain, des équipes richissimes qui s’affrontent sans risque de relégation. Contrairement au sport, le business déteste le suspense et l’imprévisibilité, et préfère les revenus récurrents.

Alors qu’une négociation demeure possible dans les mois à venir, un espoir subsiste, tant ce projet est contesté par certains joueurs, de nombreux clubs et bien des responsables politiques. Surtout, il est rejeté par une large majorité des supporteurs, y compris dans les clubs concernés, par exemple à Liverpool. En Angleterre comme partout, ceux qui vont au stade de génération en génération aiment ce sport pour sa part d’incertitude et de rêve. Ce projet, ils le savent mieux que personne, se fait au mépris du public, plus que jamais réduit au simple rôle de « client », et ne doit donc pas voir le jour.

La Super Ligue, foot : terminé pour l’instant du moins pour l’instant

La Super Ligue, foot : terminé pour l’instant du moins pour l’instant

 

 

Il est clair que ce sont surtout les clubs langues anglais et leurs supporters qui ont fait capoter ce projet de Super liguent du foot qui prévoyait une sorte de championnat européen pour une vingtaine de clubs les plus huppés et les plus prestigieux. La réplique des institutions officielles et des gouvernements contre ce projet a été forte puisqu’on a même envisagé l’exclusion de toute compétition des clubs impliqués dans ce projet de Super ligue.

 

Reste cependant que ce projet mis entre parenthèses renaîtra un jour ou l’autre. L’enjeu est sportif mais peut-être encore davantage financier. Depuis que les clubs appartiennent à peu près tous à des capitaux privés, les investisseurs veulent rentabiliser leurs activités. Pour cela ils acquièrent des joueurs à prix d’or pour des centaines de millions. Des joueurs ensuite payés 2à 3 millions par mois. Au total la masse salariale dépasse la totalité des autres dépenses. D’où l’impérieuse nécessité trouvait plus en plus de ressources financières pour faire face à cette dérive des dépenses.

 

Du coup l’union européenne du football entre parenthèses UE FA) a aussi promis une grande réforme pour moderniser et rendre plus attrayante la compétition actuelle qui concerne environ 70 clubs.

 

De toute manière quoiqu’on en dise le football de l’élite n’a rien à voir avec le football de base des nombreux petits clubs qui ne fonctionnent que grâce bénévolat. Le football de l’élite est engagé dans une spirale financière folle où tout est démesure. De plus en plus les grands clubs ne sont que des équipes de mercenaires et l’amour du maillot est bien relatif. Les présidents, les entraîneurs et les joueurs valsent au gré des humeurs, des résultats et des difficultés financières.

Les organisations internationales auraient intérêt à prendre en compte aussi le fait que les jeunes de 15 à 25 ans s’intéressent beaucoup moins au football que les autres générations en raison peut-être du caractère un peu insipide de nombre de rencontres où les joueurs passent davantage leur temps à passer le ballon en arrière qu’à le diriger vers le but adverse.

 

Projet Super ligue de foot. Le patron de l’UEFA condamne

Projet Super ligue de foot. Le patron de l’UEFA condamne

On comprend que le patron de l’union européenne du football ( UEFA) condamne le projet de super ligue du foot européen qui remettrait évidemment en cause le fonctionnement voir même l’existence de l’institution actuelle. Il faut dire que c’est institution européenne n’a pas fait montre d’une grande innovation, sans parler des affaires financières parfois pas très claires ( comme celle de l’organisation internationale FIFA);  c’est aussi un excellent lieu de pantouflage bien rémunéré pour nombre de dirigeants en mal existentiel.

Lors d’une conférence de presse, le président de l’UEFA a condamné et menacé clairement les initiateurs du projet de ligue de foot européen. ( Notons que sur le plan juridique les institutions européennes auront du mal à contester le bien-fondé de l’initiative des 12 clubs vis-à-vis de ce projet élitiste). Interview du président de l’UEFA.

Quelle est votre réaction à l’annonce d’un projet de Super Ligue ?
Le plateau de la Ligue des champions est déterminée par la qualification des uns et des autres au mérite, et non selon la voracité de quelques privilégiés. C’était notre décision depuis le départ. Chaque club, et donc chaque fan de football doit pouvoir rêver un jour disputer cette compétition basée sur les résultats obtenus sur la pelouse. Le monde du football doit donc rester uni face à cette honteuse tentative de s’approprier à des fins purement personnels et mercantiles. Certains dirigeants ont montré leurs vrais visages, dictés uniquement par la recherche du profit et rien d’autre. Et il n’y a pas que le monde du football qui est uni, mais toute la société, les gouvernements…  Ce projet est un non-sens. Toutes les ligues professionnelles, y compris la Premier League, la Liga et la Serie A, s’opposent à ce projet cynique. C’est aussi le cas de la Fifa. Nous estimons que notre réforme des compétitions européennes, à commencer par celle de la ligue des champions, possède tout ce dont a besoin le football pour évoluer dans le bon sens. Le nouveau format respecte toutes les valeurs que l’UEFA défend depuis toujours, ainsi que toutes les structures qui composent le football sur le plan européen. Et pour moi, ce projet de Super Ligue est un crachat au visage de tous les amoureux du football, et à notre société. Nous ne les autoriserons pas à nous ôter toutes nos valeurs.

L’UEFA peut-elle organiser une Ligue des champions sans ces 12 clubs dissidents ?
Oui, bien entendu. Il y a beaucoup d’excellents clubs en Europe, et beaucoup de fans d’autres clubs. En 2024, nous organiserons la Ligue des champions avec son nouveau format, avec ou sans ces 12 clubs.

La joie du vestiaire parisien après avoir éliminé le Bayern Munich en quart de finale de Ligue des champions le 13 avril dernier

A quelles sanctions s’exposent ces clubs dissidents et à partir de quand ?
Nous continuons à évaluer la question avec notre équipe juridique. C’est un peu tôt pour vous répondre clairement car le communiqué a été rendu public cette nuit et nous n’avons pas forcément une solution dès le lendemain. Mais nous allons réfléchir à toutes les sanctions possibles et qui relèvent de nos compétences. A mon avis, le plus tôt possible, il faudra que ces équipes soient exclues de toutes nos compétitions, et leurs joueurs aussi.

Une exclusion est-elle réellement envisageable d’un point de vue juridique ?
Déjà, je tiens à préciser qu’il s’agit d’une exclusion de nos compétitions. Après, si aujourd’hui il y a quelque chose qui va à l’encontre de tout ce qui existe, c’est bien la Super Ligue. Donc je crois que c’est d’abord à eux de régler leurs problèmes juridiques. Après, en ce qui nous concerne, nous verrons… Peut-être avons-nous été de grands naïfs. Nous ne savions pas que nous avions des menteurs parmi nous, mais désormais nous le savons et nous allons prendre rapidement des mesures juridiques.

 

Il y a deux semaines encore, vous avez décalé l’annonce du nouveau format car vous négociez encore avec les clubs, notamment les 12 dissidents. Vous sentez-vous trahi, notamment par Andrea Agnelli, le président de la Juventus Turin et membre du comité exécutif de l’UEFA ?
J’ai vu bien des choses dans ma vie d’avocat pénaliste pendant 20 ans. Mais je n’ai jamais vu des gens se comporter de cette manière. Par exemple, j’ai eu jeudi dernier au téléphone Ed Woodward ( le directeur général de Manchester United) qui m’a dit la semaine dernière qu’il était très satisfait de la réforme des compétitions, qu’il y était totalement favorable, et qu’il voulait simplement évoquer le fair-play financier. Mais de toute évidence, il avait déjà signé autre chose. Pour ce qui est d’Andrea Agnelli, je dois dire que c’est sans doute ma plus grande déception. Je ne veux pas faire de remarque personnelle, mais je n’ai jamais vu une personne qui ment de manière aussi persistante. C’est incroyable, je lui ai parlé samedi après-midi. Il m’a dit de ne pas m’inquiéter, que ce n’était que des rumeurs, qu’il ne se passait rien et il m’a ensuite dit qu’il me rappellerait plus tard. Et le lendemain, on a vu paraitre le communiqué. Je n’avais jamais vécu cela dans ma vie. Visiblement, leur cupidité est tellement forte qu’elle écrase toutes les valeurs humaines. Mais maintenant, je sais qui est qui, et le monde entier le sait. Ces gens-là adhéraient à nos réformes vendredi, et je n’ai pas besoin d’en dire plus à leur sujet…

Après une telle trahison, pensez-vous encore pouvoir faire confiance à quelqu’un dans le monde du football ?
Attention, j’ai aussi rencontré énormément de personnes formidables dans le monde du football. Il y a des personnes en qui j’ai toute confiance. Par exemple, j’ai une totale confiance dans les clubs français et allemands, qui ont résisté aux sirènes financières de cette Super Ligue. J’ai confiance en mon équipe. Le monde du football n’est pas entièrement corrompu et pourri. Il s’agit d’une petite partie de ce milieu qui est guidée par l’appât du gain au détriment de toute autre considération. Ces personnes n’ont aucun intérêt pour les fans, ni pour le jeu lui-même d’ailleurs. Certains propriétaires de clubs changent d’équipe dirigeante comme vous et moi nous changeons de chemise. Ils ont les yeux fixés sur leur chiffre d’affaires, pas sur leur nombre de points au classement. C’est un monde curieux. Mais encore une fois, j’ai aussi rencontré beaucoup de personnes très bien.

Connaissez-vous la position du président de la FIFA, Gianni Infantino ?
J’ai parlé à M. Infantino et il a apporté son soutien total à l’UEFA. Il sera là ce mardi pour le congrès de l’UEFA et il affirmera publiquement son opposition à ce projet de Super Ligue.

Quelle peut être la suite désormais ? Le divorce est-il définitif avec ces 12 clubs ?
Nous n’allons pas entamer de négociations avec les membres de ce projet fantôme. Ils voulaient discuter avec nous de manière urgente, mais cela n’a rien d’urgent. Je ne dis pas qu’ils sont bannis à jamais du football européen. La façon dont ils ont agi est totalement déplacée, et tout le monde le sait. Mais s’ils veulent revenir très bien. J’ai lu un entretien de M. Agnelli dans la presse et il évoquait notre réforme de la Ligue des champions comme étant «un projet fantastique». S’il veut revenir dans ce projet fantastique, il est le bienvenu.

Que faut-il qu’ils vous disent pour qu’ils soient les bienvenus ? Que voulez-vous entendre de leur part ?
Il n’y a rien de personnel, même si ce n’est pas un secret que je suis proche d’Agnelli (il est le parrain de sa fille). Je n’exige pas qu’ils reviennent vers nous à genoux, en implorant notre pardon. Pas du tout. Je demande à ce qu’ils respectent l’institution et les autres. Personnellement, je n’aime pas les querelles, et je n’en veux pas. Mais comme je l’ai dit, s’ils veulent revenir à «un projet fantastique», ils seront les bienvenus.

 

Combien remportera le vainqueur de la Ligue des Champions en 2024 ? Et quel impact la crise sanitaire a-t-elle eu selon vous sur ce projet de Super Ligue ?
Je ne veux pas parler de chiffre, mais il y a une chose que je peux vous dire : ce projet de super Ligue a commencé bien avant l’apparition du Covid-19. Ce projet mijote depuis de nombreuses années. Les dirigeants de ces clubs auraient pu en parler avec nous. Nous sommes toujours ouverts au dialogue. Nous avions même eu des échanges intéressants. Mais après, quand vous vous heurtez à l’égoïsme et au narcissisme de certains, que voulez-vous faire ?

Que répondez-vous à ceux qui estiment que l’UEFA poursuit le même objectif financier que les 12 clubs dissidents ?
L’UEFA distribue quasiment 90% de ses revenus au jeu, non pas seulement aux professionnels mais au football amateur également, au football féminin, aux équipements sportifs… Nous avons une fondation qui réalise des grandes actions. La super Ligue est un projet qui ne s’intéresse qu’à l’argent. Ce n’est pas le cas de l’UEFA. L’UEFA veut développer le football et veut financer ce qui doit l’être. Certaines personnes ne le comprennent pas. Pour certains, la solidarité n’existe pas. L’unité n’existe pas. La seule chose qui existe, ce sont leurs poches pleines. Le football est devenu le sport numéro 1 au monde en s’appuyant sur des compétitions ouvertes, intègres et basées sur le mérite. Nous n’autoriserons aucun changement sur le sujet, jamais.

Super ligue de foot : un projet incontournable dès lorsque les clubs sont détenus par des capitaux privés

Super ligue de foot : un projet incontournable dès lorsque les clubs sont détenus par des capitaux privés

 

 

Il n’est pas certain que le projet de super ligue de foot aboutisse rapidement compte tenu des fortes oppositions des superstructures internationales de football mais aussi de certains pays. Reste que le foot, première activité sportive, suivie par les supporters du monde entier a changé de visage quand les capitaux privés ont mis la main sur les clubs. Beaucoup de ces clubs d’ailleurs sont maintenant cotés en bourse.

Dès lors  juridiquement il paraît impossible de s’opposer à la liberté dont disposent des acteurs du secteur privé d’organiser les activités. Certains objecteront qu’il s’agit surtout d’une affaire financière et c’est effectivement aussi le cas même si l’intérêt sportif est également présent.

Comment en effet maintenir le précis des grands clubs condamnés à recruter les meilleurs joueurs et à les payer entre 1 et 2 millions voire davantage par mois. La masse salariale des clubs en général dépasse même la moitié des dépenses globales. En outre, la crise sanitaire a opéré une ponction significative des ressources habituelles du football qu’il faut compenser.

Concernant la France qui semble pour l’instant ne semble pas favorable à cette perspective, elle ne pourra s’opposer longtemps à ce projet. En effet,  le foot national est souvent insipide quant à son niveau et n’est rehaussé que qu’à l’occasion de confrontation internationale soit des clubs soit de l’équipe de France.

Si ce projet devait voir le jour ,la France pourrait tout au mieux être présente dans la super ligue avec 2 clubs à savoir Paris et Lyon. Tous les autres sont loin d’être du niveau européen. De toute manière,  l’organisation du football européen devra sérieusement évoluer dans la mesure où il est démontré que les plus jeunes de 15 à 25 ans s’intéressent beaucoup moins que leurs aînés avec spectacle footballistique souvent trop soporifique.

 

Super Ligue de football : soutien de la Bourse

Super Ligue de football : soutien de la Bourse

 

Le projet de super ligue de football est bien entendu un projet sportif tout autant qu’un projet financier. Cela d’autant plus que la crise sanitaire a porté un rude coup aux ressources des clubs. Les grands du football européen veulent créer des spectacles qui attirent l’audience mondiale, celle de l’Europe bien sûr mais aussi et surtout celle de l’Asie. Il s’agit d’augmenter l’assiette des contributions notamment des télévisions et la répartir de manière plus favorable au club. Des grands clubs qui pour maintenir leur niveau sont contraints de payer des stars plus d’un million par mois parfois deux voir trois.

Une sorte de course folle car le salaire des joueurs dans ces clubs dépassent de loin les autres dépenses. De son côté ,l’union européenne UEFA veut garder la mainmise sur l’organisation qui intègre actuellement environ 70 clubs pour la compétition européenne.

Ce projet suscite l’intérêt des financiers et de la Bourse. Les cours boursiers de la Juventus de Turin et de Manchester United se sont envolés lundi après l’annonce de la création d’une Super Ligue, lucrative compétition privée fondée par douze clubs dissidents et vouée à supplanter la Ligue des champions.

Le cours de la Juventus de Turin, cotée à la Bourse de Milan, a pris 17,85% à 0,9110 euros à la clôture des échanges. Coté à la Bourse de New York, le titre de Manchester United a pris 6,74% dollars à 17,26 dollars. Les autres clubs dissidents ne sont quant à eux pas cotés en Bourse.

À l’inverse, les principaux clubs européens cotés mais non membres de ce club privé, ont eux clôturé entre stabilité et baisse: l’Olympique Lyonnais, coté à la Bourse de Paris, a perdu 2,10% à 2,33 euros, et l’AS Roma, cotée à Milan, a pris 0,17% à 0,2870 euros.

 

Après des décennies à agiter le spectre d’un schisme, les grands  du continent, Real Madrid, Liverpool ou Manchester United en tête, ont franchi le pas en créant une société privée, baptisée «Super League», quasi fermée et comparable aux championnats nord-américains de basket (NBA) ou de football américain (NFL). En contrepartie de leur engagement, «les clubs fondateurs recevront un versement en une fois de l’ordre de 3,5 milliards d’euros destinés uniquement à des investissements en infrastructures et à compenser l’impact de la crise du Covid-19», affirment les organisateurs.

 

 «L’incitation financière pour ces clubs est évidente, avec une enveloppe de plusieurs milliards de dollars au coeur du projet», commente dans une note l’analyste en chef de Markets.com, Neil Wilson.

 

De plus, «les ventes de billets, les sponsors et les produits dérivés devraient aussi en bénéficier, étant donné la large audience de ces clubs», estime Alberto Francese, responsable de la recherche en courtage pour entreprises pour la banque italienne Intelsat Sanpaolo. Mais, tempère-t-il, «l’UEFA et la FIFA réagissent de manière très véhémente» avec la potentielle exclusion de tout club dissident des compétitions nationales et internationales, ainsi que l’interdiction pour les joueurs d’évoluer en équipe nationale.

 

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