Archive pour le Tag 'super'

Super profits : Macron ment !

Super profits : Macron ment !

Avec d’un côté la multiplication des superprofits des multinationales et de l’autre l’amputation du pouvoir d’achat des salariés, on assiste à une vaste opération anti redistributive via l’inflation. Il y a quelques jours à la télévision Macron interrogé sur les supers profits notamment de Total a osé affirmer que cette entreprise multinationale ne faisait pas un euro de bénéfice en France et que l’essentiel des profits venait d’activités à l’international.

Effectivement la majeure partie de l’activité de Total se développe au niveau international. Cependant Total assure aussi une activité en France qui est nettement bénéficiaire. Le problème comme pour la plupart des multinationales c’est qu’on procède à des transferts fiscaux qui permettent d’échapper aux impôts dans les pays à forte fiscalité. La technique comptable est classique, il s’agit d’externaliser les profits dans les pays à faible fiscalité ou même sans fiscalité du tout et inversement d’internaliser des couts dans les pays à haut niveau d’impôts.

Il n’est pas étonnant que Macron soutienne ce mécanisme, lui l’ancien banquier au service de la finance.
L’argument de Macron vise d’une part à s’opposer à la mise en place d’une taxation des super profits en même temps de s’opposer aussi à un rattrapage des salaires et revenus sur l’inflation. Bref, un immense transfert financier anti redistributif.

Les Français payent la note avec l’inflation et les multinationales encaissent les dividendes de la même inflation car les superprofits de Total sont surtout du à la hausse des cours de l’énergie notamment du gaz.

Le groupe pétrolier français TotalEnergies a annoncé jeudi 27 octobre 2022 que son bénéfice s’était encore envolé de 43 % au troisième trimestre par rapport au même trimestre de 2021, et s’établissait à 6,6 milliards de dollars.

Les 6,6 milliards de dollars de bénéfices annoncés par TotalEnergies pour le troisième trimestre s’ajoutent aux 5,7 milliards du deuxième trimestre et aux 4,9 milliards du premier trimestre. En 2022, TotalEnergies a déjà réalisé en neuf mois plus de bénéfices que sur l’année 2021 entière. Et le quatrième trimestre 2022 devrait encore creuser l’écart.

La plupart des grandes multinationales annoncent aussi des profits exceptionnels pour l’année 2022 grâce à la spéculation qui consiste à profiter et à alimenter l’inflation. À défaut d’une taxe sur les superprofits, on impose une dévaluation du pouvoir d’achat des ménages. Bref, une vaste opération anti redistributive.

Super profit de TotalEnergies : Macron ment

Super profit de TotalEnergies : Macron ment !

Il y a quelques jours à la télévision Macron interrogé sur les supers profits de Total a osé affirmer que cette entreprise multinationale ne faisait pas un euro de bénéfice en France et que l’essentiel des profits venait d’activités à l’international.

Effectivement la majeure partie de l’activité de Total se développe au niveau international. Cependant Total assure aussi une activité en France qui est nettement bénéficiaire. Le problème comme pour la plupart des multinationales c’est qu’on procède à des transferts fiscaux qui permettent d’échapper aux impôts dans les pays à forte fiscalité. La technique comptable est classique, il s’agit d’externaliser les profits dans les pays à faible fiscalité ou même sans fiscalité du tout et inversement d’internaliser des couts dans les pays à haut niveau d’impôts.

Il n’est pas étonnant que Macron soutienne ce mécanisme, lui l’ancien banquier au service de la finance.
L’argument de Macron vise d’une part à s’opposer à la mise en place d’une taxation des super profits en même temps de s’opposer aussi à un rattrapage des salaires et revenus sur l’inflation. Bref, un immense transfert financier anti redistributif.

Les Français payent la note avec l’inflation et les multinationales encaissent les dividendes de la même inflation car les superprofits de Total sont surtout du à la hausse des cours de l’énergie notamment du gaz.

Le groupe pétrolier français TotalEnergies a annoncé jeudi 27 octobre 2022 que son bénéfice s’était encore envolé de 43 % au troisième trimestre par rapport au même trimestre de 2021, et s’établissait à 6,6 milliards de dollars.

Les 6,6 milliards de dollars de bénéfices annoncés par TotalEnergies pour le troisième trimestre s’ajoutent aux 5,7 milliards du deuxième trimestre et aux 4,9 milliards du premier trimestre. En 2022, TotalEnergies a déjà réalisé en neuf mois plus de bénéfices que sur l’année 2021 entière. Et le quatrième trimestre 2022 devrait encore creuser l’écart.

Super bénéfice de TotalEnergies : Macron ment !

Super bénéfice de TotalEnergies : Macron ment !

Il y a quelques jours à la télévision Macron interrogé sur les supers profits de Total a osé affirmer que cette entreprise multinationale ne faisait pas un euro de bénéfice en France et que l’essentiel des profits venait d’activités à l’international.

Effectivement la majeure partie de l’activité de Total se développe au niveau international. Cependant Total assure aussi une activité en France qui est nettement bénéficiaire. Le problème comme pour la plupart des multinationales c’est qu’on procède à des transferts fiscaux qui permettent d’échapper aux impôts dans les pays à forte fiscalité. La technique comptable est classique, il s’agit d’externaliser les profits dans les pays à faible fiscalité ou même sans fiscalité du tout et inversement d’internaliser des couts dans les pays à haut niveau d’impôts.

Il n’est pas étonnant que Macron soutienne ce mécanisme, lui l’ancien banquier au service de la finance.
L’argument de Macron vise d’une part à s’opposer à la mise en place d’une taxation des super profits en même temps de s’opposer aussi à un rattrapage des salaires et revenus sur l’inflation. Bref, un immense transfert financier anti redistributif.

Les Français payent la note avec l’inflation et les multinationales encaissent les dividendes de la même inflation car les superprofits de Total sont surtout du à la hausse des cours de l’énergie notamment du gaz.

Le groupe pétrolier français TotalEnergies a annoncé jeudi 27 octobre 2022 que son bénéfice s’était encore envolé de 43 % au troisième trimestre par rapport au même trimestre de 2021, et s’établissait à 6,6 milliards de dollars.

Les 6,6 milliards de dollars de bénéfices annoncés par TotalEnergies pour le troisième trimestre s’ajoutent aux 5,7 milliards du deuxième trimestre et aux 4,9 milliards du premier trimestre. En 2022, TotalEnergies a déjà réalisé en neuf mois plus de bénéfices que sur l’année 2021 entière. Et le quatrième trimestre 2022 devrait encore creuser l’écart.

Fiscalité États-Unis : une nouvelle taxe sur les super riches

Fiscalité États-Unis : une nouvelle taxe sur les super riches

 

Le président Biden propose une sorte de taxe sur le patrimoine des plus riches ( Un impôt sur la fortune revisité !). dans le cadre de son projet de budget pour l’année fiscale 2023;  une forme innovante de taxation des plus-values non réalisées par les Américains les plus riches. Moins de 20.000 foyers de multimillionnaires auraient à prépayer des impôts sur leur patrimoine, notamment en valeurs boursières. Le Trésor souhaite obliger les foyers au patrimoine de plus de 100 millions de dollars à payer au minimum 20% de leurs revenus en impôts. Le fisc américain dégagerait ainsi 360 milliards de dollars de recettes supplémentaires sur 10 ans, selon l’estimation de la Maison-Blanche.

Carburants: le super sans plomb à 1,60 €

 

 

Les prix à la pompe ne cessent d’augmenter en raison de la crise économique.. Le litre de gazole valait 1,43 euro en moyenne la semaine dernière et celui de super sans plomb 1,58 euro, selon les chiffres officiels du ministère de la Transition écologique. Cela représente une hausse de 12 % et de près de 16 % respectivement depuis le début de l’année. «Les prix des carburants ont fortement progressé en juin et en juillet, tirés par le cours du baril de brent, qui s’est hissé à 73 puis à 74 dollars le baril respectivement, en moyenne, sur ces deux mois», souligne Alberto Balboni, économiste chez Xerfi. Ces derniers jours toutefois des interrogations ont émergé à propos de la solidité de la reprise et on a commencé à constater un tassement des prix à la production mais qui évidemment ne se répercute pas encore à la pompe. Les prix devraient ensuite se stabiliser d’ici la fin de l’année.

Macron joue super toubib pour les plus de 80 ans

Macron joue super toubib pour les plus de 80 ans

 

 En dépit des critiques de l’agence européenne de santé, Macron persiste dans son intention de lancer une campagne de vaccination pour les personnes âgées avec une troisième dose dès la fin de l’année. Macron qui ne doute pas de ses compétences de scientifiques s’engage dans une voie démagogique particulièrement inquiétante. Plus l’élection présidentielle va se rapprocher et plus Macron risque de jouer les aventuriers médicaux. Pour récupérer quelques voix il sera prêt à promettre tout et n’importe quoi.

Le pire évidemment c’est que certains scientifiques en quête de reconnaissance et qui mange dans la gamelle politique soutiennent de façon très ambiguë la position du président de la république. Ainsi, Olivier Guérin, gériatre au CHU de Nice et membre du Conseil scientifique avait rédigé le rapport rendu au Président début juillet sur cette troisième dose. « Il est important d’utiliser le terme de rappel car le schéma vaccinal classique comporte toujours bien deux doses, explique-t-il. Certaines personnes avec des pathologies ou des traitements spécifiques en ont déjà reçu une troisième. Ce qui est en jeu aujourd’hui c’est un rappel pour les plus de 80 ans qui sont aussi ceux à avoir été vaccinés les premiers, dès le mois de janvier».

Le type de déclaration tordue qui s’accommode de la tambouille politique avec les nécessités sanitaires. Il est en effet évident que ceux qui ont été vaccinés dès janvier mériteront une troisième dose un an après. Mais c’est autre chose que de prévoir des maintenant une troisième dose générale tous les plus de 80 ans dont certains n’ont été vaccinés qu’en avril mai ……ou pas du tout.

Super Ligue Foot : pour une élite autoprotégée ?

 

 

Frank McCourt, « propriétaire » de l’Olympique de Marseille estime qu’il  ne faut pas laisser des intérêts puissants fausser la concurrence, souligne, dans une tribune au « Monde ».

 

Tribune Ces derniers jours, le monde du football a assisté à la tentative d’un groupe de clubs d’élite décidés à prendre le contrôle de ce sport. Leur volonté affichée était de s’arroger le pouvoir, de multiplier leurs revenus en dressant des barrières pour protéger leurs membres contre la concurrence ouverte et la participation démocratique. Devant la réprobation des autres équipes, des responsables politiques et, surtout, des supporteurs, la Super Ligue européenne s’est effondrée.

Ce que montre ce projet ne concerne pas seulement le football. Il s’agit du capitalisme et de la démocratie. La question posée est de savoir si nous nous dressons contre les tentatives de concentration de la richesse et du pouvoir. Cette question est d’une importance cruciale, car si le tollé contre cette tentative de coup d’Etat dans le football a été immédiat et bénéfique, nous avons déjà assisté, dans un autre secteur, à la manière dont un groupe d’intérêts privés, puissant et fortuné, peut truquer le système pour le soumettre à son bon vouloir, sans opposition.

Truquer le système

En moins de deux décennies, quelques grandes entreprises de la Silicon Valley ont progressivement pris le contrôle des systèmes que nous utilisons pour partager des informations, transmettre des données et interagir avec nos proches. Elles l’ont fait avec un succès alarmant, en accédant à des quantités colossales d’informations et en imposant leurs règles au marché. Bien que des utilisateurs, des organisations ou des responsables publics aient tenté, de manière isolée, de mettre un frein aux excès anticoncurrentiels et antidémocratiques de l’industrie technologique, des entreprises comme Google et Facebook continuent d’exercer une influence presque sans entrave sur le marché.

 

Ce n’est pas la moindre menace. A une époque où nos vies se développent de plus en plus en ligne, les entreprises et les infrastructures technologiques sont au centre de tout ce que nous faisons, leurs activités alimentent notre économie. Leurs fonctions dans les réseaux sociaux définissent les termes de notre espace public.

Les protocoles techniques, qui régissent le fonctionnement de ces entités, finissent par bénéficier aux entreprises privées monopolistiques plutôt qu’aux utilisateurs eux-mêmes. Ils excluent la concurrence économique et exploitent nos données afin de maintenir leur emprise économique. Ils empoisonnent notre participation à la conversation citoyenne en offrant aux utilisateurs un flux constant de théories du complot, de radicalisme et d’idéologie violente pour faire le buzz et en tirer un profit commercial.

Foot-Projet de Super Ligue : le triomphe de l’argent ?

Projet de Super Ligue : le triomphe de  l’argent ? 

Un papier du Monde souligne la tyrannie du fric dans le football. 

Pour augmenter leurs revenus, douze clubs de football européens veulent créer une compétition concurrente de la Ligue des champions, organisée par l’UEFA. Cette intention purement mercantile réduit les amateurs de football à de simples clients.

 

Editorial du « Monde ». En 1990, l’attaquant anglais Gary Lineker définissait ainsi le football : « Un jeu simple : vingt-deux joueurs se disputent un ballon pendant quatre-vingt-dix minutes, et à la fin c’est l’Allemagne qui gagne. » La formule a vieilli et pourrait évoluer avec le projet de création d’une Super Ligue européenne qui menace de dynamiter l’organisation des compétitions sur le Vieux Continent. Le football se jouerait toujours à onze contre onze, mais avec l’argent, désormais, en éternel vainqueur.

 

Que la finance soit au cœur de ce sport n’est pas une nouveauté. Contrats mirifiques, droits de retransmission astronomiques… voilà bien longtemps que le ballon rond est une histoire de gros sous. Néanmoins, un palier est sur le point d’être franchi avec l’initiative annoncée, lundi 19 avril, par douze clubs très puissants. Leur but : faire sécession d’avec l’Union européenne des associations de football (UEFA), le « gouvernement » du football continental, en créant une compétition en lieu et place de la Ligue des champions, une compétition insuffisamment lucrative à leurs yeux.

A ce stade, trois clubs espagnols (Real Madrid, FC Barcelone, Atlético Madrid), six anglais (Manchester United, Arsenal, Chelsea, Liverpool, Manchester City et Tottenham) et trois italiens (Juventus, Milan AC, Inter Milan) entendent devenir à la fois acteurs et organisateurs d’un spectacle censé générer davantage de revenus, que se partageront un plus petit nombre de bénéficiaires. Les Français et les Allemands manquent à l’appel, le Paris – Saint-Germain et le Bayern Munich ayant refusé de participer à la fronde.

Elite autodésignée

En restreignant encore davantage l’accès à l’élite continentale, la Super Ligue donnerait naissance à un entre-soi qui ferait perdre à la compétition l’un de ses attraits : la possibilité qu’un faible puisse se mesurer à un puissant. Elle signifierait la fin de la qualification au mérite, en excluant 99 % des clubs européens au profit d’une élite autodésignée sur le seul critère de l’argent. L’organisation pyramidale du football, qui garantit un certain degré de solidarité entre le sommet et la base, serait déstabilisée.

Dès lors, quel intérêt auraient les clubs d’une seconde zone qui ne dit pas son nom à continuer de financer un centre de formation, à recruter de nouveaux joueurs, à faire appel à des investisseurs pour les aider à rêver d’une ascension désormais impossible ?


Les promoteurs de ce barnum élitiste se sont visiblement inspirés des Etats-Unis. Ce n’est pas un hasard si quatre frondeurs (Manchester United, Arsenal, Liverpool et Milan AC) ont des propriétaires américains et si c’est une banque de Wall Street, JPMorgan, qui assurera le financement. Leur Super Ligue serait un calque des franchises de basket ou de football américain, des équipes richissimes qui s’affrontent sans risque de relégation. Contrairement au sport, le business déteste le suspense et l’imprévisibilité, et préfère les revenus récurrents.

Alors qu’une négociation demeure possible dans les mois à venir, un espoir subsiste, tant ce projet est contesté par certains joueurs, de nombreux clubs et bien des responsables politiques. Surtout, il est rejeté par une large majorité des supporteurs, y compris dans les clubs concernés, par exemple à Liverpool. En Angleterre comme partout, ceux qui vont au stade de génération en génération aiment ce sport pour sa part d’incertitude et de rêve. Ce projet, ils le savent mieux que personne, se fait au mépris du public, plus que jamais réduit au simple rôle de « client », et ne doit donc pas voir le jour.

La Super Ligue, foot : terminé pour l’instant du moins pour l’instant

La Super Ligue, foot : terminé pour l’instant du moins pour l’instant

 

 

Il est clair que ce sont surtout les clubs langues anglais et leurs supporters qui ont fait capoter ce projet de Super liguent du foot qui prévoyait une sorte de championnat européen pour une vingtaine de clubs les plus huppés et les plus prestigieux. La réplique des institutions officielles et des gouvernements contre ce projet a été forte puisqu’on a même envisagé l’exclusion de toute compétition des clubs impliqués dans ce projet de Super ligue.

 

Reste cependant que ce projet mis entre parenthèses renaîtra un jour ou l’autre. L’enjeu est sportif mais peut-être encore davantage financier. Depuis que les clubs appartiennent à peu près tous à des capitaux privés, les investisseurs veulent rentabiliser leurs activités. Pour cela ils acquièrent des joueurs à prix d’or pour des centaines de millions. Des joueurs ensuite payés 2à 3 millions par mois. Au total la masse salariale dépasse la totalité des autres dépenses. D’où l’impérieuse nécessité trouvait plus en plus de ressources financières pour faire face à cette dérive des dépenses.

 

Du coup l’union européenne du football entre parenthèses UE FA) a aussi promis une grande réforme pour moderniser et rendre plus attrayante la compétition actuelle qui concerne environ 70 clubs.

 

De toute manière quoiqu’on en dise le football de l’élite n’a rien à voir avec le football de base des nombreux petits clubs qui ne fonctionnent que grâce bénévolat. Le football de l’élite est engagé dans une spirale financière folle où tout est démesure. De plus en plus les grands clubs ne sont que des équipes de mercenaires et l’amour du maillot est bien relatif. Les présidents, les entraîneurs et les joueurs valsent au gré des humeurs, des résultats et des difficultés financières.

Les organisations internationales auraient intérêt à prendre en compte aussi le fait que les jeunes de 15 à 25 ans s’intéressent beaucoup moins au football que les autres générations en raison peut-être du caractère un peu insipide de nombre de rencontres où les joueurs passent davantage leur temps à passer le ballon en arrière qu’à le diriger vers le but adverse.

 

Projet Super ligue de foot. Le patron de l’UEFA condamne

Projet Super ligue de foot. Le patron de l’UEFA condamne

On comprend que le patron de l’union européenne du football ( UEFA) condamne le projet de super ligue du foot européen qui remettrait évidemment en cause le fonctionnement voir même l’existence de l’institution actuelle. Il faut dire que c’est institution européenne n’a pas fait montre d’une grande innovation, sans parler des affaires financières parfois pas très claires ( comme celle de l’organisation internationale FIFA);  c’est aussi un excellent lieu de pantouflage bien rémunéré pour nombre de dirigeants en mal existentiel.

Lors d’une conférence de presse, le président de l’UEFA a condamné et menacé clairement les initiateurs du projet de ligue de foot européen. ( Notons que sur le plan juridique les institutions européennes auront du mal à contester le bien-fondé de l’initiative des 12 clubs vis-à-vis de ce projet élitiste). Interview du président de l’UEFA.

Quelle est votre réaction à l’annonce d’un projet de Super Ligue ?
Le plateau de la Ligue des champions est déterminée par la qualification des uns et des autres au mérite, et non selon la voracité de quelques privilégiés. C’était notre décision depuis le départ. Chaque club, et donc chaque fan de football doit pouvoir rêver un jour disputer cette compétition basée sur les résultats obtenus sur la pelouse. Le monde du football doit donc rester uni face à cette honteuse tentative de s’approprier à des fins purement personnels et mercantiles. Certains dirigeants ont montré leurs vrais visages, dictés uniquement par la recherche du profit et rien d’autre. Et il n’y a pas que le monde du football qui est uni, mais toute la société, les gouvernements…  Ce projet est un non-sens. Toutes les ligues professionnelles, y compris la Premier League, la Liga et la Serie A, s’opposent à ce projet cynique. C’est aussi le cas de la Fifa. Nous estimons que notre réforme des compétitions européennes, à commencer par celle de la ligue des champions, possède tout ce dont a besoin le football pour évoluer dans le bon sens. Le nouveau format respecte toutes les valeurs que l’UEFA défend depuis toujours, ainsi que toutes les structures qui composent le football sur le plan européen. Et pour moi, ce projet de Super Ligue est un crachat au visage de tous les amoureux du football, et à notre société. Nous ne les autoriserons pas à nous ôter toutes nos valeurs.

L’UEFA peut-elle organiser une Ligue des champions sans ces 12 clubs dissidents ?
Oui, bien entendu. Il y a beaucoup d’excellents clubs en Europe, et beaucoup de fans d’autres clubs. En 2024, nous organiserons la Ligue des champions avec son nouveau format, avec ou sans ces 12 clubs.

La joie du vestiaire parisien après avoir éliminé le Bayern Munich en quart de finale de Ligue des champions le 13 avril dernier

A quelles sanctions s’exposent ces clubs dissidents et à partir de quand ?
Nous continuons à évaluer la question avec notre équipe juridique. C’est un peu tôt pour vous répondre clairement car le communiqué a été rendu public cette nuit et nous n’avons pas forcément une solution dès le lendemain. Mais nous allons réfléchir à toutes les sanctions possibles et qui relèvent de nos compétences. A mon avis, le plus tôt possible, il faudra que ces équipes soient exclues de toutes nos compétitions, et leurs joueurs aussi.

Une exclusion est-elle réellement envisageable d’un point de vue juridique ?
Déjà, je tiens à préciser qu’il s’agit d’une exclusion de nos compétitions. Après, si aujourd’hui il y a quelque chose qui va à l’encontre de tout ce qui existe, c’est bien la Super Ligue. Donc je crois que c’est d’abord à eux de régler leurs problèmes juridiques. Après, en ce qui nous concerne, nous verrons… Peut-être avons-nous été de grands naïfs. Nous ne savions pas que nous avions des menteurs parmi nous, mais désormais nous le savons et nous allons prendre rapidement des mesures juridiques.

 

Il y a deux semaines encore, vous avez décalé l’annonce du nouveau format car vous négociez encore avec les clubs, notamment les 12 dissidents. Vous sentez-vous trahi, notamment par Andrea Agnelli, le président de la Juventus Turin et membre du comité exécutif de l’UEFA ?
J’ai vu bien des choses dans ma vie d’avocat pénaliste pendant 20 ans. Mais je n’ai jamais vu des gens se comporter de cette manière. Par exemple, j’ai eu jeudi dernier au téléphone Ed Woodward ( le directeur général de Manchester United) qui m’a dit la semaine dernière qu’il était très satisfait de la réforme des compétitions, qu’il y était totalement favorable, et qu’il voulait simplement évoquer le fair-play financier. Mais de toute évidence, il avait déjà signé autre chose. Pour ce qui est d’Andrea Agnelli, je dois dire que c’est sans doute ma plus grande déception. Je ne veux pas faire de remarque personnelle, mais je n’ai jamais vu une personne qui ment de manière aussi persistante. C’est incroyable, je lui ai parlé samedi après-midi. Il m’a dit de ne pas m’inquiéter, que ce n’était que des rumeurs, qu’il ne se passait rien et il m’a ensuite dit qu’il me rappellerait plus tard. Et le lendemain, on a vu paraitre le communiqué. Je n’avais jamais vécu cela dans ma vie. Visiblement, leur cupidité est tellement forte qu’elle écrase toutes les valeurs humaines. Mais maintenant, je sais qui est qui, et le monde entier le sait. Ces gens-là adhéraient à nos réformes vendredi, et je n’ai pas besoin d’en dire plus à leur sujet…

Après une telle trahison, pensez-vous encore pouvoir faire confiance à quelqu’un dans le monde du football ?
Attention, j’ai aussi rencontré énormément de personnes formidables dans le monde du football. Il y a des personnes en qui j’ai toute confiance. Par exemple, j’ai une totale confiance dans les clubs français et allemands, qui ont résisté aux sirènes financières de cette Super Ligue. J’ai confiance en mon équipe. Le monde du football n’est pas entièrement corrompu et pourri. Il s’agit d’une petite partie de ce milieu qui est guidée par l’appât du gain au détriment de toute autre considération. Ces personnes n’ont aucun intérêt pour les fans, ni pour le jeu lui-même d’ailleurs. Certains propriétaires de clubs changent d’équipe dirigeante comme vous et moi nous changeons de chemise. Ils ont les yeux fixés sur leur chiffre d’affaires, pas sur leur nombre de points au classement. C’est un monde curieux. Mais encore une fois, j’ai aussi rencontré beaucoup de personnes très bien.

Connaissez-vous la position du président de la FIFA, Gianni Infantino ?
J’ai parlé à M. Infantino et il a apporté son soutien total à l’UEFA. Il sera là ce mardi pour le congrès de l’UEFA et il affirmera publiquement son opposition à ce projet de Super Ligue.

Quelle peut être la suite désormais ? Le divorce est-il définitif avec ces 12 clubs ?
Nous n’allons pas entamer de négociations avec les membres de ce projet fantôme. Ils voulaient discuter avec nous de manière urgente, mais cela n’a rien d’urgent. Je ne dis pas qu’ils sont bannis à jamais du football européen. La façon dont ils ont agi est totalement déplacée, et tout le monde le sait. Mais s’ils veulent revenir très bien. J’ai lu un entretien de M. Agnelli dans la presse et il évoquait notre réforme de la Ligue des champions comme étant «un projet fantastique». S’il veut revenir dans ce projet fantastique, il est le bienvenu.

Que faut-il qu’ils vous disent pour qu’ils soient les bienvenus ? Que voulez-vous entendre de leur part ?
Il n’y a rien de personnel, même si ce n’est pas un secret que je suis proche d’Agnelli (il est le parrain de sa fille). Je n’exige pas qu’ils reviennent vers nous à genoux, en implorant notre pardon. Pas du tout. Je demande à ce qu’ils respectent l’institution et les autres. Personnellement, je n’aime pas les querelles, et je n’en veux pas. Mais comme je l’ai dit, s’ils veulent revenir à «un projet fantastique», ils seront les bienvenus.

 

Combien remportera le vainqueur de la Ligue des Champions en 2024 ? Et quel impact la crise sanitaire a-t-elle eu selon vous sur ce projet de Super Ligue ?
Je ne veux pas parler de chiffre, mais il y a une chose que je peux vous dire : ce projet de super Ligue a commencé bien avant l’apparition du Covid-19. Ce projet mijote depuis de nombreuses années. Les dirigeants de ces clubs auraient pu en parler avec nous. Nous sommes toujours ouverts au dialogue. Nous avions même eu des échanges intéressants. Mais après, quand vous vous heurtez à l’égoïsme et au narcissisme de certains, que voulez-vous faire ?

Que répondez-vous à ceux qui estiment que l’UEFA poursuit le même objectif financier que les 12 clubs dissidents ?
L’UEFA distribue quasiment 90% de ses revenus au jeu, non pas seulement aux professionnels mais au football amateur également, au football féminin, aux équipements sportifs… Nous avons une fondation qui réalise des grandes actions. La super Ligue est un projet qui ne s’intéresse qu’à l’argent. Ce n’est pas le cas de l’UEFA. L’UEFA veut développer le football et veut financer ce qui doit l’être. Certaines personnes ne le comprennent pas. Pour certains, la solidarité n’existe pas. L’unité n’existe pas. La seule chose qui existe, ce sont leurs poches pleines. Le football est devenu le sport numéro 1 au monde en s’appuyant sur des compétitions ouvertes, intègres et basées sur le mérite. Nous n’autoriserons aucun changement sur le sujet, jamais.

Super ligue de foot : un projet incontournable dès lorsque les clubs sont détenus par des capitaux privés

Super ligue de foot : un projet incontournable dès lorsque les clubs sont détenus par des capitaux privés

 

 

Il n’est pas certain que le projet de super ligue de foot aboutisse rapidement compte tenu des fortes oppositions des superstructures internationales de football mais aussi de certains pays. Reste que le foot, première activité sportive, suivie par les supporters du monde entier a changé de visage quand les capitaux privés ont mis la main sur les clubs. Beaucoup de ces clubs d’ailleurs sont maintenant cotés en bourse.

Dès lors  juridiquement il paraît impossible de s’opposer à la liberté dont disposent des acteurs du secteur privé d’organiser les activités. Certains objecteront qu’il s’agit surtout d’une affaire financière et c’est effectivement aussi le cas même si l’intérêt sportif est également présent.

Comment en effet maintenir le précis des grands clubs condamnés à recruter les meilleurs joueurs et à les payer entre 1 et 2 millions voire davantage par mois. La masse salariale des clubs en général dépasse même la moitié des dépenses globales. En outre, la crise sanitaire a opéré une ponction significative des ressources habituelles du football qu’il faut compenser.

Concernant la France qui semble pour l’instant ne semble pas favorable à cette perspective, elle ne pourra s’opposer longtemps à ce projet. En effet,  le foot national est souvent insipide quant à son niveau et n’est rehaussé que qu’à l’occasion de confrontation internationale soit des clubs soit de l’équipe de France.

Si ce projet devait voir le jour ,la France pourrait tout au mieux être présente dans la super ligue avec 2 clubs à savoir Paris et Lyon. Tous les autres sont loin d’être du niveau européen. De toute manière,  l’organisation du football européen devra sérieusement évoluer dans la mesure où il est démontré que les plus jeunes de 15 à 25 ans s’intéressent beaucoup moins que leurs aînés avec spectacle footballistique souvent trop soporifique.

 

Super Ligue de football : soutien de la Bourse

Super Ligue de football : soutien de la Bourse

 

Le projet de super ligue de football est bien entendu un projet sportif tout autant qu’un projet financier. Cela d’autant plus que la crise sanitaire a porté un rude coup aux ressources des clubs. Les grands du football européen veulent créer des spectacles qui attirent l’audience mondiale, celle de l’Europe bien sûr mais aussi et surtout celle de l’Asie. Il s’agit d’augmenter l’assiette des contributions notamment des télévisions et la répartir de manière plus favorable au club. Des grands clubs qui pour maintenir leur niveau sont contraints de payer des stars plus d’un million par mois parfois deux voir trois.

Une sorte de course folle car le salaire des joueurs dans ces clubs dépassent de loin les autres dépenses. De son côté ,l’union européenne UEFA veut garder la mainmise sur l’organisation qui intègre actuellement environ 70 clubs pour la compétition européenne.

Ce projet suscite l’intérêt des financiers et de la Bourse. Les cours boursiers de la Juventus de Turin et de Manchester United se sont envolés lundi après l’annonce de la création d’une Super Ligue, lucrative compétition privée fondée par douze clubs dissidents et vouée à supplanter la Ligue des champions.

Le cours de la Juventus de Turin, cotée à la Bourse de Milan, a pris 17,85% à 0,9110 euros à la clôture des échanges. Coté à la Bourse de New York, le titre de Manchester United a pris 6,74% dollars à 17,26 dollars. Les autres clubs dissidents ne sont quant à eux pas cotés en Bourse.

À l’inverse, les principaux clubs européens cotés mais non membres de ce club privé, ont eux clôturé entre stabilité et baisse: l’Olympique Lyonnais, coté à la Bourse de Paris, a perdu 2,10% à 2,33 euros, et l’AS Roma, cotée à Milan, a pris 0,17% à 0,2870 euros.

 

Après des décennies à agiter le spectre d’un schisme, les grands  du continent, Real Madrid, Liverpool ou Manchester United en tête, ont franchi le pas en créant une société privée, baptisée «Super League», quasi fermée et comparable aux championnats nord-américains de basket (NBA) ou de football américain (NFL). En contrepartie de leur engagement, «les clubs fondateurs recevront un versement en une fois de l’ordre de 3,5 milliards d’euros destinés uniquement à des investissements en infrastructures et à compenser l’impact de la crise du Covid-19», affirment les organisateurs.

 

 «L’incitation financière pour ces clubs est évidente, avec une enveloppe de plusieurs milliards de dollars au coeur du projet», commente dans une note l’analyste en chef de Markets.com, Neil Wilson.

 

De plus, «les ventes de billets, les sponsors et les produits dérivés devraient aussi en bénéficier, étant donné la large audience de ces clubs», estime Alberto Francese, responsable de la recherche en courtage pour entreprises pour la banque italienne Intelsat Sanpaolo. Mais, tempère-t-il, «l’UEFA et la FIFA réagissent de manière très véhémente» avec la potentielle exclusion de tout club dissident des compétitions nationales et internationales, ainsi que l’interdiction pour les joueurs d’évoluer en équipe nationale.

 

Foot : bientôt une SUPER LEAGUE européenne

Foot : bientôt une SUPER LEAGUE européenne

Les instances officielles du football international condamnent avec fermeté cet accord d’une douzaine de grands clubs de foot internationaux de vouloir créer une Supercoupe européenne. Une sorte de super championnat qui pourrait hausser l’intérêt du spectacle et à l’occasion aussi s’assurer de ressources financières nouvelles.

 

En France les clubs français sont encore en retrait par rapport à cette proposition mais ne pourront pas se mettre à l’écart. Surtout en France où le championnat est devenu assez insipide compte tenu de la faiblesse du niveau moyen; seul deux ou trois clubs disposent des moyens nécessaires pour offrir un spectacle à la hauteur des attentes de spectateurs habitués par ailleurs à regarder les championnats anglais, espagnol, italien ou allemand.

 

Douze clubs européens ont décidé de s’organiser pour créer une Super League semi-fermée. Le Real Madrid, le Barça, l’Atlético de Madrid, l’Inter, l’AC Milan, la Juventus, Manchester City, Manchester United, Arsenal, Liverpool, Chelsea et Tottenham se sont entendus afin de lancer une nouvelle compétition, comme ils l’ont fait savoir ce dimanche soir. Trois clubs seront invités à les rejoindre, avec l’idée de débuter « aussitôt que possible ».

L’objectif? Engranger plus de revenus en faisant concurrence à la Ligue des champions et à la Ligue Europa. Aucun club français ni allemand ne fait partie de ce premier casting. Le PSG a pour l’instant refusé d’en faire partie, tout comme le Bayern Munich.

« Les clubs participant à cette Super League seront soumis à « un cadre de dépenses régulé ». En contrepartie, ils recevront « un versement en une fois de l’ordre de 3,5 milliards d’euros destinés uniquement à des investissements en infrastructures et compenser l’impact de la crise du Covid. »

Florentino Perez, le patron du Real, a été désigné comme le premier président de cette Super League. « Nous allons aider le football à tous les niveaux pour l’amener à occuper la place qu’il mérite, estime-t-il. Le football est le seul sport global et le seul à compter 4 milliards de fans et notre responsabilité, en tant que grands clubs, est de satisfaire les attentes des supporters. » Joel Glazer, co-président de Manchester United et vice-président de la Super League précise: « En réunissant les plus grands clubs et les plus grands joueurs du monde pour qu’ils s’affrontent tout au long de la saison, la Super League ouvre un nouveau chapitre du football européen, qui garantira une compétition et des stades de niveau mondial et un soutien financier accru pour la pyramide du football dans son ensemble. »

Aux côtés du Real Madrid se trouveraient donc onze autres clubs. Deux autres viendraient d’Espagne (FC Barcelone, Atlético de Madrid), six d’Angleterre (Arsenal, Chelsea, Liverpool, Manchester United, Manchester City, Tottenham) et trois d’Italie (AC Milan, Inter Milan et Juventus de Turin). Côté Real et Barcelone, un vote devrait être organisé auprès des socios pour obtenir l’accord d’une participation à cette compétition. Aucun club ne provient donc ni d’Allemagne, ni de France. Le Bayern Munich, le Borussia Dortmund et le Paris Saint-Germain semblent vouloir rester pour le moment en retrait, alors que huit autres places seront à pourvoir. 

Super fusion dans l’industrie l’industrie pharmaceutique

Super fusion dans l’industrie l’industrie pharmaceutique

on comprend mieux certaines critiques de certaines industries pharmaceutiques contre leurs concurrents susceptibles de commercialiser des produits considérés comme inutiles voire dangereux. En fait, se  joue  une immense recomposition de l’industrie pharmaceutique avec notamment la perspective Les rumeurs de fusion entre AstraZeneca et Gilead interviennent alors que les Big Pharma (grands laboratoires) sont mobilisés dans la course aux traitements et aux vaccins contre le Covid-19.  Il y a bien sûr la course normale à la recherche de la part de labo mais aussi des luttes plus ou moins transparentes pour discréditer des produits concurrents notamment lorsqu’il s’agit de molécules déjà connues à bas prix. La perspective d’un vaccin amplifie encore la concurrence acharnée dans l’industrie pharmaceutique. Notons que beaucoup de laboratoires de recherche bénéficient de financements de l’industrie y compris à titre personnel par exemple en tant qu’expert

Ce serait donc la fusion du siècle, celle de tous les records. Le laboratoire anglo-suédois AstraZeneca (AZ) aurait fait des avances à l’américain Gilead, selon Bloomberg. À eux deux, ils formeraient un mastodonte de l’industrie pharmaceutique valorisé près de 240 milliards de dollars, devant les leaders Merck et Pfizer. L’opération dépasserait le rachat l’an passé de Celgène par BMS pour 74 milliards de dollars. Les discussions dateraient du mois dernier et seraient encore au stade informel. Mais Gilead aurait pour l’instant éconduit son prétendant.

Si les deux intéressés refusent de faire des commentaires, ces rumeurs ont suffi lundi à provoquer un recul de plus de 2 % du titre AstraZeneca. Elles interviennent alors que tous les Big Pharma (grands laboratoires) sont mobilisés dans la course aux traitements et aux vaccins contre le Covid-19. S’ils s’unissaient, AstraZeneca et Gilead gagneraient en force de frappe. 

Nicolas Hulot : un écolo super motorisé

Nicolas Hulot : un écolo super motorisé  

 

Non seulement Nicolas Hulot est l’un des plus riches du gouvernement (,  le Canard enchaîné va ce charger de démonter sa déclaration tout à fait fantaisiste de patrimoine) mais il est en plus le ministre le plus motorisé puisque possédant pas moins de neuf véhicules à moteur dont huit à moteur thermique. Sans parler évidemment des nombreuses locations d’autres véhicules notamment des hélicoptères à la fois très gourmands en carburant et aussi très polluants. Bref voilà Nicolas Hulot et le prototype d’écolo bobo qui veut imposer la rigueur au français mais qui ne peut ne veut lui priver de l’ultra mobilité polluante. Il va sans doute objecter que ce parc de véhicules était nécessaire à ses anciennes activités de journaliste. Or ces sociétés sont suffisamment florissantes pour lui offrir des moyens de transport ce dont sans doute il ne se prive pas. Le pire c’est que Nicolas Hulot souhaiterait imposer aux automobilistes des véhicules moins polluants et que lui-même utilise des véhicules sans doute relativement ancien pour certains puisque leur valeur vénale ne dépasse pas 1000 €. Parmi ces véhicules figurent un bateau, un scooter électrique et une moto. Les six autres véhicules sont des voitures, achetées entre 1998 et 2017, de gammes différentes. On y trouve ainsi un Peugeot Boxer (gros utilitaire), un Land Rover, des véhicules Volkswagen, Citroën et BMW, mais également une 2 CV acquise en 2017. Si la BMW de Nicolas Hulot est un modèle i3, électrique, le ministre est aussi propriétaire d’un combi Volkswagen, dont il n’existe pas de version écologique, le California Beach, selon Capital« Selon nos informations, ce van, à transmission intégrale, est équipé d’une boîte automatique et d’un moteur 2 litres turbo diesel de 204 chevaux », précise le mensuel. La valeur totale des véhicules à moteur de Nicolas Hulot atteint 105 000 euros, et la somme de 83 000 euros pour ses six voitures. Une somme d’ailleurs comme son patrimoine sans doute elle aussi sous-estimée

12



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol