Archive pour le Tag 'suis'

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Ségolène Royal « je suis indispensable au gouvernement » !!!!

 Ségolène Royal «  je suis indispensable au gouvernement » !!!!

Humour ou  surdimensionnement de l’égo ? Ségolène dérape une  nouvelle fois. Son « indispensabilitude » laisse rêveur concernant son état mental.  Et si Ségolène Royal était indéboulonnable du gouvernement? A en croire la ministre de l’Ecologie elle-même, interviewée dans les colonnes de Sud-Ouest ce lundi, ce serait le cas. Et tant pis pour la modestie. Dans le détail, celle qui a fait son retour à la table du conseil des ministres il y a un an se dit capable de « concilier ce qui paraît inconciliable », en citant comme exemple  » la question du nucléaire ». « Et ça, c’est grâce à mon expérience de vingt-cinq ans d’élue de terrain et au fait que je ne m’en laisse jamais compter », justifie-t-elle au quotidien régional. Des qualités qui, toujours selon la principale intéressée, feraient d’elle un élément indispensable de l’équipe gouvernementale. Et de résumer le tout en une phrase: Ce n’est pas la première fois que la ministre de l’Ecologie fait ce genre de déclarations. En mai l’an passé, au cours d’un entretien accordé à nos confrères de Paris Match, Ségolène Royal avait déclaré être « enfin à sa place » après son retour dans le rang des ministres. « Je suis à ce poste parce que je suis compétente. Peut-être même la plus compétente », s’était-elle alors targuée. Pour l’humilité, en revanche, il faudra repasser. Parmi ses exploits à signaler son recul sur les tarifs d’autoroutes,  son recul sur Fessenheim, ses atermoiements pour la circulation alternée à Paris, ses silences pour Notre dame des Landes, pour Sivens. Bref en matière d’écologie elle est curieusement absente mais ce qui ne l’empêche de parler sur d’autres sujets …..et surtout elle-même. Ou quand un personnage dépasse sa caricature .

Terrorisme : Dieudonné « je suis Charlot » condamné

Terrorisme : Dieudonné «  je suis Charlot » condamné

 

Dieudonné condamné enfin pour apologie du terrorisme. Triste évolution pour cet humoriste au talent de comédien  pourtant certain  mais complètement à la dérive qui a fait de l’antisémitisme son fonds de commerce. En fait un type paumé qui manifeste maintenant une grande confusion intellectuelle, morale et artistique. Il veut faire le grand écart entre la fonction de politique et la fonction d’amuseur et échoue bien sûr car il y a bien plus doué que lui dans ce domaine. Deux mois de prion avec sursis, c’est vraiment pas cher payé après toutes se éructations racistes. Dieudonné s’est trompé de slogan , il ne devrait pas dire «  je suis Coulibaly » mais «  je suis charlot ». Un clown triste, pathétique qui dérive dans les eaux troubles du caniveau. Dieudonné a donc été condamné mercredi à deux mois de prison avec sursis pour apologie d’actes de terrorisme en raison d’un message posté sur Facebook après les attentats djihadistes qui ont fait 17 morts début janvier en France. Il devra également verser un euro symbolique à deux associations qui se sont constituées partie civile.  Ni Dieudonné ni ses avocats n’ont assisté à la lecture du délibéré. Joint par Reuters, son conseil n’a pas souhaité s’exprimer dans l’immédiat.   »On ne peut pas dire tout et n’importe quoi », a réagi Me Rémi-Pierre Drai, qui représentait Avocats sans frontières.  Le parquet avait demandé 200 jours-amende à 150 euros à l’encontre du polémiste, soit 30.000 euros d’amende. Il encourait jusqu’à sept ans d’emprisonnement et 100.000 euros d’amende, les faits ayant été commis en ligne. Le 11 janvier dernier, au soir d’une grande marche citoyenne en hommage aux victimes, Dieudonné avait écrit qu’il se sentait « Charlie Coulibaly », détournant le slogan « Je suis Charlie » en référence à l’un des trois auteurs des attaques, Amedy Coulibaly, qui a tué une policière et quatre juifs. Ses propos avaient ensuite été retirés de sa page Facebook. Dans son jugement, le tribunal a estimé que par cet « amalgame provocateur », Dieudonné « s’identifiait » à Amedy Coulibaly, contribuant ainsi à « banaliser » ses actes.  Cette « provocation » pourrait « relever de la satire (…) si elle n’avait pris une ampleur particulière au regard du contexte », ajoute-t-il. « Le sentiment d’hostilité à l’égard de la communauté juive que Dieudonné entretient auprès d’un public attiré par sa personnalité accroît sa responsabilité. »

 

Immigration : « je suis un exemple) (Valls), ben voyons !

Immigration : «  je suis un exemple) (Valls), ben voyons !  

 

Mieux vaut s’attribuer des louanges que de les attendre des autres, telle est sans doute la devise de Valls qui se cite en exemple comme immigré. Pas sûr cependant qu’il y ait de la place pour que tous les immigrés deviennent Premier ministre sans avoir pratiquement jamais travaillé sauf comme oligarque.  Donner aux jeunes issus de l’immigration la fierté d’être français : c’est le message de Manuel Valls dans Le Parisien Magazine, où il revient sur son parcours d’enfant né à l’étranger de parents étrangers, naturalisé à 20 ans.  A dix jours du premier tour des élections départementales où le Front national devrait faire un gros score selon les sondages, le Premier ministre pose en « une » de l’hebdomadaire avec à la main une photographie en noir et blanc le représentant, enfant, en compagnie de sa mère.  Né en 1962 à Barcelone d’un père espagnol et d’une mère à double nationalité espagnole et suisse, originaire d’un canton de langue italienne, Manuel Valls dit avoir vécu « pleinement cette triple culture espagnole — et catalane — italienne et française. » « Je me sentais à la fois espagnol et français », raconte le chef du gouvernement, arrivé en politique dans le sillage de l’ancien Premier ministre socialiste Michel Rocard, « découvert au soir des législatives de 1978″. « C’est à 16 ans, quand j’ai dû aller chercher ma carte de séjour de deux ans, que j’ai compris que je n’étais pas français », raconte Manuel Valls, qui dit avoir alors subi un « interrogatoire » dans un commissariat du IVe arrondissement de Paris.  Au regard de son histoire personnelle, le Premier ministre estime qu’on n’est pas « français par sa naissance, sa couleur de peau ou ses origines mais parce qu’on adhère à un projet, à des valeurs, à une communauté nationale ». La communauté française repose à ses yeux sur « trois piliers » que sont la langue, l’histoire, la laïcité.   »Nos ancêtres ne sont pas tous Gaulois mais tous nos enfants seront français », dit-il.   »Ceux qui, comme moi, ont appris à devenir français, à aimer ce pays, ses valeurs, sa langue, sa littérature, sa culture, ont une conviction, un amour immense pour la France. Nous voulons lui rendre ce qu’elle nous a donné. »

 

Présidentielles 2017 : » je suis disponible » (Mélenchon)

 

Présidentielles 2017 : » je suis disponible » (Mélenchon)

Ce qui se passe en Espagne avec Podemos et ses marches auxquelles inspire Mélenchon présent  samedi à Madrid. S’adressant aux socialistes dissidents, aux écolos et à ses partenaires du Front de gauche, il leur demande de « se rassembler » – « une exigence morale » – afin de travailler à un « programme partagé », pour préparer une « candidature commune » en 2017. Une échéance pour laquelle il se déclare « disponible ». (Interview JDD)

Vous avez applaudi à la victoire de Syriza en espérant dans toute l’Europe un effet domino. Mais la Grèce a un taux de chômage de 25% et la France de 10%!
Ce qui est commun à toute l’Europe, ce sont les politiques d’austérité qui détruisent nos sociétés. Et elles aggravent le problème de la dette en prétendant le résoudre. François Hollande nous a enfermé dans cette impasse.

En France, de quoi rêvez-vous? D’un rassemblement, d’une alliance?
Le Front de gauche a atteint sa limite : il faut voir bien plus grand. Quand nous, les Verts, les socialistes dissidents, Nouvelle Donne, ne votons pas le budget et ne participons pas à la majorité gouvernementale, nous avons le devoir de proposer autre chose aux Français. Nous rassembler est une exigence morale. Les couteaux sans lame ne servent à rien! Ne perdons pas de temps. Car il faut mettre le peuple en appétit! Il a montré de quoi il est capable seul avec la manif Charlie! Alors le temps des simples cartels de partis est fini. Je souhaite une alliance citoyenne où le peuple commande. Aujourd’hui, le peuple est grand, mais la politique est petite! Avec la Grèce commence un nouveau cycle. Et la France aussi doit passer de la résistance au libéralisme à la libération.

Vous dites que, pour 2017, vous ne voulez pas être un « obstacle » au rassemblement de cette gauche alternative…
Ma situation est simple : je suis disponible. De bon cœur, j’irai au poste de combat que l’on m’assignera. Je ne suis pas un simple protestataire. Si nous devions gouverner, je saurais le faire. Je veux notre victoire. Je crois qu’il faut travailler à une candidature commune. Pour cela, il faut un programme partagé. Nous avons commencé avec les Chantiers de l’espoir. Avec Cécile Duflot, Pierre Laurent, Clémentine Autain et bien d’autres, nous venons de signer un texte pour un programme partagé en affirmant vouloir gouverner ensemble. Mais l’essentiel pour moi est que cette élection-là serve à changer la règle du jeu politique. Si à la prochaine présidentielle est resservi le potage habituel, les Français se détourneront de l’assiette. La meilleure candidature en 2017 c’est la VIe République, celle où les citoyens refondent leur pays en définissant une nouvelle Constitution! L’idée peut rassembler de tous côtés. Sinon, le désastre est certain.

 

La marque « Je suis Charlie » ou la compassion business

La marque « Je suis Charlie » ou la compassion business

50 dépôts officiels de la « marque » «  je suis Charlie » ou la preuve que nos sociétés peuvent marchandiser n’importe quoi sans le moindre respect. La plupart de ces dépôts de marque n’ont qu’un objet faire du fric sur le dos de ce drame et de l’émotion  nationale historique. Certains vont peut traverser un partie des bénéfices relises soit au journal, soit aux victimes. Globalement cependant cette commercialisation de la douleur et du réveil national révélé que les marchands du temple tournent aussi autour des valeurs de la république  Le business prime toujours aux yeux de certains. Plus de 50 demandes de dépôt de marque « Je suis Charlie » ont été enregistrées auprès de l’Institut national de la propriété intellectuelle (Inpi) depuis l’attentat contre Charlie Hebdo mercredi dernier, indique l’AFP ce lundi 12 janvier, citant une source proche du dossier. Le logo « Je suis Charlie », trois mots en blanc et gris sur fond noir reprenant la typographie de l’hebdomadaire satirique, est l’objet depuis plusieurs jours de nombreuses tentatives d’exploitation mercantile. Une photographie d’écran montrant une des premières demandes déposées auprès de l’INPI, datée de dimanche, a été diffusée sur Twitter.

Breaking News : le slogan « Je suis Charlie » aurait été déposé à l’INPI @BFMTV @itele @AFP #JeSuisCharlie pic.twitter.com/wUcyD1LYLW

— Je suis Charlie (@ClementLoup) 12 Janvier 2015

Des balances et des extincteurs « je suis Charlie »

Son auteur a sollicité le dépôt de la marque « Je suis Charlie » pour la classe de produits « appareils et instruments scientifiques », qui englobe entre autres les balances, les extincteurs et les étuis à lunettes. La procédure de dépôt d’une marque à l’INPI coûte 200 euros pour une demande en ligne (225 euros pour une demande papier), incluant jusqu’à trois classes de produits ou services. Chaque classe supplémentaire – il en existe 45 – est facturée 40 euros. L’INPI n’était pas en mesure lundi soir de confirmer le nombre de demandes reçues pour la marque « Je suis Charlie », mais rappelait que les détails relatifs aux déposants étaient normalement publiées sur son site internet dans les quatre semaines suivant l’enregistrement du formulaire, sauf dans les cas « contraires à l’ordre public et aux bonnes mœurs ». L’enregistrement d’une marque prend d’habitude plusieurs mois, a rappelé l’institut rattaché au ministère de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique. De nombreux produits (t-shirts, autocollants, badges…) affichant le tristement célèbre logo sont cependant déjà en vente sur les plateformes de vente en ligne. Certaines, comme Ebay et Amazon, se sont engagées à reverser leurs commissions à l’hebdomadaire, quand d’autres ont retiré ces produits de leurs boutiques en ligne. Par ailleurs, les adresses de sites internet jesuischarlie.fr, jesuischarlie.com et jesuischarlie.org ont été créées dès mercredi, quelques heures à peine après la fusillade dans les locaux de Charlie Hebdo, qui a fait douze morts et onze blessés. La société de conseil Coactiveteam, basée à Limogne-en-Quercy (Lot), a expliqué sur son site internet avoir « pris l’initiative de déposer » l’adresse jesuischarlie.fr pour la mettre « à disposition de Charlie Hebdo via son avocat », Richard Malka.

 

Hollande : « Je suis toujours là », c’est bien dommage !

Hollande : « Je suis toujours là », c’est bien dommage !

 

 

 

« Je suis toujours là »: curieuse déclaration de Hollande lors d’un déplacement plutôt discret à Angoulême. Il est vrai qu’il est tellement incompétent, impopulaire et inconséquent qu’il était sans doute nécessaire pour Hollande de rappeler une présence insipide. En fait, hollande a déserté le champ intérieur où il multiplie les erreurs pour se manifester à l’échelle infranationale. Là où il  ne rencontre pas non plus beaucoup de succès puisque ses fanfaronnades vis-à-vis de l’Europe sont usées jusqu’à la corde et Merkel ne l’écoute même plus. Sur l’Ukraine, même succès, il ne parvient même pas à s’entretenir directement avec Poutine, il est contraint de passer par un intermédiaire. Reste l’alliance contre l’Etat islamique où les quelques frappes de 2 ou 3 avions confirment  que le France joue un rôle de supplétif anecdotique vis-à-vis des américains. Après le fiasco de sa dernière conférence de presse ; Hollande paraît complètement perdu et les résultats économiques catastrophiques ne lui donnent guère l’occasion de redorer un blason bien défraichi. Il est donc toujours là et c’est bien le problème. Encore trois ans avec un personnage complètement à coté de ses baskets de président. Incapable désormais d’engager la moindre reforme structurelle un peu significative. En fait la campagne électorale est déjà lancée pour 2017, une campagne interminable qui ne va pas faire avancer le « smilblick » d’un pouce. De retour en province après une longue parenthèse, François Hollande s’est donc voulu jeudi 9 octobre à l’écoute des Français et de leurs préoccupations sociales lors d’un déplacement à Angoulême sur le thème de l’autisme. « Oui, c’est un retour, si tant est qu’il y avait eu un départ avant. Je suis toujours là », a-t-il lancé, après un court bain de foule devant le groupe scolaire Ronsard d’Angoulême, qui accueille six enfants autistes dans une classe de maternelle spécialisée. Accaparé tout au long de l’été par les crises internationales, de l’Ukraine à l’Irak, le président Hollande n’avait plus arpenté les provinces françaises, du moins publiquement, depuis un déplacement sur l’Ile de Sein, le 25 août, pour commémorer la Libération de la France. Il est « toujours passionnant d’entendre les professionnels » tout comme les jeunes ou les « attentes » de la population, a souligné le chef de l’Etat, enchaînant: « C’est donc ce que je fais et c’est ce que je ferai de plus en plus. » Son entourage l’assure: « Il y aura d’autres déplacements dans les jours et les semaines à venir, toujours sur des préoccupations quotidiennes, sociales, éducatives des Français avec des formats différents, adaptés à chacune des situations et des territoires. » En attendant, le président de la République, dont la cote de popularité bat toujours des records négatifs, a donc choisi l’autisme, domaine dans lequel la France accuse un retard criant mais qui fait l’objet depuis mai 2013 d’un nouveau plan

 

Taubira : « oui, je me suis trompée de dates »

Taubira : «  oui, je me suis trompée de dates »

 

Explications très laborieuses de Taubira notamment sur les dates. « Oui, j’admets que je me suis trompée de dates« , a lâché Christiane Taubira sur Canal+, après s’être emportée contre les questions du journaliste Jean-Michel Apathie. Mais, s’est-elle défendue, « quel intérêt y a-t-il à ce que je me sois trompée de dates? » Pour la garde des Sceaux, « c’est l’UMP qui organise cette polémique ». « Je ne mens pas », a de nouveau martelé la ministre, concédant seulement qu’il peut lui « arriver d’être imprécise ». Christiane Taubira a été reçue ce jeudi 13 mars à l’Elysée, où elle s’est rendue en vélo. « C’était une séance de travail, comme j’en ai toutes les trois semaines avec le Premier ministre et avec le président de la République sur des dossiers relatifs à la justice », a-t-elle expliqué. L’actualité a-t-elle été évoquée? « Incontestablement », a répondu la ministre, sans en dire plus. Est-elle toujours ministre de la Justice? « Vous saurez en temps utiles », a-t-elle seulement glissé. Informée le 26 février par le parquet général et le parquet financier de l’existence d’écoutes judiciaires visant Nicolas Sarkozy, Christiane Taubira avait d’abord assuré lundi 10 mars qu’elle en avait appris l’existence le 7 mars à la lecture du Monde, avant d’être corrigée par le Premier ministre en personne le lendemain. La droite l’a alors accusée d’avoir « menti » et a réclamé sa démission. Tout en excluant de quitter le gouvernement, la ministre s’était bornée mercredi à estimer qu’il y avait eu un « malentendu ».

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