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Elections législatives : Le municipalisme écologique pour succéder au communisme !

Elections législatives :  Le municipalisme écologique pour succéder au communisme ! 

Philippe Rio, maire (PCF) de Grigny (Essonne) et vice-président de la communauté d’agglomération Grand Paris Sud, estime dans une tribune au « Monde » que le municipalisme peut être un des moteurs de la victoire de la Nouvelle Union populaire et écologique et sociale, Sur le plan idéologique ce municipalisme  écologique serait le successeur du socialisme et du communisme ! Ou l’art du parti communiste d’accommoder les restes électoraux dans une curieuse tambouille idéologique. À quand une par exemple une politique nucléaire municipale ?  ( Le parti communiste veut maintenir le nucléaire et Mélenchon les supprimer). Ou naufrage de la vieille gauche prête à tout pour sauver sa peau.

 

L’élection présidentielle a entériné le bouleversement du paysage politique de notre pays. Trois blocs idéologiques, sociaux et territoriaux structurent aujourd’hui la carte électorale : bien sûr le bloc ultralibéral du président des riches et le bloc d’extrême droite, déjà dominants lors de l’élection de 2017, puis un troisième bloc, populaire, jeune, urbain, qui est venu jouer les trouble-fêtes.

Aujourd’hui, l’espoir créé lors du premier tour, amplifié par l’élargissement qui a abouti à la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes), peut gagner les élections législatives. Il permettra ainsi la victoire inédite d’un mouvement issu notamment des villes populaires et des banlieues, offrant un débouché à nos luttes et à nos expériences du municipalisme.

C’est en effet d’abord dans les quartiers populaires de l’outre-mer et de l’Hexagone que ce bloc s’est constitué politiquement au soir du 10 avril 2022. Les territoires dits urbains périphériques, où les populations sont les plus déclassées, précarisées et enfermées par l’ubérisation du travail, ont permis à la gauche, et en premier lieu à Jean-Luc Mélenchon, d’y réaliser ses plus gros scores. Cela, avec des résultats jamais vus sous la Ve République.

Cette « surprise » électorale était déjà en gestation à travers les luttes qui ont été menées depuis des années dans nos villes et qui ont ébranlé le premier quinquennat d’Emmanuel Macron : les « gilets jaunes », partis de nos ronds-points jusqu’aux boulevards des grandes métropoles, la déferlante féministe, de collages de rue en campagnes contre le harcèlement dans les transports en commun, les manifestations de la jeunesse urbaine face à l’inaction climatique ou enfin le mouvement pour la justice et contre les violences racistes.

Ce formidable bloc populaire naît aussi des expériences locales du « municipalisme », qui font la démonstration qu’« un autre monde est possible » . Ce monde est non seulement possible, mais dans nos villes et dans nos quartiers, nous sommes déjà attelés à sa construction. Ce municipalisme constitue aujourd’hui un mouvement diffus, qui, partout dans le monde, offre des perspectives de transformation réelles, qui répondent aux urgences démocratique, sociale et climatique. Il a une histoire, ou plutôt des histoires : celles du socialisme, puis du communisme municipal, coagulées plus récemment à l’écologie communale.

 

Depuis vingt ans, et le Forum de Porto Alegre qui consacrait la démocratie participative et l’altermondialisme et où on osait démontrer une réponse concrète au « There is no alternative », le municipalisme a cherché, innové et parfois offert un débouché aux tâtonnements : là où nos institutions ont rendu nos Etats presque amorphes, la démocratie du coin de la rue, du groupe WhatsApp et du bas d’immeuble a su débusquer et remettre en cause les logiques d’un système où les mécanismes inégalitaires d’accumulation de richesses ont dépossédé les classes sociales travailleuses de tout pouvoir économique et démocratique, jusqu’à nous gouverner presque de l’extérieur.

Allemagne : Armin Laschet, un proche d’Angela Merkel pour lui succéder

Allemagne : Armin Laschet, un proche d’Angela Merkel pour lui succéder

Au sein de la CDU ou, on a donc choisi un modéré proche d’Angela Merkel pour lui succéder. À l’issue d’un vote électronique, le président de la région de Rhénanie du Nord Westphalie, la plus grande et la plus riche du pays, a remporté 521 suffrages, contre 466 en faveur de son principal concurrent, le plus droitier Friedrich Merz. Le troisième candidat, Norbert Röttgen président de la Commission des affaires étrangères du Bundestag, avait été éliminé dès le premier tour, mais lors du second tour, les voix de ses supporters se sont majoritairement reportées sur le vainqueur.

« Nous allons veiller à ce que l’Union chrétienne démocrate fournisse le prochain chancelier », a dit le vainqueur du scrutin, qui aura besoin du soutien de la CSU bavaroise pour mener campagne en tant que chancelier. Or, si les sondages nationaux, postérieurs au scrutin interne de la CDU, devaient se révéler aussi médiocres qu’aujourd’hui, sa candidature nationale pourrait être écartée au profit du président de la CSU bavaroise, le très populaire Markus Söder. Selon un sondage de la chaîne RTL, seuls 8 % des Allemands estiment qu’Armin Laschet ferait un bon successeur à Angela Merkel.

 

Cette élection est décisive pour l’avenir de l’Allemagne : le vainqueur sera en effet en bonne position pour mener le camp conservateur aux élections de septembre et succéder à Angela Merkel, au pouvoir depuis 2005. Sans garantie toutefois : le choix devrait être fait au printemps et d’autres prétendants restent en embuscade, dans une Allemagne frappée de plein fouet par la deuxième vague pandémique.

 

Poids lourd de la politique allemande, il dirige depuis quatre ans le Land le plus peuplé du pays, la Rhénanie du Nord Westphalie. Samedi matin, il s’est automatiquement glissé dans le costume de favori pour être le prochain chancelier. La CDU aborde cette année électorale avec quasiment 20 points d’avance dans les sondages. Et si cela se maintient, elle décrochera la chancellerie en septembre, avec donc un nouveau chef complètement dans la lignée d’Angela Merkel.

Armin Laschet, qui aura 60 ans le mois prochain, est un fidèle de l’actuelle chancelière, un homme du centre qui a choisi d’être candidat au poste de président de la CDU avec un colistier, ce qui a renforcé son profil de joueur collectif, à l’écoute. « Vous me connaissez, vous pouvez me faire confiance », a-t-il affirmé dans son discours, samedi. « Je suis l’homme de la continuité ».

Catholique, Armin Laschet est originaire d’Aix la Chapelle et une partie de sa famille vient de Belgique. Il est marié à une francophone et d’après son frère, qui a fait l’arbre généalogique des Laschet, il serait le descendant au 40ème degré de Charlemagne.

En vue de cette élection, Armin Laschet disposait de plusieurs atouts. Ce modéré, ancien journaliste aux yeux rieurs, marche en effet dans les pas de la populaire chancelière. Dans un discours diffusé vendredi soir à l’ouverture du congrès, Angela Merkel a laissé deviner sa préférence pour « l’équipe » qu’il forme avec le ministre de la Santé, Jens Spahn.

Armin Laschet peut plaire à l’électorat centriste et, s’il est candidat en septembre, bâtir une éventuelle coalition avec les Verts, la deuxième force du pays. Mais sa gestion de l’épidémie à la tête de la Rhénanie du nord-Westphalie, région la plus peuplée d’Allemagne, lui a valu de nombreuses critiques. Armin Laschet a en effet plaidé au printemps pour un assouplissement des restrictions jugé trop précoce par les experts.

La Covid 19 : Des vagues vont se succéder jusqu’à l’été voir plus tard (Conseil scientifique)

 Covid 19 : Des vagues vont se succéder jusqu’à l’été voir plus tard (Conseil scientifique)

 

En clair, le conseil scientifique n’exclut plus la possibilité d’autres vagues qui vont succéder à celle en cours. On parle désormais d’une crise qui pourrait durer jusqu’à l’été voire davantage. « Il est très difficile de prévoir combien de temps va durer la 2e vague, car cela dépend du virus lui-même, de son environnement climatique, des mesures qui vont être prises pour limiter la circulation du virus, de leur acceptation et donc de leur impact », écrit le Conseil scientifique.

« On peut faire une hypothèse d’une sortie de 2e vague en fin d’année ou début d’année 2021. Cette sortie devrait s’accompagner d’un retour de la circulation du virus à un niveau très contrôlé (5.000 à 8.000 nouvelles contaminations par jour maximum) », poursuit l’instance.

« On peut ainsi avoir plusieurs vagues successives durant la fin de l’hiver/printemps 2021, en fonction de différents éléments: état climatique, niveau et efficacité opérationnelle de la stratégie Tester/tracer/isoler (les cas positifs) », ajoute-t-il.

Les gouvernements seront donc confrontés à « la gestion de vagues successives de recrudescence » de l’épidémie, « jusqu’à l’arrivée des premiers vaccins et/ou traitements », peut-être au deuxième trimestre 2021 mais plus vraisemblablement pas avant l’été voire plus tard.

Royaume-Uni : un fou pour succéder à Theresa May ?

Royaume-Uni : un fou pour succéder à Theresa May ?

 

Boris Johnson, en parfait démagogue a annoncé s’il était premier ministre que la Grande-Bretagne ne paierait rien à l’union économique et que la rupture serait brutale. En fait il s’agit surtout de s’adresser surtout au sélecteur et aux membres du parti conservateur pour renforcer son éventuelle posture comme premier ministre Johnson est un habitué des coups de force, des mensonges et des manipulations. Fin d’année 2018 de The Economist l’a récompensé comme le pire de la politique britannique. Johnson a reçu la plus haute distinction (le « politicien qui a le plus fait pour laisser tomber son parti et son pays »). ] The Economist a décrit Johnson comme l’un des architectes de la « catastrophe » du Brexit, notons que Boris Johnson est un habitué des coups tordus. Faut-il rappeler qu’au départ il n’était pas pour le break site et ne s’est converti à la rupture avec l’union économique que pour déstabiliser le premier ministre. Faut-il aussi rappeler qu’il a été viré du très sérieux journal le Times pour avoir manipulé une citation

. Il a échoué lamentablement en tant que secrétaire aux affaires étrangères. Il a tiré sur Mme May alors qu’il était au Cabinet. Il a agi contre son contrat depuis le fond et dans sa chronique de journal lucrative sans présenter de réelle alternative. Ce démagogue n’est pas un homme d’État, c’est l’homme le plus irresponsable que le pays ait connu depuis de nombreuses années. Boris Johnson Boris Johnson se livre un nouveau chantage

Boris Johnson se livre à un nouveau chantage en affirmant a, que s’il devenait Premier ministre, il refuserait que le Royaume-Uni paie la facture du Brexit jusqu’à ce que l’Union européenne accepte de meilleures conditions de retrait. « Nos amis et partenaires doivent comprendre que l’argent sera conservé jusqu’à ce que nous ayons plus de clarté sur le chemin à prendre », a déclaré ce partisan du Brexit, favori pour succéder à Theresa May, dans un entretien au Sunday Times (en anglais).  »Dans un bon accord, l’argent est un excellent solvant et un très bon lubrifiant », a ajouté l’ancien ministre des Affaires étrangères et ancien maire de Londres.

Boris Johnson fait parti des favoris pour succéder à Theresa May cependant au sein même des conservateurs il suscite à la fois encore beaucoup d’interrogations voire de rejet. En cause sa démagogie, ses contradictions et ses prises de position imprévisible. Sur le plan économique la nomination de Boris Johnson constituerait sans doute un signal très néfaste dans les milieux d’affaires. L’une des premières séquences serait sans doute d’entraîner une nouvelle dépréciation de la monnaie britannique.

 




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