Archive pour le Tag 'stupide'

Ne plus «rêver aérien»: «stupide» selon Le Maire et Jadot pris au piège

Ne plus «rêver aérien»: «stupide» selon Le Maire et Jadot pris au piège

 

 

Jadot qui rêve d’incarner l’union de la gauche et qui a déclaré vouloir réunir des principaux responsables politiques d’ici 15 jours a d’abord totalement approuvé les propos de la maire de Poitiers concernant la condamnation du transport aérien et des rêves d’enfants qu’il peut susciter. Jadot s’est ensuite ravisé en rééquilibrant  sa position. Tout en soutenant encore la maire  de Poitiers, le leader écologiste a convenu  qu’il a pu «découvrir une partie de la beauté du monde grâce à l’avion». Sur le fond cependant, le candidat potentiel à la présidentielle «assume» la décision de la maire écologiste de réduire des subventions à des aéroclubs locaux.

 

«Sur l’avion, tout le monde a compris qu’on allait changer» avec moins de voyages d’affaires notamment, a appuyé l’eurodéputé. Il faut à la fois «sauver Air France», qui doit recevoir une nouvelle aide financière, et «développer d’autres modes de transports», selon lui. Un Jadot qui fait déjà du en même temps. Le ministre de l’économie lui a été beaucoup plus catégorique :

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«Je n’ai aucune envie que la maire de Poitiers, ni que quelque responsable politique que ce soit, et certainement pas les écologistes radicaux, changent les rêves de mes enfants», a ajouté Bruno Le Maire. «Les rêves des enfants français n’appartiennent qu’aux enfants français».

«L’aérien doit faire partie de notre vie, l’aérien décarboné. J’appartiens à un gouvernement qui estime que l’écologie doit reposer sur l’innovation, les nouvelles technologies. Je me bats pour que Airbus soit le premier constructeur aéronautique au monde à réaliser un avion à hydrogène, c’est ça le vrai rêve», a fait valoir le ministre.

 

«Ce n’est pas la décroissance, ce n’est pas le repli sur soi, ce n’est pas l’abandon des technologies, ce n’est pas le renoncement au progrès. C’est concilier le succès économique avec la décarbonation de notre économie et le respect de l’environnement», a-t-il développé.

Vœux-Trump : toujours aussi stupide et cupide

 

Vœux-Trump : toujours aussi stupide et cupide

 

Si le président français a utilisé un temps d’environ 18 minutes pour exprimer ses vœux, il a fallu seulement quelques secondes à Trump pour cracher sa stupidité mais aussi sa cupidité. Exemple se tweeté mode d’expression privilégié pour satisfaire les compétences littéraires du président américain

 

«Si les Dems (Hillary la crapule) avaient été élus, vos actions auraient perdu 50% par rapport à leur valeur le jour de l’élection. Maintenant elles ont un bel avenir – et ça ne fait que commencer ! », a-t-il depuis sa résidence de Mar-a-Lago, en Floride.

Si nos gouvernants politiques français justifient encore souvent des critiques légitimes par contre, on ne peut quand même pas leur reprocher d’être tombés aussi bas

 

Autre  exemple de la démagogue :

« Pourquoi des électeurs intelligents voudraient-ils envoyer des Démocrates au Congrès lors de l’élection de 2018 alors que leurs politiques vont complètement tuer la grande richesse créée depuis l’élection ? »

 

Dernier éloge de la bêtise :

 

. « Au moment où notre pays devient rapidement plus fort et plus intelligent, je veux souhaiter à tous mes amis, partisans, ennemis, à ceux qui me détestent, et même aux très partisans Fake News Media, une belle nouvelle année », a-t-il écrit. « 2018 sera une grande année pour l’Amérique ! »

« Trump : une politique économique stupide et dangereuse »

« Trump : une politique économique stupide et dangereuse »

Deirdre McCloskey, économiste américaine,  dans une interview à  La Tribune justifie  sa critique du réductionnisme économique et considère par ailleurs que Trump mène le pays vers la catastrophe économique.

 

Dans votre livre, vous exposez les « péchés » des économistes. Quels sont-ils ?

DEIRDRE McCLOSKEY - Le problème avec les économistes est qu’ils sont très fermés et trop techniques. Dans mon livre, j’essaie d’élargir l’économie aux sciences humaines : la littérature, la philosophie, le théâtre… à l’ensemble de la culture. C’est ce que j’appelle les « humanomics » consistant à tenir compte de l’ensemble de la culture pour parler d’économie. Il s’agit d’une question de méthodologie qui est très utile pour comprendre comment nous vivons.

Rejetez-vous l’approche de l’économie par les mathématiques ?

Quand j’étais jeune j’étais marxiste, puis je suis devenue keynésienne, en fait, j’ai été tout ce qu’on peut être! Je ne suis pas contre les modèles mathématiques que j’ai étudiés et utilisés. Le problème n’est pas là, mais dans la résistance des économistes à prendre en compte la culture, à ne pas considérer le contexte global dans lequel les êtres humains vivent. Dans mon livre, je parle du sacré et du profane. L’être humain possède ces deux faces. Il y a les éléments relevant du sacré : la famille, la nation, dieu… et ceux du profane : louer un appartement, boire du thé… Certains pensent qu’il est simple d’appliquer les mathématiques au profane. L’économiste Gary Becker tentait d’ailleurs d’expliquer que tout relève du profane, que tout n’est qu’une question de prix, de revenu… Sa théorie n’intégrait pas cette dimension du sacré. C’est une erreur non seulement scientifique mais également éthique. Je peux d’autant plus le dire que moi-même j’y ai cru.

Au moment où l’on parle désormais de « faits alternatifs » – comme l’a fait la conseillère de Donald Trump après la polémique créée sur l’importance de la foule qui a assisté à l’investiture du nouveau président -, pensez-vous que la manière dont les économistes produisent des faits, des statistiques est contestable ?

Les faits sont les faits. Et je leur prête un intérêt particulier. Sur ce point, je pense que la foule était moindre à l’investiture de Donald Trump qu’à la première de Barack Obama, et même la seconde. Donald Trump est un homme terriblement dangereux et fou. En revanche, je ne pense pas que l’on puisse prouver quoi que ce soit avec des statistiques. Ce qui compte c’est le point de vue. Par exemple, je trouve que l’obsession de l’égalité qui parcourt le livre de Thomas Piketty, « Le Capital au XXIe siècle », est particulièrement contre-productive. Le coefficient de Gini [mesure de la distribution des revenus, ndlr] est un fait, on peut le calculer, mais ce n’est pas un fait important. Ce qui l’est en revanche, c’est la condition de la classe ouvrière, et ça n’a rien à voir avec le coefficient de Gini.

 

À l’heure de la post-vérité, la bataille porterait davantage sur le plan culturel ?

Je pense que c’est vrai. Ce que nous devons faire par dessus tout est de nous battre pour le libéralisme. C’est l’idée que la liberté est fondamentale et que le gouvernement ne doit pas interférer. Protéger les emplois est une mauvaise idée, car cela crée du chômage et pèse sur la croissance économique. Je suis sûre que l’administration Trump va nous conduire à une récession. Après huit années de croissance, soit l’une des plus grandes périodes d’expansion dans l’histoire de l’Amérique, il est plus que probable qu’il y aura une récession dans les quatre années à venir. Nous verrons à ce moment-là comment réagit l’administration Trump.

Ses choix politiques vont-ils aggraver la situation?

Pas nécessairement, mais il sera blâmé par ses électeurs à cause de la récession. Ceux de Pennsylvanie vont perdre leurs emplois et vont se dire:  »J’ai voté pour Trump pour sauver mon emploi et voilà ce que ça a donné ». C’est une façon naïve de voir les choses, mais ça se passera probablement ainsi.

Existe-t-il une mesure du programme de Donald Trump que vous jugez utile ?

Oui, la baisse de l’impôt sur les sociétés. Le problème de cet impôt est que personne ne sait qui le paie. Est-ce les employés, les actionnaires, les clients ? Une société n’est pas une personne, c’est une entreprise. Cela fait 60 ans qu’on en débat et aucun économiste n’est capable de dire précisément qui le paie. Il n’y a pas de consensus. Les Etats-Unis ont le niveau d’impôt sur les sociétés le plus fort du monde, 35%, c’est ridicule. Mis à part ça, la plupart des mesures que Donald Trump propose sont stupides, en particulier en ce qui concerne le commerce international.

Nicolas Sarkozy :  » la stupide Nadine Morano « 

Nicolas Sarkozy :  » la stupide Nadine Morano « 

« Que dire de la stupide Nadine Morano ? » s’interroge à voix haute Nicolas Sarkozy, agacé par le parasitage de la campagne des régionales. Morano dont les pieds ne touchent plus terre depuis qu’elle est sous le feu des médias. Entre elle et Sarkozy c’est aussi une sorte de dépit amoureux. Nadine Morano a très mal ressenti sa mise à l’écart dans l’organigramme du nouveau parti les républicains ;  du coup elle a décidé d’affronter Sarkozy lors des primaires moins sans doute pour gagner ses élections que pour faire perdre Sarkozy. Une stratégie toutefois suicidaire car on voit mal un courant du parti de Sarkozy l’accueillir avec enthousiasme même si elle dit tout haut et maladroitement ce que d’autres pensent tout bas de toute évidence elle a du mal à maîtriser la forme de sa pensée. « Ne lui donnons pas de l’importance, car c’est exactement ce qu’elle cherche, poursuit le président des Républicains. Je ne veux pas lui parler, car elle irait immédiatement s’en prévaloir dans la presse », tranche Nicolas Sarkozy, qui délègue ainsi à son fidèle Brice Hortefeux le soin de contacter la députée européenne. Le brave Hortefeux décroche son téléphone et tente de ramener Morano à la raison. « Il m’a dit : Je ne te demande pas de retirer tes propos, mais de les apaiser« , confirme au Point la blonde incendiaire. Nicolas Sarkozy ne veut pas non plus être en première ligne sur ce dossier, préférant attendre que Philippe Richert, la tête de liste LR des régionales dans la région Grand Est, lui demande d’évincer Morano.  Lorsque Brice Hortefeux rend compte à Nicolas Sarkozy de sa conversation à Nadine Morano, il pense que le message est passé. Sarkozy s’attend donc à ce que son ancienne ministre, invitée mercredi matin sur Europe 1, replie un peu la voilure à travers une formule diplomatique. Pas vraiment un retrait, mais un demi-rétropédalage qui permette à la famille républicaine, en émoi depuis dimanche, de retrouver sa sérénité en vue du combat des régionales. Nadine Morano a-t-elle joué avec les nerfs de l’ancien président ? Toujours est-il que ce n’est pas sans inquiétude que, mercredi matin, Nicolas Sarkozy se tient aux aguets, l’oreille collée au transistor. Las ! Nadine Morano maintient ses propos et évoque la référence du général de Gaulle. À la réunion du mercredi matin, au siège du parti, rue de Vaugirard, Nicolas Sarkozy lâche : « Je ne peux pas tenir. Il faut qu’on bouge sur Morano. »  Pendant ce temps, Nadine Morano ne voit pas le danger venir. Elle ne croit pas à une sanction. Elle pense que ceux qui, à droite, se déchaînent contre elle poursuivent une arrière-pensée politicienne : flinguer, non pas le propos, mais la candidate à la primaire, celle qui, par son franc-parler et son rapport direct aux électeurs, dérange ces messieurs. « Je ne suis pas dans la courtisanerie vis-à-vis de Sarkozy. S’il me vire, ça clashera très fort ! » Confie-t-elle au Point, mais elle n’envisage pas sérieusement cette option : « Sarkozy sait que je suis un homme politique avec un grand H et, en même temps, une femme. Il ne sait pas comment s’y prendre et évite la confrontation directe. » De fait, c’est Hortefeux qui joue les tampons… . Je viens de Lorraine, je viens de la terre de Jeanne d’Arc. Ils sous-estiment ma force de résistance. Philippe Richert aurait dû me protéger. Jacques Lamblin, le président de la fédération des Républicains de Meurthe-et-Moselle, lui, me soutient et trouve cette polémique grotesque ! »

Réfugiés : « favoriser l’accueil est stupide « (Ephrem Azar)

Réfugiés : « favoriser l’accueil est stupide « (Ephrem Azar)

Une voix un peu discordante, celle d’un Irakien qui considère que favoriser l’accueil des réfugiés est stupide et qui pense que les États-Unis comme l’Europe ont une lourde responsabilité dans la déstabilisation politique des pays en conflit. Dans une interview à France Info un Frère dominicain irakien considère que cette politique des pays occidentaux sert en effet l’opération d’épuration menée par l’État islamique. Il livre son analyse de la situation sur place et des réponses, inadéquates selon lui, de l’Occident face à la crise des migrants.   »Ce que l’Occident propose aujourd’hui est complètement stupide et naïf. Il ne faut pas entrer dans la pitié dangereuse et dans la sensiblerie des gens. C’est vrai, le peuple français est très généreux, j’en suis témoin, et les gens vont ouvrir leurs portes. Mais est-ce une solution ? » « Il faut avoir du discernement et comprendre les causes de cette crise, notamment en Syrie et en Irak. Sur place, nous avons en face de nous Daech et d’autres islamistes qui vont dire : ‘Puisque l’Occident chrétien vous accueille, allez-y. Ils vous ouvrent les bras, allez-y… et ce pays n’est plus le vôtre. Il y a aussi un appauvrissement total de ce pays, parce que ceux qui partent, ce ne sont pas seulement malportants et les pauvres, c’est aussi toute la richesse intellectuelle, sociale, qui avait beaucoup de talent et de qualifications« . Mais alors, comment éviter le départ massif vers l’Occident de milliers de personnes qui sur place vivent l’horreur et la guerre, sans perspective d’avenir ?… Selon Ephrem Azar, il faut d’abord commencer par « favoriser la dignité » là où c’est possible, notamment dans les camps en Jordanie et au Liban voisins, et en Irak. « Il faut créer des écoles, des dispensaires, un orphelinat et des emplois sur place« , explique-t-il. C’est un des objectifs de l’association Entre deux rives, La passerelle France-Orient, association de dialogue interculturel et interreligieux, dont il est le président.   »On est en train de travailler pour construire une école, un orphelinat et un dispensaire au Kurdistan » qui accueille les réfugiés. C’est un moyen d’encourager les populations à rester sur place. Ceux qui ont créé ce chaos, que ce soient les Américains et les Européens, doivent « remanier leur politique aujourd’hui sur le terrain », estime Ephrem Azar. Car cette crise profonde n’est pas nouvelle, souligne l’historien des religions. « Elle remonte à 1979, avec l’échec des idéologies« .

 

Inversion chômage : mensonge d’Etat et pari stupide

Inversion chômage : mensonge d’Etat et pari stupide

 

L’inversion de la courbe du chômage est d’abord un mensonge d’Etat. En dépit des manipulations du nombre d’inscrits par Pôle emploi ; le chômage ne cesse de progresser en particulier depuis l’élection de Hollande. Environ 10%  de taux de chômage en 2012, 10.5 en 2013 et 11 % d’après l’INSEE pour 2014. Affirmer le contraire est un déni de réalité et une grossière tromperie politique. C’est aussi un stupide pari politique de Hollande. Comme si le gouvernement pouvait créer des emplois durables. Certes avec les emplois aidés financés par le contribuable, on fait artificiellement diminuer le nombre de chômeurs mais pas assez pour compenser les pertes dans l’emploi marchand ; chaque jour de grandes sociétés, des moyennes et des petites ferment. Comment dès lors créer de emplois ? Il n’y a aucune croissance : 0.1 ou 0.2% en 2013 alors qu’il faudrait de l’ordre de 0.8% pour stabiliser le nombre de demandeurs d’emplois et environ, 1.5% pour recréer réellement des postes. Un pari stupide parce ce n’est pas par l’incantation qu’on régule l’économie. L’emploi dépend avant tout de la croissance (qui elle non plus ne se décrète pas,  laquelle dépend à son tour des conditions économiques générale  (consommation, investissement, exportation, confiance, accès au crédit, stabilité fiscale, rigidité du marché du travail, formation etc) , c’est sur ces conditions que peut agir le gouvernement et l’emploi n’est qu’une résultante de ces conditions. Hollande et son gouvernement objectent qu’il faut bien faire preuve d’optimisme ; un non sens économique ; On se trompe de séquence. Les promesses mensongères et idiotes relèvent des campagnes électorales. Une fois au pouvoir il faut gérer et la bonne gouvernance impose de prendre les problématiques dans l’ordre. Enfin que connait Hollande ou encore Sapin aux problèmes concrets de l’emploi ?  eux qui ont pantouflé toute leur vie dans l’administration et les appareils politiques ? L’enfermement dans le slogan de l’inversion du chômage par le gouvernement n’est pas seulement stupide, il est ridicule et pathétique.

Titan -Taylor : « Il est stupide ou quoi Montebourg? » hélas, oui !

Titan -Taylor : « Il est stupide ou quoi Montebourg? » hélas, oui !

Le patron de Titan n’a pas totalement raison mais il est loin d’avoir complètement tort. Pour Montebourg en tout cas, il a raison. Montebourg n’a jamais rien compris à l’économie et pour cause, Hollande le savant, l’a mis dans un placard ministériel afin que ses positions gauchisantes et populistes – ce qui n’est pas incompatibles- ne le gêne pas. Même démarche pour Hamon ; lui aussi trublion de gauche que Hollande a aussi cadenassé dans un ministère fantôme , celui de la consommation ; Ce qui n’empêche pas l’intéressé de faire une grosse erreur sur la filière da la viande, cela uniquement pour tenter dexister.par exemple avec cette dernière déclaration démagogique sur une filière de la viande qu’il ne connaît pas « si vous volez une barquette de surgelé dans un magasin, vous encourez trois ans de prison et 45.000 euros d’amende. Quand vous trompez 4,5 millions de personnes pendant 6 mois vous encourrez 37.000 euros d’amende et 2 ans d’emprisonnement », vraiment le degré zéro de la politique.  Le PDG du fabricant américain de pneus Titan International, Maurice Taylor, s’en est donc pris une nouvelle fois au ministre du redressement productif Arnaud Montebourg au micro d’Europe 1, vendredi matin. « Mais pourquoi il m’embête avec ça votre ministre ? Il est stupide ou quoi ? On parle de l’usine Goodyear et il s’adresse à moi. Vous devriez poser vos questions à cet imbécile ! », a-t-il lâché, avant d’expliquer avoir « négocié pendant un an. Ce syndicat, la CGT, a claqué la porte. Ils s’en fichaient de perdre 500 emplois. Je leur ai dis ‘500 emplois c’est mieux que rien, surtout avec des salaires si élevés’. Et pourquoi ils ne l’achètent pas cette usine s’ils sont si intelligents ? Que le gouvernement français leur donne l’argent ! » Et de conclure : « je l’ai dit au ministre : j’aime la France. C’est juste que vos politiciens soient un peu comme les nôtres. Ils ne savent pas dire la vérité. »Evidemment le PDG de Titan ne fait pas dans la dentelle ; ça change des discours ‘énarchisants’ de notre classe politique. Le patron de Titan n’a pas raison de trop généraliser, certaines entreprises sont particulièrement bien gérées. Il y a cependant des raisons objectives au fait que la France a fermé 1000 usines en trois ans et au fait qu’il y a 1000 chômeurs de plus par jour. Il n’y a pas qu’un seul facteur explicatif ; le principal, le poids de la fiscalité qui plombe la compétitivité mais aussi dans de nombreux cas la totale incompétence de certains syndicats dont la culture économique est d’une indigence dramatique (à  la différence de l’Allemagne). Le patron de Titan a encore raison quand il dit que les politiques ne disent pas la vérité, c’est malheureusement incompatible avec l’exercice actuel de la démocratie où pour être élu il faut dire n’importe quoi.  C’est encore plus vrai en France qu’ailleurs et c’est sans doute encore la raison du déclin du pays. Une vraie tare politique mais aussi culturelle ?




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