Archive pour le Tag 'Standard & Poor’s'

Notation France: note maintenue …..de justesse par Standard & Poor’s

Notation France: note maintenue …..de justesse par SP

La France évite – de justesse- la sanction. la note -ci est maintenue à «AA» mais toujours avec avec perspective négative. Il y a quelque chose de pathétique dans la satisfaction du gouvernement et du ministre de l’économie . Une note très commentée politiquement et qui montre à quel point la France et dépendante désormais du verdict d’institutions internationales. En cause évidemment la dégradation catastrophique des finances notamment de la croissance du déficit et l’envolée de la dette. Cette note a aussi une connotation politique car actuellement les agences de notation ce montre assez bienveillante vis-à-vis des budgets et des dettes des pays. Une plus grande sévérité serait susceptible de faire s’envoler encore les taux d’intérêt et l’inflation, Ce que ne souhaite aucune institutions financières internationales.

Actuellement la dette dépasse les 3000 milliards et génère près de 60 milliards de charges financières. Et d’ici une dizaine d’années sur la tendance on prévoit un endettement à 5000 milliards avec une charge de 100 milliards par an, soit nettement le premier budget de l’État

Le problème, c’est que le budget 2024 et à peine voté par le Parlement apparaît déjà complètement obsolète non seulement à la Cour des Comptes mais aussi par Bruxelles. Le problème de la fiabilité du budget est classique en France. D’un côté on sous-estime les dépenses- voire à cet égard la dérive générale- mais aussi toute une série de chèques attribués à telle ou telle catégorie ou champs d’activité), d’un autre on surestime la croissance.

Les experts considèrent aujourd’hui qu’il sera bien difficile d’atteindre 1 % de croissance et le consensus tourne autour de 0,8 %. Le gouvernement ,lui, retient la perspective de 1,4 %. Une manipulation comptable qui permet de cacher un peu mieux l’ampleur du déficit;

Or les nuages s’accumulent sur les prévisions macroéconomiques du gouvernement. Déjà, entre le printemps et la présentation du projet de loi de finances (PLF), en septembre, Bercy avait de lui-même abaissé sa prévision de croissance pour l’an prochain de 1,6 % à 1,4 %. Malgré cet ajustement, le Haut Conseil des finances publiques de la Cour des comptes l’a jugée « élevée », notamment par rapport au consensus des économistes, qui tourne autour de 0,8 %.

Finances publiques : l’attente pathétique de la décision de Standard & Poor’s

Finances publiques : l’attente pathétique de la décision de Standard & Poor’s

Il y a quelque chose de pathétique dans cette attente du gouvernement et du ministre de l’économie en particulier vis-à-vis de la note qui va tomber aujourd’hui en provenance de Standard & Poor’s. Une note qui sera très commentée politiquement et qui montre à quel point la France et dépendante désormais du verdict d’institutions internationales. En cause évidemment la dégradation catastrophique des finances notamment de la croissance du déficit et l’envolée de la dette. Actuellement la dette dépasse les 3000 milliards et génère près de 60 milliards de charges financières. Et d’ici une dizaine d’années sur la tendance on prévoit un endettement à 5000 milliards avec une charge de 100 milliards par an, soit nettement le premier budget de l’État

Actuellement, la note de la dette publique française, AA, est assortie d’une perspective négative. Sur le fond, une dégradation de la part de S&P pourrait provoquer une hausse du coût de l’argent pour la France sur les marchés, dans un contexte où l’augmentation globale des taux d’intérêt gonfle la charge de la dette.

Le problème, c’est que le budget 2024 et à peine voté par le Parlement apparaît déjà complètement obsolète non seulement à la Cour des Comptes mais aussi par Bruxelles. Le problème de la fiabilité du budget est classique en France. D’un côté on sous-estime les dépenses- voire à cet égard la dérive générale- mais aussi toute une série de chèques attribués à telle ou telle catégorie ou champs d’activité), d’un autre on surestime la croissance.

Les experts considèrent aujourd’hui qu’il sera bien difficile d’atteindre 1 % de croissance et le consensus tourne autour de 0,8 %. Le gouvernement ,lui, retient la perspective de 1,4 %. Une manipulation comptable qui permet de cacher un peu mieux l’ampleur du déficit;

Or les nuages s’accumulent sur les prévisions macroéconomiques du gouvernement. Déjà, entre le printemps et la présentation du projet de loi de finances (PLF), en septembre, Bercy avait de lui-même abaissé sa prévision de croissance pour l’an prochain de 1,6 % à 1,4 %. Malgré cet ajustement, le Haut Conseil des finances publiques de la Cour des comptes l’a jugée « élevée », notamment par rapport au consensus des économistes, qui tourne autour de 0,8 %.

Finances : note de la France confirmée par Standard & Poor’s

Finances : note de la France confirmée par Standard & Poor’s

 

Avec la crise sanitaire, les agences de notation qui évaluent  la dette et les états sont un peu dans le potage. En effet, avec les critères d’il y a deux ans ,la grande dérive des dettes publiques pourrait amener à dégrader la plupart des pays. La France en particulier dont le taux d’endettement atteignait de l’ordre de 100 % avant la crise sanitaire et qui atteindra pas loin de 120 % en 2021. La même dérive est enregistrée dans nombre de pays y compris les États-Unis.

Dès lors  s’il fallait sanctionner les pays trop dépensiers , cela concernerait un trop grand nombre et le risque serait de créer un choc provoquant une remontée brutale des taux et une grande crise financière internationale.

Du coup, les critères d’hier ne sont plus ce aujourd’hui et les agences de notation qui s’inscrive dans la philosophie des banques centrales ne sanctionne plus les Etats dépensiers.

 

L’agence confirme croissance du PIB français à 6,2% cette année, puis 3,6% en 2022 et 2,3% en 2023. « Nous avons révisé en hausse notre prévision d’expansion pour cette année car la demande intérieure a bénéficié d’une montée de l’épargne, des investissements publics et privés (…) ainsi que de la stabilisation de la situation épidémiologique », indique de manière un peu laconique l’agence qui en fait reprend les propos du gouvernement

« Nous estimons que le retrait des mesures exceptionnelles de soutien (adoptées) pour faire face au Covid-19 ainsi que la dynamique de la reprise devraient réduire significativement le déficit budgétaire en 2022″, indique encore S&P qui voit toutefois dans le calendrier électoral un risque à ses projections.

 

Venezuela : dégradation par Standard & Poor’s

Venezuela : dégradation par  Standard & Poor’s

L’agence de notation Standard and Poor’s, après Fitch  a annoncé vendredi 3 novembre avoir abaissé la notation sur la dette du Venezuela à « CC ».    Elle anticipe ainsi un probable défaut suite à l’annonce de la restructuration de la dette du pays par le président Nicolas Maduro.  »Je dis aux investisseurs du monde entier et aux détenteurs de dette vénézuélienne: je vous convoque le 13 novembre à Caracas pour lancer un processus de refinancement et de renégociation de la dette externe », avait déclaré le chef de l’Etat. Fitch, plus tôt vendredi, avait abaissé la note du pays à « C », peu après l’annonce de Nicolas Maduro. Par ailleurs, le Fonds monétaire international a pris acte lors d’une réunion de son comité de direction que le pays, qui traverse une grave crise politique et économique, était « en violation » avec les règles de l’institution en ne donnant pas accès à ses données économiques complètes. Fournir les données relatives aux exportations et aux importations de marchandises ainsi que celles concernant les indicateurs économiques clés sont « une obligation de tous les membres du Fonds », a rappelé le FMI. Les membres du conseil d’administration du FMI, qui se sont réunis vendredi, exhortent en outre le Venezuela « à adopter des mesures de rattrapage spécifiques et se réuniront dans les six mois pour examiner l’évolution du Venezuela ».

 

Standard & Poor’s : dégradation de la note de l’union européenne

Standard & Poor’s : dégradation de la note de l’union européenne

Conséquence du brexit, comme le Royaume-Uni, l’union européenne subit aussi une dégradation de sa note par Standard & Poor’s qui passe de AA+ à AA, La perspective de la nouvelle note est stable, précise l’agence dans un communiqué. « Après la décision des électeurs du Royaume-Uni de quitter l’UE à l’issue du référendum consultatif du 23 juin, nous avons réévalué notre jugement sur la cohésion de l’UE, que nous considérons désormais comme un facteur neutre et plus positif en terme de notation », explique-t-elle. « Nous pensons que dorénavant, les prévisions de revenus, la planification à long terme et les ajustements des principaux mécanismes d’amortissement financier de l’UE seront sujets à une incertitude accrue. » S&P avait abaissé dès lundi la note du Royaume-Uni de deux échelons, à AA, le privant de la note suprême AAA.

(Avec Reuters)

COP 21 : l’agence de notation Standard & Poor’s note les Etats

COP 21 : l’agence de notation Standard & Poor’s note les Etats

 

 

Même si l’exercice est encore très embryonnaire et très partiel voire partial il est intéressant de constater que l’agence de notation commence à intégrer les conséquences de la hausse du climat sur la notation financière des pays.  Standard & Poor’s est loin de prendre en compte tous les éléments relatifs au réchauffement (ce que reconnaît l’agence) mais a commencé d’évaluer l’impact de la hausse des températures sur le risque souverain des États. Ce risque, gradué par les notes qui vont du fameux AAA à D, reflète la capacité d’un État à rembourser ses dettes, et donc sa bonne santé financière. Sur l’échantillon de 38 pays étudiés, la Thaïlande apparaît comme le plus vulnérable. La multiplication des catastrophes naturelles induite par le réchauffement entraînerait à elle seule une dégradation de 1,8 cran. Un chiffre abstrait, qu’il faut comparer avec une dégradation de 1 cran pour la République dominicaine ou 0,5 cran pour le Vietnam ou les Bahamas, archipel dépassant à peine le niveau de la mer. Pour rendre son estimation plus concrète, S&P’s s’est aussi appuyé sur les données de l’assureur Swiss Re qui évalue les dégâts potentiels des catastrophes naturelles. Dans le cas de la Thaïlande, la valeur des destructions matérielles augmenterait de plus de 4 % par rapport aux scénarios sans réchauffement climatique. L’alourdissement de la facture due au changement climatique serait de 4 % pour les Bahamas, 2,5 % pour la Jamaïque ou près de 2 % pour le Vietnam. Le réchauffement n’aurait qu’un impact «négligeable» sur la notation financière des pays développés, constate S&P’s tandis que les États des Caraïbes et de l’Asie du Sud-Est seraient les plus touchés. L’étude estime que les dommages subis à cause des cyclones augmenteront d’ici 2050, de 45 % aux États-Unis, de 50 % en Nouvelle-Zélande et de 64 % au Japon. Cette hausse est spectaculaire mais le niveau de départ étant bas, l’effet sur les finances publiques de ces pays riches restera faible. L’impact chiffré de l’étude peut sembler somme toute limité. Mais il est partiel, avertit l’agence de notation. Ses experts n’ont en effet pris en compte que deux types de catastrophes naturelles pour lesquelles les modèles climatiques et les bilans des années passées fournissent suffisamment de données: les cyclones tropicaux et les inondations. S&P’s n’a par exemple pas calculé l’impact de l’aggravation des sécheresses, pourtant attendue par les climatologues, mais trop complexe à chiffrer.

La note du Royaume-uni abaissée par Standard & Poor’s

La note du Royaume-uni abaissée par Standard & Poor’s

L’agence Standard & Poor’s a abaissé vendredi à « négative » la perspective de la note de la dette à long terme du Royaume-Uni, actuellement fixée au cran le plus élevé de AAA, citant les risques encourus par le référendum sur l’appartenance britannique à l’Union européenne (UE). L’agence Fitch a elle au contraire maintenu la note du pays, à « AA+ », soit un niveau en dessous de celle de S&P, avec une perspective stable. « La décision du gouvernement conservateur (…) de tenir un référendum sur l’appartenance du Royaume-Uni à l’UE d’ici à 2017 représente un risque pour les perspectives de croissance des services financiers et des secteurs exportateurs, ainsi que pour l’économie en général », a expliqué S&P.  « Nous pensons en outre qu’un possible départ de l’UE soulève la question du financement des larges déficits (budgétaires et des comptes courants, ndlr) du Royaume-Uni », a ajouté l’agence de notation.  Le changement à une perspective « négative » signifie que la note du pays pourrait être abaissée à court ou moyen terme, bien que cela ne constitue pas une certitude, S&P évoquant « une probabilité d’une sur trois dans les deux ans à venir ». S&P est la seule des trois grandes agences de notation à conférer sa note maximale à la dette à long terme du Royaume-Uni.

Dégradation de l’Union européenne par Standard & Poor’s

Dégradation de l’Union européenne par Standard & Poor’s

Conséquence d’une croissance atone et parallèlement d’une situation financière qui ne s’améliore pas, l’Union européenne a perdu son AAA. Standard & Poor’s vient d’abaisser sa note d’un cran en raison des discussions budgétaires de plus en plus acrimonieuses entre ses membres.  L’agence d’évaluation Standard & Poor’s a retiré ce vendredi 20 décembre la note « AAA » –la meilleure de sa classification– qu’elle attribuait jusqu’ici à l’Union européenne. La note de l’UE a été abaissée d’un cran à « AA+ ». Elle est dotée d’une perspective « stable », ce qui implique que S&P n’a pas l’intention de la modifier de nouveau à moyen terme. S&P a par ailleurs souligné que les discussions budgétaires entre pays membres devenaient de plus en plus acrimonieuses.

 

Pays-Bas : dégradés par Standard & Poor’s

Pays-Bas : dégradés par Standard & Poor’s

 

 Standard & Poor’s a privé vendredi les Pays-Bas de la note suprême AAA – l’une des dernières de la zone euro – en l’abaissant d’un cran à AA+, tout en adressant à l’Espagne un satisfecit pour ses tentatives de réforme des finances publiques en relevant sa perspective de négative à stable. A la suite de la décision de l’agence de notation, il ne reste plus que trois pays de la zone euro à bénéficier du AAA auprès des trois agences de notation principales : l’Allemagne, le Luxembourg et la Finlande. S&P estime que les perspectives de croissance de la cinquième puissance économique de la zone euro sont moins favorables que prévu. Fitch et Moody’s continuent de noter les Pays-Bas en triple A. « Le taux de croissance tendanciel du PIB réel par habitant reste décidément inférieur à ceux de pays au développement économique élevé comparable », explique S&P, qui a par ailleurs confirmé la note à court terme A-1+. Concernant l’Espagne, l’agence a confirmé les notes longues et courtes BBB-/A-3. L’agence juge que la position externe de la quatrième puissance économique de la zone euro s’améliore à mesure que la croissance économique se reprend progressivement. « D’autres paramètres de crédit se stabilisent, selon nous, du fait des réformes structurelles et budgétaires, combinées avec des politiques de soutien de la zone euro », observe S&P. L’Espagne est bien sortie d’une récession de deux ans au troisième trimestre, a annoncé jeudi l’Institut national de la statistique (Ine), confirmant ainsi des données préliminaires publiées fin octobre. Enfin, S&P a également annoncé le relèvement de la note de Chypre, de CCC+ à B-, estimant que les risques à court terme associés aux remboursements de dettes ont reflué. La perspective est stable.

La France encore dégradée par Standard & Poor’s : la sanction logique d’une politique économique

La France encore dégradée par Standard & Poor’s : la sanction logique d’une politique économique

Nouvelle sanction de la politique économique française avec la dégradation de sa note. Standard & Poor’s a annoncé vendredi l’abaissement de la note souveraine de la France à AA contre AA+, tout en relevant sa perspective de négative à stable. Plus que la sanction, qui à court terme ne devrait pas modifier les conditions d’emprunt, ce sont les motifs avancés qui importent. En clair : croissance trop faible, fiscalité excessive et chômage trop important.  L’agence en termes « économiques et diplomatiques » souligne que la situation sociale très dégradée constitue un élément de blocage pour toutes transformations durables. En clair, le gouvernement est trop discrédité auprès de l’opinion pour envisager d’engager de vraies réformes structurelles et de résorber les déficits « Nous estimons que les réformes engagées dans les domaines de la fiscalité, du secteur des biens et services et du marché du travail n’amélioreront pas sensiblement les perspectives de croissance de la France à moyen terme, et que la persistance d’un taux de chômage élevé affaiblit le soutien populaire en faveur de nouvelles mesures d’envergure en matière de politique budgétaire et de réformes structurelles », explique l’agence dans un communiqué. « Nous pensons également que la faible croissance économique limite la capacité du gouvernement à consolider le redressement des finances publiques », poursuit-elle. On peut évidemment contester la légitimité des agences de notation  (Barnier, l’inénarrable et unique commisaire européen français avait proposé de les supprimer pour la notation des Etats !) toutefois cette évaluation de la situation de la France est indiscutable. Elle enregistre l’échec d’une politique d’austérité mal ciblée (surtout des impôts en plus au lieu de diminuer les dépenses de l’Etat) qui tue la consommation, la consommation et l’emploi.

Standard & Poor’s : fonds propres des banques françaises insuffisants

Standard & Poor’s : fonds propres des banques françaises insuffisants

 

 

« Nous continuons à considérer les fonds propres comme une faiblesse pour les grandes banques françaises, à l’exception du Crédit Mutuel, en matière de notation », indique S&P.  L’agence relève toutefois que des améliorations sont visibles depuis deux ans et demi, les banques ayant dû se préparer à l’entrée en vigueur du nouveau cadre réglementaire dit « Bâle III », plus exigeant en la matière.   »Si ces progrès devenaient plus substantiels encore, nous pourrions réviser notre jugement sur ce facteur de notation », souligne Standard & Poor’s.  Les notes des cinq grandes banques françaises, à savoir BNP Paribas (A+), BPCE (A), Crédit Mutuel (A+), Crédit Agricole (A) et Société Générale (A), sont toutes assorties d’une perspective négative, ce qui signifie que l’agence n’exclut pas de les abaisser à l’avenir.   »Cette perspective négative est liée à des points de vigilance au cas où certains scénarios se matérialiseraient. Ca donne le ton d’une vision selon laquelle les banques restent dans un environnement difficile », a expliqué lors d’une conférence de presse Elisabeth Grandin, analyste crédit chez S&P.  Si le scénario central de l’agence reste une économie en stagnation dans la zone euro, selon Mme Grandin, d’autres cas de figure plus sombres ne sont pas exclus pour autant comme « une récession plus marquée » ou « le retour des perturbations sur le marchés financiers ».  La présence en Europe du sud, en Italie plus particulièrement, est aussi un élément d’appréciation défavorable pour S&P.   »Quand vous êtes en Italie, et le risque économique de l’Italie s’est beaucoup dégradé dans notre approche depuis trois ans, cela pèse sur la vision des fonds propres qu’on a des banques italiennes et des banques françaises qui sont engagées dans ce pays », a expliqué Mme Grandin.  Plusieurs établissements français ont en effet des filiales en Italie, à l’image de BNP Paribas avec BNL ou Crédit Agricole avec Cariparma.  Interrogée sur les conséquences du projet de loi bancaire du gouvernement, examiné par l’Assemblée nationale, l’analyste crédit a souligné qu’il allait ajouter « des contraintes » aux banques mais qu’il n’avait « pas d’impact en termes de note ».  L’agence américaine prévient en outre que les revenus tirés des activités récurrentes des plus grandes banques françaises pourraient accuser un « léger repli » en 2013, suivant ainsi la tendance attendue pour 2012.

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

 

 

 

Dégradation de banques françaises par Standard & Poor’s

Dégradation de banques françaises par Standard & Poor’s 

 

Risques économiques, financiers, correction du marché immobilier, trois raisons qui ont motivé la dégradation de banques françaises. L’agence de notation Standard & Poor’s a annoncé jeudi avoir abaissé la note de plusieurs banques françaises, dont BNP Paribas, les jugeant de plus en plus exposées à un risque de récession prolongée de la zone euro. La note long-terme de BNP Paribas a ainsi été abaissée de « AA- » à « A+ ». Le groupe bancaire s’est refusé à tout commentaire sur cette décision. S&P a également abaissé la note de Solfea, filiale de GDF Suez à A- contre A et celle de Cofidis (Crédit Mutuel) à BBB+ contre A-. Par ailleurs, les perspectives sur les notes de 10 banques ont été abaissées de « stable » à « négative », notamment sur Société générale, BPCE, Crédit agricole, Crédit Mutuel, Banque Postale et RCI Banque, filiale de Renault. L’agence de notation justifie ces décisions par l’augmentation des risques économiques pour le secteur bancaire français et la surchauffe du marché immobilier. Les banques françaises ont réduit leur exposition aux pays dits périphériques de la zone euro, dont la Grèce, mais restent toutefois particulièrement exposées à l’Italie en récession. « Le marché immobilier français est sur le point de corriger une hausse des prix de l’immobilier » explique S&P, tout en soulignant cependant que l’impact sur les banques et sur l’ensemble de l’économie devrait être relativement limité ». Pour sa part, Moody’s a abaissé sa note sur le Crédit Immobilier de France à Baa2, contre Baa1. La banque, faute de moyens de refinancements, est à la recherche d’un repreneur.

 

Standard & Poor’s : onze banques espagnole dégradées

Standard & Poor’s :  onze banques espagnole dégradées

La baisse de la note souveraine de l’Espagne la semaine passée (qui a été déclassée de BBB+/A-2 à BBB-/A-3) a tout naturellement des effets potentiellement négatifs sur l’économie du pays en général et l’activité de son secteur bancaire en particulier. ce qui conduit l’agence de notation Standard & Poor’s a abaisser la note à long terme de toute une série de banques espagnoles. Aujourd’hui ce sont onze établissements de la péninsule ibérique qui sont touchées.  Dans lecommuniqué publiés ce mardi matin, S&P indique que toutes les banques qui bénéficiaient jusqu’à présent d’une note à long terme supérieure au BBB-de l’Espagne se sont voient déclassées. C’est notamment le cas de BBVA, CaixaBank et Santander ou Bankia. Dans le même temps, quatre autres banques voient leur note à court terme dégradée.Une surveillance négative a également été activée pour 3 établissements, portant à 7 le total des banques soumises à cette procédure. Enfin, Santander, BBVA et BBSA se retrouvent avec une perspective « négative ».  S&P précise espérer terminer le mois prochain l’évaluation complète des conséquences de l’abaissement de la note souveraine de l’Espagne sur l’économie et le secteur bancaire du pays. la semaine passée en annonçant sa décision de déclassement de Madrid, S&P avait souligné que si pour l’agence de notation l’Espagne reste un pays en mesure de faire face à ses obligations de manière adéquate, la « perspective négative » associée à la note du pays indique que les obligations d’Etat espagnoles pourraient être reléguées à moyen terme dans la catégorie des investissements spéculatifs.

 

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol