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Conjoncture économique-Croissance : stagnation au quatrième trimestre pour la Banque de France

Conjoncture économique-Croissance : stagnation au quatrième trimestre pour la Banque de France

La Banque de France reconnaît mais un peu timidement qu’il y a peu de chances pour que la croissance progresse au quatrième trimestre. En clair on va vers la stagnation. En cause évidemment l’environnement mondial, les inquiétudes géo politiques et la crise économique et politique.

Pour l’ensemble de 2024, la Banque de France anticipe une croissance de 1,1%. (Crédits : Reuters)

L’activité devrait enregistrer une « progression légèrement positive » entre octobre et décembre, mais cette hausse serait contrebalancée par le « contrecoup » induit par la fin des JO. Un contrecoup « estimé à -0,2 point de PIB », a précisé l’institution dans son enquête mensuelle de conjoncture, sans chiffrer le niveau de croissance attendu au quatrième trimestre. Un niveau qui sera sans doute nul comme le prévoit d’ailleurs l’INSEE

 

Croissance : stagnation au quatrième trimestre pour la Banque de France

Croissance : stagnation au quatrième trimestre pour la Banque de France

La Banque de France reconnaît mais un peu timidement qu’il y a peu de chances pour que la croissance progresse au quatrième trimestre. En clair on va vers la stagnation. En cause évidemment l’environnement mondial, les inquiétudes géo politiques et la crise économique et politique.

Pour l’ensemble de 2024, la Banque de France anticipe une croissance de 1,1%. (Crédits : Reuters)

L’activité devrait enregistrer une « progression légèrement positive » entre octobre et décembre, mais cette hausse serait contrebalancée par le « contrecoup » induit par la fin des JO. Un contrecoup « estimé à -0,2 point de PIB », a précisé l’institution dans son enquête mensuelle de conjoncture, sans chiffrer le niveau de croissance attendu au quatrième trimestre. Un niveau qui sera sans doute nul comme le prévoit d’ailleurs l’INSEE

 

Pour l’ensemble de 2024, la Banque de France anticipe une croissance de 1,1%, comme le gouvernement et l’Institut national de la statistique (Insee). Ce dernier s’attend à une croissance nulle au cours du dernier trimestre.

Selon l’enquête de conjoncture menée auprès d’environ 8.500 entreprises interrogées entre le 29 octobre et le 6 novembre, l’activité a progressé en octobre dans l’industrie, soutenue par l’aéronautique et l’agro-alimentaire. En revanche, le secteur automobile a continué de souffrir, surtout « la production de voitures électriques, qui pâtissent de la concurrence chinoise et d’une baisse de la demande sur ces modèles », a souligné la Banque de France.

Les carnets de commandes industriels sont toujours jugés « dégarnis », sauf dans l’aéronautique.  Dans les services marchands, l’activité a tourné au ralenti tandis que dans le bâtiment, le gros œuvre a bénéficié de la reprise de chantiers qui avaient été décalés par les JO.

En novembre, la Banque de France estime que l’activité devrait « peu » évoluer dans l’industrie et les services, et qu’elle reculerait dans le bâtiment.  Elle note que l’indicateur mensuel d’incertitude, fondé sur les commentaires des entreprises, demeure « relativement élevé dans tous les secteurs ».

« Les chefs d’entreprise mentionnent l’incertitude sur la politique économique et fiscale nationale, et l’instabilité de la situation géopolitique (en particulier avant les élections américaines), qui tendent à mettre en attente les projets d’investissement », selon elle.

 

Economie : vers la stagnation de l’activité au quatrième trimestre

Economie : vers la stagnation au quatrième trimestre

 

Après l’euphorie de JO, événements sportifs mais aussi sociétaux réussis on comptait  sur la dynamique pour accélérer la croissance en France. En réalité le bilan économique de ces jeux est loin d’être aussi satisfaisant qu’on le pensait sauf pour Paris et encore. Le problème économique pour la France, c’est la mollesse et même la réduction de la consommation qui porte l’essentiel de la croissance en France. Toutes les enquêtes et les indicateurs patronaux marquent la stagnation voir la régression de l’activité plombé en outre par le climat politique délétère .

 

Dans sa note de conjoncture dévoilée ce jeudi, l’Insee a maintenu sa prévision de croissance pour 2024 à 1,1%, soit un niveau équivalent à la prévision du gouvernement figurant dans le budget 2025, présentée ce jour.

Les Jeux olympiques ont permis de soutenir l’activité durant le troisième trimestre (+0,4). Mais cet épisode s’est limité dans le temps et la durée. L’institut public table désormais sur une stagnation de la croissance du produit intérieur brut (PIB) au dernier trimestre.

Du côté de la consommation, les clignotants sont au rouge. L’inflation a certes ralenti (1,5% en septembre pour l’IPCH), mais les Français restent plongés dans l’incertitude depuis la dissolution de l’Assemblée nationale. Les conjoncturistes parlent même d’un « choc d’incertitudes ». Le pouvoir d’achat progresserait d’environ 1,8% en 2024 mais la consommation a flanché au premier semestre.

Le  niveau d’épargne devrait rester à un niveau élevé en 2024 (17,9%), à un niveau bien supérieur à 2022 et 2023 (16,9%). Les coupes budgétaires à venir et les hausses d’impôts pourraient à nouveau faire grimper l’épargne des Français particulièrement attentistes dans cette période de flou.
Toujours côté demande, l’investissement des entreprises continue de flancher. Depuis deux trimestres, les investissements sont en repli, plombés par une demande en berne, un durcissement des conditions de financement et l’incertitude politique.

Activité économique : vers la stagnation au quatrième trimestre

Activité économique : vers la stagnation au quatrième trimestre

 

Après l’euphorie de JO, événements sportifs mais aussi sociétaux réussis on comptait  sur la dynamique pour accélérer la croissance en France. En réalité le bilan économique de ces jeux est loin d’être aussi satisfaisant qu’on le pensait sauf pour Paris et encore. Le problème économique pour la France, c’est la mollesse et même la réduction de la consommation qui porte l’essentiel de la croissance en France. Toutes les enquêtes et les indicateurs patronaux marquent la stagnation voir la régression de l’activité plombé en outre par le climat politique délétère .

 

Dans sa note de conjoncture dévoilée ce jeudi, l’Insee a maintenu sa prévision de croissance pour 2024 à 1,1%, soit un niveau équivalent à la prévision du gouvernement figurant dans le budget 2025, présentée ce jour.

Les Jeux olympiques ont permis de soutenir l’activité durant le troisième trimestre (+0,4). Mais cet épisode s’est limité dans le temps et la durée. L’institut public table désormais sur une stagnation de la croissance du produit intérieur brut (PIB) au dernier trimestre.

Du côté de la consommation, les clignotants sont au rouge. L’inflation a certes ralenti (1,5% en septembre pour l’IPCH), mais les Français restent plongés dans l’incertitude depuis la dissolution de l’Assemblée nationale. Les conjoncturistes parlent même d’un « choc d’incertitudes ». Le pouvoir d’achat progresserait d’environ 1,8% en 2024 mais la consommation a flanché au premier semestre.

Le  niveau d’épargne devrait rester à un niveau élevé en 2024 (17,9%), à un niveau bien supérieur à 2022 et 2023 (16,9%). Les coupes budgétaires à venir et les hausses d’impôts pourraient à nouveau faire grimper l’épargne des Français particulièrement attentistes dans cette période de flou.
Toujours côté demande, l’investissement des entreprises continue de flancher. Depuis deux trimestres, les investissements sont en repli, plombés par une demande en berne, un durcissement des conditions de financement et l’incertitude politique.

Croissance économique : vers la stagnation au quatrième trimestre

Croissance économique : vers la stagnation au quatrième trimestre

 

Après l’euphorie de JO, événements sportifs mais aussi sociétaux réussis on comptait  sur la dynamique pour accélérer la croissance en France. En réalité le bilan économique de ces jeux est loin d’être aussi satisfaisant qu’on le pensait sauf pour Paris et encore. Le problème économique pour la France, c’est la mollesse et même la réduction de la consommation qui porte l’essentiel de la croissance en France. Toutes les enquêtes et les indicateurs patronaux marquent la stagnation voir la régression de l’activité plombé en outre par le climat politique délétère .

 

Dans sa note de conjoncture dévoilée ce jeudi, l’Insee a maintenu sa prévision de croissance pour 2024 à 1,1%, soit un niveau équivalent à la prévision du gouvernement figurant dans le budget 2025, présentée ce jour.

Les Jeux olympiques ont permis de soutenir l’activité durant le troisième trimestre (+0,4). Mais cet épisode s’est limité dans le temps et la durée. L’institut public table désormais sur une stagnation de la croissance du produit intérieur brut (PIB) au dernier trimestre.

Du côté de la consommation, les clignotants sont au rouge. L’inflation a certes ralenti (1,5% en septembre pour l’IPCH), mais les Français restent plongés dans l’incertitude depuis la dissolution de l’Assemblée nationale. Les conjoncturistes parlent même d’un « choc d’incertitudes ». Le pouvoir d’achat progresserait d’environ 1,8% en 2024 mais la consommation a flanché au premier semestre.

Le  niveau d’épargne devrait rester à un niveau élevé en 2024 (17,9%), à un niveau bien supérieur à 2022 et 2023 (16,9%). Les coupes budgétaires à venir et les hausses d’impôts pourraient à nouveau faire grimper l’épargne des Français particulièrement attentistes dans cette période de flou.
Toujours côté demande, l’investissement des entreprises continue de flancher. Depuis deux trimestres, les investissements sont en repli, plombés par une demande en berne, un durcissement des conditions de financement et l’incertitude politique.

Croissance France: Vers la stagnation ( INSEE)

Croissance France: Vers la stagnation ( INSEE)

La deuxième partie de l’année devrait être assez catastrophique sur le plan de la croissance et de ce fait, la France devrait enregistrer la stagnation en 2024. Cette tendance baissière met évidemment en cause les prévisions du gouvernement qui comptait sur une hausse du PIB de 1,4 % et sur les ressources fiscales équivalentes bien entendu. Sur l’ensemble de l’année, l’Insee table désormais sur une croissance du PIB de 0,8% contre 0,9% précédemment. Or l’exécutif table toujours sur une croissance du PIB de 1% cette année pour boucler son budget 2023 voté définitivement ce jeudi et 1,4% pour l’année prochaine.
Du coup, le projet de budget 2024 est d’ores et déjà obsolète et les promesses faites à Bruxelles ne seront pas tenues. En effet, les recettes fiscales attendues seront inférieures aux prévisions et par ailleurs les dépenses ont été sous-estimées. Conclusion, la promesse d’un retour à un déficit qui serait limité à 3 % du pipe en 2027 est une illusion.

Sans surprise, la demande a flanché au quatrième trimestre sous l’effet des taux d’intérêt élevés. Aucune baisse de ceux de la Banque centrale européenne (BCE) n’est d’ailleurs prévue pour l’instant. Ce jeudi, l’institution de Francfort a, en effet, annoncé qu’elle laissait ses taux inchangés. En conséquence, du côté des ménages, les dépenses de consommation ont fait du surplace (0%). L’inflation a bien ralenti ces derniers mois, mais continuent de miner le pouvoir d’achat des Français ayant la plus forte propension à consommer, c’est-à-dire les plus modestes.

L’investissement est également en berne avec encore un repli (-1%) entre octobre et décembre. Depuis la guerre en Ukraine, les dépenses d’investissement des Français sont, en effet, en recul trimestre après trimestre. Résultat, elles plongent de près de 5% sur l’ensemble de l’année 2023. S’agissant des entreprises, les dépenses d’investissement sont également dans le rouge en fin d’année (-0,4%), mais restent relativement dynamiques en 2023 (+3,8%). Seules les administrations publiques enregistrent une hausse de leurs dépenses d’investissement entre octobre et décembre (+0,3%). En 2023, les dépenses d’investissement montent à 1,1%, En fait en euros constants elles diminuent. La tendance baissière des investissements ajoutait également au tassement de la consommation entraîne inexorablement un affaiblissement global de la croissance d’autant que les exportations sont toujours aussi peu dynamiques.

Pour l’inflation, l’INSEE table sur 2,4% au printemps et 4,9% sur l’ensemble de l’année 2023 contre 5,2% en 2022.

L’Insee table sur une croissance du PIB de 0,2% sur les deux premiers trimestres. L’économie française serait principalement portée par le redémarrage de la consommation des ménages sur les six premiers mois de l’année, à la faveur d’un coup de frein de l’inflation.

En revanche, l’investissement des ménages et des entreprises ne devrait pas vraiment repartir. Compte tenu du contexte d’incertitudes, les Français épargnent encore une grande partie de leurs revenus (autour de 18% contre 15% avant la crise sanitaire). Ce qui peut être révélateur de l’existence de fortes craintes des Français sur l’avenir.

Croissance- Perspectives économiques de la France vers la stagnation

Croissance- Perspectives économiques de la France vers la stagnation

Les derniers résultats de l’activité économique ont été peu soulignés par les grands médias pour ne pas « désespérer Billancourt » et les Français. Pourtant, l’économie au troisième trimestre est bien en recul. Le journal les « Échos » revient aujourd’hui sur les inquiétudes des experts concernant le risque de stagnation de l’économie.

Depuis jeudi dernier, le doute s’est emparé des prévisionnistes. L’économie française parviendra-t-elle à éviter une récession dite « technique », à savoir un recul pendant deux trimestres consécutifs du PIB, selon la définition conventionnelle des économistes ? Les révisions statistiques sont monnaie courante en économie. Au lieu de progresser de 0,1 % au troisième trimestre, l’activité s’est finalement repliée de 0,1 % , a indiqué la semaine dernière l’Insee. Une correction minime sauf qu’elle a fait entrer l’économie française en territoire négatif.

« Ce n’est pas une bonne nouvelle. Prenons garde néanmoins à ne pas la surinterpréter. Un recul de 0,1 %, c’est l’épaisseur du trait », relativise Mathieu Plane, économiste à l’OFCE qui rappelle que « paradoxalement, les chiffres de créations d’emplois dans l’Hexagone au troisième trimestre ont, eux, été révisés fortement à la hausse ». Dans sa première évaluation, l’Insee avait tablé sur une hausse modeste du PIB de 0,1%. Mais l’institut national de la statistique a abaissé sa première estimation en annonçant, ce mardi, une contraction de 0,1%.

L’activité économique française s’est contractée de 0,1% au troisième trimestre par rapport aux trois mois précédents, pénalisée par des investissements et une consommation des ménages moins soutenus qu’estimé précédemment, a indiqué jeudi l’Insee.

L’Institut national de la statistique a abaissé sa première estimation, publiée fin octobre, d’une modeste hausse de 0,1% du produit intérieur brut entre juillet et septembre.

La France pourrait donc tomber vraiment en récession si la tendance de l’activité se confirme au quatrième trimestre. Il faut en effet deux trimestres consécutif juridiquement considéré qu’un pays est en récession.

Pourtant le ministre de l’économie a affirmé sur France Inter ses prévisions de croissance de la France pour 2023 (1%) et 2024 (1,4%).

Dans le détail, au troisième trimestre, la progression des investissements a été revue en nette baisse, à 0,2% contre 1% estimé auparavant. Si les investissements des entreprises ont continué à résister (0,5%), ceux des ménages sont passés dans le rouge (-1,1%). Pilier traditionnel de l’économie française, la consommation des ménages a certes rebondi de 0,6% par rapport au deuxième trimestre, mais un peu moins fortement que calculé auparavant (0,7%). Le commerce extérieur a également davantage contribué négativement à l’évolution du PIB (-0,4%), en raison d’importations revues en hausse.

Côté inflation, le ministre de l’Économie a assuré que «nous serons sous 4% d’ici fin 2023». Si l’Insee enregistre un ralentissement de 3,4% sur un an au mois de novembre, Bruno Le Maire a cherché à rassurer les Français : «En 2024-2025, il y aura beaucoup moins d’inflation, avec des taux d’intérêt stabilisés.». Mais contrairement à ce qu’avait indiqué le ministre pour les produits alimentaires il n’y aura pas de baisse remise mais sans doute toujours des hausses mais un peu moins fortes. Cependant au total des prix records car l’inflation s’ajoute à l’inflation.

La France a connu une quasi stagnation au troisième trimestre. Officiellement l’INSEE estime la hausse de la croissance à 0,1 %, autant dire presque rien d’autant que le chiffre pourra toujours être réévalué. Le coup classique pour faire ensuite davantage progresser les trimestres suivants. De toute manière, les annonces en hausse de l’ordre de 0,1 % n’ont aucune signification économique et même statistique. C’est purement du bricolage.

Perspectives croissance France : vers la stagnation

Perspectives croissance France : vers la stagnation

Les derniers résultats de l’activité économique ont été peu soulignés par les grands médias pour ne pas « désespérer Billancourt » et les Français. Pourtant, l’économie au troisième trimestre est bien en recul. Le journal les « Échos » revient aujourd’hui sur les inquiétudes des experts concernant le risque de stagnation de l’économie.

Depuis jeudi dernier, le doute s’est emparé des prévisionnistes. L’économie française parviendra-t-elle à éviter une récession dite « technique », à savoir un recul pendant deux trimestres consécutifs du PIB, selon la définition conventionnelle des économistes ? Les révisions statistiques sont monnaie courante en économie. Au lieu de progresser de 0,1 % au troisième trimestre, l’activité s’est finalement repliée de 0,1 % , a indiqué la semaine dernière l’Insee. Une correction minime sauf qu’elle a fait entrer l’économie française en territoire négatif.

« Ce n’est pas une bonne nouvelle. Prenons garde néanmoins à ne pas la surinterpréter. Un recul de 0,1 %, c’est l’épaisseur du trait », relativise Mathieu Plane, économiste à l’OFCE qui rappelle que « paradoxalement, les chiffres de créations d’emplois dans l’Hexagone au troisième trimestre ont, eux, été révisés fortement à la hausse ». Dans sa première évaluation, l’Insee avait tablé sur une hausse modeste du PIB de 0,1%. Mais l’institut national de la statistique a abaissé sa première estimation en annonçant, ce mardi, une contraction de 0,1%.

L’activité économique française s’est contractée de 0,1% au troisième trimestre par rapport aux trois mois précédents, pénalisée par des investissements et une consommation des ménages moins soutenus qu’estimé précédemment, a indiqué jeudi l’Insee.

L’Institut national de la statistique a abaissé sa première estimation, publiée fin octobre, d’une modeste hausse de 0,1% du produit intérieur brut entre juillet et septembre.

La France pourrait donc tomber vraiment en récession si la tendance de l’activité se confirme au quatrième trimestre. Il faut en effet deux trimestres consécutif juridiquement considéré qu’un pays est en récession.

Pourtant le ministre de l’économie a affirmé sur France Inter ses prévisions de croissance de la France pour 2023 (1%) et 2024 (1,4%).

Dans le détail, au troisième trimestre, la progression des investissements a été revue en nette baisse, à 0,2% contre 1% estimé auparavant. Si les investissements des entreprises ont continué à résister (0,5%), ceux des ménages sont passés dans le rouge (-1,1%). Pilier traditionnel de l’économie française, la consommation des ménages a certes rebondi de 0,6% par rapport au deuxième trimestre, mais un peu moins fortement que calculé auparavant (0,7%). Le commerce extérieur a également davantage contribué négativement à l’évolution du PIB (-0,4%), en raison d’importations revues en hausse.

Côté inflation, le ministre de l’Économie a assuré que «nous serons sous 4% d’ici fin 2023». Si l’Insee enregistre un ralentissement de 3,4% sur un an au mois de novembre, Bruno Le Maire a cherché à rassurer les Français : «En 2024-2025, il y aura beaucoup moins d’inflation, avec des taux d’intérêt stabilisés.». Mais contrairement à ce qu’avait indiqué le ministre pour les produits alimentaires il n’y aura pas de baisse remise mais sans doute toujours des hausses mais un peu moins fortes. Cependant au total des prix records car l’inflation s’ajoute à l’inflation.

La France a connu une quasi stagnation au troisième trimestre. Officiellement l’INSEE estime la hausse de la croissance à 0,1 %, autant dire presque rien d’autant que le chiffre pourra toujours être réévalué. Le coup classique pour faire ensuite davantage progresser les trimestres suivants. De toute manière, les annonces en hausse de l’ordre de 0,1 % n’ont aucune signification économique et même statistique. C’est purement du bricolage.

Croissance France : stagnation ?

Croissance France : stagnation ?

Les derniers résultats de l’activité économique ont été peu soulignés par les grands médias pour ne pas « désespérer Billancourt » et les Français. Pourtant, l’économie au troisième trimestre est bien en recul. Le journal les « Échos » revient aujourd’hui sur les inquiétudes des experts concernant le risque de stagnation de l’économie.

Depuis jeudi dernier, le doute s’est emparé des prévisionnistes. L’économie française parviendra-t-elle à éviter une récession dite « technique », à savoir un recul pendant deux trimestres consécutifs du PIB, selon la définition conventionnelle des économistes ? Les révisions statistiques sont monnaie courante en économie. Au lieu de progresser de 0,1 % au troisième trimestre, l’activité s’est finalement repliée de 0,1 % , a indiqué la semaine dernière l’Insee. Une correction minime sauf qu’elle a fait entrer l’économie française en territoire négatif.

« Ce n’est pas une bonne nouvelle. Prenons garde néanmoins à ne pas la surinterpréter. Un recul de 0,1 %, c’est l’épaisseur du trait », relativise Mathieu Plane, économiste à l’OFCE qui rappelle que « paradoxalement, les chiffres de créations d’emplois dans l’Hexagone au troisième trimestre ont, eux, été révisés fortement à la hausse ». Dans sa première évaluation, l’Insee avait tablé sur une hausse modeste du PIB de 0,1%. Mais l’institut national de la statistique a abaissé sa première estimation en annonçant, ce mardi, une contraction de 0,1%.

L’activité économique française s’est contractée de 0,1% au troisième trimestre par rapport aux trois mois précédents, pénalisée par des investissements et une consommation des ménages moins soutenus qu’estimé précédemment, a indiqué jeudi l’Insee.

L’Institut national de la statistique a abaissé sa première estimation, publiée fin octobre, d’une modeste hausse de 0,1% du produit intérieur brut entre juillet et septembre.

La France pourrait donc tomber vraiment en récession si la tendance de l’activité se confirme au quatrième trimestre. Il faut en effet deux trimestres consécutif juridiquement considéré qu’un pays est en récession.

Pourtant le ministre de l’économie a affirmé sur France Inter ses prévisions de croissance de la France pour 2023 (1%) et 2024 (1,4%).

Dans le détail, au troisième trimestre, la progression des investissements a été revue en nette baisse, à 0,2% contre 1% estimé auparavant. Si les investissements des entreprises ont continué à résister (0,5%), ceux des ménages sont passés dans le rouge (-1,1%). Pilier traditionnel de l’économie française, la consommation des ménages a certes rebondi de 0,6% par rapport au deuxième trimestre, mais un peu moins fortement que calculé auparavant (0,7%). Le commerce extérieur a également davantage contribué négativement à l’évolution du PIB (-0,4%), en raison d’importations revues en hausse.

Côté inflation, le ministre de l’Économie a assuré que «nous serons sous 4% d’ici fin 2023». Si l’Insee enregistre un ralentissement de 3,4% sur un an au mois de novembre, Bruno Le Maire a cherché à rassurer les Français : «En 2024-2025, il y aura beaucoup moins d’inflation, avec des taux d’intérêt stabilisés.». Mais contrairement à ce qu’avait indiqué le ministre pour les produits alimentaires il n’y aura pas de baisse remise mais sans doute toujours des hausses mais un peu moins fortes. Cependant au total des prix records car l’inflation s’ajoute à l’inflation.

La France a connu une quasi stagnation au troisième trimestre. Officiellement l’INSEE estime la hausse de la croissance à 0,1 %, autant dire presque rien d’autant que le chiffre pourra toujours être réévalué. Le coup classique pour faire ensuite davantage progresser les trimestres suivants. De toute manière, les annonces en hausse de l’ordre de 0,1 % n’ont aucune signification économique et même statistique. C’est purement du bricolage.

Economie France : stagnation et menace de récession ?

Economie France : stagnation et menace de récession ?

Les derniers résultats de l’activité économique ont été peu soulignés par les grands médias pour ne pas « désespérer Billancourt » et les Français. Pourtant, l’économie au troisième trimestre est bien en recul. Dans sa première évaluation, l’Insee avait tablé sur une hausse modeste du PIB de 0,1%. Mais l’institut national de la statistique a abaissé sa première estimation en annonçant, ce mardi, une contraction de 0,1%.

L’activité économique française s’est contractée de 0,1% au troisième trimestre par rapport aux trois mois précédents, pénalisée par des investissements et une consommation des ménages moins soutenus qu’estimé précédemment, a indiqué jeudi l’Insee.

L’Institut national de la statistique a abaissé sa première estimation, publiée fin octobre, d’une modeste hausse de 0,1% du produit intérieur brut entre juillet et septembre.

La France pourrait donc tomber vraiment en récession si la tendance de l’activité se confirme au quatrième trimestre. Il faut en effet deux trimestres consécutif juridiquement considéré qu’un pays est en récession.

Pourtant le ministre de l’économie a affirmé sur France Inter ses prévisions de croissance de la France pour 2023 (1%) et 2024 (1,4%).

Dans le détail, au troisième trimestre, la progression des investissements a été revue en nette baisse, à 0,2% contre 1% estimé auparavant. Si les investissements des entreprises ont continué à résister (0,5%), ceux des ménages sont passés dans le rouge (-1,1%). Pilier traditionnel de l’économie française, la consommation des ménages a certes rebondi de 0,6% par rapport au deuxième trimestre, mais un peu moins fortement que calculé auparavant (0,7%). Le commerce extérieur a également davantage contribué négativement à l’évolution du PIB (-0,4%), en raison d’importations revues en hausse.

Côté inflation, le ministre de l’Économie a assuré que «nous serons sous 4% d’ici fin 2023». Si l’Insee enregistre un ralentissement de 3,4% sur un an au mois de novembre, Bruno Le Maire a cherché à rassurer les Français : «En 2024-2025, il y aura beaucoup moins d’inflation, avec des taux d’intérêt stabilisés.». Mais contrairement à ce qu’avait indiqué le ministre pour les produits alimentaires il n’y aura pas de baisse remise mais sans doute toujours des hausses mais un peu moins fortes. Cependant au total des prix records car l’inflation s’ajoute à l’inflation.

La France a connu une quasi stagnation au troisième trimestre. Officiellement l’INSEE estime la hausse de la croissance à 0,1 %, autant dire presque rien d’autant que le chiffre pourra toujours être réévalué. Le coup classique pour faire ensuite davantage progresser les trimestres suivants. De toute manière, les annonces en hausse de l’ordre de 0,1 % n’ont aucune signification économique et même statistique. C’est purement du bricolage.

Evolution Croissance France : stagnation…Avant la récession ?

Evolution Croissance France : stagnation…Avant la récession ?

Les derniers résultats de l’activité économique ont été peu soulignée par les grands médias pour ne pas « désespérer Billancourt » et les Français. Pourtant, l’économie au troisième trimestre est bien en recul. Dans sa première évaluation, l’Insee avait tablé sur une hausse modeste du PIB de 0,1%. Mais l’institut national de la statistique a abaissé sa première estimation en annonçant, ce mardi, une contraction de 0,1%.

L’activité économique française s’est contractée de 0,1% au troisième trimestre par rapport aux trois mois précédents, pénalisée par des investissements et une consommation des ménages moins soutenus qu’estimé précédemment, a indiqué jeudi l’Insee.

L’Institut national de la statistique a abaissé sa première estimation, publiée fin octobre, d’une modeste hausse de 0,1% du produit intérieur brut entre juillet et septembre.

La France pourrait donc tomber vraiment en récession si la tendance de l’activité se confirme au quatrième trimestre. Il faut en effet deux trimestres consécutif juridiquement considéré qu’un pays est en récession.

Pourtant le ministre de l’économie a affirmé sur France Inter ses prévisions de croissance de la France pour 2023 (1%) et 2024 (1,4%).

Dans le détail, au troisième trimestre, la progression des investissements a été revue en nette baisse, à 0,2% contre 1% estimé auparavant. Si les investissements des entreprises ont continué à résister (0,5%), ceux des ménages sont passés dans le rouge (-1,1%). Pilier traditionnel de l’économie française, la consommation des ménages a certes rebondi de 0,6% par rapport au deuxième trimestre, mais un peu moins fortement que calculé auparavant (0,7%). Le commerce extérieur a également davantage contribué négativement à l’évolution du PIB (-0,4%), en raison d’importations revues en hausse.

Côté inflation, le ministre de l’Économie a assuré que «nous serons sous 4% d’ici fin 2023». Si l’Insee enregistre un ralentissement de 3,4% sur un an au mois de novembre, Bruno Le Maire a cherché à rassurer les Français : «En 2024-2025, il y aura beaucoup moins d’inflation, avec des taux d’intérêt stabilisés.». Mais contrairement à ce qu’avait indiqué le ministre pour les produits alimentaires il n’y aura pas de baisse remise mais sans doute toujours des hausses mais un peu moins fortes. Cependant au total des prix records car l’inflation s’ajoute à l’inflation.La France a connu une quasi stagnation au troisième trimestre. Officiellement l’INSEE estime la hausse de la croissance à 0,1 %, autant dire presque rien d’autant que le chiffre pourra toujours être réévalué. Le coup classique pour faire ensuite davantage progresser les trimestres suivants. De toute manière, les annonces en hausse de l’ordre de 0,1 % n’ont aucune signification économique et même statistique. C’est purement du bricolage.

Dans sa première évaluation, l’Insee avait tablé sur une hausse modeste du PIB de 0,1%. Mais l’institut national de la statistique a abaissé sa première estimation en annonçant, ce mardi, une contraction de 0,1%.

L’activité économique française s’est contractée de 0,1% au troisième trimestre par rapport aux trois mois précédents, pénalisée par des investissements et une consommation des ménages moins soutenus qu’estimé précédemment, a indiqué jeudi l’Insee.

L’Institut national de la statistique a abaissé sa première estimation, publiée fin octobre, d’une modeste hausse de 0,1% du produit intérieur brut entre juillet et septembre.

La France pourrait donc tomber vraiment en récession si la tendance de l’activité se confirme au quatrième trimestre. Il faut en effet deux trimestres consécutif juridiquement considéré qu’un pays est en récession.

Pourtant le ministre de l’économie a affirmé sur France Inter ses prévisions de croissance de la France pour 2023 (1%) et 2024 (1,4%).

Dans le détail, au troisième trimestre, la progression des investissements a été revue en nette baisse, à 0,2% contre 1% estimé auparavant. Si les investissements des entreprises ont continué à résister (0,5%), ceux des ménages sont passés dans le rouge (-1,1%). Pilier traditionnel de l’économie française, la consommation des ménages a certes rebondi de 0,6% par rapport au deuxième trimestre, mais un peu moins fortement que calculé auparavant (0,7%). Le commerce extérieur a également davantage contribué négativement à l’évolution du PIB (-0,4%), en raison d’importations revues en hausse.

Côté inflation, le ministre de l’Économie a assuré que «nous serons sous 4% d’ici fin 2023». Si l’Insee enregistre un ralentissement de 3,4% sur un an au mois de novembre, Bruno Le Maire a cherché à rassurer les Français : «En 2024-2025, il y aura beaucoup moins d’inflation, avec des taux d’intérêt stabilisés.». Mais contrairement à ce qu’avait indiqué le ministre pour les produits alimentaires il n’y aura pas de baisse remise mais sans doute toujours des hausses mais un peu moins fortes. Cependant au total des prix records car l’inflation s’ajoute à l’inflation.

Croissance France : stagnation…Avant récession ?

Croissance France : stagnation…Avant récession ?


Dans sa première évaluation, l’Insee avait tablé sur une hausse modeste du PIB de 0,1%. Mais l’institut national de la statistique a abaissé sa première estimation en annonçant, ce mardi, une contraction de 0,1%.

L’activité économique française s’est contractée de 0,1% au troisième trimestre par rapport aux trois mois précédents, pénalisée par des investissements et une consommation des ménages moins soutenus qu’estimé précédemment, a indiqué jeudi l’Insee.

L’Institut national de la statistique a abaissé sa première estimation, publiée fin octobre, d’une modeste hausse de 0,1% du produit intérieur brut entre juillet et septembre.

La France pourrait donc tomber vraiment en récession si la tendance de l’activité se confirme au quatrième trimestre. Il faut en effet deux trimestres consécutif juridiquement considéré qu’un pays est en récession.

Pourtant le ministre de l’économie a affirmé sur France Inter ses prévisions de croissance de la France pour 2023 (1%) et 2024 (1,4%).

Dans le détail, au troisième trimestre, la progression des investissements a été revue en nette baisse, à 0,2% contre 1% estimé auparavant. Si les investissements des entreprises ont continué à résister (0,5%), ceux des ménages sont passés dans le rouge (-1,1%). Pilier traditionnel de l’économie française, la consommation des ménages a certes rebondi de 0,6% par rapport au deuxième trimestre, mais un peu moins fortement que calculé auparavant (0,7%). Le commerce extérieur a également davantage contribué négativement à l’évolution du PIB (-0,4%), en raison d’importations revues en hausse.

Côté inflation, le ministre de l’Économie a assuré que «nous serons sous 4% d’ici fin 2023». Si l’Insee enregistre un ralentissement de 3,4% sur un an au mois de novembre, Bruno Le Maire a cherché à rassurer les Français : «En 2024-2025, il y aura beaucoup moins d’inflation, avec des taux d’intérêt stabilisés.». Mais contrairement à ce qu’avait indiqué le ministre pour les produits alimentaires il n’y aura pas de baisse remise mais sans doute toujours des hausses mais un peu moins fortes. Cependant au total des prix records car l’inflation s’ajoute à l’inflation.

Union européenne: nouvelle baisse des prévisions de croissance pour 2023 et 2024 et risque de stagnation

Union européenne: nouvelle baisse des prévisions de croissance pour 2023 et 2024 et risque de stagnation

L’Europe devrait éviter une récession, au profit d’un atterrissage en douceur de son économie. Après un recul du PIB de 0,1 % au troisième trimestre, La commission européenne espère un rebond de 0,2 % au quatrième trimestre mais qui n’est pas forcément assuré.

Pour 2023, la Commission mise désormais sur une progression du PIB de 0,6 % pour la zone euro et l’Union européenne, soit 0,2 point de moins que ses prévisions de septembre, et près de deux fois moins qu’attendu en mai. L’an prochain, le PIB de la zone euro augmenterait de 1,2 % (et de 1,3 % pour l’ensemble des Vingt-Sept), et de 1,6 % en 2025.

«L’économie européenne a perdu son dynamisme, au bout d’une année difficile: le PIB a à peine progressé durant les trois premiers trimestres de l’année et il devrait rebondir légèrement dans les trimestres à venir», indique la commission qui n’est cependant pas certaine de ses prévisions compte tenu de l’ampleur des baisses d’activité en Allemagne un pays particulièrement affecté par la réduction du commerce international et notamment la demande chinoise

Europe: baisse des prévisions de croissance pour 2023 et 2024 et risque de stagnation

Europe: baisse des prévisions de croissance pour 2023 et 2024 et risque de stagnation

L’Europe devrait éviter une récession, au profit d’un atterrissage en douceur de son économie. Après un recul du PIB de 0,1 % au troisième trimestre, La commission européenne espère un rebond de 0,2 % au quatrième trimestre mais qui n’est pas forcément assuré.

Pour 2023, la Commission mise désormais sur une progression du PIB de 0,6 % pour la zone euro et l’Union européenne, soit 0,2 point de moins que ses prévisions de septembre, et près de deux fois moins qu’attendu en mai. L’an prochain, le PIB de la zone euro augmenterait de 1,2 % (et de 1,3 % pour l’ensemble des Vingt-Sept), et de 1,6 % en 2025.

«L’économie européenne a perdu son dynamisme, au bout d’une année difficile: le PIB a à peine progressé durant les trois premiers trimestres de l’année et il devrait rebondir légèrement dans les trimestres à venir», indique la commission qui n’est cependant pas certaine de ses prévisions compte tenu de l’ampleur des baisses d’activité en Allemagne un pays particulièrement affecté par la réduction du commerce international et notamment la demande chinoise

Economie: stagnation de la croissance et baisse de l’emploi

Economie: stagnation de la croissance et baisse de l’emploi


Jusque-là la France pouvait s’enorgueillir d’une assez bonne situation de l’emploi mais avec la quasi stagnation de l’activité, la tendance du chômage est en train de s’inverser. La croissance au troisième trimestre a seulement affiché 0,1 % au lieu de 0,6 % pour le second.

Mécaniquement le nombre de chômeurs a donc commencé à augmenter .Le nombre de demandeurs d’emploi sans activité (catégorie A de Pôle emploi) a progressé de 0,6% au troisième trimestre. Une première depuis plusieurs mois. (Crédits : Reuters)

L’intérim, indicateur avancé du marché de l’emploi, baisse pour le troisième trimestre consécutif. Au troisième trimestre, ce secteur baisse de 1,9% (-15.300 emplois) après -0,5 % au deuxième trimestre (soit 4.300 emplois en moins) et -2,5 % au premier trimestre (-20.400 emplois). L’emploi intérimaire est légèrement au-dessous de son niveau d’avant la crise sanitaire (-0,5%).

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