Archive pour le Tag 'stade'

Foot PSG: Un nouveau stade de foot à l’hippodrome de Saint-Cloud ?

Foot PSG: Un nouveau stade de foot  à l’hippodrome de Saint-Cloud ?

 Paris SG envisage depuis un moment de construire son futur stade à l’hippodrome de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), confirmant une information du journal L’Equipe. Une hypothèse possible car tendanciellement les paris hippiques ont tendance à diminuer depuis les années et menace l’équilibre financier des acteurs de la filière y compris de France galop qui possède l’hippodrome de Saint-Cloud.


Le  Paris SG envisage de construire son futur stade à l’hippodrome de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), a indiqué samedi une source proche de la direction à l’AFP, confirmant une information du journal L’Equipe. En février, le président qatari du club, Nasser Al-Khelaïfi, avait annoncé que le départ du Parc des Princes, que la mairie se refuse à vendre, était désormais inéluctable. Une décision réaffirmée à l’AFP samedi par la même source.

Depuis, le PSG étudie diverses pistes de sites où construire un nouveau stade, plus grand et adapté à ses besoins. L’hippodrome de Saint-Cloud qui dispose de 75 ha figure parmi les pistes les plus chaudes. Il appartient à France Galop et non à la mairie de Paris comme les hippodromes de Longchamp et Auteuil.

PSG- Un nouveau stade de foot à l’hippodrome de Saint-Cloud ?

PSG- Un nouveau stade de foot  à l’hippodrome de Saint-Cloud ?

 Paris SG envisage depuis un moment de construire son futur stade à l’hippodrome de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), confirmant une information du journal L’Equipe. Une hypothèse possible car tendanciellement les paris hippiques ont tendance à diminuer depuis les années et menace l’équilibre financier des acteurs de la filière y compris de France galop qui possède l’hippodrome de Saint-Cloud.


Le  Paris SG envisage de construire son futur stade à l’hippodrome de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), a indiqué samedi une source proche de la direction à l’AFP, confirmant une information du journal L’Equipe. En février, le président qatari du club, Nasser Al-Khelaïfi, avait annoncé que le départ du Parc des Princes, que la mairie se refuse à vendre, était désormais inéluctable. Une décision réaffirmée à l’AFP samedi par la même source.

Depuis, le PSG étudie diverses pistes de sites où construire un nouveau stade, plus grand et adapté à ses besoins. L’hippodrome de Saint-Cloud qui dispose de 75 ha figure parmi les pistes les plus chaudes. Il appartient à France Galop et non à la mairie de Paris comme les hippodromes de Longchamp et Auteuil.

Foot: Un nouveau stade de foot pour le PSG à l’hippodrome de Saint-Cloud ?

Foot: Un nouveau stade de foot pour le PSG à l’hippodrome de Saint-Cloud ?

 Paris SG envisage depuis un moment de construire son futur stade à l’hippodrome de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), confirmant une information du journal L’Equipe.Une hypothèse possible car tendanciellement les paris hippiques ont tendance à diminuer depuis les années et menace l’équilibre financier des acteurs de la filière y compris de France galop qui possède l’hippodrome de Saint-Cloud.


Le  Paris SG envisage de construire son futur stade à l’hippodrome de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), a indiqué samedi une source proche de la direction à l’AFP, confirmant une information du journal L’Equipe. En février, le président qatari du club, Nasser Al-Khelaïfi, avait annoncé que le départ du Parc des Princes, que la mairie se refuse à vendre, était désormais inéluctable. Une décision réaffirmée à l’AFP samedi par la même source.

Depuis, le PSG étudie diverses pistes de sites où construire un nouveau stade, plus grand et adapté à ses besoins. L’hippodrome de Saint-Cloud qui dispose de 75 ha figure parmi les pistes les plus chaudes. Il appartient à France Galop et non à la mairie de Paris comme les hippodromes de Longchamp et Auteuil.

Foot: Un nouveau stade pour le PSG à l’hippodrome de Saint-Cloud ?

Foot: Un nouveau stade pour le PSG à l’hippodrome de Saint-Cloud ?

 Paris SG envisage depuis un moment de construire son futur stade à l’hippodrome de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), confirmant une information du journal L’Equipe.
Le  Paris SG envisage de construire son futur stade à l’hippodrome de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), a indiqué samedi une source proche de la direction à l’AFP, confirmant une information du journal L’Equipe. En février, le président qatari du club, Nasser Al-Khelaïfi, avait annoncé que le départ du Parc des Princes, que la mairie se refuse à vendre, était désormais inéluctable. Une décision réaffirmée à l’AFP samedi par la même source.

Depuis, le PSG étudie diverses pistes de sites où construire un nouveau stade, plus grand et adapté à ses besoins. L’hippodrome de Saint-Cloud qui dispose de 75 ha figure parmi les pistes les plus chaudes. Il appartient à France Galop et non à la mairie de Paris comme les hippodromes de Longchamp et Auteuil.

Covid: du stade épidémique au stade endémique

Covid: du stade épidémique au stade endémique

INTERVIEW – Le Pr Karine Lacombe, infectiologue, cheffe de service des maladies infectieuses de l’Hôpital Saint-Antoine, fait le point sur l’épidémie de Covid-19 en France dans the Conversation

L’épidémie de Covid a disparu des médias en France, mais pas de la population. Quelle est la situation à l’hôpital ? Et qu’en est-il pour les personnes vulnérables qui continuent à être touchées ? Le Pr Karine Lacombe, infectiologue et cheffe de service des maladies infectieuses et tropicales (Hôpital Saint-Antoine, Paris), évalue la situation au vu des données disponibles.

Le Covid, dont tous les variants sont aujourd’hui considérés comme des sous-variants d’Omicron, semble « passé de mode » dans l’actualité. N’y a-t-il vraiment plus rien à dire ?
On ne peut pas dire ça. Même si l’épidémie de Covid n’a plus son impact passé, nous sommes actuellement en reprise épidémique, comme le montrent les derniers chiffres de Santé publique France. Avec pour l’instant pas de réel impact sur le système de santé, parce que depuis plusieurs mois nous avons tout de même eu une diminution du nombre de personnes qui présentent des formes graves et qui doivent être hospitalisées. Mais l’on continue de voir des personnes qui ont des Covid dits « accessoires », c’est-à-dire qui sont hospitalisées pour autre chose et que l’on découvre être infectées lors des mesures de dépistage automatique que nous effectuons.
Et il y a toujours des formes graves qui nous arrivent, en particulier des personnes immunodéprimées ou qui n’ont reçu aucune vaccination et n’ont jamais été infectées. Bien que ce soit une pandémie avec une diffusion très importante du virus dans la population, il y a encore des gens dans ce cas.

Il est maintenant vraiment avéré que la vaccination a eu un impact très important sur la dynamique épidémique, avec une immunisation globale qui a été renforcée par l’exposition au virus lui-même. Les personnes vaccinées et qui ont été en contact avec le virus ont développé de bonnes réponses immunitaires, qui constitue une espèce de barrière non pas à la diffusion du virus (car ce dernier a acquis de nombreuses mutations qui lui permettent d’échapper en partie aux défenses immunitaires) mais contre les formes graves.

Vous nous disiez l’an dernier que nous étions en train de sortir de « l’exceptionnalité Covid ». Cette sortie est-elle confirmée, et quelles conséquences ?
Après trois ans d’évolution, on est dans maintenant dans une situation endémique et non plus dans une situation épidémique. Avec un virus qui, peut-être, va devenir saisonnier, c’est encore un peu tôt pour le dire car on continue d’avoir des vagues successives au cours de l’année. Cependant, les vagues en tant que telles, ces déferlantes que l’on a connues au début, n’existent plus : ce sont davantage des vaguelettes, qui arrivent un peu en continu. Car on a un virus qui continue à se diffuser activement dans la population générale. En d’autres termes nous passons une transition épidémiologique : soit le passage d’un stade épidémique à un stade endémique, avec un virus respiratoire dont nous sommes le réservoir, qui se transmet de personne à personne et qui évolue… comme tous les autres virus de ce type. Le Covid est devenu une simple pathologie en plus à prendre en charge. C’est un virus avec lequel on a appris à vivre.

S’il circule moins, le virus, quel que soit le dérivé d’Omicron considéré, circule toujours. Quelles conséquences pour les personnes touchées ?
Les formes qui circulent actuellement nous pose d’importants problèmes sur le plan thérapeutique, car les anticorps monoclonaux comme Evusheld ne sont plus efficaces contre elles. Donc les personnes immunodéprimées, que l’on pouvait précédemment protéger en prophylaxie (pour empêcher l’apparition, le développement ou l’aggravation d’une maladie) avec une injection de ces molécules, se trouvent désormais à nouveau vulnérables. On a donc un arsenal thérapeutique assez réduit, avec des antiviraux directs comme le Remdésivir ou le Paxlovid. Par contre, nous reprenons un anticorps monoclonal que nous utilisions l’an dernier mais avions ensuite écarté pour cause d’efficacité moindre par rapport à Evusheld sur le plan de la neutralisation du virus : le Sotrovimab.

Nous y recourons à nouveau, mais à des posologies plus élevées, et chez les patients qui n’ont pas besoin d’oxygène – donc à un stade très précoce. Mais maintenant que l’on a effectué cette transition épidémiologique, l’autre grande question, au niveau sociétal, ce sont les mesures de prévention. Nous sommes dans un modèle où on vit avec le virus, où la grosse majorité de la population est protégée des formes de grave… Si bien que les mesures de prévention ont été petit à petit abandonnées. Mais il ne faut pas oublier ces personnes en situation de fragilité. Et le dépistage ne doit pas être oublié.

Qu’il soit en chute dans la population générale fait que l’on minimise l’importance de l’épidémie et de la circulation du virus, car nous n’avons plus autant de données. C’est un choix que l’on a fait pour avoir un retour à une vie normale, où on ne passe pas son temps à se faire dépister… Mais ça a un impact négatif sur notre connaissance de la situation. Quand on voit une reprise épidémique comme celle actuellement en cours, il faut donc se dire qu’elle est en fait beaucoup plus importante que ce qui est rapporté par les chiffres – puisqu’on ne se fait plus dépister.

Pour les personnes immunodéprimées, mais aussi la population très âgée, qui a des pathologies prédisposant à des formes graves (et les personnes qui vivent à leur contact), il est important de continuer à se faire dépister – et à porter un masque quand on est positif si on côtoie ce public vulnérable : c’est ce qui permet de pouvoir être traité tôt en cas de besoin. De même, on ne parle plus beaucoup de la vaccination. Pourtant, de nouvelles campagnes de rappel devront sans doute être lancées. Les personnes qui seront les plus concernées sont sans surprise celles dont les défenses immunitaires baissent le plus vite : les personnes âgées, prédisposées à faire des formes graves (surpoids, hypertension, insuffisance rénale, cardiaque, pulmonaire, etc.), immunodéprimées…

La France a-t-elle tiré des enseignements des années passées ? Qu’est-ce qui, concrètement, devrait être développé ?
L’investissement dans la recherche fondamentale, clinique, épidémiologique… est incontournable. Que ce soit pour trouver de nouveaux traitements, pour doter le pays de moyens de surveillance afin d’identifier rapidement l’apparition de tout nouveau variant – pour ça, il faut notamment des moyens de séquençage haut débit. Il faut aussi pouvoir mieux s’organiser, et réfléchir maintenant qu’on est en post-crise (au moins en inter-crise) à une meilleure organisation de notre système de soin pour qu’on soit meilleur, plus réactif, pertinent si on devait faire face à une nouvelle vague – soit d’un nouveau variant, soit d’un nouveau virus.

S’il y a pas mal de choses en cours au niveau hospitalier, sur le plan ambulatoire (hors hôpital), c’est encore compliqué. Et l’interface médecine hospitalière – médecine ambulatoire n’a pas encore trouvé son mode de fonctionnement optimal. Il y a des choses à trouver en termes d’organisation des soins. Peut-être peut-on regarder certaines initiatives prises ailleurs ? Aux États-Unis notamment, à partir du moment où un test Covid est positif, le pharmacien vérifie les indications pour le patient, les interactions médicamenteuses avec son/ses éventuel(s) traitements de fond et il peut délivrance un traitement. Sans avoir à passer par un médecin.


Vous dites que l’hôpital a déjà pris certaines mesures. De quoi s’agit-il par exemple ?

Cet hiver a été beaucoup plus calme en ce qui concerne le Covid… nous avons été davantage bousculé par la grippe et la bronchiolite. Mais, au niveau hospitalier, nous avons été assez réactifs et avons réactivé nos cellules de crise : des structures mises en place au moment des grosses vagues Covid. Cela nous permet de mieux organiser les soins, à l’intérieur de l’hôpital du moins. Mais sur le plan thérapeutique, il y a toujours de gros progrès à faire tant contre le virus de la grippe que contre le VRS (virus respiratoire syncytial), responsable de la bronchiolite. De plus, nous avons développé des techniques d’analyse en multiplex : ce qui nous permet de mieux diagnostiquer, et plus vite – des séries de 15 à 20 virus différents par exemple.

C’est ainsi que nous avons vu qu’il y avait beaucoup de coinfections VRS-grippe, VRS-Covid, grippe-Covid, rhinovirus-grippe… au milieu de toute cette soupe de virus respiratoires hivernaux. Ces coinfections ne changent pas vraiment les prises en charge, qui sont surtout symptomatiques pour ce genre de virus. Mais comme ce sont souvent des personnes âgées, ou avec des comorbidités, cela demande des hospitalisations assez longues. Avec le VRS, parfois il faut parfois deux-trois semaines pour que les patients puissent se passer d’un apport en oxygène.

Si les épidémies ont été si fortes cette année, on peut donner des raisons simples. Le VRS est saisonnier (du début de l’hiver) et il se transmet par les mains et l’air : or on se lave moins les mains que lors des deux premières années de la pandémie… Et on n’a plus mis de masque. Il n’y a pas de surprise. De plus, c’est un virus qui induit des défenses immunitaires peu intenses et qui durent assez peu dans le temps. Le fait qu’on n’ait pas eu de VRS ces deux dernières années peut être corrélé au fait qu’on a de moins bonnes défenses immunitaires – qu’on hérite des contaminations des années antérieures. Même chose pour la grippe. Avec en plus une vaccination qui a été particulièrement faible, même chez les médecins. Il est difficile d’expliquer pourquoi, car il n’y a pas spécialement de réticence à s’y soumettre. Faut-il y voir une certaine fatigue ?

Y a-t-il une perspective de « sortir » du Covid ?
L’OMS donne une date de début à une pandémie, pas forcément de date de fin… En fait, cela dépend des types d’épidémies. Pour Ebola, par exemple, il y a une date de fin. Mais pour le Covid, désormais passé en stade endémique, donc présent partout et à bas bruit, c’est plus compliqué. Toutefois, l’OMS pourrait lever bientôt l’état d’urgence sanitaire au niveau mondial, même s’il y a toujours de nombreux cas. Son comité d’urgence chargé du Covid-19 tiendra sa prochaine réunion en avril, il faudra voir les annonces.

Cet article est republié à partir de The Conversation .

PSG: un nouveau stade ou une nouvelle équipe ?

PSG: un nouveau stade ou une nouvelle équipe ?

Le Paris Saint-Germain devrait répondre à l’appel d’offres émis par l’État français pour la reprise du Stade de France qui se fera dès l’été 2025.La question se pose cependant de savoir s’il ne faudrait pas d’abord une nouvelle équipe compte tenu des désastres systématiques à l’occasion de la ligue des champions.

Ce n’est pas forcément du béton ou des vedettes surpayées qui permettront de constituer une équipe de niveaux européens.

Pour les stades, le PSG a trois solutions soit racheter le Parc des Princes mais la mairie de Paris s’y oppose, soit racheter le stade de France ou encore construire un nouveau stade

Le Paris-Saint-Germain a donc mandaté la société Legends, afin de mener une étude de marché sur le Stade de France. Car si ce temple du football possède une capacité d’accueil supérieure à celle du Parc des Princes, il n’est pas seulement un stade dédié à ce sport. Les travaux de modernisation pourraient donc s’avérer fort couteux.

Pour autant, le PSG n’exclut pas non plus la construction d’un nouveau stade, puisque le club a d’ores et déjà mandaté une entreprise pour trouver un site viable et capable d’en accueillir un. Ce vendredi, au micro de BFM Business, le président de France Galop a révélé que le club parisien s’intéresse de près à l’hippodrome d’Auteuil. «

Du côté de la Fifa, très désireuse également d’acquérir le Stade de France, la somme dépensée pourrait s’avérer plus onéreuse que prévu, puisque le prix du stade s’avérerait être de 600 millions d’euros.

Fiasco au Stade de France: Darmanin fait profil bas

Fiasco au Stade de France: Darmanin fait profil bas 

 

Dans l’affaire de la pagaille au Stade de France, Darmanin ne s’est pas clairement déjugé mais il a cependant sur le fond reconnu des insuffisances et sur la forme, il a nettement baissé d’un ton. Après son audition au Sénat , Darmanin  laisse encore place aux interrogations et à l’ambiguïté. L’affaire n’est pas simple car il y a eu en la circonstance conjonction de facteurs ayant contribué au fiasco. Il y a bien évidemment l’affaire des faux billets et l’insuffisance de cryptage de l’organisateur du match à savoir la fédération française de football. La responsabilité incombe aussi stadiers visiblement en nombre insuffisant. Les pouvoirs publics en charge non pas du contrôle des billets mais de la sécurité ont réagi de manière fort peu appropriée comme  si les supporters étaient considérés comme des délinquants potentiels. C’est ajouté  aussi là-dessus la venue de 200 à 300 petits voyous venus dépouiller les supporters anglais.

A noté le grand courage résidents de la république et de la première ministre. Leur silence assourdissant témoigne à l’évidence de leurs difficultés à se positionner quand il s’agit de questions concrètes, surtout en période électorale.

France-Violences dans les stades de foot: Enfin la pénalisation ?

France-Violences dans les stades  de foot: Enfin la pénalisation ?

 

La violence dans les stades de football notamment à l’occasion des matchs professionnels a atteint un niveau inadmissible remarquédans le monde entier. En cause le laxisme des clubs vis-à-vis de leurs supporters et la paralysie des autorités sportives aussi bien de la ligue de football professionnel que de la fédération. Or les coupables peuvent être facilement repérés par les systèmes de caméras qui équipent les stades et par les chaînes de télévision.

Observons cependant que ce phénomène est plus global et qu’il affecte d’une façon générale les rassemblements dans le pays. Le signe d’un État particulièrement défaillant incapable de faire régner l’ordre et d’une justice très laxiste »Personne n’a vu arriver cette violence ». La ministre déléguée chargée des Sports Roxana Maracineanu s’est dite prête à prendre des mesures pour endiguer les violences de plus en plus nombreuses entre supporters en Ligue 1. Au micro de RTL ce vendredi 24 septembre, la ministre appelle « tout le monde à se mettre autour de la table » pour trouver des solutions.

Une déclaration finalement assez molle car la seule solution est une réponse pénale mettant en cause les individus coupables de violence et non la masse de supporters pacifiques.

 

Parc des Princes : un stade agrandi à 80 000 places ?

Parc des Princes : un stade agrandi à 80 000 places ?

Le président du Paris Saint-Germain, Nasser Al Khelaïfi, veut une enceinte sportive à la hauteur de l’enthousiasme que suscite l’arrivée de Lionel Messi dans l’effectif du club parisien. De 48.000 places, le Qatari voudrait porter la jauge du Parc des Princes à 80.000. Mais la mairie de Paris, propriétaire des lieux, ne veut pas dépasser les 60.000 places.

 « Agrandir le Parc, c’est une obligation », a affirmé Nasser Al Khelaïfi dans les colonnes du « Parisien » mercredi. Situé dans le XVIème arrondissement de la capitale, le Parc des Princes peut actuellement accueillir 48.000 spectateurs. Sans chiffrer avec précision ses objectifs, le président du club a évoqué les « 80.000 spectateurs » que « chaque grand club possède ». De fait, le PSG ne peut rivaliser avec les 81.000 spectateurs du stade Santiago-Bernabéu de Madrid, encore moins avec les 99.000 places du Camp Nou de Barcelone où a évolué pendant des années la « Pulga », surnom du prodige argentin.

Dans un entretien accordé à Europe 1 jeudi, Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la maire de Paris, a confirmé que le projet d’agrandissement du stade était à l’étude, mais a tempéré les ambitions du PSG. « L’attractivité, la notoriété du PSG mérite une enceinte offrant plus de places pour les spectateurs », a-t-il reconnu, en s’empressant d’ajouter : « Nous travaillons sur des scénarios d’extension autour de 55.000 à 60.000 places maximum. Il sera sans doute impossible d’aller au-delà ».

Le Stade de France accueillera un centre de vaccination …. mais sans vaccin

Le Stade de France accueillera un centre de vaccination …. mais sans vaccin

 

Encore une énorme opération de communication de la part des autorités nationales mais aussi locales avec cette perspective de transformer le Stade de France en immense centre de vaccination. Une véritable escroquerie comme la plupart des centres de vaccination qui faute de dose n’ont pu fonctionner que quelques jours et ne prennent strictement aucun rendez-vous.

 

Il y a de ce point de vue une grande complicité entre des autorités publiques bureaucratiques incompétentes et des autorités locales qui mettent leur grain de sel dans une problématique qui dépasse évidemment l’espace géographique de leur mandat.

 

Le virus ne connaît évidemment pas les frontières des agglomérations, des départements ou des régions. Mais pour les responsables locaux c’est l’occasion de faire parler de et de réclamer à cor et à et à cris une politique sanitaire décentralisée alors que ce qui compte c’est la prise en compte des bassins d’emploi notamment dont  la géographie fait  le plus souvent abstraction du découpage politique et administratif.. À Marseille, l’emblématique stade Vélodrome accueille déjà depuis lundi un centre de vaccination contre le Covid-19. Il est installé dans les locaux d’une tribune, et non sur la pelouse ou dans les tribunes, selon les autorités régionales de santé (ARS). Bref une toute petite partie du stade équivalente aux vestiaires.

 

On peut comprendre qu’on puisse prendre des mesures supplémentaires en Seine-Saint-Denis où  le taux d’incidence a franchi LE CAP EXCEPTIONNEL DE 546 NOUVEAUX CAS POUR 100 000 HABITANTS. Il y a pour cela tout le réseau existant notamment des pharmacies et des généralistes autrement plus efficaces et moins coûteux que ces centres géant DE VACCINATION BIDON.

Brexit: stade critique ou rupture prochaine

Brexit: stade critique ou rupture prochaine

Les deux parties ne cessent de faire semblant de manifester une bonne volonté pour éviter d’avoir à porter la responsabilité de la rupture. Chacun souhaite qu’on progresse encore mais constate que ces progrès sont encore largement insuffisants notamment sur trois dossiers essentiels à savoir la concurrence, la pêche et les procédures de gestion et de sanction de l’accord.  Notons que l’union européenne a ignoré l’ultimatum qu’avait fixé Boris Johnson pour que les relations commerciales soient définitivement déterminées à la date du 15 octobre.

L’UE souhaite pour sa part qu’un accord soit trouvé avant la fin octobre pour que le Parlement européen puisse le ratifier. La France, par la voix de son secrétaire d’Etat chargé des affaires européennes Clément Beaune, a évoqué “le début du mois de novembre”.

De sources diplomatiques européennes, on indique que le bloc se tient prêt à négocier jusqu’à la mi-novembre pour que nul ne puisse lui attribuer la responsabilité d’un éventuel échec.

“Sans un engagement sur la gouvernance et sans mouvement sur la pêche, il n’est pas impensable que nous manquerons de temps pour un accord”, a déclaré un diplomate européen. “Cela dit, il y a aussi un contexte positif: les parties tentent de trouver un moyen de débloquer la situation. Mais l’essentiel, c’est que le Royaume-Uni ne veut pas payer le prix que demande l’Europe.”

Bref on revient finalement point de départ le Royaume-Uni veut bien et même souhaite le maintien des échanges avec l’union européenne mais sans les règles!

Stade de France : Macron sifflé

Stade de France : Macron sifflé

 

 

 

Curieux comme la presse dans sa majorité relativise les sifflets adressés à Macron l’heure de la finale du top 14 de rugby. D’après cette même presse si ces sifflets  ont bien  été réels, ils se seraient adressés autant. A Bernard Laporte, et celui de la Ligue nationale de rugby, Paul Goze. On voit vraiment difficilement comment ces journalistes qui rendent compte de l’événement peuvent être capables de distinguer la nature et la destination des sifflets. Certes certains dirigeants du rugby sont loin de faire l’unanimité mais rares sont ceux qui sont sifflés leur d’une grande finale. En outre il n’est pas dans la tradition des supporters de rugby de sifflets à tort et à travers comme le font trop souvent les publics du foot. Cela pose évidemment un nouveau la question de l’indépendance des médias dont 80 % sont dans les mains de financiers qui soutiennent Macron. On objectera que les cercles sportifs ne sont pas nécessairement les lieux les plus appropriés pour manifester des formes de mécontentement vis-à-vis de la gouvernance. Dans le même temps, il faut observer que Macron multiplie les risques en sautant sur toutes les occasions festives comme dramatiques pour manifester sa présence, sa compassion ou son enthousiasme selon les cas. Une confusion évidemment voulue entre la communication et l’action politique. On parle d’autant plus fort qu’on agit peu.

 

Vendre le Stade de France ! (Cour des comptes)

Vendre le Stade de France ! (Cour des comptes)

 Pourquoi pas la tour Eiffel ou l’Elysée ?

 

La Cour des Comptes est une institution relativement respectable qui produit assez souvent des analyses pertinentes sur la situation financière du pays. Par contre de temps en temps, elle dérape quand même quand par exemple elles suggèrent maintenant de vendre le Stade de France. Certes la Cour des Comptes a sans doute raison de critiquer les conditions de concession de ce stade concession accordé par l’Etat au consortium formé par Vinci (67%) et Bouygues (33%) en 1995. Par contre, si l’on devait vendre tous les équipements publics qui connaissent des difficultés financières alors il ne resterait pas grand chose du patrimoine. Le Stade de France pourrait comme l’aéroport de Toulouse être vendu à des Chinois. On pourrait aussi vendre l’Élysée qui finalement ne sert pas à grand-chose puisque cela fait doublon avec Matignon et les administrations. On pourrait vendre aussi la tour Eiffel ( elle, qui rapporte)  aussi les Champs-Élysées, les gendarmeries et les écoles. Bref tout ce qui coûte des sous !

La fin de cette concession doit intervenir en 2025. La Cour des comptes, dans son rapport, appelle l’Etat à réfléchir à la vente de l’enceinte sportive de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). « Une solution parmi d’autres », avance l’institution, face aux multiples problèmes causés par la concession du stade.

Nouveau stade de foot à Lyon : 400 millions

Nouveau stade de foot à Lyon : 400 millions

 

La filiale de l’OL chargée de la réalisation de l’enceinte située à Décines, dans l’est de l’agglomération, a signé les contrats de crédit bancaire ainsi que les contrats obligataires nécessaires au bouclage du budget de 405 millions d’euros, a annoncé OL Groupe.  Les crédits bancaires, regroupant « 11 établissements », portent sur 136,5 millions d’euros. Deux contrats de financement obligataire ont par ailleurs été signés avec Vinci, pour 80 millions d’euros, et avec la Caisse des dépôts et consignations, pour 32 millions.  Enfin, une émission obligataire de 80 millions d’euros, donnant accès au capital de la société, sera lancée « dans les tout prochains jours ». Mais les principaux actionnaires de l’OL se sont engagés à la souscrire, ôtant tout suspense à cette ultime étape.  Selon le président du club, Jean-Michel Aulas, les travaux de la future enceinte « devraient débuter le 1er août ». La mise en service est attendue pour la « seconde moitié de la saison 2015-2016″, avant d’accueillir l’Euro 2016.  Le montage financier, au point mort pendant des mois, a été débloqué le 19 juillet par le vote, au conseil général du Rhône, d’une garantie financière de 40 millions d’euros sur l’un des emprunts obligataires de l’OL.  Adoptée une première fois fin 2012, cette garantie avait été retirée fin mai, faute de précisions sur le schéma de financement de ce complexe de 58.000 places flanqué d’hôtels, immeubles de bureaux, centre de loisirs et « centre médical dédié au sport ».  Précisé samedi par OL Groupe, le montage comprend 135 millions d’euros de fonds propres, un financement obligataire de 112 millions d’euros, un total de dettes bancaires et location financière de 144,5 millions, ansi que des revenus garantis pendant la phase de construction pour environ 13,5 millions.  Jean-Michel Aulas a chiffré les retombées pour le club à « des centaines de millions d’euros sur les vingt prochaines années », soit « 70 à 100 millions d’euros de ressources complémentaires annuelles ».  OL Groupe attend également des « revenus significatifs » du futur contrat de « naming » du stade, « qui consiste à adjoindre le nom d’une société commerciale à une infrastructure sportive », à l’instar de l’Emirates Stadium d’Arsenal ou de l’Allianz Arena de Munich.  Faute d’avancée sur ce volet, en cours de négociations depuis plusieurs années, l’enceinte reste baptisée « Stade des Lumières ».  Le Grand Stade, projet lancé officiellement début 2007, devait être inauguré à l’été 2010. Mais il a connu de nombreuses péripéties, liées à la forte opposition locale conjuguée aux déboires financiers de l’OL.  OL Groupe s’était introduit en Bourse le 9 février 2007, levant 94,3 millions d’euros pour financer la construction du stade. La holding avait mis en avant les « revenus récurrents » à attendre de l’enceinte, contrepoint à ses résultats sportifs par nature aléatoires.  Mais le projet, d’abord retardé par un revers juridique et des enquêtes publiques défavorables, a ensuite souffert de la fragilité financière de l’OL, en perte depuis 2010 faute de transferts majeurs de joueurs.  L’opposition au Grand Stade, très virulente, rassemble une coalition hétéroclite mêlant Etienne Tête, conseiller régional EELV et avocat redouté dans les projets d’urbanisme, le député UMP Philippe Meunier et plusieurs associations de riverains.  Les opposants déplorent principalement l’impact écologique et la desserte de l’enceinte, dans l’est de l’agglomération, plus excentrée que l’actuel stade de Gerland situé à Lyon, et refusent toute aide publique pour ce projet « entièrement privé ».

 




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