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Le stade de France à vendre….. aux russes ou aux chinois ?


Le stade de France à vendre….. aux russes ou aux chinois ?

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Les candidats pour le Stade de France vont pouvoir se manifester. En début de semaine prochaine, l’Etat, comme l’indique ce vendredi l’entourage de la ministre des Sports, va lancer des appels à candidature pour vendre ou trouver un nouvel exploitant .

Depuis 1995, c’est un consortium Vinci/Bouygues, constructeurs du stade, qui exploite l’enceinte. La concession prend fin en juillet 2025.

Ainsi le Stade de France, comme certaines infrastructures et équipements français pourraient passer dans des mains étrangères.
Dans les mains par exemple de riches propriétaires arabes, russes ou chinois qui déjà possèdent des clubs et des infrastructures de football dans le monde entier. Les plus grands clubs britanniques par exemple appartiennent à des étrangers.

C’est évidemment une honte pour la France de se débarrasser ainsi de la gestion de son plus grand stade et de son patrimoine. Pourquoi pas aussi vendre par exemple la cathédrale de Paris, la tour Eiffel et les hôpitaux.

Des ventes qui ont déjà eu lieu dans des secteurs aussi stratégiques que l’industrie, les services voire l’agriculture notamment via les délocalisations.

On ne peut qu’être étonné que la France ne parvienne pas à trouver un mode de gestion financièrement équilibrée pour une telle infrastructure.

L’automne dernier, le président du PSG Nasser Al-Khelaïfi (du Qatar) en bisbilles avec la ville de Paris sur le Parc des Princes, avait montré son intérêt pour racheter l’enceinte.

Les Fédérations françaises de football et de rugby (FFF et FFR), qui y jouent un certain nombre de matches, ont été informées du lancement du processus.

D’ici qu’on envisage de faire jouer les matchs des équipes de France à Pékin ou à Moscou, il n’y a qu’un pas !

Stade de France : un chaos aux causes multifactorielles

Stade de France : un chaos aux causes multifactorielles

 

Si les origines des troubles qui se sont produits avant le coup d’envoi de la finale de la Ligue des champions entre le Real Madrid et Liverpool sont multifactorielles, le gouvernement doit sortir de son déni pour préparer au mieux les JO 2024 estime un papier du Monde.

 

Il y a deux façons d’envisager les troubles qui se sont produits aux abords du Stade de France à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), samedi 28 mai, avant le coup d’envoi de la finale de la Ligue des champions entre le Real Madrid et Liverpool.

La première consiste à regarder la réalité en face et analyser froidement l’enchaînement des circonstances qui ont conduit à un engorgement des accès et à des heurts avec la police, poussant à retarder de trente-six minutes un événement retransmis en mondovision. Et puis, il y a celle qui consiste à chercher des excuses plus ou moins audibles pour mieux s’exonérer de ses propres responsabilités. Organisateurs de l’événement et responsables des forces de l’ordre chargées d’en assurer la sécurité ont malheureusement plutôt opté pour la seconde attitude.

Lundi, lors d’une conférence de presse à l’issue d’une réunion interministérielle censée tirer les leçons du chaos, le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, a pointé une « fraude massive, industrielle et organisée de faux billets », rejetant implicitement la responsabilité sur les « 30 000 à 40 000 supporteurs anglais [qui] se sont retrouvés au Stade de France, soit sans billet, soit avec des billets falsifiés ».

Avancé à chaud, dès la fin du match, par l’UEFA, l’instance dirigeante du football européen, et repris par le ministre de l’intérieur, cet argument paraît à tout le moins un peu court, et ne justifie certainement pas le traitement infligé aux fans de Liverpool, dont l’immense majorité s’est présentée dans le calme aux abords du stade. Les vidéos de familles avec enfants munies de billets se faisant repousser à l’aide de sprays lacrymogènes ont choqué à raison et donnent une piètre image du maintien de l’ordre en France.

Cette démonstration de force est d’autant plus critiquable qu’elle n’a pas empêché parallèlement le déploiement de groupes de petits délinquants, venus les uns pour resquiller, les autres pour détrousser des supporteurs à la sortie du stade. A ces manquements patents du dispositif de sécurité sont venus s’ajouter d’importants dysfonctionnements dans la gestion de l’affluence de la foule vers le stade. Toute la clarté doit être faite sur les responsabilités qui ont permis ces débordements.

Comme souvent dans ce genre de circonstances, les origines du désordre sont multifactorielles. La grève des agents de la ligne B du RER, qui a obligé à reporter le flux des milliers de supporteurs – essentiellement britanniques – sur la ligne D, qui n’est pas la voie privilégiée pour accéder au Stade de France, a certainement compliqué l’organisation. Mais, là encore, le manque d’anticipation est flagrant. Il n’est pas possible de faire venir et repartir plusieurs dizaines de milliers de personnes par les transports en commun sans un minimum de sécurité et de confort, qui ont fait défaut.

« Sans les décisions prises par la police et le préfet, il y aurait eu des morts », affirme aujourd’hui Gérald Darmanin. Invoquer le pire pour s’affranchir de ses propres défaillances n’est pas le meilleur moyen de tirer les leçons de ce fiasco. Le ministre de l’intérieur a martelé ces dernières semaines que la préparation de la sécurité des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 allait constituer le fil rouge de son mandat.

Ce qui s’est passé samedi au Stade de France augure mal de cette feuille de route, surtout si le gouvernement s’obstine dans le déni. Il doit en sortir rapidement pour préparer dans les meilleures conditions la Coupe du monde de rugby de 2023. Quant à la cérémonie d’ouverture des JO, qui prévoit d’accueillir le long de la Seine près de huit fois plus de public qu’au Stade de France, ne serait-il pas raisonnable de réviser à la baisse les ambitions ?

Incidents au Stade de France: Un exemple de la sécurité et du chaos

Incidents au Stade de France: Un exemple de l’insécurité et du chaos 

 

 

Les graves incidents qui se sont passés au stade de France lors de la finale de la coupe d’Europe de football témoignent des carences complètes qu’on peut constater dans le pays en matière de prise en charge de la sécurité. Cette fois il s’agit d’un incident dans le cas d’une manifestation sportive internationale. Le problème c’est que le championnat français de football–par ailleurs d’un niveau assez lamentable par rapport aux pays voisins–a enregistré depuis le début de la saison des incidents du même ordre. La faute est à imputer évidemment au pouvoir politique autant qu’aux autorités qui gèrent le football en France.

Plus généralement l’absence de capacité des forces de l’ordre à gérer le chaos dans l’espace public est manifeste lors des protestations et autres incidents violents. Des incidents par ailleurs  systématiquement minimisés dans les médias afin de dissimuler  l’ampleur du phénomène et les responsabilités.

Concernant plus précisément le stade de France plusieurs phénomènes se sont cumulés. Il y a d’abord les conditions techniques de délivrance des billets qui facilitent la fraude. Ensuite l’encadrement général très insuffisant aussi bien des stadiers que les forces de police. Enfin ces 200 à 300 voyous de banlieue qui ont profité de la situation pour piller les spectateurs et ajouter au chaos général.

Il faudra sans doute autre chose que les promesses à D. pour rassurer sur sa capacité à gérer la sécurité montante dans le pays. Les coups de menton type Sarkozy ne sont plus suffisants pour masquer la dérive du désordre en France

Les témoignages accablent les dysfonctionnements dans l’organisation française.

. La France est depuis pointée du doigt pour les dysfonctionnements dans l’organisation de l’événement, notamment par les Britanniques.

Sans éclipser le 14e sacre européen du Real Madrid, la presse européenne a aussi eu des mots très durs sur les incidents lors de la rencontre, qui ont retardé le coup d’envoi du match de plus de 30 minutes et provoqué des tensions à l’extérieur.

Plus que sur la défaite de Liverpool (1-0), les médias britanniques ont insisté ce weekend sur les graves défaillances constatées. Le tabloïd The Sun est le plus virulent avec un titre en français: « Stade de Farce ».

Il publie également le témoignage de Marvin Matip, le frère du défenseur des Reds Joel Matip, qui a raconté avoir dû se réfugier dans un restaurant avec sa femme enceinte pour échapper aux lacrymogènes dispersés dans leur direction. Le Telegraph publie de son côté le récit accablant de Jason Burt, le chef de la rubrique football du journal.

« J’étais devant la porte Y quand j’ai été pris dans les gaz lacrymogènes utilisés sans discernement par la police anti-émeute française au Stade de France. Je parlais à des supporters qui attendaient tranquillement, certains depuis trois heures, quand ils ont atteint mon visage, me piquant les yeux, mes lèvres et ma langue. J’ai vu qu’on en dispersait. Je n’arrivais pas à y croire (…) c’était absolument honteux », a-t-il raconté dans un billet.

Soulignant les « goulots d’étranglement » vers lesquels étaient dirigés les supporters des Reds pourtant arrivés deux heures et demi avant le coup d’envoi et les contrôles « insupportablement lents », Burt estime que « c’est une honte que l’UEFA ait accusé les supporters d’être arrivés tardivement. C’est tout simplement faux. Ils ont essayé de lancer leur version. Maintenant, ils doivent s’excuser ».

Du côté espagnol, l’accent est surtout mis sur le 14e titre continental du Real Madrid et les performances de l’infranchissable gardien belge Thibaut Courtois. Mais les incidents de la soirée tiennent également une large place dans les journaux ibériques.

Alfredo Relano, président d’honneur du quotidien sportif As et voix respectée du football espagnol, se montre très sévère dans un éditorial, dénonçant Liverpool et « ses hordes de barbares sans ticket d’entrée » qui « ont créé un scandale sans nom aux portes du stade, qui aurait bien pu provoquer une catastrophe, même si tout est heureusement rentré dans l’ordre avec le retard du coup d’envoi. » « Ces faits ne peuvent par rester impunis », a-t-il ajouté.

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