Archive pour le Tag 'stabilisation'

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Coronavirus Italie : vers une stabilisation ?

Coronavirus Italie : vers une stabilisation ?

 

En nombre de décès et d’infectés, les dégâts sont toujours immenses en Italie mais les chiffres semblent toutefois indiquer une certaine stabilisation, ce qui signifierait que l’Italie a désormais atteint un pic . Les jours suivants seront déterminants pour vérifier si on peut envisager maintenant non seulement une stabilisation mais un tassement du nombre de victimes.  L’Italie a enregistré 683 décès supplémentaires liés au coronavirus en 24 heures, ce qui porte le total à 7.503 morts, annonce mercredi la Protection civile, soit une progression de 10% en un jour.

La veille, le pays le plus touché au monde par l’épidémie avait recensé 743 décès supplémentaires.

Le nombre total de cas confirmés est passé de 69.176 à 74.386. La progression est inférieure à 8%.

Le pays compte parallèlement 3.489 malades en soins intensifs, contre 3.396 la veille.

A l’inverse, le nombre de patients guéris a progressé d’un millier, passant à 9.362 contre 8.326 la veille.

La Lombardie, épicentre de l’épidémie en Italie, a enregistré pour sa part une hausse limitée des décès, dont le nombre a progressé de 7% à 4.474 morts.

Pétrole : stabilisation des prix ?

Pétrole : stabilisation des prix ?

 

La rencontre entre l’Arabie Saoudite et la Russie pour discuter de la dégradation des prix du pétrole est surprenante. Elle pourrait indiquer que les principaux producteurs de pétrole sont déterminés à réduire le volume de production pour stabiliser voire faire remonter les prix. Le problème en effet n’est pas tellement de parvenir à un accord théorique mais de le faire respecter par les pays qui ont un urgent besoin des ressources du pétrole des pays  (souvent au bord de l’asphyxie économique). Du coup la perspective d’un gel du niveau de production demeure encore assez hypothétique.  L’Arabie saoudite et la Russie ont cependant conclu lundi un accord de coopération en vue de stabiliser le marché pétrolier, qui pourrait passer par un gel des niveaux de production, sans toutefois envisager de mesure concrète dans l’immédiat. Le cours du Brent de la mer du Nord a bondi de près de 5% jusqu’à 49,40 dollars le baril avant d’effacer une grande partie de ses gains. Il s’échangeait à 47,39 dollars à 12h19 GMT, en hausse de 1,2% sur la journée. L’accord entre l’Arabie saoudite et la Russie a été signé par les ministres de l’Energie des deux pays en marge du sommet du G20 en Chine, où se sont rencontrés le président russe Vladimir Poutine et le vice-prince héritier saoudien Mohamed ben Salman. Ryad et Moscou ont annoncé dans un communiqué commun la constitution d’un groupe de travail chargé d’examiner la situation du marché du pétrole et de recommander des mesures et des initiatives pour garantir sa stabilité. La coopération avec l’Arabie saoudite pourrait inclure un gel des niveaux de production si une telle décision était prise, a précisé le ministre russe de l’Energie, Alexandre Novak, lors d’une conférence de presse avec son homologue saoudien Khalid al Falih. Ce dernier a par la suite déclaré à l’antenne de la chaîne de télévision Al Arabiya qu’un tel gel était « une des possibilités privilégiées mais pas nécessaire aujourd’hui ». « Il n’y a aucune nécessité aujourd’hui de geler la production (…) Nous avons le temps pour prendre ce genre de décision », a dit Khalid al Falih. (Avec Reuters)

Croissance chinoise : stabilisation à un faible niveau

Croissance  chinoise : stabilisation à un faible niveau

Un petit rebond de l’activité chinoise qui constitue en fait une stabilisation à un faible niveau alors qu’en octobre la progression niveau,  en effet la production manufacturière a progressé de 6,2 % en novembre contre 5.6% en octobre sur un an.  L’activité économique en Chine a donc été un peu plus forte qu’attendue en novembre, la production manufacturière atteignant un plus haut de cinq mois, selon des statistiques publiées samedi. Cette bonne tenue laisse penser que les mesures de soutien décidées par les autorités ont enrayé le ralentissement mais des analystes estiment cependant que des décisions politiques supplémentaires seront nécessaires, notamment sur le marché de l’immobilier et pour contrer les risques liés au poids de l’endettement chinois ainsi qu’à la faiblesse de la demande mondiale. « Les taux d’intérêt réels sont encore élevés du fait de la chute des prix producteurs », note Wang Jun, économiste au China Centre for International Economic Exchanges (CCIEE), un centre d’études basé à Pékin. « Réduire les taux d’intérêt pour soutenir la croissance économique et combattre la déflation reste nécessaire. » Quant aux ventes au détail, elles sont en progression sur une base annuelle de 11,2% en novembre, du jamais vu depuis le début de l’année (le taux était de 11,0% en octobre et les analystes s’attendaient à une hausse de 11,1%). En revanche, l’investissement immobilier n’a crû que de 1,3% sur les onze premiers mois de l’année contre 2% sur la période janvier-octobre. C’est son plus bas niveau depuis début 2009. « Ces statistiques illustrent des signes d’une stabilisation, quoiqu’à un faible niveau », indique Zhao Hao, économiste de la Commerzbank à Singapour.

Chômage: finie l’inversion vive la « stabilisation de la hausse »

Chômage: finie l’inversion vive la « stabilisation de la hausse »

 Les chiffres du chômage sont nécessairement mauvais puisque la croissance est à peu près nulle. Du coup nouveau recours à la sémantique douteuse du gouvernement ; finie « l’inversion de la hausse »  mais maintenant on parle de la stabilisation de cette hausse. Traduction, le chômage va augmenter encore mais toujours dans les mêmes proportions. C’est un nouveau chiffre sensible qui attend l’exécutif. Ce jeudi 26 juin, Pôle Emploi publiera à 18h le nombre de demandeurs d’emploi pour le mois de mai. Le gouvernement, qui a vu, mardi 24 juin, sa prévision de croissance mise à mal par l’Insee, sait qu’une baisse risque bien de ne pas être à l’ordre du jour. Un objectif d’autant plus prudent que l’Insee a indiqué tabler sur une légère hausse du chômage en métropole à 9,8% d’ici à la fin de l’année 2014. Mardi, le ministre du Travail François Rebsamen a déjà joué la carte de la prudence. Alors que François Hollande n’avait eu de cesse, en 2013, d’annoncer l’inversion de la courbe du chômage, l’ancien maire de Dijon préfère désormais viser une « stabilisation ». « Il y avait 9,7% du taux de chômage fin 2013. Cette année, on va essayer de tenir sur cette base, en-dessous de 10% du chômage. J’espère une stabilisation à la fin de l’année », déclarait-il sur LCI et Radio Classique.  En tout cas, le gouvernement continue de peaufiner ses outils pour lutter contre le chômage. Lundi 23 juin, François Rebsamen a ainsi présenté son plan pour les seniors, une catégorie dont les chiffres ne cessent de se dégrader. Au mois d’avril, le nombre de personnes sans emploi de plus de 50 ans avait encore augmenté de 0,7%. François Rebsamen propose notamment de doubler la prime allouée aux entreprises pour l’embauche d’un senior dans le cadre des contrats de génération (2.000 euros actuellement). Quant aux jeunes de moins de 25 ans, autre population plus fortement frappée par le chômage, Manuel Valls a affirmé, mardi 24 juin, souhaiter « une mobilisation générale pour l’apprentissage » qui, selon lui, est « un formidable outil pour l’insertion professionnelle » L’apprentissage et les pistes pour relancer l’emploi des seniors sont d’ailleurs deux thèmes qui devraient être abordés lors de la grande conférence sociale des 7 et 8 juillet prochains. Une conférence sociale qui s’annonce par ailleurs explosive.

 

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