Archive pour le Tag 'stabilisation'

Prix carburant : stabilisation à haut niveau

Prix carburant : stabilisation à haut niveau

Les tarifs de l’essence et du gazole baissent depuis trois mois mais ils ne reviendront pas à leur niveau d’avant la crise énergétique.

L’essence sans plomb 95 s’affichait au tarif de 1,84 euro le litre en moyenne la semaine dernière dans les stations-services, soit une baisse de 3 centimes par rapport à la semaine précédente, selon les chiffres arrêtés vendredi et publiés lundi. Le super sans plomb 95-E10 se vendait lui 1,80 euro (-7 centimes).

Le gazole est lui remonté de 9 centimes à 1,68 euro par litre, après plusieurs semaines de baisse. Les prix moyens du diesel en juin sont en recul de 5,46% depuis le mois d’avril, une baisse similaire pour l’essence sans-plomb 95 et le 95-E10 (autour de -5%).

 Mi-avril, le baril de brut avait atteint un pic à 92 dollars, plus haut niveau depuis octobre, sur fond de craintes d’une possible propagation du conflit entre Israël et le Hamas aux pays voisins. Depuis, il a retrouvé « des niveaux habituels, entre 80 et 90 dollars » ces dernières semaines, en dépit des récentes décisions du cartel de l’Opep de maintenir les baisses de production en vigueur pour soutenir les prix.

Mais les prix ne sont pas pour autant revenus à leur niveau d’avant la crise énergétique, car « les coûts de distribution ont augmenté sur fond d’inflation » depuis 2021, explique Olivier Gantois, président de l’Ufip Energies et Mobilités, le syndicat de l’industrie pétrolière.

 

Taux d’intérêt : encore la hausse ou la stabilisation ?

Taux d’intérêt : encore la hausse ou la stabilisation ?


La bataille fait rage entre les experts notamment de la banque fédérale américaine qui pour certains considèrent qu’il faut ralentir le rythme de hausse des taux d’intérêt et même les stabiliser pour ne pas tuer la croissance. À l’inverse, d’autres experts pensent que cette inflation est devenue désormais structurelle et qui convient au contraire de poursuivre la hausse des taux à tout prix. La même bataille sans doute dans d’autres banques centrales notamment à la banque centrale européenne. En effet pendant longtemps on a considéré que l’inflation allait diminuer au cours de l’été, puis d’ici la fin 2023. Or il n’est même pas certain que cette inflation disparaisse de façon significative en 2024 car elle est devenue maintenant structurelle en raison de la boucle coût de production, hausse des salaires et inflation.

James Bullard, le président de l’antenne de Saint-Louis de l’autorité, par exemple préconise de poursuivre la hausse des taux à tout prix, face une inflation désormais structurelle. D’autres considèrent, à l’inverse, un risque d’un resserrement trop fort qui pourrait provoquer une récession. Des craintes que ne manque pas de relayer Jerome Powell : « la politique étant devenue plus restrictive, les risques d’en faire trop par rapport à en faire trop peu sont de plus en plus équilibrés », a-t-il estimé.

Après la hausse des taux de 25 points de base, décidée au début du mois, la banque centrale américaine avait même laissé entrevoir une pause dans la remontée du coût du crédit.

S’exprimant sur CNBC, Neel Kashkari, le président de la Fed de Minneapolis, a dit pour sa part lundi qu’il hésiterait entre un relèvement des taux et une pause le mois prochain. Il a ajouté que l’inflation dans les services restait persistante et qu’il faudrait peut-être remonter les taux des fonds fédéraux au-delà de 6% pour ramener l’inflation vers l’objectif de 2% de la Fed.

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Marc de café de la Banque de France : un pronostic de stabilisation monétaire

Marc de café de la Banque de France : un pronostic de stabilisation monétaire


le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau est coutumier deux pronostics fondés davantage sur son souhait personnel- et le marc de café- que sur des analyses pertinentes. Rappelons-nous par exemple de l’annonce du caractère très provisoire de l’inflation qui devait connaître son pic au cours de l’été 2022. Malheureusement l’inflation sera encore aussi forte en 2023 qu’en 2022 et évidemment va se cumuler.

En fait, le gouverneur de la Banque de France prend enfin conscience que la hausse des taux d’intérêt dont il a été partisan jusque-là comme ses amis allemands risquent de tuer la croissance. Dès lors, il tente de freiner les velléités de nouvelles augmentations du coût de l’argent.

Bien entendu, il n’en sait strictement rien car la hausse des taux d’intérêt correspond certes à l’augmentation des matières premières et de l’énergie mais aussi à un réajustement monétaire pour mieux faire coïncider masse monétaire et richesse réelle. Pour preuve,l’euro ne cesse de perdre de la valeur par rapport au dollar. La banque centrale européenne a distribué sans compter des masses de liquidités dont une grande partie a servi la spéculation et l’inflation.

Il se pourrait tout aussi bien qu’on connaisse une crise monétaire encore plus grande au cours de 2023 avec l’éclatement de plusieurs bulles.

Pourtant le gouverneur de la Banque de France a estimé jeudi qu’une période «de stabilisation monétaire» s’ouvrait et qu’il faudrait que les taux directeurs de la Banque centrale européenne atteignent un pic d’ici l’été. Pour tenter de juguler l’inflation, qui a atteint en 2022 des niveaux historiques, la plupart des banques centrales à travers le monde ont drastiquement remonté leurs taux directeurs, jusqu’alors proches de zéro.

«Après avoir atteint en décembre un niveau proche du “taux d’intérêt neutre” à 2%, nous entamons la deuxième phase vers la stabilisation monétaire: il serait souhaitable d’atteindre le bon “taux terminal” d’ici l’été prochain, mais il est trop tôt pour préjuger de son niveau», a déclaré le gouverneur dans ses vœux pour la nouvelle année. «Nous serons prêts ensuite à rester à ce taux terminal le temps nécessaire: la course de vitesse des hausses de taux en 2022 devient plutôt une course de fond, et la durée comptera au moins autant que le niveau», ajoute François Villeroy de Galhau.

Autres prévisions tout aussi incertaines, la Banque de France prévoit un «pic au premier semestre» de l’inflation avant une diminution «vers 4% à la fin de cette année» et un objectif de 2% «d’ici fin 2024 à fin 2025».

Inflation: Hausse ou stabilisation ?

Inflation: Hausse ou stabilisation ?

 

Aux Etats-Unis et, dans une moindre mesure, en Europe, les Banques Centrales sont sur le point d’accélérer leur mouvement de normalisation. Pourtant, nous pensons que le pic inflationniste est proche d’être atteint. Par Emmanuel Auboyneau, Gérant associé d’Amplegest.

La stabilisation à un haut niveau pourrait être effectivement stabilisée par un net tassement de la croissance constatée un peu partout dans le monde. Reste que certains éléments inflationnistes découlent de causes structurelles qui pourraient faire durer assez longtemps une partie de la hausse des prix. NDLR

 

Le consensus table désormais sur la mise en œuvre de l’une des hausses à hauteur de 250 points de base pour les taux courts américains d’ici à la fin de l’année, ce qui implique une nette augmentation du rythme des relèvements. En Europe, la BCE qui ne devait pas agir avant 2023 pourrait désormais procéder à sa première hausse aux alentours de septembre 2022. Le contexte inflationniste justifie cet ajustement rapide, avec des rythmes de hausse des prix très supérieurs aux objectifs des Banques Centrales. L’institution monétaire chinoise qui avait déjà remonté ses taux, peut désormais se consacrer à la préservation de la croissance domestique, menacée à court terme par la résurgence de la pandémie.

Les deux incertitudes liées à la durée de la guerre en Ukraine et à l’importance de la vague de Covid en Chine rendent l’analyse aléatoire à court terme. Dans les deux cas, une amélioration rapide aurait des effets désinflationnistes immédiats (via les matières premières pour l’Ukraine et le rétablissement de la chaîne d’approvisionnement pour la Chine). Un prolongement de ces deux aléas ne ferait qu’arrimer l’inflation à des hauts niveaux.

Pourtant, il semblerait qu’un pic soit proche pour l’inflation mondiale. Tout d’abord, on remarque une augmentation récente de la production de pétrole dans le monde (notamment aux Etats-Unis avec la réouverture de puits exploitant le pétrole de schiste). Dans le même temps la demande stagne voire décroit légèrement. Un éventuel boycott du pétrole russe pourrait contrer cette tendance mais on constate que le monde finit toujours par s’adapter aux évènements, fussent-ils une guerre. Une baisse ou même une stagnation du prix des matières premières, compte tenu des effets de base, provoquerait une décrue de la partie conjoncturelle de l’inflation. C’est une hypothèse crédible à l’horizon du second semestre 2022.

La partie plus structurelle de l’inflation liée aux salaires, aux loyers ou au sous-investissement des entreprises touche surtout les Etats-Unis, même si en Europe la perception de l’inflation par les ménages provoque davantage de revendications salariales. On constate toutefois un ralentissement de la progression du salaire horaire américain, qui reste autour de +6%. Les loyers américains sont tirés par la pénurie de logements, qui mettra du temps à se résorber. L’inflation structurelle aux Etats-Unis est bien installée mais ne devrait pas s’accélérer à court-terme.

 

L’activité économique, qui était jugée trop forte par les Banques Centrales, va ralentir sous l’effet conjugué des politiques monétaires et des évènements internationaux. Mais la croissance mondiale reste solide. La valeur du PIB américain au premier trimestre (-1,4%) ne doit pas être surinterprétée car largement dépendante d’un effet commerce extérieur (-3,2%) et stocks (-0,8%). Les composantes internes de l’activité sont toujours fortes : la consommation tient à des hauts niveaux, aidée par une épargne abondante et l’investissement des entreprises accélère pour faire face au déficit d’offre par rapport à la demande. En Europe la croissance est également en léger repli mais les dernières statistiques de la consommation, des commandes de biens d’équipement ainsi que du niveau d’emploi laissent augurer d’une activité toujours solide. Une aggravation ou une extension du conflit ukrainien serait en revanche un facteur de faiblesse de l’activité.

Le contexte de hausse des taux et les évènements internationaux ont provoqué une baisse de l’ensemble des actifs risqués : les obligations ont subi des replis significatifs en avril alors que les marchés actions ont poursuivi leur déclin. La période reste compliquée et nous incite à une certaine prudence à court terme. Pourtant, la publication des bénéfices pour le premier trimestre 2022 est globalement rassurante et nous conforte dans notre volonté de conserver à moyen terme nos positions sur de belles sociétés à forte visibilité. Ces périodes de volatilité sont propices à quelques mouvements opportunistes sur les portefeuilles risqués pour tenir compte des exagérations constatées, tout en restant focalisés sur les actifs de qualité.

Emmanuel Auboyneau

Covid France: stabilisation avec crainte de reprise

Covid France: stabilisation avec crainte de reprise

Une stabilisation avec crainte de reprise. Alors que les chiffres diminués ces dernières semaines ils ont tendance à se stabiliser avec une inquiétude sur le taux d’incidence. 21 personnes sont mortes en France ces dernières 24 heures selon le bilan de Santé publique France. 6465 malades sont actuellement hospitalisés – ils étaient 6483 mardi. 263 nouveaux patients ont été décomptés ce mardi, contre 286 la veille. 1026 personnes sont traitées en soins intensifs.

Le passe sanitaire sera prolongé au-delà du 15 novembre au vu de la situation épidémique sur le front du Covid-19, d’après le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal :«aujourd’hui, vu la situation, je ne vois pas comment une adaptation pourrait intervenir au 15 novembre», alors qu’«il y a une reprise de l’épidémie à peu près partout en Europe» en raison des conditions hivernales, a-t-il estimé, citant l’Allemagne, les Pays-Bas, la Belgique et la Russie qui a enregistré mercredi un nouveau record de décès de près de 1000 personnes liés au Covid-19 en 24 heures.

Covid France : Stabilisation mais craintes de remontée

Covid France : Stabilisation mais  craintes de remontée

9 personnes sont mortes en France ces dernières 24 heures selon le bilan de Santé publique France. 6483 malades sont actuellement hospitalisés – ils étaient 6468 lundi. 286 nouveaux patients ont été décomptés ce mardi, contre 277 la veille. 1046 personnes sont traitées en soins intensifs.

Toutefois, le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal a reconnu que «l’épidémie commence à regagner du terrain», évoquant ainsi le nombre de cas et le taux d’incidence qui augmentent légèrement ces derniers jours. «Qu’il y ait une très légère reprise, cela pouvait être attendu, ce qu’il faut, c’est être vigilant», a-t-il insisté, appelant les publics fragiles à recourir à une dose de rappel. «Sur six millions de personnes éligibles aujourd’hui, deux millions de personnes ont eu recours au rappel, c’est beaucoup mais c’est trop peu», a expliqué le porte-parole

Inflation : une stabilisation…. peut-être d’ici la fin 2022 ? ( FMI

Inflation : une stabilisation…. peut-être d’ici la fin 2022 ? ( FMI)

 

Le FMI aussi reprend la chanson du nouveau concept d’inflation temporairecon  sidérant que la hausse des prix aujourd’hui provient surtout des conséquences de la crise sanitaire, des difficultés logistiques et de hausses passagères de matières premières. « Il y a toujours un consensus sur le fait que dans les économies avancées, l’inflation est temporaire », a ainsi précisé Kristalina Georgieva, la directrice maintenant contestée du fonds monétaire international ( affaire du bidouillage d’un rapport lorsqu’elle était à la Banque mondiale).

 

Pourtant cette inflation n’est pas marginale à supposer qu’elle soit passagère. Elle atteint un effet autour de 3 % en Europe, un peu plus de 2 % en France et autour de 5 % aux États-Unis. Certains aspects sont certes conjoncturels du fait de la brutalité d’une reprise économique qui contraste avec l’écroulement suite au Covid. Les approvisionnements sont largement bousculés par les dysfonctionnements logistiques. Reste cependant de nombreuses raisons qui ne sont pas conjoncturelles mais structurelles comme la hausse de certaines matières premières, la pression de plus en plus forte des exigences environnementales et la restructuration de l’appareil de production.

Le même refrain est entamé par toutes les institutions, les banques centrales, les banques, les gouvernements et les groupes de pressions qui ne souhaitent pas traiter la question salariale qui se pose après la hausse des prix,  pas davantage que la rémunération de l’épargne.

Les banques centrales pourront tenir ce discours tant qu’elles maintiendront leurs politiques accommodantes qui consistent à délivrer massivement des liquidités presque gratuites aux banques et à maintenir des taux d’intérêt voisin de zéro. Un discours qui pourra aussi être tenu encore tant que l’endettement sera encore largement toléré.

Viendra toutefois le moment où la hausse des prix ce transmettant de façon durable dans la consommation, il faudra réajuster les équilibres à moins de s’engager dans un processus de quasi dévaluation des monnaies.

Covid- France : stabilisation des indicateurs

Covid- France : stabilisation des indicateurs

Les hospitalisations concernent 11.120 malades du Covid, contre 11.245 lundi et 11.120 le mardi précédent. Après avoir franchi le seuil des 11.000 patients le 23 août, ce chiffre a cessé d’augmenter pour atteindre un plateau depuis plusieurs jours. En 24 heures, 941 patients ont été admis à l’hôpital, contre 725 la veille.

Les services de soins intensifs, qui soignent les cas les plus graves, accueillent 2292 malades, soit deux de plus que la veille, et 2221 sept jours auparavant. Cet indicateur a légèrement progressé sur les sept derniers jours, mais de manière beaucoup moins rapide qu’entre la fin juillet et la mi-août. Le nombre quotidien de décès est néanmoins élevé: 136 personnes ont été emportées par le Covid en 24 heures, portant le bilan total à 114.494 morts depuis le début de la pandémie.

Sur le front des contaminations, 19.425 nouveaux cas ont été enregistrés, contre 24.853 cas il y a une semaine. Depuis jeudi, cet indicateur est passé sous le seuil des 20.000 cas quotidiens.

Covid France : stabilisation aussi chez les hospitalisés

Covid France : stabilisation aussi chez les hospitalisés

La pression sur l’hôpital en raison de l’épidémie de Covid-19 n’augmente plus, avec des indicateurs toujours stables depuis plusieurs jours, selon les données sanitaires publiées lundi.

Les unités de soins intensifs, qui accueillent les malades atteints des formes les plus graves du Covid-19, traitent 2290 patients. Cela fait sept jours consécutifs maintenant que ce nombre oscille entre 2200 et 2300, après une hausse entre fin juillet et mi-août correspondant à la «quatrième vague» de l’épidémie en France. Le nombre de patients hospitalisés évolue peu également (11.245 ce lundi contre 11.007 lundi dernier). Mais la situation est toujours délicate en Outremer. Ainsi, sur les 98 nouveaux décès enregistrés en 24 heures, 14 sont répertoriés en Martinique.

Depuis le début de la campagne de vaccination en France, 48.503.887 personnes ont reçu au moins une injection (soit 71,9% de la population totale) et 43.907.123 personnes ont désormais un schéma vaccinal complet (soit 65,1% de la population totale). Le seuil des 50 millions de primo-vaccinés devrait être atteint début septembre, quelques jours après l’objectif annoncé du gouvernement.

 

Covid France : vers une stabilisation ?

Covid France : vers une stabilisation ?

Il semblerait que les chiffres enregistrent une certaine stabilisation en France. 95 personnes sont mortes en 24 heures, selon le dernier bilan de Santé Publique France. 2270 patients sont actuellement en soins critiques, dont 194 arrivés depuis la veille. 11.162 malades sont toujours hospitalisés – 908 d’entre eux le sont depuis jeudi.

La France a enregistré 18.249 nouveaux cas confirmés en un jour, pour le deuxième jour consécutif sous la barre des 20.000 un jour de semaine, niveau le plus bas enregistré depuis juillet. Le taux de positivité se maintient à 3,0%.

Le taux d’incidence s’est établi à 216 pour 100.000 habitants dans la semaine du 16 au 22 août, en recul de 12% par rapport à la précédente, avec tout de même 20.740 nouvelles contaminations par jour en moyenne, a indiqué SPF vendredi dans son point hebdomadaire. L’organisme a, en revanche, déploré une poursuite de la hausse des indicateurs hospitaliers (+18% pour les nouvelles hospitalisations et autant pour les admissions en soins critiques) et des décès à l’hôpital (+76%).

 

La campagne de vaccination se poursuit à un rythme soutenu. Au total, 48.249.676 personnes ont reçu au moins une injection (soit 71,6% de la population totale) et 43.199.196 personnes bénéficient d’un schéma vaccinal complet (soit 64,1% de la population totale).

Covid France : 83 morts en 24 heures et stabilisation du taux d’incidence

Covid France : 83 morts en 24 heures et stabilisation du taux d’incidence

83 morts du Covid-19 ces dernières 24 heures, selon le dernier bilan de Santé publique France. Il semblerait toutefois que le taux d’incidence est atteint un plateau. 2091 patients sont actuellement en services de soins critiques, dont 214 arrivés depuis la veille. 10.515 personnes sont toujours hospitalisées pour Covid – 887 d’entre elles depuis jeudi. 22.319 nouveaux cas ont été détectés.

Santé Publique France a décelé un «mini-plateau» dans la progression des nouvelles contaminations en métropole.

Avec 643.100 contaminations enregistrées quotidiennement dans le monde cette semaine, l’indicateur s’est stabilisé au même niveau que la semaine précédente, selon un bilan de l’AFP arrêté à jeudi. La pandémie gagnait de nouveau du terrain depuis la mi-juin, attisée par un variant Delta très contagieux et devenu majoritaire dans de nombreux pays.

Cette semaine, la majorité des régions du monde connaissent de légères améliorations: -7% de nouvelles contaminations enregistrées en Afrique, -6% dans la zone Amérique latine/Caraïbes, -3% en Asie et en Europe. La situation continue cependant de se détériorer fortement dans la zone États-Unis/Canada (+11%). L’Océanie connaît également une forte accélération (+20%), mais le virus y circule toujours relativement peu. Au Moyen-Orient, la situation se dégrade aussi, mais moins rapidement (+4%).

Les défaillances d’entreprise : stabilisation

Les défaillances d’entreprise : stabilisation

Grâce aux mesures de soutien, aussi au décalage des déclarations de faillite, les défaillances d’entreprises se stabilisent en juillet Le nombre de défaillances d’entreprise se stabilise à un niveau historiquement bas en juillet, selon les données diffusées mercredi par la Banque de France. Sur les douze derniers mois, il s’établit à 27.896, marquant un recul de 27,6 % par rapport à la même période un an plus tôt. En juin dernier la baisse enregistrée était déjà de 27,9 %.

Cette diminution des faillites s’observe pour la plupart des catégories d’entreprises et dans tous les secteurs, y ­compris parmi les plus touchés par les restrictions liées à la crise sanitaire. Dans l’hébergement-restauration, elle est, en un an, de 41,9 %, et, dans le commerce, de 30,4 %. Seules les activités immobilières enregistrent une hausse de 1,9 % sur un an, mais avec une baisse de 23,8 % sur deux ans. Pour les grandes entreprises, la diminution est toutefois ­limitée à 14 %, avec 37 défaillances.

Covid France : stabilisation ?

Covid France : stabilisation ?

 

Pour résumer ,les autorités indiquent que l’épidémie se trouverait sur un plateau. En clair, les indicateurs ne progressent plus de manière significative. La question est de savoir si ce plateau sera par la suite montant ou descendant. En effet,: les indicateurs nationaux se stabilisent, à un niveau certes élevés et l’épidémie décroît dans les 16 départements soumis en premier à des restrictions renforcées.

Du côté des établissements de soin, le pic n’est pas atteint ; la tension reste importante, avec près de 30.500 patients hospitalisés, dont environ 5.900 en services de soins critiques (qui rassemblent réanimation, soins intensifs et surveillance continus). C’est loin du pic de la première vague en avril 2020 (environ 7.000). Entre jeudi et vendredi, il y a eu plus de 463 nouvelles entrées en 24 heures.

Du côté des décès, 309 personnes sont mortes entre jeudi et vendredi pour un total de 100.433 depuis le début de l’épidémie. La France a franchi jeudi la barre des 100.000 décès, rejoignant ainsi la Grande-Bretagne (127.000 morts) et l’Italie (115.000 morts).

L’avenir, lui, reste incertain.  »La troisième vague est loin d’être terminée », malgré « un certain nombre d’évolutions favorables », a déclaré vendredi le Premier ministre Jean Castex lors d’un déplacement à Caen.

La descente sera-t-elle rapide ou lente? Trop tôt pour le dire. « Mais le R actuel [taux de reproduction, selon le nombre de personnes contaminées par un cas], situé autour de 1 ne permet pas d’espérer une baisse rapide », avertit-on chez SPF. Les épidémiologistes de l’agence sanitaire invitent à faire « encore des efforts » en respectant les gestes barrière et la distanciation sociale.

 

Coronavirus France : stabilisation, 20.701 nouveaux cas

Coronavirus France : stabilisation, 20.701 nouveaux cas

L’épidémie de Covid-19 continue de progresser en France, malgré une légère diminution du nombre de nouveaux cas depuis désormais plusieurs jours. 20.701 contaminations ont été détectées ces dernières 24 heures, selon les données de Santé Publique France ce vendredi 12 février. Au total, 3.427.386 personnes ont été détectées positives depuis le début de l’épidémie dans l’Hexagone. Le taux de positivité reste stable à 6,1%.

320 individus sont décédés de la maladie entre jeudi et vendredi, portant le bilan total à 81.448 victimes, dont 57.449 à l’hôpital. 10.079 patients ont été admis à l’hôpital ces sept derniers jours, dont 1767 dans les services de réanimation.

À la faveur de ces chiffres légèrement descendants, mais toujours importants, le gouvernement a communiqué sur les derniers chiffres de la vaccination. 2.220.762 personnes ont reçu une première dose de vaccin depuis le début de la campagne le 26 décembre, soit 3,3% de la population totale et 4,2% de la population majeure. 617.715 deuxièmes injections ont été réalisées.

 

Dollar: une perspective de stabilisation dans une tendance légèrement baissière

Dollar: une perspective de stabilisation dans une tendance légèrement baissière

Alors que Trump n’avait cessé de tempêter contre la valorisation excessive du dollar, son successeur Biden estime qu’il ne fera pas du taux de change une arme stratégique. Notons que le dollar avait quand même perdu 7 % en 2020. La perspective c’est que le billet vert continue de s’affaiblir mais progressivement compte tenu des déséquilibres structurels de son commerce extérieur. Mais une baisse toujours un peu compensée par le caractère refuge de la monnaie américaine utilisée par ailleurs de manière massive lors des échanges commerciaux.

 

Finalement de nombreux analystes s’attendent toujours à ce que la devise reprenne sa marche à la baisse progressive en 2021.

Une augmentation des dépenses budgétaires ainsi qu’une politique monétaire ultra-facile, sabreront toute tentative de reprise plus soutenue, a écrit l’analyste de la Commonwealth Bank of Australia Kim Mundy dans une note.

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