Archive pour le Tag 'sportives'

La mort de nombre d’organisations sportives

 La mort de nombre d’organisations sportives

 

Le chef de l’État va enfin recevoir les représentants du sport victime lui  aussi d’un confinement qui menace même l’existence de nombre d’organisations. On pense bien sûr au sport professionnel et notamment au football. Il est vrai qu’on pourrait objecter que les dépenses démentielles du foot notamment à travers les salaires des joueurs ne pouvaient que conduire un jour à l’explosion d’une bulle. Il n’est en effet pas raisonnable de payer un joueur 1 ou 2 millions par mois dans les clubs les plus huppés.

Dans d’autres sports professionnels, les salaires sont nettement moins élevés ceci étant les équilibres financiers tout aussi précaires faute de la recette principale que représente souvent la billetterie. Il y a aussi l’économie en difficulté et des sponsors moins enthousiastes que précédemment.

 Pour le sport professionnel le confinement est catastrophique. Mais il est tout autant pour le sport amateur dont les ressources sont déjà anecdotiques et qui sont souvent condamnés à faire des exercices d’équilibriste dans le domaine financier. Sans parler des interdictions d’exercice même de l’activité.

Le confinement a de très graves conséquences économiques évidemment mais aussi sociales voire sociétales. Et certaines interdictions sont complètement incompréhensibles et vont tuer une grande partie du sport aussi bien professionnel qu’amateur.

 

Certes on comprend que certaines activités puissent être limitées voire interdites compte-tenu de la promiscuité mais ce n’est pas le cas loin s’en faut de toutes les activités. En outre, on a rarement détecté des clusters dans les activités sportives. Des cas ont été identifiés mais pas davantage est plutôt moins qu’ailleurs compte tenu précisément de la discipline sanitaire que s’est imposé le mouvement sportif.

 

Activités sportives professionnelles : après les spectateurs virtuels, des joueurs virtuels ?

Activités sportives professionnelles : après les spectateurs virtuels, des joueurs virtuels ?

 

 

Les spectacles sportifs professionnels sont contraints dans leur capacité d’accueil des spectateurs. Bon nombre de matchs en Europe se déroulent  d’ailleurs sans aucun supporter. De quoi changer complètement la signification d’une manifestation qui  supposent des gestes techniques et des conditions physiques mais qui s’insère dans une ambiance festive parfois mélodramatique qui remplace en quelque sorte les anciens jeux de Rome.

Le rassemblement et la manifestation de cette foule sont aussi importants que le spectacle lui-même. Souvent la foule transcende la représentation sportive. Aujourd’hui, voir seulement les événements sportifs seulement à la télévision génère assez souvent le plus grand ennui et cela se répercute même sur la qualité des prestations. Dans les tribunes , on a souvent remplacé les supporters par des bâches avec des spectateurs virtuels. À quand des sportifs virtuels comme dans les jeux vidéo ?

Jeux olympiques et grandes finales sportives reportées …ou annuleés !

Jeux olympiques et grandes finales sportives reportées …ou annuleés !

 

Sous la pression de nombre de comités olympiques nationaux et des athlètes eux-mêmes, le Japon s’est enfin résolu à reporter les JO qui devaient débuter  à partir de juillet. La date est théoriquement reportée d’un an. Il en sera de même pour les grandes autres finales sportives, elles aussi reportées mais qui pourraient bien être elles-aussi purement annulées et en raison du chevauchement des calendriers annuels. Thomas Bach, président du CIO, s’est entretenu avec le Premier Ministre nippon, Shinzo Abe, plus tôt dans la journée. Pour le moment aucune date quant à la tenue du plus important événement sportif mondial n’a été évoquée. Le communiqué précise cependant que les JO auront lieu “au plus tard à l’été 2021”. C’est la première fois depuis la seconde guerre mondiale que les olympiades sont reportées. Concernant le football, l’UEFA a aussi décidé de reporter les grandes finales mais là rien et sur car tout dépendra de la durée de l’épidémie. D’autres événements sont eux aussi reportés ou annulés.

Création de cinq chaînes sportives par Altice

Création de  cinq chaînes sportives par Altice

Après avoir remporté les droits de diffusion du foot anglais, Altice s’apprête à lancer cinq chaînes payantes de télévision sportive ;  une épine dans le pied de Canal+ qui ne s’est toujours pas si Altice  l’autorisera aussi  à diffuser les matchs de la première League. Ces chaînes, qui seront réalisées avec les équipes de NextRadioTV (maison-mère de BFMTV et de RMC, et propriété du groupe Altice comme SFR) seront thématiques. Une chaîne « premium », avec notamment la diffusion du championnat anglais de football (Premier League), dont les droits ont été acquis en novembre par SFR, va ainsi être créée. Le groupe souhaite également lancer une chaîne multisports, une dédiée aux sports extrêmes, une autre aux sports de combat et enfin une chaîne dédiée aux événements en 4K (très haute définition). Ces chaînes ne seront pas réservées aux clients de SFR mais proposées à tous, dans une logique de non-exclusivité et de synergie entre contenus et télécoms. Cette stratégie a déjà été adoptée par Patrick Drahi dans d’autres pays, à l’instar du Portugal, où Altice a acquis fin 2015 pour dix ans les droits du club FC Porto, vice-champion du Portugal, pour près de 460 millions d’euros, après avoir acquis fin 2014 Portugal Telecom, l’opérateur historique du pays. Pour préparer ces lancements, l’AFP rapporte -selon une source proche du dossier- que le groupe aurait déjà engagé une cinquantaine de journalistes, venus notamment de l’Equipe 21. Le groupe SFR s’est refusé à tout commentaire, renvoyant à une conférence de presse prévue mercredi matin avec Michel Combes, PDG de SFR et Alain Weill, PDG de NextRadioTV. Altice n’a vraisemblablement pas l’intention de refréner son appétit. Dans un courrier aux abonnés envoyé début avril, SFR a annoncé la création prochaine d’une chaîne d’info baptisée « SFR News ». Selon le JDD, Patrick Drahi devrait révéler, ce mercredi, le regroupement dans l’opérateur télécoms de ses activités médias, détenues à titre personnel et via son groupe Altice, dont BFMTV, Libération et l’Express.

(Avec AFP)

 

Athlétisme -fric- magouille : la mafia des organisations sportives internationales

Athlétisme -fric- magouille : la mafia des organisations sportives internationales

 

L’athlétisme est à la une de la corruption après d’autres fédérations (comme le FIFA -foot). Cette fois ce sont des membres de la fédération internationale qui monnayaient  leur services pour étouffer des contrôles positifs de dopage. Tout le  monde se servait ou presque y compris l’ancien président de la fédération Une urgence donc : dissoudre la Fifa et les autres organisations  sportives internationales  où fric et magouille régulent les décisions. Après la FIFA, c’est à la fédération d’athlétisme d’être mise en, cause. L’ex-patron de la fédération internationale (IAAF), Lamine Diack, a été mis en examen pour corruption par deux juges françaises.  Curieusement peu de responsables politiques français ou  étrangers réclament la dissolution des ces fédérations   qui brassent  des millions, autorisent toutes les corruptions et justifient  l’opacité de leur  gestion par leur  statut d’association (équivalent du statut d’association de la loi 1901 en France.). La plupart ont en effet un statut aussi sulfureux que celui de la FIFA ou du CIO avec en plus presque toujours un siège en Suisse quelquefois à Monaco (Athlétisme) pour des raisons de magouillage  fiscal et d’absence de contrôle. Du coup,  c’est toute l’organisation sportive qui est en cause car elle est soumise à toutes les pressions à toutes les corruptions (voir encore l’implication du président de l’union internationale cycliste dans le scandale de dopage d’Armstrong). Le sport a grand besoin d’assainir son organisation et pour cela de se doter de base juridique officielle, contrôlable et démocratique.

 

FIFA-Foot business : Une urgence dissoudre la Fifa et les autres organisations sportives internationales

 

Curieusement peu de responsables politiques français ou  étrangers ne réclament la dissolution pure et simple de la FIFA. La FIFA objet d’un énorme scandale financier,  qui brasse des millions, autorise toutes les corruptions et justifie l’opacité de sa gestion par son statut d’association (équivalent du statut d’association de la loi 1901 en France.). Après les scandales financiers déjà révélés on vient d’apprendre que Michel Platini l’un des favoris pour succéder à Blatter a touché près de 2 millions d’euros pour des prestations effectuées de 99 à 2002 mais payéeés…. en 2011 seulement ! Soit neuf ans après. Il faut sans doute s’interroger sur la nature de la FIFA véritable machine à fric  dont bénéficient  ses dirigeants mais qui autorise aussi toute les dérives financières dans les clubs. Cette interrogation sur la nature de la FIFA concerne en faite la plupart des organisations internationales sportives. À commencer par le comité olympique (CIO), lieu de toutes les magouilles pour la localisation des jeux,  lui aussi disposant d’un statut d’association comme d’ailleurs la plupart des fédérations internationales des différentes  disciplines sportives. La plupart ont en effet un statut aussi sulfureux que celui de la FIFA ou du CIO avec en plus presque toujours un siège en Suisse quelquefois à Monaco pour des raisons de laxisme fiscal et d’absence de contrôle. Du coup c’est toute l’organisation sportive qui est en cause car elle est soumise à toutes les pressions à toutes les corruptions (voir encore l’implication du président de l’union internationale cycliste dans le scandale de dopage d’Armstrong). Le sport a grand besoin d’assainir son organisation et pour cela de se doter de base juridique officielle, contrôlable et démocratique. L’affaire de la FIFA qui implique désormais le favori à la succession de la terre démontre s’il en était besoin l’ampleur des dérives. Le MPC reproche notamment à M. Blatter « un paiement déloyal de 2 millions de francs suisses » (1,8 million d’euros) en faveur de M. Platini, « au préjudice de la FIFA, prétendument pour des travaux effectués entre janvier 1999 et juin 2002 ». A l’époque, Michel Platini officiait comme « conseiller football » de M. Blatter avant de siéger, dès juin 2002, au comité exécutif de la FIFA et d’en devenir le vice-président. Selon le MPC, ce paiement a été effectué en février 2011. « On a affaire à une accusation d’emploifictif avec un versement effectué neuf ans après les faits », explique au Monde un fin connaisseur des arcanes de la FIFA. Ce versement a été effectué un mois avant que M. Platini ne soit réélu pour un second mandat à la tête de l’UEFA, et quatre mois avant que son homologue de la FIFA ne soit reconduit pour la troisième fois à la tête de l’instance mondiale, avec le soutien discret de la Confédération européenne. Lesmédias anglais n’ont pas tardé à exhumer les vieux dossiers, rappelant la consigne de Michel Platini appelant les cinquante-trois membres de l’UEFA à voter en bloc pour M. Blatter. A l’époque, le Suisse avait promis à l’ex-joueur qu’il s’agirait de son dernier mandat. Un accord qu’il n’a pas respecté quatre ans plus tard.  « En ce qui concerne le paiement qui a été effectué en ma faveur, je désire clarifier que ce montant m’a été versé pour le travail que j’ai accompli de manière contractuelle pour la FIFA, s’est justifié Michel Platini dans un communiqué. Je suis satisfait d’avoir pu éclaircir ce point envers les autorités. » « Ce paiement est étrange, s’interroge un ancien pilier de la FIFA. Platini va devoir trouver une bonne explication. » Par le biais de son entourage, M. Platini a fait savoir qu’il n’aurait pensé à réclamer son dû à la Fédération internationale que neuf ans après ses « travaux ». Résidant à Paris lorsqu’il officiait comme « conseiller technique » de M. Blatter, il aurait par ailleurs payé des impôts sur la somme incriminée.

FIFA-Foot business : Une urgence dissoudre la Fifa et les autres organisations sportives internationales

FIFA-Foot fric : Une urgence dissoudre la Fifa et les autres organisations  sportives internationales

 

Curieusement peu de responsables politiques français ou  étrangers ne réclament la dissolution pure et simple de la FIFA. La FIFA objet d’un énorme scandale financier,  qui brasse des millions, autorise toutes les corruptions et justifie l’opacité de sa gestion par son statut d’association (équivalent du statut d’association de la loi 1901 en France.). Après les scandales financiers déjà révélés on vient d’apprendre que Michel Platini l’un des favoris pour succéder à Blatter a touché près de 2 millions d’euros pour des prestations effectuées de 99 à 2002 mais payéeés…. en 2011 seulement ! Soit neuf ans après. Il faut sans doute s’interroger sur la nature de la FIFA véritable machine à fric  dont bénéficient  ses dirigeants mais qui autorise aussi toute les dérives financières dans les clubs. Cette interrogation sur la nature de la FIFA concerne en faite la plupart des organisations internationales sportives. À commencer par le comité olympique (CIO), lieu de toutes les magouilles pour la localisation des jeux,  lui aussi disposant d’un statut d’association comme d’ailleurs la plupart des fédérations internationales des différentes  disciplines sportives. La plupart ont en effet un statut aussi sulfureux que celui de la FIFA ou du CIO avec en plus presque toujours un siège en Suisse quelquefois à Monaco pour des raisons de laxisme fiscal et d’absence de contrôle. Du coup c’est toute l’organisation sportive qui est en cause car elle est soumise à toutes les pressions à toutes les corruptions (voir encore l’implication du président de l’union internationale cycliste dans le scandale de dopage d’Armstrong). Le sport a grand besoin d’assainir son organisation et pour cela de se doter de base juridique officielle, contrôlable et démocratique. L’affaire de la FIFA qui implique désormais le favori à la succession de la terre démontre s’il en était besoin l’ampleur des dérives. Le MPC reproche notamment à M. Blatter « un paiement déloyal de 2 millions de francs suisses » (1,8 million d’euros) en faveur de M. Platini, « au préjudice de la FIFA, prétendument pour des travaux effectués entre janvier 1999 et juin 2002 ». A l’époque, Michel Platini officiait comme « conseiller football » de M. Blatter avant de siéger, dès juin 2002, au comité exécutif de la FIFA et d’en devenir le vice-président. Selon le MPC, ce paiement a été effectué en février 2011. « On a affaire à une accusation d’emploifictif avec un versement effectué neuf ans après les faits », explique au Monde un fin connaisseur des arcanes de la FIFA. Ce versement a été effectué un mois avant que M. Platini ne soit réélu pour un second mandat à la tête de l’UEFA, et quatre mois avant que son homologue de la FIFA ne soit reconduit pour la troisième fois à la tête de l’instance mondiale, avec le soutien discret de la Confédération européenne. Lesmédias anglais n’ont pas tardé à exhumer les vieux dossiers, rappelant la consigne de Michel Platini appelant les cinquante-trois membres de l’UEFA à voter en bloc pour M. Blatter. A l’époque, le Suisse avait promis à l’ex-joueur qu’il s’agirait de son dernier mandat. Un accord qu’il n’a pas respecté quatre ans plus tard.  « En ce qui concerne le paiement qui a été effectué en ma faveur, je désire clarifier que ce montant m’a été versé pour le travail que j’ai accompli de manière contractuelle pour la FIFA, s’est justifié Michel Platini dans un communiqué. Je suis satisfait d’avoir pu éclaircir ce point envers les autorités. » « Ce paiement est étrange, s’interroge un ancien pilier de la FIFA. Platini va devoir trouver une bonne explication. » Par le biais de son entourage, M. Platini a fait savoir qu’il n’aurait pensé à réclamer son dû à la Fédération internationale que neuf ans après ses « travaux ». Résidant à Paris lorsqu’il officiait comme « conseiller technique » de M. Blatter, il aurait par ailleurs payé des impôts sur la somme incriminée.

FIFA-Foot fric : Une urgence dissoudre la Fifa et les autres organisations sportives internationales

FIFA-Foot fric : Une urgence dissoudre la Fifa et les autres organisations  sportives internationales

 

Curieusement peu de responsables politiques français ou  étrangers ne réclament la dissolution pure et simple de la FIFA. La FIFA objet d’un énorme scandale financier,  qui brasse des millions, autorise toutes les corruptions et justifie l’opacité de sa gestion par son statut d’association (équivalent du statut d’association de la loi 1901 en France.). Après les scandales financiers déjà révélés on vient d’apprendre que Michel Platini l’un des favoris pour succéder à Blatter a touché près de 2 millions d’euros pour des prestations effectuées de 99 à 2002 mais payéeés…. en 2011 seulement ! Soit neuf ans après. Il faut sans doute s’interroger sur la nature de la FIFA véritable machine à fric  dont bénéficient  ses dirigeants mais qui autorise aussi toute les dérives financières dans les clubs. Cette interrogation sur la nature de la FIFA concerne en faite la plupart des organisations internationales sportives. À commencer par le comité olympique (CIO), lieu de toutes les magouilles pour la localisation des jeux,  lui aussi disposant d’un statut d’association comme d’ailleurs la plupart des fédérations internationales des différentes  disciplines sportives. La plupart ont en effet un statut aussi sulfureux que celui de la FIFA ou du CIO avec en plus presque toujours un siège en Suisse quelquefois à Monaco pour des raisons de laxisme fiscal et d’absence de contrôle. Du coup c’est toute l’organisation sportive qui est en cause car elle est soumise à toutes les pressions à toutes les corruptions (voir encore l’implication du président de l’union internationale cycliste dans le scandale de dopage d’Armstrong). Le sport a grand besoin d’assainir son organisation et pour cela de se doter de base juridique officielle, contrôlable et démocratique. L’affaire de la FIFA qui implique désormais le favori à la succession de la terre démontre s’il en était besoin l’ampleur des dérives. Le MPC reproche notamment à M. Blatter « un paiement déloyal de 2 millions de francs suisses » (1,8 million d’euros) en faveur de M. Platini, « au préjudice de la FIFA, prétendument pour des travaux effectués entre janvier 1999 et juin 2002 ». A l’époque, Michel Platini officiait comme « conseiller football » de M. Blatter avant de siéger, dès juin 2002, au comité exécutif de la FIFA et d’en devenir le vice-président. Selon le MPC, ce paiement a été effectué en février 2011. « On a affaire à une accusation d’emploifictif avec un versement effectué neuf ans après les faits », explique au Monde un fin connaisseur des arcanes de la FIFA. Ce versement a été effectué un mois avant que M. Platini ne soit réélu pour un second mandat à la tête de l’UEFA, et quatre mois avant que son homologue de la FIFA ne soit reconduit pour la troisième fois à la tête de l’instance mondiale, avec le soutien discret de la Confédération européenne. Lesmédias anglais n’ont pas tardé à exhumer les vieux dossiers, rappelant la consigne de Michel Platini appelant les cinquante-trois membres de l’UEFA à voter en bloc pour M. Blatter. A l’époque, le Suisse avait promis à l’ex-joueur qu’il s’agirait de son dernier mandat. Un accord qu’il n’a pas respecté quatre ans plus tard.  « En ce qui concerne le paiement qui a été effectué en ma faveur, je désire clarifier que ce montant m’a été versé pour le travail que j’ai accompli de manière contractuelle pour la FIFA, s’est justifié Michel Platini dans un communiqué. Je suis satisfait d’avoir pu éclaircir ce point envers les autorités. » « Ce paiement est étrange, s’interroge un ancien pilier de la FIFA. Platini va devoir trouver une bonne explication. » Par le biais de son entourage, M. Platini a fait savoir qu’il n’aurait pensé à réclamer son dû à la Fédération internationale que neuf ans après ses « travaux ». Résidant à Paris lorsqu’il officiait comme « conseiller technique » de M. Blatter, il aurait par ailleurs payé des impôts sur la somme incriminée.

Foot fric : Une urgence dissoudre la Fifa et les autres organisations sportives internationales

Foot fric : Une urgence dissoudre la Fifa et les autres organisations ^sportives internationales

 

Curieusement peu de responsables politiques français ou  étrangers ne réclament la dissolution pure et simple de la FIFA. La FIFA objet d’un énorme scandale financier,  qui brasse des millions, autorise toutes les corruptions et justifie l’opacité de sa gestion par son statut d’association (équivalent du statut d’association de la loi 1901 en France.). Après les scandales financiers déjà révélés on vient d’apprendre que Michel Platini l’un des favoris pour succéder à Blatter a touché près de 2 millions d’euros pour des prestations effectuées de 99 à 2002 mais payéeés…. en 2011 seulement ! Soit neuf ans après. Il faut sans doute s’interroger sur la nature de la FIFA véritable machine à fric  dont bénéficient  ses dirigeants mais qui autorise aussi toute les dérives financières dans les clubs. Cette interrogation sur la nature de la FIFA concerne en faite la plupart des organisations internationales sportives. À commencer par le comité olympique (CIO), lieu de toutes les magouilles pour la localisation des jeux,  lui aussi disposant d’un statut d’association comme d’ailleurs la plupart des fédérations internationales des différentes  disciplines sportives. La plupart ont en effet un statut aussi sulfureux que celui de la FIFA ou du CIO avec en plus presque toujours un siège en Suisse quelquefois à Monaco pour des raisons de laxisme fiscal et d’absence de contrôle. Du coup c’est toute l’organisation sportive qui est en cause car elle est soumise à toutes les pressions à toutes les corruptions (voir encore l’implication du président de l’union internationale cycliste dans le scandale de dopage d’Armstrong). Le sport a grand besoin d’assainir son organisation et pour cela de se doter de base juridique officielle, contrôlable et démocratique. L’affaire de la FIFA qui implique désormais le favori à la succession de la terre démontre s’il en était besoin l’ampleur des dérives. Le MPC reproche notamment à M. Blatter « un paiement déloyal de 2 millions de francs suisses » (1,8 million d’euros) en faveur de M. Platini, « au préjudice de la FIFA, prétendument pour des travaux effectués entre janvier 1999 et juin 2002 ». A l’époque, Michel Platini officiait comme « conseiller football » de M. Blatter avant de siéger, dès juin 2002, au comité exécutif de la FIFA et d’en devenir le vice-président. Selon le MPC, ce paiement a été effectué en février 2011. « On a affaire à une accusation d’emploi fictif avec un versement effectué neuf ans après les faits », explique au Monde un fin connaisseur des arcanes de la FIFA. Ce versement a été effectué un mois avant que M. Platini ne soit réélu pour un second mandat à la tête de l’UEFA, et quatre mois avant que son homologue de la FIFA ne soit reconduit pour la troisième fois à la tête de l’instance mondiale, avec le soutien discret de la Confédération européenne. Les médias anglais n’ont pas tardé à exhumer les vieux dossiers, rappelant la consigne de Michel Platini appelant les cinquante-trois membres de l’UEFA à voter en bloc pour M. Blatter. A l’époque, le Suisse avait promis à l’ex-joueur qu’il s’agirait de son dernier mandat. Un accord qu’il n’a pas respecté quatre ans plus tard.  « En ce qui concerne le paiement qui a été effectué en ma faveur, je désire clarifier que ce montant m’a été versé pour le travail que j’ai accompli de manière contractuelle pour la FIFA, s’est justifié Michel Platini dans un communiqué. Je suis satisfait d’avoir pu éclaircir ce point envers les autorités. » « Ce paiement est étrange, s’interroge un ancien pilier de la FIFA. Platini va devoir trouver une bonne explication. » Par le biais de son entourage, M. Platini a fait savoir qu’il n’aurait pensé à réclamer son dû à la Fédération internationale que neuf ans après ses « travaux ». Résidant à Paris lorsqu’il officiait comme « conseiller technique » de M. Blatter, il aurait par ailleurs payé des impôts sur la somme incriminée.




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