Archive pour le Tag 'spécial'

Le  » palmarès » juridique très spécial de membres importants du conseil constitutionnel

Le palmarès juridique de deux membres importants du conseil constitutionnel

Curieusement siègent au conseil constitutionnel non pas des juristes encore moins de véritables constitutionnalistes mais surtout des politiques. Pas étonnant puisque la plupart sont désignés d’une part par le président de la république, d’autres part par le président de l’assemblée et par le président du Sénat. On trouve ainsi plusieurs anciens ministres et même des anciens premiers ministres qui par ailleurs n’ont pas spécialement brillé sur le terrain juridique ainsi Alain Juppé a été impliqué dans plusieurs affaires et Fabius a été concerné par le scandale de l’affaire du sang contaminé. Comme spécialistes du droit, en fait mieux !

Rappel de faits dans Wikipédia

En juin 1995, Le Canard enchaîné révèle qu’Alain Juppé a signé, en janvier 1993, un document donnant l’ordre aux services du logement de la ville de Paris de diminuer de 1 000 francs le loyer de son fils Laurent, logé dans un appartement relevant des propriétés de la ville, rue Jacob. Par ailleurs, des travaux pour un montant de 381 000 francs sont réalisés dans cet appartement par la ville63. À plusieurs reprises, le ministère de la Justice tente d’empêcher le Service central de prévention de la corruption de rendre son rapport sur cette ristourne de loyer. Le rapport conclut au fait que cette opération peut relever d’un délit d’ingérence, mais la justice décide de ne pas poursuivre le Premier ministre.

En outre, Alain Juppé signe, en septembre 1990, un bail de location avec sa propre municipalité lui permettant de devenir locataire, dans cette même rue Jacob, d’un appartement de 189 m2 à un prix défiant toute concurrence*. Là encore, des travaux sont réalisés aux frais des contribuables, pour un montant évalué à plus d’un million de francs*. Il attend deux semaines avant de se justifier et refuse de s’excuser, affirmant rester « droit dans ses bottes ». Après trois mois de polémique, il décide de quitter son logement.

Une plainte pour « prise illégale d’intérêts » est déposée par l’Association des contribuables parisiens, créée ad hoc par Arnaud Montebourg, à l’époque jeune avocat et adhérent du Parti socialiste. Une information judiciaire est ouverte par le procureur de la République de Paris, Bruno Cotte, qui considère que le délit de prise illégale d’intérêts est établi66. Mais le procureur général près la cour d’appel de Paris, Jean-François Burgelin, controversé pour ses prises de position sur la corruption, publie un communiqué affirmant que l’infraction n’est pas constituée.
Ces affaires, qui éclatent quelques mois seulement après la campagne présidentielle de Jacques Chirac sur le thème de la « fracture sociale », ont un impact très négatif sur l’image d’Alain Juppé49.

En 1999, Alain Juppé est mis en examen pour « abus de confiance, recel d’abus de biens sociaux, et prise illégale d’intérêt » pour des faits commis en tant que secrétaire général du Rassemblement pour la République et maire adjoint de Paris aux finances, de 1983 à 1995. Il est considéré comme un élément clé d’un système de financement occulte d’emplois au sein du RPR financés par la mairie de Paris et des entreprises désireuses de passer des contrats publics (sa secrétaire personnelle au RPR fut elle-même rémunérée par une entreprise, le groupe immobilier Ségur, puis par la ville de Paris).

Son procès pour prise illégale d’intérêts s’ouvre le 29 septembre 2003. Alain Juppé y affirme avoir pris connaissance du système d’emplois fictifs en 199368. Le 30 janvier 2004, il est condamné par le tribunal correctionnel de Nanterre à 18 mois de prison avec sursis et à une peine de dix ans d’inéligibilité69,70. Le tribunal juge notamment qu’Alain Juppé a « délibérément recouru à des arrangements illégaux » pour favoriser l’action du RPR, que la nature des faits était « contraire à la volonté générale exprimée par la loi » et qu’il avait ainsi « trompé la confiance du peuple souverain »71. La présidente du tribunal exige l’inscription de cette condamnation à son casier judiciaire.

L’appel interjeté par Alain Juppé immédiatement après sa condamnation a pour effet de suspendre l’application de cette décision jusqu’à l’arrêt de la cour d’appel de Versailles. Le 1er décembre 2004, celle-ci réduit la condamnation à 14 mois de prison avec sursis et un an d’inéligibilité alors que le parquet préconisait une peine plus lourde. Pour ce faire, elle déroge à une loi votée en 1995 par la majorité RPR-UDF ayant conduit à une lourde condamnation d’Alain Juppé en première instance : de façon inédite, la cour d’appel n’applique pas cette automaticité légale et fixe elle-même la durée de l’inéligibilité en faisant usage de l’article 432-17 du code pénal relatif aux peines complémentaires.

Elle indique notamment :
« Il est regrettable qu’au moment où le législateur prenait conscience de la nécessité de mettre fin à des pratiques délictueuses qui existaient à l’occasion du financement des partis politiques, M. Juppé n’ait pas appliqué à son propre parti les règles qu’il avait votées au Parlement. Il est également regrettable que M. Juppé, dont les qualités intellectuelles sont unanimement reconnues, n’ait pas cru devoir assumer devant la justice l’ensemble de ses responsabilités pénales et ait maintenu la négation de faits avérés. Toutefois, M. Juppé s’est consacré pendant de nombreuses années au service de l’État, n’a tiré aucun enrichissement personnel de ces infractions commises au bénéfice de l’ensemble des membres de son parti, dont il ne doit pas être le bouc émissaire. »

Alors que les journalistes soulignent ses agissements en tant que secrétaire général du RPR et adjoint aux finances à la mairie de Paris, une partie d’entre eux estiment qu’Alain Juppé « paye » pour Jacques Chirac, qui sera condamné à deux ans de prison avec sursis dans cette affaire en 201175. D’autres médias soulignent l’arrogance d’Alain Juppé durant ses deux procès. Celui-ci renonce alors à se pourvoir en cassation et démissionne de ses mandats de maire de Bordeaux et de président de la communauté urbaine.

L’affaire du sang contaminé vient aussi entacher le bilan du passage de Laurent Fabius à Matignon. Des retards dans la mise en œuvre de mesures préventives auraient entraîné la contamination par le virus du sida de patients ayant subi une transfusion sanguine. À la suite de la révélation de l’affaire en 1991 et de la déclaration de François Mitterrand du 9 novembre 1992 (« les ministres doivent rendre compte de leurs actes »), il demande la levée de son immunité parlementaire pour être jugé. Il est finalement relaxé du délit d’« atteinte involontaire à la vie » le 9 mars 1999 par la Cour de justice de la République, qui affirme, dans ses attendus .

Notons que cette course très spéciale de justice de la république qui juge exclusivement les anciens ministres est particulièrement laxiste vis-à-vis des délits des politiques. Ainsi elle n’a jamais pratiquement condamné sévèrement personne. Dernier exemple, celui de l’affaire Tapie ou Christine Lagarde alors ministre des finances a été exemptée de responsabilité pour avoir attribué abusivement 400 millions à l’intéressé et a fait l’objet simplement d’un froncement de sourcils appelé  » une certaine négligence » mais sans aucune condamnation !

Conclusion un conseil constitutionnel composé de personnalités sans réelles compétences juridiques et sans passé pouvant justifier leur intégrité.

Un autre exemple, une ancienne ministre inconnue, Jacqueline Gourault

En février 2022, Emmanuel Macron propose de nommer Jacqueline Gourault au Conseil constitutionnel. Cette proposition fait polémique sur les bancs de l’opposition de droite, car , Jacqueline Gourault n’est pas juriste. Pour le souligner, lors de son audition à l’Assemblée nationale, Guillaume Larrivé présente des questions pointues. À l’inverse, Philippe Bas (ancien président de la commission des Lois du Sénat), a précisé que « le Conseil constitutionnel n’a pas seulement besoin de juristes, mais aussi des personnalités qui connaissent la société française ».( son mari est éléveur de chevaux !)

Cette nomination est validée par le Parlement le 23 février 2022 par 41 voix pour, 31 voix contre et 4 abstentions (29 voix pour et 15 voix contre pour les députés, 12 voix pour et 16 voix contre pour les sénateurs). Elle prête serment le 8 mars 2022.

On pourrait encore continuer avec d’autres exemples d’incompétence juridique et de partialité politique.

Retraite : le Sénat refuse de supprimer son propre régime spécial

Retraite : le Sénat refuse de supprimer son propre régime spécial

C’est toute la contradiction de la société française et de son système politique. Les élites proposent des transformations qu’ils refusent de s’appliquer à eux-mêmes. C’est ainsi le cas concernant la réforme des retraites. Le Sénat veut être en pointe sur ce sujet et veut absolument que la réforme du gouvernement soit appliquée. Par contre, il se refuse à supprimer la très avantageuse caisse de retraite des sénateurs. Une position qui discrédite évidemment les sénateurs à légiférer au nom des intérêts collectifs et un scandale démocratique de plus.

Le texte de l’exécutif prévoit bien la suppression de certains régimes spéciaux déficitaires comme celui de la RATP ou de la Banque de France. Mais pour le président du Sénat, Gérard Larcher, le régime du Sénat ne doit pas être logé à la même enseigne, celui-ci étant «autonome» et autofinancé. En fait autofinancé par les finances publiques qui rémunèrent les sénateurs !

Aujourd’hui, le régime de retraite des sénateurs est géré par le Sénat lui-même. Concrètement, d’après les comptes du Sénat, 38 millions d’euros ont été versés aux anciens sénateurs en 2021. Sur cette somme, 33% sont financés par les cotisations des sénateurs et du Sénat, et 67% par «des actifs financiers qui ont été constitués afin de consolider les équilibres à moyen et long terme du régime» (l’argent aussi du contribuable) , indique le site du Sénat. Ces actifs ne proviennent pas des impôts des Français mais de «l’excédent des cotisations constitué depuis la création du régime en 1905», explique au Figaro le service de presse de la chambre haute. ( comme si le salaire des sénateurs n’était pas aussi payé par l’Etat.

«Le montant élevé des cotisations salariales, le nombre peu important des pensionnés et leur utilisation sur une durée faible des services de pension» expliquent le montant important épargné, ajoute-t-on. Les sénateurs partent en effet à la retraite plus tard que la moyenne des Français, et ont donc moins recours à leur droit à la retraite que la moyenne des Français. Bien gérée, cette épargne a permis d’équilibrer le régime et d’éviter ainsi d’avoir recours à des subventions de l’État : «Il n’y a ni dotation d’équilibre, ni subvention d’équilibre, ni transfert financier venant de l’extérieur», souligne le Sénat. Parmi les 33% de cotisation, 21% sont des cotisations employeur, comme c’est le cas pour tout régime où l’État est employeur, et sont donc financés par l’État. Ce montant s’élève à 8 millions d’euros. Cependant cela ne relève pas d’une subvention pour équilibrer les comptes. Une vraie explication ésotérique !

Réforme des retraites: Pour la suppression du régime spécial des parlementaires

Réforme des retraites: Pour la suppression du régime spécial des parlementaires: Pour la suppression du régime spécial des parlementaires

La plupart des parlementaires sont tellement hors sol qu’ils ont oublié le régime spécial dont ils bénéficient pour les retraites. Ce qui ne les empêche nullement de demander des efforts aux Français y compris aux plus défavorisés.

La question de la suppression du régime spécial des parlementaires devrait se poser alors que le gouvernement compte mettre fin aux régimes spéciaux dont bénéficient les salariés d’EDF, de la RATP ou encore de la Banque de France, un député, Charles de Courson, député centriste de la Marne, a appelé à « donner l’exemple » en supprimant également celui des parlementaires.

« On a un article 1er dans le texte qui nous est soumis, qui met en extinction cinq régimes spéciaux », comme EDF, la RATP ou la Banque de France. « Ceci est incohérent: pourquoi ces cinq régimes spéciaux [mais pas] les autres, dont celui des parlementaires? », s’est interrogé le député centriste Charles de Courson (groupe Libertés, indépendants, outre-mer et territoires) sur BFMTV.

« Nous devons donner l’exemple: on ne peut pas demander des efforts à nos concitoyens sans se les appliquer à soi-même », a avancé le député de la Marne.

« Le régime des députés a été réformé à deux reprises pour le rapprocher » du régime général et il n’en est « plus très loin », mais celui des sénateurs est « encore très éloigné » du régime général, a constaté Charles de Courson.

« On ne peut pas maintenir cela, sinon on alimente l’antiparlementarisme », a-t-il souligné.

Pouvoir d’achat: Un projet de loi spécial élections législatives

Pouvoir d’achat: Un projet de loi spécial élections législatives

 

Elisabeth Borne a déclaré, vendredi 20 mai, qu’un premier projet de loi sur le sujet serait examiné par le Parlement issu des élections législatives du mois de juin

 

Un projet de loi Fourre tout est annoncée par la nouvelle première ministre si tôt après les législatives. Sans doute pas un hasard du calendrier car le pouvoir veut peser sur les élections de l’assemblée nationale. Or le pouvoir d’achat est de loin la première préoccupation des ménages sachant que l’inflation en 2022 risques d’atteindre de 6 % et que le pouvoir d’achat en moyenne n’augmentera pas plus de 2 %. Résultat une perte de 4% ( officiellement)  qui fait payer aux ménages la facture de la crise. Il ne faut guère escompter une politique significative de réajustement des revenus salaires, pensions ou épargnes. Certes il y aura un petit coup de pouce mais très loin de ce qui serait nécessaire pour compenser l’inflation exceptionnelle actuelle. Du coup, le projet de loi risque d’être surtout composé de mesures accessoires voir gadget comme la distribution de chèques alimentation qui rappellent tristement l’après-guerre. On aura  sans doute aussi la prolongation de ce qu’on appelle la réduction du prix du carburant. En fait un gel temporaire de la fiscalité spécifique car le pouvoir va continuer de prélever d’énormes sommes sur tous les carburants ( plus de la moitié du prix). Et on donnera un habillage écolo à ces mesures d’austérité.

La Première ministre française a donc déclaré, vendredi 20 mai, que le premier projet de loi examiné par le Parlement issu des élections législatives du mois de juin serait consacré au soutien au pouvoir d’achat des Français, dans un contexte de forte inflation.

Invitée du journal de 20h de la chaîne TF1 après la présentation de la composition de son gouvernement, Elisabeth Borne a précisé que la création d’un chèque alimentation et la limitation des prix de l’énergie feraient partie des mesures proposées dès le début de l’été.

« On travaille sur un chèque alimentation qui fera partie de ce projet de loi, mais aussi sur des mesures de bouclier tarifaire, et la réduction des prix du carburant sera prolongée », a-t-elle déclaré, assurant avoir « bien entendu les inquiétudes des Français » sur le pouvoir d’achat. « Il y a aussi des mesures qui étaient attendues, comme la revalorisation des retraites et le triplement de la prime Macron », a-t-elle ajouté.

 

Sondage « spécial » JDD: les jeunes pour Macron et l’extrême droite !

 

Sondage très ambigu comme d’habitude de la part du JDD qui titre que les jeunes de 18 à 20 ans se prononceront de manière privilégiée pour Macron, Le Pen et Zemmour mais qui indique en même temps que le taux d’abstention sera majoritaire

à 60 %.
Du coup l’interprétation du sondage de l’IFOP par le JDD doit être prise avec des pincettes.

D’après un sondage Ifop réalisé auprès de 1.000 Français âgés de 18 à 30 ans Environ 60 % comptent s’abstenir . « L’abstention est perçue comme un comportement électoral », analyse Frédéric Dabi, directeur général de l’Ifop. Avant de poursuivre : « C’est une rupture dans la cinquième République. »

 

Cinq ans plus tôt, leur motivation était pourtant intacte : 68% des 18-24 ans comptaient se rendre aux urnes au premier tour de l’élection présidentielle de 2017. Désormais, les primo-votants s’avouent les plus sceptiques : 63% des 18-20 ans envisagent de s’abstenir l’année prochaine. Comme si voter n’était plus si utile… « A quoi bon se déplacer puisque les politiques ne changent pas ma vie? interprète Frédéric Dabi. Cette crise sans fin, avec la reprise épidémique, fait plonger le moral des jeunes. » En un an, leur confiance en l’avenir s’est étiolée. Un sur deux se dit optimiste au regard de sa situation personnelle (62% en octobre 2020). Et un sur deux s’avoue pessimiste (38% en octobre 2020).

 

Le tiercé gagnant Pour le JDD qui ne sait pas qui va voter: Macron (25% des intentions de vote), Marine le Pen (20%). Et Eric Zemmour (12%). Anne Hidalgo (Parti socialiste) ne recueille que 5%, Yannick Jadot (Europe Écologie-Les Verts), 8%.… Avec 10%, Valérie Pécresse (Les Républicains) possède un socle non négligeable, plus important que celui de François Fillon en 2017.

Fut une époque où l’on cherchait à transgresser les penchants électoraux de sa famille. Aujourd’hui, la tendance est à les épouser. « Il y a une perte de singularité du vote jeune, qui s’homogénéise avec celui des autres Français, observe Dabi. Le bloc de droite nationale concentre 32,5% des voix en moyenne, et 34% chez les jeunes. »

 

Sondage « spécial » du JDD : Macron, 41% de satisfaits !

Sondage « spécial » du JDD : Macon, 41% de satisfaits !

Le dernier sondage du JDD illustre le soutien de ce média à Emmanuel Macron en affichant une hausse trois. points et en concluant que Emmanuel Macron en position de force à huit mois de la présidentielle. Bref la bataille des sondages a commencé et tous les grands médias aux mains des financiers qui ont permis l’élection de Macron vont multiplier ce genre d’information.

 

Selon leJDD avec 41% de satisfaits, la popularité de macro augmente de 3 points en un mois, signe que l’annonce, le 12 juillet, de la mise en œuvre du passe sanitaire et les mobilisations de l’été n’ont pas nui au chef de l’État. Au contraire. Il retrouve ainsi son plus haut niveau de l’année écoulée. À huit mois de l’élection présidentielle, ce résultat le place en position de force, 8 points au-dessus de son prédécesseur Nicolas Sarkozy à la même période de son mandat et 25 points au-dessus de François Hollande.

Baromètre Macron spécial JDD : « Macron bondit » !!!

Baromètre Macron spécial JDD : « Macron bondit » !!!

Le JDD est sans conteste un soutien inconditionnel de Macron. C’est aussi le spécialiste de la production et de la diffusion de sondages favorables au président et à son gouvernement. Ainsi aujourd’hui dans son titre il indique « Macron bondit ». La vérité c’est que la cote présidentielle  ne change pas et demeure à 40 % de bonnes opinions selon le baromètre Ifop pour le JDD du mois de juin;  et d’affirmer que la gifle assénée cette semaine dans la Drôme au chef de l’Etat n’y a rien changé, l’Ifop ne mesurant pas d’effet particulier de l’incident. Et pour cause il n’y a pas eu d’enquête sur cette question !

La suite de l’article montre une stabilité de la popularité du président.

« le président ne sort pas affaibli d’une crise aussi longue », constate Frédéric Dabi, directeur général de l’Ifop. Par contre l’institut de sondage constate une montée des préoccupations vis-à-vis de l’éventuelle  réforme des retraites.

ONU : Macron pour un «envoyé spécial climat »

ONU : Macron pour  un «envoyé spécial climat »

Le président de la république soutient ainsi une proposition de l’Allemagne qui avait retiré son texte par crainte d’une opposition de la Chine, de la Russie mais aussi des États-Unis. L’arrivée de Biden comme président des États-Unis changeun peu la donne surtout depuis la nomination de John Kerry, nouvel envoyé spécial américain pour le climat et grand militant environnemental notamment face à Trump. .

Appelant les 15 membres du Conseil à «se saisir des enjeux climatiques », Emmanuel Macon jugé que la nomination «d’un ou d’une envoyée spéciale pour la sécurité climatique pourrait être opportune pour coordonner (l)es efforts» par exemple en cas de catastrophe climatique, ou pour doter «les petits producteurs de mécanismes d’assurance qui leur permettront de redémarrer une activité économique rapidement après un désastre».

«Et je ne verrai que des avantages à ce que le Secrétaire général (de l’ONU) fasse rapport chaque année au Conseil de sécurité sur l’impact du climat sur la sécurité internationale, pour anticiper, nous alerter, nous faire des recommandations, et nous permettre de jouer notre rôle», a complété Emmanuel Macron.

Sondage spécial JDD. Macron monte de deux points !

Sondage spécial  JDD. Macron monte de deux points ! 

C’est un peu la spécialité du JDD de soutenir la popularité de Macon en diffusant des sondages favorables au pouvoir.  

Pour le JDD,, le chef de l’Etat progresse de 2 points en ce début d’année dans le baromètre IFOP, avec 40% de ­Français satisfaits de son action. « Sa cote de popularité est en apesanteur, constate Frédéric Dabi, directeur général adjoint de ­l’institut de sondage. Nous sommes dans un moment où les critiques, même fortes, n’impactent pas. » Et à partir de cette augmentation de la popularité de :, le JDD développe nombre de facteurs explicatifs qui montrent les raisons de cette hausse. Le problème c’est que les autres sondages publiés début janvier affichent plutôt une baisse de Macon.

Baisse de Macon pour RTL

Selon le baromètre BVA pour RTL et Orange, le chef de l’État et le Premier ministre voient leur popularité baisser de respectivement 3 et 2 points en janvier.

La cote de popularité de l’exécutif ne cesse de se dégrader depuis la rentrée 2020 : selon notre baromètre BVA pour RTL et Orange, Emmanuel Macron ne compte que 37% d’opinions positives en ce mois de janvier, et 36% des Français seulement ont une bonne opinion du Premier ministre Jean Castex.

Cela représente une baisse de trois points, dans le cas du président de la République, et de deux points pour Jean Castex, par rapport au baromètre de décembre. En cause, la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement, jugée « mauvaise » par 69% des Français. Avec ce total de 37% de bonnes opinions, Emmanuel Macron atteint son point le plus bas depuis avril 2020, alors qu’il avait grimpé jusqu’à 44% à l’été. Du côté du chef du gouvernement, sa cote de popularité n’a fait que baisser depuis son entrée en fonction en juillet.

Baisse de Macon pour le Figaro

L’année 2021 commence mal pour Emmanuel Macron dans le baromètre Figaro magazine, la cote de confiance du président de la République est en baisse de 2 points.

La lassitude vis-à-vis du pouvoir se retrouve dans la baisse de la cote de confiance du président de la République? En tout état de cause, l’année 2021 commence difficilement pour Emmanuel Macron. Sa cote de confiance connaît une chute chez les retraités (-6, à 38%). Même érosion chez les sympathisants LR. Ceux-ci ne sont plus que 37% (-7) à lui faire confiance. «Emmanuel Macron joue gros sur cette période», estime un membre du gouvernement. Période qui va «d’aujourd’hui jusqu’au moment où on sort de la vague épidémique et épidermique». Moment que ce ministre espère au mois de juin. Il restera alors dix mois à Emmanuel Macron pour convaincre les Français de lui faire à nouveau confiance.

 

Bref dans l’univers des sondages le JDD fait  encore cavalier seul. Pas étonnant , le journal a toujours été un fervent soutien de Macron. Le rédacteur en chef est d’ailleurs un macroniste  assumé. En outre le propriétaire du JDD ,à savoir Lagardère, a en ce moment un urgent  besoin de soutien de la part du gouvernement pour ne pas être dévoré par Bolloré qui veut s’approprier le groupe de Lagardère actuellement en piteux état financier.

 

 

UE : 15 jours pour décider d’une la ligne de crédit spécial

 

Face à la demande de rebondir formuler notamment par Macron et les pays du Sud la réponse de Merkel a été nette : pas question. La chancelière allemande a refusé une nouvelle fois la mutualisation de dettes supplémentaires qui découleraient des gestions laxistes des pays du Sud. La chancelière a renvoyé au dispositif actuel notamment le mécanisme européen de stabilité (MES) qui dans certaines limites permet d’aider les pays en difficulté à gérer leurs problèmes budgétaires.

Les dirigeants européens ont décidé de demander aux ministres des Finances de la zone euro régler sous quinzaine la question de la ligne de crédit spécial qui pourrait être sollicitée auprès du Mécanisme européen de stabilité (MES), le fonds européen de gestion des crises financières et de sauvetage, a-t-on appris jeudi de sources diplomatiques.

Des pays comme l’Italie, la Grèce et l’Espagne demandent à ce la zone euro ne s’épargne aucun effort pour lutter contre les retombées de la crise sanitaire tandis que d’autres pays, Allemagne et Pays-Bas notamment, veulent adopter une ligne plus prudente.

 

Le Pen contre l’ISF « spécial immenses fortunes » de Macron

Le Pen contre  l’ISF « spécial immenses fortunes » de Macron

Marine Le Pen a exprimé son opposition à la proposition de macro visant à transformer l’ISF en   »Impôt sur la fortune immobilière ». On ne peut évidemment s’empêcher de penser qu’elle se protège aussi compte tenu de l’énorme héritage immobilier de son père qui  faiat d’ailleurs l’objet d’une enquête judiciaire en raison d’une sous-évaluation présumée. Marine Le Pen défendons la transmission du patrimoine immobilier sans fiscalité supplémentaire. « M. Macron, va taper que sur les propriétaires immobiliers, c’est-à-dire ce qu’on appelle les petits ISF, ceux qui héritent d’une résidence principale qui est au-dessus de 1,2 million ». Déclare Marine Payne qui ajoute  « Je maintiens l’ISF, mais je pense effectivement qu’il faut aujourd’hui alléger la possibilité de transmission entre les parents et les enfants, entre les grands-parents et les enfants, particulièrement dans la situation de crise actuelle. » Dans son projet présidentiel, la présidente du FN indique vouloir permettre à « chaque parent de transmettre sans taxation 100.000 euros à chaque enfant tous les cinq ans (au lieu de quinze ans actuellement) » et d’augmenter « le plafond des donations sans taxation aux petits-enfants à 50.000 euros, également tous les cinq ans ».




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol