Archive pour le Tag 'Spanghero'

L’ex-Spanghero en dépôt de bilan : merci Hamon !

L’ex-Spanghero en dépôt de bilan : merci Hamon !

 

La société La Lauragaise, l’ex-société Spanghero de Castelnaudary n’aura pas réussi à surmonter le discrédit dont elle fait l’objet de la part de Hamon, l’ancien ministre de la consommation. Si le PS est inefficace pour développer l’emploi il est par contre compétent pour les fermer. La société, va demander donc son placement en redressement judiciaire. Il s’agit de « sauver l’entreprise et ses 100 emplois » avec un repreneur, a annoncé mardi son patron Laurent Spanghero. L’ancien rugbyman Laurent Spanghero a expliqué que sa société connaissait de grosses difficultés de trésorerie à cause du refus des banques d’accompagner le redressement de la société de plats cuisinés. « Je vais demander au tribunal de commerce de Carcassonne l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire avec continuation de l’activité parce que j’ai du mal à convaincre la Banque publique d’investissement (BPI) et les autres banques qu’il faut qu’elles révisent leurs positions », a-t-il dit au téléphone. Laurent Spanghero a souligné que la demande de redressement (communément appelée le dépôt de bilan) qu’il va déposer vise à une poursuite de l’activité avec un ou des repreneurs. Il a indiqué avoir « trouvé deux candidats à la reprise, des Français, des partenaires solides, mais qui mettent des conditions pour un problème de crédit-bail ». La reprise de la société avait fait l’objet d’un financement par une opération de crédit-bail calculée à partir d’un chiffre d’affaires de 200 millions d’euros, a précisé Laurent Spanghero. « Mais aujourd’hui on réalise un chiffre d’affaires bien inférieur et ce loyer est insupportable pour l’entreprise actuelle », a-t-il dit. « On demande un plan de continuité pour permettre aux repreneurs potentiels de faire valoir leurs propositions. L’aventure est difficile mais je continue à garder l’espoir qu’on sauvera l’entreprise et ses 100 emplois », a-t-il dit. Laurent Spanghero avait repris en juillet 2013 l’entreprise qu’il avait lui-même créée en 1970.

Spanghero : reprise partielle

Spanghero : reprise partielle

Le  tribunal de commerce de Carcassonne a retenu l’offre de reprise de l’entreprise Spanghero proposée par l’un de ses fondateurs, Laurent Spanghero. Elaboré avec le promoteur Jacques Blanc et la société de capital-risque Investeam, le dossier prévoit une reprise partielle qui maintiendra 90 emplois sur le site où se sont rassemblés les 230 salariés dans la matinée. Spanghero revient de loin. Après une situation économique difficile qui avait conduit en 2009 à sa cession pour un euro symbolique par Laurent Spanghero à la coopérative basque Lur Berri, l’entreprise connaissait une amélioration de ses comptes jusqu’à l’éclatement du scandale de la viande de cheval, en février dernier. Elle avait alors été identifiée par le gouvernement comme un acteur majeur de la tromperie qui consistait à revendre dans des plats cuisinés de la viande chevaline identifiée comme de la viande de bœuf. En mars, la découverte de viande de mouton britannique interdite a ajouté aux difficultés de l’entreprise, qui est à l’arrêt depuis le 30 juin. Si la validation de la reprise est une bonne nouvelle, moins de la moitié des 230 emplois seront maintenus. Une lourde perte, d’autant plus que Spanghero comptait 360 salariés avant le scandale du début de l’année, autour duquel une enquête judiciaire est toujours en cours. Reste à espérer que le changement de nom de l’entreprise – qui s’appellera désormais « Saveurs occitanes » – fera oublier les difficultés passées et permettra une reprise durable de l’activité.

 

Laurent Spanghero seul candidat retenu

Laurent Spanghero seul candidat retenu

 

Le tribunal de commerce de Carcassonne, dans l’Aude, se prononcera vendredi sur la seule offre de reprise retenue pour le groupe de viande et de produits cuisinés Spanghero, celle du co-fondateur Laurent Spanghero et de ses associés. L’autre offre, déposée par les entreprises Delpeyrat et Deveille et soutenue par une partie des salariés, n’a pas été jugée recevable par le tribunal.  Ce projet visait à sauvegarder une centaine d’emplois sur les 240 de l’entreprise de Castelnaudary (Aude), désignée en février dernier comme la principale responsable du scandale européen de la viande de cheval.  « Delpeyrat a présenté ce mardi son projet mais le tribunal a estimé qu’il était incomplet faute d’avoir obtenu un abandon de créance de la part des banques », a dit à Reuters Jean Aparicio, délégué Force ouvrière, qui soutenait ce plan. Christophe Leguevaques, avocat de Laurent Spanghero, qui a cédé l’entreprise en 2009 à la coopérative basque Lur Berri, a confirmé que « seule l’offre de son client était encore en lice ». Le projet porté par Laurent Spanghero est soutenu par un promoteur immobilier de Narbonne, Jacques Blanc, et une société d’investissement, Investeam. Il pourrait sauvegarder une centaine d’emplois dans les deux secteurs d’activité.

 

Spanghero: les salariés bloquent un établissement Labeyrie

Spanghero: les salariés bloquent un établissement Labeyrie

Les salariés de Spanghero dont l’entreprise a été tuée par l’irresponsable ministre de la consommation Benoist Hamon manifestent leur colère (irresponsable car les produits ne menaient nullement la santé). Une double colère à cause de l’injuste fermeture d’usine, d’autre part sur leur indemnisation Les salariés de Spanghero, l’entreprise de Castelnaudary (Aude) menacée de disparaître à cause du scandale de la viande de cheval, ont entrepris lundi matin de bloquer un établissement Labeyrie à Castelsarrasin (Tarn-et-Garonne), continuant ainsi à faire pression sur la maison mère Lur Berri, a indiqué un représentant du personnel.  Ils étaient une cinquantaine à se poster vers 6H00 devant les accès de l’usine, a dit à l’AFP par téléphone Jean Aparicio, élu Force Ouvrière.  C’est la troisième opération menée en moins d’une semaine par les employés de Spanghero contre la coopérative basque Lur Berri, qui a racheté leur entreprise en 2009 et détient aussi 49,8% du capital de la maison mère de Labeyrie depuis 2010.  Les 230 salariés de Spanghero, très éprouvés, veulent obtenir de Lur Berri plus d’argent pour accompagner leur plan social.  Ils risquent d’être pour une grande partie, voire tous, licenciés dans quelques semaines. Leur entreprise a brutalement sombré après avoir été mise en cause par le gouvernement mi-février comme un acteur majeur du scandale européen de la viande de cheval. Les clients se sont massivement détournés d’une société accusée d’avoir sciemment revendu du cheval à la place de boeuf à des entreprises produisant elles-mêmes des plats cuisinés comme des lasagnes pour de grandes marques ou de grands distributeurs.  La société est en liquidation judiciaire depuis avril avec maintien de l’activité pendant trois mois jusqu’au 19 juillet, le temps de peut-être trouver un repreneur. Un plan social est en route. Lur Berri a mis sur la table des mesures pour accompagner le départ de ceux qui seront licenciés. Les salariés les trouvent indignes.  Ils ont déjà bloqué jeudi l’entrée d’une usine de produits Labeyrie à Saint-Geours-de Maremnes (Landes), et ont manifesté vendredi devant le siège de Luc Berri à Aïcirits-Camou-Suhast (Pyrénées-Atlantiques). Ils ne « lâcheront rien », disent-ils.

 

Spanghero : encore un délai de deux semaines

 

Spanghero : encore un délai de deux semaines

Les candidats à la reprise de Spanghero, l’entreprise de Castelnaudary (Aude) au cœur du scandale de la viande de cheval, ont obtenu un délai supplémentaire de deux semaines pour améliorer leur offre, a indiqué un élu FO à l’issue d’un nouveau comité d’entreprise mercredi. A l’issue de ce CE, les salariés exigent pour leur part de nouvelles propositions de leur propriétaire, la coopérative basque Lur Berri, pour accompagner le licenciement des employés qui ne seraient pas repris, a dit Jean Aparicio. Ils jugent les propositions actuelles de Lur Berri inaccceptables, a-t-il dit.

Chômage : à défaut de sauver Florange, Aulnay ou Petroplus, le gouvernement réussit à tuer Spanghero

Chômage : à défaut de sauver Florange, Aulnay ou Petroplus, le gouvernement réussit à tuer Spanghero

 

Il  y a eu le scandale de la viande de cheval mais ce n’était nullement un scandale sanitaire ; pire, mettre du cheval dans la viande hachée supposée de bœuf est moins grave que d’utiliser le minerai de viande classique composé essentiellement de déchets, tendons et os ( plus quelques produits chimiques) ; là est le véritable scandale, sanitaire cette fois ; c’était cependant une faute de Spanghero mais pas une raison pour l’inutile ministre de la consommation Benoit Hamon pour prendre immédiatement des mesures administratives qui ont tué l’entreprise. L’activité actuelle ne permet de faire travailler que 50 à 80 personnes et, dès lors, 160 emplois sont sur la sellette, ont expliqué vendredi à l’AFP plusieurs représentants syndicaux à l’issue d’une réunion avec la direction.   »On vient de faire le point avec la direction sur le tonnage que l’on réalise quotidiennement, ce qui équivaut à un nombre de postes d’opérateurs qui nous fait dire que, au plus, on va rester sur le site à 80″, a dit Jean Aparicio (FO).  Comme on l’interrogeait sur le sort réservé aux 160 autres salariés de l’entreprise, M. Aparicio a répondu: « Dans un premier temps, ils vont aller au Pôle Emploi ».   »Nous, notre espoir c’est de trouver un repreneur qui fasse redémarrer l’activité pour réintégrer la totalité ou une grande partie de ce personnel », a-t-il expliqué. Mais, a-t-il reconnu, personne ne s’est manifesté à ce jour.   »On ne peut pas continuer comme ça, les volumes ne sont pas au rendez-vous », a renchéri Claude Hill (CFDT).  L’administrateur judiciaire devrait convoquer très prochainement un comité d’entreprise pour débuter la mise en oeuvre d’un Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE), ont estimé les syndicalistes.  Spanghero, propriété de la coopérative basque Lur Berri, revendiquait 360 salariés quand elle a été frappée de plein fouet par le scandale. Maintenant qu’elle ne recourt plus aux contractuels ou aux intérimaires faute d’activité, ils ne sont plus que 240.  Une cinquantaine d’entre eux sont venus se présenter face aux caméras pour réclamer de Lur Berri et des pouvoirs publics « que les 160 victimes annoncées de cette affaire soient indemnisées à la hauteur du préjudice subi ».  Un sentiment de résignation teinté de fatalisme dominait les discussions des salariés, qui préféraient mettre l’accent sur les conditions de départ des futurs licenciés plutôt que sur la sauvegarde des emplois dans cette région qualifiée par eux-mêmes de « zone sinistrée ».  Lundi, trois jours après l’annonce de la liquidation judiciaire et de la mise en vente de l’entreprise, le gouvernement s’était pourtant engagé à se battre à leurs côtés.  Spanghero est aux abois depuis qu’elle a été désignée, à la mi-février, comme un responsable primordial du scandale européen de la viande de cheval. Spanghero est surtout spécialisée dans la transformation de viande et la fabrication de plats préparés. Mais c’est dans le cadre de son activité mineure de négoce de viande qu’elle est accusée d’avoir sciemment revendu du cheval à la place de boeuf à des entreprises produisant elles-mêmes des plats cuisinés pour de grandes marques ou de grands distributeurs.  L’entreprise a toujours protesté de sa bonne foi et dit avoir été victime des intermédiaires de la filière.  Déchue de ses agréments pendant quatre jours en février, elle espérait remonter la pente après en avoir récupéré la plupart. Mais les efforts pour faire revenir ses clients ont été torpillés le 19 mars par une nouvelle révélation: au cours des inspections menées en février, on avait aussi découvert chez Spanghero 57 tonnes de viande de mouton britannique prohibée.  Les clients de Spanghero se sont détournés de ce fournisseur. L’usine tourne au ralenti et perdrait 200.000 euros par semaine. La perspective d’un plan social est depuis sur toutes les lèvres.   »J’aimerais que les gens qui soient licenciés ne partent pas avec une main devant, une main derrière, c’est-à-dire les indemnités légales. Il faut que Lur Berri prenne en considération qu’on est dans un bassin où il n’y a pas beaucoup de travail. J’estime que deux ans de salaire, en partant, c’est un minimum », a déclaré M. Hill. Spanghero est un poids lourd de l’activité économique dans un département qui accusait fin 2012 un taux de chômage de 13,5% (9,9% en moyenne nationale). Castelnaudary a encaissé fin 2012 l’annonce de la fermeture de son abattoir. Elle vient d’apprendre la fermeture de son commissariat. Le maire Patrick Maugard a depuis rendu sa carte du Parti socialiste pour protester contre cette dernière mesure.

 

Spanghero : tué par un ministre sauvé par un autre !

Spanghero : tué par un ministre sauvé par un autre !

Benoit Hamon a tué Spanghero mais le  ministre délégué à l’Agroalimentaire, Guillaume Garot veut sauver l’entreprise !, il a promis lundi à Montpellier que le gouvernement allait « au combat » aux côtés des 240 salariés de Spanghero pour sauver cette entreprise de Castelnaudary (Aude), au coeur du scandale de la viande de cheval et qui a été placée vendredi en liquidation judiciaire.   »Nous sommes au combat et nous allons conduire ce combat ensemble » avec les employés et les élus, a dit le ministre, à l’issue d’une rencontre d’urgence avec des représentants du personnel et des responsables politiques locaux.  Cette réunion a servi à définir « une méthode de travail, mais surtout une méthode de combat pour l’emploi », selon le ministre.  Cependant, a-t-il admis, « je ne dis pas que le combat sera gagné, je dis simplement aujourd’hui que nous allons livrer ce combat avec toute l’énergie qu’il faut », soulignant l’importance du savoir-faire du personnel de Spanghero.  Spanghero, prise dans la tourmente depuis février, a été mise en liquidation judiciaire vendredi, avec la possibilité de poursuivre ses activités pendant trois mois, peut-être six. Durant cette période, le propriétaire actuel, la coopérative basque Lur Berri, va chercher à vendre l’entreprise, qui perdrait 200.000 euros par semaine. Les salariés s’attendent à l’annonce d’un plan social dès cette semaine.

Viande de mouton interdite chez Spanghero

Viande de mouton interdite chez Spanghero

 

De la viande suspecte a été découverte dans les entrepôts de l’entreprise Sanghero de Castelnaudary, dans l’Aude. Cinquante-sept tonnes de mouton britannique dont l’importation est théoriquement interdite. On ignore si une partie de cette viande a été commercialisée. La direction se dit victime d’une négligence.  Selon les informations recueilles par Julien Dumond, le parquet de Carcassonne a été destinataire ces derniers jours d’un signalement de la Brigade nationale d’enquêtes vétérinaires affirmant avoir découvert dans les entrepôts de Spanghero deux lots de viande normalement interdite à l’importation. Cinquante-sept tonnes de viande de mouton britannique découpée selon la méthode de la viande séparée mécaniquement, lors de laquelle des bout d’os et de moelle peuvent être mélangés à la viande. Technique interdite sur les ovins, bovins et caprins en Europe en raison du risque de présence de prion (maladie de la vache folle et tremblante du mouton). Les résultats des analyses pratiquées à partir d’échantillons prélevés le 19 février, sont connus depuis une quinzaine de jours. Cette semaine, c’est le Pôle de santé public de Paris, déjà en charge des investigations sur la viande de cheval vendue pour du bœuf, qui va se saisir de ce nouveau pan du dossier fraude à la viande. L’enquête devrait, dans un premier temps, viser des faits d’importation de produit interdit sur le sol français. Il n’est pas question de mise en danger de la vie d’autrui. Beaucoup de questions sont encore sans réponse. Comme dans le cas de la viande de cheval, cette importation est passée par des circuits commerciaux internationaux complexes : Grande-Bretagne et Hollande, notamment. On ne sait pas encore si une partie du stock de viande, destiné notamment à entrer dans la composition de merguez, a été ou non mise sur le marché. Ni, le cas échéant, par qui. En France ou à l’étranger ? On ne connait donc pas plus la responsabilité de Spanghero dans cette nouvelle affaire. Contacté par RTL, Barthélémy Aguerre, le patron de Spanghero, nous a confirmé cette découverte, estimant cependant qu’il s’agissait « d’une négligence, rien de grave, qu’en tout état de cause Spanghero n’y était pour rien, une nouvelle fois trompé par son fournisseur ». « Spanghero, précise-t-il, ne sera pas condamné pour cela en justice, cette viande n’aurait tout simplement pas dû quitter la Grande-Bretagne, ce n’est pas de notre faute ».

Spanghero : menace de fermeture ; merci M. Hamon

Spanghero : menace de fermeture ; merci M. Hamon

 

Alors qu’on se rend compte que l’affaire de la viande de cheval est internationale et que Spanghero n’est pas plus responsable que d’autres, l’entreprise, elle, est menacée de fermeture ; Si la gauche ne sait pas sauver les entreprises , elle sait par contre les fermer  (300 salariés, 1000 personnes concernées ); merci M. Hamon. La société Spanghero, dans la tourmente, a été placée ce mercredi en procédure de sauvegarde. L’entreprise agroalimentaire, pointée du doigt pour son rôle dans le scandale de la viande de cheval et confrontée, selon ses mots, «à des difficultés temporaires», en avait fait la demande auprès du tribunal de commerce de Carcassonne. Cette procédure vise en effet les entreprises qui traversent une période difficile sans être en cessation de paiement. Elle leur permet de poursuivre leur activité et de se réorganiser, tandis que leurs dettes, par exemple, sont suspendues. Un administrateur judiciaire a été nommé pour assister la direction. Spanghero devrait rester plusieurs mois sous observation. L’activité de la société s’est effondrée depuis que la répression des fraudes l’a accusée d’avoir sciemment revendu plusieurs centaines de tonnes de viande comme étant du bœuf, alors qu’elle contenait du cheval. Son activité actuelle ne dépasse pas, selon l’AFP, 20% de son niveau ordinaire. Spanghero a perdu son agrément pour le négoce, qui ne représente cependant que 2% de son chiffre d’affaires, et vu suspendu plusieurs jours son agrément sanitaire. C’est pourtant celui-ci qui lui permet de préparer de la viande pour fabriquer des produits frais (20% de son activité) ou des plats préparés (40% à 50%).  La société espère conclure quatre contrats avec d’anciens clients, qui lui permettraient de redémarrer son activité. En attendant, la direction a mis en place des mesures de chômage partiel pour ses 300 salariés, et s’est engagée à compenser, pour le mois de février, le manque à gagner pour chacun. «On va essayer de répartir au mieux le chômage partiel sur tous les salariés», a précisé à l’AFP Marie Favié, déléguée CFE-CGC (Confédération française de l’encadrement – Confédération générale des cadres). Outre l’arrêt de son activité négoce, Spanghero n’envisage pas de réorganisation particulière de son activité de fabrication de produits frais et de plats préparés.  La société n’est plus seule dans la tourmente depuis que Panzani a découvert de la viande de cheval dans ses raviolis William Saurin. Son fournisseur, en effet, n’était cette fois pas Spanghero, mais Gel Alpes, une autre firme française, qui dit partager le fournisseur néerlandais Windmeijer avec Spanghero. Des prélèvements sont actuellement en cours sur des produits qui n’ont pas transité par l’entreprise de Castelnaudary, pour cerner l’ampleur de la fraude, a expliqué mardi le ministre de la Consommation, Benoît Hamon. Il n’a pas précisé quand leurs résultats seront rendus publics.

 

Gâchis social chez Spanghero : abandon du négoce de viande et chômage partiel

Gâchis social chez Spanghero : abandon du négoce de viande et chômage partiel

 

Vel exemple de la gestion de l’emploi, Spanghero va connaitre le chômage partiel (effet sur l’image de l’entreprise et effet de la suppression du négoce de viande). Responsable : un ministre,  Benoit Hamon qui a voulu sortir de l’anonymat d’un ministère fantôme sans rien connaître au problème. Un ministre rapidement contredit par la ministre de l’agriculture. En attendant de gros dégâts commerciaux et maintenant le chômage partiel. Le vrai scandale n’est pas la viande de cheval dans la viande qui constitue le minerai de viande ; d’une certaine manière la présence de cette viande de cheval en améliore la qualité (voir articles) ; le vrai scandale c’est le minerai de viande, sa composition, ses circuits internationaux. On a assommé une entreprise avant même que ne soient terminées les enquêtes qui seront longues, complexes et à l’échelle internationale. Hamon a fait retirer l’agrément à Spanghero mais c’est lui qui mériterait un retrait de l’agrément de ministre (qui n’existe pas, ceci expliquant cela). La gauche démontre son efficacité bureaucratique pour fermer une entreprise alors qu’on l’attendrait surtout pour les rouvrir (d’autant que la santé n’a jamais été mise en cause dans l’affaire Spanghero). Hamon a faiat son show à la télé, les employés eux auront de la difficulté à trouver du travail ailleurs dans une région où le chômage atteint 17% ; (encore un élément que le très à gauche Hamon a dû oublier). La société Spanghero ne négociera plus de viande. Elle abandonne cette activité, a-t-elle annoncé ce vendredi. Un peu plus tôt, le gouvernement avait maintenu la suspension de cet agrément, décidé le 14 février. La société affirme que sa décision avait été prise avant. Dans la soirée, lors d’un CE, elle a par ailleurs annoncé des mesures de chômage partiel à Castelnaudary  La société Spanghero, soupçonnée dans le scandale de la viande de cheval étiquetée comme du bœuf, a annoncé vendredi l’abandon de son activité de négoce. Une activité qui ne représentait que « 2% de son chiffre d’affaires« . Cette annonce intervient le jour où le gouvernent a décidé de maintenir la suspension de son agrément pour ce type d’activité. Mais, selon Spanghero, l’abandon de l’activité de négoce avait déjà été décidée « en amont des conclusions de l’enquête« . Spanghero a décidé de se concentrer sur les activités de découpe, de préparation de viande et de fabrication de produits à base de viande.  Lors d’un comité d’entreprise extraordinaire à son siège de Castelnaudary, la direction a annoncé au personnel que des mesures de chômage partiel vont être prises. « On a discuté de la mise en place du chômage partiel« , a déclaré le délégué CFDT, Claude Hill. Selon lui, la direction  »a accepté de verser les compléments de salaire en février« . Il s’est dit confiant quant à l’arrivée de nouvelles commandes.

 

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Le Foll-Spanghero: « aucun problème sur la qualité des produits » ! On se demande pourquoi on a fermé l’entreprise

Le Foll-Spanghero: « aucun problème sur la qualité des produits » ! On se demande pourquoi on a fermé l’entreprise

Spanghero blanchi «  il n’y pas de problème sir la qualité des produits » dixit le ministre de l’agriculture qui rame à contre courant de Benoit Hamon, fantomatique ministre de la consommation,  qui avait enfoncé l’entreprise (sans vraiment connaître la question au demeurant complexe et contestable sur  » le minerai » de viande, voir article). Le ministère de l’Agriculture a donc autorisé lundi la reprise des activités de production de viande hachée, de saucisserie et d’élaboration de plats cuisinés de la société Spanghero. Stéphane Le Foll a justifié cette décision sur Europe 1, mardi matin : « l’entreprise ne fait pas que du négoce de viande. La brigade nationale a tout vérifié durant le week end, et tout est clair sur la qualité et la traçabilité du produit. Si j’ai pris cette décision, c’est que j’ai la certitude qu’il n’y a aucun problème sur la qualité des produits », a assuré le ministre de l’Agriculture avec fermeté, avant de promettre que « les coupables français seront sanctionnés, il y a une enquête en cours. Il y a des dirigeants qui seront responsables. » Quant à l’autorisation des farines animales dans l’alimentation des poissons d’élevage par la commission européenne, le ministre se dit « préoccupé. On va regarder cela avec l’ensemble des professionnels et on va essayer de faire changer d’avis l’Europe. »

 

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Spanghero : volte face du gouvernement qui rétablit l’agrément

 

 

Spanghero : volte face du gouvernement qui rétablit l’agrément

 

Finalemenet la gauche a beaucoup de mal avec l’économie ; il y a huit jours le sous ministre Benoist Hamon, concluait qu’il fallait fermer Spanghero, aujourd’hui le ministre de l’agriculture redonne l’agrément. On avait juste oublié que cette entreprise faisait vivre directement 300 personnes et des milliers indirectement ; et dans une région qui compte 15% de chômeurs. Stéphane Le Foll a décidé de lever le voile sur ses intentions, avant même de recevoir lundi à 18h30 une délégation intersyndicale (CFDT, FO, CFE-CGC) de Spanghero. Le ministre de l’Agriculture confirme via un communiqué que l’entreprise, basée à Castelnaudary (Aude) va récupérer en partie son agrément sanitaire, sur ses activités de production de viande hachée, de saucisserie, d’élaboration de plats cuisinés et de découpe de viande. Le ministère précise qu’aucune « non-conformité » n’a été relevée. L’agrément n’est en revanche pas rétabli pour l’activité d’entreposage de matières premières congelées, en attente d’un examen complémentaire. L’agrément sanitaire avait été retiré à la société la semaine dernière. Le ministre délégué à la Consommation, Benoît Hamon, avait alors affirmé que « Spanghero savait » que la viande vendue comme du boeuf était du cheval. A Castelnaudary, le retrait de l’agrément avait mis plus de 300 salariés au chômage technique. Les accusations du gouvernement à l’encontre de l’industriel sont lourdes ; on parle ici de tromperie économique. Selon le communiqué du ministère de l’Agriculture, l’enquête vétérinaire menée depuis vendredi dernier a confirmé que « des estampilles sanitaires ont été modifiées », autrement dit que des étiquettes ont été remplacées. Le gouvernement attend toujours le rapport d’enquête complet et définitif commandité, sur le fonctionnement de l’entreprise. Il devrait être remis vendredi, mais le ministre de l’Agriculture affirme avoir suffisamment d’éléments en sa possession pour prendre la décision d’un rétablissement partiel de l’agrément. Malgré tout, l’enquête de la répression des fraudes, la DGCCRF, a déjà montré un dysfonctionnement, au minimum, chez Spanghero. Une enquête judiciaire, totalement autonome du travail de la brigade vétérinaire lancé vendredi dernier, est toujours en cours.

 

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Spanghero : « pas responsable »

Spanghero : « pas responsable »

Il fallait s’y attendre, le feuilleton n’st pas terminé, Spanghero se défend et affirme « La magouille, elle vient d’ailleurs. » Le groupe français nie toute responsabilité dans le scandale de la viande de cheval, alors que le gouvernement l’accuse de « tromperie économique ». Joint par téléphone par Europe 1, le PDG s’exprime pour la première fois depuis le scandale. Il se dit sidéré et se défend : « je ne sais pas qui c’est mais ce n’est pas nous [qui avons fraudé]« , soutient Barthélémy Aguerre, se décrivant comme une « victime du schéma ». « La viande qui arrivait chez nous a toujours porté l’étiquette de bœuf ! », assure-t-il. « On a analysé des pains de viande. On a trouvé dans certains du bœuf et du cheval mélangés. Ce qui prouve bien que ce n’est pas Spanghero qui a fait la magouille. La magouille, elle vient d’ailleurs. » « Une petite négligence ». Cependant, pour la première fois, Barthélémy Aguerre reconnaît une négligence : « Il y a là peut-être une petite négligence : nous avons mis UE, au lieu de UE-Roumanie. Nous n’avons pas mis Roumanie. On peut nous le reprocher. »  « Je vais me battre ». « Le gouvernement est allé un peu vite parce que ça met en grande difficulté l’entreprise », reproche-t-il, qualifiant Benoît Hamon, le ministre délégué à la Consommation, qui a révélé les résultats de l’enquête, d’ »imprudent ». Spanghero, qui s’est vu retirer son agrément sanitaire, ne peut plus rien produire pendant 8 jours. « Je ne sais pas si on pourra se relever », admet Barthélémy Aguerre, même s’il dit attend vendredi matin « une solution » pour son entreprise qui emploie 360 salariés, aujourd’hui au chômage technique. « Je pense que je vais faire la preuve de notre innocence, de mon innocence en tout cas, et de celle de nos collaborateurs », annonce-t-il. « Il se passe quelque chose chez Spanghero ». Benoît Hamon reste, lui, suspicieux. Invité sur Europe 1 vendredi matin, le ministre a estimé qu’ »il y a suffisamment de faits pour qu’a minima on ait commis de très grosses négligences » chez Spanghero. « Il se passe quelque chose chez Spanghero. Est-ce qu’il y a une responsabilité, un lien, une complicité avec le trader néerlandais ? Je n’en sais rien à cette étape, cela dépendra des investigations des autorités néerlandaises. » Le ministre reconnaît qu’ »il ne [lui] revient pas de dire qui est coupable. Il revient à la justice d’investiguer à partir des documents que nous lui avons versés. Il fallait faire la transparence. »

 

 

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La société Spanghero présumée responsable de la viande de cheval

La société Spanghero présumée responsable de la viande de cheval

Il fallait s’y attendre, les impliqués vont se rejeter la responsabilité. Les roumains estiment avoir légalement vendu de la viande de cheval; du coup c’est la société Spanghero qui est accusé par le ministre. Mais le feuilleton n’est pas terminé et en tout état de cause cela ne saurait légitimer le curieux circuit de la viande au plan mondial (sauf pour spéculation comme pour l’ensemble des produits alimentaires). Le ministre délégué à l’Economie sociale et solidaire Benoit Hamon a déclaré lors d’une conférence de presse que la société Spanghero « savait que la viande destinée aux plats préparés était du cheval« , ou du moins « de fortes suspicions » pèsent sur la société. Il n’y a « aucune raison de douter de la bonne foi de la société roumaine » qui a vendu de la viande de cheval, a ajouté le ministre de l’Economie sociale. Spanghero s’est rendu coupable d’une « tromperie économique » et sera poursuivi, a-t-il ajouté, en promettant « d’assainir la filière » L’entreprise s’est vue retirer son agrément sanitaire, a poursuivi le ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll. Dès demain, une brigade nationale de vétérinaires va être envoyée dans les locaux de l’entreprise située à Castelnaudary (Aude) pour poursuivre les investigations et expertises, dont les résultats devraient être rendus dans une semaine pour décider d’un retrait d’agrément définitif ou pas, a ajouté le ministre. Spanghero, qui a toujours affirmé ne pas avoir d’activité à base de viande de cheval, est la société qui a fourni au fabriquant Comigel la viande de cheval en cause, Comigel la redistribuant sous forme de plats préparés à Findus et à différents distributeurs. « Nous devons améliorer l’étiquetage (à l’échelle européenne) sur les produits transformés en indiquant l’origine des viandes », a ajouté Le Foll. Spanghero, marque de la coopérative Lur Berri, propriétaire également des foie gras et du saumon Labeyrie, emploie aujourd’hui quelque 360 salariés.

 

 

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