Archive pour le Tag 'soutient'

Turquie: La rue soutient le concurrent d’Erdogan

Turquie: La rue soutient le concurrent d’Erdogan

Dans le cadre d’une consultation symbolique en Turquie, «Sur quinze millions de votes, 13.211.000 (non membres du parti) ont exprimé leur solidarité» avec le maire Istanbul mis en prison par Erdogan, incarcéré ce dimanche et qui devait être investi comme candidat du parti CHP à la prochaine présidentielle en 2028.

L’intéressé a salué cette nouvelle depuis la prison où il a été incarcéré dimanche, à l’ouest d’Istanbul, a fait part de sa satisfaction en déclarant «Des dizaines de millions de personnes dans ce pays, qui souffrent de l’oppression du gouvernement, d’une économie ruinée, de l’incompétence et de l’anarchie, se sont précipitées aux urnes pour dire (au président Recep Tayyip) Erdogan Ça suffit».

JD Vance soutient le parti d’extrême droite allemand AfD

 J.D. Vance , Le vice-président des États-Unis est venu apporter son soutien au parti d’extrême droit allemand. Vence n’est pas à une contradiction près puisqu’il venait dans l’après-midi de donner une leçon de démocratie à l’Europe. Et peu après il  s’est  s’immiscé dans la politique interne allemande.
Le vice président et la clique de fous qui entourent Trump rompent avec toutes les traditions diplomatiques et démocratiques et cela souvent jusqu’au ridicule ainsi par exemple quand les États-Unis viennent de prendre des sanctions contre le président de la cour pénale internationale.
Notons aussi les remarques acerbes de Trump vis-à-vis du pape en espérant que les États-Unis ne prendront pas de sanctions à l’égard du Vatican !
Vance s’est entretenu vendredi soir avec Alice Weidel, la cheffe du parti d’extrême droite Alternative pour l’Allemagne (AfD), après avoir participé dans la journée à la conférence de Munich sur la sécurité, a déclaré un membre de la délégation du vice-président américain aux journalistes qui l’accompagnent.

Elon Musk et d’autres proches de Donald Trump ont multiplié les gestes de soutien à l’égard de l’AfD à l’approche des élections fédérales allemandes du 23 février.

J.D. Vance a lui même attaqué les dirigeants européens lors de son discours à Munich en leur reprochant de ne pas contrôler l’immigration et de restreindre la liberté d’expression. Il a aussi dénoncé le « pare-feu » érigé par les partis de gouvernement allemands avec l’AfD.

 

 

Allemagne : Elon Musk soutient encore l’extrême droite

Allemagne : Elon Musk soutient encore l’extrême droite

Le milliardaire fou Américain- souvent sous cocaïne–n’en finit pas d’intervenir dans les affaires intérieures des pays étrangers pour soutenir les courants d’extrême droite. Ainsi en Allemagne où il réitère ses propos droitiers y compris racistes. il que «l’Alternative pour l’Allemagne (AfD) est la dernière lueur d’espoir pour ce pays», qui se trouve selon lui «au bord de l’effondrement économique et culturel». Ce proche du président élu Donald Trump loue la «politique d’immigration contrôlée» du parti, ses objectifs économiques de «réduire les impôts» ou encore de «déréglementer le marché». La classification de l’AfD à l’extrême droite «est clairement fausse», affirme encore Elon Musk, s’appuyant sur le fait que sa cheffe de file Alice Weidel «a une partenaire de même sexe originaire du Sri Lanka» !

 

Député LFI drogué: La gauche pas claire, Retailleau condamne

Député LFI drogué: La gauche pas claire , Retailleau condamne

 

Les policiers ont trouvé 1,35g de 3-MMC, une drogue de synthèse, sur le député LFI Andy Kerbrat.  La 3-MMC, 3-methylmethcathinone, est en plein essor en France, notamment dans les milieux festifs, prise comme une cocaïne à moitié prix. 

« Un député a un devoir d’exemplarité »: Bruno Retailleau a appelé le député LFI à « tirer les conséquences de ses actes ». « Alors que le narcobanditisme s’installe en France avec son cortège de violences, il n’est pas tolérable de voir un député de la République acheter des drogues de synthèse à un dealer de rue », tance le ministre de l’Intérieur qui a déclaré ces dernières semaines vouloir « faire la guerre » au « narcoterrorisme ».

« Consommer de la drogue, ce n’est pas seulement détruire sa santé, c’est également nourrir des réseaux criminels », dénonce de son côté la secrétaire d’État Laurence Garnier.

Plusieurs personnalités de gauche, comme Sandrine Rousseau, ont, à l’inverse, apporté leur soutien au parlementaire âgé de 34 ans.

« La consommation de drogue et l’addiction sont un enjeu de soin, de santé psychique et d’accompagnement. Tu as reconnu, tu es dans un parcours de soin. Reviens-nous en forme », a écrit la députée de Paris, qui ajoute au micro de BFMTV qu’Andy Kerbrat « est très affecté » et qu’il « vient de rentrer dans un parcours de soin ».

Même son de cloche du côté de la présidente des députés insoumis: « L’addiction est un problème de santé », a confié Mathilde Panot, qui espère qu’Andy Kerbrat puisse vite reprendre son activité parlementaire.

La sénatrice écologiste Mélanie Vogel souhaite « bon courage dans le chemin de soin » emprunté par Andy Kerbrat, et regrette que la politique française soit « focalisée sur la répression plutôt que sur l’essentiel: le soin ».

Du côté du groupe Ensemble pour la République, le député Denis Masséglia estime qu’ »une personne qui souffre d’addiction n’a pas à être traitée comme un criminel et humiliée devant tous » et que « la pénalisation des consommateurs de drogues est une impasse ».

 

Destitution de Macron : Le PS ne soutient pas les « Insoumis »

 Destitution de Macron  : Le PS ne soutient pas les « Insoumis »

Le Parti socialiste (PS)  s’est désolidarisé de ses alliés « Insoumis » qui ont menacé dans un texte publié dans La Tribune Dimanche d’engager une procédure de destitution contre Emmanuel Macron, faisant disparaître toute chance de voir cette procédure aboutir.

«Cette tribune n’est signée que par les dirigeants de LFI, a souligné Olivier Faure sur X. Elle n’engage que leur mouvement. La réponse à une nomination d’un PM qui ne serait pas conforme à la tradition républicaine, est la censure.»

 

Même s’il avait été soutenu par tout le NFP, cet «avertissement solennel» des Insoumis aurait été complexe à mettre en place: une procédure de destitution nécessite en effet de convaincre Assemblée et Sénat de se constituer en «Haute cour». Ce qui nécessite, notamment, une majorité des deux tiers dans chaque hémicycle, puis lors du vote de tous les parlementaires.

D’autres membres du PS se sont désolidarisés de la proposition de LFI, comme l’opposant interne à Olivier Faure, Nicolas Mayer-Rossignol. «Discutée ? Non. Approuvée ? Non. Engageant le NFP ? Non. Cette tribune – ni fait ni à faire – n’engage que ses auteurs», a écrit sur X le maire de Rouen

 

Sahara occidental : pourquoi Macron soutient le Maroc

Sahara occidental : pourquoi Macron soutient le Maroc

Mardi 30 juillet 2024, après sept années passées à la tête de la République française, le président français Emmanuel Macron a adressé une lettre personnelle au roi du Maroc, Mohamed VI, à l’occasion des festivités du vingt-cinquième anniversaire de son règne. Outre les félicitations d’usage, Macron, rompant avec sa position de grande prudence sur ce dossier, a déclaré que le plan marocain de large autonomie au Sahara occidental dans le cadre de la souveraineté marocaine était désormais pour la France, non seulement la seule base de négociation valable (devant l’ONU en charge du règlement de ce conflit depuis 1991), mais de surcroît que le Sahara ex-espagnol, dès maintenant et à l’avenir, serait considéré par la France comme relevant de la souveraineté marocaine.

 

par 

Professeur des universités, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne dans The Conversation
Le conflit dit du Sahara occidental est désormais cinquantenaire : il a pour objet un territoire de 220 000 km2 que se disputent le Maroc et le Front Polisario soutenu par Alger, et il a a donné lieu à un conflit armé ouvert de 1975 à 1988. Le plan “de large autonomie au Sahara” occidental dans le cadre de la souveraineté marocaine a été proposé par le Royaume en avril 2007. La France du mandat finissant de Jacques Chirac (1995-2007), puis celle de Nicolas Sarkozy (2007-2012) l’avaient parrainé et soutenu. Mais entre-temps, si la France – qui a toujours été aux côtés du Maroc dans le cadre de ce conflit – est restée fidèle à sa position initiale, elle l’a à tout le moins mis en sourdine.

En effet, les présidents François Hollande (2012-2017) et Macron (depuis 2017) ont tenté de renouer une relation bilatérale forte avec Alger, en vue d’une réconciliation franco-algérienne. Cela impliquait, dans le délicat jeu de balance franco-algéro-marocain, de prendre un peu de champ sur le dossier saharien. Par ailleurs, pour des raisons diverses et ayant peu à voir avec le dossier saharien, la relation bilatérale franco-marocaine est entrée en 2014 dans une crise durable et profonde. Celle-ci a atteint son acmé en septembre 2023, après que le tremblement de terre de Marrakech a révélé au monde la fin de non-recevoir marocaine aux propositions d’assistance française, un camouflet pour Paris qui a attisé jusqu’au sommet des deux États des relations électriques.
Or près d’un an plus tard, Macron confirme non seulement le ralliement ancien de la France à la position marocaine, pour la plus grande satisfaction de Rabat, mais il affirme aussi l’exclusivité du plan d’autonomie comme base de négociations. Macron n’a pas rompu avec la légalité internationale, puisque l’ONU reste le maître d’œuvre du dossier. C’est donc une nouveauté relative. Mais la France n’avait jamais acté la “souveraineté” marocaine dans les mots. Pourquoi la position française ainsi réactivée a-t-elle réjoui Rabat – dès le lendemain le roi du Maroc a écrit à Macron pour se féliciter de cette annonce et l’inviter au Maroc – et suscité une levée de boucliers en Algérie ?

Alger a immédiatement rappelé son ambassadeur à Paris et laissé entendre que la visite en France du président Abdelmadjid Tebboune en octobre était annulée. Et qu’est-ce qui a soudain incité Macron à changer de partenaire principal au Maghreb ? Car c’est bien à cela qu’aboutit ce choix.

Mes recherches portent sur l’histoire du Maroc contemporain, l’histoire des élites maghrébines et l’histoire religieuse et politique du monde arabo-berbère contemporain, entre autres. Au cours de dernières années, j’ai consacré de nombreux articles et ouvrages à la politique extérieure du Maroc, à la rivalité historique entre le Maroc et l’Algérie ainsi qu’à la relation franco-marocaine. Dans cet article, je tente d’apporter des éléments de réponse aux questions soulevées plus haut.
Lorsque Jacques Chirac a appuyé, en avril 2007, le plan marocain de large autonomie, il s’agissait d’une position avancée par rapport aux autres puissances. Or entre-temps, d’autres pays comme l’Allemagne ou l’Espagne, sont allés plus loin que la France dans le soutien à la position marocaine. Surtout, en décembre 2020, en échange du soutien du Maroc aux accords d’Abraham, les États-Unis et Israël ont reconnu la souveraineté marocaine sur le Sahara ex-espagnol -dont Rabat contrôle et occupe 80 % du territoire. Ce ralliement du Maroc à la reconnais sance de l’État d’Israël, et l’ouverture de relations diplomatiques et de coopération entre les deux pays ont exaspéré l’Algérie, qui a rompu ses relations diplomatiques avec Rabat à l’été 2021. La frontière terrestre des deux pays est fermée depuis 1994.

Ainsi, la position française pro-marocaine de 2007 était dépassée par celle de ses plus proches alliés occidentaux. Or la France sortant d’une longue période de crise avec son traditionnel allié marocain, Mohamed VI a posé comme préalable à la reprise d’une coopération de haut niveau -le fameux “partenariat d’exception” – que la France rejoigne le peloton de tête de ses soutiens sur ce dossier, que Rabat considère comme l’alpha et l’oméga de sa politique internationale.

En actant l’exclusivité du plan de large autonomie, le président Macron a répondu à la demande pressante du Maroc. La brouille entre les deux pays n’était pas uniquement diplomatique, mais d’abord personnelle entre leurs deux chefs d’État. Après plusieurs années de crise entre les deux pays, la brouille a pris un caractère personnel sous Macron qui aime placer les relations bilatérales sur un plan affectif avec ses homologues.

Celui-ci a tenté une relation de grande proximité avec Tebboune. Cela a exaspéré Rabat qui estimait que l’on ne s’éloigne pas de ses amis pour se rapprocher d’une puissance hostile. Macron a assumé cet éloignement avec Rabat pour se rapprocher d’Alger. Mais secoué par le Hirak – un mouvement de contestation -, Alger a choisi en 2021 de rompre brutalement ses relations diplomatiques avec Rabat après les accords d’Abraham.

Enfin, au cours du même été, la révélation par les services de renseignements français que le programme Pegasus, conçu en Israël, avait permis aux services marocains d’écouter des milliers de hautes personnalités algériennes et françaises durant le Hirak algérien, a poussé Macron à demander des explications au roi Mohamed VI. Une conversation peu amène s’en est suivie… l’un accusant l’autre de mensonge. Une manière de faire jugée inacceptable à Rabat.
Ensuite, Emmanuel Macron a eu le sentiment d’être allé au bout des possibilités de sa relation avec Alger. Quel résultat après des années d’attentions et de propositions aimables, d’invitations (le voyage du président Tebboune en France a été repoussé plusieurs fois), de messages de repentir (dès 2017, la colonisation assimilée à un “crime contre l’humanité” par Macron) ? Beaucoup de déceptions politiques et économiques (Alger achète ses armes à Moscou et réalise ses grands contrats d’équipement avec la Chine), sans parler du soutien algérien à la Russie dans les conflits d’Ukraine ou du Sahel, et au Hamas et à l’Iran face à Israël…

Les positions françaises devenaient illisibles. En revenant à l’amitié marocaine, Macron tente-t-il pour autant son fameux “en même temps” ? On ne peut l’exclure, même si la réaction d’Alger augure mal du processus en cours avec ce pays.

D’autres éléments ont potentiellement été mis dans la balance par le Maroc, comme la grâce accordée lors de la fête du Trône, le 30 juillet, aux quatre journalistes et intellectuels marocains – dont l’historien franco-marocain Maâti Monjib – emprisonnés au Maroc. En effet, il a souvent été reproché à Emmanuel Macron d’oublier la question des droits de l’homme en Afrique, et cette libération de prisonniers politiques libère l’espace de la relation bilatérale.

Enfin, cette reconnaissance correspondait aux 25 ans de règne de Mohamed VI, anniversaire qui risquait d’être occulté par les Jeux olympiques. La France de Macron a offert un de ses vœux les plus chers au monarque.
En définitive, la France semble revenir à ses fondamentaux diplomatiques dans cette région. Plus que jamais, la politique extérieure de la France se décide à l’Élysée, et les parlementaires ne semblent pas être intervenus à aucun moment dans ce processus. Il ne fait guère que de doute que le Quai d’Orsay – ministère français des Affaires étrangères – est en partie satisfait de ce rapprochement qui rejoint sa diplomatie ancienne, tant les positions diplomatiques tranchantes de l’Algérie avec celles de la France sur de nombreux domaines essentiels étaient problématiques.

Il n’en reste pas moins que Paris ne peut pas se brouiller avec Alger après s’être rapproché de Rabat, et qu’un modus vivendi complexe s’impose entre les trois pays pour cogérer des dossiers très sensibles, qui vont de l’islam de France aux flux migratoires méditerranéens, en passant par la situation conflictuelle qui cerne le Maghreb au Sahel et en Libye.

Gaza : le Hamas soutient le plan Biden

Gaza  : le Hamas soutient le plan  Biden

Le Hamas a réclamé dimanche la mise en œuvre d’un plan présenté fin mai par Joe Biden pour une trêve à Gaza .Cet appel de trêve que constitue le plan Biden  se trouve cependant hypothéqué par l’éventuelle réponse du Hezbollah mais aussi de l’Iran suite aux attaques d’Israël qui ont entraîné la mort de deux des leaders palestiniens et libanais.

Ce plan d’inspiration israélienne, présenté fin mai par le président américain, prévoit dans une première phase, une trêve de six semaines accompagnée d’un retrait d’Israël des zones densément peuplées de Gaza et de la libération d’otages retenus dans le territoire palestinien et de prisonniers palestiniens détenus par Israël. Il y a quelques jours, les pays médiateurs, dont le Qatar et l’Egypte, avaient appelé à la reprise le 15 août des discussions sur une trêve à Gaza, associée à la libération des otages. Israël a donné son accord, mais le Hamas n’a pour sa part pas clairement dit s’il participerait.

Cet appel du mouvement islamiste palestinien intervient au lendemain d’un raid israélien sur une école, considéré comme l’un des plus meurtriers depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza, déclenchée le 7 octobre par une attaque d’une ampleur inédite du Hamas sur le sol israélien. Selon la Défense civile, 93 Palestiniens ont été tués, dont des femmes et des enfants, dans une école abritant des déplacés, soulevant un tollé international.

 

Politique–L’Ukraine dans l’union européenne : Macron soutient mais…

Politique–L’Ukraine dans l’union européenne : Macron soutient mais…

Macron soutient l’engagement de négociations pour l’entrée de l’Ukraine dans l’union européenne mais le processus sera forcément long et difficile. Il y a un effet pour l’instant trop de différence entre l’Ukraine et les pays de l’union dans le domaine économique, social et même sociétal.

En outre si l’Ukraine devait entrer immédiatement dans l’union européenne elle elle absorberait la totalité des crédits européens notamment dans l’agriculture au détriment notamment de pays comme la Pologne ou encore la France.

Les chefs d’État et de gouvernement de l’UE doivent se prononcer jeudi et vendredi sur le lancement des négociations d’adhésion de l’Ukraine.

Le président français Emmanuel Macron a réaffirmé dimanche à son homologue Volodymyr Zelensky le «soutien de la France» à l’ouverture de négociation d’adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne, actuellement bloquée par la Hongrie.

Emmanuel Macron a salué l’adoption par le parlement ukrainien les 8 et 9 décembre «de plusieurs textes de loi décisifs, portant notamment sur les droits des minorités nationales, la réforme de la justice et la lutte anti-corruption», selon l’Élysée. «L’Ukraine manifeste ainsi sa détermination à répondre dès maintenant aux recommandations qui lui ont été faites par la Commission européenne», a ajouté la présidence française.

À noter qu’à juste titre, le premier ministre hongrois Viktor Orban considère que «L’Ukraine est connue pour être l’un des pays les plus corrompus du monde. C’est une plaisanterie ! Nous ne pouvons pas prendre la décision d’entamer un processus de négociation d’adhésion», a-t-il affirmé après avoir rencontré Emmanuel Macron jeudi dernier à Paris.

L’ampleur des réformes concernant l’Ukraine est-elle qu’une entrée dans l’union européenne ne pourrait pas se faire effectivement avant 10 ou 15 ans. Mais cette entrée dans l’union européenne n’a pas qu’un objectif économique, c’est aussi et peut-être surtout une occasion de montrer le resserrement des liens de l’union avec des pays menacés par la Russie.

Ainsi le premier champ de solidarité européenne vis-à-vis de l’Ukraine pourrait être celui de l’armement qui n’est pas spécifiquement une priorité des 27. Malheureusement car l’OTAN pourrait bien modifier l’étendue de son champ géographique et ses missions avec l’éventuel élection de Trump à la tête des États-Unis.

Le paradoxe vis-à-vis de l’Ukraine sait que la priorité stratégique devrait être de favoriser son entrée dans l’OTAN mais compte tenu de l’opposition des États-Unis c’est l’union économique européenne qui pourrait être prête à engager son processus d’adhésion de l’Ukraine

International–L’Ukraine dans l’union européenne : Macron soutient mais…

International–L’Ukraine dans l’union européenne : Macron soutient mais…

Macron soutient l’engagement de négociations pour l’entrée de l’Ukraine dans l’union européenne mais le processus sera forcément long et difficile. Il y a un effet pour l’instant trop de différence entre l’Ukraine et les pays de l’union dans le domaine économique, social et même sociétal.

En outre si l’Ukraine devait entrer immédiatement dans l’union européenne elle elle absorberait la totalité des crédits européens notamment dans l’agriculture au détriment notamment de pays comme la Pologne ou encore la France.

Les chefs d’État et de gouvernement de l’UE doivent se prononcer jeudi et vendredi sur le lancement des négociations d’adhésion de l’Ukraine.

Le président français Emmanuel Macron a réaffirmé dimanche à son homologue Volodymyr Zelensky le «soutien de la France» à l’ouverture de négociation d’adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne, actuellement bloquée par la Hongrie.

Emmanuel Macron a salué l’adoption par le parlement ukrainien les 8 et 9 décembre «de plusieurs textes de loi décisifs, portant notamment sur les droits des minorités nationales, la réforme de la justice et la lutte anti-corruption», selon l’Élysée. «L’Ukraine manifeste ainsi sa détermination à répondre dès maintenant aux recommandations qui lui ont été faites par la Commission européenne», a ajouté la présidence française.

À noter qu’à juste titre, le premier ministre hongrois Viktor Orban considère que «L’Ukraine est connue pour être l’un des pays les plus corrompus du monde. C’est une plaisanterie ! Nous ne pouvons pas prendre la décision d’entamer un processus de négociation d’adhésion», a-t-il affirmé après avoir rencontré Emmanuel Macron jeudi dernier à Paris.

L’ampleur des réformes concernant l’Ukraine est-elle qu’une entrée dans l’union européenne ne pourrait pas se faire effectivement avant 10 ou 15 ans. Mais cette entrée dans l’union européenne n’a pas qu’un objectif économique, c’est aussi et peut-être surtout une occasion de montrer le resserrement des liens de l’union avec des pays menacés par la Russie.

Ainsi le premier champ de solidarité européenne vis-à-vis de l’Ukraine pourrait être celui de l’armement qui n’est pas spécifiquement une priorité des 27. Malheureusement car l’OTAN pourrait bien modifier l’étendue de son champ géographique et ses missions avec l’éventuel élection de Trump à la tête des États-Unis.

Le paradoxe vis-à-vis de l’Ukraine sait que la priorité stratégique devrait être de favoriser son entrée dans l’OTAN mais compte tenu de l’opposition des États-Unis c’est l’union économique européenne qui pourrait être prête à engager son processus d’adhésion de l’Ukraine

L’Ukraine dans l’union européenne : Macron soutient mais…

L’Ukraine dans l’union européenne : Macon soutient mais…

Macron soutient l’engagement de négociations pour l’entrée de l’Ukraine dans l’union européenne mais le processus sera forcément long et difficile. Il y a un effet pour l’instant trop de différence entre l’Ukraine et les pays de l’union dans le domaine économique, social et même sociétal.

En outre si l’Ukraine devait entrer immédiatement dans l’union européenne elle elle absorberait la totalité des crédits européens notamment dans l’agriculture au détriment notamment de pays comme la Pologne ou encore la France.

Les chefs d’État et de gouvernement de l’UE doivent se prononcer jeudi et vendredi sur le lancement des négociations d’adhésion de l’Ukraine.

Le président français Emmanuel Macron a réaffirmé dimanche à son homologue Volodymyr Zelensky le «soutien de la France» à l’ouverture de négociation d’adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne, actuellement bloquée par la Hongrie.

Emmanuel Macron a salué l’adoption par le parlement ukrainien les 8 et 9 décembre «de plusieurs textes de loi décisifs, portant notamment sur les droits des minorités nationales, la réforme de la justice et la lutte anti-corruption», selon l’Élysée. «L’Ukraine manifeste ainsi sa détermination à répondre dès maintenant aux recommandations qui lui ont été faites par la Commission européenne», a ajouté la présidence française.

À noter qu’à juste titre, le premier ministre hongrois Viktor Orban considère que «L’Ukraine est connue pour être l’un des pays les plus corrompus du monde. C’est une plaisanterie ! Nous ne pouvons pas prendre la décision d’entamer un processus de négociation d’adhésion», a-t-il affirmé après avoir rencontré Emmanuel Macron jeudi dernier à Paris.

L’ampleur des réformes concernant l’Ukraine est-elle qu’une entrée dans l’union européenne ne pourrait pas se faire effectivement avant 10 ou 15 ans. Mais cette entrée dans l’union européenne n’a pas qu’un objectif économique, c’est aussi et peut-être surtout une occasion de montrer le resserrement des liens de l’union avec des pays menacés par la Russie.

Ainsi le premier champ de solidarité européenne vis-à-vis de l’Ukraine pourrait être celui de l’armement qui n’est pas spécifiquement une priorité des 27. Malheureusement car l’OTAN pourrait bien modifier l’étendue de son champ géographique et ses missions avec l’éventuel élection de Trump à la tête des États-Unis.

Le paradoxe vis-à-vis de l’Ukraine sait que la priorité stratégique devrait être de favoriser son entrée dans l’OTAN mais compte tenu de l’opposition des États-Unis c’est l’union économique européenne qui pourrait être prête à engager son processus d’adhésion de l’Ukraine

Populisme- Le ministre de l’économie soutient les influenceurs

Populisme- Le ministre de l’économie soutient les influenceurs !

En panne d’idées et surtout d’efficacité, le ministre de l’économie Bruno le maire déraille en soutenant les influenceurs.D’une certaine manière il reprend la posture de Macron qui lui sa coquine avec les vedettes des réseaux sociaux. À quand un ministre de l’économie ou un président déguisé en drag queen ?

Une flatterie vraiment mal placée lors de son intervention à l’assemblée du syndicat UMICC (Union des métiers de l’influence et des créateurs de contenus) .

«Vous êtes une force économique majeure de notre pays» a déclaré le ministre de l’économie qui oublie sans doute que la plupart des influenceurss sont des parasites qui se servent de leur look et de leur baratin pour vendre des produits le plus souvent inutiles voire même dangereux. Il n’y a d’ailleurs aucune règle pour ce type d’intervenants sur Internet.

Pour preuve, Nabilla( « allo, quoi ben allo quoi »), star de télé réalité qui donne des conseils pour les placements financiers!!!

Cette ode au secteur de l’influence et de la création de contenu était également émaillée de chiffres. Le ministre a par exemple rappelé le nombre «considérable» d’influenceurs en France – 150.000 selon lui – et les «milliards de vues, les millions d’euros de chiffre d’affaires, les milliers d’emplois» qu’ils génèrent grâce à leurs activités !!!
Le numéro 2 du gouvernement s’est même laissé aller à une petite boutade sur son avenir personnel en assurant qu’il n’excluait pas de devenir lui-même influenceur «dans les années à venir».

À en croire les rires et les applaudissements, l’opération séduction a plutôt bien fonctionné. Parce qu’il faut dire que le ministre de l’Économie et des Finances avait face à lui des professionnels très remontés. La loi dite «influenceurs» qui doit encadrer les activités du secteur est perçue d’un très mauvais œil par les premiers intéressés. Ils regrettent notamment que certaines dispositions stigmatisent leur métier.

Le ministre de l’économie mélange vraiment tout aussi bien les vendeurs d’illusions et de gadgets que les créateurs véritables d’information.

Et de créer encore une structure supplémentaire car Bruno Le Maire s’est engagé à la création d’un «groupe de travail permanent», où siégeront les représentants des créateurs de contenu sur Internet et les administrations de l’État.

Taïwan : Poutine soutient Pékin

Taïwan : Poutine soutient Pékin

Poutine a évidemment saisi l’occasion des manœuvres d’intimidation de Pékin autour de Taiwan pour assurer la Chine de son soutien espérant en retour un appui de la Chine en Ukraine.

À noter que de son côté Macron est intervenu lui en quelque sorte pour ce désolidariser de Taiwan espérant le concours de la Chine pour mettre fin au hostilité en Ukraine. Bref un ballet diplomatique assez trouble pour appuyer la guerre des uns contre la guerre des autres.

Le Kremlin a apporté lundi tout son soutien aux manœuvres militaires de la Chine autour de Taïwan, estimant que Pékin était victime de «provocations» de la part des États-Unis qui soutiennent l’île. «La Chine a le droit souverain de réagir à ces actions provocatrices, notamment en conduisant des manœuvres», a dit à la presse le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.

Pour sa part, l’armée chinoise a affirmé avoir «achevé avec succès» ses manœuvres militaires ayant visé à encercler pendant trois jours l’île autonome de Taïwan. Du 8 au 10 avril, le commandement militaire chinois «a accompli avec succès diverses tâches» de préparation militaire «autour de l’île de Taïwan avec l’exercice +Joint Sword+», a indiqué l’armée dans un message diffusé sur les réseaux sociaux. Il a «testé de manière approfondie sa capacité de combat» interarmées «en conditions réelles», a ajouté le commandement chinois.

Pékin a mené durant trois journées consécutives des exercices militaires de grande envergure autour de Taïwan et a condamné l’«intrusion» d’un destroyer américain dans un secteur de mer de Chine méridionale revendiqué par Pékin, après l’annonce par la marine américaine que le USS Milius y avait mené une «opération de liberté de navigation». «Cette opération de liberté de navigation a respecté les droits, les libertés et les utilisations légales de la mer», a déclaré la marine américaine dans un communiqué, précisant que le navire était passé à proximité des îles Spratly.

Le navire est passé à moins de 12 milles nautiques (22 km) du récif Mischief, revendiqué par la Chine et d’autres pays de la région. «Le destroyer lance-missiles USS Milius a mené une intrusion illégale dans les eaux adjacentes au récif Meiji dans les îles Nansha de Chine, sans l’approbation du gouvernement chinois», a déclaré Tian Junli, porte-parole du Commandement du théâtre sud de l’armée chinoise, dans un communiqué, ajoutant que l’armée de l’air de Pékin «a suivi et effectué une surveillance du navire».

À lire aussiLes scénarios risqués d’une invasion chinoise de Taïwan

Les manœuvres chinoises visent à protester contre la rencontre, mercredi dernier, de la présidente taïwanaise Tsai Ing-wen avec le président de la Chambre américaine des représentants, Kevin McCarthy.

L’objectif? Simuler un «bouclage» du territoire de 23 millions d’habitants réclamé par Pékin, a expliqué l’armée chinoise. Et notamment un «blocus aérien», selon la télévision d’État CCTV. Le commandement du théâtre d’opérations Est de l’Armée a précisé que le Shandong, l’un des deux porte-avions de la Chine, a «participé à l’exercice du jour».

Taïwan a dit avoir détecté 11 navires de guerre et 59 aéronefs chinois autour de l’île lundi. Durant le week-end, des avions de chasse et des navires de guerre avaient simulé des bombardements ciblés contre l’île, dans le cadre de cette opération baptisée «Joint Sword» et dénoncée par Taïwan.

À VOIR AUSSI – Au deuxième jour d’exercices militaires autour de Taïwan, la Chine fait une simulation de frappes

Réforme retraites : ELON MUSK soutient MACRON

Réforme retraites : ELON MUSK soutient MACRON

Le milliardaire américain Elon a cru bon de faire savoir soutenait Macron ( comme il soutenait Trump) . Rien d’étonnant en cela pour le patron très antisocial qui liquide par milliers et sans discussion des salariés de son groupe et surtout qui combat toute forme d’organisation syndicale dans son entreprise.

L’intéressé s’investit de plus en plus dans la politique. Pas sûr que cela soit très fructueux pour l’intérêt même du groupe actuellement très en difficulté et qui a perdu une grande partie de sa valeur.

Sur le plan philosophique, Elon Musk est à la justice sociale ce que McDo est à la gastronomie : une caricature !

Dans un tweet publié vendredi, le patron de Tesla et de Twitter loue donc la réforme des retraites « difficile, mais juste » en France. Elon Musk et Emmanuel Macron se sont vus en décembre aux Etats-Unis.
Le gouvernement n’avait probablement pas compté sur ce soutien. Dans un tweet répondant à une vidéo présentée comme celle d’une manifestation contre la réforme des retraites à Lyon, Elon Musk a estimé vendredi que « Macron fait la chose difficile, mais juste ».

« L’âge de la retraite de 62 ans a été fixé alors que les durées de vie étaient beaucoup plus courtes. Il est impossible pour un petit nombre de travailleurs de faire vivre un nombre massif de retraités », a ajouté le patron de Tesla et de Twitter.

Macron soutient les « changements » du Qatar !

Macron soutient les changements du Qatar !

On peut légitimement s’interroger pour savoir ce qui a poussé Macron à faire les louanges des changements opérés au Qatar surtout un moment où la coupe du monde révèle les inégalités, les atteintes aux libertés et les scandales des conditions de travail des travailleurs étrangers.( Qui travaillent avec une température de 50° pour 200 € par mois et vivent dans de véritables taudis)

Évidemment, la puissance financière du Qatar n’est pas pour rien pour expliquer les louanges de Macron. En effet de Qatar a beaucoup investi à l’étranger et particulièrement en France. À tel point d’ailleurs qu’on lui a fait fait un cadeau royal avec la dispense d’impôt décidée par Sarkozy.

Alors que les polémiques concernant le Mondial au Qatar ne désenflent pas, Emmanuel Macron a cependant affirmé ce samedi que la compétition permettait de montrer les « changements concrets » à l’œuvre dans ce pays conservateur.

Le Mondial qatarien fait polémique depuis des années, autant sur les conditions de vie des travailleurs locaux, l’impact sur l’environnement des stades climatisés et la place des femmes et minorités LGBTQ+ dans le pays. Ces critiques ont poussé certains supporters, surtout d’Europe occidentale, à boycotter la compétition.

Emmanuel Macron a estimé que « dans un monde confronté à une succession de crises, nous devons préserver l’esprit du sport qui doit rester un espace de rapprochement des peuples, autour de valeurs universelles »

« Cette Coupe du monde de football, la première organisée dans le monde arabe, témoigne de changements concrets qui sont à l’œuvre. Le Qatar s’est engagé dans cette voie et doit continuer. Il peut compter sur notre soutien »,a déclaré sans drande conviction Macron.

Face aux appels au boycott du Mondial, le chef de l’État Emmanuel Macron avait pourtant estimé avant le début de la compétition, qu’il « ne fallait pas politiser le sport ». Il a annoncé sa présence au Qatar pour la demi-finale ou la finale en cas de présence de l’équipe de France.

« Je ne suis pas pour le boycott de la Coupe du monde. Ces questions-là, il faut se les poser avant, au moment où on a attribué des Jeux ou des compétitions », a-t-il aussi déclaré avant le début de la compétition.Une allusion claire à Sarkozy en particulier.

« C’est bon » pour le Qatar de recevoir le Mondial, le premier jamais organisé dans le monde arabe, car la compétition « a fait avancer les choses » dans les réformes, avait-il alors estimé.

Coupe du monde de foot au Qatar : Sarkozy soutient et pour cause

Coupe du monde de foot au Qatar : Sarkozy soutient et pour cause

Sarkozy qui a grandement favorisé la décision d’organiser la coupe du monde de football au Qatar persiste et signe. Et pour cause le Qatar a largement arrosé les personnalités susceptibles de le soutenir dans cet objectif. Sans parler du pont d’or offert par Sarkozy pour la venue de capitaux Qatar en France. Une sorte de renvoi d’ascenseur.Dans une interview donnée au JDD, dimanche 23 octobre, l’ancien président de la République a témoigné de son étonnement face aux polémiques qui précèdent la tenue de l’événement (du 20 novembre au 18 décembre). Impliqué dans l’enquête en France sur l’attribution de la compétition au pays du Golfe, notamment autour d’un déjeuner à l’Elysée le 23 novembre 2010, Nicolas Sarkozy réclame notamment que l’organisation soit jugée sur pièces, et non a priori.
« Le football est un sport universel et chaque région du monde doit pouvoir organiser une compétition internationale, estime-t-il. Le football n’appartient pas qu’aux Occidentaux, qu’ils soient Français, Anglais, Italiens ou Américains. C’est un sport qui rassemble. Le seul problème évidemment c’est que le Qatar n’est pas une terre de football dont le climat n’est absolument pas compatible avec l’exercice de ce sport, sans parler des conditions sociales.

Le Qatar est pointé du doigt sur les questions environnementales ou de respect des droits de l’homme. Début octobre, plusieurs ONG et associations ont dénoncé l’organisation de l’événement et appelé à un « boycott diplomatique ». Selon un rapport d’Amnesty International, plus de 6 000 ouvriers sont morts pour construire les stades qui seront utilisés pour l’événement.

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