Archive pour le Tag 'soutien'

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Un soutien financier du sport ……..en Grande-Bretagne

Un soutien financier du sport ……..en Grande-Bretagne

Le gouvernement britannique a annoncé jeudi l’allocation de 300 millions de livres (335,6 millions d’euros) destinés à soutenir les sports impactés par l’absence de spectateurs en pleine pandémie de coronavirus.

“Un soutien sera apporté au rugby à XV, aux courses de chevaux, au football féminin et aux échelons inférieurs de la Ligue nationale de football”, a indiqué le Département du Numérique, de la Culture, des Médias et des Sports (DCMS).

“La ligue de rugby, le sport automobile, le tennis, le netball, le basket-ball, le hockey sur glace, le badminton et les courses de lévriers devraient également en bénéficier.”

L’injection de liquidités, en grande partie constituée de prêts, exclut néanmoins la Premier League et le cricket.

En septembre dernier, plus de cent organismes sportifs avaient écrit à Boris Johnson pour demander un financement d’urgence par crainte d’une “génération d’activité perdue”.

Nigel Huddleston, ministre britannique des Sports, a déclaré qu’il était juste d’intervenir maintenant pour protéger des sports entiers et leurs communautés.

“Ce gouvernement fera tout ce qui est en son pouvoir pour aider nos précieux sports et clubs à passer (la crise du) coronavirus”, a ajouté le ministre du DCMS Oliver Dowden.

On attend évidemment avec impatience le plan de soutien français car nombre de clubs professionnels et même de clubs amateurs risquent  d’être condamnés à la faillite.

La CE veut des mesures de soutien économique uniquement temporaires

La CE veut des mesures uniquement temporaires

 

 

La commission économique qui avait toléré jusque-là le soutien sans limite à une économie en chute libre estime maintenant que les mesures d’aide en 2021 doivent avoir un caractère provisoire. Le problème c’est que certains pays ont prévu d’aider la croissance autant à moyen- long terme et peut-être davantage qu’à court terme. C’est notamment le cas de la France.

Évidemment avec un soutien prolongé, ces pays risquent de connaître des dérives budgétaires pendant plusieurs années. Et c’est ce qui inquiète la commission économique. Le problème est celui du calendrier car il est clair que l’économie ne réussira pas à se relever en 2021. Peut-être même en 2022. On ne peut pas priver d’oxygène des croissances encore chancelantes et qui ne retrouveront pas leur niveau de fin 2019 avant 2023.

La crise n’est pas seulement conjoncturelle, elle ne découle pas seulement de l’environnement sanitaire. La crise avait commencé avant car dès fin 2019 on avait nettement perçu la baisse tendancielle de la croissance. Une baisse structurelle liée à l’évolution des modes de production et de consommation que la crise sanitaire n’a fait qu’accentuer. Les gouvernements de la zone euro vont devoir veiller à ce que leurs politiques budgétaires continuent à soutenir l’activité économique en 2021, tout en s’assurant que ces mesures de stimulation resteront ciblées et temporaires, déclare mercredi la Commission européenne dans “son paquet d’automne pour la politique économique”.

Ces recommandations doivent être approuvées par les ministres des Finances des 19 pays de la zone euro. Elles seront examinées à la mi-décembre par l’Eurogroupe.

Les gouvernements de la zone euro ont adressé le mois dernier à la Commission leurs projets de budgets pour 2021 afin que la Commission vérifie qu’ils sont bien dans les clous de la politique commune.

“Selon l’évaluation de la Commission, tous les PPB (projets de plan budgétaire) sont globalement conformes aux recommandations du Conseil du 20 juillet 2020. La plupart des mesures prévues soutiennent l’activité économique dans un contexte de très forte incertitude”, constate l’exécutif européen.

“Par contre, certaines mesures présentées dans les projets de plan budgétaire de la France, de l’Italie, de la Lituanie et de la Slovaquie ne semblent pas temporaires ni accompagnées de mesures de compensation.”

En outre, “pour la Belgique, la France, la Grèce, l’Italie, le Portugal et l’Espagne, compte tenu du niveau élevé qu’atteignait déjà leur dette publique avant la pandémie de COVID-19, avec les importants défis que cela pose en matière de soutenabilité à moyen terme, il importe de veiller à ce que les mesures budgétaires de soutien adoptées préservent la viabilité des finances publiques à moyen terme”.

“Ce paquet d’automne vise à diriger les économies de l’UE vers des rivages plus calmes, en fournissant des orientations stratégiques pour notre relance collective”, a commenté le vice-président de la Commission Valdis Dombrovskis.

“Pour que l’Europe puisse se relancer comme un compétiteur de poids sur la scène mondiale, nous avons besoin de mesures de soutien budgétaire temporaires et ciblées, comme de réformes et d’investissements bien choisis, qui favorisent une reprise équitable, inclusive et durable.”

Une sorte de recommandation évidente mais d’une telle banalité qu’elle n’apporte pas grand-chose.

LES AUTEURS DE 80 MESSAGES DE SOUTIEN AU TERRORISTE

LES AUTEURS DE 80 MESSAGES DE SOUTIEN AUX terroristes vérifiés dès lundi

Il est évident que l’anonymat sur Internet favorise le soutien à la délinquance et au crime sur les réseaux sociaux. Cela a été démontré dans le cas du crime odieux contre le professeur Samuel Paty puisque le terroriste ne connaissait absolument pas la victime et qu’il a bénéficié d’un complot. Du coup,  l’État va enquêter concernant l’identité des 80 messages de soutien aux terroristes Les auteurs de 80 messages de soutien au terroriste de Conflans-Sainte-Honorine seront contrôlés dès lundi, a annoncé l’Elysée ce dimanche soir.

Cette annonce intervient après le Conseil de défense, qui s’est déroulé durant 2h30 avec six ministres et le procureur anti-terroriste Jean-François Ricard.

Plusieurs voix se sont élevées ce dimanche, critiquant la présence des Insoumis place de la République pour rendre hommage à l’enseignant décapité.

Économie américaine : Pelosi pour un accord global de soutien

Économie américaine : Pelosi pour un accord global de soutien

 

Le président américain a décidé de geler les discussions sur le second plan de soutien à l’économie jusqu’à l’élection présidentielle. Les démocrates plaident pour la mise en place d’un plan de soutien de 25 milliards en faveur du secteur aérien tout en défendant l’élaboration d’un plan d’aide aux contours bien plus vaste d’un montant de 2.200 milliards de dollars.

Du côté de la Maison blanche, on souhaite maintenir le coût de ce plan global autour de 1.600 milliards de dollars.

L’administration Trump concentre ses efforts sur la création de projets de lois « autonomes » destinés à soutenir le secteur du transport aérien, et à assurer le versement de 1.200 dollars d’aides aux particuliers.

Lors de sa conférence de presse hebdomadaire, Nancy Pelosi a déclaré ne pas savoir quelles étaient les chances d’arriver à un accord avec la Maison blanche tout en faisant état de « progrès ». Mais les positions du président américain sont très fluctuantes sur le sujet

Sondage Castex : seulement 33 % de soutien

Sondage Castex : seulement 33 % de soutien

 

D’après le baromètre du Figaro, Jean Castex ne dispose que d’une très faible confiance avec 33 % de soutien dans l’opinion. Au  même niveau que le très transparent Bernard Cazeneuve (32% en janvier 2017) mais très loin de Jean-Pierre Raffarin (60% en juin 2002). Seul avantage pour Emmanuel Macron de ce faible niveau de son premier ministre: le président de la République reprend le dessus mais avec un soutien tout juste de supérieur autour de 35 %.

L’exécutif président et premier ministre compris a bien du mal à persuader l’opinion de la pertinence de sa politique aussi bien sur le plan sanitaire qu’en matière économique. À noter l’ascension d’Édouard Philippe juste derrière l’intouchable Nicolas Hulot, se permettant d’être en tête auprès des sympathisants LREM (78%) et de LR (61%).

États-Unis : un plan de soutien de 1.300 milliards de dollars insuffisant pour les démocrates

États-Unis : un plan de soutien de 1.300 milliards de dollars insuffisants pour les démocrates

 

Le plan de soutien de 1300 milliards de dollars (environ 1000 milliards d’euros,) est jugé insuffisant par la président démocrate de la Chambre des représentants Nancy Pelosi qui réclame un plan de 2000 milliards de dollars.

Donald Trump a accusé Nancy Pelosi d’être seulement intéressée à renflouer les Etats dirigés par les démocrates, jetant une ombre sur l’hypothèse d’une reprise des discussions autour d’un nouveau plan de soutien.

Le montant annoncé vendredi par le secrétaire général de la Maison blanche, Mark Meadows, représente 300 milliards de dollars de plus qu’évoqué jusqu’à présent par la présidence américaine et les sénateurs républicains.

Trois semaines après l’échec des discussions au Capitole sur un nouvel ensemble budgétaire pour aider les Américains à faire face à l’impact de la crise sanitaire du coronavirus, Mark Meadows a déclaré que Donald Trump était “maintenant disposé à signer quelque chose à 1.300 milliards de dollars”.

Quelques heures plus tard, Nancy Pelosi a réitéré son appel pour un plan de soutien à hauteur de 2.000 milliards et déclaré que l’offre de la Maison blanche ne répondrait pas aux besoins des travailleurs et familles américains.

La présidente démocrate de la Chambre a reproché, entre autres, aux républicains de “rejeter le financement nécessaire pour le dépistage et le traçage pour vaincre le virus et rouvrir les écoles et l’économie en sécurité”.

Elle a ajouté espérer que les républicains allaient accepter l’offre des démocrates et reprendre les négociations.

Le montant de 1.300 milliards a été proposé lors de discussions en privé, a indiqué Meadows. Les négociations ont été menées par Pelosi, Meadows, le secrétaire au Trésor Steven Mnuchin et le chef de file des démocrates au Sénat, Chuck Schumer.

Allemagne: Prolongement du plan de soutien économique

Allemagne:  Prolongement du plan de soutien économique

 

Allemagne s’apprête à prolonger les mesures de soutien à l’économie notamment en direction des salariés. Et pour la première fois en huit ans, l’Allemagne accepte de plonger son déficit budgétaire dans le rouge.Les partis de la coalition gouvernementale en Allemagne sont convenus mardi de prolonger les mesures destinées à compenser l’impact économique de la crise liée au coronavirus, comme les aides aux salariés en contrats courts, a déclaré la dirigeante de l’Union chrétienne-démocrate (CDU), Annegret Kramp-Karrenbauer.

Au terme de sept heures de discussions, la CDU de la chancelière Angela Merkel et leurs alliés sociaux-démocrates (SPD) ont aussi conclu un accord sur l’extension des aides aux PME.

Faire du cas par cas pour le soutien à l’emploi (OCDE)

Faire du cas par cas pour le soutien à l’emploi (OCDE)

 

Pour l’économiste, les gouvernements des économies avancées comme la France doivent relancer leurs économies avec la menace du virus toujours présente, et modifier leurs aides publiques pour faire du cas par cas (interview dans l’Opinion)

 

Laurence Boone est chef économiste de l’OCDE.

 

Laurence Boone est la chef économiste de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

Qu’est-ce qui pourrait limiter l’impact des plans de relance des économies avancées ?

C’est très bien et important de faire ces plans de relance qui sont nécessaires, et doivent être bien ciblés. On va devoir vivre avec la menace du coronavirus tant qu’il n’y aura pas de vaccin ou de traitement efficace, et il faut que les personnes comme les entreprises puissent reprendre une vie aussi normale que possible. Pour cela, je vois deux défis principaux. D’abord, il faut que les personnes consomment et que les entreprises investissent, et donc qu’elles aient confiance dans la capacité collective à gérer la vie avec le virus. Il faut que les citoyens respectent les mesures d’hygiène, de port du masque et de distanciation physique, mais aussi que les gouvernements aient des stratégies de test, traçage et isolement des malades pour contenir les éventuelles remontées du virus, et des confinements plus locaux si nécessaires.

Et le second défi ?

Il est d’arriver à protéger les personnes les plus vulnérables tout en faisant en sorte que celles travaillant dans les secteurs durablement impactés par le virus puissent retrouver un emploi, et que les capitaux des entreprises de ces secteurs soient réalloués à des domaines plus en croissance. C’est un équilibre difficile à trouver : si on protège trop, on risque de maintenir en vie des entreprises qui ne survivraient pas sans les aides publiques, mais si on ne protège pas assez, on risque de mettre beaucoup de personnes dans une situation précaire. Il faudrait en particulier regarder comment adapter les dispositifs de soutien à l’emploi suivant l’impact de la Covid et l’évolution de la reprise dans chaque secteur. Pour aider à la réallocation de l’emploi, il faut mettre des incitations en place et si nécessaire, prendre les gens par la main pour les aider à trouver un nouveau travail, changer de secteur, recevoir des qualifications et des formations dans le numérique ou la transition énergétique par exemple. Ce n’est pas souhaitable de geler des pans entiers de l’économie pendant un à quatre ans, il faut plutôt aider les personnes et les entreprises à se réinventer ailleurs.

Les échanges commerciaux internationaux sont en baisse. Est-ce que ce sera un frein au rebond des économies ?

Les échanges commerciaux ralentissaient déjà structurellement, avant la crise du coronavirus, à cause des tensions commerciales et de facteurs plus structurels. Mais ce qui a été peut-être plus surprenant avec cette crise, c’est que l’on a vu une grande résilience des chaînes de valeur et de production mondialisées. Elles n’ont pas été si perturbées, ce qui est plutôt rassurant. Il y a très peu d’endroits totalement fermés, où l’approvisionnement n’a pas pu se faire ailleurs. Les pénuries de masques ou de médicaments n’étaient pas dues à un problème de chaîne de production, mais au fait que la demande était massivement supérieure à l’offre, l’épidémie heurtant tout le monde à peu près en même temps. Si désormais les confinements sont plus localisés et moins concomitants, on pourra veiller à ne pas bloquer des nœuds cruciaux des chaînes de production. Il faudrait diversifier les sources d’approvisionnement et, pourquoi pas, développer certaines productions essentielles que l’on n’avait pas.

Les plans de relance des différents pays doivent-ils être synchronisés pour être efficaces ?

A l’OCDE, nous avons toujours plaidé pour la coordination, car il y a de tels effets d’entraînement d’un pays sur l’autre, tellement d’intégration, que si la demande ralentit dans un pays, les effets sur les pays avec lequel celui-ci échange sont importants. C’est particulièrement le cas en Europe : par exemple, un ralentissement en Allemagne a un effet sur les exportations françaises et italiennes, et vice-versa. Plus on s’accorde, mieux c’est calibré, et plus l’impact est important. Quand il y a un effort de coordination des pays du G20, comme à Londres durant la crise financière, cela dope la confiance des entreprises et des personnes, et cela contribue à la vigueur de la reprise. Le plan de relance européen est très positif pour cette raison. Au G20, il y a aujourd’hui un très fort appétit pour bénéficier des expériences des autres et que tout le monde accélère sa reprise en même temps. En outre, il y a eu la décision de reporter le service de la dette des pays pauvres, ce qui revient à une aide fiscale. Ce n’est pas la coordination de la crise financière, mais elle est là néanmoins, et c’est important.

 

Relance: un soutien insuffisant aux PME et commerces

Relance: un soutien insuffisant aux PME et commerces

 

Le plan de relance a été décalé en raison notamment de son inadaptation aux enjeux économiques notamment vis-à-vis des PME. Ce plan d’un montant de 100 milliards réservait en effet 3 milliards pour les PME. Une somme dérisoire évidemment quand on sait que ces entreprises constituent la base même de l’emploi en France et de la consistance économique de nombre de territoires.

Du coup, le ministre de l’économie promet de prolonger la durée des emprunts au-delà d’un an et tente d’obtenir des taux d’intérêt relativement bas. Le gouvernement envisage aussi comme pour les grandes entreprises des prêts à caractère participatif garanti semble-t-il par la même enveloppe de 3 milliards mise un peu à toutes les sauces.

Les PME bénéficieront donc  d’un soutien durable de l’Etat, non seulement par une extension des délais de remboursement des actuels prêts garantis, mais aussi par un nouveau système d’emprunts à très long terme, a annoncé Bruno Le Maire, ministre de l’Economie.

La première mesure du ministère de l’économie concerne les prêts garantis par l’Etat (PGE). Souscrits par de nombreuses entreprises, en particulier des PME, auprès des banques, mais avec le soutien de l’Etat, ces emprunts de secours courent normalement sur un an. Mais «beaucoup (de ces entreprises) ne seront pas en mesure de rembourser leur PGE au bout d’un an (…) et demanderont donc à étendre la durée de remboursement», a reconnu le ministre. Selon lui, les banques accepteront de prolonger ces prêts aux PME au-delà de la première année, avec des taux d’intérêt relativement cléments, puisque compris entre 1% et 3%. «Depuis plusieurs semaines, je négocie avec les banques un taux le plus attractif possible au-delà de la première année», a-t-il assuré.

L’autre annonce concerne la mise en place de prêts de très long terme et dits «participatifs». Ce système, qui existe déjà, est à mi-chemin entre les emprunts classiques et l’investissement direct dans les fonds propres des entreprises. Les nouveaux prêts dureront au moins sept ans et sont donc censés aider au développement pérenne des entreprises. Ils seront octroyés par le secteur financier mais, là encore, avec une garantie de l’Etat. «L’Etat apportera sa garantie jusqu’à 3 milliards d’euros, ce qui permettra aux entreprises de lever de 10 à 15 milliards d’euros de prêts à long terme», a promis Bruno Le Maire.

Biélorussie : « soutien souhaité de l’union européenne  » (Macron)

Biélorussie : « soutien souhaité de l’union européenne  » (Macron)

 

Sans doute un nouveau sujet de discorde entre Poutine et l’union européenne. Poutine qui soutient le président biélorusse et l’union européenne du côté des manifestants qui contestent le résultat des élections présidentielles et la répression. Emmanuel Macron a appelé dimanche l’Union européenne à rester mobilisée pour soutenir les Biélorusses qui manifestent contre la réélection du président Alexandre Loukachenko il y a une semaine.

Des dizaines de milliers de Biélorusses se sont rassemblés dimanche dans la capitale Minsk pour dénoncer une élection truquée et la répression des manifestants, tandis que le chef de l’Etat au pouvoir depuis 26 ans brandissait la menace d’une intervention militaire de son allié russe.

“L’Union européenne doit continuer de se mobiliser aux côtés des centaines de milliers de Biélorusses qui manifestent pacifiquement pour le respect de leurs droits, de leur liberté et de leur souveraineté”, a réagi Emmanuel Macron sur Twitter.

Au moins neuf pays de l’Union européenne et la Commission ont appelé vendredi à l’adoption de sanctions contre la Biélorussie.

« Pour un soutien économique intégrant les dimensions environnementales et sociales »

« Pour un soutien économique intégrant les dimensions environnementales et sociales »

Un collectif rassemblant des associations écologistes et des syndicats demande dans une tribune au « Monde » à ce que le soutien de l’Etat à une grande entreprise soit assorti de conditions environnementales et sociales, inscrites dans la loi.

Tribune.

 

 La crise du coronavirus, comme l’accélération des changements climatiques, démontrent l’échec de politiques basées sur le seul volontarisme des grandes entreprises. Ces dernières années, quelle firme n’a pas fait étalage de ses bonnes intentions ou promu une nouvelle initiative verte ou sociale ? Les mesures concrètes et les résultats qui auraient dû suivre, baisse des émissions de gaz à effet de serre ou réduction des inégalités, se font toujours attendre.

L’affichage de dirigeants d’entreprises conseillés par des agences de relations publiques masque mal des manœuvres aux conséquences désastreuses : jusqu’au cœur de la crise du coronavirus, les grandes entreprises polluantes, les banques qui investissent dans les énergies sales ou les groupes qui évitent soigneusement de payer leurs impôts en France, font pression sur l’Etat pour protéger leurs intérêts et saboter la transition écologique comme les acquis sociaux.

Le 3 avril dernier, le Medef réclamait ainsi au ministère de la Transition écologique et solidaire un moratoire sur certaines législations environnementales, telles que la loi sur l’économie circulaire ou la loi d’orientation des mobilités. Le 11 avril, son président déclarait qu’« il faudra se poser la question des RTT et des congés payés » pour les salariés français avant de faire – en apparence – marche arrière.

Dans le même temps, l’Association française des entreprises privées (Afep), qui regroupe 113 grands groupes français dont Total, BNP Paribas, Danone ou Airbus, recommandait par exemple un report d’au moins un an de la révision de la directive européenne sur les émissions industrielles de CO2 ou de la directive sur l’échange automatique et obligatoire d’informations financières, outil de la lutte contre l’évasion fiscale.

Le même lobbying destructeur est à l’œuvre depuis des décennies auprès des instances nationales, européennes ou internationales. Depuis la signature de l’Accord de Paris de décembre 2015, les majors pétrolières et gazières, dont la française Total, ont dépensé au moins un milliard de dollars en relations publiques et travail d’influence pour « étendre leurs opérations en matière d’énergies fossiles », alors qu’elles s’affichent toutes en soutien à la transition écologique.

Au niveau européen, les normes timides sur les émissions de CO2 des véhicules ont fait l’objet de pressions intenses des constructeurs automobiles sur les législateurs. Dans le cadre de la loi sur l’économie circulaire, LVMH a obtenu du gouvernement français de pouvoir continuer d’envoyer des invendus neufs à la broyeuse pour « recyclage », tout en se présentant comme leader de la mode durable. Comment faire encore une fois confiance à des dirigeants d’entreprises qui font le contraire de ce qu’ils prônent publiquement depuis des années ?

L e soutien de l’armée chinoise à Huwai dénoncé par les États-Unis

L e soutien de l’armée chinoise à Huwai dénoncé par les États-Unis

 

 

En dépit de l’accord qui a permis d’entrouvrir la porte à certaines collaborations entre l’équipementier chinois et des technologies américaines, le conflit est loin d’être réglé concernant la technologie 5G dont les États-Unis pensent notamment qu’elles servent les intérêts stratégiques chinois y compris militaires. En effet Huawei fait partie d’un certain nombre de sociétés détenues ou contrôlées par l’armée chinoise, dit un document élaboré par la présidence américaine que Reuters a pu consulter, une considération qui ouvre la voie à des nouvelles sanctions financières.

Un responsable américain de la Défense qui s’exprimait sous le sceau de l’anonymat a confirmé l’authenticité du document et indiqué qu’il a été transmis au Congrès.

D’autres sociétés, dont China Mobile Communications Group, China Telecommunications Corp, Aviation Industry Corp of China ou encore Hikvision sont également visées dans ce document.

Leur proximité avec l’Armée populaire de libération permet au président Donald Trump de prendre des dispositions à leur encontre.

Huawei est depuis longtemps au coeur d’un différend entre les Etats-Unis et la Chine sur le contrôle des hautes technologies, Washington tentant de convaincre ses alliés d’exclure le groupe chinois des appels d’offre pour la construction des réseaux mobiles de cinquième génération (5G) en arguant du fait que ses matériels pourraient faciliter les activités d’espionnage chinoises.

Un soutien du G7 à Hong Kong

Un soutien du G7 à Hong Kong

Les membres du G7 ont condamné la future loi chinoise qui veut s’imposer à Hong Kong qui serait en quelque sorte une remise en cause des libertés deux Hong Kong dans le cas du rapprochement avec la Chine

“Cette décision n’est pas conforme à la loi fondamentale de Hong Kong ni aux engagements internationaux de la Chine en vertu des principes de la déclaration commune sino-britannique qui est enregistrée à l’ONU et juridiquement contraignante”, disent-ils.

“Nous sommes également vivement préoccupés par cette mesure qui restreindrait et menacerait les droits fondamentaux et les libertés fondamentales de toutes les populations protégées par l’état de droit et l’existence d’un système judiciaire indépendant”, poursuit le communiqué.

Dévoilé le mois dernier, ce projet de loi vise à mettre un terme “à la sécession, à la subversion, au terrorisme et aux ingérence étrangères” dans l’ancienne colonie britannique rétrocédée à la Chine en 1997.

Ses opposants y voient une menace contre le principe “un pays, deux systèmes” qui régit les relations entre le pouvoir central et la “région administrative spéciale” depuis que Hong Kong est repassé sous domination chinoise et qui doit garantir au territoire sa liberté et son rôle de centre financier international.

Ils s’inquiètent notamment de la possibilité créée par cette loi pour les agences de sécurité chinoises de s’installer à Hong Kong.

Le gouvernement chinois et l’administration de Carrie Lam, soutenue par Pékin, affirment que la loi ne restreindra pas les libertés mais qu’elle ne concernera qu’un petit nombre de “fauteurs de troubles” et contribuera à apporter la stabilité après une année de protestations antigouvernementales.

Croissance Japon : plan de soutien de plus de 929 milliards de dollars

Croissance Japon : plan de soutien de plus de 929 milliards de dollars

 

Le Japon prévoit un nouvel ensemble budgétaire de plus de 929 milliards de dollars (852 milliards d’euros) qui comprendra principalement des programmes d’aide financière pour les entreprises frappées par la crise sanitaire liée au coronavirus, a rapporté lundi le journal Nikkei.

Selon la même source, le gouvernement envisage également de lever l’état d’urgence dans la capitale Tokyo et les autres zones où cette mesure est encore en vigueur pour faire face à l’épidémie de coronavirus. Le gouvernement attend lundi l’aval de conseillers médicaux. Le Premier ministre Shinzo Abe a prévu de tenir dans la journée une conférence de presse lors de laquelle il devrait annoncer la levée de l’état d’urgence.

Pour soutenir une économie tombée en récession, le Japon entend déployer de nouvelles mesures qui viendront s’ajouter à l’ensemble budgétaire record de 1.100 milliards de dollars dévoilé en avril pour atténuer l’impact économique de la crise sanitaire. Ce plan, qui doit être financé par un second budget additionnel pour l’exercice fiscal actuel débuté en avril, porterait la réponse économique du Japon à la crise sanitaire à environ 40% du produit intérieur brut (PIB) du pays.

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Soutien au secteur viticole

Soutien  au secteur viticole

 

La filière viticole est doublement victime d’une part des mesures de taxation prise par les États-Unis (qui a fait chuter de près de 50 % les exportations) mais d’autre part  par un écroulement de la demande notamment de la part secteur de la restauration. Pour faciliter le rééquilibrage d’un marché bousculé par la fermeture du hors domicile, Bruxelles et le gouvernement ont aussi débloqué 140 millions d’euros, afin de financer la distillation de crise, sur un volume de 2 millions d’hectolitres. Soit un montant de 70 euros le litre, contre 80 euros demandés par les viticulteurs, qui espéraient que le plan puisse porter sur trois millions d’hectolitres.

« C’est une première étape avant un bilan sur l’effet de cette mesure sur le marché », précise-t-on au ministère de l’Agriculture. Il faudra sans doute d’autres mesures car non seulement la demande s’est écroulée de la part des professionnels mais semble aussi se tasser nettement de la part des particuliers.

 

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