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Super Ligue de football : soutien de la Bourse

Super Ligue de football : soutien de la Bourse

 

Le projet de super ligue de football est bien entendu un projet sportif tout autant qu’un projet financier. Cela d’autant plus que la crise sanitaire a porté un rude coup aux ressources des clubs. Les grands du football européen veulent créer des spectacles qui attirent l’audience mondiale, celle de l’Europe bien sûr mais aussi et surtout celle de l’Asie. Il s’agit d’augmenter l’assiette des contributions notamment des télévisions et la répartir de manière plus favorable au club. Des grands clubs qui pour maintenir leur niveau sont contraints de payer des stars plus d’un million par mois parfois deux voir trois.

Une sorte de course folle car le salaire des joueurs dans ces clubs dépassent de loin les autres dépenses. De son côté ,l’union européenne UEFA veut garder la mainmise sur l’organisation qui intègre actuellement environ 70 clubs pour la compétition européenne.

Ce projet suscite l’intérêt des financiers et de la Bourse. Les cours boursiers de la Juventus de Turin et de Manchester United se sont envolés lundi après l’annonce de la création d’une Super Ligue, lucrative compétition privée fondée par douze clubs dissidents et vouée à supplanter la Ligue des champions.

Le cours de la Juventus de Turin, cotée à la Bourse de Milan, a pris 17,85% à 0,9110 euros à la clôture des échanges. Coté à la Bourse de New York, le titre de Manchester United a pris 6,74% dollars à 17,26 dollars. Les autres clubs dissidents ne sont quant à eux pas cotés en Bourse.

À l’inverse, les principaux clubs européens cotés mais non membres de ce club privé, ont eux clôturé entre stabilité et baisse: l’Olympique Lyonnais, coté à la Bourse de Paris, a perdu 2,10% à 2,33 euros, et l’AS Roma, cotée à Milan, a pris 0,17% à 0,2870 euros.

 

Après des décennies à agiter le spectre d’un schisme, les grands  du continent, Real Madrid, Liverpool ou Manchester United en tête, ont franchi le pas en créant une société privée, baptisée «Super League», quasi fermée et comparable aux championnats nord-américains de basket (NBA) ou de football américain (NFL). En contrepartie de leur engagement, «les clubs fondateurs recevront un versement en une fois de l’ordre de 3,5 milliards d’euros destinés uniquement à des investissements en infrastructures et à compenser l’impact de la crise du Covid-19», affirment les organisateurs.

 

 «L’incitation financière pour ces clubs est évidente, avec une enveloppe de plusieurs milliards de dollars au coeur du projet», commente dans une note l’analyste en chef de Markets.com, Neil Wilson.

 

De plus, «les ventes de billets, les sponsors et les produits dérivés devraient aussi en bénéficier, étant donné la large audience de ces clubs», estime Alberto Francese, responsable de la recherche en courtage pour entreprises pour la banque italienne Intelsat Sanpaolo. Mais, tempère-t-il, «l’UEFA et la FIFA réagissent de manière très véhémente» avec la potentielle exclusion de tout club dissident des compétitions nationales et internationales, ainsi que l’interdiction pour les joueurs d’évoluer en équipe nationale.

 

Soutien financier à Air France accepté par l’Europe

Soutien financier à Air France accepté par l’Europe

Paris et Bruxelles sont tombés d’accord sur le déblocage d’une nouvelle aide financière pour Air France, qui devra en échange abandonner « un certain nombre de créneaux » » à l’aéroport parisien d’Orly, a annoncé dimanche le ministre français de l’Économie Bruno Le Maire. « Nous avons un accord de principe avec la commissaire européenne (chargée de la Concurrence) Margrethe Vestager sur un nouveau soutien financier à Air France », a-t-il déclaré dans l’émission Grand Jury LCI/RTL/Le Figaro.

C’est l’épilogue de semaines de discussions intenses entre Paris et la Commission européenne, gardienne d’une concurrence équilibrée. L’État français, qui détient 14,3% d’Air France, est disposé à secourir de nouveau la compagnie, touchée comme tout le secteur aérien par la crise du Covid-19 et qui a perdu 7,1 milliards d’euros en 2020.

Mais Bruno Le Maire n’a pas précisé le montant de l’aide évoquée. Il « sera discuté avec Air France », un conseil d’administration est prévu lundi « qui doit valider le principe de cet accord ». Selon trois sources syndicales, un comité social et économique (CSE) central extraordinaire d’Air France a aussi été convoqué pour mardi matin à 9H00. Avec à l’ordre du jour « un seul point, la situation de l’entreprise ». Bruno Le Maire a salué « une très bonne nouvelle pour Air France et pour l’ensemble du secteur aérien français », au terme d’une négociation « dure », « longue et difficile ». L’accord trouvé est « juste et proportionné ».

A la Commission européenne, un porte-parole soulignait dimanche à l’AFP que si un État membre compte « accorder plus de 250 millions d’euros d’aide à la recapitalisation » à une entreprise disposant d’une part de marché importante là où elle opère, alors il doit « proposer des mesures supplémentaires pour préserver une concurrence effective ». En clair, la France est priée de proposer à la Commission des mesures concurrentielles efficaces. En 2020, la Commission avait donné son feu vert à une recapitalisation de Lufthansa en échange de la cession de créneaux aux aéroports de Munich et de Francfort.

Air France-KLM a déjà bénéficié d’aides publiques massives de Paris et La Haye: plus de 10 milliards d’euros, dont 7 milliards de prêts directs ou garantis par l’État français actionnaire. Saisie par Ryanair pour distorsion de concurrence, la justice européenne avait jugé en février légales les aides publiques de la France et de la Suède pour sauver leurs compagnies aériennes Air France et SAS, laminées par la crise sanitaire.

Mais la pandémie perdure, les perspectives de reprise dans l’aérien restent incertaines et l’argent continue de manquer. Le groupe Air France-KLM a perdu deux tiers de ses clients l’an dernier et sa dette a quasiment doublé à 11 milliards d’euros.

Politique-Présidentielle 2022 : le soutien possible de Sarkozy à Macron ?

Politique-Présidentielle 2022 : le soutien possible de Sarkozy à Macron ?

 

Après la condamnation de Sarkozy et surtout après les hypothèses de son  soutien à Macron en 2022, la droite est complètement déstabilisée. Le Figaro révèle que Macron et Sarkozy aurait eu une longue conversation téléphonique après l’annonce de la condamnation de l’ancien président de la république. Par ailleurs Sarkozy a annoncé à plusieurs reprises qu’il n’excluait rien en matière de soutien, sous-entendu qu’il pourrait soutenir aussi Macron.

 

Le parti républicain dans ces conditions pourrait bien être amené à connaître les pires difficultés. Surtout à la veille des élections départementales et régionales. Avec les déclarations de Sarkozy, c’est l’existence même des républicains qui pourrait être en cause. Le problème majeur du parti c’est qui n’a pas été en capacité jusqu’à maintenant de trouver un leader incontesté susceptible d’incarner le projet de l’organisation. Certains chez les républicains s’interrogent sur le positionnement de Sarkozy tout en rappelant que ce dernier n’en est pas à son coup d’essai en matière de revirement notamment quand il a soutenu Balladur contre Chirac. Bien entendu on n’ose pas penser à une sorte de marchandage politique entre Macron et Sarkozy concernant les suites judiciaires des différentes affaires dans  lesquelles Sarkozy est impliqué. Reste que le doute pourrait s’installer et participer un peu plus à la déstabilisation du parti républicain.

Ce doute a été nourri par Sarkozy lui-même. Quand Le Figaro l’interroge, mercredi, sur un possible soutien au chef de l’État à la présidentielle, il élude, refuse pour l’heure de « soutenir un candidat plutôt qu’un autre », promet qu’il se prononcera le moment venu « en toute transparence avec [s]a famille politique ». Mais il n’exclut rien. Le fondateur des Républicains acte ainsi explicitement que son choix ne se limitera pas aux seuls prétendants de sa famille politique, LR ou ex-LR. Un coup de tonnerre pour la droite. Et une gifle pour ceux qui rêvent de lui succéder à l’Élysée, de Xavier Bertrand à Valérie Pécresse en passant par Bruno Retailleau.

« Le soutien à Macron fait partie de ses hypothèses, très clairement, confirme un poids lourd LR au Figaro. . Il n’écarte rien. » Ce scénario, Nicolas Sarkozy l’a évoqué devant plusieurs de ses interlocuteurs. « Il considère que Macron est en grand danger et que, avec la crise économique et sociale qui vient, même sa qualification au second tour est aléatoire », précise cet élu. Dans ce cas, « si Macron veut se sauver, il faudra qu’il se détermine », a lâché Sarkozy devant un de ses visiteurs. Comprendre : qu’il propose de bâtir une coalition LR-LREM avant le premier tour de la présidentielle, avec un Premier ministre de droite à Matignon.

Le problème c’est qu’un certain nombre de responsables politiques des républicains sont aussi sur la position de Sarkozy, ce qui ajoute encore à la confusion.

Présidentielle 2022 : le soutien possible de Sarkozy à Macron ?

Présidentielle 2022 : le soutien possible de Sarkozy à Macron ?

 

Après la condamnation de Sarkozy et surtout après les hypothèses de son  soutien à Macron en 2022, la droite est complètement déstabilisée. Le Figaro révèle que Macron et Sarkozy aurait eu une longue conversation téléphonique après l’annonce de la condamnation de l’ancien président de la république. Par ailleurs Sarkozy a annoncé à plusieurs reprises qu’il n’excluait rien en matière de soutien, sous-entendu qu’il pourrait soutenir aussi Macron.

 

Le parti républicain dans ces conditions pourrait bien être amené à connaître les pires difficultés. Surtout à la veille des élections départementales et régionales. Avec les déclarations de Sarkozy, c’est l’existence même des républicains qui pourrait être en cause. Le problème majeur du parti c’est qui n’a pas été en capacité jusqu’à maintenant de trouver un leader incontesté susceptible d’incarner le projet de l’organisation. Certains chez les républicains s’interrogent sur le positionnement de Sarkozy tout en rappelant que ce dernier n’en est pas à son coup d’essai en matière de revirement notamment quand il a soutenu Balladur contre Chirac. Bien entendu on n’ose pas penser à une sorte de marchandage politique entre Macron et Sarkozy concernant les suites judiciaires des différentes affaires dans  lesquelles Sarkozy est impliqué. Reste que le doute pourrait s’installer et participer un peu plus à la déstabilisation du parti républicain.

Ce doute a été nourri par Sarkozy lui-même. Quand Le Figaro l’interroge, mercredi, sur un possible soutien au chef de l’État à la présidentielle, il élude, refuse pour l’heure de « soutenir un candidat plutôt qu’un autre », promet qu’il se prononcera le moment venu « en toute transparence avec [s]a famille politique ». Mais il n’exclut rien. Le fondateur des Républicains acte ainsi explicitement que son choix ne se limitera pas aux seuls prétendants de sa famille politique, LR ou ex-LR. Un coup de tonnerre pour la droite. Et une gifle pour ceux qui rêvent de lui succéder à l’Élysée, de Xavier Bertrand à Valérie Pécresse en passant par Bruno Retailleau.

« Le soutien à Macron fait partie de ses hypothèses, très clairement, confirme un poids lourd LR au Figaro. . Il n’écarte rien. » Ce scénario, Nicolas Sarkozy l’a évoqué devant plusieurs de ses interlocuteurs. « Il considère que Macron est en grand danger et que, avec la crise économique et sociale qui vient, même sa qualification au second tour est aléatoire », précise cet élu. Dans ce cas, « si Macron veut se sauver, il faudra qu’il se détermine », a lâché Sarkozy devant un de ses visiteurs. Comprendre : qu’il propose de bâtir une coalition LR-LREM avant le premier tour de la présidentielle, avec un Premier ministre de droite à Matignon.

Le problème c’est qu’un certain nombre de responsables politiques des républicains sont aussi sur la position de Sarkozy, ce qui ajoute encore à la confusion.

Plan de relance Biden : soutien mais aussi interrogations sur le coût et l’inflation

Plan de relance Biden : soutien mais aussi interrogations sur le coût et l’inflation

Beaucoup à Wall Street se félicitent  de ce plan de relance mais certains s’inquiètent déjà de son coût  et de ses conséquences sur l’inflation sitôt que l’économie reprendra.

«À l’heure actuelle, les marchés célèbrent le stimulus supplémentaire et le considèrent comme un pont plus solide vers une économie entièrement rouverte», a déclaré Jeff Buchbinder, stratège en actions pour LPL Financial.

«De l’autre côté, il y a la possibilité que les marchés devront payer pour cela sous la forme de taux d’intérêt nettement plus élevés ou de hausses d’impôts qui pourraient plafonner les évaluations des actions», a-t-il déclaré.

Les valorisations boursières inquiètent déjà certains investisseurs, qui craignent que les bénéfices devront être exceptionnellement solides dans l’année à venir pour justifier les multiples élevés. Le S&P 500 se négocie à 22,3 fois les estimations de bénéfices prévisionnels, près de son sommet historique de 24,4 depuis mars 2000, selon FactSet.

Le S&P 500 a chuté de près de 0,4% jeudi et est en hausse d’environ 1,1% depuis début janvier. Le rallye de l’année a été mené en grande partie par les valeurs cycliques qui bénéficient d’un plan de relance, y compris les banques, qui sont en hausse de plus de 10% depuis le début de l’année.

Pendant ce temps, les lauréats de l’année dernière, comme le secteur de la technologie, ont baissé de près de 1% au cours de la même période. La hausse des rendements menace de peser sur les entreprises dont les flux de trésorerie sont de plus longue durée tels que les actions technologiques et de croissance.

Le plan de Biden pour stimuler l’économie grâce à un plan de sauvetage intervient à un moment où une flambée des cas de coronavirus oblige les entreprises et les investisseurs à réduire leurs estimations de la fin de la pandémie.

Les demandes de chômage initiales ont atteint 965 000 la semaine dernière, a déclaré jeudi le ministère du Travail, leur plus haut niveau depuis août et bien au-dessus des 795 000 anticipés par les économistes interrogés par Reuters. Dans l’ensemble, les pertes d’emplois en décembre ont diminué pour la première fois en huit mois.

La hausse des rendements obligataires, quant à elle, fait craindre une inflation imminente une fois que l’économie commencera à se redresser. Le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, a déclaré dans un discours jeudi qu’il ne s’attendait pas à ce que la banque centrale commence à réduire ses achats mensuels d’obligations «trop tôt».

« Ce n’est pas le moment de parler de sortie », a-t-il déclaré.

a été plus lent que prévu à peu près partout», a-t-il déclaré.

Esty Dwek, responsable de la stratégie de marché mondial chez Natixis Investment Managers, a déclaré qu’elle s’attend à ce que le marché boursier trébuche plus tard cette année alors que les investisseurs commencent à évaluer la possibilité d’une hausse des taux d’imposition des sociétés et des particuliers que la nouvelle administration pourrait imposer.

«Il y a une nécessité aujourd’hui qui l’emporte sur la préoccupation à long terme», a-t-elle déclaré. «Il y a un souci d’inflation à venir, mais je ne vois pas cela se produire bientôt.»

Nouveau plan de soutien américain : enfin adopté

Nouveau plan de soutien américain : enfin adopté

Trump s’était longtemps opposé à un deuxième plan de soutien suite à la crise sanitaire. Mais le congrès vient de se mettre d’accord sur un plan de 900 milliards

Les 3000 milliards de dollars d’aides exceptionnelles aux entreprises, aux collectivités locales et aux particuliers, votés en février et mars derniers par le Congrès ont été largement dépensés. De Wall Street à la Réserve fédérale, les économistes implorent depuis le mois d’août les leaders du Congrès d’intervenir pour éviter que le vif redressement de la conjoncture observé depuis mai ne soit qu’un feu de paille, suivi d’un retour de la contraction générale de l’activité.

 

 

Après des mois de négociations, interrompues par les élections du 3 novembre, républicains et démocrates au Congrès sont tombés d’accord dimanche 20 décembre sur un nouveau plan massif de soutien à l’économie américaine. Un vote des deux chambres sur un paquet législatif de quelque 900 milliards de dollars doit intervenir lundi devant les deux chambres«Nous pouvons enfin dire ce que notre nation a besoin d’entendre depuis longtemps. Davantage d’aide (économique) est en route», a déclaré le chef républicain du Sénat, Mitch McConnell, devant ses pairs. «Alors que nos citoyens continuent de lutter contre le coronavirus cette saison des fêtes, ils ne se battront pas seuls», a-t-il ajouté, regrettant toutefois que cet accord n’ait pas été trouvé «il y a des mois».

Aérien États-Unis-: un soutien de 15 milliards

Aérien États-Unis-: un soutien de 15 milliards

Le nouveau plan de relance à l’économie pour compenser l’impact de la crise du coronavirus prévoit 15 milliards de dollars d’aide au secteur aérien.

Cette aide, réclamée depuis plusieurs mois par les compagnies aériennes, devrait permettre à celles-ci de redonner du travail jusqu’en mars prochain à plus de 32.000 salariés licenciés plus tôt cette année, ont ajouté les sources.

Les fonds alloués au secteur aérien s’inscrivent dans un ensemble budgétaire de 45 milliards de dollars destiné à soutenir le secteur des transports. Quelque 14 milliards de dollars vont être attribués aux services de transports publics, a indiqué un conseiller parlementaire démocrate.

Républicains et démocrates du Congrès se sont entendus sur un plan de relance de 900 milliards de dollars, dont les détails n’ont pas été formellement dévoilés. La Chambre des représentants et le Sénat devraient tous deux se prononcer lundi sur le projet de loi.

Un programme d’aide fédérale de 25 milliards de dollars avait été adopté en mars par le Congrès pour soutenir l’emploi dans le secteur aérien jusqu’à fin septembre. Il n’avait pas été renouvelé, faute d’accord entre parlementaires sur un plan de relance global.

Après l’expiration de ces fonds, American Airlines a annoncé en octobre le licenciement de 19.000 employés, tandis que United Airlines a limogé plus de 13.000 salariés.

Economie zone euro : il faudra encore davantage de soutien financier selon le FMI

Economie  zone euro : il faudra encore davantage de soutien financier selon le FMI

Le fonds monétaire international se fondant sur la dégradation de l’économie en Europe soutient l’idée qu’il conviendra de faire des efforts encore supplémentaires tant sur le plan monétaire que budgétaire. Le fonds monétaire international a donc soutenu implicitement les déclarations récentes de la banque centrale européenne qui prévoyait une politique encore plus accommodante avec un volume supplémentaire de rachat d’actifs et où un allongement des échéances de maturité.

Le FMI encourage aussi fortement les états à engager des dépenses budgétaires supérieures à ce qui est prévu. La valeur total du soutien budgétaire et monétaire apportée, les milliards d’euros d’accès aux prêts ainsi que l’accord de plan de relance européen dépassent déjà les 10.000 milliards d’euros. Mais il est vrai qu’une grosse partie de ce plan de relance est composée de prêts dont beaucoup garantis. Des prêts qui posent problème compte tenu du risque de manque de solvabilité de certaines entreprises. Une question qui pourrait être résolue au moins pour partie par un soutien plus significatif à la croissance

Bien que la réponse européenne soit déjà impressionnante, le FMI estime qu’il faudra sans doute en faire davantage en cas de détérioration des perspectives économiques.“Les risques (…) restent clairement orientés à la baisse jusqu’au début de 2021 étant donné la deuxième vague épidémique en cours”, a déclaré le FMI lors d’un examen régulier de l’économie de la zone euro. “Avec la deuxième vague en cours, les politiques budgétaires nationales devront probablement apporter un vaste soutien plus longtemps que prévu”.

Dans une démonstration de solidarité sans précédent, les dirigeants de l’Union européenne ont accepté d’emprunter conjointement, via la Commission européenne, 750 milliards d’euros au cours des prochaines années pour financer le plan de relance.(Plan toujours bloqué à ce jour par là Hongrie et la Pologne).

Le FMI a déclaré que l’impact de ce plan dépendrait de l’ampleur, de la qualité et de l’efficacité des dépenses nationales et des réformes structurelles visant à rendre les économies plus écologiques et plus numériques.

Le Fonds a qualifié la réponse monétaire de la BCE d’audacieuse mais a ajouté qu’une aide supplémentaire serait probablement nécessaire, en incluant éventuellement davantage de facilités de crédit aux banques. “L’expansion des achats d’actifs sera la première ligne de défense mais d’autres options – y compris un assouplissement supplémentaire des conditions des opérations de refinancement ciblées à long terme (TLTRO) et une réduction des taux de dépôt – devraient également être envisagées”, a-t-il déclaré.

“Des mesures d’adaptation encore plus importantes seraient nécessaires pour contrer les risques de déflation et assurer un relais budgétaire sans heurts dans un scénario pessimiste”, selon le rapport du FMI.

États-Unis : Trump sabote le fonds de soutien à l’économie

États-Unis : Trump sabote le fonds de soutien à l’économie

 

Trump  continue la politique de terre brûlée dans tous les domaines ainsi il vient de demander l’annulation de 455 milliards destinés à la Fed pour soutenir l’économie.

La Fed a été prise de court par cette annonce qui intervient alors que la reprise économique marque le pas et que l’épidémie de coronavirus connaît un regain dans le pays.

“Je demande à la Fed de restituer au Trésor les fonds inutilisés”, a écrit Steven Mnuchin à Jerome Powell, refusant au passage de prolonger un programme que la Réserve fédérale juge crucial pour soutenir l’économie.

Dans un communiqué, la Fed a déploré la décision de Steven Mnuchin, disant qu’elle aurait souhaité “que l’ensemble des dispositifs d’urgence instaurés au cours de la pandémie de coronavirus continuent de jouer leur rôle de filet de sécurité pour une économie qui reste fragile et vulnérable”.

“Dans l’état dans lequel se trouve l’économie, (…) il est prudent de maintenir ces dispositifs”, a commenté Raphael Bostic, le président de la Fed d’Atlanta et possible secrétaire au Trésor de Joe Biden, dans une interview accordée à Bloomberg.

L’annonce faite jeudi par Steven Mnuchin est clairement une mauvaise nouvelle pour Joe Biden et risque de compliquer sa tâche quand son administration entrera en fonction.

“Une résiliation surprise (…) lie prématurément et inutilement les mains de l’administration entrante, et ferme la porte à d’importantes options de liquidités pour les entreprises au moment où elles en ont le plus besoin”, a déclaré Neil Bradley, directeur de la politique de la Chambre de commerce américaine.

Il s’agit également d’un revers pour les marchés financiers, très dépendants des mesures de soutien monétaire mais également budgétaire.

“Pendant environ trois semaines en janvier, les marchés fonctionneront sans le soutien dont ils bénéficient depuis le printemps”, a déclaré Michael Feroli, analyste de JPMorgan, en faisant référence au délai entre l’expiration des programmes de la Fed et l’intronisation le 20 janvier de Joe Biden, dont le secrétaire au Trésor pourrait décider de relancer les programmes en question.

L’annonce faite par Steven Mnuchin a fait baisser les contrats à terme sur les indices de Wall Street et les rendements de référence du Trésor américain.

L’élu démocrate James Clyburn, président de la commission à la Chambre des représentants sur la crise du coronavirus, a déclaré qu’il n’y avait “absolument aucune justification” pour Steven Mnuchin de suspendre ces programmes en pleine crise sanitaire et lui a demandé de revenir sur sa décision.

Le sénateur républicain Pat Toomey a de son côté salué la décision du secrétaire au Trésor.

Un soutien financier du sport ……..en Grande-Bretagne

Un soutien financier du sport ……..en Grande-Bretagne

Le gouvernement britannique a annoncé jeudi l’allocation de 300 millions de livres (335,6 millions d’euros) destinés à soutenir les sports impactés par l’absence de spectateurs en pleine pandémie de coronavirus.

“Un soutien sera apporté au rugby à XV, aux courses de chevaux, au football féminin et aux échelons inférieurs de la Ligue nationale de football”, a indiqué le Département du Numérique, de la Culture, des Médias et des Sports (DCMS).

“La ligue de rugby, le sport automobile, le tennis, le netball, le basket-ball, le hockey sur glace, le badminton et les courses de lévriers devraient également en bénéficier.”

L’injection de liquidités, en grande partie constituée de prêts, exclut néanmoins la Premier League et le cricket.

En septembre dernier, plus de cent organismes sportifs avaient écrit à Boris Johnson pour demander un financement d’urgence par crainte d’une “génération d’activité perdue”.

Nigel Huddleston, ministre britannique des Sports, a déclaré qu’il était juste d’intervenir maintenant pour protéger des sports entiers et leurs communautés.

“Ce gouvernement fera tout ce qui est en son pouvoir pour aider nos précieux sports et clubs à passer (la crise du) coronavirus”, a ajouté le ministre du DCMS Oliver Dowden.

On attend évidemment avec impatience le plan de soutien français car nombre de clubs professionnels et même de clubs amateurs risquent  d’être condamnés à la faillite.

La CE veut des mesures de soutien économique uniquement temporaires

La CE veut des mesures uniquement temporaires

 

 

La commission économique qui avait toléré jusque-là le soutien sans limite à une économie en chute libre estime maintenant que les mesures d’aide en 2021 doivent avoir un caractère provisoire. Le problème c’est que certains pays ont prévu d’aider la croissance autant à moyen- long terme et peut-être davantage qu’à court terme. C’est notamment le cas de la France.

Évidemment avec un soutien prolongé, ces pays risquent de connaître des dérives budgétaires pendant plusieurs années. Et c’est ce qui inquiète la commission économique. Le problème est celui du calendrier car il est clair que l’économie ne réussira pas à se relever en 2021. Peut-être même en 2022. On ne peut pas priver d’oxygène des croissances encore chancelantes et qui ne retrouveront pas leur niveau de fin 2019 avant 2023.

La crise n’est pas seulement conjoncturelle, elle ne découle pas seulement de l’environnement sanitaire. La crise avait commencé avant car dès fin 2019 on avait nettement perçu la baisse tendancielle de la croissance. Une baisse structurelle liée à l’évolution des modes de production et de consommation que la crise sanitaire n’a fait qu’accentuer. Les gouvernements de la zone euro vont devoir veiller à ce que leurs politiques budgétaires continuent à soutenir l’activité économique en 2021, tout en s’assurant que ces mesures de stimulation resteront ciblées et temporaires, déclare mercredi la Commission européenne dans “son paquet d’automne pour la politique économique”.

Ces recommandations doivent être approuvées par les ministres des Finances des 19 pays de la zone euro. Elles seront examinées à la mi-décembre par l’Eurogroupe.

Les gouvernements de la zone euro ont adressé le mois dernier à la Commission leurs projets de budgets pour 2021 afin que la Commission vérifie qu’ils sont bien dans les clous de la politique commune.

“Selon l’évaluation de la Commission, tous les PPB (projets de plan budgétaire) sont globalement conformes aux recommandations du Conseil du 20 juillet 2020. La plupart des mesures prévues soutiennent l’activité économique dans un contexte de très forte incertitude”, constate l’exécutif européen.

“Par contre, certaines mesures présentées dans les projets de plan budgétaire de la France, de l’Italie, de la Lituanie et de la Slovaquie ne semblent pas temporaires ni accompagnées de mesures de compensation.”

En outre, “pour la Belgique, la France, la Grèce, l’Italie, le Portugal et l’Espagne, compte tenu du niveau élevé qu’atteignait déjà leur dette publique avant la pandémie de COVID-19, avec les importants défis que cela pose en matière de soutenabilité à moyen terme, il importe de veiller à ce que les mesures budgétaires de soutien adoptées préservent la viabilité des finances publiques à moyen terme”.

“Ce paquet d’automne vise à diriger les économies de l’UE vers des rivages plus calmes, en fournissant des orientations stratégiques pour notre relance collective”, a commenté le vice-président de la Commission Valdis Dombrovskis.

“Pour que l’Europe puisse se relancer comme un compétiteur de poids sur la scène mondiale, nous avons besoin de mesures de soutien budgétaire temporaires et ciblées, comme de réformes et d’investissements bien choisis, qui favorisent une reprise équitable, inclusive et durable.”

Une sorte de recommandation évidente mais d’une telle banalité qu’elle n’apporte pas grand-chose.

LES AUTEURS DE 80 MESSAGES DE SOUTIEN AU TERRORISTE

LES AUTEURS DE 80 MESSAGES DE SOUTIEN AUX terroristes vérifiés dès lundi

Il est évident que l’anonymat sur Internet favorise le soutien à la délinquance et au crime sur les réseaux sociaux. Cela a été démontré dans le cas du crime odieux contre le professeur Samuel Paty puisque le terroriste ne connaissait absolument pas la victime et qu’il a bénéficié d’un complot. Du coup,  l’État va enquêter concernant l’identité des 80 messages de soutien aux terroristes Les auteurs de 80 messages de soutien au terroriste de Conflans-Sainte-Honorine seront contrôlés dès lundi, a annoncé l’Elysée ce dimanche soir.

Cette annonce intervient après le Conseil de défense, qui s’est déroulé durant 2h30 avec six ministres et le procureur anti-terroriste Jean-François Ricard.

Plusieurs voix se sont élevées ce dimanche, critiquant la présence des Insoumis place de la République pour rendre hommage à l’enseignant décapité.

Économie américaine : Pelosi pour un accord global de soutien

Économie américaine : Pelosi pour un accord global de soutien

 

Le président américain a décidé de geler les discussions sur le second plan de soutien à l’économie jusqu’à l’élection présidentielle. Les démocrates plaident pour la mise en place d’un plan de soutien de 25 milliards en faveur du secteur aérien tout en défendant l’élaboration d’un plan d’aide aux contours bien plus vaste d’un montant de 2.200 milliards de dollars.

Du côté de la Maison blanche, on souhaite maintenir le coût de ce plan global autour de 1.600 milliards de dollars.

L’administration Trump concentre ses efforts sur la création de projets de lois « autonomes » destinés à soutenir le secteur du transport aérien, et à assurer le versement de 1.200 dollars d’aides aux particuliers.

Lors de sa conférence de presse hebdomadaire, Nancy Pelosi a déclaré ne pas savoir quelles étaient les chances d’arriver à un accord avec la Maison blanche tout en faisant état de « progrès ». Mais les positions du président américain sont très fluctuantes sur le sujet

Sondage Castex : seulement 33 % de soutien

Sondage Castex : seulement 33 % de soutien

 

D’après le baromètre du Figaro, Jean Castex ne dispose que d’une très faible confiance avec 33 % de soutien dans l’opinion. Au  même niveau que le très transparent Bernard Cazeneuve (32% en janvier 2017) mais très loin de Jean-Pierre Raffarin (60% en juin 2002). Seul avantage pour Emmanuel Macron de ce faible niveau de son premier ministre: le président de la République reprend le dessus mais avec un soutien tout juste de supérieur autour de 35 %.

L’exécutif président et premier ministre compris a bien du mal à persuader l’opinion de la pertinence de sa politique aussi bien sur le plan sanitaire qu’en matière économique. À noter l’ascension d’Édouard Philippe juste derrière l’intouchable Nicolas Hulot, se permettant d’être en tête auprès des sympathisants LREM (78%) et de LR (61%).

États-Unis : un plan de soutien de 1.300 milliards de dollars insuffisant pour les démocrates

États-Unis : un plan de soutien de 1.300 milliards de dollars insuffisants pour les démocrates

 

Le plan de soutien de 1300 milliards de dollars (environ 1000 milliards d’euros,) est jugé insuffisant par la président démocrate de la Chambre des représentants Nancy Pelosi qui réclame un plan de 2000 milliards de dollars.

Donald Trump a accusé Nancy Pelosi d’être seulement intéressée à renflouer les Etats dirigés par les démocrates, jetant une ombre sur l’hypothèse d’une reprise des discussions autour d’un nouveau plan de soutien.

Le montant annoncé vendredi par le secrétaire général de la Maison blanche, Mark Meadows, représente 300 milliards de dollars de plus qu’évoqué jusqu’à présent par la présidence américaine et les sénateurs républicains.

Trois semaines après l’échec des discussions au Capitole sur un nouvel ensemble budgétaire pour aider les Américains à faire face à l’impact de la crise sanitaire du coronavirus, Mark Meadows a déclaré que Donald Trump était “maintenant disposé à signer quelque chose à 1.300 milliards de dollars”.

Quelques heures plus tard, Nancy Pelosi a réitéré son appel pour un plan de soutien à hauteur de 2.000 milliards et déclaré que l’offre de la Maison blanche ne répondrait pas aux besoins des travailleurs et familles américains.

La présidente démocrate de la Chambre a reproché, entre autres, aux républicains de “rejeter le financement nécessaire pour le dépistage et le traçage pour vaincre le virus et rouvrir les écoles et l’économie en sécurité”.

Elle a ajouté espérer que les républicains allaient accepter l’offre des démocrates et reprendre les négociations.

Le montant de 1.300 milliards a été proposé lors de discussions en privé, a indiqué Meadows. Les négociations ont été menées par Pelosi, Meadows, le secrétaire au Trésor Steven Mnuchin et le chef de file des démocrates au Sénat, Chuck Schumer.

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