Archive pour le Tag 'soutien'

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Présidentielle: Le PRG annule son soutien à Taubira

Présidentielle: Le PRG annule son soutien à  Taubira

 

 

Le patron du parti radical de gauche , Guillaume Lacroix, retire son soutien à Taubira. « Nous avons enclenché derrière la démarche de Christiane Taubira qui s’est construite sur le rassemblement des candidats de gauche (…) Mais je prends acte après des semaines et des semaines de discussions avec l’ensemble des responsables politiques de gauche, tous confondus, que cette forme d’union là ne se fera pas », a-t-il reconnu.

Le rassemblement des candidats étant donc largement compromis – « Il faut à un moment l’accepter » – le président du PRG a désolidarisé son parti de Christiane Taubira qui « a fait évoluer sa campagne sur une campagne de citoyenneté basée sur 400 000 votants, fondée sur les comités Taubira, sur la jeunesse. » « Je salue cet élan et ce souffle autour d’une candidature à gauche. Ce n’est pas si souvent. Seulement le mandat du PRG était un mandat autre et donc le PRG en tant que tel se met en retrait », a-t-il conclu.

Certains élus du PRG seraient tentés de soutenir Emmanuel Macron, ou encore que le soutien a été retiré en raison des liens, souvent forts dans les exécutifs locaux, entre le PRG et le PS qui a encore redit lundi, par la voix de son premier secrétaire, un soutien ferme à sa candidate.

Présidentielle 2022 : Pécresse reçoit le soutien des Centristes et de l’UDI

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Valérie Pécresse reçoit le soutien de deux petits partis centristes. En apparence pas un ralliement très significatif du point de vue quantitatif mais qui va quand même compter. En effet la vraie bataille pour Valérie Pécresse c’est la qualification pour le second tour face à Marine Le pen. En l’état actuel des sondages les deux personnalités sont à peu près à égalité. La différence pourrait se jouer sur pas grand-chose.

En outre le ralliement de centristes permet de rééquilibrer la posture de Pécresse qui sur certains sujets penchaient plutôt à droite jusque-là. A moins de trois mois de la présidentielle, la candidate LR a successivement reçu l’investiture des Centristes puis de l’UDI, deux petites formations de centre-droit qui réunissaient chacune leur conseil national samedi.En cas de qualification pour le second tour le résultat risque aussi d’être plus serré que ne l’annonce des jeunes instituts de sondage un peu trop proche du pouvoir actuel pour être totalement pertinents. Le reflexe anti Macron va jouer en faveur de Pécresse si elle se qualifie ; comme souvent,  le centre pourrait décider du résultat final de l’élection.

«Mon projet est de droite, il est de rupture, mais il est 100% compatible avec vos valeurs», a lancé la candidate devant les Centristes.

«La famille de la droite et du centre est prête à aller bâtir l’alternance» et «nous sommes ici pour incarner une troisième voie entre l’immobilisme et la démagogie», a-t-elle ajouté devant l’UDI.

«Avec vous je sens s’élargir la droite et c’est important de se rassembler»: l’électorat centriste est important pour la candidate LR, qui a beaucoup cajolé son aile droite depuis le début de sa campagne avec des propositions très fermes sur le régalien .

Sondage Covid: baisse du soutien au gouvernement

Dans un sondage IFOP diffusé par le JDD, les sondés ne sont plus que 40 % environ à faire confiance au gouvernement pour modèle la lutte contre la pandémie. La baisse est générale y compris pour le soutien aux passe vaccinale et pour la vaccination. En cause sans doute notamment cette pagaille à l’école et le maquis des mesures restrictives

Alors que le passage du passe sanitaire au passe vaccinal devrait être définitivement voté dimanche par le Parlement, 58% des Français s’y disent favorables, selon un sondage Ifop pour le Journal du dimanche. Un chiffre en baisse de 5 points par rapport à une précédente enquête menée par l’institut pour LCI début janvier (63%). Dans le détail, et sans surprise, les sympathisants de La République en marche soutiennent sa mise en place à 93%, suivi par ceux du Parti socialiste (76%), des Républicains (72%) et d’Europe Ecologie-Les Verts (62%). Les sondés se déclarant politiquement proches de La France insoumise et du Rassemblement national sont, eux, majoritairement opposés au passe vaccinal, respectivement à 55% et 53%.

Les hommes y adhèrent davantage que les femmes, à 62% contre 54%. L’adhésion au passe vaccinal décroît en fonction de l’âge des Français : c’est donc chez les 65 ans et plus qu’il est le plus accepté (71% de favorables) et chez seulement 48% des 18-24 ans.

Le Sénat doit achever l’examen du texte sur le passe vaccinal ce week-end et, « selon qu’il y aura ou non saisine du Conseil constitutionnel », l’entrée en vigueur se fera avec « quelques jours de retard » sur le calendrier prévu, soit d’ici une semaine à dix jours, a commenté vendredi soir le Premier ministre, Jean Castex, dans un entretien à Nice-Matin.

59% pour la vaccination obligatoire dès 18 ans

Le sondage de l’Ifop interroge également les Français sur la vaccination obligatoire pour les 18 et plus : 59% des sondés s’y disent favorables. Un chiffre là encore en baisse, puisqu’ils étaient 68% à la soutenir en novembre, selon une précédente enquête de l’institut pour le JDD.

Toujours dans ce même sondage, 53% des Français font confiance au gouvernement pour « aider les entreprises en difficulté en raison du coronavirus » ; 50% pour « mener à bien la campagne de vaccination » ; et 41% pour « faire face efficacement au coronavirus ».

Nouveau plan de soutien aux entreprises

Nouveau plan de soutien aux entreprises

 

Suite aux récentes mesures sanitaires plus restrictives qui sont susceptibles de bouleverser l’économie, le gouvernement a décidé de renforcer le soutien aux entreprises.

L’activité partielle sera ainsi remboursée à 100% sans reste à charge pour les entreprises qui ont perdu 65% de leur chiffre d’affaires (contre 80% auparavant). Toutes les entreprises qui font l’objet de restrictions sanitaires auront en outre accès à cette activité partielle prise en charge «par exemple un bar qui ne peut plus servir ses clients debout, et a fortiori les discothèques», a précisé le ministre de l’Économie.

Deuxième dispositif: la prise en charge des coûts fixes, puisque le seuil d’accès sera baissé à 50% de pertes de chiffre d’affaires, contre 65% auparavant. Le bénéfice de ce dispositif sera élargi puisqu’il concernait alors l’événementiel, les traiteurs et les loisirs indoor. Seront désormais concernées toutes les activités liées au tourisme (hôtels, agences de voyages…) avec une procédure de remboursement accélérée pour les sommes inférieures à 50.000 euros. Un délai qui se comptera «en jours et non plus en semaines», précise Bruno Le Maire.

Par ailleurs, les  échéances des prêts garantis par l’État seront en outre réexaminées «dans les heures qui viennent».

Energie solaire : Des conditions de soutien restrictif ?

Energie solaire : Des conditions de soutien restrictif ?

 

Plus de 300 acteurs économiques et représentants politiques réunis autour de l’association Energie Partagée protestent, dans une tribune au « Monde », contre le contenu restrictif d’un arrêté gouvernemental qui définit les conditions aux projets de toiture photovoltaïque. ( extrait)

Une contribution intéressante mais qui pose la question des limites du financement public vis-à-vis d’énergies peu rentables. NDLR

 

Tribune. 

 

Par l’adoption d’un arrêté censé doper les installations de production d’énergie photovoltaïque, la France vient de porter le coup de grâce aux centaines d’initiatives collectives de production d’énergie solaire, portées par des groupes d’habitants et de collectivités. Cet arrêté transcrit de façon restrictive une disposition européenne et interdit le cumul des aides de l’Etat (le tarif garanti d’achat de l’électricité), d’une part, et des collectivités locales, d’autre part (souvent des subventions régionales).

Pourtant, la combinaison des subventions locales et du tarif d’achat est vitale pour les projets solaires citoyens, installation sur de petites toitures de bâtiments publics impliquant des normes de sécurité (écoles, gymnases, etc.) supplémentaires. Ces aides complémentaires sont d’autant plus indispensables dans la moitié nord de la France et les territoires de montagne : l’équilibre économique des projets y est plus difficile à atteindre du fait du moindre ensoleillement, ce qui pénalise les collectivités souhaitant contribuer directement à une transition énergétique locale, mobilisatrice et durable.

 

Ces installations solaires, développées et financées par des citoyens, des collectivités et des acteurs locaux, ne génèrent pas uniquement une électricité verte, mais aussi des actions pédagogiques sur la transition énergétique, une meilleure compréhension et appropriation locale des énergies renouvelables, un soutien à l’économie locale… autant de retombées positives pour les territoires qui expliquent la volonté croissante de collectivités, toujours plus nombreuses, de soutenir ces démarches.

Un mécanisme de modulation du tarif d’achat photovoltaïque

Avec ce texte, la France interdit aux collectivités d’apporter leur soutien à ces projets territoriaux aux retombées économiques, sociales et démocratiques bien réelles. Cela alors que la communauté scientifique exhorte les acteurs nationaux, mais également locaux, à combiner leurs efforts pour lutter contre le changement climatique et accélérer le développement des énergies renouvelables.

 

Cela alors que la ministre de la transition écologique Barbara Pompili déplorait récemment qu’il y ait encore « trop peu de projets citoyens », impliquant les acteurs locaux, et promettait des moyens pour accompagner les territoires le long de cette nécessaire transition énergétique. Cela alors que le premier ministre, Jean Castex, affirmait le 28 août à Saint-Nazaire que les projets de production d’électricité solaire photovoltaïque « constituent l’axe prioritaire de notre stratégie en matière d’énergies renouvelables électriques ».

Mise en garde vis-à-vis du soutien de la Russie au Mali

Mise en garde vis-à-vis du soutien de la Russie au Mali

 

La Russie qui s’immisce (comme la Chin)e dans la plupart des espaces géopolitiques dans lesquels les occidentaux éprouvent des difficultés comme au Mali a été vivement critiquée par la France l’Allemagne et plus globalement par l’union économique et l’ONU.  Une mise en garde était adressée aux putschistes du Mali qui envisagerait un recours à l’organisation mercenaire russe Wagner et au soutien implicite de la Russie.

Par ailleurs, l’Onu, qui dispose de quelque 15.000 Casques bleus au Mali, a souligné que tout partenariat d’un gouvernement avec des forces militaires étrangères devrait respecter les droits humains. Le colonel Sadio Camara, a affirmé que la réduction de la présence française au Mali «obligeait à tout envisager pour sécuriser le pays». Dans l’entourage du ministre malien de la Défense, on a confirmé toutefois à l’AFP «qu’aucun acte n’a été posé avec Wagner».

 

Brésil : Bolsonaro tombe à 22 % de soutien dans un sondage

Brésil : Bolsonaro tombe à 22 % de soutien dans un sondage

La cote de popularité du président brésilien a baissé à son niveau le plus bas en près de trois ans de mandat, avec seulement 22% d’opinions favorables, selon un sondage de l’institut Datafolha publié jeudi 16 septembre.

Seules 22% des personnes interrogées jugent la gestion du président d’extrême droite « bonne » ou « très bonne », contre 24% en juillet, selon ce premier sondage publié après les grandes manifestations que Jair Bolsonaro avait convoquées le 7 septembre pour galvaniser ses soutiens.

Le pourcentage d’opinions défavorables est passé à 53%, contre 51% en juillet et 45% en mai, pour ce sondage mené par cet institut de référence auprès de 3 667 personnes, du 13 au 15 septembre.La situation économique du Brésil s’est par ailleurs dégradée, avec une inflation galopante et une crise énergétique causée par une sécheresse historique.

2022–EDOUARD PHILIPPE: soutien à Macron mais mon tour viendra

2022–EDOUARD PHILIPPE: soutien à  Macron mais mon tour viendra

 

En réaffirmant son soutien à Macron pour l’élection de 2022, Édouard Philippe prépare évidemment l’échéance de 2027. Pour cela il est d’ailleurs en train de constituer un nouveau parti qui s’inscrira dans la majorité.

Edouard Philippe a en effet confirmé qu’il allait créer un mouvement pour soutenir Emmanuel Macron. Et il ne cache pas non plus sa volonté de vouloir « participer à la constitution de cette nouvelle majorité » si Emmanuel Macron est élu.

« Si Emmanuel Macron comme je l’espère est élu, il aura besoin de s’appuyer sur une nouvelle majorité. Et moi je veux participer à la constitution de cette nouvelle offre politique, ça me parait indispensable » lance-t-il. Une manière de se positionner pour le prochain poste de Premier ministre qui pourrait bien faire émerger un autre concurrent.

 

Entreprises en difficulté: Un soutien insuffisant du gouvernement

Entreprises en difficulté: Un soutien insuffisant du gouvernement

Sébastien Laye, chercheur associé à l’Institut Thomas More, estime que le soutien du gouvernement aux entreprises en difficulté est insuffisant. (Tribune dans l’opinion, extrait)

Alors que les soutiens aux entreprises mis en place pendant la crise vont progressivement s’éteindre, de nombreuses TPE-PME risquent de souffrir pendant de longues années. Au niveau macroéconomique, le danger est de voir notre croissance amputée de quelques dixièmes de points chaque année pendant toute la décennie, faute de dispositifs suffisamment puissants et novateurs pour traiter la situation des entreprises en difficulté.

Il ne s’agit pas simplement de déverser de l’argent sur nos entreprises mais d’avoir des procédures de traitement de leurs difficultés adaptées, alors que la Banque mondiale nous classe au 26e rang mondial en la matière. A rebours de la mission Ricol qui avait plaidé en avril pour une remise à plat de tout le système, le gouvernement a en quelque sorte clos le sujet avec deux mesures modesConsidère que le soutien du gouvernement vis-à-vis des entreprises en difficulté est insuffisant (tribune dans l’opinion) extraittes Considère que le soutien du gouvernement est insuffisant pour les entreprises en difficulté (tribune dans le pignon)en juin : une procédure flash pour les petites entreprises et la mobilisation renforcée des Codefi (Comité départemental d’examen des difficultés des entreprises) sur les territoires.

C’est bien peu, trop peu, au regard du défi à venir. Et c’est d’autant plus dommageable qu’un récent rapport de l’Assemblée nationale et que le travail réalisé par l’Institut Thomas More (qui formule 45 propositions détaillées) montrent la voie d’une profonde refonte du système. Parmi les axes de réforme, signalons-en trois principales.

Il faut inciter les entrepreneurs à traiter leurs premières difficultés le plus tôt possible, non pas en s’adressant à un tribunal comme aujourd’hui ou à l’administration fiscale, mais en parlant à des pairs spécialisés

Indépendants. La première est de mettre le paquet sur les procédures préventives. Il faut en effet inciter les entrepreneurs à traiter leurs premières difficultés le plus tôt possible, non pas en s’adressant à un tribunal comme aujourd’hui ou à l’administration fiscale comme le prévoit le gouvernement, mais en parlant à des pairs spécialisés et non chargés des sanctions.

La deuxième est la révision dans le sens de plus de concurrence et de transparence des rémunérations et des pratiques des administrateurs et des mandataires judiciaires, souvent un frein à ces procédures préventives. Un big bang similaire à celui qu’a connu la profession des notaires est une condition sine qua non à la dynamisation d’un système refondé.

Enfin, il faut consolider les acquis des salariés français lors de ces procédures impliquant les entreprises en difficulté : la loi doit sanctuariser la place de la garantie des salaires (régime AGS) parmi les créanciers. Elle pourrait également l’étendre aux procédures collectives et aux indépendants, qui aujourd’hui, dans la foulée de la crise de la Covid, sont moins bien protégés que les salariés.

Une flexisécurité à la française bien pensée exigerait à la fois plus de concurrence et une consolidation de certains dispositifs dans le domaine des entreprises en difficulté. Ce n’est malheureusement pas la voie prise par le gouvernement, qui semble espérer que le rebond post-Covid produira une croissance suffisante à protéger les petites entreprises et leurs salariés.

Sébastien Laye, chercheur associé à l’Institut Thomas More, est l’auteur du rapport « Entreprises en difficulté : pour une refondation du système français », disponible sur www.institut-thomas-more.org.

Soutien aux entreprises : Attention à la rupture brutale

Soutien aux entreprises : Attention à la rupture brutale

Benoît Coeuré chargé au début de la crise du Covid, via un comité regroupant des spécialistes des finances publiques, d’évaluer l’impact économique des mesures de soutien à l’économie attire l’attention sur les risques d’une rupture brutale en cas de suppression du soutien aux entreprises d’autant que la quatrième vague en cours pourrait à nouveau affecter gravement le fonctionnement économique.

Le rapport met en garde sur les incertitudes du contexte sanitaire et invite ainsi à prolonger les aides alors que leur débranchement doit être discuté en août. « Les dispositifs […] devront rester réactifs, en complément de la montée en charge de l’activité partielle de longue durée », note le comité. Il rappelle par ailleurs que, exception faite de la Grande-Bretagne, les pays européens n’ont pas prévu de stopper les aides aussi rapidement.

L’urgence d’un soutien à l’éducation dans les pays pauvres

L’urgence d’un soutien à l’éducation dans les pays pauvres 

 

 

Du fait de la pandémie de Covid-19, dans le monde, des millions d’enfants ont été privés d’école, les filles étant les plus touchées et risquant de ne jamais y retourner. Nous devons agir, et la France doit montrer l’exemple, souligne, dans une tribune au « Monde », un collectif d’enseignants.

 

Tribune.

La pandémie de Covid-19 a affecté l’éducation dans le monde entier. En avril 2021, au plus fort de la crise, 1,6 milliard d’enfants dans le monde ont été contraints de quitter les bancs de l’école. Nous, enseignants et enseignantes des cycles primaires, secondaires et supérieurs, en avons été les premiers témoins (« L’impact du Covid-19 sur l’éducation », Unesco). Nous avons tout tenté pour continuer à exercer notre métier dans les meilleures conditions possibles, car nous savons à quel point chaque journée passée à l’école est cruciale pour l’apprentissage de nos élèves.

Alors que la situation revient petit à petit à la normale en France, que nous nous apprêtons à corriger nos dernières copies et que nos élèves ont déjà la tête aux grandes vacances d’été, nous souhaitons alerter sur la situation dans les pays où la crise éducative mondiale aggravée par la pandémie a fait le plus de dégâts.


Prenons les enfants qui ont eu ou auront 10 ans cette année.

L’âge de 10 ans est une étape-clé de l’apprentissage dans la vie d’un enfant : c’est le moment où il cesse d’apprendre à lire, et commence à lire pour apprendre.

A cause à la fois de la pandémie de Covid-19 et du manque de financement chronique des systèmes éducatifs dans les pays pauvres, l’ONG One estime qu’environ 70 000 000 d’enfants – soit l’équivalent de la population de la France – vont rater cette étape cruciale de leur apprentissage pour leur garantir un avenir meilleur.

 

Les filles ont encore été les plus touchées. Privées des bancs de l’école, c’est non seulement leur avenir scolaire et professionnel qui est menacé, mais elles courent davantage de risques d’être forcées à se marier, de subir des mutilations génitales ou d’être exposées à des violences sexistes et sexuelles.

D’ici la fin de la crise, ce sont 20 millions d’entre elles qui risquent de ne jamais retourner à l’école. Si on ne réagit pas de toute urgence, la pandémie laissera derrière elle des millions de filles supplémentaires à qui on aura volé le droit et la chance d’apprendre à lire, et donc d’étudier pour devenir les infirmières, chercheuses, enseignantes, journalistes, cheffes d’orchestre, médecins, et même ministres ou astronautes de demain. Nous devons agir, et la France doit montrer l’exemple.

Epreuve de rattrapage

Cet été doit avoir lieu la conférence de financement du Partenariat mondial pour l’éducation. C’est le plus grand fonds au monde consacré à l’éducation dans les pays pauvres, et il s’est donné pour objectif de scolariser 88 millions d’enfants supplémentaires sur les cinq prochaines années.

2022 :Xavier Bertrand reçoit le soutien déterminant du président du Sénat

  • 2022 :Xavier Bertrand reçoit le soutien déterminant du président du Sénat
  • Le soutien et le déplacement du président du Sénat dans l’honneur en faveur de Xavier Bertrand constitue sans doute l’onction qui manquait pour rendre la candidature de Xavier Bertrand officielel dans le camp des républicains. Certes le président du Sénat, Gérard Larcher venait soutenir dans le nord le candidat aux élections régionales des hauts de France. Mais cette présence du président du Sénat va bien au-delà, elle apporte ce soutien officiel d’une des principales autorités du parti des républicains en faveur de Xavier Bertrand pour les élections présidentielles de 2022.

Un fonds de soutien aux entreprises de 3 milliards d’euros

Un  fonds de soutien aux entreprises de 3 milliards d’euros

 

 

La France mettra en place un nouveau fonds de 3 milliards d’euros (3,67 milliards de dollars) pour soutenir les moyennes et grandes entreprises à la sortie de la crise des coronavirus, a déclaré mardi le ministre français des Finances Bruno Le Maire.

Le fonds vise à aider les entreprises au cas par cas avec des prêts ou des injections de fonds propres afin que les entreprises qui étaient viables avant la pandémie mais qui ont maintenant des bilans tendus puissent se remettre sur pied.

« Le but n’est pas de diluer les actionnaires, ce n’est pas le rôle de l’Etat de devenir le principal actionnaire des entreprises françaises », a déclaré Le Maire lors d’une conférence de presse.

« Notre objectif est d’assurer la transition de la crise afin que les entreprises puissent rebondir », a déclaré Le Maire.

Le fonds fait partie d’une série de nouvelles mesures qui incluent une restructuration rapide des dettes des petites entreprises et donner aux entreprises plus de temps pour rembourser les arriérés d’impôts et les cotisations salariales.

Les entreprises françaises ont vu leur dette augmenter de 230 milliards d’euros l’année dernière – plus de 10 % du produit intérieur brut – alors qu’elles contractaient massivement des prêts garantis par l’État pour faire face à l’effondrement de leur trésorerie pendant la crise.

Bien que de nombreuses entreprises n’aient finalement pas eu à utiliser l’argent qu’elles avaient emprunté, le ministère souhaite éviter une vague d’insolvabilités.

Entre autres nouvelles mesures, le ministère des Finances utilise des algorithmes sur les données fiscales et salariales pour détecter les entreprises fragiles et les contacter rapidement.

(1 $ = 0,8175 euros)

SONDAGE Macron: 33 % de soutien

SONDAGE Macron: 33 % de soutien 

Après deux mois de baisse, la cote de confiance d’Emmanuel Macron se stabilise à 33 % en mai, selon le baromètre Elabe pour « Les Echos » et Radio Classique.

Quatre ans exactement après son élection, et à un an de la prochaine présidentielle , la confiance envers Emmanuel Macron est largement minoritaire. Mais elle est supérieure de 1 point à celle de Nicolas Sarkozy à la même période de son quinquennat. Et elle est le double de celle de François Hollande….. deux président non réélus !

Emmanuel Macron a vu sa cote de confiance progresser de 8 points en quatre ans chez les 18-24 ans alors qu’elle a baissé de 22 points chez les plus de 65 ans. Sans surprise, il suscite la confiance la plus forte des cadres – 48 %, en baisse de 8 points en quatre ans – alors qu’il a perdu 11 points au sein des professions intermédiaires (34 %) et 14 points chez les ouvriers (23 %). A noter qu’il est resté stable chez les employés, à 30 %.

Covid en Inde : la France va envoyer un « soutien significatif en oxygène »

Covid en Inde : la France va envoyer un « soutien significatif en oxygène »

En Inde, dans  la seule journée de samedi 24 avril, près de 350.000 nouveaux cas ont été recensés, un record mondial, et 2.767 personnes sont mortes.

Le pays manque de tout : lits, oxygène, médicaments… Face à cette situation désastreuse, plusieurs pays occidentaux ont promis d’envoyer de l’aide, dont la France. L’Élysée a annoncé dimanche à l’AFP que la France allait  »apporter dans les prochains jours un soutien significatif en capacités d’oxygène« , par l’envoi de respirateurs, sans donner plus de précisions.

Cette annonce fait suite à celles de l’Allemagne, du Royaume-Uni – qui a envoyé 600 pièces d’équipement médicaux dont des centaines de concentrateurs d’oxygène et des respirateurs – et de l’Union européenne, qui a promis de fournir une « assistance » à l’Inde, via son Mécanisme européen de protection civile.

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