Archive pour le Tag 'soutien'

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Rachida Dati : un soutien à NKM ; pour la plomber ?

Rachida Dati : un soutien à NKM ; pour la plomber ?

« Je l’ai dit à Nathalie. Si on est ensemble, on gagnera Paris. Si on reste divisée nous perdrons. »Invitée de RTL, Rachida Dati a assuré Nathalie Kosciusko-Morizet de son soutien pour les primaires UMP en vue des municipales 2014 dans la capitale. « Je ferai campagne pour elle », a-t-elle expliqué face à Jean-Michel Aphatie. Interrogée sur les raisons de son retrait, annoncé mardi, la maire du VIIe arrondissement a expliqué que NKM avait été choisie par « les médias » et les « apparatchiks » de l’UMP. « Les médias l’ont choisi sans même la moindre présentation d’un projet », avant d’ajouter : « Ils ne se sont pas intéressés au mien ». Pour Rachida Dati, Paris est « gagnable » en 2014, mais sous certaines conditions. Selon elle, la campagne de l’UMP doit démarrer dès maintenant, Anne Hidalgo étant déjà sur le terrain pour le Parti socialiste. « Qu’on désigne NKM, et qu’on aille faire campagne », déclare l’ex-ministre. D’après elle, Nathalie Kosciusko-Morizet doit désormais faire un « geste politique fort », « en allant se présenter, s’implanter dans un arrondissement capital à notre victoire ». L’élue propose le XIIe arrondissement, aux mains du PS depuis 2001. Ce soutien affiché n’a pas empêché Rachida Dati de glisser quelques piques à destination de son ancienne rivale. Questionnée sur l’avenir de NKM en cas de victoire à l’élection municipale de 2014, l’ex-garde des Sceaux a espéré qu’elle ne quitterait pas son fauteuil de maire pour se présenter aux présidentielles. « Si elle est élue, elle ne va quand même pas laisser tomber ses électeurs une deuxième fois », a-t-elle déclaré, en référence au départ de Nathalie Kosciusko-Morizet de Longjumeau, son ancien fief électoral. L’ombre de Nicolas Sarkozy plane-t-elle sur les primaires parisiennes ? « Il ne m’a pas demandé de me retirer », rétorque Rachida Dati. « Lui, n’a jamais trouvé que ces primaires étaient une bonne idée. » Questionné sur l’implication de l’ancien président, elle a expliqué qu’il s’intéressait simplement à la politique, « c’est normal, c’est dans son ADN ». « C’est le meilleur d’entre nous », a-t-elle poursuivi, interrogée sur une possible candidature de l’ancien chef de l’État à l’élection de 2017. Rachida Dati célébrera des mariages homosexuels dans sa mairie du VIIe arrondissement. « Je suis républicaine », a-t-elle affirmé. « Je respecte la loi quand elle est votée », regrettant toutefois que la France soit « divisée et à terre » du fait de l’adoption du projet de loi. Interrogée sur la prestation de Christiane Taubira, en première ligne sur le mariage pour tous, l’ex-garde des Sceaux décrit « une militante, une femme qui a des convictions, du talent ». Elle regrette cependant les « envolées lyriques » de la ministre : « l’Assemblée nationale, c’est pas la Comédie Française », a-t-elle ironisé.

 

Soutien zone euro : un coût de 70 milliards pour la France

Soutien zone euro : un coût de  70 milliards pour la France

 

La France qui est endettée jusqu’au cou (vers les 100% du PIB en 2014) finance le soutien à l’euro et les pays en difficultés à hauteur de 70 milliards. Comment ? par l’emprunt évidemment et en supportant les charges d’intérêt. Autrement dit une politique monétaire très accommodante ou plus vulgairement l’utilisation de la planche à billets qui dévalorise pouvoir d’achat et épargne via l’inflation réelle actuelle et surtout future. Dans le programme de stabilité qui sera débattu demain à l’Assemblée nationale, Bercy évalue précisément l’impact des différents plans qui se sont succédé : aides bilatérales à la Grèce, soutiens à l’Irlande, au Portugal et encore à la Grèce, via le Fonds européen de stabilité financière (FESF), et dotations en capital au nouveau Mécanisme européen de stabilité (MES), dont les premiers déboursements ont eu lieu au bénéfice de l’Espagne et bientôt de Chypre.  Dans le cadre du FESF, la dette des Etats (supportant la garantie du Fonds) est relevée à mesure des émissions du Fonds sur les marchés. Soit, pour la France (qui garantit le FESF à hauteur d’un peu plus de 20 %), une trentaine de milliards d’euros fin 2012, et 38 milliards prévus fin 2013. Dans le cadre du MES, les Etats apportent de substantielles dotations en capital - 16,3 milliards dans le cas de la France -, mais, ensuite, les émissions du MES ne pèseront plus sur les finances publiques nationales (ni sur le déficit ni sur la dette). La France a versé jusque-là 6,5 milliards d’euros en capital. Bercy estime que la même somme sera apportée cette année, avant une dernière tranche versée en 2014.  Au total, les plans européens d’assistance financière ont donc déjà eu un impact sur la dette 2012 de la France de 48 milliards d’euros (près de 2,5 points de PIB), qui monterait à 62,5 milliards fin 2013 avant de culminer à 68,7 milliards fin 2014. Les seuls flux de créances prévus ensuite (à partir de 2015) seraient positifs avec le début des remboursements de l’Irlande et du Portugal au FESF. Si d’autres Etats devaient être soutenus à l’avenir, cela se ferait via le MES, sans impacter davantage la dette française, sauf à ce qu’un Etat fasse défaut.

 

Mesures de soutien à la trésorerie des entreprises, surtout les délais de paiement

Mesures de soutien à la trésorerie des entreprises, surtout les délais de paiement

 

 

Le problème des délais de paiement est au centre des mesures envisagées. Il y aura aussi un déblocage de 500 millions d’euros pour les TPE et les PME par la Banque publique d’investissement, préfinancement du crédit d’impôt compétitivité, amélioration de l’assurance-crédit et de l’affacturage, solutions alternatives de financement et réduction des délais de paiement pour soutenir les entreprises, notamment les PME qui sont les premières créatrices d’emplois. Certaines de ces mesures sont déjà en vigueur. Le ministère du Commerce extérieur a parallèlement annoncé la mise en place d’une enveloppe de 150 millions d’euros « qui sera consacrée à des prises de participations dans des fonds dédiés au soutien des PME qui vont à l’international ». « Je suis à l’écoute de vos préoccupations », a dit Pierre Moscovici lors d’un discours au Salon des entrepreneurs. « Parce que, tout simplement, c’est en répondant à ces préoccupations que nous parviendrons redresser notre économie, à créer des emplois, à rendre confiance à notre pays. » Ces annonces ont été saluées par la CGPME. « Le plan présenté par Pierre Moscovici doit être mis en œuvre rapidement. Il y a urgence », a réagi l’organisation patronale dans un communiqué. Selon Guillaume Cairou, président du Club des entrepreneurs, « notre gouvernement a enfin compris que l’assainissement de la trésorerie des entreprises est un facteur clé pour améliorer sensiblement la compétitivité des entreprises françaises ». « Les délais de paiement sont un levier de compétitivité qui a trop longtemps été sous-estimé. Il en va de la survie de nos entreprises », ajoute-t-il dans un communiqué. Pierre Moscovici s’est donné pour objectif de poursuivre la réduction des délais de paiement de l’Etat pour les faire passer sous 20 jours d’ici 2017. L’Observatoire des délais de  paiement fait état d’une baisse de 35% du délai global de paiement de l’Etat l’an dernier, à 23 jours. Pour réduire les délais de paiement du secteur privé, le gouvernement promet d’augmenter le nombre de contrôles, à 2.000 cette année. Sur les quelque 1.850 entreprises contrôlées l’an dernier, le taux d’anomalie a été de 29%. L’efficacité des sanctions pour ces infractions sera renforcée par la création d’une amende administrative dans la future loi sur la consommation prévue au printemps. Actuellement, une entreprise victime d’un retard de paiement doit poursuivre son client devant un tribunal de commerce.

Le soutien à la taxe à 75% diminue

Le soutien à la taxe à 75% diminue

D’après le sondage de l’Ifop, seules 53% des personnes interrogées souhaitent « que le gouvernement propose un projet de taxe assez similaire tout en tenant compte des remarques du Conseil Constitutionnel car, en période de crise, il est juste que les personnes les plus riches contribuent fortement par leurs impôts au redressement des comptes publics ». En revanche, 47% des sondés attendent que le gouvernement « abandonne ce projet car un niveau d’imposition trop élevé pousse les personnes les plus fortunées et des entrepreneurs à quitter notre pays ». L’Ifop rappelle qu’en septembre, 60% des Français étaient favorables à la taxation à 75%, selon un sondage du même institut pour le quotidien Sud-Ouest.  L’Ifop y voit l’effet de la censure du Conseil constitutionnel et du départ de Gérard Depardieu à l’étranger pour raisons fiscales. L’institut note que cette promesse de François Hollande est particulièrement clivante puisque 81% des sympathisants PS s’y disent favorables, alors que 84% des partisans de l’UMP font part de leur hostilité. Les sympathisants du Front national apparaissent divisés sur cette question: 44% sont en faveur d’un nouveau projet de loi contre 56% qui penchent pour un abandon.

 

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