Archive pour le Tag 'soutenu'

Effet boomerang pour les patrons de la tech qui ont soutenu Trump

Effet boomerang pour les patrons de la tech qui ont soutenu Trump


Avec le chaos douanier, le pari sur le président américain fait par Tesla, Meta, Apple, Amazon ou Google pourrait se révéler moins payant économiquement que prévu, explique Alexandre Piquard, dans sa chronique dans Le Monde

Sur le papier, le ralliement à Donald Trump des géants américains du numérique promettait, au-delà des débats politiques et éthiques, d’être un pari gagnant économiquement, dans une logique pragmatique – voire cynique. Le nouveau président américain pouvait apporter des avantages à Meta, Amazon, Google, Apple ou aux entreprises d’Elon Musk, X, xAI et SpaceX : dérégulation de l’intelligence artificielle (IA), implantation des data centers facilitée, obtention de contrats fédéraux.

Il pouvait aussi éloigner la menace des procès en cours pour atteintes à la concurrence aux Etats-Unis ou celle des sanctions de l’Union européenne (UE). Mais, vu les options parfois imprévisibles prises par Donald Trump, les patrons de la tech Elon Musk, Mark Zuckerberg, Jeff Bezos, Sundar Pichai ou Tim Cook risquent aussi l’effet boomerang.

Les barrières douanières massives imposées par Donald Trump en début de semaine ont fait dévisser sévèrement les cours des actions des géants du numérique, avant que, mercredi, sa volte-face (sauf sur la Chine) les fasse rebondir : Tesla a perdu jusqu’à 41 % de sa capitalisation depuis le 1er janvier, notamment en raison de la politisation de l’image d’Elon Musk, avant de revenir à -28 %. Apple a cédé 29 % puis 18,5 %, car le prix de revient des iPhone, assemblés à environ 90 % en Chine, pourrait grimper d’environ 30 %, voire davantage, avec le passage des droits de douane à plus de 100 %… Amazon, qui vend des produits fabriqués en Chine, a perdu 22,5 %, ramenés mercredi à 13 %, en 2025. Meta a, lui, reculé de 15 % avant de se rétablir à -2,25 % et Google de 23 % puis finalement de 16 %, notamment car le coup de froid économique risque de se répercuter sur la publicité en ligne.

Autre signal négatif pour ces grands acteurs : l’autorité de la concurrence, la Federal Trade Commission, semble vouloir maintenir les poursuites engagées contre eux pour abus de position..

Zelinsky ridiculisé et Humilié par Trump mais soutenu par l’Europe et ailleurs

Zelinsky ridiculisé et Humilié par Trump mais soutenu en France

 

Globalement la classe politique française apporte son soutien à zelinskyqui a véritablement été ridiculisé et humilié en public par un TRUMP reprenant la totalité des positions de Poutine.( (Extrait du journal le Figaro)

 Bon nombre de responsables politiques français se sont indignés vendredi de l’altercation entre Donald Trump et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky à la Maison-Blanche, et ont appelé l’Europe à faire bloc avec l’Ukraine.
Le premier ministre, François Bayrou, a jugé que le président ukrainien «était l’honneur de l’Europe» en «refusant de plier» devant son homologue américain. «Il nous reste à décider ce que nous, Européens, voulons être. Et si nous voulons être, tout court», a écrit le maire de Pau. «L’Ukraine n’a pas été battue. Elle est trahie», a réagi Édouard Philippe sur le réseau social X, estimant que l’exécutif américain était «en train d’humilier tout un peuple»«La France et l’Europe doivent être aux côtés de l’Ukraine, c’est notre avenir qui est en jeu», a-t-il poursuivi.

François Hollande a lui qualifié la scène à la Maison-Blanche de «scène obscène de télé-réalité» et déclaré que la France et l’Europe devaient «décider au plus vite un nouveau plan d’aide pour l’Ukraine»«Si Donald Trump, dans le Bureau ovale, parlait, c’est Vladimir Poutine qui était son souffleur», a-t-il taclé. Son ancien premier ministre, Bernard Cazeneuve, a constaté que Zelensky a trouvé «l’invective et les vérités alternatives, l’abandon et la trahison» dans le bureau ovale. Les Américains devraient «avoir honte» ce soir, a écrit en anglais l’eurodéputé Raphaël Glucksmann, appelant dans un second message les Européens à «assumer seuls notre sécurité et l’aide à la résistance ukrainienne».

Les responsables de nombreux partis politiques français ont également rapidement réagi. «Ce soir, les États-Unis ont perdu le droit de se revendiquer comme les leaders du monde libre», a déclaré Gabriel Attal, secrétaire général du parti présidentiel Renaissance et ex-premier ministre. «Ce soir, ce rôle nous revient à nous, Européens.» «Ce qui se joue, c’est la défense du droit international, de la paix et de la liberté», a considéré la ministre de l’Éducation nationale Elisabeth Borne.

. La patronne des Écologistes Marine Tondelier a jugé que Donald Trump et son vice-président s’étaient comportés «avec Zelensky comme des brutes à la solde de Poutine»«L’Europe doit se réveiller: elle est seule», a-t-elle ajouté.

«En humiliant Zelensky, Trump prouve qu’il n’a rien à faire du soi-disant accord avec Macron», a pour sa part écrit le leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon. «Les Européens découvrent comment les USA traitent l’Amérique du Sud et ses dirigeants depuis un siècle. Les atlantistes européens sont les coupables d’une capitulation sans condition sans issue!» Le secrétaire national du PCF Fabien Roussel s’est dit choqué par la «violence» de l’échange dans le Bureau ovale. «Le président américain se fiche de la paix et montre son vrai visage, celui d’un oligarque prêt à soumettre le monde aux appétits financiers des plus riches américains», a ajouté le maire communiste de Saint-Amand-les-Eaux.

À droite, le patron des députés Les Républicains Laurent Wauquiez a lui aussi estimé qu’il était «urgent que l’Europe se réveille». Valérie Pécresse, président de la région Île-de-France, avance que «le président Trump ne réussira pas à instaurer une paix durable en humiliant l’Ukraine et en oubliant qu’elle ne fait que se défendre contre l’impérialisme de Poutine»«Aujourd’hui, la Maison-Blanche a parlé comme le Kremlin», a-t-elle martelé.

 

La pause proposée par Laurent Berger (CFDT) soutenue par 78 % des Français

La pause proposée par Laurent Berger (CFDT) soutenu par 78 % des Français

Tandis que la popularité du président de la république et du gouvernement ne cesse de s’écrouler, par contre la proposition de pause de Laurent Berger est soutenu par 78 % des Français.

La proposition de «médiation», formulée par le patron de la CFDT Laurent Berger et présentée comme une «voie de sortie» – mais refusée pour l’heure par l’exécutif – rencontre également un avis favorable. Le fait de «mettre sur pause» la réforme le temps d’un dialogue est approuvé par 78% des Français, y compris au sein des Républicains (68%), et de Renaissance dans une moindre mesure (42%).

Dans ce contexte, les Français attendent du président un geste. Celui du changement, notamment de sa première ministre, voire du Parlement tout entier. Un remaniement sans changement de chef de gouvernement est ainsi peu plébiscité (22%), tandis qu’un remplacement d’Élisabeth Borne est davantage encouragé (61%). Plus radicale encore, une dissolution de l’Assemblée nationale apparaît comme une bonne idée pour 58% des sondés. Notamment les plus opposés à la réforme se trouvant du côté de La France insoumise (76%) et du Rassemblement national (72%). Soit les deux partis rivalisant depuis des semaines pour occuper le rôle de premier opposant à Emmanuel Macron, et ainsi tirer profit de l’impasse dans laquelle se trouve l’exécutif.

Coronavirus : L’inutile remdesivir, soutenu par des experts français a déjà rapporté près de 900 millions de dollars à Gilead

Coronavirus : L’inutile remdesivir, soutenu par des experts français a déjà rapporté près de 900 millions de dollars à Gilead

 

Le remdesivir , commercialisé par l’Américain Gilead, a permis au laboratoire américain d’engranger près d’un milliard de bénéfices supplémentaires. Un médicament qui vient d’être condamné quant à son efficacité par l’organisation mondiale de la santé. Un remède qui a longtemps été opposé à l’Hydrochloroquine du professeur Raoult.

Une  opposition scientifique mais aussi économique. Au plan scientifique il a été démontré que le remdesivir n’était nullement pertinent comme traitement. La polémique continue aussi à propos de l’Hydrochloroquine condamné par nombre d’experts français qui entretiennent des liens sulfureux pour leur labo ou pour eux-mêmes avec la société américaine. Notons que le traitement par remdesivir va dépasser les 1000 € quand l’Hydro chloroquine ne coûte que quelques euros !

Par parenthèse la quinine est utilisée ( nivaquine et autres) depuis fort longtemps en Afrique notamment pour lutter contre le palu. Curieusement , le continent africain est la zone qui était la moins touchée par le Coronavirus. Une étude de la corrélation mériterait d’être engagée avant de condamner comme l’ont fait les experts français la chloroquine et le trop  provincial professeur Raoult.

Le pire c’est qu’à la faveur des ventes de ce produit, initialement développé en vain contre la fièvre hémorragique Ebola, le groupe a vu son chiffre d’affaires trimestriel augmenter au total de 17% à 6,58 milliards de dollars. Gilead est aussi redevenu rentable sur la période, en dégageant un bénéfice net de 360 millions de dollars. Le remdesivir, dont le nom commercial est Veklury, n’a pas été prouvé qu’il réduisait la mortalité. Pourtant les autorités européennes et françaises autorisent l’utilisation du remdesivir tandis qu’ils interdisent celle de l’Hydro chloroquine.

Julian Assange, le lanceur d’alerte emprisonné soutenu par 117 médecins

Julian Assange, le lanceur d’alerte emprisonné soutenu par 117 médecins

Un groupe de 117 médecins proteste avec véhémence contre l’attitude de la Grande-Bretagne qui maintient le lanceur d’alerte Julian Assange en prison alors qu’il n’est responsable que d’avoir dénoncé le scandale de certaines activités de l’armée américaine en Afghanistan et en Irak. Cela fait maintenant environ huit ans que l’intéressé est prisonnier. Il   reçu le soutien d’un groupe de 117 médecins qui dénoncent la «torture psychologique» infligée au fondateur de Wikileaks, menacé d’extradition vers les Etats-Unis qui l’accusent d’espionnage, ainsi que de Reporters sans frontières (RSF).

Julian Assange a publié plusieurs millions de documents confidentiels relatifs aux modes opératoires de l’armée américaine en Irak sur le site WikiLeaks. Il a également dénoncé les circuits de corruption de dictateurs africains ou de certaines compagnies russes offshore. Dans une lettre publiée dans la revue médicale britannique The Lancet, un groupe de médecins de 18 pays accuse le gouvernement britannique de porter atteinte au droit fondamental de Julian Assange d’accéder aux soins, une semaine avant l’examen par la justice britannique de la demande d’extradition de cet Australien de 48 ans, détenu à la prison de haute sécurité de Belmarsh.

 «Si Assange venait à mourir dans une prison britannique», comme l’a averti le rapporteur spécial de l’Onu sur la torture Nils Melzner, en novembre, «il aura effectivement été torturé jusqu’à la mort», estiment les signataires. Depuis que Julian Assange a été examiné par un praticien en 2015 à l’ambassade d’Equateur à Londres où il avait trouvé refuge trois ans plus tôt, les recommandations des médecins ont été «constamment ignorées», ajoutent-ils. Ils dénoncent une «politisation des principes fondamentaux de la médecine, dont les implications dépassent le cas de Julian Assange»«Nous demandons aux gouvernements de mettre fin à la torture de M. Assange et de lui assurer l’accès aux meilleurs soins, avant qu’il ne soit trop tard», concluent-ils.

Les autorités américaines lui reprochent d’avoir mis en danger certaines de leurs sources au moment de la publication en 2010 de 250.000 câbles diplomatiques et d’environ 500.000 documents confidentiels portant sur les activités de l’armée américaine en Irak et en Afghanistan.

Sondage gilets jaunes : un mouvement de plus en plus soutenu

Sondage gilets jaunes : un mouvement de plus en plus soutenu

 

En dépit des menaces de Castaner, ancien proche du grand banditisme, aujourd’hui ministre de l’intérieur qui n’a cessé de dramatiser et de caricaturer, le mouvement des gilets jaunes demeure de plus en plus  soutenu par l’opinion publique. Selon un sondage Odoxa pour Le Figaro et Franceinfo, réalisé les 21 et 22 novembre sur un échantillon de plus de mille personnes, près de 8 Français sur 10 (77 %) trouvent l’appel à bloquer la capitale, ce samedi, légitime. Soit trois points de plus qu’ils ne l’étaient samedi dernier. Preuve de l’échec de la récente stratégie de diabolisation du mouvement adoptée par le gouvernement, 62 % des sondés refusent de qualifier les «gilets jaunes» de «violents». Une grande majorité préférant les caractériser comme «populaires» (81 %), «courageux» (77 %), engagés dans «une lutte pour l’intérêt général» (78 %). Si les modes d’action à venir font débat dans les rangs du mouvement, deux Français sur trois (66 %) appellent à ce que la mobilisation se poursuive, catégories populaires en tête (78 %). Et ce, même s’ils sont une majorité à relativiser leur efficacité. 56 % des sondés expriment ainsi des doutes quant à la capacité des «gilets jaunes» d’arracher de nouvelles concessions au gouvernement, susceptible de produire de réels effets sur le pouvoir d’achat.

 

Le mythe « traverser la rue » soutenu par Alain Minc

Le mythe « traverser la rue » soutenu par Alain Minc

 

 

Pour défendre Macron, Alain Minc, reprend et soutient le mythe « Traverser la rue » pour résoudre la crise de l’emploi. Homme de salon par excellence et très influent dans les milieux politico-financiers Alain Minc caricature le débat.

 

«Evidemment, cela donne le sentiment d’un côté d’un peu de dureté à l’égard de ce garçon (à qui Emmanuel Macron s’adressait, NDLR) mais de l’autre, maintenant les Français savent qu’il y a un nombre très élevé d’emplois non pourvus. Il a fait plus pour diffuser cette vérité avec cette phrase malencontreuse qu’en expliquant de manière sagace qu’il y a des centaines de milliers d’emplois non satisfaits».Alain n’a pas peur de signaler qu’il existe des emplois non pourvus. Mais ces emplois de l’ordre de 300 000 ne sauraient résoudre la crise du chômage.  Des emplois non pourvus temporairement  liés à des départs en retraite, à des restructurations, à des développements de marché. Conjoncturelle ment il existera toujours certains emplois n’en immédiatement pourvu. Il y a aussi des emplois qui structurellement ne trouvent pas preneur du fait de l’inadéquation de la formation aux besoins de l’économie aussi à la réticence de certaines familles vis-à-vis de certains métiers notamment Manuel. Non il ne suffit pas de traverser la rue, la problématique du chômage est plus complexe que ne l’indique Macon à la main. . Comment peut-on se permettre de dire un jeune chômeur horticulteur qu’il suffit de traverser la rue pour trouver un emploi dans l’hôtellerie ou la restauration voire le bâtiment. Comme si du jour au lendemain un horticulteur pouvait se transformer en maçon, en cuisinier ou en garçon de restaurant. Encore une fois la réalité est plus complexe. Il y a plus de 5 millions de chômeurs pour autour de 200 à 300 000  vacants. Le compte n’est pas équilibré. Ensuite il y a les facteurs explicatifs plus qualitatifs, on ne passe pas d’une formation d’horticulteur à une formation à un emploi de restauration sans une formation. Il convient aussi de prendre en compte les conditions de travail qui expliquent largement les difficultés de recrutement. Parfois les conditions salariales également insuffisamment incitatives pour une réinsertion. Exemple quand on propose des CDD de 25 heures à des mères de famille seule pour des salaires de 700 à 800 € et qu’on doit forcément amputer des frais de déplacement et d la réduction des autres prestations familiales. Autant dans ces conditions rester au RSA et bénéficier de toutes les prestations sociales.  Malheureusement Macron est coutumier de ces sortes de sorties condescendantes. Pas étonnant dans son entourage de bourgeois-ou celui d’Alain Minc-, on doit compter peu de personnes qui gagnent autour de 1000 € nets même après formation et reconversion.

Refus d’aller au sénat, Benalla soutenu par le gouvernement !

Refus d’aller au sénat, Benalla soutenu par le gouvernement !

 

Comme par hasard toute la journée d’hier, des membres du gouvernement ont soutenu le refus de Benalla de se présenter devant la commission du Sénat. Cela avec la même argumentation que l’avocat de Benalla qui considérait qu’il y avait double emploi entre l’enquête judiciaire et l’enquête parlementaire. On se demande bien pourquoi Benalla  la bénéficie d’un tel soutien des membres du gouvernement alors que l’enquête judiciaire porte sur des faits délictueux susceptibles de condamnation. La commission parlementaire du Sénat elle vise les défaillances du fonctionnement de l’État et non la responsabilité pénale ou civile de Benalla. Le gouvernement n’a pas à s’en mêler. Pourtant,  Benjamin Griveaux, le porte-parole du gouvernement qui considérait, mardi soir sur RTL, que Benalla n’a « pas à rendre compte à une commission parlementaire », ou Nicole Belloubet, ministre de la Justice, qui vient rappeler qu’il « ne doit pas à y avoir d’interférence entre les enquêtes »,

 

Sondage : Macron soutenu par les Français pour ses priorités

Sondage : Macron soutenu par les Français pour ses priorités

Selon  un sondage Odoxa-Guibor réalisé pour « Les Echos » et Radio Classique les premières mesures qu’envisage Macron sont largement soutenues par l’opinion. La  lutte contre le terrorisme est-  plébiscitée par 88 % des personnes interrogées. Même quasi unanimité pour la loi de simplification des normes administratives imposées aux entreprises qu’Emmanuel Macron a décidé de faire voter dès cet été. Sur l’ensemble des personnes sondées, 81 % y sont favorables. Il faut dire qu’il s’agit de mesures plutôt ­consensuelles, défendues pendant cette campagne présidentielle par la très grande majorité des candidats. De même, la moralisation de la vie politique est soutenue par 81 % des Français, signe d’une attente forte de l’opinion en la matière. L’inversion des normes recueille 62%, seul le nouveau barème des prud’hommes, est pas soutenu par uen majorité (seulement 42%). La  réforme importante de ce début de quinquennat sera l’inversion de la hiérarchie des normes. Il s’agit d’une mesure beaucoup plus clivante, puisqu’elle consiste à donner plus de place aux accords sociaux dans l’entreprise ou la branche qu’aux accords signés au niveau interprofessionnel et national. C’est l’une des mesures phares de la loi El Khomri qu’Emmanuel Macron veut amplifier. Vu les manifestations de contestation qu’avait déclenchées le vote de cette loi, on aurait pu imaginer que les Français ne s’y rangent pas facilement. Il n’en est rien, puisque 62 % d’entre eux soutiennent cette réforme. Une réserve toutefois : 54 % de Français estiment que Macron  ne mènera pas ces réformes à leur terme.

Qatar Airways soutenu par l’Etat comme ….Air France

 

 

 

Le patron de Qatar Airways  se défend d’être davantage soutenu par son gouvernement qu’Air France par le sien. Dans une interview à la Tribune, il note que la compagnie nationale française bénéficie du soutien de l’Etat français. En creux,  il faut voir les anciennes aides financières et surtout l’attribution de créneaux horaires (droit d’exploiter) qui sont limitées pour Qatar Airways   mais qu’on a quand même augmentés ne serait-ce que pour vendre des Airbus au Qatar !

 

A l’exception de Nice et Lyon que Qatar Airways est autorisée à desservir 5 fois par semaine, vous n’avez pas de droits de trafic supplémentaires en France. Allez-vous demander plus de vols ?

Nous attendons de commencer les vols sur ces deux lignes pour demander des vols supplémentaires afin de pouvoir desservir Nice et Lyon en vol quotidien. Nous n’avons donc pas encore commencé à négocier. Nous devons également attendre l’issue des négociations entre l’Union européenne et les pays membres du conseil de coopération du Golfe et l’ASEAN (association des pays d’Asie du sud-est) et la Turquie. Des négociations entre l’Union européenne et le Qatar ont commencé en septembre. Une deuxième réunion de discussions est prévue en février.

Que pensez-vous de cette demande de l’Union européenne de vouloir négocier un accord de « fair competition » ?

Mon opinion est que nous sommes injustement la cible de deux pays en particulier, la France et l’Allemagne, qui font l’objet d’un très fort lobby de leur compagnie aérienne (Air France et Lufthansa, ndlr), lesquelles ne veulent pas de concurrence sur leur marché. Ce qui est inacceptable pour nous, c’est d’avoir un traitement différent de la part de pays qui ont la même situation que la nôtre. Les compagnies appartiennent aux Etats. Et ces deux compagnies font valoir que nous les concurrençons sur des bases inéquitables. Je ne suis pas d’accord. Pourquoi ces bases sont inéquitables? Parce que nous avons un meilleur produit, un meilleur réseau, un aéroport ouvert 24 h sur 24? Ces avantages ne viennent pas d’un traitement de faveur, mais de la façon dont nous gérons les affaires.

Vos détracteurs dénoncent les subventions dont vous bénéficiez de l’Etat-actionnaire ?

C’est faux, on le prouve en publiant nos comptes. Oui, le gouvernement du Qatar nous détient et, à ce titre, a le droit de capitaliser la compagnie de la même manière que ce qu’ont fait tout au long des sept dernières décennies les gouvernements français et allemand, en mettant du cash dans leur compagnie jusqu’à leur privatisation. Nous serons nous aussi privatisés quand nous serons en position de force.

J’ai une question. Si Air France rencontrait des difficultés financières au point de sombrer, pensez-vous que le gouvernement français, qui détient près de 16% du capital du groupe, ne mettrait pas du cash dans la compagnie? Bien sûr que si, car Air France est un gros employeur et un acteur important de l’économie française. Est-ce que cela serait une subvention ? Non, ce serait une augmentation de capital (« equity, no subsidies »). Nous sommes dans la même situation. Quand votre ministre des transports dit regarder des réductions de taxes pour Air France, de quoi parle-t-on ? D’une subvention directe, car vous changez votre régime de taxes pour soutenir une compagnie.

Vous venez d’évoquer une éventuelle privatisation, une ouverture du capital est-elle envisagée ?

D’ici à 10 ans, le capital de Qatar Airways sera mis en Bourse. C’était prévu en 2009, mais il y a eu la crise de 2008. Aujourd’hui, la compagnie vaut plus de 10

« La politique occidentale a soutenu les terroristes  » (Bachar al-Assad)

« La politique occidentale a soutenu les terroristes  » (Bachar al-Assad)

Bachar al-Assad n’a sans doute pas le profil du démocrate idéal, c’est même clairement un dictateur qui ne s’est pas privé de faire couler le sang de ses compatriotes. Pour autant l’actuel dirigeant de la Syrie n’a pas tort  de considérer que la naissance de l’État islamique est bien antérieure au conflit syrien. Effectivement l’aide apportée par les pays occidentaux aux rebelles d’obédience islamiste a largement contribué à l’émergence de l’État islamique tout autant que l’intervention directe en Irak qui a permis à l’EI de s’enraciner puis de se  développer. Le président syrien Bachar al-Assad a donc  déclaré mercredi que son pays dévasté par la guerre n’était pas un terreau pour le groupe Etat islamique (EI) et reproche encore à l’Occident d’être responsable de la naissance de l’organisation djihadiste. « Je peux vous dire que Daech (acronyme arabe de l’EI) ne dispose pas d’un incubateur naturel, d’un incubateur social à l’intérieur de la Syrie », a affirmé M. Assad lors d’une interview avec la chaîne de télévision nationale italienne Rai. Il a insisté sur le fait que les djihadistes entraînés en Syrie pour commettre des attentats à Paris et ailleurs en sont capables grâce au « soutien des Turcs, des Saoudiens et des Qataris, et bien sûr à la politique occidentale qui a soutenu les terroristes de différentes manières ». L’EI « n’a pas démarré en Syrie. Il a débuté en Irak et avant, en Afghanistan », a dit Bachar al-Assad, en s’appuyant sur une citation de l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair selon laquelle « la guerre en Irak a contribué à créer l’EI ». « Son aveu constitue la preuve la plus significative », a affirmé le président syrien. Une déclaration pertinente mais qui n’enlève rien à la responsabilité des crimes commis par Assad lui-même.

 

Kerviel, le bouc émissaire soutenu par les Français

Kerviel, le bouc émissaire  soutenu par les Français

 

 

Un  sondage démontre que plus de la moitié des Français (53%) ont une bonne image de l’extrader de la Société Générale . sans doute pas vraiment un soutien mais l’expression du sentiment que Kerviel n’a été qu’un bouc émissaire dans cette affaire. A noter qu’il a été le seul condamné, aucun responsable de la Société générale ou des autres banques qui ont perdu de l’argent dans les mêmes conditions n’ont été inquietés.  Grâce sans doute à’ » l’indépendance de la justice » implacable pour les voleurs de poules mais tolérante vis  à vis des grosse magouilles financières. Dernier exemple en date, dans affaire Bettencourt, Banier condamné à un an réel de prison pour des dizaines de millions détournés. Ne parlons pas de l’affaire Tapie ! Dans cette affaire Kerviel,  la justice s’est une   nouvelle fois complètement discréditée non seulement en ne jugeant pas de manière équitable mais en magouillant les rapports de police. de prison .   Sept ans après l’affaire Kerviel, de nouvelles révélations ont fait renaître le soupçon sur l’éventuelle connaissance par la Société Générale des agissements de l’ex-trader, qui ont placé la banque française au bord du gouffre début 2008. La commandante de police qui avait dirigé l’enquête sur la perte de 4,9 milliards d’euros déclarée en janvier 2008 par le groupe a déclaré récemment à un juge qu’une partie de la hiérarchie de la Société générale « ne pouvait ignorer » les engagements colossaux pris sur les marchés par Jérôme Kerviel, selon Mediapart. Mercredi, six parlementaires de tous bords ont demandé ensemble à la ministre de la Justice Christiane Taubira de faire une demande de révision du procès Kerviel. Les Français sont 78% à estimer que les banques françaises n’ont pas tiré les leçons de l’affaire Kerviel et qu’une telle affaire aurait autant de chances de se produire aujourd’hui, souligne le sondage. Un nouveau procès au civil est prévu du 20 au 22 janvier 2016

 

Sondage 2017 : Nicolas Sarkozy peu soutenu par les députés UMP

Sondage 2017 : Nicolas Sarkozy  peu soutenu par les députés UMP

 

Nicolas Sarkozy  peine décidément à s’imposer de manière indiscutable à l’UMP même chez les députés. Certes il est en tête chez ces députés, mais son avance sur les autres candidats à la présidence de l’UMP est loin d’être massive. En cause la crainte que les affaires plombent un jour Sarkozy et par ricochet l’UMP ; aussi le faiat que les députés ne sont pas convaincus par le flou du programme de Sarkozy qui aura auusi à justifier d’un bilan très mitigé pour la période 2007-2012. .  Enfin  Les contestations contre l’ex-chef de l’Etat se sont multipliées dans les derniers jours, depuis qu’il a évoqué publiquement son souhait d’abroger la loi Taubira sur le mariage homosexuel.  Europe 1 a posé les quatre questions suivantes à chaque député UMP : « Avez-vous parrainé un candidat à la présidence de l’UMP ? A défaut lequel à votre soutien ? » ; « Etes-vous favorable à un changement de nom du parti ? » ; « Êtes-vous favorable à une primaire ouverte pour choisir le candidat de votre famille à l’élection présidentielle ? » et « Qui est votre favori pour représenter la droite en 2017? ». L’idée d’une primaire ouverte à tous est réclamée par 83% des députés interrogés. Soutenu par 43,8% des députés pour la présidence de l’UMP, Nicolas Sarkozy arrive en tête devant Bruno Le Maire (24,5%), et Hervé Mariton (13,5%). Sur la question de l’élection présidentielle, 25,7% des députés UMP affirment soutenir Nicolas Sarkozy, et 15,8% lui préfèrent François Fillon. Avec 10%, Alain Juppé se trouve seulement en troisième position.  Enfin sur un changement de nom de l’UMP, les élus interrogés répondent « non » à près de 50%.

 




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