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Dissolution des écolos violents de «Soulèvements de la terre»

Dissolution des écolos violents de «Soulèvements de la terre»

Si la cause écologiste est indiscutable malheureusement elle n’est guère servie par des organisations davantage préoccupées de politique que d’environnement. C’est vrai pour Europe écologie les Verts qui progressivement glisse vers le gauchisme sociétal en même temps que le ridicule ( quand il propose par exemple de supprimer les fêtes légales d’origine religieuse, l’arbre de Noël ou tout simplement la croissance!).

D’une certaine manière, ce sont les alliés objectifs des productivistes libéraux qui démontrent qui discréditent par l’outrance et l’absurde la légitimité de la cause environnementale. Et parmi ces écolos, il y a maintenant ce collectif « les soulèvements de la terre qui font de la violence leur principal objectif bien avant toute préoccupation écologique .

Mais les jours du collectif Les Soulèvements de la Terre (SLT) sont désormais comptés. Ce mercredi, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a présenté en Conseil des ministres le décret de dissolution de ce mouvement écologiste, tenu pour responsable de diverses manifestations violentes survenues ces derniers mois en France.

En réponse à une question du député Renaissance, Thomas Rudigoz, qui dénonçait les nouveaux débordements ayant émaillé le rassemblement contre la liaison ferroviaire Lyon-Turin le week-end dernier, le ministre de l’Intérieur a déclaré «qu’aucune cause ne justifie qu’on blesse des policiers et des gendarmes».

Cela fait déjà deux mois que Gérald Darmanin attend ce décret. Dans la foulée de la mobilisation contre les mégabassines à Sainte-Soline (Deux-Sèvres), orchestrée par Les Soulèvements de la Terre et qui avait dégénéré le 25 mars dernier, le ministre avait annoncé une sanction contre «SLT». La procédure contradictoire de dissolution avait été rapidement engagée.

Le dossier qui justifie cette mesure avait été constitué et transmis à l’organisation visée. Répondant aux attaques, cette dernière avait adressé dans les dix jours au ministère de l’Intérieur dix pages de contre-arguments. Bien qu’enclenchée rapidement, la procédure avait été interrompue.

Le blocage venait de Matignon. Tenue de mettre à l’ordre du jour du Conseil des ministres la dissolution des Soulèvements de la Terre, Élisabeth Borne a tardé à le faire. De source proche de ce dossier, on avait indiqué que la Première ministre rechignait à prendre cette mesure.

Le blocage est donc désormais bien levé. Le sort de «SLT» figurant sur la liste des sujets abordés en Conseil des ministres ce mercredi, Gérald Darmanin va, au cours de cette réunion, présenter le décret. Ce dernier pourrait être aussitôt publié au Journal officiel. Réagissant à cette annonce, les responsables des Soulèvements de la Terre ont dénoncé une «dissolution très politique et particulièrement inquiétante».

En parallèle de cette décision politique, la justice s’est également emparé du dossier. Hasard du calendrier, quatorze personnes ont été placées en garde à vue ce mardi dans le cadre d’une enquête portant sur l’action violente survenue en décembre dernier dans les Bouches-du-Rhône et visant une cimenterie du groupe Lafarge. Plusieurs militants écologistes s’étaient introduits par effraction dans l’usine de La Malle qu’ils avaient saccagée. L’action avait été soutenue par les Soulèvements de la Terre.

Dans une note émanant des services de renseignements, «STL» est décrit comme une structure dangereuse qui normalise la violence. Bien que récente, l’organisation «joue un rôle majeur dans la conception, la diffusion et l’acceptation de modes opératoires violents, favorisant et valorisant ainsi le processus de radicalisation d’une partie de la mouvance écologiste et d’ultragauche», peut-on notamment lire dans ce document.

Vers la dissolution des écolos violents de «Soulèvements de la terre»

Vers la dissolution des écolos violents de «Soulèvements de la terre»

Si la cause écologiste est indiscutable malheureusement elle n’est guère servie par des organisations davantage préoccupées de politique que d’environnement. C’est vrai pour Europe écologie les Verts qui progressivement glisse vers le gauchisme sociétal en même temps que le ridicule ( quand il propose par exemple de supprimer les fêtes légales d’origine religieuse, l’arbre de Noël ou tout simplement la croissance!).

D’une certaine manière, ce sont les alliés objectifs des productivistes libéraux qui démontrent qui discréditent par l’outrance et l’absurde la légitimité de la cause environnementale. Et parmi ces écolos, il y a ne maintenant cecollectif « les soulèvements de la terre qui font de la violence leur principal objectif bien avant toute préoccupation écologique .

Mais les jours du collectif Les Soulèvements de la Terre (SLT) sont désormais comptés. Ce mercredi, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, va présenter en Conseil des ministres le décret de dissolution de ce mouvement écologiste, tenu pour responsable de diverses manifestations violentes survenues ces derniers mois en France.

En réponse ce mardi à une question du député Renaissance, Thomas Rudigoz, qui dénonçait les nouveaux débordements ayant émaillé le rassemblement contre la liaison ferroviaire Lyon-Turin le week-end dernier, le ministre de l’Intérieur a déclaré «qu’aucune cause ne justifie qu’on blesse des policiers et des gendarmes».

Cela fait déjà deux mois que Gérald Darmanin attend ce décret. Dans la foulée de la mobilisation contre les mégabassines à Sainte-Soline (Deux-Sèvres), orchestrée par Les Soulèvements de la Terre et qui avait dégénéré le 25 mars dernier, le ministre avait annoncé une sanction contre «SLT». La procédure contradictoire de dissolution avait été rapidement engagée.

Le dossier qui justifie cette mesure avait été constitué et transmis à l’organisation visée. Répondant aux attaques, cette dernière avait adressé dans les dix jours au ministère de l’Intérieur dix pages de contre-arguments. Bien qu’enclenchée rapidement, la procédure avait été interrompue.

Le blocage venait de Matignon. Tenue de mettre à l’ordre du jour du Conseil des ministres la dissolution des Soulèvements de la Terre, Élisabeth Borne a tardé à le faire. De source proche de ce dossier, on avait indiqué que la Première ministre rechignait à prendre cette mesure.

Le blocage est donc désormais bien levé. Le sort de «SLT» figurant sur la liste des sujets abordés en Conseil des ministres ce mercredi, Gérald Darmanin va, au cours de cette réunion, présenter le décret. Ce dernier pourrait être aussitôt publié au Journal officiel. Réagissant à cette annonce, les responsables des Soulèvements de la Terre ont dénoncé une «dissolution très politique et particulièrement inquiétante».

En parallèle de cette décision politique, la justice s’est également emparé du dossier. Hasard du calendrier, quatorze personnes ont été placées en garde à vue ce mardi dans le cadre d’une enquête portant sur l’action violente survenue en décembre dernier dans les Bouches-du-Rhône et visant une cimenterie du groupe Lafarge. Plusieurs militants écologistes s’étaient introduits par effraction dans l’usine de La Malle qu’ils avaient saccagée. L’action avait été soutenue par les Soulèvements de la Terre.

Dans une note émanant des services de renseignements, «STL» est décrit comme une structure dangereuse qui normalise la violence. Bien que récente, l’organisation «joue un rôle majeur dans la conception, la diffusion et l’acceptation de modes opératoires violents, favorisant et valorisant ainsi le processus de radicalisation d’une partie de la mouvance écologiste et d’ultragauche», peut-on notamment lire dans ce document.

Vers une ère de soulèvements ?

Vers une ère de soulèvements ?

Comment un mouvement majoritaire et légitimement démocratique peut-il faire plier l’intransigeance néo-libérale d’un gouvernement ? Telle est la question d’actualité en France. Si les situations d’émeutes et d’affrontements civils locaux se multiplient, parfois, sans crier gare, l’étincelle met le feu au pays… ou à plusieurs. L’émeute devient soulèvement comme en France en 2005, en Grèce en 2008, en Tunisie en 2010, aux États-Unis en 2020, en Iran en 2022, la mort d’un jeune, d’un homme noir, d’une femme assassinées par le pouvoir est le levier de l’embrasement.

Par Alain Bertho, Université Paris 8 – Vincennes Saint-Denis dans the Conversation

Comment un mouvement majoritaire et légitimement démocratique peut-il faire plier l’intransigeance néo-libérale d’un gouvernement ? Telle est la question d’actualité en France.

Elle résume sans doute l’enjeu mondial d’un XXIe siècle déjà marqué par des vagues d’émeutes et de soulèvements d’une ampleur et d’une densité rare.

Une récente étude américaine montre qu’au XXe siècle les résistances civiles non violentes ont été plus efficaces que les luttes armées. Mais l’étude s’arrête en 2006 et dans un entretien au Monde en décembre 2022, la politologue américaine Maria J. Stephan, une des deux autrices, admet que cette efficacité est en net déclin depuis une décennie.

Une rupture est intervenue au début du siècle dans l’interlocution politique entre les peuples et les pouvoirs, cassant le pacte politique et démocratique implicite selon lequel le cratos (le pouvoir en grec) ne peut être sourd au demos (le peuple). Dans la recherche du consentement populaire, les États semblent passés de la construction patiente de l’hégémonie à l’établissement brutal de l’obéissance.

« Oderint, dum metuant ». « Qu’ils me haïssent, pourvu qu’ils me craignent » aurait dit l’empereur Caligula selon Cicéron. Cette phrase exprime l’essence la phase de brutalisation des rapports politiques qui s’est ouverte avec le XXIe siècle. Alors que le Forum social Mondial de Porto Alegre a fait lever l’espoir d’une contre-mondialisation pacifique, la répression des manifestations contre le sommet du G8 coûte la vie à Carlo Giuliani, un étudiant de 24 ans abattu par la police de Gènes le 20 juillet 2001.

Les peuples ne choisissent pas sans raison de déborder du terrain de la non-violence. Depuis 20 ans, l’émeute ou l’affrontement prend souvent le pas sur le débat politique, comme nous l’avons vu le week end dernier lors des manifestations contre les mégabassines à Sainte-Soline. Tandis que la stratégie de répression mesure l’inquiétude des pouvoirs, le langage du corps prend de plus en plus souvent le pas sur le langage des mots.

Ce tournant est quantifiable. Je m’y suis investi depuis 2007 en constituant une base de données mondiale consultable en ligne sur le site [ Anthropologie du présent]. Le relevé se fait sur Google news les dernières 24 heures à partir de cinq mots clefs : émeutes, affrontements, riots, clashes, disturbios. Il est complété par des recherches spécifiques sur chaque lieu identifié en anglais et dans la langue du pays sur Google et sur YouTube. L’unité statistique de compte est un jour/une ville.

Toute confrontation physique collective entre des civils et les forces de l’ordre (armée ou police), ou entre les gens eux-mêmes (affrontements communautaires ou incidents de stade) y est répertoriée quelle que soit la gravité de l’événement ou son origine, de l’émeute spontanée aux incidents de manifestation. On parlera de soulèvement quand cette confrontation s’installe dans la durée et s’étend sur un territoire plus vaste.

Des vagues de soulèvements
Si les situations d’émeutes et d’affrontements civils locaux se multiplient, parfois, sans crier gare, l’étincelle met le feu au pays… ou à plusieurs. L’émeute devient soulèvement comme en France en 2005, en Grèce en 2008, en Tunisie en 2010, aux États-Unis en 2020, en Iran en 2022, la mort d’un jeune, d’un homme noir, d’une femme assassinées par le pouvoir est le levier de l’embrasement.

Ce début de siècle a été scandé par des vagues de soulèvement successives. En 2011, le « printemps arabe » sidère le monde. Partout des peuples se sont levés avec le drapeau national comme étendard et la volonté farouche de « dégager » des pouvoirs honnis.

À compter du 15 mai 2011, le soulèvement et l’occupation des places traversent la méditerranée. Le double modèle de Tahrir (Égypte) et de la Puerta del Sol (Madrid), inspire les initiateurs d’Occupy Wall Street (New York) à partir du 15 octobre. Plus de 600 villes sont ainsi « occupées », redonnant temporairement consistance à la puissance symbolique de la non-violence. Ces places en sont le chaudron populaire de Taksim en Turquie (mai-juin 2013) à Maidan en Ukraine (2013-2014) jusqu’au mouvement des Ombrelles à Hong Kong (novembre-décembre 2014), puis au soulèvement de cette ville en juin-août 2019.

La troisième vague est celle de la justice et de la moralité politique (contre la corruption et le clientélisme). Par une révolte sur le prix de l’essence, les gilets jaunes ont inauguré et marqué une année exceptionnelle de soulèvements nationaux. Vingt pays sont concernés, sur quatre continents (France, Venezuela, Soudan, Haïti, Sénégal, Algérie, Colombie, Honduras, Hong Kong, Indonésie, Éthiopie, Bolivie, Équateur, Panama, Irak, Liban, Guinée, Catalogne, Iran, Inde). L’onde de choc se fait sentir jusqu’en 2022, y compris durant la pandémie.

Vivre et survivre
Le mouvement français contre la réforme des retraites s’inscrit dans cette troisième vague. Celle-ci s’enracine dans les mobilisations antérieures de survie ou de résistance vitale contre la vie chère et l’austérité, la pénurie d’eau ou d’électricité, la casse du statut et de la valeur du travail, jusqu’aux conséquences sociales de la gestion de la pandémie. Cette montée en puissance de la lutte contre la précarisation néo-libérale ne concerne pas que les pays les plus pauvres.

On peut remonter en 2006 dans notre pays avec le refus du Contrat Premier Embauche (CPE), dernière grande mobilisation nationale victorieuse. À l’échelle mondiale, le point de départ est sans doute l’année 2008, celles des « émeutes de la faim » consécutives à la spéculation financière sur les céréales. Des mobilisations violentes ont alors lieu en Indonésie en janvier, au Cameroun et aux Philippines en février au Sénégal en mars, à Haïti, en Côte d’Ivoire, en Égypte en avril.

La retraite comme question vitale n’est pas qu’une affaire française, ni même européenne. Si elle mobilise l’Espagne (2011), la Grèce (2016) et la Russie (2018), elle mobilise aussi en Asie (Sri Lanka 2011 et Taiwan 2017), en Afrique du Nord (Maroc 2016 et Algérie 2018) et surtout en l’Amérique latine (Argentine 2012, Chili 2016, Nicaragua 2018, Colombie 2019 et Brésil 2021).

La France y tient pourtant une place particulière. A-t-on déjà oublié la dureté du mouvement de 2010, sa détermination tant dans les blocages que dans les solidarités interprofessionnelles, la place particulière tenue par une jeunesse lycéenne réprimée avec une brutalité sans précédent] ? A-t-on oublié que cette puissance collective fut sans effet décisif sur les décisions gouvernementales ? Il est vraisemblable que les stratégies syndicales de l’époque cherchaient moins la victoire immédiate que le pouvoir de peser sur l’élection de 2012.

La stratégie syndicale de 2023 semble assimiler l’expérience de 2010, dans ses rapports avec les partis comme dans son attitude inclusive à l’égard de la diversité des luttes.

Neuvieme jour de greve nationale et de protestation en france contre la reforme des retraites

Mais l’ampleur et de la rapidité de la catastrophe climatique comme l’expérience de la pandémie semble accélérer le temps des exigences. La question du sens du travail et de la valeur de la vie prend une épaisseur inédite, notamment dans une jeunesse tentée par la « désertion ».

Des dominations structurelles de l’humanité sont massivement remises en cause, faisant de « I can’t breathe » et de « Femme Vie Liberté » des slogans à résonance mondiale. Face à la gestion purement comptable de la vie, l’époque s’apparente à une sorte de « soulèvement du vivant ».

Ce contexte alimente la profondeur du refus populaire de la réforme. Mais la question stratégique reste entière. S’il est avéré que depuis le début du siècle, les stratégies non-violentes perdent nettement en efficacité en raison de l’intransigeance des pouvoirs, émeutes et soulèvements n’ont pas fait la preuve d’une plus grande efficience.

Combien, depuis le début du siècle, ont été couronnés de succès et à quel prix ? Qu’est devenu le « printemps de jasmin » tunisien de 2011 ? Où en est « Femmes Vie Liberté » en Iran ? Quel prix ont payé les Chiliennes et Chiliens à qui on avait « tout volé même la peur », pour finalement renverser le Président Pinera ?

Face à l’incontournable confrontation, l’enjeu est partout de dépasser la simple capacité de résistance pour incarner une alternative face à la brutalité de gouvernements qui dépolitisent leurs décisions. Voilà le fil rouge des soulèvements du siècle : comment incarner une restauration de la politique, de la délibération populaire, de la décision collective

Coronavirus: les risques de soulèvements et de révolutions

Coronavirus:  les risques de soulèvements et de révolutions

 

 

selon le cabinet d’étude des risques Verisk Maplecroft, on peut nourrir des craintes quant à l’émergence de soulèvements voire de révolutions dans certains pays très fragilisé et dont les populations ne supporteraient plus la misère amplifiée par le Corona virus. Les pays considérés comme développés ne seront pas non plus à l’abri de mouvements de contestation voire d’affrontement entre certains groupes sociaux et les gouvernements. Les conflits sociaux « représentent un risque pour la stabilité intérieure des pays, à un niveau rarement vu au cours des dernières décennies », indique l’organisme.

Au total, 37 pays ont été identifiés « qui feront face à des troubles majeurs durant le second semestre 2020 ». La deuxième partie de l’année s’annonce compliquée au Nigeria, en République démocratique du Congo, en Iran, en Ethiopie, au Bangladesh, au Pakistan, au Chili, en Algérie, ou encore en Egypte. Des pays où d’importantes tensions sociales existent déjà et où les rapports entre les gouvernants et les gouvernés sont difficiles.

La saison s’annonce notamment explosive en Afrique subsaharienne. Le nombre de manifestations risque d’augmenter « en raison du déclin économique, de la pauvreté et de l’incapacité à garantir des approvisionnements alimentaires adéquats », selon Verisk Maplecroft. D’importantes manifestations ont récemment traversé le Mali, où le pouvoir est contesté, notamment par l’imam Dicko. Sans surprise, en Amérique Latine, les troubles devraient notamment augmenter au Venezuela, en proie depuis de nombreuses années à une forme larvée de conflit civil entre le gouvernement Maduro et l’opposition.

Ces 37 pays font état d’un « faible taux de récupération », qui risque de les empêcher de traverser facilement les années à venir, et qui les placent face à un risque social pouvant éclater sur une période allant jusqu’à trois ans. Ce « faible taux de récupération » est défini par différents facteurs, comme le dynamisme économique, la force des institutions étatiques, la connectivité numérique, la sensibilité de la population, ou encore le risque de catastrophes naturelles ou d’attaques terroristes.

Pour autant, d’autres pays plus riches devraient encore connaître d’importants mouvements sociaux. Ce serait notamment le cas des Etats-Unis, selon Verisk Maplecroft. Le pays a connu d’importantes mobilisations liées au mouvement Black Lives Matter, depuis la mort de George Floyd, un homme noir tué lors d’une intervention de police à Minneapolis. Les protestations pourraient reprendre sur fond de chômage de masse lié à la crise économique.




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