Archive pour le Tag 'souhaite'

Ingérence politique d’Elon Musk Barrot souhaite que la commission européenne se réveille

Ingérence politique d’Elon Musk Barrot souhaite que la commission européenne se réveille

Le  ministre des affaires étrangères Jean-Noël barrot  critique d’une certaine manière le manque de réaction de la commission européenne face aux provocations d’Elon Musk le milliardaire génial mais fou qui intervient de plus en plus dans les affaires politiques internes de l’Europe. Notons par parenthèse que la présidente de la commission européenne n’est même pas invitée à la cérémonie de prise de pouvoir du nouveau président américain. C’est dire si les États-Unis considèrent comme marginale, et même comme  institution à abattre cette union européenne. D’où d’ailleurs des accords économiques passés directement avec les pays européens pour shunter l’union économique. 

 

 

«Soit la Commission européenne applique avec la plus grande fermeté les lois que nous nous sommes données pour protéger notre espace public, soit elle ne le fait pas et alors il faudra qu’elle consente à rendre aux États membres de l’UE la capacité de le faire», a déclaré Barrot sur la radio France Inter . «Il faut nous réveiller», a-t-il martelé.

Ingérence politique d’Elon Musk Barrot souhaite que la commission européenne se réveille

Ingérence politique d’Elon Musk Barrot souhaite que la commission européenne se réveille

Le  ministre des affaires étrangères Jean-Noël barrot  critique d’une certaine manière le manque de réaction de la commission européenne face aux provocations d’Elon Musk le milliardaire génial mais fou qui intervient de plus en plus dans les affaires politiques internes de l’Europe. 

 

 

«Soit la Commission européenne applique avec la plus grande fermeté les lois que nous nous sommes données pour protéger notre espace public, soit elle ne le fait pas et alors il faudra qu’elle consente à rendre aux États membres de l’UE la capacité de le faire», a déclaré Barrot sur la radio France Inter . «Il faut nous réveiller», a-t-il martelé.

Ingérence politique d’Elon Musk, Barrot souhaite que la commission européenne se réveille

Ingérence politique d’Elon Musk Barrot souhaite que la commission européenne se réveille

Le  ministre des affaires étrangères Jean-Noël barrot  critique d’une certaine manière le manque de réaction de la commission européenne face aux provocations d’Elon Musk le milliardaire génial mais fou qui intervient de plus en plus dans les affaires politiques internes de l’Europe. 

 

 

«Soit la Commission européenne applique avec la plus grande fermeté les lois que nous nous sommes données pour protéger notre espace public, soit elle ne le fait pas et alors il faudra qu’elle consente à rendre aux États membres de l’UE la capacité de le faire», a déclaré Barrot sur la radio France Inter . «Il faut nous réveiller», a-t-il martelé.

 

 

Censure du gouvernement : Macron souhaite maintenant la stabilité !

Censure du gouvernement : Macron souhaite maintenant la stabilité !

Macron qui est à l’origine de la crise politique qui affecte la France souhaite désormais la stabilité politique. De quoi sourire évidemment si l’affaire n’était pas aussi grave. Car c’est bien le président de la république qui en toute irresponsabilité a décidé de dissoudre l’assemblée créant une crise qui pourrait déboucher sur le chaos.

Macron tente vainement d’exister en multipliant les prises de parole et les déplacements à l’étranger. Le problème c’est que cette parole est complètement discréditée tant en France qu’à l’extérieur. Macron n’est même plus écouté par ses propres troupes.

«Je crois que le gouvernement, avec méthode, va continuer avec les forces du socle commun qui constituent aujourd’hui cette majorité relative et avec les oppositions d’avancer, a-t-il fait valoir. Notre pays a besoin de continuer à avancer.» «On a besoin de continuer à mener des réformes, on a besoin de continuer à être ambitieux sur le plan économique, écologique, de notre sécurité, sur le plan évidemment de notre éducation également et de notre santé», a insisté le président de la République. «Je suis confiant sur notre capacité à avoir de la stabilité pour ce faire.»

 

Ukraine : Zelensky souhaite la présence présidents américain et chinois au Sommet de juin

Ukraine : Zelensky souhaite la présence présidents américain et chinois au Sommet de juin

 

La Suisse a invité plus de 160 délégations pour y participer à la conférence pour la paix en Ukraine de juin  notamment des États membres du G7, du G20, des BRICS, de nombreux autres pays de tous les continents ainsi que l’UE, trois organisations internationales (ONU, OSCE et Conseil de l’Europe) et deux représentants du monde religieux (le Vatican et le Patriarche œcuménique de Constantinople). La Russie, qui a déclenché l’invasion de l’Ukraine le 24 février 2022, a fait savoir qu’elle n’était pas intéressée à participer à cette conférence.

D’après le président Zelensky,  80 pays ont déjà confirmé leur venue. Le président ukrainien souhaite en particulier la présence du président américain et du président chinois.

 

Des « méga-camions » en Europe

Des « méga-camions » en Europe

L’Europe étudie aujourd’hui la perspective de camions de 60 t au lieu de 40 aujourd’hui. Des camions très lourds sans doute adaptés dans certains pays mais pas dans d’autres compte tenu de la taille des véhicules sur des voies banalisées utilisées donc par d’autres usagers (voitures, motocycles, vélos et piétons). En outre,  une perspective contraire à la volonté de développer la part du rail. Notons que ce n’est pas tellement le poids qui compte pour le transport par camion mais le plus souvent le volume compte tenu de l’évolution structurelle des échanges. Il faut évidemment aussi prendre en compte l’impact sur les infrastructures. Enfin il y a la sécurité avec la difficulté supplémentaire de doubler les camions encore plus longs

 

Frédéric Delorme, président de Rail Logistics Europe (SNCF)dénonce aussi « les dangers significatifs des méga-camions pour piétons et cyclistes », à savoir la distance de freinage rallongée ou encore les difficultés à tourner.

En outre, l’objectif européen de doubler d’ici 2030 la part du ferroviaire dans le transport de marchandises, à 30%, « sera mis en péril », tranche Alberto Mazzola, directeur de la Communauté européenne du rail (CER), influent lobby du secteur.

À noter enfin l’impact de ces camions alourdis sur les chaussées et ponts. Le cabinet D-Fine prédit 1,15 milliard d’euros de dépenses publiques additionnelles par an pour l’entretien des infrastructures routières, avec « des détériorations disproportionnées : dix camions de 44 tonnes font plus de dommages que quinze de 40 tonnes ».

« Il faut prévenir cette folie, avec trop peu de moyens pour le fret ferroviaire tandis qu’un bonus serait alloué aux « méga-camions » massacreurs d’infrastructures », insiste l’eurodéputé écologiste David Cormand.

Reste que, en commission Transports, le texte a cependant été massivement soutenu par les groupes socio-démocrates, PPE (droite) et Renew (libéraux), à l’exception du Français Dominique Riquet. Le dossier reflétant les sensibilités nationales, « l’équilibre sera précaire » en plénière ce mardi, reconnaît Marie-Pierre Vedrenne (Renew).

 

Hydroélectricité : EDF souhaite les mêmes avantages que pour les éoliennes et le photovoltaïque

Hydroélectricité : EDF souhaite les mêmes avantages que pour les éoliennes et le photovoltaïque

 

EDF serait prêt à développer l’ Hydroélectricité en France au-delà même des objectifs prévus dans la programmation énergétique dite PPE. Pour cela elle souhaite que cet objectif soit intégré dans le plan de relance économique. En outre EDF voudrait une clarification des conditions de régulation c’est-à-dire savoir si se mettra en place une concurrence qui risque de déstabiliser le marché. Enfin EDF voudrait bénéficier des mêmes avantages que les éoliennes et le photovoltaïque portés bout de bras par l’État et financés par tous les usagers de l’électricité.

EDF a envisagé ces dernières années de construire des installations pouvant représenter jusqu’à un gigawatt de puissance supplémentaire et un milliard d’euros d’investissements dans la vallée de la Truyère (Massif central) dans le cadre d’une prolongation de concession. Mais la commission européenne ne s’est pas encore prononcée et semble vouloir installer une concurrence déstabilisatrice pour EDF. L’entreprise serait prête à isoler l’activité hydroélectrique dans une structure propre qui pourrait s’intituler EDF Azur ( il y aurait aussi une entité propre pour la production nucléaire et une autre entité pour la distribution laquelle serait soumise à concurrence).

La question est évidemment stratégique car la production littéraire électrique est loin d’être marginale, et l’ hydroélectricité est dominante en matière d’énergies renouvelables.

La part des énergies renouvelables dans la production nette d’électricité atteignait 20,3 % en 2019 (hydroélectricité : 10,3 %, éolien : 6,3 %, solaire : 2,2 %, bioénergies : 1,4 %.

Le groupe EDF est le premier exploitant du parc hydroélectrique français avec environ 80% des capacités de production – soit quelque 21 gigawatts répartis entre 500 centrales et près de 300 concessions -, loin devant Engie, numéro deux du secteur à travers sa participation dans la Compagnie nationale du Rhône (CNR) et sa filiale SHEM (Société hydroélectrique du Midi).

A fin 2020, 16 concessions d’EDF représentant 2,5 GW seront échues et dans l’attente d’une décision européenne.

La mise en concurrence du parc hydraulique français est un serpent de mer depuis l’annonce en 2010 d’une série d’appels d’offres pour dix barrages représentant 20% de la puissance hydroélectrique du pays, conformément à des directives européennes, qui ne s’est jamais concrétisée.

Édouard Philippe : retour souhaité par 54 %.

Édouard Philippe : retour souhaité par 54 %. 

Selon un sondage Odoxa publié lundi. 54% des personnes interrogées souhaiteraient le retour de l’ancien premier ministre, contre 45% qui n’en veulent pas, selon une enquête réalisée pour France Inter et la presse régionale. Près des deux tiers des sondés (63%) ont une bonne opinion du maire du Havre, soit une hausse de 20 points par rapport à une précédente enquête de septembre 2019. Dans le détail, les Français le jugent dynamique (64%), compétent (63%), solide (62%), sympathique (61%) et même charismatique (54%).

Selon ce même sondage, la cote de confiance d’Emmanuel Macron baisse d’un point à 38%, et celle du Premier ministre Jean Castex s’établit à 40%, huit points en dessous de celle d’Édouard Philippe en juin. Selon  l’enquête Odoxa, le maire du Havre est – de loin – la personnalité politique préférée des Français avec une cote d’adhésion de 51%, devant la ministre de la Culture Roselyne Bachelot (45%). Viennent ensuite, loin derrière, Marine Le Pen (28%), Olivier Véran, Xavier Bertrand, Bruno Le Maire, Jean-Yves Le Drian (tous à 27%) et François Baroin et Eric Dupont-Moretti (26% tous les deux).

Le sondage Odoxa a été réalisé auprès d’un échantillon représentatif de 1.005 personnes, âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas, interrogées par Internet les 22 et 23 septembre (marge d’erreur de 1,4 à 3,1 point).

Biélorussie : « soutien souhaité de l’union européenne  » (Macron)

Biélorussie : « soutien souhaité de l’union européenne  » (Macron)

 

Sans doute un nouveau sujet de discorde entre Poutine et l’union européenne. Poutine qui soutient le président biélorusse et l’union européenne du côté des manifestants qui contestent le résultat des élections présidentielles et la répression. Emmanuel Macron a appelé dimanche l’Union européenne à rester mobilisée pour soutenir les Biélorusses qui manifestent contre la réélection du président Alexandre Loukachenko il y a une semaine.

Des dizaines de milliers de Biélorusses se sont rassemblés dimanche dans la capitale Minsk pour dénoncer une élection truquée et la répression des manifestants, tandis que le chef de l’Etat au pouvoir depuis 26 ans brandissait la menace d’une intervention militaire de son allié russe.

“L’Union européenne doit continuer de se mobiliser aux côtés des centaines de milliers de Biélorusses qui manifestent pacifiquement pour le respect de leurs droits, de leur liberté et de leur souveraineté”, a réagi Emmanuel Macron sur Twitter.

Au moins neuf pays de l’Union européenne et la Commission ont appelé vendredi à l’adoption de sanctions contre la Biélorussie.

Facebook : le patron souhaite des règles !

Facebook : le patron souhaite des règles !

Comme souvent dans l’économie, certains développements d’activités s’effectuent de manière exponentielle grâce notamment à l’absence de règles précises. C’est le cas de beaucoup d’activités dans le numérique et en particulier de plates-formes comme celle de Facebook qui vit en faite de l’échange d’informations produites gratuitement par les utilisateurs. Un processus en apparence très vertueux. Le problème c’est qu’il convient de mettre du carburant dans la machine informatique. Ce carburant, c’est la publicité.

Or les ressources publicitaires sont d’autant plus grandes que les flux d’informations entre les utilisateurs augmentent. C’est le côté vicieux de la dynamique de développement. Facebook a intérêt à encourager n’importe quelle information, n’importe quelles dérives surtout si elles provoquent  d’autres flux qu’ils soient d’adhésion ou de contestation. Facebook ainsi à trouver la martingale pour devenir l’un des plus grands groupes du monde sans produire lui-même grand-chose et cela grâce au déferlement incontrôlé d’informations souvent sans réel intérêt et parfois supports de haine et de mensonge. Tout cela grâce à l’absence totale de régulation.

Facebook est aujourd’hui en position dominante comme les autres GAFAM  et se dit prêt et même demande aux pouvoirs publics des règles. La même évolution qu’on constate dans certains secteurs économiques quand ils sont en situation hégémonique. Il demande des règles pas tellement pour réguler la nature de l’activité mais pour empêcher l’émergence d’éventuels concurrents.

Facebook est une «entreprise fièrement américaine», qui n’aurait pas réussi sans «les lois encourageant la compétition et l’innovation», va déclarer le patron de Facebook lors d’une audition, mercredi.

Mark Zuckerberg s’exprimera mercredi aux côtés des autres géants de la tech. Erin Scott / REUTERS

Les gouvernements et régulateurs devraient «jouer un rôle plus actif» pour «mettre à jour les règles de l’internet» en termes de modération des contenus. C’est ce que devrait déclarer Mark Zuckerberg, mercredi, selon des extraits de son discours consultés par l’AFP ce mardi.

Le patron de Facebook s’exprimera lors d’une audition des quatre géants de la tech au Congrès sur d’éventuelles pratiques anti-concurrentielles.

Facebook est une «entreprise fièrement américaine», qui n’aurait pas réussi sans «les lois encourageant la compétition et l’innovation», va également assurer Mark Zuckerberg qui, comme Sundar Pichai (Alphabet, maison mère de Google), Tim Cook (Apple) et Jeff Bezos (Amazon), va devoir défendre sa plateforme, accusée à gauche comme à droite d’être devenue trop dominante. On notera que dans les propos du patron de Facebook ne figure pas le moindre concept de déontologie mais seulement de compétition et de développement.

Réforme Retraites: les améliorations que souhaite la CFDT

Réforme Retraites: les améliorations que souhaite la CFDT

 

 

La CFDT est assez critique vis-à-vis du 49 -3, elle attendait que des députés de la majorité notamment intègrent ses préoccupations en particulier  concernant la pénibilité , l’axe  central d’une plus grande justice sociale. Pour l’instant ,le nouveau texte du gouvernement présenté au Parlement est encore relativement flou  à ce propos. Il est vrai que le Premier ministre dans une lettre à invité les partenaires sociaux à lui faire des propositions dans ce domaine est aussi concernant l’équilibre des comptes. La lettre du Premier ministre mentionne bien les souhaits des syndicats réformistes en particulier de la CFDT concernant la prise en compte de la pénibilité mais le Premier ministre ne dit pas exactement ce qu’il intégrera à la fin.

Comprend mal la précipitation du gouvernement puisque  il s’agit dune  réforme dont l’effet n’aura totalement  d’impact que d’ici 20 ou 30 ans. En réalité, le pouvoir est lancé dans une course poursuite réformiste pour montrer sa volonté de transformation du pays et reconquérir un terrain perdu non seulement à gauche depuis longtemps mais aussi à droite où l’on s’intéresse notamment à propos de l’étatisation du système et du manque d’affichage clair des objectifs.

 

Macron a utilisé le contexte des préoccupations sur le Coronavirus soudainement et subrepticement pour sortir virus du 49-3. L’idée est simple voire simpliste, à savoir les Français sont tellement préoccupés par les risques relatifs au virus chinois qu’ils vont avaler sans trop de difficultés la procédure brutale du 49-3 qui met fin à tous les amendements du Parlement.

 

En même temps, ce n’est pas un cadeau pour les organisations réformistes qui comptaient sur le Parlement pour introduire des amendements dans le sens de leurs  préoccupations notamment relatives à la pénibilité. De ce point de vue, le gouvernement se tire un peu une balle dans le pied car il est possible que des syndicats réformistes rejoignent maintenant le camp des syndicats gauchistes en tout cas qu’ils manifestent leur opposition aux nouveaux textes imposés par le gouvernement. Dans l’attente d’un vrai positionnement du gouvernement notamment à propos de la pénibilité, La CFDT maintient la pression sur le gouvernement, Edouard Philippe ayant dégainé samedi le recours à l’article 49-3 pour faire adopter le texte de la réforme sur les retraites sans vote à l’Assemblée nationale.

« On déplore que le débat de fond soit encore escamoté, c’est une occasion de perdue », a regretté le négociateur retraites de la CFDT, Frédéric Sève.

« Le Premier ministre s’est engagé à présenter un texte différent qui intègre des améliorations mais sans prendre en compte à ce stade notre demande prioritaire: la pénibilité qui touche les travailleurs soumis aux manutentions de charges lourdes, aux postures pénibles, aux vibrations mécaniques et aux risques chimiques ne donnera toujours pas droit à réparation et à un départ anticipé », a déploré la première centrale syndicale française plus tard.

Pour son secrétaire général Laurent Berger, « le gouvernement vient de faire le choix du 49-3, mais pas encore celui de la justice sociale ». « Inquiet sur le contenu du texte », il demande, dans un entretien au quotidien Le Parisien, d’améliorer le projet de loi sur plusieurs points.

  • « Pour les agents publics qui touchent peu de primes, la CFDT revendique qu’il y ait une clause de sauvegarde leur garantissant à terme un niveau de pension au moins égal à ce qu’il est aujourd’hui » explique-t-il.
  • Laurent Berger demande aussi au Premier ministre « d’améliorer le texte avec une réelle prise en compte de la pénibilité mais aussi la sécurisation des transitions. On demande aussi que la pension minimale soit fixée à 85 % du smic dès 2022 et non pas à partir de 2025. »

 

  • Sur le point précis de la prise en compte de la pénibilité, selon lui, « le texte est trop évasif, même si je note qu’il y a eu des avancées sur la prévention et la reconversion. »
  • Enfin en matière de droits familiaux, « la majoration de pension par enfant doit être forfaitisée ou à tout le moins définir un plancher pour profiter davantage aux basses pensions. La partie de cette majoration attribuée au titre de la maternité doit être accrue et une majoration supplémentaire pour enfant handicapé doit également être intégrée » souligne le responsable de la CFDT.

Pour 2017, la mort Obama souhaité par un proche de Trump

Pour 2017, la mort Obama souhaité par un proche de Trump

 

Carl Paladino, un homme d’affaires proches de Trump déclare vouloir la mort d’Obama et transformer Michelle Obama en singe. Pas étonnant de la part de ce raciste  complètement fou qui déjà contestait les droits des indiens aux territoires. Normal pour un fils d’immigré d’italien de trouver illégitime les droits des premiers américains ! Évidemment ces propos en disent long sur la philosophie et la morale politique du camp de Trump. Des abrutis le plus souvent, des milliardaires, des racistes qui ont réussi l’exploit de se faire les représentants des pauvres et des couches moyennes.  Mais les dernières déclarations de l’homme politique qui par ailleurs a mangé à tous les râteliers (démocrate puis républicain, normal quand on fait dans l’immobilier y compris public). L’outrance peut surprendre mais il caractérise bien la pensée de Trump et de son entourage. Notamment quand Carl Paladino dit « que Barack Obama contracte la maladie de la vache folle après avoir été surpris ayant des relations avec une Herford » (écorchant semble-t-il la race bovine Hereford) et qu’il « meure avant son procès ». Puis questionné sur ce qu’il aimerait voir disparaître l’an prochain, l’ancien candidat républicain au poste de gouverneur de New York en 2010 a répondu : « Michelle Obama ».  « J’aimerais qu’elle redevienne un homme et qu’elle soit relâchée dans la brousse du Zimbabwe pour qu’elle vive confortablement dans une grotte avec Maxie le gorille ». Les remarques de celui qui a été reçu à la Trump Tower en début de mois ont rapidement enflammé les réseaux sociaux et suscité des réactions d’élus.  Le gouverneur de l’Etat de New York qui l’avait battu à ce poste, Andrew Cuomo, a qualifié ces commentaires de « racistes, laids et répréhensibles ». Mais face aux réactions suscitées, Carl Paladino a publié une lettre ouverte dans laquelle il estime que ses remarques « n’ont rien de raciste ». Il en a même profité pour adresser au couple présidentiel de nouvelles attaques, traitant Barack Obama de « lâche peureux » et estimant que Michelle Obama devrait « aller quelque part où elle sera heureuse ».

 

Abdeslam «souhaite partir le plus vite possible en France», Pourquoi ?

Abdeslam «souhaite partir le plus vite possible en France»,  Pourquoi ?

 

 

Curieux ce changement de stratégie de la part du très procédurier avocat d’ Abdeslam ; dans un  premiers temps il a tout fait pour retarder et même empêcher le transfert du terroriste en France. Objectif ne pas avoir à affronter les chefs d’inculpation de la justice française et être jugé par une justice belge pour des motifs moins lourds. Mais depuis les attentats de Bruxelles Abdeslam pourrait être impliqué d’une manière ou d’une autre du fait de ses relations très étroites avec le réseau de tueurs. Du coup les chefs d’inculpation en Belgique risquent d’être désormais plus sévères que précédemment. L’ avocat change son fusil d’épaule et souhaite désormais que son client réponde de ses actes commis en France devant la justice française. Pour cela l’avocat souhaite démontrer que son client n’est  responsable d’aucune tuerie et même qu’ il a renoncé de lui-même à déclencher les explosifs dont il était porteur. Reste évidemment l’éventuelle complicité de l’intéressé avec les auteurs des attentats. Mais des preuves qui seront peut-être difficiles à apporter par l’accusation notamment faute d’arrestation de complices encore en fuite. Il en va différemment  suite aux attentats de Bruxelles car plusieurs membres du réseau ont été arrêtés et pourraient témoigner de la complicité d’Abdelsam. Depuis les attentats perpétrés mardi par ses amis à l’aéroport international de Zaventem et dans le métro bruxellois, Salah intéresse beaucoup la justice belge. Le benjamin des trois frères Abdeslam a été arrêté vendredi dernier à Molenbeek, quatre jours avant les attentats, après quatre mois de cavale. Inculpé pour assassinats terroristes, il est incarcéré dans le quartier de haute sécurité de la prison de Bruges. Et son renvoi en France pour y répondre de sa participation aux attentats pourrait être retardé. La justice belge a décidé jeudi de reporter au 7 avril sa décision sur la prolongation de son maintien en détention provisoire et statuera le 31 mars sur le mandat d’arrêt européen délivré par la France. «Il faut laisser du temps à la justice belge», avait admis le procureur de Paris François Molins lors de sa visite lundi à Bruxelles. Le lendemain, les amis de Salah Abdeslam se faisaient exploser dans l’aéroport de Bruxelles et dans le métro de la capitale, tuant 31 personnes et en blessant 300 autres, selon le dernier bilan provisoire communiqué par le ministère de la Santé. Le pire attentat jamais commis en Belgique.

Bouygues souhaite garder ses 29,3% d’Alstom, c’est quoi ce cirque ?

Bouygues souhaite garder ses 29,3% d’Alstom, c’est quoi ce cirque ?

Bouygues change de fusil d’épaule et annonce maintenant  vouloir garder les 30% qu’il détient. Du coup on se demande pourquoi tout ce cirque Or on sait que pour l’essentiel c’est la volonté de Bouygues de se débarrasser de se parts qui avait justifié la mise en venet par appartements d’Alstom. Il serait temps que le gouvernement mette les pieds dans le plat et décide dune stratégie dans la mesure où pour l’essentiel les commandes d’Alstom sont des commandes publiques (TGV, centrales électriques etc.) de la France notamment. Le groupe Bouygues a en effet affirmé mardi soir vouloir conserver les 29,3% qu’il détient dans Alstom, adressant ce qui s’apparente à une fin de non-recevoir à l’offre du conglomérat japonais Mitsubishi Heavy Industries (MHI) de lui racheter jusqu’à près d’un tiers de cette participation. « Bouygues souhaite rester un actionnaire de long terme d’Alstom à hauteur de 29,3% », a déclaré un porte-parole de Bouygues interrogé par l’AFP. Dans sa proposition commune avec Siemens portant sur la branche énergie d’Alstom, MHI avait annoncé souhaiter monter jusqu’à 10% du capital d’Alstom en rachetant une partie des parts de Bouygues.

Renault: après Montebourg, Moscovici souhaite la baisse du salaire de Carlos Ghosn

Renault: après Montebourg, Moscovici souhaite la baisse du salaire de Carlos Ghosn

Sans doute la conséquence des sacrifices  demandés aux salariés de Renault et des menaces de fermetures de sites ; Moscovici se prononce aussi pour la réduction du salaire du patron de Renault. Après Arnaud Montebourg, c’est au tour de Pierre Moscovici d’appeler le PDG de Renault, Carlos Ghosn, à faire un effort sur son salaire. D’après le ministre de l’Economie, la période difficile que traverse le constructeur automobile devrait le pousser à faire un geste. « L’Etat actionnaire aussi est attentif à la rémunération du premier dirigeant, M. Ghosn« , a déclaré Pierre Moscovici sur France Info, ce lundi 28 janvier. « Quand il a été proposé une certaine rémunération lors du dernier conseil, c’était en décembre, l’Etat actionnaire a voté contre. » « Quand une entreprise rencontre de telles difficultés, il faut en effet qu’il y ait cet effort de décence qui soit fait, et j’appelle à ce qu’il le soit« , a-t-il ajouté. Une opinion d’ailleurs partagée par 74% des internautes de Bfmbusiness.com, selon un sondage effectué ce week-end: Carlos Ghosn a touché sur l’exercice écoulé près de 13 millions d’euros, dont 9,92 millions chez Nissan et 2,79 millions chez Renault.  La semaine dernière, le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, avait estimé qu’il ne serait « pas absurde » de demander un effort à Carlos Ghosn sur ce sujet. L’Etat est le principal actionnaire du groupe avec 15% du capital. Renault reprend mardi 29 janvier les négociations pour améliorer la compétitivité de ses usines françaises. Il propose notamment aux syndicats un gel des salaires cette année et des hausses limitées en 2014 et 2015.

 

 

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