Archive pour le Tag 'sondage'

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Politique- Dernier sondage européennes : la chute de la majorité

Politique- Dernier sondage européennes : la chute de la majorité

 

D’après un sondage IFOP pour LCI, Jordan Bardella (Rassemblement national) arrive toujours en tête des intentions de vote, avec 33% des suffrages (=), suivi de Valérie Hayer (Renaissance), créditée de 14,5% (-0,5). Toujours derrière, Raphaël Glucksmann (PS-Place publique) n’aura pas réussi à rattraper la tête de liste de la majorité. Il pointe à 13% d’intentions de vote. Manon Aubry (La France insoumise) gagne 0,5 point et atteint les 9%, terminant la campagne en réalisant son plus haut score depuis le début de ces sondages quotidiens. François-Xavier Bellamy (Les Républicains) est toujours à 7% (=), Marion Maréchal (Reconquête), à 6% (=) et Marie Tousssaint (Écologistes), à 5,5% (+0,5).

Dernier sondage européennes : la liste du pouvoir en difficulté

 

 

D’après un sondage IFOP pour LCI, Jordan Bardella (Rassemblement national) arrive toujours en tête des intentions de vote, avec 33% des suffrages (=), suivi de Valérie Hayer (Renaissance), créditée de 14,5% (-0,5). Toujours derrière, Raphaël Glucksmann (PS-Place publique) n’aura pas réussi à rattraper la tête de liste de la majorité. Il pointe à 13% d’intentions de vote. Manon Aubry (La France insoumise) gagne 0,5 point et atteint les 9%, terminant la campagne en réalisant son plus haut score depuis le début de ces sondages quotidiens. François-Xavier Bellamy (Les Républicains) est toujours à 7% (=), Marion Maréchal (Reconquête), à 6% (=) et Marie Tousssaint (Écologistes), à 5,5% (+0,5).

Le métier d’ingénieur : en péril car trop mal payé

 Le métier d’ingénieur : en péril car trop mal payé

Valérie Rialland, conseillère départementale les Républicains et professeure en lycée, alerte sur la pénurie d’ingénieurs et appelle à «une réforme en profondeur de notre système éducatif et industriel».( dans la Figaro)

D’autres ont été découragés par le système de sélection, qui ne valorise pas suffisamment les écoles qui ne font pas partie du «Top 10». Pourtant, même les diplômés d’une «petite» école d’ingénieurs trouvent un job sitôt diplômés. Le dernier stage devient souvent le premier emploi.

Pourtant, là encore, les chiffres ne mentent pas : il faudrait au moins 20.000 ingénieurs diplômés en plus tous les ans en France pour faire face aux nombreux défis auxquels notre pays est confronté : transition énergétique, relance du nucléaire, intelligence artificielle, leadership dans l’aérospatial, relance de l’industrie d’armement, réindustrialisation.

Soyons clairs : les écoles d’ingénieurs peinent à attirer suffisamment de talents, notamment à cause de la désaffection pour les matières scientifiques au lycée, exacerbée par la réforme du bac en 2019.

Tant et si bien que les élèves qui sortent du bac avec une mention très bien subissent un «choc» à leur arrivée en prépa, et se «prennent des taules», passant de seize à quatre de moyenne. Quand ce n’est pas tout simplement zéro. Les professeurs de prépa sont excédés par le niveau des élèves qui intègrent, qui n’est pas du tout à la hauteur des attentes des grandes écoles d’ingénieurs, dont les concours sont encore – heureusement – perçus comme très durs.

 Pire encore : les diplômés des écoles prestigieuses comme Centrale Supélec, donc, ingénieurs, se tournent pourtant de plus en plus vers des carrières dans la finance, le conseil et l’informatique, attirés par des salaires plus élevés et des opportunités internationales plus attrayantes, notamment grâce au prestige des grandes écoles d’ingénieurs françaises ! Par exemple, entre dix et 20% des centraliens rejoignent des cabinets de conseil, et beaucoup optent pour des secteurs comme la finance et l’assurance, laissant le secteur industriel en manque cruel de tête bien remplies.

L’équation est simple : En France, un ingénieur gagne en moyenne 47.663 euros par an​​, tandis qu’un consultant junior chez McKinsey peut espérer toucher entre 100.000 et 150.000 dollars par an ! Un job de manager se négocie à plus de 400.000 dollars​​. À ces conditions, à quoi bon devenir ingénieur ?

L’attractivité des filières scientifiques et techniques pour les filles demeure un autre défi majeur. Actuellement, seulement 28% des élèves des écoles d’ingénieurs sont des jeunes femmes. Où sont les autres ? La Société des ingénieurs et scientifiques de France a récemment alerté sur le manque de filles dans les filières scientifiques et a appelé à agir dès à présent pour inverser la tendance. Malgré une légère augmentation de la proportion de filles passant un bac scientifique jusqu’à 47% avant 2019, la réforme du bac a provoqué une chute dramatique, réduisant de 61% le nombre de filles recevant plus de six heures de cours de maths en terminale​​. Pour remédier à cette situation, il faut absolument pousser les filles à intégrer les filières scientifiques : les métiers qui en découlent ne sont pas, ne sont plus des pré carrés masculins !

Il est crucial de repenser notre approche de la formation et de l’employabilité des ingénieurs. De plus, il est impératif de modifier les programmes scolaires pour redonner goût aux sciences dès le plus jeune âge.

La formation des ingénieurs doit devenir une priorité nationale, la France doit se donner les moyens de non seulement combler le déficit actuel d’ingénieurs, mais aussi d’engager une réforme en profondeur de notre système éducatif et industriel. La réussite de ma fille, de vos enfants, et de tous les jeunes talents de notre pays en dépend, tout comme l’avenir industriel et économique de la nation.

 Il est temps de prendre des mesures audacieuses pour assurer l’avenir de la France qui, à l’heure de l’intelligence artificielle, de la transition énergétique, de l’épuisement des ressources naturelles, du tsunami de «vieux» qui pointe à l’horizon, et des nombreux autres défis qui sont devant nous, passera forcément par la science et donc, entre les mains d’ingénieurs. Français, et pas chinois, indiens, ou américains !

 

SONDAGE  » les Echos » – Européennes 2024 : Hayer et Glucksmann dans un mouchoir

SONDAGE  » les Echos » – Européennes 2024 : Hayer et  Glucksmann dans un mouchoir

 

SONDAGE

Pour résumer, encore un sondage qui démontre la grande victoire du Front National, l’écroulement du parti au pouvoir mais aussi des « Républicains », du parti de Mélenchon et des écolos.

Sondage Élections européennes: intentions de vote assez figées

Sondage Élections européennes: intentions de vote assez figées

Dans la dernière version du sondage IFOP pour le Figaro les intentions de vote paraissent figées. Observons  toutefois que les votes pourraient être différents en fonction des votes réels et donc de l’abstention notamment. Globalement la tendance est quand même à un vote de protestation avec un score assez exceptionnel pour le Front National.
Jordan Bardella
33,5 %

Liste de Renaissance, du MoDem, d’Horizons et de l’UDI
Valérie Hayer
15,5 %

Liste du Parti socialiste et de Place Publique
Raphaël Glucksmann
14,0 %

Liste de La France insoumise
Manon Aubry
7,0 %

Liste des Républicains
François-Xavier Bellamy
7,0 %

Liste des Écologistes
Marie Toussaint
6,5 %

Liste de Reconquête !
Marion Maréchal
6,5 %

Liste du Parti communiste
Léon Deffontaines
3,0 %

Liste du Parti animaliste
Hélène Thouy
2,0 %

Liste de l’Alliance rurale et des chasseurs
Jean Lassalle et Willy Schraen

Liste de LO
Nathalie Arthaud
0,5 %

Liste des Patriotes
Florian Philippot
0,5 %

Liste du NPA
0,5 %

Liste de l’UPR
François Asselineau
0,5 %

Liste « Écologiste au centre »
Jean-Marc Governatori
0,5 %

Note : les partis avec des scores non significatifs ne sont pas affichés.
Source : Ifop-Fiducial

Sondage européen 30 mai: intentions de vote assez figées

Sondage européen 30 mai: intentions de vote assez figées

Dans la dernière version du sondage IFOP pour le Figaro les intentions de vote paraissent figées. Observons  toutefois que les votes pourraient être différents en fonction des votes réels et donc de l’abstention notamment. Globalement la tendance est quand même à un vote de protestation avec un score assez exceptionnel pour le Front National.

 
Jordan Bardella
33,5 %

Liste de Renaissance, du MoDem, d’Horizons et de l’UDI
Valérie Hayer
15,5 %

Liste du Parti socialiste et de Place Publique
Raphaël Glucksmann
14,0 %

Liste de La France insoumise
Manon Aubry
7,0 %

Liste des Républicains
François-Xavier Bellamy
7,0 %

Liste des Écologistes
Marie Toussaint
6,5 %

Liste de Reconquête !
Marion Maréchal
6,5 %

Liste du Parti communiste
Léon Deffontaines
3,0 %

Liste du Parti animaliste
Hélène Thouy
2,0 %

Liste de l’Alliance rurale et des chasseurs
Jean Lassalle et Willy Schraen

Liste de LO
Nathalie Arthaud
0,5 %

Liste des Patriotes
Florian Philippot
0,5 %

Liste du NPA
0,5 %

Liste de l’UPR
François Asselineau
0,5 %

Liste « Écologiste au centre »
Jean-Marc Governatori
0,5 %

Note : les partis avec des scores non significatifs ne sont pas affichés.
Source : Ifop-Fiducial

Sondage Elections Européennes : le pouvoir d’achat toujours la première préoccupation

Sondage Elections Européennes : le pouvoir d’achat toujours la première préoccupation

D’après un sondage Ifop-Fiducial pour LCI, le pouvoir d’achat représente l’enjeu le plus fort des Français dans leur vote aux élections européennes (9 juin). Il devance l’immigration et le système de santé.

D’après un sondage Ifop-Fiducial pour LCI, Le Figaro et Sud Radio, le pouvoir d’achat est le sujet sur lequel les électeurs attendent le plus les candidats. Selon cette enquête, 57% des Français disent tenir compte de cette thématique dans leur vote. C’est notamment le cas des électeurs de La France insoumise (76%) et du Rassemblement national (62%), moins de Renaissance (37%) ou de Reconquête (21%).

L’immigration (38%) et le système de santé (38%) complètent le podium des sujets les plus déterminants, selon les Français. Sans surprise, les électeurs de Reconquête (89%) et du RN (62%) classent l’immigration parmi leurs priorités. Le système de santé, lui, suscite davantage l’intérêt des électeurs de La France insoumise (58%).

Sondage européennes : La liste majorité présidentielle encore en baisse

Sondage européennes : La liste majorité présidentielle encore en baisse

 

Dans le dernier sondage Elabe pour La Tribune Dimanche et BFMTV, elle perd encore du terrain en chutant de 1 point en quinze jours. Avec 15,5 % elle atteint son score le plus faible. « L’entrée en campagne d’Emmanuel Macron, le 26 avril à la Sorbonne, ne produit pas d’effet de mobilisation au-delà de son cœur, mais même au sein de celui-ci, cela reste insuffisant car seuls 54 % de ses électeurs du premier tour en 2022 votent pour Valérie Hayer », relève Bernard Sananès, le président d’Elabe.

Parallèlement, les franges du macronisme sont grignotées. Sur sa gauche, la liste PS menée par Raphaël Glucksmann gagne 1 point, récoltant 13 % des suffrages. Avec la majorité présidentielle, l’écart n’a jamais été aussi serré : 2,5 points. Sur sa droite, la liste LR, avec François-Xavier Bellamy à sa tête, progresse de 1 point, se situant à 7,5 %.

 

Si elle est stable, la liste RN de Jordan Bardella continue, elle, de faire très largement la course en tête avec 32 %. « Son socle est désormais très consolidé, explique Bernard Sananès. Neuf des électeurs potentiels de cette liste sur 10 se déclarent sûrs de leur choix. Les deux premiers enjeux de cette campagne pour les Français sont le pouvoir d’achat et l’immigration. Ce sont deux thèmes très favorables au RN. »

* Par rapport au baromètre d’avril. Sondage Elbe pour La Tribune Dimanche et BFM TV effectué du 15 au 17 mai 2024 auprès d’un échantillon de 1 503 personnes, représentatif des résidents de France Métropolitaine âgés de 18 ans et plus, dont 1 398 inscrits sur les listes électorales. Infographie Camille

Sondage politique : Bardella devant Marine Le Pen

Sondage politique :  Bardella devant Marine Le Pen

Il n’est pas impossible qu’on assiste à un remplacement des générations les plus anciennes en politique avec notamment la montée de Bardella, d’Attal et de Glucksmann. Dans le baromètre Ipsos pour « La Tribune Dimanche », le président du RN est perçu comme le meilleur « opposant à droite » de la Macronie. À gauche, Glucksmann talonne Mélenchon.

.Dans le dernier baromètre réalisé par l’institut Ipsos pour La Tribune Dimanche, Jordan Bardella est jugé le meilleur opposant de droite au gouvernement. Le président du Rassemblement national, tête de liste de son camp et grand favori des européennes, y surclasse pour la première fois Marine Le Pen.

Parmi les Français interrogés, ils sont 25 % à faire du jeune eurodéputé le premier opposant, devant les 18% qui choisissent la présidente du groupe RN à l’Assemblée – et réelle cheffe, de facto, de son parti. Si l’on additionne ces sondés à ceux qui placent les leaders frontistes. À gauche c’est désormais Glucksmann qui est à peu près à égalité avec Mélenchon comme le meilleur opposant.

Du côté du pouvoir, Attal est en train de passer devant Édouard Philippe

 

 

Sondage européennes : hausse de Glucksmann

Sondage européennes : hausse de Glucksmann

 

 Glucksmann  en hausse fait le double des insoumis. L’écart se resserre à nouveau entre le candidat des socialistes et son adversaire macroniste Valérie Hayer, selon le «rolling» Ifop-Fiducial pour Le Figaro, LCI, Sud Radio publié ce jeudi.La liste de du pouvoir plafonne à 16 % tandis que le front national se maintient à 32 % et la liste socialiste progresse à 14,5 %. Les autres partis sont assez marginalisés notamment ceux de gauche comme les insoumis est encore davantage les écologistes notamment plombés par le radicalisme anachronique de Sandrine Rousseau. Le même radicalisme de Mélenchon qui plombe les insoumis.

Raphaël Glucksmann va-t-il réussir son pari ? Celui de dépasser Valérie Hayer dans les sondages, avec l’espoir que ce croisement de courbe lui permette de s’installer à la deuxième place jusqu’aux élections européennes du 9 juin. Si la tête de liste PS-Place publique reste pour l’instant troisième, derrière sa concurrente macroniste, il rattrape petit à petit son retard, d’après la dernière vague du «rolling» quotidien Ifop-Fiducial pour Le Figaro, LCI, et Sud Radio publiée jeudi. Dans une bonne dynamique depuis la fin de la semaine dernière, l’essayiste renoue avec son plus haut score, à 14,5% d’intentions de vote (+0,5). Une performance qu’il n’avait plus réalisée depuis la fin du mois d’avril. Cette poussée lui permet de réduire l’écart qui le sépare de la tête de liste Renaissance, à deux petits points de lui.

La remontée de Raphaël Glucksmann est entre autres liée aux parts de marché qu’il reprend chez les actifs de 35 à 49 ans (19%, +6), chez les cadres et les professions intellectuelles. Ces tendances sont confirmées dans un autre sondage de France Info et du Parisien.

La dynamique de la tête de liste du PS et de Place publique, Raphaël Glucksmann, se confirme avec 14,5% des intentions de vote (+1,5 point en un mois) aux élections européennes des 8 et 9 juin prochains, et l’écart se réduit avec la candidate Renaissance Valérie Hayer, qui se stabilise à 16%, selon un sondage Ipsos pour Radio France et Le Parisien publié mercredi 15 mai.

À moins d’un mois du scrutin, les socialistes comme la majorité présidentielle restent largement distancés par le Rassemblement national. La liste portée par Jordan Bardella est créditée de 31% des intentions de vote, soit un point de moins qu’en avril dernier.

Derrière ce trio de tête, les autres candidats affichent toujours des scores à un chiffre. La liste de La France insoumise portée par Manon Aubry gagne un point par rapport au mois dernier, avec 8% d’intentions de vote. Tandis que François-Xavier Bellamy et la liste Les Républicains, pointent à 7% d’intentions de vote (+0,5%). La liste des Écologistes portée par Marie Toussaint passe à 6,5% (-0,5%). Quant à la liste Reconquête! de Marion Maréchal, elle, perd 0,5 point mais reste au-dessus du seuil minimum pour élire des eurodéputés, avec 6% des intentions de vote. Le Parti communiste, porté par Léon Deffontaines, perd un point (2%). Les autres listes recueillent entre 0 et 1,5% des intentions de vote.

SONDAGE – Mélenchon, principal handicap de la gauche

SONDAGE -  Mélenchon, principal handicap de la gauche

Dans un sondage IFOP, Jean-Luc Mélenchon est perçu comme un handicap pour la gauche. Ses positions sur Gaza et ses divisions internes affaiblissent la Nupes. Les Français sont particulièrement sévères avec Jean-Luc Mélenchon. Dans un sondage de l’Ifop, le leader de LFI est perçu comme étant un handicap pour son parti par 76 % des Français, pour la Nupes par 79 % et enfin pour permettre à la gauche de revenir au pouvoir par 80 % des sondés. Les chiffres sont terribles : il est jugé « dépassé » par 66 % des sondés et « inquiétant » pour 61 %. Seuls 31 % le considèrent proche des préoccupations des Français, un chiffre en baisse de 22 points par rapport à mai 2022.

Une chute colossale mais évidente quand son seul sujet est désormais Gaza. Tant pis pour le pouvoir d’achat des classes populaires qui font désormais le choix de Marine Le Pen. Seuls 28 % des sondés jugent qu’il est attaché aux valeurs démocratiques et 22 % qu’il est capable de rassembler les Français. Et seulement un Français sur cinq souhaite sa candidature à la prochaine élection présidentielle.

 

 

Sondage élections européennes : Bardella en tête; Hayer menacée par Glucksmann

Sondage élections européennes : Bardella en tête; Hayer menacée par Glucksmann 

 Selon une récente étude d’OpinionWay pour CNews, Europe 1 et le JDD, la liste qu’il mène est toujours en tête des intentions de vote pour les élections européennes, avec une nette avance. Cette cinquième vague du Baromètre montre que la liste du Rassemblement national a gagné deux points, atteignant 31 % des intentions de vote, comparé à une précédente enquête réalisée le 3 mai.

 

La liste de la majorité présidentielle, menée par Valérie Hayer, occupe la deuxième position mais reste significativement derrière celle du RN avec 16 % des intentions de vote, marquant un recul de 1 % par rapport au sondage précédent et de 2 % par rapport à celui d’avant. Pendant ce temps, bien que la liste conduite par Raphaël Glucksmann n’ait pas progressé (autour de 13%), l’écart se réduit entre Renaissance et le Parti socialiste. Il n’est plus que de 2 à 3 points entre les listes de Valérie Hayer ( autour de 16%) et de Raphaël Glucksmann, co-président de Place Publique. Cette tendance à la baisse pourrait être perçue comme un signal d’alarme pour la majorité, en dépit de l’implication récente de Gabriel Attal et d’Emmanuel Macron dans la campagne.

Derrière les trois listes principales, les autres partis politiques se tiennent dans un mouchoir de poche. Marion Maréchal et sa liste, après avoir enregistré une belle progression dans la dernière enquête, sont maintenant à 7 % des intentions de vote, au même niveau que François-Xavier Bellamy des Républicains.
Comme lors de notre précédente analyse, les listes de Les RépublicainsLa France insoumise et Europe Écologie – Les Verts se trouvent à égalité avec chacune 7 % des intentions de vote. Réalisé le 6 mai, ce sondage n’intègre pas les derniers faits marquants de la campagne.

La liste du Parti communiste stagne à 3 % des intentions de vote, malgré les efforts intensifs de son chef de file, Léon Deffontaines, pour reconquérir les électeurs des classes laborieuse. Les autres listes minoritaires peinent également, ne dépassant pas 1 % des intentions de vote.

Sondage Présidentielle : Marine Le Pen gagnante de la présidentielle en 2027

Sondage Présidentielle : Marine Le Pen gagnante de la présidentielle en 2027

D’après un sondage IFOP-Fiducial pour Sud Radio, Marine Le Pen s’impose d’une courte tête devant les potentiels candidats de la majorité.

Les données des intentions de vote pour le premier tour révèlent une constante : Marine Le Pen du Rassemblement National maintient une position dominante, avec un soutien compris entre 33% et 36%. Cependant, cette avance n’est pas à prendre pour acquise, car d’autres candidats, tels que Jean-Luc Mélenchon et certains candidats hypothétiques comme Jordan Bardella, montrent une force croissante avec 30% à 33% d’intentions de vote dans certaines configurations.

Les données récentes des intentions de vote pour l’élection présidentielle de 2024 offrent un aperçu détaillé des tendances électorales en France. Au premier tour, Marine Le Pen domine avec 34 % des voix, suivie de près par Édouard Philippe à 24 %, Gabriel Attal à 20 %, Bruno Le Maire à 14 %, et Gérald Darmanin à 12 %.

Cependant, une analyse plus approfondie des données révèle des variations significatives selon les hypothèses. Par exemple, dans l’hypothèse Philippe, Le Pen maintient son avance avec 36 %, tandis que dans l’hypothèse Attal, elle obtient également 36 %. Avec Le Maire, elle récolte 35 %, et avec Darmanin, elle atteint 36 %.

Ces variations témoignent de la volatilité des intentions de vote et soulignent l’importance des différentes dynamiques politiques. Par exemple, le soutien à Marine Le Pen varie de 33 % à 36 % selon les hypothèses.

Si Marine Le Pen semble bien placée pour se qualifier au second tour, la compétition s’intensifie pour savoir qui sera son adversaire. Des personnalités telles qu’Édouard Philippe et Gabriel Attal, ainsi que Bruno Le Maire et Gérald Darmanin, se disputent la deuxième place. Les données des intentions de vote pour le second tour montrent des scénarios divers :

- Marine Le Pen affronterait Édouard Philippe ou Gabriel Attal, avec des scores de 60% contre 40% ou 58% contre 42% respectivement.
- Face à Bruno Le Maire ou Gérald Darmanin, Marine Le Pen obtiendrait 55% des voix contre 45%.

Les sondages d’opinion révèlent un duel serré entre les principaux candidats en lice pour le second tour. Selon les derniers chiffres, Marine Le Pen et Édouard Philippe sont au coude-à-coude, avec des pourcentages oscillant autour de 49% et 51% respectivement. Ces résultats mettent en évidence la polarisation de l’électorat et l’importance de chaque voix dans cette élection hautement disputée.

Les données fournissent également des hypothèses intéressantes sur les différents scénarios possibles pour le second tour. Dans le cas d’un affrontement entre Édouard Philippe et Marine Le Pen, les chiffres montrent une légère avance pour cette dernière, avec 51% des intentions de vote contre 49% pour son adversaire. Cette configuration met en lumière les dynamiques complexes de cette élection et les défis auxquels sont confrontés les candidats dans la mobilisation de leur électorat.

SONDAGE Bardella – nouvelle hausse

SONDAGE  Bardella – nouvelle hausse

Le président du RN gagne encore 5 points ce mois-ci dans le baromètre Elabe pour « Les Echos ». Il se rapproche de la première place occupée par l’ancien Premier ministre Edouard Philippe.

Jordan Bardella n’en finit plus d’accumuler les bons sondages. Largement en tête dans les intentions de vote en vue des élections européennes, le président du RN conforte sa deuxième place dans le classement des personnalités politiques du baromètre Elabe pour « Les Echos ». Il gagne encore 5 points en mai, avec 38 % d’opinion favorable et n’est plus qu’à 4 points d’Edouard Philippe (42 %). Le jeune dirigeant d’extrême droite devance, pour la troisième fois consécutive Marine Le Pen (35 %). Il a gagné 14 points en un an.

En campagne pour les européennes de juin, la tête de liste du RN bénéficie de son exposition médiatique et parvient à élargir le socle électoral de son parti. « Il y a une homogénéisation qui se fait autour de la personne de Jordan Bardella », constate Bernard Sananès, président d’Elabe.

Le RN, largement en tête des intentions de vote exprimées, continue de progresser (32%, +2)

La liste du Rassemblement National (RN) menée par Jordan Bardella arriverait largement en tête, elle est créditée de 32% des intentions de vote exprimées, en progression de 2 points sur 1 mois (4 avril). La liste du RN bénéficierait du soutien massif des électeurs de Marine Le Pen (86% de ceux qui ont l’intention de se rendre aux urnes en juin voteraient pour la liste RN), ainsi que des voix de 4 électeurs sur 10 d’Éric Zemmour et d’1 sur 4 de Valérie Pécresse, et capterait des voix chez les abstentionnistes (33%, +11). En termes de sociologie électorale, si la liste menée par Jordan Bardella ferait de très bons scores dans ses zones de force (53% chez les ouvriers, 41% auprès des Français qui éprouvent des difficultés à boucler leurs fins de mois, 39% dans les communes rurales), elle arriverait en tête dans tous les pans de la société y compris au sein de populations qui lui étaient traditionnellement moins favorables : les retraités (29%, contre 25% Renaissance), les cadres (22%, contre 21% PS), les habitants des grandes agglomérations (27%, contre 19% Renaissance), les diplômés du supérieur (23%, contre 22% Renaissance) et chez les Français qui bouclent leurs fins de mois sans se restreindre (28%, contre 20% Renaissance).

La liste Renaissance, du MoDem, d’Horizons et de l’UDI menée par Valérie Hayer est stable en 1 mois à 16.5% des intentions de vote exprimées. L’écart entre les listes RN et Renaissance (15,5 points) est au plus haut. La liste Renaissance bénéficierait d’un soutien incomplet des électeurs d’Emmanuel Macron (52%) et des voix d’1 électeur sur 10 de Valérie Pécresse.

Après sa forte progression en avril (+3.5) la liste du Parti Socialiste et de Place Publique menée par Raphaël Glucksmann se stabilise à 12%. Elle bénéficierait des voix d’1 électeur sur 4 de Jean-Luc Mélenchon et de Yannick Jadot et d’1 électeur sur 10 d’Emmanuel Macron.

La liste de la France Insoumise menée par Manon Aubry serait en légère hausse (8.5%, +1), la liste d’Europe Ecologie Les Verts menée par Marie Toussaint serait à 8% (-0.5). Avec la liste du Parti Communiste menée par Léon Deffontaines (à 2%, -0.5) et Nouvelle Donne (0.5%, 1ère fois posée), le bloc de gauche obtiendrait 31% (=) des voix.

La liste des Républicains menée par François-Xavier Bellamy est créditée de 6.5% (-0.5) des intentions, elle n’obtiendrait les voix que d’1 électeur sur 2 de Valérie Pécresse.

La liste Reconquête menée par Marion Maréchal serait à 5% (-0.5). Les autres listes testées sont créditées de moins de 2% des intentions de vote exprimées.

 

Sondage- Clandestins : 67 % des Français pour l’expulsion dans un pays type Rwanda

Sondage – clandestins : 67 % des Français pour l’expulsion dans un pays type Rwanda

D’après une enquête CSA  67 % des Français se disent favorables à ce que la France mette en place une politique similaire à celle du Royaume-Uni, qui prévoit d’expulser vers le Rwanda les migrants présents illégalement sur son territoire.

67 % des Français approuvent une mesure telle que prises par le Parlement britannique qui a la prévu  l’expulsion des demandeurs d’asile ayant pénétré illégalement sur son territoire vers le Rwanda, sans distinction de leur pays d’origine. Il mesure prise en raison le plus souvent du refus des pays d’origine de reprendre les clandestins. Les obligations de quitter le territoire ne sont effectuées réellement que dans 10 % des cas.

En termes de différences générationnelles, elles sont assez subtiles. Les jeunes de 18 à 24 ans montrent une majorité de soutien à 62% pour ce type d’expulsion, presque similaire à celle des 25 à 34 ans à 63 %. Cette proportion monte légèrement à 68% parmi les 35 à 49 ans et atteint un pic de 73 % chez les 50 à 64 ans.

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