Archive pour le Tag 'Sondage popularité'

Sondage Popularité Macron : en baisse

Sondage Popularité Macron : en baisse

 

Actuellement, 34 % des Français font confiance à Emmanuel Macron pour « gérer efficacement les problèmes qui se posent au pays », en premier lieu donc la crise sanitaire. C’est 2 points de moins que début juillet, selon le baromètre politique d’Elabe pour « Les Echos » et Radio Classique.

La reprise de l’épidémie joue « forcément », relate Bernard Sananès, le président d’Elabe. En deux mois, le « niveau d’hostilité » a regagné 5 %. « Le recul est fort chez les jeunes en raison du pass sanitaire », observe-t-il. Mais pas seulement : dans l’électorat d’Emmanuel Macron (au premier tour de 2017), le niveau de confiance est le plus faible depuis le début de l’année, à 70 %, en baisse de 4 points. La cote de confiance du Premier ministre, Jean Castex, recule également de 2 points, à 27 %.

« Il y a de l’inquiétude, de la lassitude aussi, et un doute sur l’efficacité de la gestion de la crise sanitaire », décrit Bernard Sananès. « La stratégie est soutenue sur le pass sanitaire, poursuit-il, pour autant elle ne ressoude pas l’électorat car les opinions à l’égard du chef de l’Etat sont clivées ».

Sondage popularité : Wauquiez s’écroule

Sondage popularité : Wauquiez s’écroule

L’opinion sanctionne lourdement Wauquiez pour sa brutalité et sa vulgarité et après sa prestation télé pour son insincérité. En fait le discours de Vauquiez ne sonne pas juste. Il veut jouer au radical, à l’homme de terrain voire au paysan alors qu’il est un peur produit de l’élitisme Français, entré en politique comme nombre d’oligarque par la porte dérobée des privilèges. Grace au ministre Barrot, il est devenu le plus européen  et le plus démocrate.  Parvenu à la tête des Républicains il devient souverainiste, populiste et facho. . Son discours ne colle pas avec son personnage. Sil continue,  Il pourraiat suivre l’exemple de Fillon et tirer encore plus bas un parti républicain déjà en pleine crise.  Selon deux sondages successifs Vauquiez perd 16 points, à 32 % de bonnes opinions auprès des sympathisants Les Républicains interrogés par Kantar Sofres-Onepoint pour Le Figaro Magazine (conduit du 22 au 26 février auprès de 1 000 personnes). Pour l’ensemble de Français il reveuille seulement  14% dans le sondage Elabe pour les Echos. Chez ceux de  la droite, il recule de 13 points (36 %) voire de 20 points chez les seuls fidèles LR (35 %) dans l’étude de l’Observatoire politique mensuel Elabe publié dans Les Échos et Radio Classique. En début de semaine, il a aussi fait son entrée dans le « flop » 5 du palmarès YouGov pour Le HuffPost  et CNews des personnalités politiques.  Autre mauvaise nouvelle pour Laurent Wauquiez : la présidente LR de la région Île-de-France, Valérie Pécresse, prend ses distances sans quitter le parti. Et cette stratégie semble lui réussir. Dans le baromètre Elabe (réalisée en ligne les 27 et 28 février auprès de 999 personnes), sa popularité grimpe à 48 % (+ 6 points) chez les sympathisants de la droite. Chez les LR, elle bondit de 14 points en un mois. À la question « Souhaitez-vous voir Valérie Pécresse jouer un rôle important à l’avenir ? », 38 % des proches de LR répondent par l’affirmative, dans le sondage Kantar Sofres-Onepoint.

 

Sondage popularité : « la bombe Macron » (Odoxa)

Sondage popularité : «  la bombe Macron » (Odoxa)

 

 

D’après un sondage Odoxa- La Dépêche du Midi, Macron passe en tête du palmarès de l’adhésion politique. Gaël Sliman, président d’Odoxa, parle même de «bombe Macron». Pour autant, l’ex banquier ne fait pas de bond en avant. Sa côte d’adhésion (35 %) est égale à celle du mois précédent. Simplement, dans ce faux plat entre deux primaires, si Macron n’avance pas, ce sont les autres qui reculent. Ainsi, Alain Juppé, hier indétrônable, quitte sa première place, dévissant assez logiquement après son échec lors de la primaire à droite (33 %, -4). François Fillon, dopé dans un premier temps par sa large victoire, a déjà pris la pente en sens inverse, subissant un recul encore plus spectaculaire que son concurrent malheureux (31 %, -6), plombé» dans l’opinion française par le dévoilement de son programme de régression sociale et ses ambiguïtés internationales (Poutine, la Syrie). Des positions qui suscitent un trouble persistant dans son propre camp.  Les Français apprécient un compétiteur dont ils peinent à définir la couleur du maillot. Voilà Macron en 6e position chez les sympathisants de gauche (loin derrière Christiane Taubira… et en 3e position chez les sympathisants de droite, coincé entre Juppé et Sarkozy (il est 7e chez les sympathisants FN). L’avenir dira si on peut ainsi sans péril rouler à droite, à gauche et au milieu de la route. A la lecture du sondage, Macron peut cependant estimer sage de se tenir à l’écart du peloton de la primaire à gauche. Et pourtant, relève Gaël Sliman, «les quatre principaux favoris (Valls reste en tête suivi de, Montebourg, Hamon, Peillon) suscitent un rejet massif». Mais Odoxa souligne, en revanche que, «quel que soit le vainqueur, les trois quarts des Français (73 %) ne pensent pas que cette primaire permettra à la gauche de se doter d’un candidat en position de force pour 2017» (56 % des sympathisants de gauche pensent la même chose). Enfin  67 % des Français et 55 % des sympathisants de gauche anticipent que la gauche puisse disparaître du paysage politique, indique l’étude Odoxa.

Sondage popularité Valls : 65% mécontents

Sondage popularité Valls : 65% mécontents

34% des personnes interrogées (-1) se déclarent satisfaites de l’action du Premier ministre, et 65% mécontentes, soit une augmentation de 2 points par rapport à mai. 1% ne se prononce pas. Pour François Hollande, le nombre des satisfaits reste stable à 26% et celui des mécontents recule d’un point, à 72%. Ceux qui ne se prononcent représentent 2%. Stabilité aussi pour la perception du changement. 31% des Français considèrent que les choses changent depuis 2012, comme en mai, et 69% au contraire (=) qu’elles ne changent pas. Au palmarès de l’action gouvernementale, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, arrive en tête avec 58% (+3) de satisfaits, suivi de celui des Affaires étrangères, Laurent Fabius (54%, -1), et du ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve (48%, -3). Stéphane Le Foll (Agriculture) et Marisol Touraine (Santé) progressent de 2 points, respectivement à 44 et 43%. Le ministre de l’Économie, Emmanuel Macron, gagne un point à 41%. Chez les autres personnalités politiques, Alain Juppé est en tête à 52% (-2), suivi de François Bayrou, qui bondit de 7 points (46%) et de Bruno Le Maire (40%, +3). A noter que Jean-Christophe Lagarde gagne 8 points, à 38%. Nicolas Sarkozy perd 3 points à 32%, ainsi que Marine Le Pen à 27%.( Sondage métro News LCI juin 2015)

 

Sondage popularité : nouvelle baisse de Valls et Hollande

Sondage popularité : nouvelle baisse de Valls et Hollande

Encore une forte  chute pour Valls qui paye ses outrances verbales et ses excès colériques aussi peut-être surtout l’échec de sa politique. Hollande , lui , est encore plus impopulaire et 75% qui ne veulent  pas de lui en 2017. Une vraie bérézina qui s’ajoute aux résultats catastrophiques des départementales. Après le deuxième tout de ces élections leurs cotes  pourrait encore connaître un affaiblissement car ils auront rendre compte de leur responsabilité dans la débâcle du PS.  La cote de popularité de François Hollande recule en effet de deux points, à 24%, et celle de Manuel Valls de six, à 41%, selon un sondage Odoxa pour L’Express, la presse régionale et France Inter publié ce mardi. Si 24% des personnes interrogées trouvent que François Hollande « est un bon président de la République », 75% répondent « non » (+2 points par rapport à février). 1% ne se prononce pas. Concernant Manuel Valls, 41% (-6 pts) jugent qu’il « est un bon Premier ministre », les jugements négatifs grimpant dans la même proportion, à 58%. 1% ne se prononce pas. Par ailleurs, Alain Juppé reste en tête des personnalités préférées des Français, avec un taux d’adhésion (39%) toutefois en chute de dix points par rapport à l’enquête du mois dernier. Ce taux est en recul pour les dix premiers du classement, sauf Martine Aubry, en septième position (26%, +1). Les Français souhaitent très majoritairement qu’en matière de réformes économiques, le gouvernement « accélère le rythme ». 22% prônent la poursuite de ces réformes « au même rythme », 25% leur ralentissement. Les sondés portent par ailleurs un jugement partagé sur « les réformes proposées par la loi Macron ». 42% trouvent qu’elles « ne vont pas assez loin », 33% qu’elles « vont trop loin », 23% qu’elles « sont bien équilibrées ». 2% ne se prononcent pas. Enfin, 70% se disent opposés « à des alliances locales, au cas par cas, entre l’UMP et le Front national » aux élections départementales. Cette enquête a été réalisée auprès d’un échantillon représentatif de 1.008 Français interrogés par internet les 19 et 20 mars, selon la méthode des quotas.

Sondage Popularité : Hollande tombe à 16 %, Juppé à 46%

Sondage Popularité : Hollande tombe à 16 %, Juppé à 46%

Encore un plongeon pour Hollande  qui  a encore baissé, à 16 selon les résultats de novembre du baromètre politique Odoxa-Presse Régionale-France Inter-L’Express. Priés de dire si François Hollande est un bon président de la République, 83 % des sondés ont répondu « non » (+ 3 points en un mois), 16 % « oui » (- 4 points). 1 % ne s’est pas prononcé. Parmi les seuls sympathisants de gauche, 61 % l’ont jugé négativement, 38 % positivement. Quant à la question de savoir si Manuel Valls est un bon Premier ministre, 61 % ont répondu « non », 37 % « oui », niveaux stables. 2 % ne se sont pas prononcés. Dans les rangs des sympathisants de gauche, 55 % l’ont jugé positivement dans son poste à Matignon, 43 % négativement. Dans les personnalités politiques suscitant le plus de soutien ou de sympathie, Alain Juppé est resté en tête, avec une adhésion globale de 46 % (+ 2 points), dont 14 % le soutiennent et 32 % éprouvent de la sympathie pour lui. En deuxième position, François Bayrou, stable à 35 % (6 % soutien, 29 % sympathie), a devancé Nicolas Sarkozy, en baisse de 2 points à 33 % (14 % soutien, 19 % sympathie), Marine Le Pen, en repli d’un point à 30 %, Najat Vallaud-Belkacem, en recul de 2 points à 29 %, Ségolène Royal, en déclin d’un point à 28 %. Objets des plus fortes variations sur un mois, Bruno Le Maire a progressé de 6 points à 25 % (5 % soutien, 20 % sympathie), tandis que Martine Aubry a baissé de 3 points à 24 % (7 % soutien, 17 % adhésion). Parmi les seuls sympathisants de gauche, Najat Vallaud-Belkacem est ressortie en tête (57 %, – 2 points), ex-æquo avec Christiane Taubira (57 %, + 1), devant Ségolène Royal (55 %, – 4), Martine Aubry (54 %, – 6) et Jean-Luc Mélenchon (48 %, + 4). Chez les sympathisants de droite, Nicolas Sarkozy, en tête, a reculé de 3 points à 62 %, devançant Marine Le Pen (57 %, + 4 points), Alain Juppé (53 %, + 1), François Fillon (39 %, – 3), Bruno Le Maire (37 %, + 12). Au palmarès du rejet, Marine Le Pen est en première position, stable à 51 %, devant Cécile Duflot (46 %, + 5), Nicolas Sarkozy (46 %, stable), Christiane Taubira (45 %, – 4), Jean-Luc Mélenchon (43 %, + 1). Enquête réalisée par Internet les 20 et 21 novembre auprès d’un échantillon de 1 012 Français représentatifs de la population française âgée de 18 ans et plus et constitué selon la méthode des quotas.

Sondage popularité : Valls s’écroule, Hollande à 17%

Sondage popularité : Valls s’écroule, Hollande à 17%

 

Comme nous l’indiquions depuis quelque  temps les sondages seront comme les indicateurs économiques : calamiteux pour le gouvernement. Fait majeur : Valls s’écroule. Une évolution qui était prévisible car Valls en dehors de ses coups de menton suit bêtement la politique de Hollande et de l’Europe. En fait il n’a apporté aucune nouveauté, aucun dynamisme dans un gouvernement au bout du rouleau, incompétent autant qu’inefficace. Valls aurait pu réussir mais il lui fallait imposer sa politique (en supposant qu’il en ait une) et non jouer à l’élève zélé auprès d’un Hollande discrédité. Quant à Hollande il ne risque plus grand-chose, il perd encore un point, il ne descendra sans doute pas en dessous des 15%, socialiste pro étatistes et qui en vivent.  C’est donc un double record à la baisse pour Manuel Valls et François Hollande. Selon le baromètre IFOP, pour «le Journal du dimanche», le Premier ministre et le président de la République sont en recul tous les deux dans l’opinion. Ils enregistrent chacun une impopularité record.  Le chef du gouvernement passe de 45% d’opinions positives en juillet à 36% en août, son niveau le plus bas depuis qu’il est à Matignon. La popularité de Manuel en Valls ne cesse de s’effondrer : 9 points perdus en un mois, 15 en deux mois, 20 en trois mois ! «Son discours volontariste tranche avec ses résultats», explique Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop. En avril, lors de sa nomination à la tête du gouvernement, il était à 58% d’opinions positives. A la question «Êtes-vous satisfait ou mécontent de François Hollande comme président de la République ?» le chef de l’Etat recueille 17% de satisfaits, soit un point de moins qu’en juillet. Il tombe ainsi à son plus bas niveau dans ce baromètre depuis son élection en mai 2012. C’est le cinquième mois d’affilée que plus de 80% des sondés sont mécontents de lui. Toutes les catégories, même les sympathisants socialistes, lui sont majoritairement hostiles.

 

Sondage popularité : chute Hollande-Valls à 21%

Sondage popularité : chute Hollande-Valls à 21%

, un sondage IFOP-JDD montre que seuls 21% de nos compatriotes ont confiance dans le couple exécutif formé par le président de la République et le Premier ministre, Manuel Valls. Un chiffre révélateur de la faiblesse des marges de manœuvre au sommet de l’État. Les députés et les sénateurs ne rassurent pas plus. Simplement 33% des sondés leur accordent leur confiance, soit 10 points de moins qu’en novembre 2011. Quant aux partis politiques, seuls 16% des Français croient en eux. Un très mauvais chiffre, mais qui n’a guère varié depuis novembre 2011. Seuls rescapés de ce naufrage, les élus locaux, maires et conseillers généraux, qui bénéficient de la confiance de 71% des Français. De quoi inciter François Hollande à la réflexion au moment où il se penche sur une vaste réforme des territoires. Cette  étude intervient après une semaine noire pour la vie politique. Dimanche soir, le Front national a écrasé les deux partis de gouvernement, laissant l’UMP 4 points derrière et le Parti socialiste accusant plus de 11 points de retard. Une déroute historique. Mardi, Jean-François Copé a démissionné de la tête de l’UMP. Ce n’est pas la première fois que les européennes bouleversent la donne dans les partis politiques. En 1994, après son score catastrophique (14,49%), Michel Rocard avait dû quitter la tête du Parti socialiste, remplacé par Henri Emmanuelli. En 1999, l’échec de Nicolas Sarkozy, arrivé en troisième position, avait entraîné sa démission de la présidence par intérim du RPR et son retrait momentané de la vie politique.

Sondage popularité : Hollande 74% défavorables (-1 point), chute de Taubira

Sondage popularité : Hollande  74% défavorables (-1 point), chute de Taubira

Un petit point de popularité en plus pour Hollande .  Christiane Taubira, critiquée dans l’affaire des écoutes de Nicolas Sarkozy, chute de huit points, selon le baromètre Ipsos-Le Point diffusé lundi. Selon cette enquête, 22% des Français approuvent l’action du chef de l’Etat, tandis que 74% émettent un jugement défavorable. De nombreuses personnalités sont en chute à moins d’une semaine des élections municipales, signe, selon Le Point, d’un ras-le-bol des Français.  Christiane Taubira, qui jouissait jusqu’ici d’une situation flatteuse, tombe à 31 % d’opinions favorables et recule de la 10e à la 20e place des personnalités politiques. Nicolas Sarkozy, au centre d’une nouvelle enquête pour conflit d’intérêts révélée par des écoutes téléphoniques, tombe à 39 % de bonnes opinions, en recul de 4 points.  L’ancien président passe de la 5e à la 12e place des personnalités en dépit de la victimisation dont l’UMP a tenté de le faire bénéficier. Du côté gouvernemental, le ministre de l’Intérieur Manuel Valls, dont la cote s’érode au fil des semaines, recule de deux points à 46% de bonnes opinions, soit une chute de 13 points en trois mois. Il perd ainsi la première place du baromètre au profit du grand gagnant : le maire UMP de Bordeaux Alain Juppé qui, avec 52 % de bonnes opinions, gagne 6 points.

 

Sondage popularité : Manuel Valls en tête

 Sondage popularité : Manuel Valls en tête

Au palmarès des personnalités, la cote d’avenir du ministre de l’Intérieur progresse d’un point à 44%, devant Nicolas Sarkozy à 33% (-2), Alain Juppé (-2) à 31% à égalité avec François Fillon. La présidente du FN, Marine Le Pen, diminue à 30% (-2).  François Hollande perd deux points à 21%, 76% ne lui faisant pas confiance. Le Premier ministre perd deux points lui aussi à 22 points. Selon ce baromètre, au 18ème mois d’exercice du pouvoir, Jacques Chirac est le président depuis 1981 à avoir eu le plus mauvais score à 32%. Jean-Marc Ayrault avec 22% est en deçà de la cote d’Alain Juppé à la même époque quand il était Premier ministre.  Le chef de l’Etat garde la confiance des sympathisants du PS (56%).  Sondage réalisé du 23 au 26 octobre 2013, en face-à-face au domicile des personnes interrogées, auprès d’un échantillon de 1.000 répondants représentatif de l’ensemble de la population âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

Sondage popularité : Hollande à 35% et Merkel à 67%

Sondage popularité : Hollande à 35% et Merkel à 67%

 

 

François Hollande a gagné un point en juillet par rapport à juin, à 35%, sans doute un effet du beau temps ! D’autant que statistiquement un point ne représente même pas la marge d’erreur (autour de 3 points) ; évidemment c’est très loin de Merkel qui, elle, caracole en têt avec 67% et après 8 ans au pouvoir !   D’après cette étude Harris, 64% des Français ne font pas confiance au président de la République (43% « pas du tout », 21% « plutôt pas »), contre 35% d’un avis inverse. Le rapport était de 65-34 en juin. Comme le mois dernier 1% des sondés ne se prononcent. En ce qui concerne le Premier ministre, ce sont 67% des personnes interrogées qui déclarent ne pas lui faire confiance (43% « pas du tout », 24% « plutôt pas »), contre 32% lui témoignant leur soutien (69% contre 30% en juin). 1% NSP.  Au palmarès des ministres, c’est toujours le locataire de la place Beauvau, Manuel Valls, qui est en tête avec une cote de confiance à 51% (inchangée depuis juin).  Marylise Lebranchu, ministre de la Réforme de l’État, de la Décentralisation et de la Fonction publique, enregistre la plus forte progression, sa cote gagnant quatre points par rapport à juin, à 30%.  Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, passe de 39% à 41%, se plaçant juste derrière M. Valls.  Le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius est rétrogradé de la 2e à la 3e place du classement avec 38%. Comme lui le ministre de l’Économie Pierre Moscovici (27%) perd deux points.

 

Sondage popularité Hollande : replongée

Sondage popularité  Hollande : replongée

 

Après une brève embellie en mai, François Hollande rechute dans un sondage effectué par BVA pour la presse régionale, Orange et L’Express et tombe à son plus bas niveau depuis son élection. Sur 1.060 personnes interrogées les 19 et 20 juin, 31% disent avoir une bonne opinion du chef de l’Etat, soit quatre points de moins que dans l’édition précédente. Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, le suit dans sa chute et perd trois points, à 30%. Seulement 31% des sondés jugent la politique menée par François Hollande et le gouvernement juste et 15% efficace. « Le mois dernier, dans la foulée d’un ‘cap’ politique plus clairement assumé par François Hollande, BVA comme tous ses confrères enregistrait (…) une remontée du président et du Premier ministre », rappelle l’institut de sondage. Depuis lors, « l’appel à une certaine modération salariale, le gel du point d’indice des fonctionnaires, les orientations du rapport Moreau (…) sur la réforme des retraites ont mis vent debout les syndicats et la base électorale de gauche de François Hollande », ajoute BVA. A quoi s’ajoute l’échec relatif, en termes d’audience, de son intervention télévisée du 16 juin sur M6, souligne l’institut, pour lequel les réformes envisagées déçoivent la gauche sans, pour le moment, convaincre la droite ou le centre. Le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, continue en revanche à bénéficier des faveurs de l’opinion publique : il est placé en tête des personnalités dont les sondés souhaitent qu’elles aient davantage d’influence dans la vie politique française, avec 52% d’avis favorables (+4). Il est suivi par le maire de Bordeaux et ancien ministre UMP Alain Juppé (47%, +3), et par l’ancien ministre centriste Jean-Louis Borloo (41%, -2). L’ex-président de la République Nicolas Sarkozy n’arrive qu’en septième position (38%, -1). Il est devancé par son ancien Premier ministre, François Fillon (39%, -2). La présidente du Front national (FN), Marine Le Pen, n’arrive qu’en 18e position (26%, -2) et le président de l’UMP, Jean-François Copé, à la 27e (19%, -2). Selon ce sondage réalisé avant le second tour de l’élection législative partielle de Villeneuve-sur-Lot, qui a vu la victoire d’un UMP devant un FN, l’idée d’un front républicain contre l’extrême droite reste forte. En cas de duel UMP-FN, 56% des sondés souhaitent que le PS appelle les électeurs à voter UMP, 12% FN et 28% à voter blanc ou s’abstenir. En cas de duel PS-FN, 47% des sondés souhaitent que l’UMP appelle les électeurs à voter PS, 24% FN et 27% à s’abstenir ou voter blanc.

 

Sondage popularité : Ayrault s’écroule

Sondage  popularité :  Ayrault s’écroule

Le total des mécontents augmente lui aussi de quatre points pour Jean-Marc Ayrault, atteignant 68%. Mais 8% ne se prononcent pas.  La popularité du chef du gouvernement avait déjà abandonné trois points au mois d’avril.  Selon Ipsos, Jean-Marc Ayrault « frôle le record d’impopularité mesuré pour un Premier ministre par ce baromètre en novembre 1996, lorsque Alain Juppé n’obtenait que 22% de bonnes opinions ». Le baromètre Ipsos n’existe que depuis janvier 1996.  L’institut relève que « c’est surtout dans son camp que Jean-Marc Ayrault voit son image se dégrader : 41% des sympathisants de gauche ont une bonne opinion de son action (en baisse de 10 points en un mois) contre une majorité de 50% (+7 points) qui sont à l’inverse critiques.  Même les sympathisants socialistes sont très partagés : seulement 49% d’entre eux portent un jugement favorable sur le Premier ministre (-11 points) contre 46% qui en ont un avis négatif ».  François Hollande, qui avait perdu cinq points le mois dernier, en perd un au mois de mai, avec 25% de satisfaits de son action. Les opinions défavorables progressent de deux points, pour s’élever à 72% (dont 38% d’avis « très défavorables »). 3% n’ont pas d’avis sur le président.   »Ces scores constituent un nouveau record d’impopularité pour un président de la République depuis la création du baromètre », précise Ipsos.  Comme son Premier ministre, ajoute-t-il, « François Hollande bascule dans l’impopularité même dans son propre camp : seulement 47% des sympathisants de gauche (-6 points par rapport à avril, -12 points en deux mois) lui accordent leur confiance, contre une majorité relative de 49% (+6 points) qui ne le font pas.  Auprès des sympathisants PS, c’est à peine mieux : il recueille 58% d’avis favorables (en baisse également, de 5 points), contre 39% de mauvaises opinions ».  D’autre part, Manuel Valls reste en tête du palmarès des dirigeants politiques, le ministre de l’Intérieur recueillant 55% d’avis favorables (+3). Il devance Bertrand Delanoë, qui fait un bond de sept points à 51% et Alain Juppé, stable à 49%.  A noter aussi les fortes progressions de François Bayrou (4e, à 48%), de Martine Aubry (12e, à 40%) qui gagnent chacun cinq points, et plus encore de Cécile Duflot (+ 8 à 38%, au 15e rang).

 

Sondage popularité : Hollande s’écroule à 26%, la descente aux enfers va continuer

Sondage  popularité : Hollande s’écroule à 26%, la descente aux enfers va continuer

Nous avions annoncé qu’Hollande perdrait au moins 5 points avec l’affaire Cahuzac, c’est fait ; il n’est plus qu’à 26% et il se dirige tout droit vers les 18% de Jospin. .En cause bien sûr les affaires (Cahuzac, son directeur de campagne, financier international, détenteur de comptes dans les paradis fiscaux etc.) mais surtout sa politique et son incompétence. C’est l’orientation globale qui est condamnée y compris chez ceux qui ont voté pour Hollande. Une orientation économique floue, contradictoire et aussi injuste incapable de faire face à l’enjeu central qu’est le chômage; c’est la majorité PS qui ne dispose plus de crédibilité, les français ne souhaitent même pas un changement de gouvernement qui ne changerait rien. Conclusion, Hollande va descendre dans les abimes d’ici la fin de l’année et un jour ou l’autre, il sera contraint de recomposer sa majorité avec un gouvernement d’unité nationale et/ou un gouvernement expert.   Les cotes de popularité de François Hollande et Jean-Marc Ayrault ont baissé de 5% en un mois pour tomber à 26% début avril, selon le baromètre Clai-Metro-LCI réalisé par Opinion Way et publié dimanche. Plus de sept Français sur dix (72%) considèrent par ailleurs que « changer de Premier ministre n’aurait aucun impact sur les difficultés actuelles du gouvernement », contre 27% qui pensent que ce « serait une réponse adaptée » à ces difficultés (1% sans opinion). Seulement 26% des personnes interrogées, soit 5% de moins qu’il y a un mois, se déclarent satisfaites « de l’action du président François Hollande » (3% très satisfaites et 23% assez satisfaites) contre 71% (+4) qui en sont mécontentes (34% assez mécontentes et 37% très mécontentes) et 3% sans opinion. Pour le Premier ministre Jean-Marc Ayrault, 26% également (-5) sont satisfaites (2% « très » et 24% « assez »), contre 69% mécontentes (37% « assez » et 32% « très ») et 5% sans opinion.

Sondage-Popularité : Hollande chute à 27%

Sondage-Popularité : Hollande chute à 27%

François Hollande est au plus bas. Avec seulement 31% des sondés qui soutiennent son action, le président de la République est tombé aussi bas après dix mois que Nicolas Sarkozy en quatre ans, d’après les résultats du sondage Ifop réalisé pour Paris Match. François Hollande a perdu du crédit principalement sur sa politique économique et sur la défense des intérêts français à l’étranger. Dans le premier cas, le président a perdu sept points de confiance, et se retrouve à 27% de satisfaits. Pour les intérêts de la France à l’étranger, les -5 points de confiance le font descendre à 58% de satisfaits, un chiffre qui reste positif du fait notamment de son engagement au Mali.

 

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