Archive pour le Tag 'sondage'

Sondage voitures thermiques : 86% des Français défavorables aux ZFE, selon le Sénat

Sondage voitures thermiques : 86% des Français défavorables aux ZFE, selon le Sénat

D’après une étude de Philippe Tabarot rapporteur au sénat du volet « Se déplacer » de la loi Climat et résilience , sur un panel composé à 7% de professionnels et à 93% des particuliers, 79% et 86% de ces derniers s’y déclarent défavorables notamment aux ZFE ( Zones avec Interdiction de circuler)

Il s’agit d’une mesure technocratique qui de surcroît crée une véritable rupture d’égalité d’accès au centre-ville selon que vous soyez aisé ou non ». Car sans surprise, plus un répondant vit loin du centre de l’agglomération, plus il a tendance à y être défavorable. Seuls 8% des habitants de communes rurales y sont favorables, contre 23% des habitants de centre-ville.

De même que le ressenti varie beaucoup selon la catégorie socioprofessionnelle, 25% des cadres étant favorables aux ZFE contre 11% des employés et 4% des ouvriers. Le premier frein au déploiement des ZFE réside en effet dans le coût d’acquisition des véhicules propres, jugé trop élevé pour 77% des particuliers, devant l’accessibilité insuffisante des métropoles depuis les zones périurbaines ou rurales (51%) et l’insuffisance d’offres de transports alternatifs (42%).

Sondage: le JDD au secours de Macron

Sondage: le JDD au secours de Macron

À deux jours d’intervalle, le JDD ( propriété de Bolloré) sort des sondages qui sont un peu plus favorable à Macron. D’après un sondage IFOP dans ce journal, la cote du président remonterait autour de 31 % même si près de 70 % condamnent sa politique. Dimanche, le JDD constate que Macron n’a pas de vrai concurrent !

Un sondage par ailleurs ambiguë qui mélange la popularité potentielle une fois au pouvoir et non l’audience au moment d’une élection. En outre, on mesure la popularité des concurrents par rapport à un Macron qui ne se représente pas ! Et le JDD d’affirmer que les Français peinent à trouver un remplaçant à Macron alors que les candidatures ne sont même pas déclarées. Bref un sondage particulièrement tordu sur le plan méthodologique.

« Quand on interroge les Français , ils seraient 30 % à estimer que Marine Le Pen ferait « mieux » que l’actuel chef de l’État si elle était aujourd’hui au pouvoir. Elle arrive en tête des personnalités testées, avec un score « jamais vu » pour la triple candidate à la présidentielle du Rassemblement national, ­souligne le directeur général de l’Ifop, Frédéric Dabi. Ils sont toutefois 40 % à juger qu’elle ferait « moins bien » et 30 % « ni mieux ni moins bien ».

La députée RN devance l’ex-Premier ministre Édouard Philippe (24 % des sondés pensent qu’il ferait « mieux », 16 % « moins bien » et 60 % ni l’un ni l’autre) et le ­leader Insoumis Jean-Luc Mélenchon (21 % jugent qu’il ferait « mieux », 46 % « moins bien » et 33 % ni l’un ni l’autre).

Automobiles -Sondage voitures thermiques : 86% des Français défavorables aux ZFE, selon le Sénat

Automobiles -Sondage voitures thermiques : 86% des Français défavorables aux ZFE, selon le Sénat

D’après une étude de Philippe Tabarot rapporteur au sénat du volet « Se déplacer » de la loi Climat et résilience , sur un panel composé à 7% de professionnels et à 93% des particuliers, 79% et 86% de ces derniers s’y déclarent défavorables notamment aux ZFE ( Zones avec Interdiction de circuler)

Il s’agit d’une mesure technocratique qui de surcroît crée une véritable rupture d’égalité d’accès au centre-ville selon que vous soyez aisé ou non ». Car sans surprise, plus un répondant vit loin du centre de l’agglomération, plus il a tendance à y être défavorable. Seuls 8% des habitants de communes rurales y sont favorables, contre 23% des habitants de centre-ville.

De même que le ressenti varie beaucoup selon la catégorie socioprofessionnelle, 25% des cadres étant favorables aux ZFE contre 11% des employés et 4% des ouvriers. Le premier frein au déploiement des ZFE réside en effet dans le coût d’acquisition des véhicules propres, jugé trop élevé pour 77% des particuliers, devant l’accessibilité insuffisante des métropoles depuis les zones périurbaines ou rurales (51%) et l’insuffisance d’offres de transports alternatifs (42%).

Sondage popularité Macron : une remontée grâce aux promesses tous azimuts

Sondage popularité Macron : une remontée grâce aux promesses tous azimuts

D’après étude BVA pour RTL publiée vendredi, le président de la République atteint 32% de bonnes opinions. Un regain d’adhésion après une chute liée au contexte social de ces derniers mois. Une remontée provenant surtout des promesses tous azimuts de Macron davantage en campagne électorale qu’en posture de président.

Macron atteint à 32% de popularité. Si le chef de l’État reste environ 10 points en dessous de l’étiage d’il y a un an, lors de sa réélection, il n’est plus à son plus bas niveau depuis la crise des gilets jaunes. À savoir, 26% de bonnes opinions parmi les sondés.

Emmanuel Macron parvient alors à atténuer les jugements les plus négatifs à son égard. Le pourcentage de Français ayant une «très mauvaise» opinion à son égard baisse ainsi de 5 points, de 41 à 36%. Autre donnée positive pour le président, il gagne 15 points auprès de sa base électorale du premier tour de la présidentielle, qui lui est favorable à 85%.

un point noir cependant pour le président et la chef du gouvernement : 67% des Français ont encore une mauvaise opinion du couple exécutif.

Sondage voitures thermiques : 86% des Français défavorables aux ZFE, selon le Sénat

Sondage voitures thermiques : 86% des Français défavorables aux ZFE, selon le Sénat

D’après une étude de Philippe Tabarot rapporteur au sénat du volet « Se déplacer » de la loi Climat et résilience , sur un panel composé à 7% de professionnels et à 93% des particuliers, 79% et 86% de ces derniers s’y déclarent défavorables notamment aux ZFE ( Zones avec Interdiction de circuler)

Il s’agit d’une mesure technocratique qui de surcroît crée une véritable rupture d’égalité d’accès au centre-ville selon que vous soyez aisé ou non ». Car sans surprise, plus un répondant vit loin du centre de l’agglomération, plus il a tendance à y être défavorable. Seuls 8% des habitants de communes rurales y sont favorables, contre 23% des habitants de centre-ville.

De même que le ressenti varie beaucoup selon la catégorie socioprofessionnelle, 25% des cadres étant favorables aux ZFE contre 11% des employés et 4% des ouvriers. Le premier frein au déploiement des ZFE réside en effet dans le coût d’acquisition des véhicules propres, jugé trop élevé pour 77% des particuliers, devant l’accessibilité insuffisante des métropoles depuis les zones périurbaines ou rurales (51%) et l’insuffisance d’offres de transports alternatifs (42%).

Sondage immigration : soutien des Français à la proposition des « Républicains »

Sondage immigration : soutien des Français à la proposition des « Républicains »


Nombre de propositions formulées par le parti des « républicains » reçoivent le soutien d’une grande partie des Français selon le dernier sondage Odoxa Backbone consulting réalisé pour Le Figaro. 70 à 80 % des sondés apportent leur soutien aux principales propositions comme l’obligation pour les demandeurs d’asile de formuler leur requête avant d’être sur le territoire français (79%), des quotas fixés chaque année par le Parlement (74%) ou de la possibilité de soumettre la politique migratoire à référendum (72%).

Les Français veulent également rendre le pays moins attractif socialement (68%), inscrire dans la Constitution le principe d’assimilation (66%) et même déroger aux traités européens (62%). Le soutien se retrouve du côté des sympathisants LR, mais aussi de ceux de la majorité présidentielle, Renaissance. Les personnes interrogées sont à l’inverse très critiques envers l’exécutif – 72% d’entre eux ayant une mauvaise opinion de l’action en la matière, à l’exception des sympathisants macronistes.

Les propositions des LR apparaissent également en cohérence avec le jugement des citoyens, de plus en plus sévères à l’égard de l’immigration. 74% d’entre eux considèrent qu’il y a trop d’immigrés en France – onze points de plus en cinq ans -, et seuls 55% estiment que le pays doit accueillir les réfugiés qui demandent l’asile parce qu’ils sont persécutés dans leur pays (-10 points). Un constat que l’on retrouve chez les sympathisants du Rassemblement national (97%), ceux des Républicains (91%), de Renaissance (68%) et même des socialistes (52%) et des écologistes (51%). Seuls les sympathisants de La France insoumise demeurent encore minoritaires (44%).

L’opinion diverge en revanche avec l’analyse des Républicains sur un point. Les mesures gouvernementales consacrées à l’intégration des immigrés déjà présents rencontrent un certain succès, à l’instar de la possibilité donnée aux demandeurs d’asile de travailler dès le dépôt de la demande de régularisation (59%) et de la création d’un titre de séjour pour les travailleurs sans-papiers dans les métiers en tension (58%). Cette dernière proposition est depuis plusieurs mois ardemment défendue par le ministre du Travail, Olivier Dussopt, mais aussi présentée comme une «ligne rouge» par le parti d’Éric Ciotti.

«Sur l’immigration, la pensée des Français est finalement ‘complexe’, en quelque sorte un ‘en même temps’ : réduire le nombre d’arrivées mais nous montrer plus inclusifs pour les immigrés déjà sur notre territoire», en conclut Céline Bracq, directrice générale d’Odoxa.

Sondage intervention Macron à la télé : sans intérêt pour 70 % des Français

Sondage intervention Macron à la télé : sans intérêt pour 70 % des Français

L’omniprésence de Macron dans les médias a pour conséquence de saturer l’opinion publique qui a jugé pour 70 % sa dernière intervention à la télé sans intérêt.

À l’issue de son interview télévisée lundi soir au 20 heures de TF1, 68% des Français l’ont jugé «plutôt pas convaincant», selon les résultats d’un sondage Odoxa. Pire, 39% n’ont pas du tout suivi l’intervention du chef de l’État, ni en direct, ni en revoyant des extraits ou des commentaires. Un chiffre record de non-intérêt pour une intervention du Président de la République. Emmanuel Macron enregistre ainsi son 3e plus mauvais score de «conviction» depuis cinq ans. Pourtant, derrière ce mauvais résultat, se cachent plusieurs indices d’un léger frémissement de l’opinion en faveur du chef de l’État.

«Si ce bilan est mauvais, il est tout de même significativement meilleur que celui de ses deux dernières interventions», observe Gaël Slimane, le président d’Odoxa. Pour sa dernière allocution officielle, le 18 avril dernier à propos de la réforme des retraites déjà, seulement 22% des Français l’ayant écouté s’étaient dits convaincus.

Sondage Macron : une intervention télé sans intérêt pour 70 % des Français

Sondage Macron : une intervention télé sans intérêt pour 70 % des Français

L’omniprésence de Macfon dans les médias a pour conséquence de saturer l’opinion publique qui a jugé pour 70 % sa dernière intervention à la télé sans intérêt.

À l’issue de son interview télévisée lundi soir au 20 heures de TF1, 68% des Français l’ont jugé «plutôt pas convaincant», selon les résultats d’un sondage Odoxa. Pire, 39% n’ont pas du tout suivi l’intervention du chef de l’État, ni en direct, ni en revoyant des extraits ou des commentaires. Un chiffre record de non-intérêt pour une intervention du Président de la République. Emmanuel Macron enregistre ainsi son 3e plus mauvais score de «conviction» depuis cinq ans. Pourtant, derrière ce mauvais résultat, se cachent plusieurs indices d’un léger frémissement de l’opinion en faveur du chef de l’État.

«Si ce bilan est mauvais, il est tout de même significativement meilleur que celui de ses deux dernières interventions», observe Gaël Slimane, le président d’Odoxa. Pour sa dernière allocution officielle, le 18 avril dernier à propos de la réforme des retraites déjà, seulement 22% des Français l’ayant écouté s’étaient dits convaincus.

Sondage impôts: en augmentation pour 42 % des Français

Sondage impôts: en augmentation pour 42 % des Français

Selon un sondage Elabe pour « Les Echos » et l’Institut Montaigne , 42 % des Français on impression que la fiscalité a augmenté

Seul un peu plus d’un quart des Français (28 %) estime payer moins d’impôts. Petite consolation pour le chef de l’Etat : c’est le cas de la majorité de ses électeurs (61 %) alors que ceux de Jean-Luc Mélenchon jugent majoritairement qu’ils sont davantage taxés qu’auparavant. « C’est un élément du bilan d’Emmanuel Macron qui n’imprime pas », relève Vincent Thibault, directeur conseil opinion chez Elabe.

Derrière le scepticisme des personnes interrogées, une autre critique s’élève : plus de trois quarts considèrent que l’argent du contribuable est mal dépensé. Un sentiment persistant qui a conduit le gouvernement à lancer mi-avril la campagne « En avoir pour mes impôts » visant en particulier les classes moyennes, qui ont des « doutes » sur l’utilisation qui en est faite. L’enquête montre l’ampleur du chantier.

Plus d’un sur deux (53 %) pensent contribuer au système plus qu’ils n’en bénéficient. Si ce sentiment a nettement reflué depuis la crise des « gilets jaunes », « le gouvernement n’est pas parvenu à inverser la tendance », constate Vincent Thibault. Seules 8 % des personnes se disent gagnantes.

SONDAGE élections Européennes : FN Et gauche en tête

SONDAGE élections Européennes : FN et gauche en tête


D’après un sondage publié dans le JDD, Le FN et la gauche unie serait en tête lors d’élection européenne. La majorité se ratatine à 22 %. Le parti républicain devient marginal à 8 %

Avec 25 % (26 % dans l’hypothèse d’une gauche réunie) pour une liste conduite par Jordan Bardella, le Rassemblement national (RN) conserve la première place qu’il avait acquise en 2019, avec 23,5 % des suffrages. . Et fait même mieux que ses 24,8 % de 2014. Et ce, malgré la concurrence de la liste Reconquête conduite par Éric Zemmour et Marion Maréchal, qui avec 6 % avoisine le score du premier à la présidentielle de 2022.À égalité avec le FN, la gauche unie recueillerait aussi 25 %. La majorité elle recule et n’obtient que 22 %. et le parti républicain à 8 %.

Si les partis de la Nupes se présentaient séparément, le Parti socialiste (avec Raphaël Glucksmann en tête de liste), La France insoumise (avec Manon Aubry) et Europe Ecologie les Verts (avec David Cormand) recueillent chacun 10 % des intentions de vote, tandis que le PCF (avec Fabien Roussel) en obtient 5 %.Un score supérieur de 10 % pour la gauche séparée par rapport à la gauche unie.

Sondage qualité services publics : près de 60 % des Français mécontents de la qualité

Sondage qualité services publics : près de 60 % des Français mécontents de la qualité

Les Français sont mécontents des services publics. Pour eux, les priorités sont les suivantes: La santé pour54 %.
Suivent l’Éducation (46 %), la sécurité et la Défense (30 %), les retraites (28 %), l’environnement (23 %), la justice à égalité avec l’énergie (15 %), le remboursement de la dette publique (14 %), la famille (13 %), le soutien à l’économie (12 %), et, sous la barre des 10 %, les solidarités, la lutte contre le chômage, les transport, les services généraux ou encore la culture et le sport.

Selon une étude Ifop réalisée pour Contribuables associés et dévoilée par le JDD, une majorité des Français estiment que le montant des impôts et taxes est trop important. Eu égard de ce qu’ils paient, ils sont aussi majoritaires à être mécontents de la qualité des services publics. En particulier dans le secteur de la santé.

66 % des Français estiment que le montant des impôts et des taxes est trop important. À l’inverse, 34 % des personnes interrogées considèrent le niveau d’imposition comme acceptable.

59 % des Français sont mécontents de la qualité des services publics, quand 30 % sont, au contraire, satisfaits.

Hôpital public: Pour 81 % des personnes interrogées, la qualité et l’efficacité des services s’y sont dégradées.

Suivent l’Éducation (74 % des Français constatent une dégradation des services), la sécurité (68 %), la justice (67 %) et enfin les transports (57 %).

Enfin, le sondage de l’Ifop interroge les Français sur les secteurs prioritaires que devraient financer leurs impôts. De loin, c’est celui de la santé et de l’Assurance maladie qui apparaît en tête du classement avec 54 %. Pour 24 % des personnes interrogées, ce secteur devrait même être « la première priorité ».

Suivent l’Éducation (46 %), la sécurité et la Défense (30 %), les retraites (28 %), l’environnement (23 %), la justice à égalité avec l’énergie (15 %), le remboursement de la dette publique (14 %), la famille (13 %), le soutien à l’économie (12 %), et, sous la barre des 10 %, les solidarités, la lutte contre le chômage, les transport, les services généraux ou encore la culture et le sport.

* Méthodologie
Enquête réalisée selon la méthode des quotas auprès d’un échantillon de 1 000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La marge d’erreur se situe entre 1,4 et 3,1 points. Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne du 21 au 24 avril 2023.

Sondage–ACHATS ALIMENTAIRES : Les Français se serrent la ceinture

Sondage–ACHATS ALIMENTAIRES : Les Français se serrent la ceinture

Pour l’institut Elabe pour BFMTV*, plus de 8 sondés (81%) sur 10 disent avoir renoncé au moins une fois à une catégorie de dépenses ces derniers mois (alimentaires, shopping, vacances, soins, etc.) Et presque la moitié 46 % avoue s’être sérieusement serré la ceinture en matière de dépenses

Les renoncements d’achats alimentaires sont en hausse depuis novembre (43%, +4 points), sans doute en lien avec l’envolée des prix qui se poursuit en rayons et frôle désormais les 15%.

Dans ces conditions, les Français disent se priver tout particulièrement de viande (43%), de poisson (34%), de gâteaux et biscuits (27%), de produits bio (26%) et de charcuterie (26%). Ils changent aussi leurs habitudes en achetant des produits moins chers qu’avant (44%) ou en achetant de plus petites quantités (30%).

Mais plus que l’alimentaire, les Français ont surtout renoncé à dépenser pour des sorties shopping (53%, +2 points), des sorties cinéma, au restaurant ou bar (49%, -2 points) ou des départs en vacances ou en week-end (45%, -3). Un tiers (34%, -3 points) des personnes interrogées disent également ne pas avoir chauffé convenablement leur logement ces derniers mois, tandis que 20% ont renoncé à faire un don à des associations (-5) et 17% à des soins.

Ces privations traduisent la difficulté des Français à faire face à l’inflation. 79% d’entre eux déclarent ainsi devoir « se serrer la ceinture » par rapport à leur train de vie habituel, dont 25% « beaucoup ». Et si 55% assurent finalement pouvoir boucler leurs fins de mois en mettant de l’argent de côté (18%) ou sans trop se restreindre (37%), 45% affirment au contraire devoir se restreindre (32%) ou même puiser dans leurs réserves ou emprunter de l’argent (13%) pour y parvenir.

Sondage fiscalité : en augmentation pour 42 % des Français

Sondage fiscalité : en augmentation pour 42 % des Français

Selon un sondage Elabe pour « Les Echos » et l’Institut Montaigne , 42 % des Français on impression que la fiscalité a augmenté

Seul un peu plus d’un quart des Français (28 %) estime payer moins d’impôts. Petite consolation pour le chef de l’Etat : c’est le cas de la majorité de ses électeurs (61 %) alors que ceux de Jean-Luc Mélenchon jugent majoritairement qu’ils sont davantage taxés qu’auparavant. « C’est un élément du bilan d’Emmanuel Macron qui n’imprime pas », relève Vincent Thibault, directeur conseil opinion chez Elabe.

Derrière le scepticisme des personnes interrogées, une autre critique s’élève : plus de trois quarts considèrent que l’argent du contribuable est mal dépensé. Un sentiment persistant qui a conduit le gouvernement à lancer mi-avril la campagne « En avoir pour mes impôts » visant en particulier les classes moyennes, qui ont des « doutes » sur l’utilisation qui en est faite. L’enquête montre l’ampleur du chantier.

Plus d’un sur deux (53 %) pensent contribuer au système plus qu’ils n’en bénéficient. Si ce sentiment a nettement reflué depuis la crise des « gilets jaunes », « le gouvernement n’est pas parvenu à inverser la tendance », constate Vincent Thibault. Seules 8 % des personnes se disent gagnantes.

Démocratie–Sondage Libertés individuelles: 64% des Français inquiets

Démocratie–Sondage Libertés individuelles: 64% des Français inquiets

Un sondage Ifop pour l’Opinion et la Fondation Concorde révèle que 64 % des Français considèrent que les libertés individuelles se sont affaiblies ces dix dernières années. La liberté d’expression et le droit de propriété leur apparaissent particulièrement en danger

Les faits – L’Opinion publie son sondage annuel sur les Français et le libéralisme, en partenariat avec la Fondation Concorde. Emmanuel Macron n’est plus considéré comme le meilleur représentant des idées libérales, il se fait devancer d’un point par Edouard Philippe.

Quant au rapport des Français au libéralisme, celui-ci semble toujours ambivalent : le terme reste clivant, mais les sondés sont attachés aux libertés individuelles, qui leur paraissent aujourd’hui menacées.
Depuis dix ans, nos libertés individuelles se seraient affaiblies. C’est en tout cas la perception qu’en ont 64 % des Français, selon le sondage réalisé par l’Ifop (*) pour l’Opinion et la Fondation Concorde.

Parmi les dirigeants d’entreprise, ils sont même 78 % à le penser. Ce sentiment est aussi très fort chez les électeurs de gauche (73 %) ainsi que chez ceux du RN et Reconquête (82 %). Il est bien moindre chez les électeurs de la majorité présidentielle (41 %).

Sondage Libertés individuelles: 64% des Français inquiets

Sondage Libertés individuelles: 64% des Français inquiets

Un sondage Ifop pour l’Opinion et la Fondation Concorde révèle que 64 % des Français considèrent que les libertés individuelles se sont affaiblies ces dix dernières années. La liberté d’expression et le droit de propriété leur apparaissent particulièrement en danger

Les faits – L’Opinion publie son sondage annuel sur les Français et le libéralisme, en partenariat avec la Fondation Concorde. Emmanuel Macron n’est plus considéré comme le meilleur représentant des idées libérales, il se fait devancer d’un point par Edouard Philippe.

Quant au rapport des Français au libéralisme, celui-ci semble toujours ambivalent : le terme reste clivant, mais les sondés sont attachés aux libertés individuelles, qui leur paraissent aujourd’hui menacées.
Depuis dix ans, nos libertés individuelles se seraient affaiblies. C’est en tout cas la perception qu’en ont 64 % des Français, selon le sondage réalisé par l’Ifop (*) pour l’Opinion et la Fondation Concorde.

Parmi les dirigeants d’entreprise, ils sont même 78 % à le penser. Ce sentiment est aussi très fort chez les électeurs de gauche (73 %) ainsi que chez ceux du RN et Reconquête (82 %). Il est bien moindre chez les électeurs de la majorité présidentielle (41 %).

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