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SONDAGE MACRON- 53% des Français pas convaincus

SONDAGE MACRON- 53% des Français pas convaincus

 

on peut se demander s’il n’y a pas une certaine usure de la parole macronique  surtout comparée à celle de son Premier ministre moins lyrique mais plus précis. Pour ne fâcher personne, Macon tente de rallier partisans et posant et pour cela évite les oppositions de principe. Bref il dit tout mais pas grand chose en même temps. C’est l’analyse de la plupart des médias : une intervention pour pas grand-chose sinon d’autosatisfaction. La preuve les Français eux-mêmes n’ont pas été convaincus

ils sont 53% des sondés à avoir qualifié de  »pas convaincant » le discours du président de la République. Là, la division se fait de manière suivante: 33% des Français l’ont trouvé « plutôt pas convaincant », et 20% « pas convaincant du tout. »

L’heure est également aux bilans, alors que la deuxième phase de déconfinement est largement entamée sur l’ensemble du pays. Ainsi, 46% des sondés estiment qu’Emmanuel Macron a été à la hauteur de la situation pendant la crise du coronavirus, un chiffre qui bondit de 9% par rapport à la dernière enquête à ce sujet, qui datait des 19 et 20 mai dernier. A l’inverse, 54% des Français estiment que le président de la République n’a pas été à la hauteur de la crise, un chiffre en baisse de 8 points.

Logiquement, ce sont les soutiens de LaREM qui semblent les plus satisfaits d’Emmanuel Macron lors de cette crise sanitaire (94%, contre 6% d’insatisfaits). En outre, les sondés les plus critiques se trouvent du côté de la France insoumise (73% d’insatisfaits) et du Rassemblement national (83% d’insatisfaits).

En ce qui concerne Emmanuel Macron, Édouard Philippe, et son gouvernement, là aussi une tendance de sondés satisfaits de l’exécutif semble ressortir. Ainsi, à la question concernant la gestion de la crise, 42% des sondés estiment que « La crise a été gérée du mieux possible étant donné les circonstances », une augmentation de 9 points par rapport à la dernière enquête. Ils sont toutefois 57%, (9 points de moins), à estimer que « La crise a été mal gérée, il y a eu des problèmes qui auraient pu être évités. »

un bon point toutefois pour macro, Dans le détail des annonces faites, celles qui portent sur le déconfinement à l’intérieur du territoire français trouvent un bon écho. Ainsi, en ce qui concerne « la réouverture totale des cafés et restaurants en Ile-de-France », 55% des sondés se disent favorables à cette mesure. Pour « la décentralisation de certaines prises de décisions » et « le passage en zone verte de tout le territoire métropolitain », ils sont respectivement 53 et 54% à se dire d’accord avec ces décisions.

Pour autant, les Français semblent plus divisés sur certains points. Par exemple, « la possibilité de se déplacer entre les pays européens » regroupe 27% des mécontents, tandis que l’idée de « la réouverture totale des crèches, écoles et collèges de manière obligatoire » et « la possibilité de se rendre dans les pays hors d’Europe à partir du 1er juillet » sont mal reçues par 24 et 30% des sondés.

Les préoccupations des Français

Pour autant, les Français semblent, de manière écrasante, inquiets pour le futur. ainsi, 87% des sondés se disent préoccupés par la situation économique du pays, tandis qu’ils sont 83% à se dire inquiets quant au niveau de la dette publique.

Plus loin, 55% des sondés estiment que leur situation financière pourrait devenir un sujet de préoccupation, et 37% se disent inquiets de la perte de leur emploi.

 

Étude ELABE réalisée pour BFMTV sur un échantillon échantillon de 1012 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée selon la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes: sexe, âge et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération. L’interrogation a été réalisée par Internet le 15 juin 2020.

75% des Français condamnent l’injustice de la politique de Macron (sondage Elabe)

75% des Français condamnent l’injustice de la politique de Macron (sondage Elabe)

 

 

Visiblement l’omniprésence de Macron dans les médias n’aura pas changé grand-chose quant à l’appréciation des Français sur l’efficacité et la justice de la politique économique et sociale du gouvernement. On se demande même si ce trop-plein de présence médiatique ne finit  pas par lasser. Le problème de Macron, c’est l’énorme décalage entre des discours relativement ésotériques et sa pratique. Certes Macron est brillant et sa dialectique annihile toute contestation mais il s’agit d’une sorte de délire voir de diarrhée verbale qui ne mord pas sur l’opinion. Il y a en outre quelque chose de faux dans la tonalité de Macron qui fait trop de concessions à la discipline théâtrale au détriment et de la vérité. Toujours est-il que 75% des Français estiment dans un sondage Elabe pour BFM que les orientations définies par le président de la République et le gouvernement sont injustes, car elles ne répartissent pas équitablement les efforts selon les capacités de chacun. Un taux en chute de trois points par rapport à la précédente mesure établie le 14 juinDans le détail, 83% des classes populaires, groupant les salariés et les ouvriers, pointent cette injustice.

Nos concitoyens sont ensuite 76%, là encore en baisse de trois points, à estimer que la politique actuelle est inefficace pour réduire les inégalités entre les territoires. Pour améliorer le pouvoir d’achat alors? Pas davantage, pour 75% de nos compatriotes malgré une décote de deux points. 78% des inactifs, dont les retraités, fustigent d’ailleurs ce manque d’emprise sur la courbe du pouvoir d’achat.

Réduire les déficits publics avec un tel cap, il ne faut pas y penser non plus, pour 73% des personnes sollicitées, une décrue de cinq points. Plus largement, ils sont 69%, après une glissade de deux points, à dire que la politique de l’exécutif ne permet pas d’améliorer la situation du pays. 66% des Français, une statistique cette fois stable, affirment que celle-ci est inefficace pour relancer l’économie.

Sondage: la France en déclin pour 9 Français sur 10

Sondage: la France en déclin pour 9 Français sur 10

Selon un sondage Ipsos-Sopra Steria publié mercredi près de neuf Français sur dix (86%, +7 par rapport à avril 2015), la France « est en déclin », mais 62% (+9) d’entre eux considèrent que « ce n’est pas irréversible », selon ce sondage sur « les fractures françaises » pour Le MondeSciencesPo et la Fondation Jean-Jaurès. Besoin d’autorité : ils sont 88% (+3) à souhaiter « un vrai chef en France pour remettre de l’ordre » et 87% (-1) considèrent que « l’autorité est une valeur trop souvent critiquée ». Le souhait de voir rétablie la peine de mort s’atténue en revanche (48%, -4) après une poussée en 2015. Les PME restent au top des structures et institutions auxquelles les Français font confiance (82%, -2), devant l’armée (81%, +1), la police (79%, +2) et l’école (75%, +1). Mais la confiance dans la justice (49%, -1), les banques (36%, -5), les médias (28%, +1), l’Union européenne (27%, -8), le Parlement (27%) ou les partis politiques (8%, -1) s’effrite. En trois ans, l’image du système et de la classe politique s’est fortement dégradée. Pour 72% (+6) des personnes interrogées, « la plupart des hommes et des femmes politiques sont corrompus » et pour 83% (+7) « le système démocratique fonctionne mal en France ». Le modèle démocratique est d’ailleurs de plus en plus critiqué : pour 70% (-4) il reste « irremplaçable », mais pour 30% (+4), d’autres systèmes peuvent être « aussi bons ». Pour sept Français sur dix (70%, +1), la société « évolue vers trop d’assistanat ». La défiance à l’égard du monde extérieur reste forte: pour 58% (+2) des personnes interrogées, la mondialisation est « une menace pour la France » et, pour 74% (+2), « il faut renforcer les pouvoirs de notre pays, même si cela doit conduire à limiter ceux de l’Europe« . Toujours attachés à la monnaie unique, les Français souhaitent à 73% (-2) que la France « reste dans la zone euro ». Pour 65% (-2) d’entre eux, « il y a trop d’étrangers en France » et pour 58% (+2) « les immigrés ne font pas d’efforts pour s’intégrer ». Conséquence des attentats de 2015, l’intégrisme religieux est pour 83% (+2 en un an et +14 depuis 2014) des Français un problème « de plus en plus préoccupant dont il faut s’occuper sérieusement ». La colère (79%) et l’inquiétude (74%) perdurent dans l’opinion quand ont évoque les attaques terroristes de Paris et Bruxelles, loin devant la peur (47%) et la haine (43%). Le sentiment d’ »être en guerre » recule par ailleurs (62%, -13) par rapport au lendemain des attentats de novembre 2015.

 

Sondage régionales: la droite (35%) le FN (26%) et le PS (23%) au premier tour

Sondage régionales: la droite (35%) le FN (26%) et le PS (23%) au premier tour

 

 

Selon un  sondage Odoxa – BFMTV Les Républicains et leurs alliés centristes obtiendraient 35% des voix, le Front national 26% et le Parti socialiste 23%, au premier tour de ce scrutin s’il se déroulait ce dimanche, selon notre sondage Odoxa – BFMTV, réalisé en partenariat avec Le Parisien-Aujourd’hui en France, et dévoilé ce jour. . Le Front de Gauche recueillerait 7% des suffrages, Europe Ecologie-Les Verts 3%, soit autant que Debout la France, l’extrême gauche 2%, selon les résultats de cette enquête. Donnée non négligeable: 27% des personnes interrogées n’ont pas exprimé d’intention de vote, a précisé l’institut. Outre « un rapport de force ultra-favorable à la droite parlementaire », les auteurs du sondage voient dans ces éléments la possibilité pour le FN, « s’il confirmait ce score en décembre », de dépasser le résultat des départementales, et considèrent que « le problème principal du PS réside dans la faiblesse du réservoir des voix de gauche en vue des seconds tours ».  Enquête réalisée par internet les 24 et 25 septembre auprès d’un échantillon de 929 inscrits sur les listes électorales issu d’un échantillon de 1.005 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas). Dans un échantillon de 1.000 personnes, si le pourcentage observé est de 20%, la marge d’erreur est égale à 2,5%, selon l’institut Odoxa. 

Sondage- vœux Hollande : moins suivis

Sondage- vœux Hollande : moins suivis

Hollande na pas fait un tabac pour ses vœux de fin 2014. Deux raisons sans doute d’abord sa cote de popularité au plus bas et surtout le coté réchauffé de ses proposition ‘ pacte de responsabilité, réforme régionale, loi Macron) avec une une nouvelle sauce environnementale ; Mais un terrain qui n’attire pas les foules au moment où le chômage, le pouvoir d’achat et la fiscalité constituent les principales préoccupations. En outre cette fameuse conférence climat ne se déroulera que fin 2015 et il paraît peu probable que Chinois et Etats Unis acceptent des contraintes avant 2030. Les vœux du Président de la République pour le nouvel an ont donc été regardés par seulement 9,8 millions de téléspectateurs, moins que les précédentes éditions de 2013 et 2012.  Finalement c’est encore beaucoup. !  François Hollande a fait de la combativité, l’ »audace » et la « confiance » les maîtres-mots de ses vœux au Français. Pourtant, côté audience, il y a eu un coup de moins bien. Mercredi soir, veille du nouvel an, le président de la République n’a mobilisé que 9,8 millions de téléspectateurs, moins qu’en 2013 et 2012. L’an dernier, l’intervention avait séduit 10 millions de personnes, et 11,6 en 2012. Selon les chiffres d’audience, les téléspectateurs ont préféré regarder le chef de l’Etat leur souhaiter une bonne année sur TF1 (3,8 millions de personnes), plutôt que sur France 2 (2,6 millions), France 3 (1,8 million) M6 (1,4 million) et surtout France O, qui n’a tenté que 11.000 personnes. Un tout petit peu plus que les vœux de la ministre de l’Outre-mer George Pau-Langevin (10.000 téléspectateurs).

Sondage Hollande : une nouvelle baisse pour payer le mensonge de l’inversion du chômage

Sondage Hollande : une nouvelle baisse pour payer le mensonge de l’inversion du chômage

 

Hollande paye la note du mensonge sur l’inversion du chômage sans doute aussi ses frasques dans sa vie personnelle. il tombe à 23%, record historique d’impopularité. Avec moins d’un Français sur quatre approuvant son action, le président de la République, qui avait regagné trois points le mois précédent, « égale le plus bas niveau atteint depuis le début du quinquennat » (23% en décembre dernier), précise l’Ifop.  76% des personnes interrogées (+3) déclarent désapprouver l’action du chef de l’Etat. 1% ne se prononce pas.  Selon le politologue Jean-Luc Parodi, le nouveau recul de François Hollande serait d’abord imputable à « la nouvelle hausse du chômage » (+ 10.200 en décembre pour les demandeurs d’emploi ne travaillant pas du tout), « imprudemment mise en scène par l’exécutif » qui tablait sur une inversion de la courbe fin 2013.  Ce sujet, note M. Parodi, « arrive en tête des sujets de conversation » – il est cité par 67% des sondés -, nettement devant l’annonce de la séparation entre François Hollande et Valérie Trierweiler (59%).   »Le virage de la politique économique (du président, ndlr), suggéré par ses derniers discours et l?annonce du pacte de responsabilité, semble avoir effrayé ses partisans », soutient l’Ifop, avec un recul de plus de dix points d’approbation de l’action présidentielle chez les sympathisants du Front de Gauche et d?Europe Ecologie Les Verts.  Sur son trait d’image le moins défavorable – la défense des intérêts de la France à l’étranger -, le chef de l’Etat perd cinq points, à 49%.  Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault régresse également de trois points, tombant à 30% d’approbation. 68% (+2) n’approuvent pas son action. 2% ne se prononcent pas. Le chef du gouvernement est tout proche de son plus bas niveau (29% en décembre 2013).  La baisse du Premier ministre, affirme l’Ifop, « n’est pas du même ordre que celle du président de la République », puisqu’il progresse auprès des sympathisants du PS et du Front de gauche. Il perd en revanche 12 points auprès de l’électorat écologiste.  Les mouvements concernant des sous-catégories d’un échantillon doivent toutefois être interprétés avec prudence, en raison de leur faiblesse numérique.  La désaffection augmente pour M. Ayrault s’agissant de sa politique sociale (-3) et de sa politique économique (-2).  Enfin, l’opposition progresse fortement. 42% des sondés (+5) estiment qu’elle ferait mieux que le gouvernement si elle était au pouvoir, une nette majorité (57%) pensant toutefois l’inverse.  Sondage réalisé par téléphone du 31 janvier au 1er février auprès d’un échantillon de 1.007 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Méthode des quotas. Marge d’erreur variant entre 1,4 et 3,1 points.

 

Sondage popularité : Hollande stable

Sondage popularité : Hollande stable

 

Les Français sont un peu moins critiques avec François Hollande. Selon un sondage BVA pour I>TELE, CQFD et Le Parisien Aujourd’hui en France, l’érosion de son image dans l’opinion est “stoppée”. Interrogés sur cinq qualificatifs s’appliquant au président de la République, les sondés, même s’ils restent majoritairement critiques, le sont un peu moins depuis deux mois. Ainsi, à savoir si François Hollande est « compétent », 37% des sondés acquiescent, contre 36% en avril. La chute brutale depuis septembre s’achève 34% (+1 point par rapport à avril) pensent qu’il est « capable de prendre les décisions qui s’imposent, 30% (+3 points) qu’il « explique bien son action », 29% (+2 points) qu’il est « rassembleur » et enfin 22% (+3 points) qu’il est « dynamique ». « Si l’on excepte la parenthèse malienne, le chef de l’Etat avait connu une chute brutale entre septembre 2012 et avril 2013 sur certains critères comme le dynamisme (-8 points) ou l’explication de son action (-5 points) », rappelle BVA pour qui « cette érosion est stoppée ». François Hollande regagne des points « en particulier sur l’explication de son action et son dynamisme ». « La vision des Français sur François Hollande évolue donc positivement ces deux derniers mois, le cap choisi et explicité, s’il déplaît à une partie de la population (en particulier les catégories populaires — ouvriers et employés), lui permet de retrouver un peu d’oxygène », poursuit l’institut de sondage. « Mais il faudra toutefois attendre les prochains mois pour voir s’il s’agit d’un simple sursaut ou d’un mouvement de fond », avertit-il. Quant à la « volonté plus grande » de François Hollande et du gouvernement de réformer le pays, 43% des sondés le leur reconnaissent contre 55% pas, soit un écart de 12 points, à mettre en regard avec un écart de 33 points il y a trois mois. »Malgré les mauvaises nouvelles sur le front économique, il semble que les dernières positions du chef de l’Etat (dette, réforme des retraites, discours aux obsèques de Pierre Mauroy) et son cap de plus en plus assumé de social-démocrate voire social-libéral portent leurs fruits », analyse BVA. En revanche, sur le « sentiment de voir François Hollande mieux exercer sa fonction présidentielle », les Français restent toujours très critiques: 28% répondent oui contre 68% qui répondent négativement.

 

Sondage : les français se méfient des grandes banques

Sondage : les français se méfient des grandes banques

 

 « Dire que les banques se sont débarrassées de leur mauvaise image, c’est à la fois vrai et faux, car cela dépend des banques », tempère Claude Posternak, président de La Matrice, qui réalise ce baromètre trimestriel. « LCL, BNP Paribas et la Société Générale n’apparaissent qu’en bas du classement », souligne-t-il. Le palmarès resserré sur les seuls établissements bancaires montre que l’opinion distingue un groupe de banques mutualistes et coopératives, largement dominé par le Crédit Mutuel, dont l’indice d’image (le solde entre les pourcentages de bonne et de mauvaise image) a connu une hausse de 12 points. Tous les indicateurs de la banque présidée par Michel Lucas sont au vert : elle plaît autant aux hommes qu’aux femmes, en Ile-de-France comme en régions, avec une assez grande homogénéité sur les différentes tranches d’âge et de revenus des Français. L’importance de ses campagnes de communication fondée sur la vérité de ses prix n’y est sans doute pas étrangère.  La Banque Postale et le CIC (groupe Crédit Mutuel) intègrent cet ensemble de tête, plutôt apprécié des Français. Alors que les produits distribués par les différentes banques restent finalement assez proches, les consommateurs ventilent leurs affinités en fonction de la nature des banques, le mutualisme ou le caractère public de La Banque Postale étant dans l’air du temps.  Dans cette logique, le Crédit Agricole, fondamentalement mutualiste, mais qui a fait le choix d’introduire en Bourse en décembre 2001 son organe central Crédit Agricole SA (Casa), décroche dans le classement. L’établissement se situe ainsi aujourd’hui entre le pôle de tête mutualiste et le pôle des banques dites « commerciales » : LCL, BNP Paribas et la Société Générale, qui ferment la marche, avec des indices d’image respectifs peu élevés. Pour l’opinion, la Banque verte fait parler d’elle non seulement par son slogan publicitaire, « le bon sens a de l’avenir », et sa communication ciblée sur ses racines coopératives, mais aussi beaucoup par ses déboires en Grèce, où Casa vient de solder au prix fort l’aventure de sa filiale Emporiki. Et, finalement, pour cette vague trimestrielle du baromètre, le Crédit Agricole est le seul groupe dont l’image ne s’améliore pas.

Sondage-gouvernement : 73% des Français mécontents

Sondage-gouvernement : 73% des Français mécontents

Il n’y a plus qu’un petit quart des français contents de la politique économique du gouvernement qui constitue l’enjeu majeur actuellement pour l’avenir du pays. Il est clair qu’un problème politique va se poser au cours de l’année, c’est en effet la descente aux enfers pour le gouvernement ;  ce  gouvernement n’aura plus la légitimité nécessaire pour engager les grandes réformes qu’il envisage notamment en matière de réduction des dépenses publiques et de fiscalité. Un séisme politique se prépare comme en Italie à la différence près qu’il n’ya pas délections nationales en France ; Du coup le relais pour afficher le mécontentement pourrait être pris par le mouvement social et pas seulement des salariés. Pour arrêter hémorragie, il y aura sans doute un changement de gouvernement mais ce gouvernement n’aura pas l’assise nécessaire pour gérer très longtemps. Contrairement à ce que pense le PS, le français n’attendons pas 2017 pour juger ; dès 2013, le jugement sera sans appel au regard des résulta économiques et sociaux catastrophiques. Des résultats pas seulement liés à la conjoncture internationale mais aussi aux contradictions d’une politique économique qui hésite entre un suivisme béat de l’austérité imposée par Bruxelles et la relance de la croissance, entre la fiscalité et l’allégement de charges. Finalement une politique sans doute efficace pour gérer un parti comme le PS mais pas un pays comme la France. Cohn Bendit résume bien la situation, Ayrault croit encore gérer la mairie de Nantes et Hollande la Corrèze.  Près de trois quart des Français (73%) se déclarent donc « mécontents » de la politique économique et sociale du gouvernement, selon un sondage Tilder-LCI-OpinionWay publié jeudi.  Ce chiffre est en nette augmentation par rapport au mois dernier (+9 points).  44% des personnes interrogées se déclarent « assez mécontentes » et 29% « très mécontentes ». A l’inverse, 25% des sondés se déclarent « assez satisfaits », 27% « satisfaits » et 2% « très satisfaits ».  Ce sont les femmes qui sont le moins contentes (78% de mécontentes, contre 68% de mécontents). Par tranches d’âge, les 18-24 ans sont les moins mécontents (67% d’insatisfaits) et les 35-49 ans le sont le plus (76%).  Interrogés sur la proposition de la ministre de l’Ecologie, Delphine Batho, qui souhaite progressivement aligner la fiscalité du diesel sur celle de l’essence, 43% des sondés estiment que « c’est une bonne chose » tandis que 56% pensent que « c’est une mauvaise chose ».

Sondage-avenir de la France : 60% pessimistes

Sondage-avenir de la France : 60% pessimistes

 

Soixante pour cent des Français (-6) sont pessimistes pour l’avenir de la société française, contre 38% (+7) qui se déclarent optimistes, selon le baromètre CSA pour BFM TV diffusé samedi. Ce « regain d’optimisme », selon les termes de l’institut, s’observe dans toutes les catégories de population. Parmi les retraités (41% se disent optimistes pour l’avenir de la société, +11 pts), les ouvriers (39%, +10 pts), et aussi bien les sympathisants de gauche (50%, +6 pts) que de droite (36%, +11 pts). Une majorité de Français (60%) se déclarent a contrario optimistes pour leur avenir personnel (+7), contre 37% (-6) qui se disent pessimistes. Les plus confiants sont les jeunes de moins de 35 ans (+10) pts), dont le moral avait fortement chuté en janvier, ainsi que les cadres (75%, +7 pts). Les sympathisants du Parti socialiste se déclarent à 66% optimistes pour leur avenir personnel (+4 pts), autant parmi ceux de l’UMP (+12 pts), 63% parmi ceux du Front de Gauche (+10 pts) et 43% pour le Front National (+3 pts). L’enquête a été réalisée par téléphone et par internet du 5 au 21 février auprès d’un échantillon national représentatif de 3.008 personnes résidant en France âgées de 18 ans et plus.

 

 

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Sondage- Hollande : petite embellie « Mali » avant la rechute « chômage »

Sondage- Hollande : petite embellie « Mali » avant la rechute « chômage »

  »Ce qui compte, c’est le chômage pas les sondages », reconnaît volontiers Aquilino Morelle, le conseiller politique de François Hollande, interrogé par l’AFP. « C’est une embellie, il faut la prendre positivement, sans lui accorder une valeur qu’elle n’a pas », tempère-t-il.   »L’image de fermeté, d’autorité et de présidentialité de François Hollande sort très renforcée » de l’ordre qu’il a donné il y a un mois aux forces françaises d’intervenir au Mali, note la « plume » du président.   »Mais si cette embellie est bien réelle et a un sens politique, elle ne fait oublier ni aux Français ni au chef de l’Etat que les principaux sujets de préoccupation restent le chômage, les plans sociaux, le pouvoir d’achat et la croissance », enchaîne Aquilino Morelle.  Selon « l’observatoire politique CSA-Les Echos-Institut Montaigne » publié jeudi, la cote de confiance de François Hollande s’est redressée de 3 points en février, avec 38% d’avis favorables contre 57% d’avis défavorables (-5).  Fait significatif: ce redressement s’observe sur la quasi totalité du spectre politique, y compris auprès des sympathisants de l’UMP parmi lesquels la cote du président a gagné 5 points même si 84% ne lui font toujours pas confiance.  A l’unisson, le « tableau de bord politique » Ifop-Paris Match de mardi révèle un net redressement de la coté du président de la République, avec 43% des Français qui approuvent son action (+6 points).  Frédéric Dabi (Ifop) oppose « ce rebond marquant » à l’évolution de la cote de Nicolas Sarkozy, tombée sous la barre des 50% en janvier 2008 pour ne plus jamais se relever significativement ensuite. François Hollande, ajoute-t-il, peut aussi capitaliser sur « une bonne image personnelle et l’absence de colère à son égard ».  Pour autant, souligne le politologue, il s’agit « indéniablement d’un effet Mali sans doute assez provisoire ». L’intervention française est approuvée par trois Français sur quatre mais « le coeur de l’attente reste les questions économiques et sociales: la croissance et l’emploi ». L’embellie « n’empêche pas l’expression d’une forte angoisse sociale », résume Frédéric Dabi.   »Le Mali joue positivement sur l’image du président, sa capacité à prendre des décisions difficiles ou à faire preuve d’autorité, mais n’a pas d’effet sur la perception de son action », confirme Bruno Jeanbart (OpionWay). « Le juge de paix, sujet majeur, central et prioritaire, reste le chômage et François Hollande sera jugé sur sa capacité à inverser la courbe d’ici à la fin de l’année comme il s’y est engagé », souligne-t-il de la même manière.  Pour la première fois depuis six mois, le président cesse toutefois de perdre des points auprès de l’électorat de gauche, un « signe positif » qui pourrait être, selon Bruno Jeanbart, la conséquence des réformes de société mise en chantier par l’exécutif (mariage pour tous, non cumul des mandats, droit de vote des étrangers, taxe à 75%…).  Pour Céline Bracq (BVA) aussi, « l’embellie reste extrêmement fragile puisque sur les fondamentaux, l’efficacité et la justice sociale, sept Français sur dix estiment que la politique économique et sociale du gouvernement est inefficace et six sur dix qu’elle est injuste ».   »Sur ce terrain, François Hollande est encore en terre de mission, tout particulièrement auprès des catégories populaires », détaille-t-elle. La gestion des dossiers « particulièrement emblématiques », tels Petroplus ou PSA Aulnay, sera scrutée par les Français, « très critiques » jusqu’à présent, prévient l’analyste.

 

Sondage : l’emploi priorité absolue pour 84% des français en 2013

Sondage : l’emploi priorité absolue pour 84% des français

 

Harris Interactive a réalisé, pour la quatrième année consécutive, une étude concernant le bilan que les Français tirent de l’année écoulée ainsi que leurs projections pour l’année à venir, aussi bien au niveau individuel que collectif. Que retenir de cette vague d’enquête qui s’est tenue environ six mois après la prise de fonction du nouveau gouvernement ? L’analyse de Jean-Daniel Lévy, directeur du Département Politique & Opinion à Harris Interactive Les principaux enseignements :  La proportion de Français tirant un bilan positif de l’année écoulée pour eux et pour leurs proches est légèrement supérieure à celles relevées les précédentes années, et s’établit à 52% (+3 points par rapport à 2010 et 2011), quand 46% déclarent au contraire que 2012 a été une année négative. Ainsi, cette année marquée par les élections et le changement du parti au pouvoir ne marque pas de véritable rupture, les Français demeurant très partagés sur la lecture de l’année 2012, mais on observe néanmoins une légère amélioration.  Les Français sont également un peu moins pessimistes que l’année dernière quant à l’avenir, sans pour autant que l’on revienne à une majorité se déclarant optimiste comme en 2009 et 2010. Ainsi, 49% des Français se déclarent optimistes pour eux et pour leurs proches lorsqu’ils envisagent l’année 2013 (+5 points) quand 50% se disent pessimistes (-5 points). Les personnes se déclarant « très pessimistes » sont cependant chaque année plus nombreuses, elles représentent cette année 10% de l’échantillon (+3 points) alors que les « très optimistes » ne constituent que 3% des personnes interrogées. * Si François Hollande et le Ministre du travail, Michel Sapin, ont déjà annoncé que le chômage risquait de s’accentuer au cours des douze prochains mois, les Français assignent néanmoins au gouvernement comme priorité absolue la lutte contre le chômage (84%, +7 points par rapport à 2011). Notons toutefois que seuls 11% des Français (+2 points) se montrent optimistes sur ce point. On observe également que les Français souhaitent que le gouvernement mette l’accent sur le système social (73%, +7 points), la croissance économique (70%, +13 points) et le pouvoir d’achat (69%, +4 points) mais cultivent peu d’espoirs de voir la situation s’améliorer dans ces différents domaines d’actions en 2013 (respectivement 17%, 15% et 14%, chiffres légèrement en hausse par rapport à l’année passée).  A noter que contrairement à la fin de l’année 2011, une courte majorité de Français se montre optimiste quant à la sauvegarde de l’Euro (52%, +11 points), la menace de la disparition de la monnaie unique semblant moins prégnante qu’il y a douze mois. Une proportion un peu plus forte de Français se déclare également optimiste quant à la construction européenne (38% +5 points). Autre progression à souligner : 40% des Français se déclarent optimistes sur l’évolution de la situation de l’école, soit 14 points de plus que l’année dernière. En revanche, ils sont moins nombreux à se dire optimistes sur l’environnement (31%, -5 points), la présence de représentants d’Europe Ecologie – Les Verts au gouvernement ne semblant pas suffire à rassurer sur ce point.




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