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Retraites :La pénibilité intégrée ? (Élisabeth Borne, dite la voix de son maître)

Retraites :La pénibilité intégrée ? (Élisabeth Borne, dite la voix de son maître)

 

 

Il est clair que Macron a commencé à lâcher du mou sur les retraites et il y a fort à parier qu’il va continuer aussi bien avant le deuxième tour pour récupérer des voix qu’après compte tenu de l’opposition sociale prévisible.

Reste cependant de nombreux flous en particulier sur la prise en compte de la pénibilité. Élisabeth Borne, en véritable voix de son maître, reprend à son compte ce flou en parlant de l’usure professionnelle par exemple pour les professeurs ! Elle aurait sans doute pu prendre un autre exemple comme les couvreurs à moins qu’il ne s’agisse d’un clin d’œil au monde de l’enseignement plutôt positionné à gauche.

Invitée sur BFMTV ce lundi, Élisabeth Borne, ministre du Travail et soutien du candidat de La République en marche (LaREM), est venue défendre la réforme des retraites portée par Emmanuel Macron. C’est l’une des propositions phares du président-candidat mais aussi l’une des plus clivantes. Dans son programme figure en effet le recul progressif de l’âge légal de départ à la retraite à 65 ans, contre 62 ans aujourd’hui. «Je suis prêt à discuter», a tout de même voulu nuancer Emmanuel Macron la semaine dernière. Une mesure controversée pour laquelle il s’est dit ouvert à un référendum.

 

 

L’actuelle ministre du Travail a apporté certaines nouvelles précisions ce lundi matin, en assurant que «l’usure professionnelle physique mais aussi psychologique», sera prise en compte. «Évidemment, on tient compte de la situation de ceux qui ont commencé à travailler tôt, les carrières longues qui bénéficieront toujours d’un départ anticipé, de ceux qui ont eu des métiers pénibles. Et il faut une concertation avec les organisations patronales et syndicales pour regarder les métiers dans lesquels il peut y avoir de l’usure professionnelle physique mais aussi psychologique. Par exemple quand vous êtes professeur, il faut tenir compte de ça», a déclaré Élisabeth Borne.

«Il faut permettre aussi à ceux qui le souhaitent de pouvoir changer de métier… Il faut aménager les fins de carrière. Tout cela doit faire l’objet de concertations», a-t-elle encore ajouté.

Un point sur lequel devraient vivement échanger ce mercredi les deux candidats lors du débat de l’entre-deux-tours. En effet, Marine Le Pen a déclaré il y a quelques jours que «la retraite à 65 ans, pour certains métiers, c’est inhumain.» La candidate du Rassemblement National (RN) s’engage à maintenir l’âge légal à 62 ans maximum, mais souhaite créer un régime plus favorable pour ceux qui sont entrés très jeunes dans la vie active.

Prospective- Élisabeth Borne à Matignon: l’insignifiante voix de son maître

Prospective- Élisabeth Borne à Matignon: l’insignifiante voix de son maître

 

 

 

Plusieurs médias évoquent l’éventualité de la nomination d’Élisabeth Borne  à Matignon. Une vraie surprise car l’intéressée ne s’est jamais caractérisée par un grand charisme ni par un grand modernisme. Elle est plutôt l’incarnation de la technocrate aux ordres  qui se contente de répéter fidèlement les propos du patron président.-Exactement d’ailleurs ce que recherchent Macron, un premier ministre totalement transparent qui ne puisse pas lui faire la moindre ombre comme ce fut le cas y compris avec Édouard Philippe. De plus en plus centraliste en même temps qu’ étatiste Macron n’est libérale que pour servir la soupe aux multinationales.

Pour le reste, il veut intervenir seul et sans intermédiaire, ni d’un parti, ni d’un gouvernement ni d’un premier ministre. Partout où Élisabeth Bornes est passée dans les cabinets ou au transport, au ministère du travail, elle ne laissera pas un grand souvenir de dynamisme et d’innovation. Elle se dit de gauche mais on se demande de quelle gauche sans doute de cette ancienne gauche bobo du PS précisément un parti enterré par les  technocrates et autres bobos qui s’étaient appropriés le parti.

Avec une première ministre  de gauche comme celle-là la France n’a guère à craindre des révolutions et même du changement. Sa seule qualité sa fidélité et son énorme capacité à répéter les mots du président. Aux yeux de Macron des qualités essentielles. Une telle première ministre ne résistera pas longtemps en face d’une conjoncture politique qui va se durcir sitôt que chacun aura oublié- surtout au gouvernement- les promesses électorales et qu’il faudra affronter les difficultés sociales qui se préparent en particulier du faite de l’inflation qui ronge le pouvoir d’achat sans parler des autres problèmes nombreux non résolus.

Élisabeth Borne à Matignon: l’insignifiante voix de son maître

Élisabeth Borne à Matignon: l’insignifiante voix de son maître

 

 

 

Plusieurs médias évoquent l’éventualité de la nomination d’Élisabeth Borne  à Matignon. Une vraie surprise car l’intéressée ne s’est jamais caractérisée par un grand charisme ni par un grand modernisme. Elle est plutôt l’incarnation de la technocrate aux ordres  qui se contente de répéter fidèlement les propos du patron président.-Exactement d’ailleurs ce que recherchent Macron, un premier ministre totalement transparent qui ne puisse pas lui faire la moindre ombre comme ce fut le cas y compris avec Édouard Philippe. De plus en plus centraliste en même temps qu’ étatiste Macron n’est libéraleque pour servir la soupe aux multinationales.

Pour le reste, il veut intervenir seul et sans intermédiaire, ni d’un parti, ni d’un gouvernement ni d’un premier ministre. Partout où Élisabeth Bornes  est passée dans les cabinets ou au transport, au ministère du travail, elle ne laissera pas un grand souvenir de dynamisme et d’innovation. Elle se dit de gauche mais on se demande de quelle gauche sans doute de cette ancienne gauche bobo du PS précisément un parti enterré par les  technocrates et autres bobos qui s’étaient appropriés le parti.

Avec une première ministre  de gauche comme celle-là la France n’a guère à craindre des révolutions et même du changement. Sa seule qualité sa fidélité et son énorme capacité à répéter les mots du président. Aux yeux de Macron des qualités essentielles. Une telle première ministre ne résistera pas longtemps en face d’une conjoncture politique qui va se durcir sitôt que chacun aura oublié- surtout au gouvernement- les promesses électorales et qu’il faudra affronter les difficultés sociales qui se préparent en particulier du faite de l’inflation qui ronge le pouvoir d’achat sans parler des autres problèmes nombreux non résolus.

Berlin doit assurer son rôle de défense

Berlin doit assurer son rôle de défense

L’invasion russe de l’Ukraine a propulsé l’Allemagne dans une nouvelle ère, avec un changement radical de sa politique de sécurité, analysent les deux chercheurs. Claudia Major et Christian Mölling soulignent que sa mise en œuvre implique une profonde transformation des mentalités.

D’une certaine manière Berlin doit sortir de son rôle de fait  de non-aligné eu égard d’une part à son poids politique ,  d’autre part aussi à l’importance de son industrie militaire; Sans parler évidemment de sa propre sécurité. NDLR

 

Tribune.

Le 27 février, une révolution s’est produite au Bundestag. En trente minutes, le chancelier Olaf Scholz a balayé toutes les certitudes qui structurent la politique de sécurité allemande depuis trente ans. Jusque-là, l’Allemagne ne s’était pas sentie directement menacée et ne s’était donc que peu engagée militairement. Lorsqu’elle l’a fait, sur le flanc est de l’OTAN ou au Mali, c’était en grande partie par solidarité avec ses alliés de l’Alliance atlantique et la France. Mais elle ne se sentait pas vraiment concernée.

Le budget de la défense a certes augmenté depuis l’annexion de la Crimée, en 2014, passant de 33 milliards à 50 milliards entre 2013 et 2021. Néanmoins l’Allemagne reste loin des 2 % de son PIB promis à l’OTAN (contrairement à la France, avec son budget militaire d’environ 41 milliards d’euros). La Bundeswehr reste sous-équipée et le système d’acquisition des armements fonctionne mal.

 

Surtout, les questions de défense restent controversées et n’intéressent guère l’opinion publique et le monde politique allemands. La dissuasion nucléaire est largement rejetée et l’existence même de l’armée est critiquée. Dans le même temps, les missions humanitaires et la gestion civile des crises sont vantées comme instruments politiques. L’opinion publique allemande reste majoritairement pacifiste et les partis politiques sont restés, jusqu’à récemment, plutôt favorables à la Russie, à l’exception notable des Verts. Il est ainsi compréhensible que l’Allemagne, jusqu’à l’invasion russe, ait refusé de livrer des armes à l’Ukraine, ait misé sur la diplomatie et n’ait pas voulu mettre en péril ses relations économiques avec la Russie. Mais la guerre contre l’Ukraine a tout changé.

Ce n’est qu’en février 2022 que Berlin a compris que cette guerre, qui se déroule à un peu plus de 1 000 km de Berlin – presque aussi près que Paris –, est également une attaque contre son propre modèle de vie. Cette fois, il ne s’agit plus d’une simple attaque contre ses voisins : il s’agit de l’Allemagne elle-même et de sa survie. Aucune des crises précédentes n’a pu générer ce sentiment : ni la barbarie en Syrie, ni la première invasion de l’Ukraine en 2014, ni les attaques terroristes.Le chancelier a utilisé le terme de Zeitenwende (changement d’époque) qui acte une rupture fondamental : l’Allemagne n’observe pas, désormais elle « ressent » la menace pour elle-même et la souffrance des autres (les réfugiés arrivent en grand nombre à la gare centrale de Berlin). Toutes deux sont causées par l’attaque de la Russie, ce pays auprès duquel Berlin a une si grande dette historique, puisque l’Allemagne nazie a tué des millions de citoyens soviétiques.

Politique énergétique :  » La France a perdu son indépendance »

Politique énergétique :  » La France a perdu son indépendance » 

 

Pour justifier la relance de la filière nucléaire, Emmanuel Macron a cédé aux industriels des énergies renouvelables, estime Jean-Louis Butré dans le FigaroCette concession aura selon lui de lourdes conséquences en matière d’environnement comme en matière d’énergie.

Jean-Louis Butré est Président de la Fédération environnement durable. (FED).

Selon les déclarations d’Emmanuel Macron, l’éolien terrestre verra sa puissance doubler et le territoire sera couvert par 15.000 à 20.000 éoliennes. Or aujourd’hui 95% de l’électricité fabriquée en France est produite par des filières qui n’émettent pas de gaz à effet de serre. Ce programme est donc une erreur pour lutter contre le dérèglement climatique et la sécurité d’approvisionnement. Il entraînera la construction de plusieurs dizaines de centrales à gaz émettrices de CO², indispensables pour sécuriser l’approvisionnement en électricité de la France lorsque le vent sera absent, notamment en période d’hiver.

Ensuite le tarif de l’électricité des ménages «explosera», au détriment du pouvoir d’achat des Français. Le courant est acheté prioritairement et obligatoirement à des prix garantis exorbitants aux promoteurs éoliens. Tout le matériel pour construire les éoliennes est importé, principalement, d’Allemagne, du Danemark, et de Chine. La France subventionne des emplois dans ces pays et en détruit en France en affaiblissant la compétitivité des industries consommatrices d’électricité.

Les parcs naturels, les forêts, les zones protégées seront violés. La faune sera menacée. L’atteinte à la biodiversité sera gigantesque.

Comment préserver l’environnement quand bientôt 20.000 socles, soit un total de 35 millions de tonnes de béton armé ne seront jamais retirés du sol ? Compte tenu du coût exorbitant du démantèlement des éoliennes, le territoire conservera de multiples friches industrielles. Les parcs naturels, les forêts, les zones protégées seront violés. La faune sera menacée. L’atteinte à la biodiversité sera gigantesque.

Pourquoi détruire le patrimoine historique, les paysages de la France et les biens des particuliers ? Concernant ces derniers, des moins-values allant jusqu’à 100% sont déjà constatées pour des maisons de riverains. Implanter des éoliennes qui dépassent maintenant 230 mètres de haut à 500 mètres des habitations est surtout une atteinte à la santé. Il suffit de lire la presse régionale pour comprendre que dans toute la France rurale des citoyens confrontés aux éoliennes s’insurgent de subir ces machines. Le village d’Échauffour dans l’Orne en est l’exemple parfait.

Zones d’interdiction de navigation comprises, 11.500 km², c’est une superficie plus grande que la Corse qui sera accaparée. Les éoliennes en mer sont situées au raz des côtes. Elles auront un impact important en raison de leur taille gigantesque et elles causeront la ruine du patrimoine paysager et historique de la France de Dunkerque à Monaco.

Des millions de touristes, de vacanciers, de familles et d’enfants, viennent au bord de la mer pour se ressourcer devant des grands espaces naturels. Les plages seront électrifiées par des lignes haute tension enterrées ou aériennes, sans compter les blessures infligées aux communes limitrophes engendrées par les raccordements de ces usines au réseau par des transformateurs. Et enfin, le coût pour la corporation traditionnelle des marins pêcheurs. Leurs espaces de travail historiques seront-ils accaparés par des multinationales, des consortiums financiers et des fonds de pension étrangers ?

Pourquoi a-t-il autorisé la destruction de l’environnement en faisant fi des rapports du Conseil national de la protection de la nature sur l’éolien en mer et des ONG, lanceurs d’alerte comme SeaSherperd, Robin des Bois qui ne cessent de dénoncer les conséquences désastreuses de ces usines sur la biodiversité, sur les poissons, sur les mammifères marins et sur le véritable génocide des oiseaux migrateurs et des espèces protégées qui ne trouveront plus d’espaces pour se reposer, se nourrir, ou voler ? Comment a-t-il pu affirmer son engagement à protéger la mer devant cinquante chefs d’états réunis à Brest au sommet international «One Ocean Summit», alors que quelques jours avant, le président de la République avait décidé à Belfort de la couvrir d’éoliennes et de sacrifier tout le littoral français ? L’océan est le poumon de planète, le premier régulateur du climat. C’est le principal puits de carbone. Personne n’a le droit de le détruire.

En conclusion, le plan éolien présenté par Emmanuel Macron cumulera tous les inconvénients, écologiques sociétaux et économiques. Dans ce dernier domaine, le secteur international éolien est à haut risque. Les leaders du secteur en Europe sont à la peine. Le métier est peu rentable, les prix explosent et les investisseurs sont méfiants, les leaders du secteur en Europe vont mal. Le discours d’Emmanuel Macron à Belfort acte en réalité le fait que la France a perdu son indépendance énergétique. Ce plan a-t-il été imposé à la France par l’Allemagne, berceau du lobby des industriels des éoliennes ? S’agit-il d’un accord pour qu’en échange de l’achat d’éoliennes par la France, l’Europe accepte l’inclusion du nucléaire dans la «taxonomie verte» en cours de négociation à Bruxelles ?

Energie et Éoliennes: « La France a perdu son indépendance « 

Energie et Éoliennes: « La France a perdu son indépendance « 

 

Pour justifier la relance de la filière nucléaire, Emmanuel Macron a cédé aux industriels des énergies renouvelables, estime Jean-Louis Butré dans le FigaroCette concession aura selon lui de lourdes conséquences en matière d’environnement comme en matière d’énergie.

Jean-Louis Butré est Président de la Fédération environnement durable. (FED).

Selon les déclarations d’Emmanuel Macron, l’éolien terrestre verra sa puissance doubler et le territoire sera couvert par 15.000 à 20.000 éoliennes. Or aujourd’hui 95% de l’électricité fabriquée en France est produite par des filières qui n’émettent pas de gaz à effet de serre. Ce programme est donc une erreur pour lutter contre le dérèglement climatique et la sécurité d’approvisionnement. Il entraînera la construction de plusieurs dizaines de centrales à gaz émettrices de CO², indispensables pour sécuriser l’approvisionnement en électricité de la France lorsque le vent sera absent, notamment en période d’hiver.

Ensuite le tarif de l’électricité des ménages «explosera», au détriment du pouvoir d’achat des Français. Le courant est acheté prioritairement et obligatoirement à des prix garantis exorbitants aux promoteurs éoliens. Tout le matériel pour construire les éoliennes est importé, principalement, d’Allemagne, du Danemark, et de Chine. La France subventionne des emplois dans ces pays et en détruit en France en affaiblissant la compétitivité des industries consommatrices d’électricité.

Les parcs naturels, les forêts, les zones protégées seront violés. La faune sera menacée. L’atteinte à la biodiversité sera gigantesque.

Comment préserver l’environnement quand bientôt 20.000 socles, soit un total de 35 millions de tonnes de béton armé ne seront jamais retirés du sol ? Compte tenu du coût exorbitant du démantèlement des éoliennes, le territoire conservera de multiples friches industrielles. Les parcs naturels, les forêts, les zones protégées seront violés. La faune sera menacée. L’atteinte à la biodiversité sera gigantesque.

Pourquoi détruire le patrimoine historique, les paysages de la France et les biens des particuliers ? Concernant ces derniers, des moins-values allant jusqu’à 100% sont déjà constatées pour des maisons de riverains. Implanter des éoliennes qui dépassent maintenant 230 mètres de haut à 500 mètres des habitations est surtout une atteinte à la santé. Il suffit de lire la presse régionale pour comprendre que dans toute la France rurale des citoyens confrontés aux éoliennes s’insurgent de subir ces machines. Le village d’Échauffour dans l’Orne en est l’exemple parfait.

Zones d’interdiction de navigation comprises, 11.500 km², c’est une superficie plus grande que la Corse qui sera accaparée. Les éoliennes en mer sont situées au raz des côtes. Elles auront un impact important en raison de leur taille gigantesque et elles causeront la ruine du patrimoine paysager et historique de la France de Dunkerque à Monaco.

Des millions de touristes, de vacanciers, de familles et d’enfants, viennent au bord de la mer pour se ressourcer devant des grands espaces naturels. Les plages seront électrifiées par des lignes haute tension enterrées ou aériennes, sans compter les blessures infligées aux communes limitrophes engendrées par les raccordements de ces usines au réseau par des transformateurs. Et enfin, le coût pour la corporation traditionnelle des marins pêcheurs. Leurs espaces de travail historiques seront-ils accaparés par des multinationales, des consortiums financiers et des fonds de pension étrangers ?

Pourquoi a-t-il autorisé la destruction de l’environnement en faisant fi des rapports du Conseil national de la protection de la nature sur l’éolien en mer et des ONG, lanceurs d’alerte comme SeaSherperd, Robin des Bois qui ne cessent de dénoncer les conséquences désastreuses de ces usines sur la biodiversité, sur les poissons, sur les mammifères marins et sur le véritable génocide des oiseaux migrateurs et des espèces protégées qui ne trouveront plus d’espaces pour se reposer, se nourrir, ou voler ? Comment a-t-il pu affirmer son engagement à protéger la mer devant cinquante chefs d’états réunis à Brest au sommet international «One Ocean Summit», alors que quelques jours avant, le président de la République avait décidé à Belfort de la couvrir d’éoliennes et de sacrifier tout le littoral français ? L’océan est le poumon de planète, le premier régulateur du climat. C’est le principal puits de carbone. Personne n’a le droit de le détruire.

En conclusion, le plan éolien présenté par Emmanuel Macron cumulera tous les inconvénients, écologiques sociétaux et économiques. Dans ce dernier domaine, le secteur international éolien est à haut risque. Les leaders du secteur en Europe sont à la peine. Le métier est peu rentable, les prix explosent et les investisseurs sont méfiants, les leaders du secteur en Europe vont mal. Le discours d’Emmanuel Macron à Belfort acte en réalité le fait que la France a perdu son indépendance énergétique. Ce plan a-t-il été imposé à la France par l’Allemagne, berceau du lobby des industriels des éoliennes ? S’agit-il d’un accord pour qu’en échange de l’achat d’éoliennes par la France, l’Europe accepte l’inclusion du nucléaire dans la «taxonomie verte» en cours de négociation à Bruxelles ?

Présidentielle: Le PRG annule son soutien à Taubira

Présidentielle: Le PRG annule son soutien à  Taubira

 

 

Le patron du parti radical de gauche , Guillaume Lacroix, retire son soutien à Taubira. « Nous avons enclenché derrière la démarche de Christiane Taubira qui s’est construite sur le rassemblement des candidats de gauche (…) Mais je prends acte après des semaines et des semaines de discussions avec l’ensemble des responsables politiques de gauche, tous confondus, que cette forme d’union là ne se fera pas », a-t-il reconnu.

Le rassemblement des candidats étant donc largement compromis – « Il faut à un moment l’accepter » – le président du PRG a désolidarisé son parti de Christiane Taubira qui « a fait évoluer sa campagne sur une campagne de citoyenneté basée sur 400 000 votants, fondée sur les comités Taubira, sur la jeunesse. » « Je salue cet élan et ce souffle autour d’une candidature à gauche. Ce n’est pas si souvent. Seulement le mandat du PRG était un mandat autre et donc le PRG en tant que tel se met en retrait », a-t-il conclu.

Certains élus du PRG seraient tentés de soutenir Emmanuel Macron, ou encore que le soutien a été retiré en raison des liens, souvent forts dans les exécutifs locaux, entre le PRG et le PS qui a encore redit lundi, par la voix de son premier secrétaire, un soutien ferme à sa candidate.

Ukraine: Poutine craint surtout la remise en cause de son pouvoir autocratique

Ukraine: Poutine craint surtout la remise en cause de son pouvoir autocratique

 

À travers les tensions d’Ukraine créées  par Poutine, il y a bien entendu des enjeux de défense. Mais Poutine craint par-dessus tout que le régime démocratique de Kiev contamine la Russie et son propre pouvoir autocratique estime la politiste Marie Mendras, dans une tribune au « Monde ».

 

En Europe, nous vivons depuis plusieurs mois au rythme des menaces de guerre en Ukraine. Et nous devons nous préparer à tenir ce rythme pendant encore de longs mois. L’insécurité permanente est l’ultime tactique du Kremlin.

Le tête-à-tête de cinq heures entre le président français et le président russe, le 7 février, au Kremlin, a permis de démontrer clairement la nature du problème. Nous ne sommes pas confrontés à une crise ukrainienne, mais à une crise russe. C’est la dérive autoritaire et agressive du régime Poutine qui met en danger la sécurité des Ukrainiens, de tous les Européens, ainsi que l’avenir des Russes.

Face à Emmanuel Macron, Vladimir Poutine n’a pas bougé de sa position, cimentée autour du déni de l’intervention armée en Ukraine depuis 2014 et d’une inversion du récit. Il a répété que l’Ukraine est l’agresseur, et que l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) menace la Russie puisqu’elle soutient Kiev. L’homme est enfermé dans ses assertions et ses émotions, et refuse tout compromis, car c’est à l’autre de faire des concessions. Ses propos sont parfois incohérents. Il a affirmé que si l’Ukraine entrait dans l’OTAN, ce serait pour entraîner les Alliés dans une guerre contre la Russie, afin de récupérer la Crimée (annexée en mars 2014, juste avant l’intervention au Donbass [dans l’est de l’Ukraine]). Or, la question aujourd’hui n’est pas l’adhésion de l’Ukraine à l’Alliance atlantique, mais le retrait des forces russes massées à la frontière ukrainienne.

Hystérie guerrière

Dans le tohu-bohu des invectives et des menaces, des bruits de botte et des exercices militaires, Vladimir Poutine s’était tu pendant près de six semaines, du 22 décembre 2021 au 1er février dernier. Il avait laissé les rennes de la communication aux patrons des services de sécurité, au ministre de la défense, au président de la Douma [la chambre basse du Parlement russe] – tous des anciens camarades du KGB [les services de renseignements soviétiques] –, ainsi qu’aux diplomates et propagandistes des médias. Ces serviteurs zélés ont entretenu une tonitruante hystérie guerrière. Mais ils n’ont pas autorité pour conduire la politique étrangère. Vladimir Poutine a dû sortir de son silence et reprendre les échanges que les Occidentaux exigeaient.

 

Cet épisode révèle une grande vulnérabilité du pouvoir poutinien. La prise de décision est opaque. Les institutions ne participent plus au processus de décision sur les questions de sécurité, depuis déjà des années. La réflexion stratégique est inexistante, en l’absence d’un débat critique et informé au Kremlin. Le chef s’isole, n’écoute plus que ceux qui vont dans son sens. L’un de ses proches, l’oligarque Evgueni Prigojine, finance les mercenaires Wagner [issus d’une société militaire russe privée], notamment au Mali.

Société–Macron , un chef des armées qui n’a pas fait son service militaire !

Société–Macron , un chef des armées qui n’a pas fait son service militaire !

 

 

Florence Parly évidemment n’a pas fait son service militaire bien qu’elle soit en charge du ministère des armées et pas davantage Macron, chef suprême des armées.

 

Une situation qui en dit long sur la crédibilité de ceux qui gouvernent la France et sur leurs compétences également. Un rappel de la situation de Macron par rapport à son exemption de service militaire ( dans Libé)

 

Né en 1977, , Emmanuel Macron aurait pu faire son service national. Le service a effectivement été supprimé par la loi du 28 octobre 1997, qui dispose que «les jeunes hommes nés en 1979 sont exemptés de l’appel de préparation à la défense». Il n’est pas fait mention dans la loi de la classe d’âge née avant cette date. Pour autant, le journaliste spécialisé dans les questions de défense Jean-Dominique Merchet explique sur son blog qu’en fait, une minorité des hommes nés en 1977 (qui avaient 20 ans, donc, au moment de la loi supprimant le service) ont finalement effectué leur service:

«Emmanuel Macron appartient pourtant aux toutes dernières classes d’âge encore soumises à l’obligation de la conscription, puisque celle-ci a été suspendue, en 1996, pour «tous les Français nés après le 31 décembre 1978». En pratique, seule une poignée de jeunes nés en 1977 ont réellement été incorporés, à la fin de la période de transition vers l’armée professionnelle.»

Une analyse confirmée dans le livre de Béatrice Houchard Le Fait du prince: petits et grands caprices des présidents de la Ve République:

«Quant à Emmanuel Macron, né en 1977, il aurait pu faire son service militaire s’il avait vraiment insisté, mais il faisait partie de la dernière classe avant la mise en place de l’armée de métier, décidée dès 1995 par Jacques Chirac. Et il n’insista pas pour porter l’uniforme.»

Politique–Macron , un chef des armées qui n’a pas fait son service militaire

Politique–Macron , un chef des armées qui n’a pas fait son service militaire

 

 

Florence Parly évidemment n’a pas fait son service militaire bien qu’elle soit en charge du ministère des armées et pas davantage Macron, chef suprême des armées.

 

Une situation qui en dit long sur la crédibilité de ceux qui gouvernent la France et sur leurs compétences également. Un rappel de la situation de Macron par rapport à son exemption de service militaire ( dans Libé)

 

Né en 1977, , Emmanuel Macron aurait pu faire son service national. Le service a effectivement été supprimé par la loi du 28 octobre 1997, qui dispose que «les jeunes hommes nés en 1979 sont exemptés de l’appel de préparation à la défense». Il n’est pas fait mention dans la loi de la classe d’âge née avant cette date. Pour autant, le journaliste spécialisé dans les questions de défense Jean-Dominique Merchet explique sur son blog qu’en fait, une minorité des hommes nés en 1977 (qui avaient 20 ans, donc, au moment de la loi supprimant le service) ont finalement effectué leur service:

«Emmanuel Macron appartient pourtant aux toutes dernières classes d’âge encore soumises à l’obligation de la conscription, puisque celle-ci a été suspendue, en 1996, pour «tous les Français nés après le 31 décembre 1978». En pratique, seule une poignée de jeunes nés en 1977 ont réellement été incorporés, à la fin de la période de transition vers l’armée professionnelle.»

Une analyse confirmée dans le livre de Béatrice Houchard Le Fait du prince: petits et grands caprices des présidents de la Ve République:

«Quant à Emmanuel Macron, né en 1977, il aurait pu faire son service militaire s’il avait vraiment insisté, mais il faisait partie de la dernière classe avant la mise en place de l’armée de métier, décidée dès 1995 par Jacques Chirac. Et il n’insista pas pour porter l’uniforme.»

Macron : un chef des armées qui n’a pas fait son service militaire

Macron : un chef des armées qui n’a pas fait son service militaire

 

 

Florence Parly évidemment n’a pas fait son service militaire bien qu’elle soit en charge du ministère des armées et pas davantage Macron, chef suprême des armées.

 

Une situation qui en dit long sur la crédibilité de ceux qui gouvernent la France et sur leurs compétences également. Un rappel de la situation de Macron par rapport à son exemption de service militaire ( dans Libé)

 

Né en 1977, , Emmanuel Macron aurait pu faire son service national. Le service a effectivement été supprimé par la loi du 28 octobre 1997, qui dispose que «les jeunes hommes nés en 1979 sont exemptés de l’appel de préparation à la défense». Il n’est pas fait mention dans la loi de la classe d’âge née avant cette date. Pour autant, le journaliste spécialisé dans les questions de défense Jean-Dominique Merchet explique sur son blog qu’en fait, une minorité des hommes nés en 1977 (qui avaient 20 ans, donc, au moment de la loi supprimant le service) ont finalement effectué leur service:

«Emmanuel Macron appartient pourtant aux toutes dernières classes d’âge encore soumises à l’obligation de la conscription, puisque celle-ci a été suspendue, en 1996, pour «tous les Français nés après le 31 décembre 1978». En pratique, seule une poignée de jeunes nés en 1977 ont réellement été incorporés, à la fin de la période de transition vers l’armée professionnelle.»

Une analyse confirmée dans le livre de Béatrice Houchard Le Fait du prince: petits et grands caprices des présidents de la Ve République:

«Quant à Emmanuel Macron, né en 1977, il aurait pu faire son service militaire s’il avait vraiment insisté, mais il faisait partie de la dernière classe avant la mise en place de l’armée de métier, décidée dès 1995 par Jacques Chirac. Et il n’insista pas pour porter l’uniforme.»

Anne Cabana anime un débat sur son compagnon le ministre-Blanquer sur i24News

Anne Cabana anime un débat sur son compagnon -le ministre-Blanquer- sur i24News

 

 

 

Il est bien connu que certains entretiennent des relations assez ésotériques avec la déontologie journalistique.

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Cette fois , c’est  Anne Cabana ( par ailleurs bonne journaliste) qui a animé un débat sur son époux, le ministre de l’Éducation nationale Jean-Michel Blanquer, dans la tourmente entre les grèves des enseignants et les dernières révélations de Mediapart . Il n’en fallait pas plus pour affoler le petit monde jounalistico-médiatique. Certains se demandant au départ si ce n’était pas une «fake news» qui circulait. Après vérification, il est confirmé que cette émission s’est bel et bien tenue sur l’antenne d’information francophone de la télévision israélienne la veille.

Garde à vue pour avoir voulu déloger des squatteurs

  • Garde à vue pour avoir voulu déloger des squatteurs de son logement
  • C’est un peu évidemment le monde à l’envers avec la mise en garde à vue d’un propriétaire qui a voulu déloger des squatters.
  • «Le 13 octobre 2021, en rentrant du supermarché, je constate que le portail a été fracturéavait raconté, la semaine dernière au Figaro le trentenaire vit avec sa mère malade. Il y a chez nous deux jeunes hommes, une femme et un pitbull. Ils ont jeté mes vêtements à la cave
  • Appelée aussitôt, la police avait fait sortir les individus… qui reviendront quelques minutes plus tard. Ils finiront par quitter les lieux après une énième intervention des forces de l’ordre.
  • Le 1er novembre, les squatteurs étaient pourtant de retour. Le propriétaire a tenté de récupérer pacifiquement son logement mais se retrouve désormais en garde à vue !
  • Au parquet de Bobigny, on réplique que «les violences peuvent être psychologiques: le simple fait d’arriver à 23 ( des voisins) en menaçant d’expulser des gens en pleine nuit, en plein hiver».

L’Allemagne ferme son nucléaire pour le gaz russe !

L’Allemagne ferme son nucléaire pour le gaz russe !

 

Officiellement la décision de l’Allemagne de fermer trois de ses six dernières centrales nucléaires correspond à la volonté de recourir de façon presque systématique aux énergies renouvelables.
Le problème est que cette décision n’a pas grand-chose à voir avec l’environnement puisque l’Allemagne va surtout avoir recours au gaz russe, une énergie qui n’est pas totalement neutre ! Sans parler évidemment de la dépendance géostratégique à la Russie.

Notons les contradictions habituelles de l’Allemagne avec un discours très vert et qui avait décidé il y a déjà plusieurs années de fermer ses centrales nucléaires pour les remplacer par des centrales à charbon !

Les six centrales nucléaires ont contribué à environ 12 % de la production d’électricité en Allemagne en 2021, selon les chiffres préliminaires de la BDEW. La part des énergies renouvelables était de près de 41 % dans le pays, le charbon représentant un peu moins de 28 % et le gaz environ 15 %. L’Allemagne souhaite que les énergies renouvelables couvrent 80 % de la demande d’électricité d’ici à 2030, en développant les infrastructures liées aux énergies éolienne et solaire.Le problème c’est que le gaz va prendre une part de plus en plus importante éloignant d’autant plus la perspective d’un recours significatif aux énergies renouvelables.

Pass sanitaire en entreprise : FO se réjouit de son absence

Pass sanitaire en entreprise : FO se réjouit de son absence

 

Sur franceinfo mardi, le secrétaire confédéral FO, Michel Beaugas,  ,  chargé de l’emploi et des retraites, se réjouit que le pass sanitaire n’est pas été imposé en entreprise. Une prise de position assez ambiguë concernant l’avenir de la part de Force ouvrière dont le secrétaire général n’a pas voulu pendant longtemps se prononcer à propos de la vaccination considérant que ce n’était pas une problématique syndicale .À noter d’ailleurs que ce n’est pas le secrétaire général de FO qui s’exprime mais un secrétaire confédéral

 

Franceinfo : Le pass sanitaire en entreprise est absent du projet de loi qui sera présenté lundi en Conseil des ministres. Est-ce le signe que vous, les partenaires sociaux, avez été entendus ?

 

Michel Beaugas : Il nous semble qu’effectivement, c’est le signe que nous avons été entendus parce que c’est très complexe à mettre en œuvre. L’ensemble des organisations syndicales, dont Force ouvrière, ont dit à la ministre du Travail que l’on n’était pas favorables à une telle mesure parce que ça viendrait contrarier les mesures qui ont déjà été mises en place, notamment dans les entreprises qui reçoivent du public, puisqu’un certain nombre de salariés sont déjà dans l’obligation d’avoir le pass sanitaire. Et quand ils n’avaient pas le pass sanitaire, quand ils n’étaient pas vaccinés, les entreprises se sont arrangées pour les changer de poste. Et si jamais, demain, le pass sanitaire était obligatoire pour tous, un grand nombre de salariés, deux millions selon la ministre du Travail, qui ne sont pas encore vaccinés, verraient probablement leur contrat de travail suspendu. Et là, ça serait vraiment un problème.

 

D’après les informations de franceinfo, le gouvernement envisage tout de même d’introduire plus tard cette disposition par décret. Mais ça n’est pas ce qui vous a été dit ce lundi ?

 

Non. On nous a bien dit que pour les entreprises, c’était le pass sanitaire et pas un pass vaccinal. Mais je pense que ça deviendra, à terme, pratiquement une obligation, quand le pass vaccinal sera obligatoire en France. Et puis surtout, ce que j’ai entendu dire, c’est qu’à l’Assemblée nationale, le pass sanitaire en entreprise, même s’il n’est pas dans le projet de loi demain, pourrait revenir par voie d’amendement.

 

Face à l’émergence du variant Omicron, quelles mesures à mettre en place dans les entreprises avez-vous pu proposer à la ministre du Travail ?

Dans un premier temps, il faut informer les salariés. Je rappelle que sur 19 millions de salariés dans le privé et six millions de fonctionnaires, deux millions de personnes ne sont pas vaccinées. Donc il faut les convaincre du bienfait de la vaccination. À Force ouvrière, nous ne sommes pas opposés à la vaccination, bien au contraire. Il faut protéger le citoyen. Il faut protéger les salariés. Maintenant, il faut convaincre plutôt que contraindre. Et là, avec les mesures qui sont mises en œuvre, on va plutôt vers la contrainte. Alors nous, on a proposé à la ministre du Travail que le gouvernement écrive à tous les salariés pour mettre en exergue les bienfaits de la vaccination. Ce sont des choses comme ça qui permettent d’informer au mieux. Même si le gouvernement, jusqu’à présent, a fait preuve de pédagogie, je le reconnais. Il faut aller un peu plus loin. Il faut toucher personnellement tous les salariés pour qu’ils prennent conscience de l’importance de se faire vacciner pour se protéger soi-même et sa famille.

 

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