Archive pour le Tag 'son'

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L’héritage politique de François Hollande : son scooter !

L’héritage politique de François Hollande : son scooter !

 

 

On aurait bien du mal à évoquer ce qui caractérise l’héritage politique de François Hollande dont le pouvoir a fini en eau de  boudin à tel point qu’il n’a même pas pu se représenter.

On apprend cependant que l’ancien scooter de François Hollande sera mis en vente au château Darty ni en Touraine lors d’une vente aux enchères

 

Le 1er janvier 2014, l’ancien président de la République a été photographié en scooter par la presse people devant l’immeuble de l’actrice Julie Gayet alors qu’il était officiellement en couple avec la journaliste Valérie Trierweiler. Le scoop, révélé par le magazine Closer, a déclenché un vaudeville médiatique dont l’épilogue fut la séparation du chef de l’État avec sa compagne. Dix ans après, la monture reste ancrée dans l’histoire du quinquennat de François Hollande.

Le pire c’est que François Hollande a dédicacé son scooter !

Trump : son ex-directeur financier reconnaît avoir menti

Trump  : son ex-directeur financier reconnaît avoir menti

L’ex-directeur financier de Donald Trump, Allen Weisselberg, qui a déjà fait de la prison pour fraudes financières, a plaidé coupable lundi de parjure devant la justice new-yorkaise pour avoir donné de fausses informations liées au récent procès civil de l’ancien président américain.

M. Weisselberg, 76 ans, qui avait commencé à travailler il y a 50 ans comme expert comptable pour le père de Donald Trump et qui fut directeur financier de la Trump Organization de 2005 à 2021,  a reconnu avoir menti lors de l’instruction sur la valeur d’un appartement du groupe immobilier qui rassemble des immeubles, hôtels, golfs.

Le 16 février, Donald Trump a été condamné au civil par la cour suprême de New York à 355 millions de dollars d’amende (plus une centaine de millions de dollars d’intérêts) pour fraudes financières, pour avoir illégalement gonflé la valeur de son patrimoine immobilier afin d’obtenir de meilleures conditions de prêts et d’assurances. Poursuivi dans ce procès civil, tout comme Donald Trump et ses deux fils Eric et Donald Jr, Allen Weisselberg a été condamné à trois ans d’interdiction de diriger une entreprise dans l’État de New York et à une interdiction à vie de toute fonction de gestion financière dans une entreprise.

 

 

Ségolène Royal : Son exhibitionnisme tue le temps de parole du PS

 Ségolène Royal :  Son exhibitionnisme tue le temps de parole du PS

Chez Hanouna ou sur BFM Ségolène Royal continue de délirer. Un problème existentiel sans doute pour celle qui a toujours recherché avec frénésie des postes de responsabilité. Le problème, c’est que cette présence est prise en compte par l’autorité de régulation qui impute les bavardages hystériques de Ségolène au parti socialiste. 

Au secours Ségolène Royal revient dans les médias chez Hanouna notamment et sur BFM

La socialiste a Notammentfait son retour fin janvier sur BFMTV, d’où elle avait été évincée en septembre 2022 après avoir mis en doute la réalité du bombardement d’une maternité en Ukraine ainsi que le massacre de Boutcha.

Le problème, c’est que cette omniprésence sur les plateaux télé capte tout le temps d’antenne attribué au Parti socialiste. Hors période électorale, comme c’est le cas actuellement, le décompte de l’Arcom (ex-CSA), chargé de veiller au respect des règles de pluralisme dans l’audiovisuel, se fait en fonction des partis politiques et non des personnalités. En novembre 2023, 53 minutes sont décomptées pour le Parti socialiste sur C8, soit à peu près le temps d’antenne de Ségolène Royal. 

 

Stellantis ouvre son usine Fiat de Turin au Chinois Leapmotor

Stellantis ouvre son usine Fiat de Turin au Chinois Leapmotor

La filière électrique de l’automobile risque de conduire l’industrie européenne au cimetière. En effet jusqu’alors on avait surtout des voitures électriques purement chinoises du fait de l’avance de ce pays dans ce domaine. Ensuite ,les constructeurs étrangers du monde entier ont passé des accords avec les Chinois pour importer l’essentiel des voitures électriques. Les constructeurs étrangers à la Chine se contentant du montage final. Compte tenu des réglementations internationales européennes, il existe encore quelques freins à la pénétration des produits chinois. Des freins qui seront éliminés grâce aux accords passés entre constructeurs européens et chinois. On peut citer des exemples en Allemagne mais aussi avec le groupe Stellantis qui ouvre les portes de l’usine Fiat de Turin aux Chinois Léapmotor. Une manière d’échapper effectivement aux réglementations européennes et même de bénéficier des aides des Etats.

Le partenariat entre Stellantis et le constructeur chinois Leapmotor avance à grande vitesse. Stellantis pourrait ouvrir dès 2026 les portes de l’usine historique de Fiat à Mirafiori, un quartier de Turin, à son nouveau partenaire chinois pour qu’il assemble ses voitures électriques en Europe. Selon Automotive News Europe, Stellantis envisagerait d’assembler jusqu’à 150 000 véhicules par an griffés Leapmotor dans cette usine historique. Stellantis a effet signé un accord de joint-venture avec Leapmotor en octobre dernier. Le constructeur italo- franco-américain avait annoncé un investissement de 1,5 milliard d’euros dans Leapmotor, prenant une participation de 21,3 % dans cette start-up spécialisée dans les véhicules électriques, avec pour ambition d’accompagner son offensive à l’international.

La Russie exporte pour 88 milliards son pétrole en Asie

La Russie exporte pour 88 milliards son pétrole en Asie

La Russie vend aujourd’hui 45-50% de son pétrole à la Chine et 40% à l’Inde.
« Si, auparavant, nous fournissions à l’Europe 40 à 45% du volume total des exportations de pétrole et de produits pétroliers, nous nous attendons à ce que ce chiffre ne dépasse pas 4 à 5% d’ici la fin de l’année », A indiqué le vice-ministre de l’énergie dans une interview à la chaîne de télévision russe Rossia 24. De fait la baisse des prix sur le pétrole russe est compensée par une augmentation de la production

« Beaucoup de gens veulent acheter du pétrole et des produits pétroliers russes. Il s’agit de pays d’Amérique latine, de pays africains et d’autres pays de la région Asie-Pacifique », a vanté le vice-Premier ministre de l’Energie.

Selon lui, les recettes pétrolières et gazières de la Russie s’élèveront à près de 9.000 milliards de roubles (environ 88 milliards d’euros) en 2023. Pour rappel, l’industrie des hydrocarbures représente 27% du PIB (produit intérieur brut) de la Russie et leur vente à l’étranger environ 57% des exportations totales du pays, a-t-il ajouté.

Trump s ‘est rempli les poches pendant son mandat

Trump s ‘est rempli les poches pendant son mandat


Pour Trump il n’y a pas de petit business et pendant son mandat ses sociétés ont largement profité de sa position politique.

Selon un rapport intitulé «Maison-Blanche à vendre», endossé par la seule minorité démocrate de cette commission et révélé par le Washington Post, des responsables de 20 pays – Chine, Inde, Turquie, Arabie saoudite, Qatar ou encore République démocratique du Congo – ont payé en 2017 et 2018 des loyers et factures à quatre propriétés sur les 500 entités et sociétés de Donald Trump et de son groupe familial Trump Organization. «En tant que président, Donald Trump a accepté plus de 7,8 millions de dollars de versements d’États étrangers et de leurs dirigeants, parmi lesquels des régimes les plus infects de la planète», fustige le rapport, accusant l’ancien locataire de la Maison-Blanche (2017-2021) d’avoir vu «passer entre (ses) mains» une partie de cet argent.

La Russie exporte son pétrole en Asie

La Russie exporte son pétrole en Asie

La Russie vend aujourd’hui 45-50% de son pétrole à la Chine et 40% à l’Inde.
« Si, auparavant, nous fournissions à l’Europe 40 à 45% du volume total des exportations de pétrole et de produits pétroliers, nous nous attendons à ce que ce chiffre ne dépasse pas 4 à 5% d’ici la fin de l’année », A indiqué le vice-ministre de l’énergie dans une interview à la chaîne de télévision russe Rossia 24. De fait la baisse des prix sur le pétrole russe est compensée par une augmentation de la production

« Beaucoup de gens veulent acheter du pétrole et des produits pétroliers russes. Il s’agit de pays d’Amérique latine, de pays africains et d’autres pays de la région Asie-Pacifique », a vanté le vice-Premier ministre de l’Energie.

Selon lui, les recettes pétrolières et gazières de la Russie s’élèveront à près de 9.000 milliards de roubles (environ 88 milliards d’euros) en 2023. Pour rappel, l’industrie des hydrocarbures représente 27% du PIB (produit intérieur brut) de la Russie et leur vente à l’étranger environ 57% des exportations totales du pays, a-t-il ajouté.

Loi immigration: Macron attend maintenant que le conseil constitutionnel la vide de son contenu

Loi immigration: Macron attend maintenant que le conseil constitutionnel la vide de son contenu


On ne peut guère s’étonner de la distance que prennent les Français par rapport au système politique tellement complexe et même parfois tordu. Ainsi en majorité les Français entre 60 et 70 pour cent approuvent le besoin d’une loi régulant la question de l’immigration notamment pour des questions sociétales. Pour dire les choses encore plus clairement en raison du choc de civilisation provoquée par la non intégration et encore moins la non assimilation de beaucoup d’ arrivants ; en tout cas d’une partie. Notamment par exemple sur le concept de laïcité et ses modalités d’expression et d’influence dans la société.

Le projet de loi accouché dans la douleur semblait répondre plus ou moins à l’attente des Français. Le problème, c’est que certains politiquement espèrent maintenant que le conseil constitutionnel va interdire nombre de dispositions. Des dispositions que la majorité au pouvoir a du mal à avaler mais auxquelles il a bien été obligé d’adhérer our obtenir une majorité.

Bref la politique du « en même temps », le slalom permanent entre des objectifs voire des idéologies contradictoires. Du coup, si le conseil constitutionnel devait supprimer les dispositions les plus centrales la crise sur ce sujet reviendrait rapidement au premier plan.

Accusé par la gauche d’avoir inscrit dans la loi des propositions portées de longue date par le Rassemblement national, Emmanuel Macron entend donc s’assurer de la bonne régularité des mesures qu’en réalité il ne soutient pas. Rappelant, dans une lettre envoyée aux Sages le 21 décembre, que 60 articles ont été ajoutés aux 26 initiaux, au fil de la discussion parlementaire, le chef de l’État «souhaite au nom de la mission que (lui) confie l’article 5 de la Constitution que les dispositions de la loi ne puissent être mises en œuvre qu’après que le Conseil constitutionnel aura vérifié les droits et les libertés que la Constitution garantit.»

Macon espère que certaines dispositions seront rejetées. Parmi ces dernières, pourraient être censurés les quotas pluriannuels d’immigration votés par le Parlement, le rétablissement d’un délit de séjour irrégulier, ou encore la mesure faisant fluctuer le versement des prestations sociales selon la situation professionnelle et la durée de présence en France. Comme le montre le site du Conseil constitutionnel, les Sages ont été également saisis par la première ministre et par plus de soixantaine de députés de gauche, représentés par les présidents des groupes insoumis, écologiste, socialiste et communiste.

Bruits de bottes: le Japon double son budget militaire

Bruits de bottes: le Japon double son budget militaire

Pour le Japon il s’agit d’un véritable changement de stratégie. Jusque-là le Japon s’est en effet concentré surtout sur une conception défensive de défense. Mais face aux menaces de la Chine, de la Russie et de la Corée-du-Nord notamment, le Japon qui avait l’habitude de limiter ses dépenses militaires à 1 % double l’enveloppe et va consacrer plus de 50 milliards à la défense soit près de 2 % du PIB.

En vertu de sa constitution pacifiste, le Japon limite normalement sa capacité militaire à des mesures défensives. Néanmoins, le pays a adopté fin 2022 une nouvelle doctrine nationale de sécurité qui prévoit de porter son budget de la défense à 2% du PIB d’ici à 2027, alors qu’il était auparavant implicitement plafonné à environ 1% du PIB.

.Pékin revendique pratiquement l’intégralité de la mer de Chine méridionale, y compris les eaux et les îles proches des côtes de ses voisins. Les Philippines, Brunei, la Malaisie, Taïwan et le Vietnam revendiquent également plusieurs récifs et îlots dans ces eaux.

Lors du sommet de Tokyo le week-end dernier, focalisé sur la montée en puissance de la Chine, le Japon et le groupe des 10 pays d’Asie du Sud-Est ont souhaité renforcer « la coopération en matière de sécurité, notamment dans le domaine maritime ». Face aux revendications territoriales de plus en plus véhémentes de Pékin, ainsi que de son influence et de ses capacités militaires grandissantes en Asie-Pacifique. Manille a notamment convenu d’entamer des négociations en ce sens avec le Japon. Le Premier ministre japonais Fumio Kishida a également convenu de « rehausser les relations entre le Japon et la Malaisie au niveau d’un partenariat stratégique global ».

Électricité : une hausse des prix qui ne veut pas dire son montant

Électricité : une hausse des prix qui ne veut pas dire son montant

Maintenant que l’État et EDF ont contractualisé à nouveau leur rapport, il se confirme évidemment que les hausses d’électricité vont concerner les entreprises mais aussi les particuliers. Il y a déjà des mois et des semaines que les pouvoirs publics tournent autour du pot pour tenter de limiter les effets de l’annonce de la hausse tarifaire est de clamer que cette hausse pourrait être de l’art de 10 % mais pas davantage. La vérité connue depuis longtemps par tous les spécialistes ,c’est que le prix de l’électricité devra doubler en 10 ans au moins . Il s’agit évidemment de trouver des ressources pour amortir la dette de 40 milliards mais aussi de trouver les 200 milliards pour moderniser le parc actuel, gérer les déchets et surtout financer d’abord six EPR puis ensuite huit. Et l’objectif d’un prix de 70 € le méga watts heure fixé à terme par le gouvernement et EDF sera largement dépassé. En tout cas pour le 1er janvier 2024 les tarifs vont augmenter de 10 %.

La ministre de la transition énergétique tente en vain de rassurer à propos de la facture électrique.

« Aujourd’hui, demain, il n’y aura plus des envolées des prix telles qu’on les a connues en 2022 grâce à notre action au niveau européen et grâce à notre action au niveau français », a fait valoir la responsable en référence à deux accords clé conclus cet automne.

Compte tenu de certaines réformes relatives à la régulation européenne du marché de la société on ne devrait plus connaître les hausses vertigineuses passées mais le prix de l’électricité va continuer d’augmenter. En cause une insuffisance de l’offre alors que la consommation augmente partout notamment du fait du chauffage et des voitures électriques.

Sans modifier structurellement le fonctionnement du marché de gros, la réforme proposée par la Commission européenne entend développer les contrats d’achats d’électricité de long terme à un prix décidé d’avance (PPA) pour lisser l’impact de la volatilité des cours du gaz sur les factures.

La protection des consommateurs serait renforcée, si l’on en croit l’exécutif, notamment pour les clients vulnérables. L’accord des Vingt-Sept rend aussi obligatoire, après une période transitoire de trois ans, le recours à des « contrats pour la différence » (CFD) à prix garanti par l’État pour tout soutien public à des investissements dans de nouvelles centrales de production d’électricité décarbonée (renouvelables et nucléaire). Le texte permet également de recourir facultativement à ces contrats pour tous les investissements destinés aux centrales nucléaires existantes, un point cher à Paris qui veut prolonger ses réacteurs vieillissants.

La cible sera d’atteindre un prix de l’électricité nucléaire à 70 euros le MWh.

Par ailleurs, en France, EDF et le gouvernement ont trouvé le 14 novembre un accord censé fixer le prix de référence de l’électricité nucléaire vendue par l’opérateur historique à 70 euros le MWh à partir de 2026. Dans cette nouvelle régulation, les éventuels revenus supplémentaires engrangés par EDF en cas de hausses de prix sur les marchés seront en partie reversés pour partie aux consommateurs, « afin d’éviter une explosion des prix similaire à celle de 2022 », a résumé la ministre de la Transition énergétique.

Néanmoins, l’accord ne grave pas dans le marbre un tarif de l’électricité nucléaire autour de 70 euros le MWh, comme nous l’expliquions dans un précédent article. Ce chiffre correspond uniquement aux prévisions d’EDF des cours du marché entre 2026 et 2040, indépendamment de toute intervention étatique.

« Les 70 euros en moyenne renvoient aux résultats de nos anticipations sur le long terme, là où les prix peuvent se former sur 15 ans dès 2026, en tenant compte de l’ensemble des modèles économiques qu’on a sur la formation des prix de l’électricité », avait ainsi rectifié Luc Rémont, le PDG d’EDF, mardi 14 novembre.

« Il s’agit d’une cible commerciale, et pas d’un prix régulé comme les 42 euros de l’ARENH (…). Cependant, bien malin celui qui peut dire quel sera le cours sur les bourses d’échange, ne serait-ce que dans trois ans », commente Jacques Percebois. Par ailleurs, nombre de spécialistes affirment qu’un tel système, s’il avait été mis en œuvre en 2022, n’aurait pas non plus permis de juguler la hausse des factures.

elle jeudi avoir reçu l’accord de la Commission européenne pour la prolongation en 2024 des aides à certaines entreprises prisonnières de contrats énergétiques très coûteux. « Avec le bouclier tarifaire pour la plupart des TPE, avec l’amortisseur électricité et les aides guichet, nous avons mis en place des mesures exceptionnelles pour accompagner les entreprises », a rappelé la cheffe du gouvernement, arguant qu’« aujourd’hui, les prix du gaz et de l’électricité ont baissé, mais certains restent prisonniers de contrats conclus quand les prix étaient particulièrement élevés. »

Les silences de Marine Le Pen : son meilleur atout politique

Les silences de Marine Le Pen : son meilleur atout politique

Pour le moins Marine Le Pen se fait discrète alors que les sujets d’intervention qui inquiètent les Français ne manquent pas. Il y a sans doute une dynamique propre au rassemblement national et en particulier du jeune Bardella . Cependant le soutien le plus efficace pour Marine Le Pen, c’est sa discrétion et même son silence. En réalité les soutiens à Marine Le Pen se développent proportionnellement aux flous et aux contradictions de ses adversaires. Ne parlons pas du macronisme qui ne survivra pas à Macron qui d’ailleurs ne fait strictement rien accoucher d’un successeur à part Édouard Philippe « copier coller » de Juppé et de Macron. La majorité actuelle payera cher et dès les européennes son impuissance et ses contradictions.

La gauche de son côté ne pourra pas profiter de l’affaiblissement du pouvoir actuel. Elle est plus divisée que jamais. Mélenchon avec ses positions gauchistes a fait éclater l’union et sans doute torpillé aussi son propre parti. Le parti socialiste n’est même pas entré encore en convalescence et les autres forces sont anecdotiques.

Les Français ne sont pas forcément convaincus du projet de Marine Le Pen mais ils rejettent la plupart des autres partis. Le pouvoir est rejeté pour son inefficacité et la gauche est considérée comme désormais accessoire voire irresponsable.

Bref, Marine Le Pen gagne surtout en confiance par son silence. Une sorte de soutien par défaut.

Macron: Un président sans boussole après son initiative politique ratée de Saint-Denis

Macron: Un président sans boussole après son initiative politique ratée de Saint-Denis

L’initiative politique d’ampleur annoncé par Macron qui doit se tenir à Saint-Denis finit en eau de boudin. Du coup lundi le chef de l’État a fait part de sa colère à la fois vis-à-vis du parti des « républicains » et du parti socialiste. La pseudo grande initiative annoncée par le chef de l’État va donc se réduire essentiellement à une confrontation entre les macronistes et le « front national ». Ce n’était pas vraiment l’objectif de départ ! Un papier des « écho »s qui n’est pas un journal spécialement gauchiste évoque le flou de la politique actuelle du président.

par Par Cécile Cornudet dans « les Echos »

Après LFI, ce sont le PS puis Les Républicains qui déclinent l’invitation de vendredi. Dire non à Macron pour paraître un opposant résolu. Je suis toujours à gauche, tente de signifier le parti d’Olivier Faure, malgré ses prises de distances avec Jean-Luc Mélenchon. Je suis toujours à droite, signifie en écho celui d’Eric Ciotti, alors que la droite sénatoriale vient d’approuver le projet de loi immigration. Qui est pris peut aussi prendre, tentent les deux anciens partis de gouvernement. Mais est-ce vraiment de leur intérêt ? Rien n’est moins sûr.

Outre l’échange promis sur l’actualité internationale, tout sauf mineure en ce moment, Emmanuel Macron veut mettre sur la table un élargissement du champ du référendum aux questions de société, soit une revendication de longue date des LR qui rêvent d’une consultation sur l’immigration. Si annonce il y a, ce sera donc sans eux.

Il se dit également ouvert à un accès facilité au référendum d’initiative partagée (RIP) comme le souhaite le Parti socialiste. Là encore, si la rencontre de vendredi progresse, les socialistes ne seront pas là pour dire « c’est grâce à nous ».

Qui reste-t-il dès lors à ces « rendez-vous » d’Emmanuel Macron ? Un cénacle rétréci à Jordan Bardella (RN), Fabien Roussel (PCF), Marine Tondelier (Les Ecologistes), Hervé Marseille (Union des démocrates et indépendants) et les têtes de la majorité Stéphane Séjourné, Edouard Philippe, François Bayrou, auxquels sont associés les présidents des deux assemblées. « L’initiative politique d’ampleur », comme l’avait appelée le chef de l’Etat, est devenue riquiqui.

« Les absents ont tort », balaye l’Elysée, en espérant qu’ils changeront d’avis d’ici à vendredi. Mais les absents jettent une lumière crue sur l’initiateur des agapes. Le moment est compliqué. Le « jus » de la fin août a disparu, s’inquiète une partie de la Macronie. Au début du premier quinquennat, le président inondait ses proches d’un SMS récurrent : « Comment tu sens les choses ? ». Désormais c’est entre eux qu’ils échangent cette question : « Tu comprends ce que fait Macron ? ».

Sur le conflit Israël-Hamas (Edouard Philippe), sur son absence dans la manifestation contre l’antisémitisme, sur la suite des réformes (Bruno Le Maire), sur le devenir de la loi fin de vie (l’aile gauche), sur sa ligne en matière d’immigration, une même interrogation : où va-t-il ?

Macron : En colère suite à son initiative « d’ampleur » ratée

Macron : En colère suite à son initiative « d’ampleur » ratée

par Par Cécile Cornudet dans « les Echos »

L’initiative politique d’ampleur annoncé par Macron qui doit se tenir à Saint-Denis finit en eau de boudin.Du coup lundi le chef de l’État a fait part de sa colère à la fois vis-à-vis du parti des « républicains » et du parti socialiste. La pseudo grande initiative annoncée par le chef de l’État va donc se réduire essentiellement à une confrontation entre les macronistes et le « front national ». Ce n’était pas vraiment l’objectif de départ !

Après LFI, ce sont le PS puis Les Républicains qui déclinent l’invitation de vendredi. Dire non à Macron pour paraître un opposant résolu. Je suis toujours à gauche, tente de signifier le parti d’Olivier Faure, malgré ses prises de distances avec Jean-Luc Mélenchon. Je suis toujours à droite, signifie en écho celui d’Eric Ciotti, alors que la droite sénatoriale vient d’approuver le projet de loi immigration. Qui est pris peut aussi prendre, tentent les deux anciens partis de gouvernement. Mais est-ce vraiment de leur intérêt ? Rien n’est moins sûr.

Outre l’échange promis sur l’actualité internationale, tout sauf mineure en ce moment, Emmanuel Macron veut mettre sur la table un élargissement du champ du référendum aux questions de société, soit une revendication de longue date des LR qui rêvent d’une consultation sur l’immigration. Si annonce il y a, ce sera donc sans eux.

Il se dit également ouvert à un accès facilité au référendum d’initiative partagée (RIP) comme le souhaite le Parti socialiste. Là encore, si la rencontre de vendredi progresse, les socialistes ne seront pas là pour dire « c’est grâce à nous ».

Qui reste-t-il dès lors à ces « rendez-vous » d’Emmanuel Macron ? Un cénacle rétréci à Jordan Bardella (RN), Fabien Roussel (PCF), Marine Tondelier (Les Ecologistes), Hervé Marseille (Union des démocrates et indépendants) et les têtes de la majorité Stéphane Séjourné, Edouard Philippe, François Bayrou, auxquels sont associés les présidents des deux assemblées. « L’initiative politique d’ampleur », comme l’avait appelée le chef de l’Etat, est devenue riquiqui.

« Les absents ont tort », balaye l’Elysée, en espérant qu’ils changeront d’avis d’ici à vendredi. Mais les absents jettent une lumière crue sur l’initiateur des agapes. Le moment est compliqué. Le « jus » de la fin août a disparu, s’inquiète une partie de la Macronie. Au début du premier quinquennat, le président inondait ses proches d’un SMS récurrent : « Comment tu sens les choses ? ». Désormais c’est entre eux qu’ils échangent cette question : « Tu comprends ce que fait Macron ? ».

Sur le conflit Israël-Hamas (Edouard Philippe), sur son absence dans la manifestation contre l’antisémitisme, sur la suite des réformes (Bruno Le Maire), sur le devenir de la loi fin de vie (l’aile gauche), sur sa ligne en matière d’immigration, une même interrogation : où va-t-il ?

Loi immigration : Retailleau (LR) mange son chapeau

Loi immigration : Retailleau (LR) mange son chapeau

Le fameux article trois de la future loi immigration a donc été supprimé notamment sur demande de Bruno Retailleau chef de file des Républicains au Sénat. Une sorte de victoire pour un article qui prévoyait la régularisation des travailleurs sans papiers dans les métiers en tension. Le problème c’est qu’un autre article viendra le remplacer. Mais l’honneur est sauf. Le compromis autour d’un nouvel article qui prévoit lui aussi des régularisations de l’immigration était de toute façon inévitable compte tenu du clivage même au sein des républicains. Finalement comme prévu cette loi immigration ne changera pas grand-chose et ne répond pas en tout cas à l’enjeu. Notons que c’est presque la trentième lois sur le sujet.

Après l’accord trouvé mardi soir par la majorité sénatoriale, les parlementaires de la Chambre Haute ont donc voté, ce mercredi, un amendement de suppression de l’article décrié du gouvernement. Un autre article, qui prévoit lui le durcissement des critères prévus par la circulaire Valls, va quant à lui être adopté.

Mais après d’âpres négociations, les deux parties étaient parvenues à un accord, mardi soir. L’article 3 est supprimé, mais il est remplacé par un autre article, le 4B, qui prévoit lui le durcissement des critères prévus par la circulaire Valls, entrée en vigueur en 2012. Cette circulaire autorisait la demande de titre de séjour aux étrangers en situation irrégulière qui vivent en France depuis au moins cinq ans, qui ont travaillé au moins huit mois dans les deux dernières années et disposent d’un contrat de travail ou d’une promesse d’embauche. Elle sera désormais inscrite dans la loi.

Pour le gouvernement, l’honneur est également sauf, il autorise la suppression d’un article mais remplacé par un autre qui sur le fond n’est pas très éloigné de l’article trois. Bref surtout une bataille d’affichage.

Loi immigration : les Français doutent de son efficacité

Loi immigration : les Français doutent de son efficacité

Les Français ont sans doute raison de penser par avance que la future loi immigration ne servira pas à grand-chose. En cause, le fait que le pays se contente souvent de textes qui ensuite ne sont pas appliqués surtout sur des sujets sensibles. Selon un sondage Odoxa-Backbone- Le Figaro 69% doutent de l’efficacité du futur texte. Près de 80 % du pays (78%) ont une mauvaise opinion de la politique de l’exécutif en la matière, soit une hausse de +8 points sur un an.

Cependant les trois quarts des sondés (75%) approuvent ainsi l’autorisation d’expulser un étranger condamné, même s’il est arrivé en France avant l’âge de 13 ans, pour que le parcours de l’assaillant d’Arras ne puisse pas se reproduire à l’avenir.

Les Français sont presque autant (73%) à plébisciter le retrait du titre de séjour à un étranger pour adhésion à l’idéologie djihadiste, y compris pour ce qui concerne les électeurs de La France insoumise (60%). Seule la moitié des sondés (50%) juge en revanche «efficace» l’allongement de 3 à 18 mois la durée de placement en centre de rétention administrative des fichés S et des délinquants qui doivent être expulsés.

Malgré ces bons points accordés par l’opinion, Gérald Darmanin ne parvient à rassurer : deux tiers des sondés (67%) ne lui font pas «confiance» pour lutter contre le terrorisme. Un échec pour le ministre de l’Intérieur, venu de la droite, qui a enchaîné les coups de force sur le sujet depuis son entrée au gouvernement. Devant lui, son collègue de l’Éducation nationale, Gabriel Attal (ex-PS), fait à peine mieux avec 34%. Quant au sommet de l’exécutif, ni Emmanuel Macron (26%), ni la première ministre Élisabeth Borne (25%) n’apparaissent comme des figures protectrices pour affronter le péril islamiste. Enfin, le garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti, fait pire encore, puisqu’il ne s’attire les faveurs de 21% des Français seulement.

Aucun parti ne réussit à s’imposer comme un rempart contre l’islamisme. Seules la droite et les nationalistes semblent tirer timidement leur épingle du jeu. Les Français sont 36% à accorder leur confiance au Rassemblement national (RN), et 29% aux Républicains. Depuis plusieurs mois, les deux formations haussent le ton pour réclamer un référendum sur l’immigration.

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