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Législatives : Macron fait exploser son camp

Législatives : Macron fait exploser son camp

Si les prévisions pour le second tour sont encore aléatoires compte tenu des report de voix possibles, il y a au moins une certitude à savoir l’explosion du camp Macron qui recueille seulement 21 % des voix au premier tour est déjà éliminé de presque la moitié des circonscriptions. Le camp présidentiel pourra sans doute sauver quelques meubles mais perdra autour des deux tiers de ses députés actuels. Le sauvetage des députés de Macron ne sera permis que par l’aide des « républicains » mais aussi de la gauche !

La Russie interdit 81 médias européens sur son territoire dont l’AFP, Le Monde, LCI et CNews

La Russie interdit 81 médias européens sur son territoire dont l’AFP, Le Monde, LCI et CNews

La Russie interdit 81 médias européens sur son territoire dont l’AFP, Le Monde, LCI et CNews. Cette décision est  une riposte directe à l’interdiction entrée en vigueur mi-mai et mise en place par l’UE. Les Vingt-Sept ont sanctionné quatre médias russes accusés de diffuser de la propagande pro-Kremlin. À savoir Voice of Europe, au cœur d’une enquête sur des allégations d’ingérence au sein du Parlement européen, et trois médias considérés comme proches du Kremlin (Ria Novosti, Izvestia et Rossiiskaia Gazeta).

Cette interdiction instaurée par l’UE concerne tous les moyens de transmission et de distribution depuis ou à destination des pays de l’UE, que ce soit via le câble, le satellite, l’internet ou encore des plateformes et applications sur téléphones portables. Ces médias et leurs journalistes peuvent néanmoins continuer à travailler dans l’UE, tant qu’ils n’y diffusent pas leurs productions ou articles, a précisé l’UE, ajoutant que des personnalités médiatiques russes ont également été sanctionnées dans le passé.

Ces sanctions prises par l’UE doivent aussi inclure une « interdiction du financement russe des médias, des ONG et des partis politiques de l’UE », a précisé la commissaire européenne chargée des Valeurs et de la Transparence, Vera Jourova.

Dans la foulée de ces annonces, Moscou avait d’ailleurs menacé de représailles l’Union européenne, avec qui les relations sont exécrables dans le contexte du conflit en Ukraine. « Je tiens à rappeler à toutes ces têtes brûlées de Bruxelles qu’il y a des dizaines de journalistes des pays de l’UE qui vivent très bien et confortablement en Russie », avait déclaré la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova. Et d’ajouter : « Si de telles mesures sont adoptées contre les journalistes et les médias russes par l’UE ou par des pays individuels, les journalistes occidentaux sentiront notre réponse. Nous réagirons immédiatement et très douloureusement contre les Occidentaux », avait-elle prévenu.

 

La French Tech inquiète de son image

La French Tech inquiète de son image

 

Le Figaro rapporte que les mots « sidération » et « incertitude » reviennent souvent dans la bouche des patrons de startups et autres représentants de la French Tech. Comme toute la France, le secteur s’est réveillé groggy le 10 juin. La décision d’Emmanuel Macron de dissoudre l’Assemblée nationale, puis d’organiser des élections législatives en urgence, a d’abord suscité l’incompréhension chez les dirigeants de la tech. Le secteur, qui a toujours été soutenu par ce gouvernement qu’il qualifie de « pro business » et « pro innovation », se sent menacé en cas de virage politique important.

France Digitale, l’un des syndicats professionnels du numérique, a réagi promptement en publiant une tribune le 13 juin co-signée par 200 entrepreneurs dans Les Echos. Celle-ci se veut apartisane, mais appelle à « voter pour faire gagner la France et l’Europe de l’innovation ».

Quelques jours plus tard, Philippe Corot, co-fondateur de la licorne Mirakl et « 74 autres dirigeants » signent un texte similaire sur LinkedIn. Il appelle à rejeter « les forces qui proposent le repli, la fermeture et la régression (…) ou les forces qui invitent à la division, la confrontation et la transformation radicale de notre économie ». Selon Hugo Weber, vice-président de Mirakl, ce texte appelle à ne pas voter « pour les extrêmes », mais il n’est pas partisan selon lui. « Selon les circonscriptions, les candidats de la majorité présidentielle ne seront pas seuls à représenter une alternative », précise-t-il.
des technologies pour la gestion des ressources humaines, fait confiance aux électeurs et aux institutions pour contrer les lois trop extrêmes du RN. Elle estime aussi que les entreprises engagées dans l’inclusion continueront d’agir de la sorte, même si un gouvernement d’extrême droite ne les y incite pas. « Lorsque l’Etat se détache de ses activités providentielles, c’est aux entreprises d’avoir ce rôle », observe-t-elle. En revanche, c’est la perspective d’une Assemblée Nationale ingouvernable qui l’inquiète. « Ce blocage politique pourrait conduire à un blocage social, à des manifestations, et donc à un blocage logistique, qui nuirait forcément à l’économie. L’avenir politique est plus important que l’avenir économique, mais les deux restent indissociables. »

 

La crise politique remet déjà à plus tard les projets
Avant de se projeter dans un avenir politique incertain, les dirigeants s’inquiètent déjà de cette période d’instabilité, qui vient perturber leurs affaires. Et ce, alors qu’ils font déjà face à un marché au ralenti depuis plusieurs mois, rapportent certains. « La France est très attentiste durant les grands événements. On sortait de la période des Européennes, il y avait un moment de calme avant les Jeux Olympiques, et nous voilà de nouveau dans une période tendue », observe Alain Garnier, PDG de la Jamespot. L’entrepreneur explique qu’un projet chez un client a d’ores et déjà été reculé. « On vend des solutions de digital workplace (bureau dématérialisé). C’est sûr qu’on ne pense pas à refaire ces bureaux pendant ce type de période. » Alexandre El Harouchy, fondateur de Remma, plateforme de location de matériel médical, estime de son côté ne pas comprendre la décision d’Emmanuel Macron qui « a retourné la table » et « laissé les gladiateurs dans l’arène ». Face à cette perspective « catastrophique », il dit avoir reporté des projets de recrutements.

Alain Garnier rejette en bloc la ligne du parti de Marine Le Pen. Il estime que « le repli sur soi » porté par l’extrême droite va « à l’encontre de toutes les valeurs de la tech », un écosystème « résolument tourné vers l’international ». Il reproche aussi au RN d’avoir vampirisé le terme de « souveraineté numérique ». « Eux prônent en réalité un souverainisme numérique, c’est-à-dire de choisir un acteur français, en priorité, avant tout autre argument. La souveraineté numérique ce n’est pas ça, c’est équilibrer les échanges marchands, pour éviter de continuer à laisser aux États-Unis la quasi entièreté du marché. Mais cela ne signifie pas rejeter les acteurs étrangers. »

Une inquiétude avant tout économique
Mais peu d’autres dirigeants du secteur dénoncent aussi franchement les valeurs de l’extrême droite. La plupart sont surtout inquiets des conséquences des décisions d’un gouvernement « anti business », qui serait soit incarné par le Rassemblement National, soit par le « Front Populaire », souvent qualifié d’« extrême gauche ». Rappelons que cette qualification est erronée. En mars 2024, le Conseil d’État a confirmé que LFI comme le Parti Communiste Français faisait partie du bloc de gauche, et le Rassemblement National à celui de « l’extrême droite ».

Alexandre El Harouchy, fondateur de Remma, plateforme de matériel médical d’occasion, s’inquiète d’une sortie pure et simple de l’Union Européenne côté RN, et de la remise en question du libre-échange côté Front Populaire. « 70 % de nos machines viennent d’Allemagne, aujourd’hui si on vend une machine en Grèce depuis l’Allemagne, on ne paie pas de droit de douane, tout est fluide. Il est possible que tout cela soit chamboulé. » Il se préoccupe des lois anti-immigrations prônées par le RN, mais aussi de la hausse des charges sociales qu’impliquerait un gouvernement de gauche.

Le Nouveau Front Populaire suscite parfois autant de craintes que le Rassemblement National
« Ces deux partis ont des programmes économiques flous, et sont peu connectés au monde des entrepreneurs », juge de son côté Charles Passereau, le fondateur de la startup parisienne Eversun, qui propose des panneaux solaires en abonnement. La crainte c’est que dans les deux cas, leur passage au pouvoir freine les politiques de financements de l’innovation.

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La fin de programmes de financement avantageux pour la French Tech fait effectivement partie des principales préoccupations de l’écosystème. Le plan France 2030 est notamment cité dans la tribune de France Digitale. Lancé par Emmanuel Macron en 2022, il prévoit de financer à hauteur de 54 milliards d’euros des entreprises qui aident à la décarbonation de l’économie, et celles positionnées sur des technologies d’avenir. Ce plan, déjà sous la menace de coupe budgétaire, pourrait être supprimé en cas de changement de gouvernement, craignent certains acteurs. Autre « poche d’argent » cité : Tibi 2, qui incite les industriels, banques et assurances à verser de l’argent aux fonds d’investissement, qui eux-mêmes accompagnent les startups.

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Les lois anti-immigration et le ralentissement des financements publics
L’autre source d’inquiétude régulièrement citée : les mesures anti-immigration du Rassemblement National. Olivier Martret, directeur investissement dans la société de capital-risque Serena Capital, affirme que l’ensemble des entreprises du portefeuille embauchent des talents hors de l’Union européenne, qui peuvent représenter entre 10 et 20 % des effectifs. Il s’agit de startups en pré-seed, au début donc de leurs développements. Ces recrutements de talents, qui bénéficient d’une « expérience à l’international » sont essentiels à ses yeux.

Certaines entreprises seront plus impactées que d’autres. Superprof, une edtech qui propose des cours particuliers en ligne, emploie 130 CDI dont la moitié n’a pas la nationalité française. « Mais tous travaillent depuis la France. On emploie environ 35 nationalités (indienne, américaine, chinoise, thaïlandaise…). Ces salariés sont aujourd’hui très préoccupés, ils ont peur de devoir quitter la France. Sachant qu’aujourd’hui même pour des personnes qui ont un CDI, qui sont installées en France depuis longtemps, c’est compliqué d’obtenir un Visa. »

Sous couvert d’anonymat, une licorne tricolore dont 5 % de la masse salariale n’a pas la nationalité française, confie être inquiète des mesures contraignantes en matière d’immigration. « Avoir recours à des talents étrangers est essentiel car elle permet d’une part de trouver des solutions face à la pénurie de développeurs en France, mais aussi de renforcer nos équipes de ventes et de marketing qui cherchent des clients étrangers. » Le porte-parole estime par ailleurs que l’impact psychologique sur ces salariés étrangers ne « sera pas le bienvenu. »

Sont aussi cités comme craintes potentielles : l’impossibilité de stocker ses données à l’étranger, et le blocage des investissements étrangers. « L’arrivée du Rassemblement National pourrait également compliquer les possibilités d’exit des entreprises, précise Olivier Martret, en limitant notamment l’acquisition de startups par des entreprises étrangères, et donc freiner les investisseurs étrangers, qui seraient découragés d’avance à investir dans des entreprises françaises. » Des licornes tricolores comme Mistral AI ou Mirakl sont parvenues à atteindre ce statut grâce à des investisseurs étrangers.

« Certains pensent qu’il y a du business à faire avec le Rassemblement National »
Tout l’écosystème ne partage toutefois pas ces inquiétudes. Un entrepreneur nous explique qu’une partie des dirigeants du secteur n’hésite pas à soutenir les idées de l’extrême droite. « Ils savent aussi qu’il y a du business à faire. Si le RN arrive au pouvoir, il est fort possible que le parti entame une chasse aux sorcières des acteurs économiques qui se sont opposés à eux, et qu’ils ne les choisissent pas pour de futurs appels d’offres publics par exemple. Cela s’est vu à chaque fois dans l’histoire des partis d’extrême droite. » C’est également ce qu’il ressort d’un article publié dans Contexte. Une lobbyiste pour de « grands noms de la tech » explique au média que certains de ses clients « se demandent s’ils doivent parler au RN. La question se posait depuis leur entrée à l’Assemblée en 2022, désormais elle ne se pose plus. » Elle raconte que si ses clients ont d’abord espéré que l’alliance avec LR vienne adoucir le programme du RN, « ils n’en sont plus là et veulent désormais influencer sa construction. »

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Et même les voix critiques cherchent déjà des solutions pour s’adapter en cas de virage politique. « Difficile de savoir comment cela va réellement impacter notre écosystème. Pour les fonds d’investissement, il est certain qu’un changement de politique impliquera une redirection des capitaux. » Des secteurs qui jusque-là avaient la faveur des investisseurs grâce à un contexte légal avantageux comme les green tech, les startups spécialistes de la rénovation énergétique des bâtiments, pourraient se voir moins soutenus dans les mois à venir. Le RN compte lever l’interdiction de mise sur le marché des passoires énergétiques, il compte aussi revenir sur la loi ZAN (zéro artificialisation nette). Or, de nombreuses startups, comme Kelvin (qui propose des études énergétiques des bâtiments grâce à l’intelligence artificielle) ont fait leur business model sur ces règles et les changements sociétaux qu’elles impliquent. Olivier Martret de Serena songe par ailleurs à accompagner davantage les startups vers le marché américain, pour éviter de se confronter à des changements de législations.

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Ce serait aussi un coup dur pour l’écosystème de l’IA, estime l’investisseur. La scène française avait « été replacée sur la carte internationale », mais une politique plus protectionniste pourrait ralentir cet élan.
Marine Protais
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Guerre Ukraine- feu vert pour attaquer la Russie sur son sol

Guerre  Ukraine-  feu vert pour attaquer la Russie sur son sol

 

Un tournant important sans doute de la guerre puisque Biden et l’Europe viennent de donner son feu vert que l’Ukraine attaque la Russie sur son sol d’où viennent les attaques contre Kharkiv.

 

 

La Russie doit maintenant sans doute comprendre que la ligne rouge a été franchie et que ses attaques destructrices et souvent meurtrières sur la deuxième ville du pays légitime désormais des ripostes de l’Ukraine sur le seul même russe.

Il est clair qu’il faut donner un signal fort à Poutine qui ne cesse de gagner du terrain la est ailleurs en ignorant par ailleurs aussi bien le droit international que tout simplement la vie humaine. Un signal partagé désormais par la plupart des pays d’Europe également

Le risque évidemment c’est d’accroître l’intensité du conflit voir de favoriser son extension géographique. Mais l’autre risque c’est de voir Poutine progressivement coloniser  de plus en plus de territoires dans l’est de l’Europe mais aussi ailleurs comme en Afrique.

Il faudra par contre que les pays occidentaux ne se contentent pas de mots et se mettre réellement en situation d’économie de guerre pour se mettre en situation de répondre à des attaques irresponsables de la Russie.

Ukraine- feu vert pour attaquer la Russie sur son sol

Ukraine-  feu vert pour attaquer la Russie sur son sol

 

Un tournant important sans doute de la guerre puisque Biden et l’Europe viennent de donner son feu vert que l’Ukraine attaque la Russie sur son sol d’où viennent les attaques contre Kharkiv.

 

 

La Russie doit maintenant sans doute comprendre que la ligne rouge a été franchie et que ses attaques destructrices et souvent meurtrières sur la deuxième ville du pays légitime désormais des ripostes de l’Ukraine sur le seul même russe.

Il est clair qu’il faut donner un signal fort à Poutine qui ne cesse de gagner du terrain la est ailleurs en ignorant par ailleurs aussi bien le droit international que tout simplement la vie humaine. Un signal partagé désormais par la plupart des pays d’Europe également

Le risque évidemment c’est d’accroître l’intensité du conflit voir de favoriser son extension géographique. Mais l’autre risque c’est de voir Poutine progressivement coloniser  de plus en plus de territoires dans l’est de l’Europe mais aussi ailleurs comme en Afrique.

Il faudra par contre que les pays occidentaux ne se contentent pas de mots et se mettre réellement en situation d’économie de guerre pour se mettre en situation de répondre à des attaques irresponsables de la Russie.

Ukraine- Biden donne son feu vert pour attaquer la Russie sur son sol

Ukraine- Biden donne son feu vert pour attaquer la Russie sur son sol

 

Un tournant important sans doute de la guerre puisque Biden vient de donner son feu vert que l’Ukraine attaque la Russie sur son sol pour défendre Kharkiv.

 

 

La Russie doit maintenant sans doute comprendre que la ligne rouge a été franchie et que ses attaques destructrices et souvent meurtrières sur la deuxième ville du pays légitime désormais des ripostes de l’Ukraine sur le seul même russe.

Il est clair qu’il faut donner un signal fort à Poutine qui ne cesse de gagner du terrain la est ailleurs en ignorant par ailleurs aussi bien le droit international que tout simplement la vie humaine. Un signal partagé désormais par la plupart des pays d’Europe également

Le risque évidemment c’est d’accroître l’intensité du conflit voir de favoriser son extension géographique. Mais l’autre risque c’est de voir Poutine progressivement coloniser  de plus en plus de territoires dans l’est de l’Europe mais aussi ailleurs comme en Afrique.

Il faudra par contre que les pays occidentaux ne se contentent pas de mots et se mettre réellement en situation d’économie de guerre pour se mettre en situation de répondre à des attaques irresponsables de la Russie.

Ukraine- Biden donne son feu vert pour attaquer la Russie

Ukraine- Biden donne son feu vert pour attaquer la Russie

 

Un tournant important sans doute de la guerre puisque Biden vient de donner son feu vert que l’Ukraine attaque la Russie sur son sol pour défendre Kharkiv.

 

 

La Russie doit maintenant sans doute comprendre que la ligne rouge a été franchie et que ses attaques destructrices et souvent meurtrières sur la deuxième ville du pays légitime désormais des ripostes de l’Ukraine sur le seul même russe.

Il est clair qu’il faut donner un signal fort à Poutine qui ne cesse de gagner du terrain la est ailleurs en ignorant par ailleurs aussi bien le droit international que tout simplement la vie humaine.

Le risque évidemment c’est d’accroître l’intensité du conflit voir de favoriser son extension géographique. Mais l’autre risque c’est de voir Poutine progressivement coloniser  de plus en plus de territoires dans l’est de l’Europe mais aussi ailleurs comme en Afrique.

Il faudra par contre que les pays occidentaux ne se contentent pas de mots et se mettre réellement en situation d’économie de guerre pour se mettre en situation de répondre à des attaques irresponsables de la Russie.

Violence extrême aussi en Guadeloupe avec la mort d’un patron par son fils

Violence extrême aussi en Guadeloupe avec la mort d’un patron par son fils

 

La violence n’est pas nouvelle en Guadeloupe comme ailleurs mais le fait divers de cet assassinat d’un chef d’entreprise par son fils témoigne de la sauvagerie des rapports qui s’installent comme le rappelle le Figaro.

Le fils du chef d’entreprise s’étend dénoncé comme le responsable de ce meurtre d’autres criminels impliqués ont été arrêté. De  nouvelles personnes ont été mises en examen dans l’affaire du meurtre en septembre 2023 d’un chef d’entreprise très connu en Guadeloupe, a indiqué jeudi 23 mai Caroline Calbo, procureure de la République de Pointe-à-Pitre. Mickaël Paturot, 39 ans, à la tête d’une entreprise de climatisation, avait été tué par balle à son domicile au Gosier (sud-ouest de la Grande Terre) le 23 septembre, à la suite d’un cambriolage qui aurait mal tourné, selon les enquêteurs.

Le lendemain, son fils de 16 ans s’était dénoncé à la police comme étant le commanditaire du vol, provoquant un gros émoi dans l’archipel. Ce dernier avait été immédiatement placé en détention provisoire, rejoint un mois plus tard par trois autres jeunes hommes. Au total, «quatre mineurs et quatre majeurs», âgés de 15 et 19 ans, sont mis en cause, a précisé Caroline Calbo. Sept sont en détention provisoire et mis en examen «pour des faits d’homicide concomitant avec un autre crime et vol avec arme», selon la même source. Le huitième suspect, un mineur, a été placé sous contrôle judiciaire et a intégré un centre pour mineurs.

Nouvelle-Calédonie : Macron attendu pour sauver l’ile, les J.O. et son mandat !

Nouvelle-Calédonie : Macron attendu pour sauver l’ile, les J.O. et son mandat !

 

On peut légitimement se demander ce qui soudain a décidé Macon de se rendre en nouvelle Calédonie lui-même. Pourtant le dossier venait d’être  reconfié au premier ministre qui n’a guère eu le temps de réagir et se trouve ainsi renvoyé aux besognes secondaires.

Certes l’enjeu de la nouvelle Calédonie est en cause tant d’un point de vue économique, que politique et économique. Jusque-là on a évité le pire autour du confus objectif de décolonisation conçue comme une indépendance totale par certains et une autonomie par d’autres. C’est tout le drame. Et pour résoudre la question on avait utilement donné du temps au temps jusqu’à ce que Macron et sa majorité se précipitent bêtement pour modifier le calendrier. Macron n’aura dont d’autres possibilités que de revenir au calendrier initial voire même de le détendre encore davantage.

Derrière la question institutionnelle qui modifie le corps électoral local il y a cette question pendante d’indépendance ou pas. Une problématique soulevée à l’occasion de la remise en cause de la proposition du corps électoral mais en fait tout autant nourrie de la dégradation économique. Contrairement à la plupart des autres territoires d’outre-mer, la Nouvelle-Calédonie est riche (le salaire moyen est supérieur à celui de la métropole) mais cette richesse laisse de côté une partie de la population mal formée, mal qualifiée qui finalement se laisse convaincre par les thèses radicales et indépendantistes. De toute évidence, il est trop dépendante du nickel sa principale richesse. En outre, une richesse mal gérée qui appelle sans doute une remise en cause.

Macron se déplace pour tenter de sauver l’ile mais aussi les JO car on voit mal une manifestation internationale d’une telle ampleur affectée par des troubles internes dans le pays qui l’organise , ce serait porter un grave coup à l’image de la France.
Mais ce déplacement est aussi motivé par le souci de président sans doute de sauver sa propre image et même sa fin de mandat. Dans les sondages son premier ministre jouit d’une audience maintenant assez supérieure à celle du président. Le discrédit de Macon est-elle que quoi qu’il dise il n’est ni écouté, ni entendu y compris concernant la campagne électorale en cours. Il ne peut plus compter que sur la scène internationale pour tenter d’exister politiquement. La Nouvelle-Calédonie lui donne l’occasion d’exister. Le pari est dangereux tellement l’image du président et dégradé et tellement l’homme est imprévisible. Pour sauver son mandat il pourrait être prêt à tout.

 

En Conseil des ministres, mardi, Emmanuel Macron a cueilli les participants avec une surprise : l’annonce de son départ imminent pour la Nouvelle-Calédonie. Un « acte fort destiné à faire comprendre l’attachement de l’État à la Nouvelle-Calédonie », vante-t-on dans son entourage. Parti mardi soir, heure de Paris, le président est attendu sur place jeudi matin, heure de Nouméa. Ce déplacement, prévu pour durer une journée, doit lui permettre « d’exprimer sa solidarité avec les Calédoniens » et de « remercier les forces de sécurité intérieures ainsi que nos forces armées qui sont extrêmement mobilisées pour permettre le retour de l’ordre républicain », selon un proche. Mais l’enjeu est surtout « la reprise du dialogue », poursuit-on de même source, en annonçant des rencontres avec des élus.

Pour sa visite, le président de la République sera notamment accompagné des ministres Gérald Darmanin (Intérieur), Sébastien Lecornu (Armées ; ex-Outre-mer) et Marie Guévenoux (Outre-mer). Résultat, Gabriel Attal présidera à sa place, mercredi matin à Caen, l’hommage national aux deux agents pénitentiaires tués la semaine dernière lors de l’attaque d’un fourgon. Le chef du gouvernement se rendra ensuite lui aussi en Nouvelle-Calédonie, mais « dans les semaines à venir », selon la secrétaire d’État Prisca Thevenot. Renouant ainsi le fil entre Matignon et Nouméa, tradition héritée des accords des années 1980-1990.

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Le flou règne

À quelques heures du décollage de l’avion présidentiel, un parfum d’improvisation flottait tout de même à Paris sur les contours de ce déplacement. Quels élus Emmanuel Macron prévoit-il de rencontrer ? L’Élysée se refuse à citer le moindre nom. Des hauts fonctionnaires ou des experts du territoire font-ils partie de la délégation ? Pas de réponse. Quid de la « mission » que le chef de l’État devait emmener dans ses bagages, ainsi que l’avait annoncé la porte-parole du gouvernement ? Le flou règne, alors que cette idée est loin de faire consensus localement. Juste avant d’apprendre la venue du président, la patronne macroniste de la province Sud et figure des loyalistes, Sonia Backès, fustigeait par exemple le côté accessoire voire cosmétique de ce genre d’objet, réclamé selon elle par « les Calédologues qui veulent mettre leur nom en bas d’un accord ».

« Il n’y a pas de scénario écrit à l’avance en partant de Paris », temporise-t-on dans l’entourage présidentiel. S’il n’a pas réussi à réunir les élus calédoniens en visioconférence la semaine dernière – certains refusant de discuter avec d’autres -, Emmanuel Macron entend donc profiter des 24 heures de vol et des 16 000 kilomètres qui séparent l’Hexagone de l’archipel pour affiner son programme et travailler à une sortie de crise. À moins, comme d’aucuns l’espèrent au sein de l’exécutif, que le simple fait qu’il se rende sur place par surprise ne suffise à produire un effet en soi. « C’est l’ADN du président : aller prendre les problèmes à bras-le-corps », s’ébaudissait-on dans un ministère, reprenant le refrain du « président thaumaturge » entendu lors du premier quinquennat.

À l’issue de ses rencontres en Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron compte s’exprimer « sur le projet de reconstruction et le volet politique », esquisse son entourage. L’occasion de se prononcer sur un report ou non du Congrès qui doit approuver la réforme constitutionnelle visant à dégeler le corps électoral, source de la flambée de violences. La semaine dernière, le chef de l’État s’est donné jusqu’à « fin juin » pour fixer le corps électoral en vue des élections provinciales prévues en fin d’année. Ce, sauf en cas d’accord entre les forces locales.

« Flopée de sujets à aborder »

Problème, les divisions calédoniennes ont des racines bien plus profondes que cette réforme électorale prévue de longue date. « Il y a une flopée de sujets à aborder, pas seulement la mécanique institutionnelle », avertit l’ex-garde des Sceaux Jean-Jacques Urvoas, qui a présidé la mission d’information permanente de l’Assemblée sur l’avenir de la Nouvelle-Calédonie. À commencer par les dégâts considérables sur l’économie locale : « Les structures économiques sont mortes. On ne sortira pas de cette situation sans l’État », juge-t-il, alors que « l’État » ne dispose que des compétences régaliennes sur ce territoire à statut spécifique.

C’est l’un des multiples chantiers que devra aborder Emmanuel Macron en atterrissant à Nouméa. Dans les couloirs du pouvoir, on compare volontiers ce déplacement à la visite éclair de François Mitterrand qui, en 1985, s’était rendu douze heures sur place, quelques jours après avoir proclamé l’état d’urgence dans un contexte de violences. Revenu à Paris, le président socialiste avait lancé, dans une courte allocution : « Il convient d’apporter aux diverses communautés de la Nouvelle-Calédonie, toutes attachées à cette terre, et qui doivent apprendre à vivre ensemble, les garanties indispensables à leur vie en commun. » Près de quarante ans après, le défi à relever semble identique.

Dégradation des Comptes publics : La France sauve sa note…. mais pas son déficit

Dégradation des Comptes publics : La France sauve sa note…. mais pas son déficit
C’est une sorte de victoire à la Pyrrhus pour la France qui réussit à conserver sa note relative à l’état des comptes publics. Cependant les commentaires de ces agences de notation sont très sévères et soulignent la récente dégradation. Le déficit et la dette atteignent en effet des records. La charge de la dette pour les seuls intérêts représentera bientôt autour de 70 milliards soit presque le premier poste du budget. De toute manière, cette note n’aurait pas changé grand-chose dans la mesure où la France pourra toujours rembourser les intérêts mais pas le capital. Une sorte d’assurance pour les prêteurs notamment étrangers nombreux  mais une hypothèque sur les capacités financières du pays.

 

Ces sujets techniques dominent dans un environnement où les investisseurs anticipent des baisses de taux. « La dégradation, évidemment que ce ne serait pas une bonne nouvelle. Mais le plus important, c’est que cela ne devrait pas avoir de conséquence sur les taux auxquels nous nous finançons, dans la mesure où les marchés ont déjà intégré la situation de nos finances publiques », se rassurait-on, ces derniers jours, à Matignon. Sans tension supplémentaire sur les marchés le gouvernement anticipe déjà une explosion de la charge de la dette, qui dépasserait les 70 milliards en 2027.

 

Comptes publics : La France sauve sa note…. mais pas son déficit et sa dette

Comptes publics : La France sauve sa note…. mais pas son déficit
C’est une sorte de victoire à la Pyrrhus pour la France qui réussit à conserver sa note relative à l’état des comptes publics. Cependant les commentaires de ces agences de notation sont très sévères et soulignent la récente dégradation. Le déficit et la dette atteignent en effet des records. La charge de la dette pour les seuls intérêts représentera bientôt autour de 70 milliards soit presque le premier poste du budget. De toute manière, cette note n’aurait pas changé grand-chose dans la mesure où la France pourra toujours rembourser les intérêts mais pas le capital. Une sorte d’assurance pour les prêteurs notamment étrangers nombreux  mais une hypothèque sur les capacités financières du pays

 

Ces sujets techniques dominent dans un environnement où les investisseurs anticipent des baisses de taux. « La dégradation, évidemment que ce ne serait pas une bonne nouvelle. Mais le plus important, c’est que cela ne devrait pas avoir de conséquence sur les taux auxquels nous nous finançons, dans la mesure où les marchés ont déjà intégré la situation de nos finances publiques », se rassurait-on, ces derniers jours, à Matignon. Sans tension supplémentaire sur les marchés le gouvernement anticipe déjà une explosion de la charge de la dette, qui dépasserait les 70 milliards en 2027.

 

Le FMI sanctionne la France pour l’insincérité de son budget

Le FMI sanctionne la France pour l’insincérité de son budget

 

Pas vraiment une sanction mais plutôt une condamnation de la gestion budgétaire du gouvernement actuel. Le fonds monétaire international porte un coup sérieux à la crédibilité de lagestion financière de la France.

 

À la veille de la parution des nouvelles notes par les principales agences spécialisées, le fonds monétaire international adresse une claque à la France vis-à-vis de ses prévisions budgétaires. En clair il dénonce l’insincérité du budget et considère que l’annonce d’un retour du déficit public en dessous des 3 % du PIB en 2027 constitue une illusion.

Cet analyse du fonds monétaire international sera forcément très mal reçue par le gouvernement français qui s’efforce par une gymnastique compliquée et obscure de prouver le contraire pour éviter la sanction des agences de notation. En clair pour camoufler une partie du déficit public.

Le gouvernement  prévoit un redressement du déficit à 4,1% en 2025, 3,6% en 2026 et finalement 2,9% en 2027. Parallèlement, la dette stagnerait de 112,3% du PIB cette année à 112% en 2027, mais avec un coût qui passerait de 46,3 milliards en 2024 à 72,3 milliards d’euros en 2027. 

Le gouvernement a déjà annoncé 10 milliards d’euros de coupes budgétaires par décret en février dernier et 10 milliards d’euros à trouver de nouveau cette année. S’agissant de 2025, l’exécutif a annoncé 20 milliards d’euros d’économies pour parvenir à son objectif. Mais déjà, le Fonds monétaire international (FMI) met en doute les projections de l’exécutif. Dans son rapport annuel sur les finances publiques qui fait référence ( le « Fiscal monitor »), le FMI table sur un déficit de 4,9% en 2024 et 2025, 4,4% en 2026 et 4,3% en 2027, au-dessus donc de la limite de 3% fixée par le Pacte de stabilité, contrairement à l’engagement du gouvernement français de passer au-dessous (2,9%).

Dans un avis sévère rendu public ce mercredi 17 avril, le Haut conseil des finances publiques considère que la prévision de ramener le déficit en dessous de 3% du PIB en 2027 « manque de crédibilité » face à une situation des finances publiques « préoccupante ». La juridiction estime que la documentation de cette trajectoire est « lacunaire ». Auditionné par la Commission des finances de l’Assemblée ce mercredi 17 avril, Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes, a une nouvelle fois tiré la sonnette d’alarme. « 2023 a été une année noire. Le déficit de l’année 2023 atteint presque le record de l’année 2020 », a-t-il déclaré.

Les experts du HCFP pointent également le manque de « cohérence » sur les projections de croissance jugées « optimistes ». « La mise en œuvre de l’ajustement structurel prévu pèsera nécessairement, au moins à court terme, sur l’activité économique », soulignent les auteurs de l’avis.

Le Haut conseil rappelle notamment que « la prévision de croissance en France du gouvernement pour 2024 (1,0 %) est supérieure à celle de la moyenne des prévisionnistes interrogés en avril par le Consensus Forecasts (0,7 %) et à celles du FMI (0,7 %) et de l’OCDE (0,6 %) ». De quoi fragiliser le scénario du gouvernement.

 

 

 

Cigarettes: 40 % de fraude

Cigarettes: 40 % de fraude
La Seita indique que 40% des cigarettes Sont achetés en fraude. Pour analyser cette situation, la Seita utilise une méthode éprouvée depuis plusieurs années. Des enquêteurs collectent des paquets vides laissés par les consommateurs dans l’espace public. Cette collecte se fait en France, mais aussi dans plusieurs villes européennes.
« Pour réaliser cette radiographie de la consommation, des collecteurs ramassent les paquets par terre ou sur le dessus des poubelles dans 126 villes de France. Ils sont ensuite envoyés chez les fabricants qui analysent leur provenance », nous explique Hervé Natali, responsable des relations territoriales Seita.

Ce comportement qualifié de fraude fiscale par les autorités s’explique par une politique tarifaire destinée à encourager les fumeurs à arrêter de fumer.
« Les catégories les moins favorisées sont celles qui fument le plus et cherchent à acheter moins cher, mais le phénomène touche bien plus de monde avec la facilité à se procurer des cigarettes à moitié prix », explique Hervé Natali.

Les cinq régions où les achats de contrebande sont les plus élevés sont Provence Alpes Côte d’Azur (41,80%), Nouvelle Aquitaine (41,50%), Ile-de-France (40,90%), Bretagne(40,30%) et Bourgogne Franche Comté (40,30%).

 

Politique: l’héritage de François Hollande : son scooter !

Politique: l’héritage de François Hollande : son scooter !

 

 

On aurait bien du mal à évoquer ce qui caractérise l’héritage politique de François Hollande dont le pouvoir a fini en eau de  boudin à tel point qu’il n’a même pas pu se représenter.

On apprend cependant que l’ancien scooter de François Hollande sera mis en vente au château Darty ni en Touraine lors d’une vente aux enchères

 

Le 1er janvier 2014, l’ancien président de la République a été photographié en scooter par la presse people devant l’immeuble de l’actrice Julie Gayet alors qu’il était officiellement en couple avec la journaliste Valérie Trierweiler. Le scoop, révélé par le magazine Closer, a déclenché un vaudeville médiatique dont l’épilogue fut la séparation du chef de l’État avec sa compagne. Dix ans après, la monture reste ancrée dans l’histoire du quinquennat de François Hollande.

Le pire c’est que François Hollande a dédicacé son scooter !

L’héritage politique de François Hollande : son scooter !

L’héritage politique de François Hollande : son scooter !

 

 

On aurait bien du mal à évoquer ce qui caractérise l’héritage politique de François Hollande dont le pouvoir a fini en eau de  boudin à tel point qu’il n’a même pas pu se représenter.

On apprend cependant que l’ancien scooter de François Hollande sera mis en vente au château Darty ni en Touraine lors d’une vente aux enchères

 

Le 1er janvier 2014, l’ancien président de la République a été photographié en scooter par la presse people devant l’immeuble de l’actrice Julie Gayet alors qu’il était officiellement en couple avec la journaliste Valérie Trierweiler. Le scoop, révélé par le magazine Closer, a déclenché un vaudeville médiatique dont l’épilogue fut la séparation du chef de l’État avec sa compagne. Dix ans après, la monture reste ancrée dans l’histoire du quinquennat de François Hollande.

Le pire c’est que François Hollande a dédicacé son scooter !

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