Archive pour le Tag 'solide'

Croissance États-Unis : un solide chiffre de 3 % au deuxième trimestre

Croissance États-Unis : un solide chiffre de 3 % au deuxième trimestre
La croissance américaine a été confirmée à 3% en rythme annualisé au deuxième trimestre, selon la troisième et dernière estimation publiée ce jeudi par le département du Commerce. Pour rappel, elle avait été révisée à la hausse fin août à 3% en rythme annualisé, contre 2,8% initialement annoncés. À comparer évidemment à la croissance en Europe sur une tendance <1 % sur un an.

. « Derrière la légère révision (…) se cache une forte augmentation des dépenses de consommation, le principal moteur de l’économie qui représente près de 70% du PIB », avait également commenté Robert Frick, économiste pour Navy Federal Credit Union. Et ce, « alors que l’inflation se calmait, démontrant que nous avons atterri en douceur il y a quelques mois », selon lui, ce qui signifie que la banque centrale américaine (Fed) a réussi à faire baisser l’inflation sans faire plonger le pays dans la récession.

L’Europe de son côté a effectivement elle aussi réduit le niveau de son inflation référée maintenant se maintenir sur un objectif de 2 % à la différence près que la croissance européenne paraît particulièrement fragile. En cause sans doute aussi l’insuffisance d’investissement mais aussi le protectionnisme notamment vis-à-vis de la Chine

L’éolien un solide marqueur idéologique !

L’éolien  un solide marqueur idéologique ! 

 

 Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde » estime que l’éolien est devenu un solide marqueur idéologique entre la droite–contre–et la gauche–pour–

Une vision finalement très parisienne et qui se réfère au contenu des programmes mais sans doute pas au positionnement politique des Français. En effet dans les opposants à l’éolien sur le terrain on trouve autant de résidents de sensibilité de gauche que de droite et surtout une majorité sans réelle attachement politique partisan.Par ailleurs, l’analyse économique pour comparer éolien et nucléaire est complètement faussée que l’éolien et sur subventionné. Sans parler de l’immense cout de démolitions des éoliennes complètement ignoré. Le caractère intermittent est en outre passé sous silence. Bref un plaidoyer pro éolien très approximatif. NDLR

Pour la première fois sur le territoire français, un mât blanc de plus de 100 mètres de haut s’est élevé, jeudi 7 avril, au-dessus de la mer au large de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique). Une éolienne de 6 mégawatts de puissance, qui sera progressivement rejointe par 80 autres plantées à une quinzaine de kilomètres face aux ports du Croisic et du Pouliguen. Le premier champ éolien maritime français sort enfin la tête de l’eau. A terme, l’installation fournira les besoins en électricité de 700 000 habitants. Un motif de fierté pour les ingénieurs d’EDF, qui travaillent sur le projet depuis dix ans, et pour toute la profession de l’éolien.

Mardi 12 avril, le syndicat qui les représente a expliqué que l’Etat allait récupérer, ou économiser, cette année, près de 14 milliards d’euros grâce à l’énergie éolienne. L’envolée des tarifs de l’électricité conduit les exploitants à verser le trop-perçu par rapport au prix de revient de l’installation.

Cette bonne nouvelle ne convainc pas tout le monde. A tel point que ce sujet est devenu, en quelques années, un solide marqueur idéologique entre la droite (contre) et la gauche (pour). Dans son programme politique, la proposition 12 de Marine Le Pen promet d’« arrêter les projets éoliens et [de] démanteler progressivement les parcs existants ». Face à elle, Emmanuel Macron entend créer 50 nouveaux parcs éoliens en mer, comme celui de Saint-Nazaire, mais il ne parle pas du terrestre.

Pour se passer d’éolien, le Rassemblement national prévoit la construction d’une vingtaine de réacteurs EPR d’ici à 2036, dont dix en 2031. Mais cela dépasse largement les capacités techniques d’EDF, qui serait déjà content s’il parvenait à sortir un seul nouvel exemplaire en 2037.

Bien sûr, les éoliennes consomment beaucoup de béton et affectent le paysage, mais elles sont bien plus simples à construire et à installer, et produisent aujourd’hui à des coûts très compétitifs. Le dernier appel d’offres marin, à Dunkerque (Nord), a été remporté par EDF au prix de 45 euros le mégawattheure, contre un prix de marché de l’électricité qui a atteint les 230 euros au premier trimestre.

Comme le rappelle l’expert Nicolas Goldberg dans une très complète note pour Terra Nova, il n’y a aucune chance de respecter de près ou de loin les objectifs climatiques sans un développement à marche forcée des énergies renouvelables, en plus du nucléaire. C’est le message envoyé par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat et le Réseau de transport d’électricité dans leurs scénarios 2050. Une réalité qui finira par s’imposer. Mais le temps presse.

Pour un plan de financement plus solide pour le climat

Pour  un plan de financement plus solide pour le climat

Le directeur général de BlackRock, Larry Fink, a appelé dimanche les gouvernements à élaborer un plan de financement climatique à long terme plus solide pour débloquer les capitaux privés nécessaires à la transition vers une économie à faibles émissions de carbone.

 

S’exprimant lors la Conférence internationale sur le climat de Venise à l’occasion d’une réunion des ministres des Finances du G20, il a ajouté que, sans un tel plan, les efforts actuels – y compris en matière de transparence sur l’impact de l’activité des entreprise – risquaient de n’être « rien de plus qu’une façade ».

Larry Fink, qui dirige le plus grand gestionnaire d’actifs au monde, avec environ 9.000 milliards de dollars d’actifs, a également appelé à une réforme du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale pour les rendre plus aptes à relever le défi du changement climatique.

Trois problèmes « critiques »

Le dirigeant a souligné trois problèmes « critiques » à régler afin de favoriser la transition écologique, qui représente selon lui une opportunité de 50.000 milliards de dollars pour les investisseurs, alors que BlackRock est lui-même est un important pourvoyeur de fonds du secteur des énergies fossiles.

Selon lui, il faut premièrement que les entreprises privées soient soumises à la même pression que les entreprises cotées pour partager des informations sur leurs efforts en matière de développement durable.

Les sociétés pétrolières et gazières cotées sont aujourd’hui « massivement incitées » à vendre leurs actifs les plus polluants, souvent à des sociétés privées et publiques qui font l’objet d’un contrôle moins strict et divulguent beaucoup moins d’informations sur leurs opérations.

Deuxièmement, selon Larry Fink, les gouvernements risquent d’alimenter les inégalités à moins de créer davantage de demande pour des produits et services plus écologiques, en abaissant leur coût, ou « prime verte », qui pénalise les plus démunis et risque d’alimenter l’instabilité sociale.

 

Enfin, selon le patron BlackRock, des institutions telles que la Banque mondiale et le FMI doivent être réformées pour encourager davantage les capitaux du secteur privé à financer la transition dans les marchés émergents.

Repenser les rôles du modèle bancaire

Larry Fink a également souligné que les deux organes avaient été créés il y a près de 80 ans sur la base d’un modèle bancaire, jugeant qu’il est désormais nécessaire de « repenser leurs rôles ».

Citant le rôle de BlackRock dans la création d’une stratégie de financement climatique public-privé de 250 millions de dollars destinée aux infrastructures durables, dans laquelle le gouvernement et des philanthropes fournissent des capitaux subordonnés pour protéger les rendements des investisseurs privés, il a ajouté qu’il fallait davantage d’initiatives du même type.

« Si nous n’avons pas d’institutions internationales offrant ce genre de position de première perte à une plus grande échelle qu’aujourd’hui, en supervisant correctement les investissements et en réduisant le coût de financement et le coût des capitaux propres, nous n’allons tout simplement pas pouvoir attirer les capitaux privés nécessaires à la transition énergétique dans les marchés émergents », a-t-il estimé.

Croissance solide en Allemagne : 2,6% en 2018

Croissance solide en Allemagne : 2,6% en 2018

 

La  réélection de Merkel comme chancelière donne des raisons supplémentaires d’être optimistes sur la croissance en Allemagne. L’institut économique allemand IFO a maintenu ses prévisions de croissance pour 2018 à 2,6% et 2,1% pour 2019, selon un communiqué publié ce mercredi 21 mars. Ces chiffres correspondent aux prévisions publiées en décembre. Malgré ces projections favorables, plusieurs économistes allemands s’inquiètent des risques qui pèsent à la fois sur la croissance mondiale et sur la croissance allemande. Parmi les menaces pour la conjoncture, on pinte surtout le risque de mesures protectionnistes qui pourrait affecter les exportations allemandes.  D’après ‘institut économique allemand IFO croissance devrait atteindre 2.6 pour 2018 et 2,1% pour 2019, elle doit  être portée par l’investissement privé en hausse entre 2017 (+4%) et 2018 (+6% ). Si les investissements dans la construction devraient sérieusement ralentir, les entreprises pourraient augmenter leurs dépenses dans l’acquisition de machines-outils et équipements (4% en 2017 contre 6,6%) en 2018. Par ailleurs, la dynamique des échanges extérieurs allemands devrait se poursuivre dans l’année à venir permettant de maintenir une activité relativement soutenue. En revanche, les Allemands devraient moins dépenser cette année. « Nous avons révisé à la baisse nos projections pour les dépenses de consommation des ménages  de 2018 de 0,5 point de pourcentage en raison d’une baisse de la consommation plus faible que prévu au cours du second semestre 2017″ explique le directeur des prévisions chez IFO Timo Wollmershaeuser. En ce qui concerne le chômage, les prévisionnistes allemands annoncent encore une baisse du chômage pour 2018 qui passerait de 5,7% à 5,2% de la population active, soit son niveau le plus bas depuis la réunification.

La croissance américaine : encore solide mais qui se tasse

La croissance américaine : encore solide mais qui se tasse

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Sous l’effet de la dégradation de la demande mondiale, la croissance aux États-Unis se tasse un peu. Elle demeure cependant encore solide puisque la Fed prévoit une augmentation de 2,2 % du PIB en 2016. La croissance économique des Etats-Unis a ralenti au quatrième trimestre mais pas autant qu’annoncé lors une précédente estimation, des dépenses de consommation plus dynamiques qu’on ne le pensait ayant compensé l’impact négatif du processus de déstockage des entreprises. Le PIB a augmenté de 1,4% annualisé, en troisième et dernière estimation, alors que la précédente estimation donnait une croissance de 1,0%, a annoncé le département du Commerce vendredi. La toute première estimation ne donnait qu’une croissance de 0,7%, après 2,0% au troisième trimestre et 2,4% pour l’ensemble de 2015. Les économistes interrogés par Reuters attendaient une croissance non révisée au dernier trimestre de 2015, de 1,0%. Les dépenses de consommation, qui représentent plus des deux tiers de l’activité économique des Etats-Unis, ont augmenté de 2,4%, au lieu des 2,0% annoncés le mois dernier, en raison d’une consommation plus forte qu’estimé auparavant dans les services. Cette vigueur des dépenses de consommation est apte à apaiser les craintes de récession, lesquelles avaient provoqué une déroute boursière en début d’année. Ceci, couplé à un marché de l’emploi dynamique et à une inflation en hausse, plaide pour une remontée progressive des taux d’intérêt de la part de la Réserve fédérale américaine cette année. « C’est à nouveau le consommateur qui mène la croissance. Aucun signe de récession dans ces données, ce qui devrait réjouir les responsables de la Fed et jouer en faveur de leur politique de poursuite de la normalisation progressive des taux », dit Chris Rupkey, économiste en chef de MUFG Union Bank.




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