Archive pour le Tag 'soigne'

Covid-19 : Trump se soigne à l’hydroxychloroquine depuis dix jours

Covid-19 : Trump se soigne à l’hydroxychloroquine depuis dix jours

 

Par prévention, le président américain déclare qu’il prend depuis 10 jours de la chloroquine ( commercialisé souvent sous le nom de nivaquine). On sait qu’une polémique est née quand à l’efficacité de l’Hydrochloroquine utilisée notamment par le très médiatique professeur français Raoult. Plusieurs études ont été menées pour tenter d’évaluer l’efficacité du traitement ( il s’agit d’un traitement pas d’un vaccin ); rien de probant n’est sorti de ces évaluations. Certaines démontrent l’utilité de la molécule, d’autres non. De toute façon des clivages très importants entre experts et mandarins sont intervenus très tôt à propos de l’usage de la chloroquine.

Derrière ces querelles, il y a évidemment des les enjeux de financement des instituts ( financement publiques et financements par des industries pharmaceutiques), aussi des querelles d’ego et des positions liées à la proximité avec le pouvoir. Il n’est pas certain que le cobaye Donald Trump  constitue un échantillon représentatif pour déboucher sur une évaluation pertinente de chloroquine.

Notons quand même qu’il s’agit d’une molécule très ancienne en général utilisée pour lutter contre le paludisme depuis des dizaines d’années est bien connue dans des pays tropicaux notamment en Afrique. Il est certainement bien trop tôt pour tirer des conclusions scientifiquement pertinentes et sereines de ce traitement comme d’autres d’ailleurs car les études notamment épidémiologiques vont demander du temps.

Donald Trump en tout cas a révélé lundi qu’il prenait tous les jours de l’hydroxychloroquine, un médicament contre le paludisme dont l’efficacité contre le coronavirus n’a pas été démontrée à ce stade. «J’en prends depuis dix jours (…) je prends un comprimé par jour», a déclaré le président américain à la stupéfaction générale, lors d’un échange avec les journalistes à la Maison Blanche. «J’entends beaucoup de choses extraordinairement positives» sur ce médicament, a-t-il justifié. «Vous connaissez l’expression: qu’est-ce que vous avez à perdre?»

Preuve qu’il était content de l’effet produit sur son audience, l’ancien homme d’affaires de New York s’est amusé de son annonce devant les journalistes. «J’attendais de voir vos yeux s’illuminer quand j’ai dit ça… Oui, j’en prends depuis une semaine et demie et je suis toujours là!».

Retraites le gouvernement soigne les policiers….. comme dans les dictatures

Retraites  le gouvernement soigne les policiers….. comme dans  les dictatures

 

Il y a évidemment quelque chose de paradoxal dans la méthode de négociation du gouvernement. D’un côté le gouvernement annonce  grands principes qui devront se traduire par des orientations législatives forcément définitives du Parlement, d’un autre il décide des mesures définitives  pour  certaines catégories avant même que le texte ne soit Parlement. Ainsi par exemple, le pouvoir a cédé devant les revendications des policiers sur le  maintien de leur régime qu’il permet notamment de partir plutôt s’il le souhaite en cotisant 37 ans et non 42 ans pour  obtenir une retraite à taux plein. On comprend évidemment que les policiers de terrain c’est-à-dire ceux qui opèrent sur la voie publique puissent ne pas être contraints comme tous les autres salariés d’atteindre 64 ans pour faire valoir leurs droits à la retraite. Par contre, il est assez surprenant qu’on accorde les mêmes droits aux policiers exclusivement employés dans les bureaux. C’est toute la contradiction de la réforme des retraites qui résonne par secteur, par entreprise. Une approche globale particulièrement injuste et qui finira d’ailleurs par coûter très cher quand on additionnera  les exceptions au régime général. Cette bienveillance de Christophe Castaner   à l’égard des policiers ressemble fort à celle des dirigeants de pays en voie de développement qui pour protéger leur pouvoir accorde des avantages significatifs à la police et à l’armée. Encore une fois, il est logique de tenir compte des risques particuliers des policiers de terrain mais le reste constitue du corporatisme et du clientélisme. Les mêmes observations peuvent être faites pour l’ensemble exceptions globalisante qui  vont être faites pour telle ou telle  catégorie ( certains cheminots ,  Les infirmières , les pompiers, les gardiens de prison qui pourtant mériteraient les  mêmes égard que les policiers de bureau.  Les organisations – Alliance, Unsa Police et Unité SGP Police – ont donc  obtenu le maintien des avantages permettant un départ à la retraite précoce pour l’ensemble du personnel actif, soit les policiers dans les bureaux et sur la voie publique, et non pas seulement les policiers sur la voie publique comme initialement prévu.

“Ce n’est pas encore une victoire, ce sont des avancées. On attend le courrier du ministre de l’Intérieur qui doit confirmer ces garanties samedi”, a dit à Reuters Denis Jacob, secrétaire général d’Alternative police CFDT, organisation qui ne participe pas au mouvement.

Les policiers bénéficient actuellement d’une annuité tous les cinq ans, dans la limite de cinq annuités, ce qui leur permet de ne cotiser que 37 ans et non 42 pour obtenir une retraite à taux plein. Ces bonifications seraient remplacées par une surcotisation patronale.

Le syndicat Alternative Police précise toutefois qu’il attend encore des garanties sur la pénibilité et le travail de nuit, et veut s’assurer que l’âge pivot qui décale le taux plein de deux ans ne s’appliquera pas aux policiers. Cela les obligerait à partir à 59 ans et non 57 pour éviter la décote.

Retraite le gouvernement soigne les policiers….. comme dans les pays en développement

Retraite le gouvernement soigne les policiers….. comme dans  les pays en développement

 

Il y a évidemment quelque chose de paradoxal dans la méthode de négociation du gouvernement. D’un côté le gouvernement annonce  grands principes qui devront se traduire par des orientations législatives forcément définitives du Parlement, d’un autre il décide des mesures définitives  pour  certaines catégories avant même que le texte ne soit Parlement. Ainsi par exemple, le pouvoir a cédé devant les revendications des policiers sur le  maintien de leur régime qu’il permet notamment de partir plutôt s’il le souhaite en cotisant 37 ans et non 42 ans pour  obtenir une retraite à taux plein. On comprend évidemment que les policiers de terrain c’est-à-dire ceux qui opèrent sur la voie publique puissent ne pas être contraints comme tous les autres salariés d’atteindre 64 ans pour faire valoir leurs droits à la retraite. Par contre, il est assez surprenant qu’on accorde les mêmes droits aux policiers exclusivement employés dans les bureaux. C’est toute la contradiction de la réforme des retraites qui résonne par secteur, par entreprise. Une approche globale particulièrement injuste et qui finira d’ailleurs par coûter très cher quand on additionnera  les exceptions au régime général. Cette bienveillance de Christophe Castaner   à l’égard des policiers ressemble fort à celle des dirigeants de pays en voie de développement qui pour protéger leur pouvoir accorde des avantages significatifs à la police et à l’armée. Encore une fois, il est logique de tenir compte des risques particuliers des policiers de terrain mais le reste constitue du corporatisme et du clientélisme. Les mêmes observations peuvent être faites pour l’ensemble exceptions globalisante qui  vont être faites pour telle ou telle  catégorie ( certains cheminots ,  Les infirmières , les pompiers, les gardiens de prison qui pourtant mériteraient les  mêmes égard que les policiers de bureau.  Les organisations – Alliance, Unsa Police et Unité SGP Police – ont donc  obtenu le maintien des avantages permettant un départ à la retraite précoce pour l’ensemble du personnel actif, soit les policiers dans les bureaux et sur la voie publique, et non pas seulement les policiers sur la voie publique comme initialement prévu.

“Ce n’est pas encore une victoire, ce sont des avancées. On attend le courrier du ministre de l’Intérieur qui doit confirmer ces garanties samedi”, a dit à Reuters Denis Jacob, secrétaire général d’Alternative police CFDT, organisation qui ne participe pas au mouvement.

Les policiers bénéficient actuellement d’une annuité tous les cinq ans, dans la limite de cinq annuités, ce qui leur permet de ne cotiser que 37 ans et non 42 pour obtenir une retraite à taux plein. Ces bonifications seraient remplacées par une surcotisation patronale.

Le syndicat Alternative Police précise toutefois qu’il attend encore des garanties sur la pénibilité et le travail de nuit, et veut s’assurer que l’âge pivot qui décale le taux plein de deux ans ne s’appliquera pas aux policiers. Cela les obligerait à partir à 59 ans et non 57 pour éviter la décote.

Le gouvernement soigne politiquement les vieux

Le gouvernement soigne politiquement les vieux

 

 

Le gouvernement fait semblant de soigner les vieux en exonérant 300 000 d’entre de l’augmentation de la CSG. Une petite mesure électorale de 350 millions qui donne l’impression que le gouvernement prête désormais une oreille attentive aux retraités. Notons que près de 60% des retraités, soit 7,5 millions de personnes, sont actuellement concernés par la hausse de la CSG. Les 40% restants, exonérés de CSG ou soumis à la CSG à taux réduit (3,8%), ne sont pas touchés. Par contre, le gouvernement fait semblant d’ignorer que la désindexation des pensions par rapport à  l’inflation portera un coup sévère au pouvoir d’achat des retraités. En effet en 2019 comme en  2020 l’augmentation annuelle devra être limitée à 0, 3 % alors que nous sommes en ce moment sur une tendance’ augmentation des prix de plus de 2 %. Résultat il manquera 1,7 % pour la remise annuelle du niveau des pensions.

 

 

Ebola : un cas soigné en France

Ebola : un cas soigné  en France

Petit à petit le virus Ebola gagne les pays de l’Afrique de l’ouest. Cette fois c’est la Sierra Leone qui est touchée. Un cas a été décelé et l’intéressé à été accueilli en France pour être soigné. Une des difficultés pour affronter ce virus réside dans l’opacité concernant la progression du virus ; Un virus dont certains symptômes sont proches de celui du paludisme qui fait 700 000 morts par an en Afrique. En outre les autorités locales africaines ont intérêt à minimiser la progression du virus pour ne pas fragiliser leur mobilité économique ;.  Une personne contaminée par le virus Ebola est donc actuellement soignée en France. Dans un bref communiqué, le ministère de la Santé a fait savoir ce dimanche que « la France accueille un cas confirmé d’Ebola après une évacuation sanitaire« . C’est à la demande de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) que la France a accepté de prendre en charge cette personne, qui n’a pas la nationalité française, dans la soirée de samedi. Une décision prise en application d’accords internationaux. On ne sait pas s’il s’agit d’un homme ou d’une femme. Ce que l’on sait c’est que cette personne travaillait au Sierra Leone  »dans la lutte contre Ebola », et « a fait l’objet d’une évacuation sanitaire médicalisée et sécurisée par avion spécial. L’ensemble du circuit de prise en charge a été sécurisé, depuis le décollage de Freetown et le voyage en avion jusqu’à l’hospitalisation en isolement de haute sécurité en chambre dédiée à l’Hôpital d’Instruction des Armées Bégin (Saint-Mandé), où elle reçoit des soins médicaux attentifs » précise le communiqué. Marisol Touraine tient tout de même à rappeler qu’aucun cas de fièvre Ebola n’a été confirmé en France. Mi-septembre, une infirmière française contaminée par le virus lors d’une mission au Liberia avait été hospitalisée à l’hôpital Bégin avant de le quitter, guérie, début octobre. Il s’agissait du premier cas de fièvre Ebola sur le territoire. La ministre de la Santé note également que la France est « engagée » dans la prise en charge  »des personnels humanitaires mobilisés par les organisations non gouvernementales et les agences des Nations Unies pour combattre le virus dans les pays touchés« .  

 

Le gouvernement soigne les fonctionnaires …avant les municipales

Le gouvernement soigne les fonctionnaires …avant les municipales

Seulement  2.000 suppressions nettes de postes interviendront l’an prochain sur plus de 2 millions d’agents de l’Etat. Et jeudi 27 septembre, Marylise Lebranchu, leur ministre, a confirmé un étalement de la hausse de leurs cotisations retraites sur quatre ans. Ce n’est pas tout. Le projet de budget 2014 prévoit aussi la suppression définitive du « jour de carence » non indemnisé en cas de maladie. Une vieille revendication des syndicats de la fonction publique.  Instaurée en 2012 par le gouvernement Fillon, le « jour de carence » consiste à ne pas indemniser le premier jour d’arrêt de travail d’un fonctionnaire. Les salariés, eux, doivent subir trois jours de carence, il est vrai souvent pris en charge par leur employeur dans le cadre de leur convention collective. L’objectif de l’ancienne majorité était d’endiguer l’absentéisme dans le public, pus élevé que dans le privé, en particulier dans les collectivités locales.  Le gouvernement Ayrault avait promis aux syndicats de supprimer cette mesure. Ce qui devrait être fait dans le budget 2014. Selon le projet de loi, cette suppression devrait coûter près de 130 millions d’euros aux caisses publiques, desquels il faudra déduire les économies réalisées par des contrôles renforcés des arrêts de travail des agents. Mais le gouvernement se garde bien de chiffrer ce gain.  Comme les salariés du privé, les 5 millions de fonctionnaires de l’Etat, des collectivités locales et des hôpitaux sont appelés faire un effort supplémentaire dans le cadre de la réforme des retraites. Mais pour atténuer l’impact sur leur pouvoir d’achat, le gouvernement a décidé d’appliquer un mécanisme de lissage: la hausse des cotisations salariales sera étalée entre 2014 et 2017. La hausse devra à terme bien atteindre 0,3 point. A la suite de la précédente réforme des retraites de 2010, le taux de cotisation des fonctionnaires augmente déjà progressivement pour être aligné sur celui du privé. La réforme Fillon a, en effet, institué une hausse de 0,27 point par an afin de rejoindre le niveau du privé en 2020. Le projet de Budget 2014 confirme dans les chiffres le fait qu’aucune réforme de fond des retraites des fonctionnaires n’a été décidée par le gouvernement Ayrault. La hausse des cotisations des agents en 2014 ne fera gagner que 200 millions d’euros à l’Etat. Au total, le coût des pensions représentera l’an prochain pour le seul Etat 45,4 milliards d’euros contre 45,2 milliards cette année. Concernant les régimes spéciaux des salariés du public que le gouvernement n’a pas non plus voulu réformer, le projet de budget 2014 prévoit une subvention de 6,5 milliards d’euros pour les équilibrer. Soit le même montant que cette année. Ce qui démontre que ce sont les contribuables qui financeront toujours une partie de leurs pensions.




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