Archive pour le Tag 'Social'

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France : vers le chaos économique, social et politique

France : vers le chaos économique, social et politique

 

La France est déprimée parce que les résultats économiques été sociaux sont catastrophiques mais surtout parce qu’aucune perspective de redressement ne se profile. Hollande est désormais paralysé et ne pourra plus rien décider de fondamental. Il va payer la facture électorale aux municipales et surtout aux européennes. Il na plus aucune chance pour 2017.  Il changera bien sûr de gouvernement qui sera aussi incompétent que le précédant. L’impopularité sera alors telle qu’il dissoudra l’assemblée. Mais pour designer quel  gouvernement : de droite ? Il faudrait encore que cette droite , sans leader (hormis Sarkozy mais plombé par les affaires), sans projet,  ait la majorité. Elle ne fera pas une politique très différente de celle de Hollande. (En fait celle de Bruxelles°) ; Ou alors une alliance droite classique FN qui ne pourra pas tenir longtemps tellement les contradictions sont fortes. On pourrait imaginer un gouvernement d’union nationale car les positions PS droite classique ne sont pas si éloignées que cela (la sociologie des dirigeants est la même : des bourgeois et des hauts fonctionnaires). Ce serait une manière de renforcer encore le FN. Enfin une expérience FN mènerait rapidement le pays à la ruine et au discrédit. Reste  alors un gouvernement d’experts pendant une période pour qu’enfin les sacrifices  servent enfin  à la croissance et à l’emploi. Ce n’est pas pour demain ;  en attendant la France  va agoniser. Aucun parti, aucun leader n’a aujourd’hui les compétences, le charisme et l’honnêteté pour  engager le redressement qui s’impose dans tous les domaines. La glissade vers le déclin va durer encore quelques années, trop de fondamentaux sont à changer (l’école, la formation en général, le rapport au travail, l’Etat, la fiscalité, les structures administratives et politiques etc.).

Réforme des retraites : mouvement social en perspective à la rentrée

Réforme des retraites : mouvement social en perspective  à la rentrée

 

le député PS Michel Issindou, probable rapporteur du ­projet de loi prévu à l’automne a indiqué que le gouvernement envisageait de déposer un projet de loi «dans la deuxième quinzaine de septembre», pour qu’il soit débattu dans l’hémicycle «en septembre-octobre». Selon lui, «il y aura des mouvements dans la rue, mais par rapport à 2010 (précédente réforme des retraites), l’opinion publique est plus prête à entendre les choses». Tant qu’à être impopulaire, «autant faire des choses utiles pour l’avenir». Ainsi, «nous n’échapperons pas à un allongement de la durée de cotisation, car c’est la mesure qui produit le plus d’effets à terme», a souligné le député de l’Isère. Mais «en maintenant l’âge légal (de départ) à 62 ans, nous laissons une porte de sortie», a-t-il précisé. Par ailleurs, «il y a un autre sujet qui fera débat, c’est celui du rapprochement public-privé» : «il faut crever l’abcès et nous ne réussirons pas si nous ne passons pas par cette phase-là», a-t-il affirmé. Faire contribuer les retraités? «Je pense qu’il faudra faire attention aux petites retraites, ne pas demander d’efforts supplémentaires à ceux qui sont, peut-être, en deçà de 1500 euros», a-t-il dit. Parallèlement, la réforme comportera des «mesures de justice sociale», comme pour les femmes ou les métiers difficiles.

 

Gâchis social chez Spanghero : abandon du négoce de viande et chômage partiel

Gâchis social chez Spanghero : abandon du négoce de viande et chômage partiel

 

Vel exemple de la gestion de l’emploi, Spanghero va connaitre le chômage partiel (effet sur l’image de l’entreprise et effet de la suppression du négoce de viande). Responsable : un ministre,  Benoit Hamon qui a voulu sortir de l’anonymat d’un ministère fantôme sans rien connaître au problème. Un ministre rapidement contredit par la ministre de l’agriculture. En attendant de gros dégâts commerciaux et maintenant le chômage partiel. Le vrai scandale n’est pas la viande de cheval dans la viande qui constitue le minerai de viande ; d’une certaine manière la présence de cette viande de cheval en améliore la qualité (voir articles) ; le vrai scandale c’est le minerai de viande, sa composition, ses circuits internationaux. On a assommé une entreprise avant même que ne soient terminées les enquêtes qui seront longues, complexes et à l’échelle internationale. Hamon a fait retirer l’agrément à Spanghero mais c’est lui qui mériterait un retrait de l’agrément de ministre (qui n’existe pas, ceci expliquant cela). La gauche démontre son efficacité bureaucratique pour fermer une entreprise alors qu’on l’attendrait surtout pour les rouvrir (d’autant que la santé n’a jamais été mise en cause dans l’affaire Spanghero). Hamon a faiat son show à la télé, les employés eux auront de la difficulté à trouver du travail ailleurs dans une région où le chômage atteint 17% ; (encore un élément que le très à gauche Hamon a dû oublier). La société Spanghero ne négociera plus de viande. Elle abandonne cette activité, a-t-elle annoncé ce vendredi. Un peu plus tôt, le gouvernement avait maintenu la suspension de cet agrément, décidé le 14 février. La société affirme que sa décision avait été prise avant. Dans la soirée, lors d’un CE, elle a par ailleurs annoncé des mesures de chômage partiel à Castelnaudary  La société Spanghero, soupçonnée dans le scandale de la viande de cheval étiquetée comme du bœuf, a annoncé vendredi l’abandon de son activité de négoce. Une activité qui ne représentait que « 2% de son chiffre d’affaires« . Cette annonce intervient le jour où le gouvernent a décidé de maintenir la suspension de son agrément pour ce type d’activité. Mais, selon Spanghero, l’abandon de l’activité de négoce avait déjà été décidée « en amont des conclusions de l’enquête« . Spanghero a décidé de se concentrer sur les activités de découpe, de préparation de viande et de fabrication de produits à base de viande.  Lors d’un comité d’entreprise extraordinaire à son siège de Castelnaudary, la direction a annoncé au personnel que des mesures de chômage partiel vont être prises. « On a discuté de la mise en place du chômage partiel« , a déclaré le délégué CFDT, Claude Hill. Selon lui, la direction  »a accepté de verser les compléments de salaire en février« . Il s’est dit confiant quant à l’arrivée de nouvelles commandes.

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

La fiscalité plombe le coût social en France

La fiscalité plombe le coût social en France

Dans son entretien au Figaro, Maurice Taylor affirme enfin que «les ouvriers sont trop chers». Le coût du travail est l’une des failles du système français, régulièrement pointée du doigt. Lors du G20 à Moscou, la semaine dernière, l’OCDE a présenté un rapport sur la croissance sans concession pour la France et son coût du travail «élevé». Tous secteurs confondus, une heure de travail pour les entreprises de plus de 10 salariés coûtait 34,20 euros aux employeurs en France en 2011, selon Eurostat. Un coût salarial, lesté par les diverses cotisations sociales et patronales, qui dépasse largement la moyenne de la zone euro (27,60 euros). À titre de comparaison, travailler une heure coûte 30,10 euros en Allemagne, 26,80 euros en Italie, 20,60 euros en Espagne et 20,10 euros au Royaume-Uni. Le travail en France est toutefois moins cher qu’en Norvège (44,20 euros), en Suède (39,10 euros), au Danemark (38,60 euros) ou encore en Belgique (39,30 euros).

AIR FRANCE : accord social navigants

AIR FRANCE : accord social navigants

 

.Selon le site d’informations économiques de la Tribune, qui cite plusieurs sources syndicales, les trois syndicats représentatifs des hôtesses et stewards (personnels navigants commerciaux) ont signé mercredi un nouvel accord collectif pour un période allant d’avril 2013 au 31 octobre 2016. Les personnels navigants commerciaux étaient la seule catégorie de personnels qui n’avait pas encore signé de nouvel accord collectif. Les négociations d’Air France avec les personnels au sol et les pilotes avaient abouti l’été dernier. Selon latribune.fr, ce nouvel accord avec les hôtesses et stewards doit permettre à la compagnie d’améliorer l’efficacité économique de cette catégorie de personnel de 20 %. La compagnie atteindrait ainsi un des objectifs visés dans le plan de restructuration « Transform 2015″ annoncé l’an dernier par le groupe Air France-KLM. En contrepartie, Air France s’est engagé à ne pas procéder à des licenciements avant 2014, précise latribune.fr. Contacté par Reuters, un porte-parole d’Air France n’a pas souhaité faire de commentaires. Le groupe Air France-KLM doit publier vendredi 22 février ses résultats annuels. Selon le consensus Thomson Reuters I/B/E/S, les analystes anticipent en moyenne une perte avant intérêts et taxes (Ebit) de 325,4 millions d’euros pour 2012.

 

Social : risque d’explosion pour les salariés très exposés

Social : risque d’explosion pour les salariés très exposés

 

Le gouvernement s’inquiète de la détérioration du climat social en France surtout dans les entreprises où l’emploi est menacé. le gouvernement socialiste craint désormais ouvertement des risques d’explosion sociale. En fait, les sites où les emplois menacés ont été très visités pendant la campagne électorale, on y a beaucoup promis  mais depuis peu d’entreprises ont pu être sauvées notamment les sites emblématiques  PSA à Aulnay et Arcelor Mittal à Florange ». La colère sociale, avec les conséquences de la crise économique et financière, la précarité, le chômage, les plans de licenciements, elle est là, elle gronde depuis des années », a reconnu ce mardi 5 février le ministre de l’Intérieur Manuel Valls. « Aujourd’hui on assiste moins à des mouvements sociaux, qu’à des implosions ou explosions sociales », a-t-il mis en garde sur les médias BFTV et RMC. Depuis plusieurs mois, le contexte social s’est fortement détérioré en France, avec l’annonce de milliers de suppressions de postes dans différents secteurs: sidérurgie (ArcelorMittal), automobile (PSA, Renault, Goodyear) mais aussi pétrole (Petroplus), chimie (Sanofi), transports (Air France), agro-alimentaire (Doux), etc. Les débrayages et opérations « usine morte » sont devenus quotidiens chez Renault (11.200 suppressions de postes envisagées), où la production a été à plusieurs reprises paralysée, tandis que chez PSA (8.500 suppressions annoncées), l’usine d’Aulnay, en région parisienne, s’enlise dans la grève dans une ambiance délétère. Fin janvier, dans cette usine dont la fermeture est prévue en 2014, quatre grévistes ont été mis à pied « en vue de licenciement » pour leur implication présumée dans l’agression d’un huissier venu constater des « dégradations » sur le site.   Dans ce contexte tendu, les services de renseignement de la police ont reçu récemment comme instruction de suivre « au plus près » les entreprises en difficulté afin d’anticiper une éventuelle « radicalisation » de mouvements sociaux. Une note de service, datée du 30 janvier et transmise aux directeurs départementaux de la sécurité publique, souligne « les risques d’incidents » ou d’éventuelles « menaces sur l’outil de production en cas de radicalisation d’un conflit ». Ces explosions sociales, « il faut essayer de les comprendre, mais on ne peut pas les admettre », a justifié mardi le ministre socialiste de l’Intérieur. « On peut essayer de comprendre les raisons qui poussent des hommes et des femmes au désespoir », mais « on ne peut pas casser l’outil de travail », a-t-il dit. A l’usine Renault à Flins, en région parisienne, « il y a de plus en plus de présence policière autour de l’usine avec plusieurs voitures banalisées », témoignait mardi Ali Kaya, délégué syndical. « La police a contacté des délégués syndicaux », a-t-il ajouté. Le secrétaire général de la CGT, premier syndicat de France, Bernard Thibault s’est inquiété mardi d’éventuelles présences des forces de police sur les sites connaissant des conflits sociaux, appelant à les « éviter » car celles-ci seraient « vécues comme des provocations ». « Certains commentateurs extérieurs s’émeuvent de la tournure que peuvent prendre certains conflits sociaux », a-t-il déclaré, mais « il faut se rendre à l’évidence: on ne va pas continuer à avoir plusieurs millions de nos concitoyens exclus du travail et que tout ça se fasse dans la plus grande discrétion et le plus grand silence ».

 

Grève à la SNCF et grande réformette

Grève à la SNCF et grande réformette

Emploi, salaires ; deux motifs pour la grève. Pour les salaires c’est évidemment une sorte de provocation, 0.75% augmentation quand l’inflation sera autour de 2%. L’emploi, lui, dépend de la question de la dette et de l’ouverture à la concurrence. Le statut des cheminots pourrait à l’occasion être remis en cause pour les nouveaux embauchés ; 40 milliards de dettes pour le ferroviaire ; On, veut regrouper SNCF et RFF alors qu’on avait précisément opérer cette distinction pour remettre à flots les finances de la SNCF. Comme souvent un va faire une vraie réformette. L’enjeu c’est de revoir totalement la politique des transports et de redynamiser une entreprise qui n’a jamais su gérer. Aujourd’hui, les quatre principaux syndicats de cheminots (CGT, Unsa, SUD-rail et CFDT) sont unis dans un mouvement de grève qui va perturber le trafic. Dans le flou total sur le contenu de ce projet, ils se demandent ce que leur réserve Frédéric Cuvillier, le ministre des Transports. Celui-ci prévoit de leur rendre le 30 octobre prochain une petite visite à la Halle Freyssinet à Paris où le président de la SNCF organise opportunément une fête pour les 75 ans de l’entreprise. Le ministre devrait leur présenter le projet qu’il a concocté. «Ce ne sera sûrement pas le grand soir», s’exclame Roger Dillenseger de l’Unsa. «Le changement, ce ne sera pas pour tout de suite», ironise Alain Aubert de la CFDT. Sur France Inter, le premier ministre a pourtant pris soin mercredi de se concilier les cheminots, «formidables». «La réforme se fera avec eux. C’est le pacte qu’on leur proposera», a déclaré Jean-Marc Ayrault qui veut une «grande politique ferroviaire». Il est probable que mardi prochain, le ministre des Transports dessinera les contours de la nouvelle gouvernance du système ferroviaire, c’est-à-dire la répartition des missions entre le gestionnaire d’infrastructure, RFF, et l’opérateur ferroviaire, SNCF. Sur ce sujet, un compromis a fini par apparaître: «Nous pensons qu’il faut regrouper toutes les activités de gestion de l’infrastructure. C’est-à-dire les effectifs de l’“Infra” de la SNCF – qui réalisent les travaux d’entretien du réseau -, ceux de la Direction des circulations ferroviaires (DCF) et ceux de RFF», résume Alain Aubert de la CFDT. Ce nouvel ensemble pèserait près de 60 000 personnes alors que RFF n’en emploie actuellement que 1400. Les dirigeants de SNCF souhaitent chapeauter cette entité à travers la création d’un holding commun baptisé en interne Pôle public unifié. Mais une telle organisation pourrait s’opposer aux futures règles européennes de gouvernance prévues pour la fin de l’année. Le gouvernement pourrait jouer la montre pour attendre la feuille de route européenne. Deux «points durs» de la réforme, l’ouverture à la concurrence et la gestion de la dette, ne devraient par ailleurs pas être tranchés la semaine prochaine. Lors des Assises du ferroviaire, animées par Nathalie Kosciusko-Morizet en 2011, la nécessité de définir un «cadre social harmonisé» s’était imposée pour réguler les conditions de travail des cheminots chez les concurrents de la SNCF. Mais depuis, la création d’une convention collective du rail est tombée aux oubliettes. «On ne connaît pas le périmètre de cette future branche. On ne sait pas avec qui nous allons négocier», remarque Roger Dillenseger. Quant au «mur» de dette de près de 37 milliards d’euros dont 28,6 sont portés par RFF, le gouvernement ne retiendra certainement pas la solution proposée par les syndicats. «On a repoussé le tas de sable depuis 1997, date de la création de RFF, s’exclame Roger Dillenseger de l’Unsa. Mais c’est à l’État actionnaire, qui a réalisé des investissements pour la construction de lignes à grande vitesse, d’assumer cette dette.» Ils la logeraient bien dans une «société de portage». Un scénario improbable au vu des finances publiques. Il y a quelques semaines, Sophie Boissard, la directrice de la stratégie du groupe SNCF, proposait de la partager entre la SNCF, les régions et les clients… Une option qui a fait l’unanimité contre elle.

 

 

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