Archive pour le Tag 'SNCF'

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Sabotage SNCF et ultra gauche : de la violence verbale à l’action criminelle

Sabotage SNCF et ultra gauche : de la violence verbale à l’action criminelle

Les services de police étudient évidemment avec beaucoup d’attention les conditions du sabotage SNCF. Le mode opératoire, le verbiage gauchiste est la nature même du sabotage autorise la définition de profils. De toute évidence il ne s’agirait pas d’extrémistes religieux ( de France ou d’Iran par exemple) qui n’hésitent pas à faire des morts. On pourrait par contre faire l’hypothèse de liens avec la Russie qui a l’habitude de pratiquer des opérations de déstabilisation de ce type à l’extérieur de ses frontières.

Un attentat qui aurait pu recevoir le soutien de français non seulement pour l’exécution du crime mais aussi pour le repérage des lieux d’attaques. Indiscutablement, les criminels ont bénéficié de connaissances approfondies des lieux stratégiques de régulation électrique, électronique et informatique.

Les revendications sur les réseaux sociaux mêlent pêle-mêle la contestation des JO, l’absence de gouvernement, la critique du capitalisme et de l’impérialisme. Des thèmes bien connus de l’ultra gauche politique dans l’objectif et surtout de favoriser la chienlit dans le pays. D’une certaine manière la violence verbale rejoindre la violence contre les biens et les personnes quand par exemple on accroche une pancarte dans le dos des athlètes israéliens.

Sabotage à la SNCF : La piste de l’ultragauche

Sabotage à la SNCF : La piste de l’ultragauche 

L’attaque d’ampleur perpétrée contre notre réseau ferré dans la nuit de jeudi à vendredi, et dans quatre départements de façon simultanée, a temporairement paralysé une partie du pays le jour de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques à Paris. La résilience de la SNCF a permis au trafic de reprendre progressivement mais rapidement : hier, sept TGV sur dix circulaient sur les axes Nord, Bretagne et Sud-Ouest. Directeur général de la Police nationale de 2007 à 2012, Frédéric Péchenard a eu à gérer l’affaire de Tarnac, fin 2008, à la suite du sabotage de plusieurs caténaires. À l’époque, comme c’est le cas aujourd’hui, la gauche radicale avait été pointée du doigt.

Interview dans la Tribune
 

 Le sabotage subi par le réseau SNCF a entraîné de fortes perturbations à un moment crucial pour la sécurité de la France. N’est-ce pas alarmant ?

FRÉDÉRIC PÉCHENARD - C’est très difficile de sécuriser la totalité d’un réseau ferroviaire. Il est plus aisé de le faire pour l’aviation commerciale. Les trains sont vulnérables en gare, mais aussi sur nos dizaines de milliers de kilomètres de rails. J’en tire deux conclusions. La première est que les responsables ont bénéficié d’une complicité intérieure, car il y a eu plusieurs attaques et de manière simultanée. Même si une des quatre a échoué, cela nécessite d’être bien renseigné. La seconde est qu’on a affaire à des gens déterminés, bien que la finalité de leur sabotage paraisse curieuse. On peut penser, au vu de la sécurisation massive de la cérémonie d’ouverture des Jeux à Paris, qu’ils ont voulu s’attaquer à des endroits moins surveillés. Cet effet d’aubaine est d’ailleurs le risque pour les semaines à venir.

Comment peut-on prévenir ce genre d’attaque coordonnée ?

Il y a deux manières. La plus visible est la surveillance physique qui, encore une fois, a fonctionné pour une des quatre attaques préparées. La deuxième manière, plus efficace, c’est le renseignement. Le travail de nos services consiste à s’introduire au sein de groupes suspects puis procéder à des interpellations avant le passage à l’acte. La surveillance des milieux islamistes, d’ultragauche, mais aussi d’une puissance étrangère comme la Russie, relève de la responsabilité de la DGSI. Si vous avez tous ces fers au feu, vous vous en sortez. On l’a vu avec le nombre important d’actes déjoués ces dernières années.

Le terreau est fertile, influencé de manière dangereuse par Jean-Luc Mélenchon et ses amis de La France insoumise

Cela ressemble tout de même à un cauchemar pour nos forces de l’ordre…

C’est un vrai sujet, d’autant plus qu’on est en période de vacances et de chassés-croisés. Durant la préparation des JO, beaucoup se sont demandé : si tout notre dispositif de sécurité est à Paris, qui va protéger le reste de la France ? Pour y répondre, c’est assez simple, on a fait supprimer quasiment tous les congés de nos policiers. Plus de 95 % d’entre eux sont mobilisés, y compris dans le reste du pays. Après, le cauchemar numéro un, c’était la cérémonie d’ouverture. Tous les politiques étaient présents, les athlètes aussi, avec un énorme public sur place et un milliard de téléspectateurs. Tout incident aurait eu un retentissement extrême. Maintenant, il nous reste quinze jours d’épreuves. On a tous en mémoire l’attentat terroriste de Munich, aux Jeux de 1972, où une dizaine d’athlètes israéliens ont été assassinés. Il ne faut pas baisser la garde.

D’expérience, est-ce que le mode opératoire de ce sabotage vous en rappelle un en particulier ?

Déjà, qualifions cet acte de terroriste, pour simplifier les choses. Cela reste la principale menace qui pèse sur les Jeux. Ce terrorisme peut être islamiste, d’ultragauche, voire d’État. L’enquête le déterminera, mais il n’est jamais exclu que ce soit combiné. On l’a vu dans notre histoire avec la Fraction armée rouge, alliée aux Palestiniens pour détourner des avions, ou encore Action directe agissant en sous-main pour les Iraniens. C’est toujours difficile de savoir qui est derrière, et ce n’est pas parce qu’on arrête les exécutants qu’on identifie les commanditaires. En l’espèce, cela ressemble plutôt à un acte de l’ultragauche, de plus en plus violente. On le voit autour des mégabassines ou avec l’intervention du black bloc dans nos manifestations. Cela ressemble à l’émergence d’une nouvelle organisation de type Action directe. Le terreau est fertile, influencé de manière dangereuse, selon moi, par Jean-Luc Mélenchon et ses amis de La France insoumise, qui cherchent en permanence le chaos et l’affrontement. À côté de ce mouvement politique qui met de l’huile sur le feu, nous avons des militants qui n’ont pas peur de commettre des actes de sabotage et qui sont à deux doigts de basculer dans le terrorisme.

La cérémonie s’est-elle bien déroulée d’après vous ?

Oui, incontestablement. On peut discuter des problèmes de circulation et des mesures très restrictives, mais en matière de sécurité tout s’est parfaitement bien passé. La préfecture de police et le ministère de l’Intérieur ont fait un travail remarquable. D’abord par le nombre de policiers déployés, qui a permis une saturation de l’espace. Au moindre souci, la réponse gendarmique et policière aurait été très rapide. Ensuite, tout a été fait en amont. Le service national des enquêtes administratives de sécurité (SNEAS) a pu cribler pas loin d’un million de personnes, ce qui a permis d’en empêcher quelques milliers, à risque, d’être invités. Le barriérage, aussi, a obligé les gens à passer par des sas pour être fouillés. C’est pénible pour les Parisiens, mais on n’avait pas d’autre choix. Dernière raison du bon déroulement : le travail de la Région Île-de-France sur les transports. Il faut rendre hommage à Valérie Pécresse, qui a été la première à dire qu’on ne pourrait pas transporter un million de personnes. Il y aurait eu un risque de bousculades. On a obtenu une jauge à 400000, ce qui a permis à Île-de-France Mobilités de gérer les choses convenablement.

Quels sont les principaux risques désormais ?

Pour l’instant, ce sont les Jeux. Ce que cherchent avant tout les terroristes, c’est la répercussion d’actions spectaculaires. Le risque plus global lié au terrorisme, quelle qu’en soit l’origine, va durer encore des mois, voire des années. L’attaque du Hamas en Israël, le 7 octobre, l’a fait monter d’un cran. Il y a aussi un risque lié au terrorisme d’État : n’oublions pas qu’on participe à une coalition contre la Russie. Il serait étonnant que Moscou, grâce au savoir-faire du FSB ou du GRU, ne tente rien contre nous. Ils le font déjà, de façon agressive, par le biais de leurs hackers informatiques.

Saboteurs de la SNCF: Des radicaux écolos cinglés, idiots utiles des dictatures

Saboteurs de la SNCF:  Des radicaux écolos cinglés,  idiots utiles des dictatures

 

On ne peut encore identifier les auteurs du sabotage criminel dont a été victime la SNCF. Parmi les hypothèses les plus vraisemblables, on pense évidemment aux écolos radicalisés plus ou moins anarchistes et marxistes qui mettent en cause le progrès économique mais aussi finalement la démocratie. Les intéressés sont en effet les idiots utiles des dictatures qui rêvent d’écraser la démocratie pour confier tous les pouvoirs à une élite éclairée. Une curieuse contradiction pour cette ultra gauche anarchiste.
Un message de soutien à la série d’actes de sabotage commis vendredi contre le réseau des lignes à grande vitesse de la SNCF a été reçu samedi par plusieurs médias, a-t-on appris de sources proches du dossier. Ce message a été adressé par e-mail à plusieurs médias ainsi qu’à des titres de la presse étrangère. Signé «une délégation inattendue», il justifie les actions et critique les Jeux olympiques de Paris (26 juillet – 11 août) en ayant recours à une dialectique utilisée par les militants de l’ultragauche anarchiste.

 

Le message débute par un titre: «Revendication du sabotage de lignes TGV quelques heures avant la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024. Ils appellent cela une fête ? Nous y voyons une célébration du nationalisme, une gigantesque mise en scène de l’assujettissement des populations par les États».

Les auteurs de ce soutien au crime ne sont pas nécessairement les responsables directs du sabotage mais il participe à la diffusion de la violence sous toutes ses formes » l’abolition de la démocratie et le progrès.

Message de soutien aux saboteurs de la SNCF: Des radicaux écolos cinglés idiots utiles des dictatures

Message de soutien aux saboteurs de la SNCF:  Des radicaux écolos cinglés,  idiots utiles des dictatures

 

On ne peut encore identifier les auteurs du sabotage criminel dont a été victime la SNCF. Parmi les hypothèses les plus vraisemblables, on pense évidemment aux écolos radicalisés plus ou moins anarchistes et marxistes qui mettent en cause le progrès économique mais aussi finalement la démocratie. Les intéressés sont en effet les idiots utiles des dictatures qui rêvent d’écraser la démocratie pour confier tous les pouvoirs à une élite éclairée. Une curieuse contradiction pour cette ultra gauche anarchiste.
Un message de soutien à la série d’actes de sabotage commis vendredi contre le réseau des lignes à grande vitesse de la SNCF a été reçu samedi par plusieurs médias, a-t-on appris de sources proches du dossier. Ce message a été adressé par e-mail à plusieurs médias ainsi qu’à des titres de la presse étrangère. Signé «une délégation inattendue», il justifie les actions et critique les Jeux olympiques de Paris (26 juillet – 11 août) en ayant recours à une dialectique utilisée par les militants de l’ultragauche anarchiste.

 

Le message débute par un titre: «Revendication du sabotage de lignes TGV quelques heures avant la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024. Ils appellent cela une fête ? Nous y voyons une célébration du nationalisme, une gigantesque mise en scène de l’assujettissement des populations par les États».

Les auteurs de ce soutien au crime ne sont pas nécessairement les responsables directs du sabotage mais il participe à la diffusion de la violence sous toutes ses formes » l’abolition de la démocratie et le progrès.

Attaque sur la SNCF : des pistes étrangères et des complicités nationales

Attaque sur la SNCF : des pistes étrangères et des complicités nationales

Après ces attentats qui ont neutralisé une grande partie du réseau TGV différentes hypothèses peuvent être émises. Il est d’abord évident que l’objectif était de nuire à la fois aux JO, à la France et d’une façon plus générale à la démocratie. Une façon de montrer aussi les faiblesses de cette démocratie par rapport à des régimes autoritaires qui ont l’ambition de se répandre partout dans le monde. La piste russe est évidemment privilégiée tellement ce pays est habitué à des coups tordus mais d’autres pays terroristes peuvent être impliqués.

De toute façon, il fallait une bonne connaissance du réseau ce qui implique des complicités nationales. Pour paralyser le réseau TGV national en quelques points seulement il fallait nécessairement des informations précises sur les lieux de connexion des réseaux électriques, électroniques et numériques.

Cinq endroits particuliers des armoires électriques et des câbles ont été visés alors que la SNCF possède des milliers d’armoires de ce type et des milliers de kilomètres de câbles.

On peut envisager des complicités nationales et éventuellement des idiots utiles qui répandent des messages de violence voire d’insurrection au service d’intérêts étrangers. Une sorte d’ambiance de terreur verbale à laquelle finalement adhèrent des individus fragiles psychologiquement et-ou politiquement radicalisés.

Le climat général de violence en France au moins sur le plan verbal de la part de responsables nationaux sert clairement les intérêts étrangers qui veulent discréditer le pays et sa démocratie.

Résultat SNCF: « Un pognon de dingue !

Résultat SNCF: « Un pognon de dingue !

 

Cocorico pour la SNCF avec un résultat de 143 millions premiers semestre de 1024. De quoi faire dire aux gauchistes de « Sud rail »  que le bénéfice représente un « pognon de dingue » pour justifier de nouvelles revendications mêmes injustifiables (celles des contrôleurs par exemple).

 

Et d’oublier que le fonctionnement de la SNCF est financé à près de 50 % par l’État et les collectivités locales soit autour de 20 milliards par an. Et d’oublier aussi que le coût exorbitant du prix du billet est meilleur ressort économique pour développer le transport en automobile et par avion. Et d’oublier aussi que l’essentiel du bénéfice provient des filiales privatisées ( plusieurs centaines)

Sur les six premiers mois de l’année, le  chiffre d’affaires SNCF s’est établi à 21,4 milliards d’euros, soit une hausse de 3,4% par rapport au premier semestre de 2023, selon les résultats publiés par la SNCF ce jeudi.

SNCF–primes spéciales JO acceptées par les syndicats sauf la CGT

SNCF–primes spéciales JO  acceptée par les syndicats sauf la CGT
L’accord proposé par la direction de la SNCF pour le versement d’une prime spécifique aux cheminots mobilisés pendant la période des Jeux olympiques et paralympiques a été accepté ce mardi par Sud-Rail. Ayant aussi reçu le feu vert de l’UNSA Ferroviaire et de la CFDT Cheminots, il remporte une majorité suffisante pour être validé, malgré le rejet de la CGT-Cheminots.

L’indemnité proposée par la SNCF aux cheminots qui travailleront du 22 juillet au 8 septembre, la période des Jeux olympiques et paralympiques (JOP), est validée. Pour rappel, il est prévu de leur octroyer 95 euros brut par jour, avec un plafond de 1.900 euros.

Fret SNCF: Une vraie politique de gribouille

Fret SNCF: Une vraie politique de gribouille

 

D’un côté,  il y a les discours enflammés concernant le développement du rail par rapport au climat et à l’ environnement en général, de l’autre il y a la politique et les actes. Une contradiction totale puisqu’on va priver la SNCF de l’activité la plus rentable et la plus écologique à savoir les trains complets. On assiste ainsi à l’enterrement progressif de l’activité fret depuis des années et des années. On a d’abord supprimé le le trafic express ( petits envois qui pendant longtemps été transporté par des trains de voyageurs), puis on a bradé la messagerie et maintenant on s’apprête à liquider le reste avec une réforme invraisemblable .


Tout cela au motif que la SNCF reçoit des subventions illégales d’après l’Europe. En réalité une contribution qui découle d’une dette que la SNCF traîne toujours alors que la DB ( société nationale allemande) a vu la totalité de son endettement reprise par l’État.

Cette situation ne saurait cependant dédouanée la SNCF elle-même, par son manque de gestion, d’innovation et de compétitivité. Pire la SNCF accorde des avantages financiers à certaines catégories de cheminots alors qu’elle n’en a nullement les moyens ( en fait l’activité est subventionnée à hauteur de 50 %). Tout cela par peur des syndicats corpo et gauchistes qui tuent petit à petit l’entreprise avec des revendications irresponsables et des grèves à répétition. Bref une collusion de fait entre le pouvoir et les syndicats corpos pour tuer l’activité ferroviaire.

SNCF : et encore une grève irresponsable mardi en région parisienne

SNCF : et encore une grève irresponsable mardi en région parisienne

Une nouvelle grève très corporatiste irresponsable de la part du syndicat gauchiste  Sud-Rail qui a annoncé avoir déposé un préavis de grève en Île-de-France pour le 21 mai prochain. Une grève qui a peu de chances par ailleurs d’être suivie. Celle-ci pourrait cependant avoir un impact sur le trafic des RER et Transilien, ainsi que sur le Tram 4.

Avec ses dysfonctionnements dus aux grèves à répétition il ne faudra pas s’étonner si un jour ce service public est éclaté et privatisé.

La « coordination Sud-Rail d’Île-de-France regrette que «les cheminots (soient) laissés-pour-compte», «alors que le budget des Jeux olympiques explose». «La direction se contente de distribuer des miettes, ignorant les besoins réels de ses agents», déplore le syndicat, qui souligne que les cheminots «seront en première ligne» pendant les Jeux, avec «des réductions de congés, une augmentation de l’affluence voyageurs, une augmentation de la charge de travail sur la maintenance et les infrastructures».
Si la SNCF propose aux salariés mobilisés pendant la période des Jeux olympiques et paralympiques (JOP) une prime de 50 euros bruts par jour – ainsi que 200 à 500 euros de prime supplémentaire en fonction de la période où ils posent leurs congés -, ce n’est pas suffisant pour Sud-Rail. Le troisième syndicat de la SNCF réclame notamment une prime non pas de 50 euros bruts par jour, mais «100 euros nets par jour, repos compris, pendant les JO et JOP», ainsi qu’ «une prime spécifique JOP pour tous les agents SNCF» de plus de 1000 euros, comme à la RATP, ainsi qu’ «une revalorisation générale des salaires de 400 euros par mois».

 

SNCF Farandou: le même discours que SUD !

SNCF Farandou: le même discours que SUD !

Le PDG prochainement remercié de la SNCF Jean-Pierre Farandou finalement tient le même discours que le syndicat « Sud rail » pour justifier l’accord sur les retraites obtenu par des syndicats. Il se lâche et déclare qu’une entreprise qui fait 1,3 milliards de bénéfices peut bien consacrer 35 millions pour financer l’avantage concernant les retraites. Exactement le même discours Sud rail qui se voit ainsi récompensé des menaces de grève corporatiste et du chantage sur les JO. Évidemment Farandou comme Sud rail font l’impasse sur le fait que si la SNCF fait 1,5 milliards de bénéfices, ce résultat est tout à fait théorique. En effet le Chiffre d’affaires globalement atteint autour de 40 milliards pour le groupe SNCF mais avec un apport financier de 20 milliards de la collectivité. Autant dire que le fer est financé à hauteur de près de 50 %. Sans parler des questions de productivité. La vérité c’est que les cheminots partant plus tôt que dans le privé, leur caisse de retraite est un déficit chronique. Surtout avec le déséquilibre démographique. Et une partie des retraites sont payées en réalité par le privé sauf les avantages spécifiques… et encore. Ce manque de productivité hypothèque depuis des années l’avenir de l’entreprise contrainte régulièrement de tailler dans son activité et de réduire ses effectifs. Une curieuse conception de la gestion mais aussi du syndicalisme. ( Surtout quand on sait que l’accord ne s’appliquera pas à ceux qui n’ont pas le statut). 

 Candidat malheureux à sa propre succession, Jean-Pierre Farandou s’est montré dès lors plutôt vindicatif devant les sénateurs, dont plusieurs ont exprimé leur soutien. Il a défendu son bilan, tout comme l’accord sur les fins de carrière signé il y a quelques jours, largement décrié par la droite et une partie du gouvernement, en particulier par Bruno Le Maire. Il y a quelques jours, le ministre de l’Economie et des Finances avait qualifié cet accord de « pas satisfaisant » et « provocant ».

N’ayant désormais plus de poste à sauver, Jean-Pierre Farandou a donc profité de son passage devant la commission de l’aménagement du territoire et du développement du Sénat pour faire entendre sa voix sur ce dossier. « J’ai entendu les interrogations, qui sont légitimes. J’ai entendu les critiques, que j’ai pu trouver parfois sévères ou injustes », a démarré le patron de la SNCF avant d’affirmer qu’il était « convaincu que c’est un bon accord pour l’entreprise d’un point de vue économique comme social ».

 

Dans la même optique, il a martelé le fait que la négociation de cet accord s’est faite à la demande des pouvoirs publics, qui ont pressé les entreprises de travailler sur la question pénibilité dans le contexte des carrières allongées par la réforme des retraites de 2023. Pour lui, les deux volets de cet accord sont donc en ligne avec cette réforme.

Le PDG du groupe SNCF a d’abord évoqué deux dispositifs « pour accompagner les salariés qui vont travailler plus longtemps par application de la loi ». Le premier pour renforcer la progression de carrière et les rémunérations après 60 ans, le second pour accroître les possibilités de reconversion pour les métiers pénibles.

« Ces deux dispositifs sont complètement dans l’esprit de la loi de l’allongement des carrières et d’un départ plus tardif à la retraite. Leur coût est de 20 millions d’euros par an. Cela peut être important, mais c’est à relativiser par rapport à la masse salariale de près de 10 milliards d’euros des 150.000 cheminots. Cela reste raisonnable », estime le patron du groupe ferroviaire.

Jean-Pierre Farandou s’est ensuite attaché à défendre le second volet de l’accord, le plus contesté. Il a rappelé qu’il s’agissait de la mise à jour d’un accord datant de 2008, pour l’aménagement du temps de travail et la cessation progressive d’activité. Selon lui, le texte tient désormais compte des réformes introduites depuis et « a abouti à une simplification et à une amélioration du dispositif de six mois en tenant compte de la pénibilité des métiers à la SNCF ». Il a rappelé dans la foulée que 91.000 cheminots tiennent un emploi pénible selon les critères nationaux.

Il a estimé le coût de ce deuxième volet à 15 millions d’euros par an, mais a assuré que l’entreprise en tirerait des bénéfices avec le renouvellement des générations, la fin de l’obligation de remplacement de 1 pour 1 qui était jusque-là en vigueur dans le précédent accord, une meilleure anticipation des besoins de recrutement et une réduction de l’absentéisme, « qui est multiplié par deux au-delà de 60 ans et par trois au-delà de 65 ans ».

 

« Il (l’accord) ne coûtera rien aux contribuables, car j’ai de l’argent. Je gagne1,3 milliard d’euros net, je peux bien financer 35 millions d’euros. Et les plans prévisionnels que nous faisons me donnent confiance dans notre capacité à financer cet accord. [...] Les prix des billets ? 35 millions d’euros divisés par 122 millions de billets, cela donne 29 centimes. Vous croyez que je vais augmenter le prix des billets de 29 centimes ? C’est ridicule. » a déclaré le patron de la SNCF devant les sénateurs.

Enfin, Jean-Pierre Farandou a assuré que cet accord « est positif pour (ses) clients » avec une meilleure qualité de service de la part d’agents « en forme, motivés, engagés » à l’approche de la soixantaine, plutôt que « usés, un peu grognons, ayant perdu foi en leur entreprise ».

 

Social-Encore un préavis de grève à la SNCF de Sud-rail

Social-Encore un préavis de grève à la SNCF de Sud-rail
Sans doute pour tenter de récupérer totalement le mouvement corporatiste des contrôleurs de la SNCF, Sud rail lance cette fois un préavis pour l’ensemble du mois de mai. Encore un préavis évidemment illégitime et illégal. Le syndicat gauchiste ne veut sans doute pas se faire dépasser dans la radicalité par l’association Facebook des contrôleurs. À ce rythme on peut imaginer qu’un jour sud rail lancera des préavis de grève chaque mois pour couler un peu plus l’entreprise et les cheminots qui y travaillent. 

 

Dans la foulée de la grève des contrôleurs de la SNCF mi-février, le syndicat Sud-Rail a annoncé avoir déposé un préavis de grève couvrant tout le mois de mai pour peser sur des négociations portant sur les fins de carrière. «La dernière grève des 16/17/18 février ne semble être qu’un début dans ce rapport de force qui s’installe un peu plus chaque jour! La patience des ASCT (contrôleurs, ndlr) a ses limites tandis que leur détermination reste intacte!», lance le troisième syndicat du groupe dans un tract publié sur son site.

 

Encore un préavis de grève à la SNCF de Sud-rail

Encore un préavis de grève à la SNCF de Sud-rail

 
Sans doute pour tenter de récupérer totalement le mouvement corporatiste des contrôleurs de la SNCF, Sud rail lance cette fois un préavis pour l’ensemble du mois de mai. Encore un préavis évidemment illégitime et illégal. Le syndicat gauchiste ne veut sans doute pas se faire dépasser dans la radicalité par l’association Facebook des contrôleurs. À ce rythme on peut imaginer qu’un jour sud rail lancera des préavis de grève chaque mois pour couler un peu plus l’entreprise et les cheminots qui y travaillent. 

 

Dans la foulée de la grève des contrôleurs de la SNCF mi-février, le syndicat Sud-Rail a annoncé avoir déposé un préavis de grève couvrant tout le mois de mai pour peser sur des négociations portant sur les fins de carrière. «La dernière grève des 16/17/18 février ne semble être qu’un début dans ce rapport de force qui s’installe un peu plus chaque jour! La patience des ASCT (contrôleurs, ndlr) a ses limites tandis que leur détermination reste intacte!», lance le troisième syndicat du groupe dans un tract publié sur son site.

 

SNCF : Un nouvel appel à la grève de Sud rail

SNCF : Un nouvel appel à la grève de Sud rail

 

Il est clair que la grève constitue une liberté démocratique mais la meilleur moyen de tuer ce droit c’est d’en user de manière excessive et anarchique. Justement ce que pratique le syndicat Sud rail à la SNCF qui fonde sa stratégie uniquement sur la radicalité. L’objectif n’est d’ailleurs pas forcément d’obtenir satisfaction mais de faire des mécontents au service de la grande cause révolutionnaire illusoire comme le modèle Chinois, Cubain ou encore Vénézuélien. Et pour cela il faut encourager toutes les grèves fussent-elles illégitimes comme celle des contrôleurs, corporatistes et irresponsables.

 

Il est clair que la multiplication des grèves dans l’entreprise non seulement va tuer la SNCF elle-même ( en encourageant notamment la concurrence et la sous-traitance) mais aussi les effectifs de cheminots.

SUD-Rail appelle donc  les employés de la SNCF aux guichets et à la centrale téléphonique à faire grève pour leurs conditions de travail mercredi, jour d’ouverture des réservations de la saison d’été, a annoncé lundi le troisième syndicat de la compagnie. «Le 13 mars, les cheminotes et cheminots, qui travaillent dans les gares et les centres 3635 (dénommés Relation client à distance), vont cesser le travail pour lancer un ultime signal d’alarme à la direction SNCF», a affirmé l’organisation syndicale dans un communiqué.

Sud-Rail, qui a obtenu près de 19% des voix aux dernières élections professionnelles, derrière la CGT-Cheminots et Unsa ferroviaire, a répété lundi que «la mobilisation du 13 mars n’est qu’une première étape» et prévenu que la direction de la SNCF aurait «besoin de ces agents pendant les Jeux olympiques», l’appelant à «négocier réellement».

 

Social-SNCF : menace de grève des gauchistes pendant les JO

Social-SNCF : menace de grève des gauchistes pendant les JO

 

Les gauchistes de Sud rail menacent à nouveau de soutenir des grèves catégorielles pendant les JO. Une attitude évidemment complètement irresponsable et qui va tuer l’entreprise et finir de discréditer le syndicalisme. La grève récente des contrôleurs a montré  cette action a été entièrement décidée et dirigée par la « coordination Facebook ». Les responsables de la CGT et de Sud rail en ont convenu publiquement à la télévision quand ils ont affirmé que leur rôle consistait essentiellement à suivre les demandes de cette coordination. Or les organisations syndicales reconnues sont seules habilitées à déposer des préavis et à assumer la responsabilité des grèves. De ce point de vue, la grève des contrôleurs constitue une forme de jacquerie en contradiction avec l’exercice du droit syndical.

L’entreprise SNCF a déjà commis une erreur fondamentale en reconnaissant Sud rail comme organisation représentative. Une reconnaissance qui s’est ensuite étendue à l’ensemble des activités du pays. L’objectif des gauchistes de Sud rail n’est pas tellement d’obtenir des progrès sociaux mais de développer le mécontentement dans la perspective d’une illusoire révolution contre le capitalisme et l’impérialisme ( mais pas celui de la Russie !).   Cette organisation est une sorte de cocktail de poujadisme et de gauchisme. Et la CGT, en perte de vitesse, pratique la fuite en avant pour ne pas se laisser distancer par Sud rail.
Ces grèves à répétition surtout de la part de catégories qui sont loin d’être les moins favorisées (c’est un euphémisme!) conduisent évidemment l’entreprise vers la mort. C’est en raison de la gréviculture et de l’irresponsabilité de syndicats que progressivement la SNCF a dû abandonner le trafic express, le trafic de messagerie, une grande partie du trafic de marchandises par wagon . C’est aussi en raison de ces dysfonctionnements tout autant que par manque de compétitivité que nombre de lignes voyageurs ont également été abandonnées. En cause, le manque de qualité et de compétitivité plombées par le coût et la culture de fonctionnaires du cheminot.

Menace de grève pendant JO des grèves catégorielles démontrent l’  irresponsabilité totale d’organisations n’ont pas leur place dans le monde syndical. En outre, ces actions vont conduire inévitablement à une réduction du droit de grève.

 

SNCF : menace de grève des gauchistes pendant les JO

SNCF : menace de grève des gauchistes pendant les JO

 

Les gauchistes de Sud rail menacent à nouveau de soutenir des grèves catégorielles pendant les JO. Une attitude évidemment complètement irresponsable et qui va tuer l’entreprise et finir de discréditer le syndicalisme. La grève récente des contrôleurs a montré  cette action a été entièrement décidée et dirigée par la « coordination Facebook ». Les responsables de la CGT et de Sud rail en ont convenu publiquement à la télévision quand ils ont affirmé que leur rôle consistait essentiellement à suivre les demandes de cette coordination. Or les organisations syndicales reconnues sont seules habilitées à déposer des préavis et à assumer la responsabilité des grèves. De ce point de vue, la grève des contrôleurs constitue une forme de jacquerie en contradiction avec l’exercice du droit syndical.

L’entreprise SNCF a déjà commis une erreur fondamentale en reconnaissant Sud rail comme organisation représentative. Une reconnaissance qui s’est ensuite étendue à l’ensemble des activités du pays. L’objectif des gauchistes de Sud rail n’est pas tellement d’obtenir des progrès sociaux mais de développer le mécontentement dans la perspective d’une illusoire révolution contre le capitalisme et l’impérialisme ( mais pas celui de la Russie !).   Cette organisation est une sorte de cocktail de poujadisme et de gauchisme. Et la CGT, en perte de vitesse, pratique la fuite en avant pour ne pas se laisser distancer par Sud rail.
Ces grèves à répétition surtout de la part de catégories qui sont loin d’être les moins favorisées (c’est un euphémisme!) conduisent évidemment l’entreprise vers la mort. C’est en raison de la gréviculture et de l’irresponsabilité de syndicats que progressivement la SNCF a dû abandonner le trafic express, le trafic de messagerie, une grande partie du trafic de marchandises par wagon . C’est aussi en raison de ces dysfonctionnements tout autant que par manque de compétitivité que nombre de lignes voyageurs ont également été abandonnées. En cause, le manque de qualité et de compétitivité plombées par le coût et la culture de fonctionnaires du cheminot.

Menace de grève pendant JO des grèves catégorielles démontrent l’  irresponsabilité totale d’organisations n’ont pas leur place dans le monde syndical. En outre, ces actions vont conduire inévitablement à une réduction du droit de grève.

 

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