Archive pour le Tag 'sites'

Les sites de rencontres s’investissent dans la politique !

Les sites de rencontres s’investissent dans  la politique !

Il faut que la crédibilité des partis politique soit  tombée bien bas puisqu’on confie maintenant aux sitesde rencontres le soin d’assurer la promotion du vote et au-delà de la démocratie. Encore un peu et on demandera aux réseaux de drogue des banlieues de faire de la pub pour les présidentielles de 2022. La preuve sans doute que la politique est vraiment tombée dans le caniveau

Pendant ces deux prochains mois, les utilisateurs de Tinder ( Numéro un des sites de rencontre) de 18 à 25 ans – qui représentent la moitié des membres de l’application – verront donc apparaître des fenêtres lors de leur navigation. Celles-ci les redirigeront sur le site de l’ONG « A voté »  détaillant les marches à suivre pour l’élection présidentielle.

Sur plus de 7 millions de mal inscrits en 2017 (6 % des Français), phénomène lié en majorité à des déménagements, 51 % avaient entre 25 et 29 ans, selon la sociologue Céline Braconnier. Représentant près de 50 % des membres de Tinder, les jeunes sont particulièrement touchés par l’abstention. Car être mal inscrit, « c’est trois fois plus de chances de s’abstenir », met en garde A Voté dans un communiqué, qui déplore un « bug démocratique ».

 

Présidentielle 2022 : Macron sur les sites de rencontre !

Présidentielle 2022 : Macron sur les sites de rencontre !

Le mouvement de jeunesse de la macronie  investit les sites de rencontre pour faire la pub de Macron. En plus avec des slogans sulfureux comme » on a très envie de vous », référence érotique bien connue qui traduit la démarche douteuse et de très mauvais goût des jeunes d’en marche. 

Un compte qui affichera des photos sensuelles et érotiques sur un fond rose évocateur. Sur ces clichés, plusieurs couples hétérosexuels ou homosexuels s’embrassent en arrière-plan d’un slogan : «Je vote. Et toi ? Viens matcher avec la démocratie.» Un langage issu de ces plateformes pour rencontrer l’amour.

Vendredi, les «JAM» avaient déjà lancé une opération du même acabit dans un style plus évocateur. Reprenant les codes de Netflix, les «Jeunes avec Macron» avaient affiché une partie du visage du président de la République à côté d’un slogan très provocateur : «On a très envie de vous». Autant d’appels censés apparaître «inopinés» pour inciter le locataire de l’Élysée à solliciter à nouveau les suffrages des Français.

Si l’allusion érotique avait fait le tour des réseaux sociaux, elle était aussi un moyen de faire la promotion de la nouvelle plateforme des macronistes – «Avec Vous» – en attendant l’entrée du président de la République dans la bataille. 

Le Figaro et France info en tête des grands sites

Le Figaro et France info en tête des grands sites

 

Le Figaro, avec plus de 25,5 millions de visiteurs uniques par mois, d’après Médiamétrie précède le site France info qui obtient 21,4 millions de visiteurs.

Deux sites qui effectivement renouvellent régulièrement leurs informations sur Internet quand d’autres se contentent d’une réactualisation très partielle voire prsque nulle notamment les week-ends.

L’appréciation doit évidemment être quantitative mais aussi qualitative car nombre de sites mêmes les plus grands se contentent un peu trop de reprendre sans analyse les informations diffusées par les gouvernements, par les grandes institutions et par les entreprises. Quantitativement,il est certain que la formation est notoirement plus accessible sur les sites Internet mais qualitativement il y a évidemment beaucoup de progrès à faire en particulier en matière d’analyse et d’enquête.Notons aussi la fâcheuse tendance à remplacer L’information écrite par des images notamment des photos qui prennent de plus en plus de place dans la mise en page.

.Dans l’Hexagone, douze sites d’actualités sont consultés par plus de 15 millions de personnes. Parmi eux, on retrouve le quotidien régional OuestFrance (19,8 millions), BFMTV (19,1 millions) ou Le Parisien (17,4 millions). Ils se placent devant Le Monde, qui réunit 15 millions d’internautes.

En novembre dans l’Hexagone, plus de 53,5 millions de personnes se sont connectées à Internet, soit 85% de la population. Avec 51,6 millions de visiteurs uniques, Google reste le site le plus consulté, devant la plateforme de vidéos du géant américain Youtube (47,1 millions) et le réseau social Facebook (46,9 millions), selon l’étude. TousAntiCovid était le 7ème site le plus visité (32,2 millions), juste derrière Instagram (32,7 millions).

Covid-Passe-sanitaire : les sites pour récupérer le QR en panne !

Covid-Passe-sanitaire : les sites pour récupérer le QR  en panne ! 

La plateforme SIDEP , le site ameli.fr qui normalement doivent  permettre de récupérer le QR code ne fonctionne pas. Ce qui n’empêche pas le gouvernement de sortir des décrets pour sanctionner ce qui ne serait pas en possession du fameux sésame.

Passe-sanitaire : les sites pour récupérer le QR ne fonctionnent pas!

Passe-sanitaire : les sites pour récupérer le QR ne fonctionnent pas! plateforme qui permet de récupérer son QR Code, en panne ! 

La plateforme SIDEP , le site ameli.fr qui normalement doivent  permettre de récupérer le QR code ne fonctionne pas. Ce qui n’empêche pas le gouvernement de sortir des décrets pour sanctionner ce qui ne serait pas en possession du fameux sésame.

Audience sites d’info en ligne: en très forte hausse

Audience sites d’info en ligne:  en très forte hausse

L’audience des sites d’infos en ligne a progressé de manière considérable de 30 à 50 %. Les sites de la presse nationale ont profité de cette croissance mais moins que les sites à vocation régionale, locale et indépendants. Pa presse nationale a effectué un certain virage numérique cependant le contenu est toute aussi décevant que la version papier. En cause, le faite que ces sites sont très peu mis à jour qu’ils reprennent souvent des infos déjà anciennes et surtout développent une ligne éditoriale assez convenue qui se limite à la reprise des articles des agences, des communiqués du gouvernement ,des entreprises et des institutions. Sur la tendance, c’est l’audience même des versions papier de la presse qui est en cause. Nombre de titres devrait encore connaître des plans de suppressions d’effectifs voire disparaître. La menace vaut aussi pour des versions numériques aussi indigentes que les versions papier.

La fréquentation des sites de presse en ligne a donc «explosé» de juillet 2019 à fin juin 2020, boostée au printemps par la crise sanitaire et le confinement, selon des données intermédiaires publiées mardi par l’Alliance pour les chiffres de la presse et des médias (ACPM). Au total, 10 millions de visites supplémentaires par jour en moyenne ont ainsi été enregistrées sur un an «par les sites et applications de presse, toutes familles confondues», selon l’ACPM.

La fréquentation en ligne des seuls titres de presse grand public a progressé de 18,9%, contre une augmentation de 3,5% sur la période 2018-2019. Dans le détail, c’est la presse quotidienne régionale qui enregistre la plus forte hausse de visites sur le web (+24,5%), devant la presse magazine (+22,8%) et les quotidiens nationaux (+7,8%) qui ont amorcé le virage numérique plus tôt que les deux autres catégories.

Le désir de s’informer sur le Covid-19, conjugué à l’impossibilité de se déplacer et à la fermeture des points de ventes, a accéléré le processus de transition du papier vers le numérique, potentiellement de «deux à trois ans», a expliqué à l’AFP le directeur général adjoint de l’ACPM, Jean-Paul Dietsch.

Renault : fermetures de sites

Renault : fermetures de sites

Les petits sites de Caudan, mais aussi de Choisy-le-Roi (recyclage mécanique) et de Dieppe (assemblage de l’Alpine) pourraient être fermés, tandis que l’usine de Flins (montage de la Zoé électrique et de la Nissan Micra) pourrait perdre la production de véhicules au profit d’autres activités.

Cette optimisation industrielle passerait également par le transfert de l’activité d’assemblage de véhicules de l’usine Renault de Maubeuge (Nord) vers le site de Douai, distant de 70 kilomètres. Maubeuge renouerait ainsi avec ses origines, ne conservant que l’emboutissage et la tôlerie.

 

Macro va se  réserver la présentation du plan de soutien à l’automobile mais il laissera notamment le ministre de l’économie le soin d’assumer la confirmation de fermetures de sites et de réduction des moyens humains.-  Certes le gouvernement a mis en garde Renault de limiter les licenciements en échange des milliards dont il va bénéficier de la part de l’État. Reste qu’il devra procéder à des économies de l’ordre  de 2 milliards. L’État ne s’opposerait pas à la fermeture de certains sites et à la réduction assez drastique des effectifs sur d’autres.

Un drame pour certaines localités dans l’économie repose en grande partie sur Renault mais aussi et surtout peut-être sur ses sous-traitants. En effet si l’industrie automobile française occupe encore de leur de 200 000 personnes, (dont environ un quart pour Renault) ce sont environ 400 000 sous-traitants qui participent au processus de production.

Pour certaines localités, le choc pourrait être aussi dur que celui qui a été subi par la fermeture par exemple des activités de sidérurgie, de chimie ou de pharmacie. Renault pourrait annoncer jeudi soir des suppressions d’emplois et des fermetures de sites dans le cadre de son plan d’économies de deux milliards d’euros, ont dit à Reuters deux représentants syndicaux.

Le groupe au losange doit détailler en fin de semaine un plan d’économie drastique sur trois ans pour redresser sa situation financière – il a accusé l’an dernier sa première perte nette en dix ans – que l’épidémie de coronavirus est venue encore aggraver cette année.

“Il y a un CCSE qui va avoir lieu jeudi soir à 18h30 pour une heure, c’est là que la direction générale officialisera ce qu’elle appelle la réduction des coûts de deux milliards, dans laquelle on peut s’attendre à de nouvelles diminutions d’effectifs, voire à des fermetures de site”, a déclaré Fabien Gâche, représentant de la CGT chez Renault, dans une vidéo postée lundi sur internet.

Il s’exprimait depuis la Fonderie de Bretagne à Caudan (Morbihan), l’un des sites du Selon plusieurs médias français, les petits sites de Caudan, mais aussi de Choisy-le-Roi (recyclage mécanique) et de Dieppe (assemblage de l’Alpine) pourraient être fermés, tandis que l’usine de Flins (montage de la Zoé électrique et de la Nissan Micra) pourrait perdre la production de véhicules au profit d’autres activités.

Selon plusieurs médias français, les petits sites de Caudan, mais aussi de Choisy-le-Roi (recyclage mécanique) et de Dieppe (assemblage de l’Alpine) pourraient être fermés, tandis que l’usine de Flins (montage de la Zoé électrique et de la Nissan Micra) pourrait perdre la production de véhicules au profit d’autres activités.

Selon une source proche du groupe, les fermetures se feraient sans licenciement sec. Dans le cas de l’usine de Caudan, ajoute la source, l’arrivée d’un repreneur n’est pas exclue.

Le Premier ministre Edouard Philippe a assuré la semaine dernière devant les sénateurs que le gouvernement français serait intransigeant sur la préservation des sites de Renault en France, d’autant que l’Etat s’apprête à dévoiler mardi un plan de soutien à la filière et à accorder un prêt garanti de cinq milliards d’euros au constructeur.

Mais le ministre de l’Economie Bruno Le Maire a précisé lundi matin qu’il n’irait pas jusqu’à demander au groupe de ne fermer aucun site, afin de le laisser adapter son outil de production car sa survie est, selon lui, en jeu.

L’Etat français est le principal actionnaire de Renault avec 15% du capital.

Selon trois sources proches du groupe, cette optimisation industrielle passerait également par le transfert de l’activité d’assemblage de véhicules de l’usine Renault de Maubeuge (Nord) vers le site de Douai, distant de 70 kilomètres. Maubeuge renouerait ainsi avec ses origines, ne conservant que l’emboutissage et la tôlerie.

Audience des sites d’information en forte hausse

Audience des sites d’information en forte hausse

Une augmentation de fréquentation de 36 % d’Internet . Sur écran fixe, mobile ou tablette, les Français confinés ont été, en mars, un million de plus, soit 45,8 millions, à quotidiennement consulter Internet, ce qui correspond à une augmentation de 36% de leur temps de surf en ligne. Leur temps passé devant les écrans hors TV – 2 h 50 en moyenne par jour, avec une spectaculaire progression des 15-24 ans, qui y ont consacré 4 h 50 – l’a surtout été pour s’informer.

Période inédite suscitant de multiples questions dans de nombreux champs, le confinement a fait grimper en flèche le trafic des sites de marques d’information. En mars, après l’habituel indétrônable trio formé par Google, YouTube et Facebook – entre 47,5 et 52,1 millions de visiteurs uniques (VU) mensuels pour les géants américains -, Wikipédia a explosé les compteurs avec 32,5 millions de VU, suivi par le roi de l’e-commerce Amazon avant la messagerie instantanée Messenger et le site de photos Instagram, deux satellites de Facebook. Les sites des grands titres ont été consultés mais aussi nombre de sites locaux et/ou spécialisés.

Sites Internet : des avis truqués

Sites Internet : des avis truqués  

 

Certains évaluateurs de sites prennent en compte le nombre et le contenu des avis des internautes. Le problème c’est que quantitativement et qualitativement ces avis souvent truqués. Chaque site a en effet intérêt à diffuser des avis plutôt favorables. Pour leur donner d’autant plus de crédibilité, on laisse passer quelques avis défavorables. En outre ces avis ne sont nullement représentatifs de la population des internautes. Dans 90 % des cas, ce sont des avis impulsifs, excessifs voire ridicules et-ou injurieux. Il suffit par exemple de se fier simplement à l’orthographe de ces internautes vindicatifs pour mesurer leur niveau culturel. Certains sites affichent un grand nombre d’avis pour montrer leur audience. Pour cela,  on privilégie l’évidence putassière  (Ah ça c’est bien vrai !) Ou au contraire la provocation  favorisant  des réactions contraires. Bref, la prise en compte des avis sur les sites constitue une vaste fumisterie, en tout cas une opération qui ne présente aucune pertinence en matière d’audience et de qualité. Ce que confirme certaine manière la direction générale de la concurrence (DGCCRF). On sait depuis longtemps que les commentaires et les avis des internautes sont largement bidonnés. Qu’il s’agisse d’avis concernant les produits et services ou de commentaires sur les informations des sites (c’est pourquoi le présent site ne diffuse de commentaires d’internautes, avis toujours intéressants mais dont la publication est relativement ambiguë).  La direction des de la concurrence a révélé un taux d’anomalie toujours très élevé de 35%. Ces pratiques commerciales trompeuses, observées par la DGCCRF depuis 2010, touchent tous les secteurs et notamment ceux de l’automobile, de l’électroménager, de l’habillement ou de l’hôtellerie. Certains professionnels rédigent eux-mêmes des avis, avantageux, en se faisant passer pour des consommateurs ou publient de faux avis, défavorables, sur leurs concurrents. D’autres ont recours à la modération pour supprimer, ou cacher des avis négatifs, relégués dans les dernières pages. Ces deux pratiques ont été observées plus particulièrement dans le secteur de l’hôtellerie, dans certains organismes de formation, mais également dans les services entre particuliers. Mais, depuis peu, une troisième pratique consistant à «mentir sur le processus de modération» a la faveur de nombreux sites Internet. Des fraudeurs affirmeraient ainsi avoir recours à des normes qui «fixent des conditions de vérification lorsque ce n’est pas le cas», selon Loïc Tanguy, un porte-parole de la DGCCRF. Parmi ces normes figure notamment la référence à la certification NF Z 74-501 qui permet de faire référence à une certification du processus de collecte, de modération et de restitution des avis. Une garantie utilisée «abusivement et de manière déloyale par de nombreux professionnels», toujours d’après le porte-parole de la DGCCRF. En d’autres mots, des sites s’auto-déclarent conformes aux normes imposées. En 2016, cinq professionnels auraient fait l’objet d’un avertissement pour des références abusives à la certification de leur avis d’après les résultats affichés par la direction de la répression des fraudes. Ces comportements trompeurs touchent non seulement les consommateurs, de plus en plus nombreux à se fier aux avis d’autres internautes, mais aussi les professionnels, qui doivent faire face à de la concurrence déloyale. D’après la DGCCRF, 74% des internautes auraient déjà renoncé à acheter un produit à cause de commentaires ou d’avis négatifs et 41% auraient déjà réalisé un achat spontané à la suite d’un avis positif. Des chiffres inquiétants au regard de la hausse des pratiques déloyales, qui encouragent des associations à fiabiliser le traitement des avis en ligne des consommateurs. C’est notamment le cas de l’Association française de normalisation (Afnor) qui a publié, en juillet 2013, la première norme volontaire pour lutter contre les faux avis des consommateurs. La norme Afnor ne comporte aucune obligation mais représente un gage éthique, devant garantir l’interdiction d’acheter des avis et l’identification de l’auteur pour le modérateur. D’autres stratégies de lutte contre les pratiques frauduleuses sont également mises en place et le cadre réglementaire a été renforcé pour mieux informer le consommateur. À compter du 1er janvier 2018, toute personne dont l’activité consiste à collecter, modérer ou diffuser des avis en ligne de consommateurs doit  assurer une information loyale, claire et transparente sur les modalités de publication et de traitement de ces avis. D’après la DGCCRF, l’objectif serait de «mieux équilibrer les relations entre plateformes et utilisateurs» pour renforcer «la confiance en l’information présentée»,.

Sites Internet : des avis truqués

Sites Internet : des avis truqués  

 

Certains évaluateurs de sites prennent en compte le nombre et le contenu des avis des internautes. Le problème c’est que quantitativement et qualitativement ces avis souvent truqués. Chaque site a en effet intérêt à diffuser des avis plutôt favorables. Pour leur donner d’autant plus de crédibilité, on laisse passer quelques avis défavorables. En outre ces avis ne sont nullement représentatifs de la population des internautes. Dans 90 % des cas, ce sont des avis impulsifs, excessifs voire ridicules et-ou injurieux. Il suffit par exemple de se fier simplement à l’orthographe de ces internautes vindicatifs pour mesurer leur niveau culturel. Certains sites affichent un grand nombre d’avis pour montrer leur audience. Pour cela,  on privilégie l’évidence putassière  (Ah ça c’est bien vrai !) Ou au contraire la provocation  favorisant  des réactions contraires. Bref, la prise en compte des avis sur les sites constitue une vaste fumisterie, en tout cas une opération qui ne présente aucune pertinence en matière d’audience et de qualité. Ce que confirme certaine manière la direction générale de la concurrence (DGCCRF). On sait depuis longtemps que les commentaires et les avis des internautes sont largement bidonnés. Qu’il s’agisse d’avis concernant les produits et services ou de commentaires sur les informations des sites (c’est pourquoi le présent site ne diffuse de commentaires d’internautes, avis toujours intéressants mais dont la publication est relativement ambiguë).  La direction des de la concurrence a révélé un taux d’anomalie toujours très élevé de 35%. Ces pratiques commerciales trompeuses, observées par la DGCCRF depuis 2010, touchent tous les secteurs et notamment ceux de l’automobile, de l’électroménager, de l’habillement ou de l’hôtellerie. Certains professionnels rédigent eux-mêmes des avis, avantageux, en se faisant passer pour des consommateurs ou publient de faux avis, défavorables, sur leurs concurrents. D’autres ont recours à la modération pour supprimer, ou cacher des avis négatifs, relégués dans les dernières pages. Ces deux pratiques ont été observées plus particulièrement dans le secteur de l’hôtellerie, dans certains organismes de formation, mais également dans les services entre particuliers. Mais, depuis peu, une troisième pratique consistant à «mentir sur le processus de modération» a la faveur de nombreux sites Internet. Des fraudeurs affirmeraient ainsi avoir recours à des normes qui «fixent des conditions de vérification lorsque ce n’est pas le cas», selon Loïc Tanguy, un porte-parole de la DGCCRF. Parmi ces normes figure notamment la référence à la certification NF Z 74-501 qui permet de faire référence à une certification du processus de collecte, de modération et de restitution des avis. Une garantie utilisée «abusivement et de manière déloyale par de nombreux professionnels», toujours d’après le porte-parole de la DGCCRF. En d’autres mots, des sites s’auto-déclarent conformes aux normes imposées. En 2016, cinq professionnels auraient fait l’objet d’un avertissement pour des références abusives à la certification de leur avis d’après les résultats affichés par la direction de la répression des fraudes. Ces comportements trompeurs touchent non seulement les consommateurs, de plus en plus nombreux à se fier aux avis d’autres internautes, mais aussi les professionnels, qui doivent faire face à de la concurrence déloyale. D’après la DGCCRF, 74% des internautes auraient déjà renoncé à acheter un produit à cause de commentaires ou d’avis négatifs et 41% auraient déjà réalisé un achat spontané à la suite d’un avis positif. Des chiffres inquiétants au regard de la hausse des pratiques déloyales, qui encouragent des associations à fiabiliser le traitement des avis en ligne des consommateurs. C’est notamment le cas de l’Association française de normalisation (Afnor) qui a publié, en juillet 2013, la première norme volontaire pour lutter contre les faux avis des consommateurs. La norme Afnor ne comporte aucune obligation mais représente un gage éthique, devant garantir l’interdiction d’acheter des avis et l’identification de l’auteur pour le modérateur. D’autres stratégies de lutte contre les pratiques frauduleuses sont également mises en place et le cadre réglementaire a été renforcé pour mieux informer le consommateur. À compter du 1er janvier 2018, toute personne dont l’activité consiste à collecter, modérer ou diffuser des avis en ligne de consommateurs doit  assurer une information loyale, claire et transparente sur les modalités de publication et de traitement de ces avis. D’après la DGCCRF, l’objectif serait de «mieux équilibrer les relations entre plateformes et utilisateurs» pour renforcer «la confiance en l’information présentée»,.

Après la catastrophe de Rouen, remise en cause des sites Seveso près des villes

Après la catastrophe de Rouen, remise en cause des  sites Seveso près des villes

 

 

L’idée de Bruno Lemaire ministre de l’économie pourrait avoir des conséquences considérables sur l’aménagement du territoire et la localisation des usines Seveso et de l’habitat. En clair, il s’agirait sans doute d’accroître encore la distance entre ces unités industrielles sensibles et les constructions à usage d’habitat, d’école et toute autre activité humaine. Déjà de nombreuses usines avaient du être éloignées  après les normes Seveso. Inversement, des zones d’habitat avaient été détruites. Des usines et des habitats dont la proximité était bien antérieure aux normes Seveso. L’affaire n’est pas mince car la France compte environ 1300 usines classées Seveso. Des mesures d’éloignement pourraient être prises mais il faut prendre en compte comme déjà indiqué que l’imbrication de certains sites et de certains habitats est antérieure aux normes Seveso. De nouvelles normes imposeront l’expulsion des un ou des autres. Notons que dans le cas d’expulsion des habitants le prix de rachat des logements est environ en moyenne 50 % inférieur au coût réel du marché et que cela pose d’énormes problèmes sociaux. Notons aussi que nombre de maires ont autorisé avant Seveso nombre de logements à se construire près d’usines sensibles. La question est donc complexe Bruno Le Maire juge cependant « utile » de revoir l’implantation de l’usine Seveso pour les éloigner des villes. Le Premier ministre promet la « transparence totale » aux populations inquiètes.

Le ministre de l’Économie et des Finances Bruno Le Maire, a jugé qu’il serait « utile » de revoir les règles d’implantation des usines sensibles, après l’incendie jeudi de l’usine chimique Lubrizol de Rouen. « Avoir des usines classées Seveso qui sont quasiment imbriquées dans une ville, on ne ferait plus ça aujourd’hui », a déclaré le ministre.

« L’urgence aujourd’hui c’est garantir la sécurité sanitaire des habitants de Rouen. Après, qu’on fasse un retour d’expérience, que nous regardions quelles leçons il faut en tirer sur les implantations d’usines, sur les usines à risque, sur la topographie de toutes les usines à travers le territoire, pourquoi pas, je pense que ça pourrait être utile », a t-il avancé.

Plusieurs riverains, associations ou syndicats ont fait part depuis jeudi de leur inquiétude ou de leur colère, alors que l’usine chimique Lubrizol, un site industriel Seveso seuil haut, est située dans la ville de Rouen, à environ trois kilomètres de la célèbre cathédrale.

Les sites Seveso sont classés selon deux niveaux de risque, seuil haut et seuil bas, en fonction de la quantité de matières dangereuses présentes. Selon le ministère de la Transition écologique et solidaire, la France compte 1.312 sites classés Seveso (dont 705 en seuil haut) à ce jour. Fin 2015, lors du dernier recensement, la France en comptait 1.261 (dont 700 en seuil haut).

Remise en cause des sites Seveso près des villes

Remise en cause des  sites Seveso près des villes

 

 

L’idée de Bruno Lemaire ministre de l’économie pourrait avoir des conséquences considérables sur l’aménagement du territoire et la localisation des usines Seveso et de l’habitat. En clair, il s’agirait sans doute d’accroître encore la distance entre ces unités industrielles sensibles et les constructions à usage d’habitat, d’école et toute autre activité humaine. Déjà de nombreuses usines avaient du être éloignées  après les normes Seveso. Inversement, des zones d’habitat avaient été détruites. Des usines et des habitats dont la proximité était bien antérieure aux normes Seveso. L’affaire n’est pas mince car la France compte environ 1300 usines classées Seveso. Des mesures d’éloignement pourraient être prises mais il faut prendre en compte comme déjà indiqué que l’imbrication de certains sites et de certains habitats est antérieur aux normes Seveso. De nouvelles normes imposeront l’expulsion des un ou des autres. Notons que dans le cas d’expulsion des habitants le prix de rachat des logements est environ en moyenne 50 % inférieure au coût réel du marché et que cela pose d’énormes problèmes sociaux. Notons aussi que nombre de maires ont autorisé avant Seveso nombre de logements à se construire près d’usines sensibles. La question est donc complexe Bruno Le Maire juge cependant « utile » de revoir l’implantation de l’usine Seveso pour les éloigner des villes. Le Premier ministre promet la « transparence totale » aux populations inquiètes.

Le ministre de l’Économie et des Finances Bruno Le Maire, a jugé dimanche qu’il serait « utile » de revoir les règles d’implantation des usines sensibles, après l’incendie jeudi de l’usine chimique Lubrizol de Rouen. « Avoir des usines classées Seveso qui sont quasiment imbriquées dans une ville, on ne ferait plus ça aujourd’hui », a déclaré le ministre, qui a été élu dans la région, sur le plateau du Grand Jury de RTL et LCI.

« L’urgence aujourd’hui c’est garantir la sécurité sanitaire des habitants de Rouen. Après, qu’on fasse un retour d’expérience, que nous regardions quelles leçons il faut en tirer sur les implantations d’usines, sur les usines à risque, sur la topographie de toutes les usines à travers le territoire, pourquoi pas, je pense que ça pourrait être utile », a t-il avancé.

Plusieurs riverains, associations ou syndicats ont fait part depuis jeudi de leur inquiétude ou de leur colère, alors que l’usine chimique Lubrizol, un site industriel Seveso seuil haut, est située dans la ville de Rouen, à environ trois kilomètres de la célèbre cathédrale.

Les sites Seveso sont classés selon deux niveaux de risque, seuil haut et seuil bas, en fonction de la quantité de matières dangereuses présentes. Selon le ministère de la Transition écologique et solidaire, la France compte 1.312 sites classés Seveso (dont 705 en seuil haut) à ce jour. Fin 2015, lors du dernier recensement, la France en comptait 1.261 (dont 700 en seuil haut).

Bruno Le Maire, auparavant ministre de l’Agriculture de 2009 à 2012, a par ailleurs souligné qu’il lui « paraîtrait normal » que soient indemnisées les pertes des agriculteurs de la région rouennaise, « pour ceux qui n’auraient pas été assurés ». Autour de Rouen les agriculteurs ont été touchés de plein fouet avec un « gel » des productions et des récoltes susceptibles d’avoir été exposées à la suie « jusqu’à obtention de garanties sanitaires », a annoncé samedi le préfet de Normandie Pierre-André Durand.

Le préfet avait aussi assuré que les analyses seraient publiées sur le site de la préfecture. Chose faite dans la soirée, avec pas moins de quatre communiqués de la préfecture et la publication de données parfois absconses, comme « les résultats d’analyse des gaz prélevés sur canisters ».

Car, plus de trois jours après l’incendie spectaculaire de cette usine classée Seveso seuil haut implantée à trois km de la cathédrale de Rouen, les images de l’incendie et de l’impressionnant nuage noir sont encore dans toutes les têtes, les gens s’interrogeant sur les conséquences sanitaires et environnementales.

Des témoignages font état de suies, probablement issues du nuage noir, dans l’Aisne, l’Oise et même à Lille, conduisant l’Agence régionale de santé des Hauts-de-France à demander aux habitants de signaler aux différents services « la présence de retombées sous forme de suie ».

L’influence des sites marchands est en réalité un phénomène commun (Stéphane Laurens)

 L’influence des sites marchands  est en réalité un phénomène commun   (Stéphane Laurens)

Le professeur de psychologie Stéphane Laurens réfute, dans une tribune au « Monde », l’idée d’un « danger » de manipulation par les algorithmes des sites marchands, alors qu’il s’agit de pratiques aussi vieilles que le commerce. Elle considère que c’est un phénomène très ancien dans le commerce. La seule différence qu’oublie  Stéphane Laurens  c’est que les outils d’influence sont autrement plus puissants. Rien n’avoir entre les effets d’une politique commerciale d’une marque en 1920 par exemple et les effets marketing d’aujourd’hui. Avant quelques centaines voire  au mieux quelques milliers de clients potentiels étaient touchés maintenant ce sont des millions voire des milliards comme Facebook. Le phénomène de masse écrase tout, la puissance de distribution étouffe toute autre concurrence.

 

Tribune. Dans le compte rendu d’une étude américaine sur l’influence des moteurs de recommandation sur nos choix et nos goûts, le chercheur Charles Cuvelliez mettait en garde ses lecteurs : « Nos goûts et préférences pourraient être manipulables par des outils. Un site peu scrupuleux peut donc nous amener à payer pour des biens de consommation qui ne nous plaisent pas forcément ou qui ne nous correspondent pas. Pis, ces mêmes outils nous inciteront aussi à payer plus cher pour des biens parce qu’ils nous font croire qu’on les aime ». (« Les moteurs de recommandation font plus qu’influencer nos choix : ils modifient nos goûts ! »Le Monde du 11 mai 2019).

Dans trois expériences, ces chercheurs américains manipulaient la notation de morceaux de musique, les présentant accompagnés de 1 à 5 étoiles, précisant aux participants que cette notation était calculée à partir de leurs préférences passées. Les résultats montraient que plus il y avait d’étoiles, plus les participants étaient disposés à acheter le morceau (« The Hidden Side Effects of Recommendation Systems », Gediminas Adomavicius, Jesse Bockstedt, Shawn P. Curley, Jingjing Zhang et Sam Ransbotham, MIT Sloan Management Review, hiver 2019). Adomavicius et ses collègues mentionnaient bien dans cet article le « côté obscur » des moteurs de recommandation et leur capacité à manipuler nos préférences sans que nous en ayons conscience.

Mais ce texte est lui-même un compte rendu d’une étude que ces mêmes auteurs ont publié en 2017. Or, dans l’étude initiale, le propos est bien différent : alors que le texte est dix fois plus long, il n’est jamais fait mention du moindre danger et les auteurs se contentent très brièvement de parler de biais dans les prises de décision des consommateurs (« Effects of Online Recommendations on Consumers’ Willingness to Pay », Gediminas Adomavicius, Jesse Bockstedt, Shawn P. Curley, et Jingjing Zhang, Information Systems Research n° 29/1, 2018).

Passons sur cet étrange cheminement qui voit les résultats d’une étude scientifique simplifiés et exagérés par les auteurs de cette même étude, et où un compte rendu est effectué non à partir de l’étude elle-même, mais de sa version écourtée et « colorée ».

Sites : Faux avis, faux consommateurs : Amazon coincé aux Etats Unis

Sites : Faux avis, faux consommateurs : Amazon coincé aux Etats Unis

Trop souvent les avis des lecteurs consommateurs constituent une sorte d’arnaque. Pourquoi ? Tout simplement parce que ces avis sont gérés par le site lui-même. Du coup on a évidemment tendance à privilégier les avis favorables ou même à inventer de faux avis. Il suffit de lire les commentaires notamment des sites à caractères commerciaux pour vérifier cette supercherie. Même quand les commentaires sont favorables se posent un problème de déontologie car décemment le site ne peut se valoriser lui-même à partir de commentaires élogieux. Pour le présent site c’est précisément pour cette raison que pratiquement aucun commentaire n’est diffusé. Pour être objectifs, ces commentaire devraient être géré par un organisme indépendant du site. Cette fois c’est Amazon qui a été pris la main dans le sac pour avoir inventé de faux témoignages en faveur de certains produits. Les autorités américaines ont donc a donc ouvert un dossier le 19 février pour enquêter sur ces pratiques douteuses. Après discussions avec amazone l’autorité américaine a émis une amende de 12,8 millions de dollars. En réalité, seulement 50.000 dollars sont exigés dans l’immédiat. Le reste de la somme sera versée uniquement si la société ne respecte pas ses engagements pris dans le cadre du litige.

 

 

Sites collaboratifs : premier clash entre Macron et El Kromy

Sites collaboratifs : premier clash entre Macron et El Kromy

 

À juste titre le conseil national du numérique se préoccupe du phénomène d’Uberisation et de ses conséquences sur la situation sociale des travailleurs indépendants. La question est en effet centrale  car le gadget technologique que constitue le recours à des sites numériques ne saurait dissimuler  qu’il s’agit en fait de savoir si les travailleurs indépendants sont ou non en situation de salariat déguisé. On sait que Macon en recherche d’innovation économique et sociale approuve la transformation du concept de salariat. La tentation est grande d’opérer un transfert du salariat vers le statut très précaire de travailleurs dits indépendants ou même pires de travailleurs au noir. Il est clair que sous prétexte  de technologies nouvelles l’objectif est de reporter sur le travailleur les contraintes de gestion sociale, fiscale voir les contraintes de capital. Le phénomène n’est pas nouveau ;  il y a déjà nettement plus de 20 ans que certaines grandes entreprises de transport avaient trouvé la martingale en transformant leur salarié en artisan. Pour cela les véhicules étaient loués aux  pseudos artisans qui supportaient donc l’amortissement du matériel ;  le fret était aussi géré et fourni par l’entreprise. Le résultat c’est qu’au lieu de gagner de l’ordre de 2000 à 3000 € par mois les nouveaux artisans peinaient  à dégager des revenus nets de l’ordre de 1000 € par mois. D’où des faillites en pagaille aussi des ventes de patrimoine personnel comme le logement lorsque l’artisan par exemple s’était aventuré à acheter le camion. De son côté, la ministre du travail souhaiterait clarifier la situation compte tenu de la dépendance économique des intéressés vis-à-vis des plates-formes numériques « On ne peut pas se contenter de leur donner le RSI, très peu protecteur, sinon on va produire une génération de précaires », estime Benoît Thieulin, président du CNNum. Celui-ci met en garde contre la création d’un nouveau statut de travailleur indépendant à côté de celui d’autoentrepreneur, ce qui créerait selon lui de la complexité et des effets de seuils. Il ne livre pas de solution clef en main mais préconise de passer par des « évolutions du droit commun » et affirme aux « Echos » qu’ « à un moment, il faut obliger la plate-forme à contribuer à la protection de ces travailleurs. »

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