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Croissance États-Unis : des signes de ralentissement

Croissance  États-Unis : des signes de ralentissement

Aux États-Unis, le marché de l’emploi a ralenti plus que prévu en juillet, avec un taux de chômage atteignant 4,3 %, selon les chiffres publiés ce vendredi 2 aout par le département du Travail. Ce taux, le plus élevé depuis octobre 2021, a pris 2 points par rapport à juin et a surpris les analystes qui anticipaient une stabilité à 4,1 %. Cela représente 352.000 chômeurs de plus, à 7,2 millions au total.

 

Cee ralentissement du marché de l’emploi inquiète car il intervient au moment où les revenus des Américains ont moins progressé que prévu, avec une hausse de seulement 0,2 % sur un mois. Les dépenses des ménages, bien qu’en hausse de 0,3 %, ont également montré des signes de ralentissement. La consommation, l’un des principaux moteurs de la croissance américaine, a cependant surpris en affichant une augmentation de 2,8 % au deuxième trimestre, après un ralentissement à 1,4 % au premier trimestre.

Économie États-Unis : des signes de ralentissement

Économie États-Unis : des signes de ralentissement

Aux États-Unis, le marché de l’emploi a ralenti plus que prévu en juillet, avec un taux de chômage atteignant 4,3 %, selon les chiffres publiés ce vendredi 2 aout par le département du Travail. Ce taux, le plus élevé depuis octobre 2021, a pris 2 points par rapport à juin et a surpris les analystes qui anticipaient une stabilité à 4,1 %. Cela représente 352.000 chômeurs de plus, à 7,2 millions au total.

 

Cee ralentissement du marché de l’emploi inquiète car il intervient au moment où les revenus des Américains ont moins progressé que prévu, avec une hausse de seulement 0,2 % sur un mois. Les dépenses des ménages, bien qu’en hausse de 0,3 %, ont également montré des signes de ralentissement. La consommation, l’un des principaux moteurs de la croissance américaine, a cependant surpris en affichant une augmentation de 2,8 % au deuxième trimestre, après un ralentissement à 1,4 % au premier trimestre.

Société- des signe de déconsommation

Société- des signe de déconsommation
Les Français se serrent toujours la ceinture. Alors que l’inflation poursuit sa baisse, les consommateurs n’ont pas renoncé à la sobriété dans les grandes surfaces. C’est ce que constate Dominique Schelcher, le patron de Système U, qui était invité ce mardi sur BFMTV-RMC.

« Il y a des signes de déconsommation, clairement, assure-t-il. La crise inflationniste est derrière nous mais il reste un problème de pouvoir d’achat. Cette tension depuis des mois, pèse sur le choix des gens, ils arbitrent. »

En 2024, le nombre de produits achetés a encore reculé de 2% sur un an, soit un total de 800 millions de références en moins passées par les caisses des supermarchés. Une déconsommation que le patron de Système U juge multifactorielle.

 

« Cette baisse est là depuis la fin des années 2010, une tendance de fond dans les magasins avec une baisse des volumes des produits grande consommation, rappelle-t-il. Les gens ont envie d’acheter un peu moins, différemment, il y a la pression environnementale. Ça s’est un peu accru ces derniers temps sous l’effet de l’inflation. »
Mais depuis la crise inflationniste c’est surtout le non-alimentaire qui pâtit des arbitrages des consommateurs.

« Le non-alimentaire, par exemple les salons de jardin c’est complètement boudé cette année, explique-t-il. Le textile c’est pareil, le short on va le garder une saison de plus. Ensuite il y a les produits de beauté qui sont devenus très chers. Au-delà de 3 euros, les produits se vendent moins. »
Sur l’alimentaire, c’est la viande qui continue de faire les frais des choix des consommateurs. Là encore, derrière cette déconsommation de viande, le patron de Système U décèle plusieurs phénomènes.

« Le flexitarisme (NDLR. manger moins de viande) s’est installé depuis plusieurs années, la filière viande le prône même, rappelle-t-il. Mais ce qui a donné un coup ces derniers mois c’est clairement le pouvoir d’achat qui a coupé les achats d’un certain nombre de Français. Par contre, ce week-end de l’Ascension a été extraordinaire dans les magasins. Le rayon boucherie a explosé car les Français veulent aussi se faire plaisir ponctuellement. »

Epargne: Signes d’inquiétude avec le record du livret A

Epargne: Signes d’inquiétude avec le record du livret A

Une collecte de record de 20 milliards et un encours de 535 milliards les livrets d’épargne démontrent à l’évidence l’attentisme des épargnants et leur inquiétude pour l’avenir. Pourtant il ne s’agit que des 30% environ des Français qui peuvent épargner. Pour les autres la situation est bien pire puisque parmi les défavorisés désormais on réduit les repas voire on en supprime certains ( voir à cet égard la baisse de consommation dans les supermarchés).

Sur le trimestre, la collecte cumulée des deux livrets dépasse les 25 milliards d’euros, dont près de 20 milliards sur le seul Livret A. Un record « sans précédent », selon le Cercle de l’Épargne. Du côté des encours, les chiffres sont également étourdissants : 535 milliards d’euros sur les deux livrets.Une augmentation de près de 30 %

En outre, la forte collecte du Livret A s’inscrit dans un mouvement de fond initié depuis le début du relèvement du taux l’été dernier, mais qui s’est accéléré depuis février. En effet, le taux à 3% est considéré par les experts comme un seuil psychologique qui amène les ménages à commencer à réfléchir à l’allocation de leur épargne. Pour l’instant, ce sont les dépôts bancaires qui sont arbitrés en faveur des livrets.

L’encours moyen du Livret A est actuellement de 5.500 euros. Et chacun attend désormais la décision de Bercy sur le prochain relèvement du taux, prévu au 1er août, sur préconisation de la Banque de France. Selon l’Union sociale pour l’habitat (USH), le taux pourrait grimper à 4% en cas d’application stricte de la formule d’actualisation (en fonction de l’inflation et des taux de marchés). Rien n’oblige cependant Bercy à appliquer cette formule.

Individus surdoués : quels sont les signes ?

Surdoués : quels sont les signes ?

 

Un article intéressant du Figaro évoque ce qui caractérise les surdoués. Pas forcément la capacité de mémoire mais surtout une curiosité qui permet une compréhension anticipée des problématiques.

 

Être surdoué n’est pas une pathologie. Les personnes diagnostiquées (ou non) comme tel possèdent une intelligence supérieure à la moyenne. Mais ce qui les distingue, c’est leur rapport différent avec ce qui les entoure. Cette approche particulière est fréquemment mal appréhendée, aussi bien dans sa définition que dans ses conséquences. S’il est impossible de dresser le portrait-robot d’une personne à haut potentiel, certains signes matérialisent ce fonctionnement si particulier.

● Vous êtes plus curieux

«Ils sont plus désireux d’avoir des éléments de réponse qui permettent d’arriver à une réponse argumentée, aussi juste que possible, dans la mesure où le questionnement a été plus poussé», explique Monique de Kermadec, psychologue clinicienne et psychanalyste spécialisée dans les questions de haut potentiel intellectuel (L’Enfant précoce aujourd’hui, le préparer au monde de demain, 2015, Albin Michel). «Sur un sujet qui peut être très superficiel de base, on va se retrouver à creuser pendant des heures voire des jours», illustre Théo Bertrand, entrepreneur et business développer de 25 ans, diagnostiqué surdoué à 14 ans. Béatrice Millêtre, docteur en psychologie (Petit guide à l’usage des parents qui pensent que leur enfant est doué, 2011, Payot) poursuit: «Ils vont avoir des passions, pas une seule, et l’implication est très forte, plus que la moyenne.» «Ce sont des moulins à questions, ils ont un besoin de tout comprendre», conclut Violaine Carli, psychologue clinicienne, spécialisée dans les thérapies comportementales et cognitives.

● Vous avez une pensée en arborescence

«C’est un peu le bordel parce que tout s’allume un peu en même temps, beaucoup d’infos plus ou moins pertinentes vont arriver, témoigne Théo. Jeune, j’avais une incapacité à maîtriser cette grosse énergie cognitive et les flux d’idées.» «La pensée en arborescence est une façon particulière de penser. Par association et analogie, le questionnement se poursuit et ne s’arrête pas à la première question, à la première idée», explique Monique de Kermadec.

● Vous avez du mal à restituer une idée

«Avec la pensée en arborescence, la pensée va très vite. Souvent ils ont une déduction logicomathématique qui ressemble à une fulgurance. La personne va trouver une solution de manière évidente mais ne saura pas restituer son développement. À partir de la seconde, voire de la troisième, quand on demande aux élèves de développer le cheminement vers le résultat, c’est là que ça peut poser problème», explique Violaine Carli. «Ils peuvent se retrouver en «difficulté», non pas par ce qu’ils n’ont pas saisi, mais parce qu’ils arrivent à une conclusion par un raisonnement qui leur est propre», abonde Monique de Kermadec.

«En français ou en philosophie je m’éclatais car j’écrivais au fil de ma pensée, se souvient Théo. En revanche, en mathématiques, où on nous demande de produire un développement, vu que ça me semblait évident je n’avais pas envie d’écrire mon raisonnement, j’allais droit au but.» «Dans certains cas, on peut parler d’intelligence intuitive ou d’intuition mathématiques. Pour la personne surdouée, le résultat est la première étape consciente du raisonnement. La fin, c’est le début», analyse Béatrice Millêtre.

● Vous apprenez et comprenez plus vite

«La rapidité avec laquelle ils retiennent les choses vient de la rapidité de leur compréhension du sujet. Certaines personnes ont des mémoires phénoménales sans être particulièrement intelligentes. Ce qui fait la différence, c’est le traitement de l’information», explique Monique de Kermadec. «Certains tendance à être plus scolaires donc la mémoire de travail va être plus importante, ils vont pouvoir capter une grande quantité d’informations autant sensorielles qu’informationnelles», précise Violaine Carli.

● Vous vous ennuyez rapidement

«L’éducation n’est pas forcément très souple dans sa façon de faire apprendre. Souvent ça passe par de la répétition pour faire entrer des notions dans la tête des élèves. Un étudiant surdoué va souvent saisir le fond de l’idée dès la première ou la deuxième écoute. Lors des autres répétitions, il tourne en rond, parce qu’il a déjà saisi «le truc». C’était mon cas», témoigne Théo Bertrand. «Et puis, avec cette pensée en arborescence, tu pars dans un faisceau de réflexions périphériques, et tu oublies l’objet de l’attention de base», poursuit-il. «L’ennui est un sujet complexe, car on peut avoir différentes raisons de s’ennuyer: parce qu’on ne comprend rien, parce qu’on nous répète des choses que l’on sait déjà ou encore parce que l’on s’éternise sur une information, décrypte Monique de Kermadec. Or, une fois l’information intégrée par le surdoué, son intérêt est de passer à autre chose. C’est une question de contenu et de temporalité.»

● Vous êtes plus sensible que la moyenne

Violaine Carli aiguille en abordant la notion «d’hypersensibilité». «L’intensité est propre au fonctionnement des surdoués», explique Monique de Kermadec. «Cela est dû à une plus grande intelligence émotionnelle, ils sont plus stimulables, poursuit Béatrice Millêtre. Ils ressentent plus un stimulus auquel les autres ne vont pas prêter attention. Comme ils sont plus stimulables, la réaction émotionnelle est plus grande.» «L’aversion à l’injustice est une chose qui nous est très propre, par exemple. Je me faisais plus sortir de cours car je m’indignais contre ce que je jugeais injuste qu’à cause de mon comportement. Aujourd’hui je sais pourquoi. On est des gens très passionnés. C’est instinctif, et je l’ai compris que quand on m’en a parlé à mes 14/15 ans», assure Théo. «On pourrait parler d’hyper-empathie, analyse Violaine Carli. Une sorte d’éponge émotionnelle.»

● Vous vous sentez parfois incompris

«Ce n’est pas parce qu’on est surdoué qu’on est incompris. C’est propre à chaque parcours, avertit Monique de Kermadec. Si on est entouré par des personnes qui nous font sentir une différence, on peut arriver à la conclusion qu’on a quelque chose qui ne va pas, qu’on est en tort. Cette notion de différence négative est quelque chose qu’on intègre en fonction de l’entourage.» «Ce sentiment se rapporte à des surdoués qui n’iraient pas bien. Celui qui va bien sait qu’il fonctionne différemment et a appris à faire avec. Ce n’est pas inhérent, c’est une conséquence d’une méconnaissance de son fonctionnement par soi et les autres», ajoute Béatrice Millêtre. Et d’enrichir: «Ils ont une plus grande intelligence sociale. Quand ils sont en phase avec eux-mêmes, ils sont très sociables. C’est un cliché, les surdoués qui vont mal. L’environnement (scolaire et familial) est responsable à 70% de la façon dont ils se manifestent aux autres.»

Et dans tout ça, quelle importance revêt le test de Q.I? «Si c’est pour mettre une étiquette c’est vain. Un chiffre n’apporte pas les conseils et les réponses, avertit d’emblée Monique de Kermadec. Ce test est important dans l’optique où l’on cherche le meilleur accompagnement pour la personne concernée. Vouloir connaître et se connaître au mieux est une mission positive.» «Ne pas savoir qui l’on est, se forcer à s’adapter sans savoir pourquoi peut créer un sentiment de décalage et de défaillance. C’est pourquoi il est important de savoir que l’on est à haut potentiel», parachève Violaine Carli.

Coronavirus France : les signes d’une troisième vague

Coronavirus France : les signes d’une troisième vague

« Nous voyons les signaux précoces d’une reprise épidémique et d’une troisième vague« , a prévenu la professeure Karine Lacombe sur RTL, lundi 4 janvier. « C’est en train de frémir : les arrivées aux urgences et les hospitalisations augmentent » notamment « en région parisienne », a indiqué l’infectiologue et cheffe de service des maladies infectieuses à l’hôpital Saint-Antoine à Paris.

Si la spécialiste est « moins inquiète » face à une pandémie  »que l’on connaît mieux », elle a rappelé les facteurs essentiels pour « anticiper » un éventuel regain de la propagation du virus, à savoir « le nombre de cas positifs et le nombre d’arrivées en hospitalisation et en réanimation ».

Ces indicateurs rapportent une situation sanitaire encore incertaine et propice à une troisième vague. « Actuellement, le nombre d’hospitalisations est déjà important et plus spécifiquement en région parisienne », précise Karine Lacombe qui n’exclut pas « une possible reprise de l’épidémie ».

Chaque jour, les autorités recensent entre 10.000 et 15.000 nouveaux cas : « on est sur un plateau élevé », alerte l’infectiologue. Par ailleurs, elle souligne que « les tous derniers chiffres des infections ne sont pas fiables : on a l’impression qu’il y a un peu moins de contaminations », mais ce résultat « a été dilué par un très grand nombre de dépistages à l’occasion des vacances scolaires ».

Croissance États-Unis : des signes inquiétants

Croissance États-Unis : des signes inquiétants

 

Des signes inquiétants de ralentissement de la croissance aux États-Unis qui viennent après ceux  de la Chine, du Japon ou encore de l’Allemagne. Par exemple l’activité économique dans le nord-est des Etats-Unis s’est contractée en février pour la première fois depuis près de trois ans, en raison notamment d’un recul marqué des nouvelles commandes, selon l’enquête de conjoncture mensuelle de la Réserve fédérale de Philadelphie. Son indice “Philly Fed” a chuté à -4,1 après 17,0 en janvier, alors que les économistes attendaient en moyenne un repli limité à 14,0.Dans l’ensemble du pays, les commandes de biens d’équipement civils hors aéronautique, considérées comme un étalon des plans d’investissement, ont baissé de 0,7% en décembre après un recul de 1,0% (révisé) le mois précédent, a annoncé le département du Commerce. Les économistes anticipaient en moyenne une hausse de 0,2% en décembre. Sur le front de l’emploi, le nombre des inscriptions au chômage a reculé la semaine dernière, de 23.000 à 216.000 en données corrigées des variations saisonnières, mais leur moyenne mobile sur quatre semaines a atteint un peu plus de 235.000, son niveau le plus élevé depuis janvier 2018, suggérant un ralentissement du marché du travail

70% des contrats signés pour limiter les dépenses des collectivités

70% des contrats signés pour limiter les dépenses des collectivités

 

Les collectivités qui se sont engagés à ne pas dépasser une croissance de 1.2% en valeur de leurs dépenses, y compris l’ inflation, d’une part auront une assurance sur les dotations de l’Etat et éviteront des sanctions. Ce qui ne sera pas le cas pour les collectivités qui ont refusé de signer.  Ce dispositif sur trois ans vise à contenir la progression des dépenses des collectivités locales, auxquelles le gouvernement a demandé un effort de 13 milliards d’euros d’ici à 2022, soit 2,6 milliards d’euros par an. En contrepartie, l’Etat s’est engagé à ne pas baisser ses dotations. Pour atteindre cet objectif, un plafond de 1,2% en valeur, inflation comprise a été fixé pour l’évolution annuelle des dépenses de fonctionnement des collectivités à l’échelle nationale. Des sanctions, sous forme de prélèvement d’une fraction des recettes fiscales de l’année suivante, ont été prévues pour les collectivités ne respectant pas l’objectif assigné dans leur contrat. Les prélèvements seront proportionnellement plus lourds pour celles n’ayant pas participé au processus de contractualisation, tandis que les collectivités volontaires ne seront pas pénalisées.

Croissance Grande-Bretagne : des signes de ralentissement

Croissance Grande-Bretagne : des signes de ralentissement

 

La banque d’Angleterre semble confirmer les signes d’affaiblissement de la croissance britannique. Sitôt après le brexit,  on avait notamment observé une baisse du moral    La confiance des ménages britanniques a en effet enregistré sa plus forte baisse depuis plus de cinq ans juste après la victoire des partisans du Brexit lors du référendum du 23 juin, selon une enquête mensuelle de l’institut GfK. Réalisée dans les jours qui ont suivi le scrutin, elle montre une chute de l’indice de confiance du consommateur à -9 contre -1 en mai, le recul le plus marqué depuis janvier 2011. L’indice revient ainsi à son plus bas niveau depuis décembre 2013.  Gertjan Vlieghe, membre du Comité de politique monétaire (MPC) de la Banque d’Angleterre (BoE), a indiqué dans une chronique publiée par le Financial Times qu’il avait déjà perçu des signes montrant que l’économie britannique s’acheminait vers une période de croissance plus lente et d’inflation plus élevée à la suite du vote pro-Brexit du mois dernier. Dans un point de vue , Gertjan Vlieghe, seul membre du MPC à avoir voté pour une baisse des taux ce mois-ci, estime qu’il faut sur le champ réduire les taux d’intérêt et compléter cela par un ensemble de mesures le mois prochain. « Les implications précises (du résultat du référendum du 23 juin) pour l’économie sont incertaines, encore que l’évolution générale de la trajectoire soit sans doute celle d’une croissance plus basse et d’une inflation plus haute pendant un moment, résultant d’une offre et d’une demande affaiblies et d’un taux de change plus bas », dit-il. « Les premiers signes donnés par les entreprises et les ménages, et les conclusions des propres agents de la BoE, vont tous dans ce sens ».

 

Croissance Chine : le tassement confirmé montre de nouveaux signes de faiblesse

Croissance Chine : le tassement confirmé montre de nouveaux signes de faiblesse

Bien qu’il soit toujours difficile d’analyser les statistiques très politiques de la Chine on ne peut que constater un tassement de la croissance du fait notamment de l’évolution des ‘investissements, de  la production industrielle et des les ventes au détail en dessous des prévisions en avril le ralentissement des exportations mais aussi des importations montrent d’une part que la Chine connaît des difficultés mais révèle aussi l’atonie de la croissance mondiale pour les premiers mois de l’année. Officiellement la croissance de la production industrielle a atteint 6,0% en rythme annuel le mois dernier selon les statistiques officielles publiées samedi, alors que les économistes attendaient en moyenne un chiffre de 6,5%, après +6,8% en mars. Les investissements en actifs fixes ont eux progressé de 10,5% sur janvier-avril par rapport aux quatre premiers mois de l’an dernier, alors que le marché tablait sur une progression de 10,9%. Ils marquent eux aussi un ralentissement puisque sur janvier-mars, leur hausse avait été de 10,7%.Les investissements des entreprises privées continuent en outre de ralentir, avec une croissance tombée à 5,2% sur janvier-avril, contre +5,7% sur janvier-mars. « Il apparaît que tous les moteurs ont soudainement perdu de leur élan et que la dynamique de croissance s’est elle aussi essoufflée », a commenté Zhou Hao, économiste de Commerzbank à Singapour, dans une note. « Au bout du compte, il faut reconnaître que la Chine est toujours en difficulté. » Plusieurs sources ont rapporté à Reuters que l’autorité de tutelle du secteur bancaire chinois avait envoyé une directive urgente aux établissements de crédit pour leur demander de supprimer les blocages qui freinent les prêts aux entreprises privées. Les banques ont en effet fortement réduit les nouveaux prêts en avril, à 555,6 milliards de yuans (75,2 milliards d’euros) contre 1.370 milliards en mars, selon les statistiques publiées vendredi. Le Bureau national de la statistique a déclaré samedi que « puisque le montant total des investissements privés est relativement élevé, son ralentissement continu pourrait freiner une croissance stable, ce qui nécessite un degré élevé d’attention ». Parallèlement, la croissance des ventes au détail – qui regroupe à la fois les achats privés et publics – a ralenti à 10,1% sur un an en avril, contre +10,5% attendu. Ainsi, alors que les indicateurs économiques de mars avaient ravivé l’espoir d’une reprise de la croissance chinoise après un an de doutes, ceux d’avril risquent fort de relancer le débat sur la capacité des autorités à soutenir la croissance de la deuxième économie mondiale. Les chiffres publiés samedi s’ajoutent en effet à ceux, déjà moins bons qu’attendu, des exportations et des importations et aux résultats peu encourageants des enquêtes mensuelles auprès des directeurs d’achats, qui suggèrent une faiblesse persistante de la conjoncture.

(Avec Reuters)

10.000 emplois d’avenir signés ( Sapin)

10.000 emplois d’avenir signés ( Sapin)

Le ministre du Travail Michel Sapin a annoncé lundi qu’environ 10.000 emplois d’avenir avaient été signés, affirmant que l’objectif des 100.000 à la fin de l’année serait atteint, tout comme celui d’inverser la courbe du chômage. « Je peux vous dire qu’on est vers 10.000 emplois d’avenir signés, mais c’est pas ça qui compte. Ce qui compte c’est qu’à la fin de l’année, nous ayons atteint les 100.000 emplois d’avenir, nous les aurons atteints », a-t-il affirmé sur RMC/BFMTV. Pour justifier la lente « montée en charge » du dispositif opérationnel depuis le 1er novembre, le ministre a expliqué que ce n’était « pas simple d’arriver à trouver des employeurs (…) pour ces jeunes qui ont très peu travaillé, très peu de formation, car il faut les accompagner, les mener vers l’emploi ». « Mais je tiens à ça, car jamais la France n’a eu 500.000 jeunes sans emploi et sans formation » alors que  » 3 millions de chômeurs on a déjà eu, même si ce n’est pas une raison pour l’accepter. Il faut que ça diminue ».

 

chansons-poèmes de  g.bessay:

 




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