Archive pour le Tag 'siège'

Affaire McKinsey et Macron: enquête et perquisition au siège de « Renaissance »

Affaire McKinsey et Macron: enquête et perquisition au siège de « Renaissance »

L’affaire McKinsey avait révélé que la société de conseil avait bénéficié d’une multitude de contrats avec l’État et d’une sorte de gratuité fiscale puisque la société n’a pas payé d’impôt depuis 10 ans. Or le montant des contrats se montait à la somme astronomique d’un milliard. Il y a aussi la suspicion d’un financement de la dite société pour les campagnes électorales de Macron.

Des perquisitions ont été menées au siège parisien du cabinet de conseil McKinsey, mais aussi à celui du parti Renaissance, dans le cadre des deux enquêtes ouvertes par le parquet national financier (PNF) sur l’intervention des cabinets de conseil dans les campagnes présidentielles de 2017 et 2022. Le quotidien précise que les locaux de l’association de financement du parti de la majorité présidentielle ont également fait l’objet d’une perquisition.

Le PNF a confirmé la tenue de ces perquisitions . Les deux informations judiciaires, ouvertes par le PNF à la fin du mois d’octobre pour « tenue non conforme de compte de campagne et minoration d’éléments comptable dans un compte de campagne », ainsi que « favoritisme », cherchent à déterminer si des cabinets de conseil comme McKinsey ont pu bénéficier de contrats publics en échange de la participation de certains de leurs employés aux campagnes présidentielles d’Emmanuel Macron.

Une affaire qui dégage un certain parfum du premier financement de la campagne de Macron en 2017 .Pour justifier cette dépense de plus d’un milliard d’euros, il faudrait que l’État ait mobilisé des milliers et des milliers de consultants puisque l’essentiel des prestations relève du soft et non de la fourniture d’investissements matériels.

Dans leur rapport explosif sur l’influence croissante des cabinets de conseil dans l’Hexagone, publié en pleine campagne présidentielle, les sénateurs Éliane Assasi et Arnaud Bazin (CRCE et LR) affirmaient que le cabinet américain échappait à l’impôt sur les sociétés (IS) en France. S’il y était théoriquement bien assujetti, «ses versements s’établissent à zéro euro depuis au moins 10 ans», concluait la commission, décrivant la situation comme un «exemple caricatural d’optimisation fiscale». Or, ce constat était contraire aux propos «tenus sous serment» par le directeur associé du cabinet, Karim Tadjeddine : mi-janvier, celui-ci assurait «nous payons l’impôt sur les sociétés en France et l’ensemble des salaires sont dans une société de droit français qui paie ses impôts en France».

Fin mars, quelques semaines après la publication du rapport, la commission d’enquête avait donc annoncé saisir la justice pour, précisément, «faux témoignage devant la commission d’enquête», de la part du directeur associé du cabinet. De son côté, l’entreprise a toujours réfuté ces accusations, assurant payer l’impôt dû.

Plus largement, au-delà du simple volet fiscal qui ne concerne que McKinsey, le Sénat compte bien s’occuper du sujet de fond du recours aux cabinets de conseil par l’État. Une proposition de loi transpartisane, réunissant notamment les membres de la commission d’enquête, doit être déposée «fin juin». Objectif : «qu’elle soit examinée par le Sénat à l’automne prochain» et qu’elle permette de mieux encadrer le recours à ces entités privées. En attendant, le parquet national financier (PNF) poursuit son enquête visant le «statut fiscal» de McKinsey en France, ouverte fin mars.

Suez: transfert du siège de l’activité eau aux Pays-Bas !

Suez: transfert du siège de l’activité eau aux Pays-Bas !   C’est le paradoxe pour sauver une entreprise française, on déplaces son  siège aux Pays-Bas. Ce que vient de faire Suez qui a mis sous cloche en quelque sorte son activité eau sous la protection d’une fondation de droit néerlandais. De quoi paralyser les velléités de rachat par Veolia ou d’autres pendant quatre ans.  La confirmation que les Pays-Bas constituent une sorte de paradis fiscal ou nombre d’entreprises se réfugient. Cette fois il ne s’agit pas d’optimisation fiscale mais de protection juridique empêchait toute OPA hostile “Pour les quatre années à venir et sauf décision contraire du conseil d’administration de Suez au cours de cette période, Suez Eau France, comme ses actifs, sera inaliénable à défaut d’accord préalable de ses actionnaires sous certaines conditions, y compris, en tout état de cause, celui de la fondation”, a précisé Suez.

Les corpos staliniens CGT d’EDF manifestent au siège de la CFDT

Les corpos staliniens CGT  d’EDF  manifestent au siège de la CFDT

 

Il n’y a sans doute plus corpos que certains militant CGT d’EDF dont les attitudes staliniennes actuelles rappellent de mauvais souvenirs. Il y a une cinquantaine d’années la CGT jouissait d’un quasi-monopole de représentation dans plusieurs entreprises publiques en particulier à EDF et à la SNCF sans parler des ports ou de la fédération du livre. Il ne faisait pas bon d’être candidat dans ces entreprises pour une autre organisation syndicale. Nombre de responsables syndicaux de la CFDT ont été éjectés dans l’eau des ports par exemple par la fédération des ports CGT. Lors  des grandes grèves de 68 par exemple, la CGT qui occupait  certaines entreprises interdisait aux représentants d’autres organisations syndicales d’y entrer. Depuis, la situation syndicale a bien évolué puisque globalement la CGT a perdu son monopole, que les syndicats réformistes  sont devenus majoritaires et que la CFDT est devenue le premier syndicat de France. Une situation mal admise dans un des derniers bastions de la CGT à savoir l’EDF. Une entreprise où les réflexes corpo rétro ont largement contribué à créer un gouffre financier qui à terme pourrait tuer EDF. Un peu la même situation à la SNCF, victime elle aussi des stratégies gauchistes et des responsables des syndicats radicaux dont les grèves répétées vont également tuer l’entreprise. Il est clair que l’orientation de la CFDT visant à davantage de justice sociale pour tous s’oppose en tous points à des lignes syndicales corporatistes  qui en fait protègent des avantages injustifiés autant que la paresse de certains. Un seul exemple il faut voir la différence de productivité des entreprises de sous-traitance et celle des agents d’EDF. Ainsi en ce moment se déroule une opération d’installation des compteurs Lincky. Chaque agent des entreprises de sous-traitance en installe 10 à 12 par jour là où sans doute les agents d’EDF (il en faudrait sûrement 2) n’en installeraient pas la moitié. Il y a quelque chose de surréaliste de voir des corpo rétro CGT de l’EDF envahir un syndicat comme la CFDT. De même qu’il y a quelque chose de surréaliste de voir  ici ou là le courant coupé  y compris à des équipements publics. Si le droit de grève est intouchable puisqu’il fait parti intégrante des libertés individuelles et collectives par contre le blocage de la production voir le sabotage relève de l’irresponsabilité. Les comportements évoqués participent évidemment de la dégradation des entreprises concernées mais aussi du syndicalisme y compris de la CGT qui ne cesse de reculer dans ses derniers bastions .

Le siège parisien de la CFDT a de nouveau été la cible lundi matin d’une action des opposants à la réforme des retraites, qui ont coupé l’électricité dans les locaux, annonce le syndicat. Après l’intrusion vendredi de militants, “une quinzaine d’individus cagoulés se sont introduits dans le bâtiment dans le but de couper l’électricité générale”, précise la commission exécutive de la CFDT dans un communiqué.

“Cette nouvelle attaque (…) est inacceptable”, ajoute-t-elle. L’opération a été revendiquée par la CGT. “(Laurent) Berger négocie les couleurs et les formes de nos futures chaînes et celles de nos enfants, sans jamais avoir participé à la grève reconductible contre la retraite à points”, peut-on lire dans un communiqué.“Ce matin (…) le siège confédéral de la CFDT à Paris a perdu l’électricité et c’est la collaboration de classe qui a été plongée dans l’obscurité”, ajoute le syndicat qui sans doute manifeste la un retard culturel d’un siècle au moins !

Le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, a annoncé lundi matin sur BFM TV et RMC le dépôt d’une plainte après l’action de vendredi.

Thierry Mariani (LR)° au FN pour retrouver un siège de parlementaire

 Thierry Mariani (LR)° au FN pour retrouver un siège de parlementaire

On ait que Mariani prône depuis un moment un rapprochement avec le FN. De ce point de vue,  il dit peut-être tout haut ce que certains à LR pensent tout bas. Il faut reconnaitre à Marinai d’avoir toujours défendu des thèses très réactionnaires voisines de celles de Marine Le Pen. Mais la vraie raion, c’est que le temps politique est inexorable et que Mariani battu lors des dernières élections a besoin de retrouver un poste de parlementaire. Il n’est pas certain de figurer en bonne place sur la liste LR car les places seront chères pour être élu avec le discrédit de Vauquiez. Du coup en 3è position sur la liste FN, Mariani serait assuré de ne pas se retrouver au chômage ! le responsable LR devra assumer publiquement son changement de cap, lui qui expliquait au JDD en 2013 que Marine Le Pen n’avait « aucune chance d’arriver au pouvoir » et qu’elle ne racontait « que des bêtises ». En 2015, il assurait encore que le FN avait « des positions de gauche archaïque sur le social ». Dans son interview du mois dernier, il notait plus sobrement des divergences de fond, « essentiellement le programme économique ». I ne serait pas le premier homme politique à vendre ses convictions pour un poste. Mariani et Le Pen se sont donc bien  rencontrés « 1h30″ fin février, précisait Le Parisien. Soit quelques jours avant le congrès de Lille du Front  et la diffusion de l’interview de l’élu de droite dans nos colonnes. « Pourquoi ne pourrait-on pas avoir au moins des discussions? », interrogeait-il. A Lille, un haut responsable du FN précisait déjà au JDD que ce dialogue avait commencé. Mais lundi, l’intéressé mettait en garde sur Twitter contre tout « emballement »… Sans démentir toutefois : « Tout est possible, rien n’est sûr… », glisse-t-il au Dauphiné.

 

 

Le siège de l’Autorité bancaire européenne transféré à Paris

Le siège de l’Autorité bancaire européenne transféré à Paris

Le transfert de Londres à Paris de l’autorité bancaire européenne constitue un symbole fort pour la crédibilité de la France. Certes les plus emplois, à savoir 170, ne sont pas énormes mais ce transfert représente un signe de la volonté française de mieux situer le pays dans l’ensemble du dispositif financier. Il faut surtout espérer que des transferts de banques suivront même si vraisemblablement certains se partageront entre Francfort, Paris et Amsterdam. . Créée en 2011 dans la foulée de la crise financière, l’autorité bancaire est connue pour avoir mené les tests de résistance des banques européennes et elle rédige des règles communes.  Emmanuel Macron s’est également félicité lundi soir de cette nouvelle, y voyant «la reconnaissance de l’attractivité et de l’engagement européen de la France».Dans un communiqué publié un peu plus tard par l’Élysée, le président français s’est dit «heureux et fier de ce choix, qui vient saluer l’engagement européen de la France et l’attractivité de notre capitale» et «conforte ainsi son rang de place financière majeure». Le président de la République «remercie (ses) partenaires européens pour cette marque de confiance» et assure que «l’ensemble des acteurs peut compter sur le soutien de l’État pour faire de cette relocalisation un plein succès, au service d’une régulation européenne juste et efficace». La France se console de l’échec de Lille, qui était sur les rangs pour l’Agence européenne du médicament et ses 900 emplois. Amsterdam a coiffé Milan au poteau. La Commission avait réalisé, fin septembre, une évaluation des candidatures sans indiquer ses préférences. Passant au crible six critères dont la garantie que les agences seront opérationnelles au moment où la Grande-Bretagne quittera l’UE (au plus tard fin mars 2019) ; la continuité de l’activité ; l’accessibilité ; la présence d’écoles internationales ou encore un équilibre dans la répartition des entités européennes.

 

Gauchisme : le siège de la CFDT à Bordeaux incendié

Gauchisme : le siège de la CFDT à Bordeaux incendié

On sait que plusieurs sièges de la CFDT y compris le siège central à Paris ont déjà été victimes de dégradations. Mais cette fois il s’agit de l’incendie du siège régional à Bordeaux. Le résultat évidemment d’une stratégie gauchiste qui radicalise les positions et favorise un climat de haine et de violence.  Une curieuse conception de la démocratie quand l’insulte et la violence prennent  le pas sur le débat normal dans un pays civilisé. Les gauchistes sont certainement déçus d’avoir perdu la partie car la répétition des mobilisations concernât la loi travail n’a conduit qu’à l’impasse et d’une certaine manière discrédite encore un peu plus les organisations irresponsables. Le siège régional de la CFDT situé à Bordeaux a en effet été incendié dans la nuit de mercredi à jeudi, rapporte 20 minutes ce jeudi. Des feux de poubelles disposés devant le bâtiment seraient responsables.  Selon le quotidien, cet incendie n’a fait aucune victime. En revanche, les dégâts matériels sont conséquents. La police judiciaire a été saisie de l’enquête. Cet incendie intervient dans un contexte bien particulier, puisque les éboueurs mènent actuellement une grève.  « Le fait que cet incendie soit volontaire ne fait aucun doute. Nous ne sommes pas vraiment surpris quand on voit ce qui s’est déjà passé ailleurs dans d’autres villes dans un climat social tendu », a indiqué à Reuters un porte-parole de la CFDT. Le siège national de la CFDT, à Paris, a ainsi été la cible d’une attaque jeudi dernier et celui de la CGT, situé à Montreuil, en banlieue parisienne, a été attaqué samedi dernier.

Le siège de la CFDT «saccagé» par les gauchistes

Le siège de la CFDT «saccagé» par les gauchistes

Une nouvelle fois les gauchistes ont montré leur curieuse conception de la démocratie en saccageant le siège de la CFDT à Paris. Des gauchistes qui comprenaient une centaine de personnes qui avaient décidé de faire un défilé nous n’autorisé dans l’est de Paris. On peut supposer qu’il s’agit de radicaux qui ont comme seul objectif la lutte révolutionnaire et qui évidemment ne peuvent admettre la ligne réformiste de la CFDT. Des gauchistes qui luttent pour le renversement total du système économique et politique alors que la CFDT lutte pour obtenir des avancées pour les salariés. Mais pour les gauchistes les compromis obtenus pour les salariés ne font que conforter le système. Bref un discours qui date bien d’un siècle pour des gauchistes qui par ailleurs en majorité sont des fonctionnaires ou des salariés du secteur public et nationalisé. Bref la révolution mais avec la protection du statut. Une curieuse conception du syndicalisme plus proche du fascisme que de la démocratie. Des participants à une manifestation non autorisée à Paris ont donc brisé les vitres du siège de la CFDT, qui ne participe pas à la mobilisation contre la loi El Khomri. En lettres rouges, ils ont inscrit sur la façade : «c’est fini de trahir». Une centaine de personnes parties en manifestation non autorisée dans le nord de Paris jeudi soir, après une nouvelle journée de mobilisation contre la loi travail, ont dégradé la façade du siège du syndicat réformiste CFDT. Peu après 21 heures, des manifestants ont quitté le quartier de Ménilmontant pour rejoindre celui de Belleville, dans l’est parisien, quelques heures après la dispersion de la nouvelle manifestation contre la loi travail à Paris qui a rassemblé entre 20.000 et 60.000 personnes, selon les sources à Bastille. Au cours du rassemblement non déclaré, des manifestants ont brisé les vitres du siège de la CFDT, qui ne participe pas à la mobilisation contre la loi dite El Khomri, situé sur le chemin de cette manifestation de nuit. En lettres rouges, ils ont inscrit sur la façade: «C’est fini de trahir».

Volkswagen : perquisition au siège de Volkswagen en France

Volkswagen : perquisition au siège de Volkswagen en France

Comme en Allemagne des perquisitions auront lieu en France. Des gendarmes ont mené vendredi une perquisition au siège de Volkswagen France dans le cadre de l’enquête préliminaire pour « tromperie aggravée » ouverte début octobre, a-t-on appris dimanche de source judiciaire. « Cette perquisition s’est déroulée vendredi au siège de Volkswagen à Villers-Côtterets (Aisne) et à Roissy (Val-d’Oise). Du matériel informatique a été saisi », a-t-on déclaré à Reuters, confirmant une information du Journal du Dimanche. En Allemagne, un porte-parole de la direction de Volkswagen a confirmé la perquisition, soulignant que le groupe coopérait avec les autorités françaises. La perquisition a été menée par des gendarmes de l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (Oclaesp). Le parquet de Paris a ouvert début octobre une enquête préliminaire pour tromperie aggravée s’agissant d’une marchandise dangereuse pour la santé de l’homme afin de déterminer si le groupe automobile allemand a manipulé ses émissions polluantes en France, comme il l’a fait aux Etats-Unis.

Bartolone « essaie de convaincre » Cahuzac de renoncer à son siège de député ; on rêve !

Bartolone « essaie de convaincre » Cahuzac de renoncer à son siège de député ; on rêve !

 

Le président de l’assemblée nationale ( 3 ème personnage de l’Etat) qui essaye de convaincre un voleur de ne pas redevenir député, on rêve ou plutôt non. C’est la triste réalité du système politique qui s’auto protège. Du coup un voleur et un arnaqueur, ministre du budget, pourrait reprendre sa place et l’assemblée et voter notamment les lois fiscales ! C’est la loi a dit Bartolone, la loi de la mafia du système politique oligarchique.   »J’essaie d’expliquer à M. Cahuzac, compte tenu des propos qui ont été les siens devant la représentation nationale, qu’il vaut mieux qu’il ne redevienne pas député », a déclaré devant des journalistes M. Bartolone, qui s’est entretenu par téléphone « hier » (jeudi) avec l’ex-ministre du Budget.  Pressé de questions pour savoir si Jérôme Cahuzac lui avait formellement dit qu’il voulait revenir à l’Assemblée, M. Bartolone a répondu: « Vous imaginez toutes les idées qui peuvent lui passer par la tête », ajoutant, « je veux qu’il reste dans le rationnel ».   »Il y a les textes et il y a le contexte », a-t-il poursuivi. « Les textes prévoient que si Jérôme Cahuzac ne démissionne pas d’ici le 19 avril (un mois après sa démission du gouvernement, ndlr), il redevient automatiquement député. C’est la loi, c’est la dernière réforme constitutionnelle », a-t-il expliqué.   »Mais il y a le contexte et j’ai essayé de convaincre M. Cahuzac qu’il ne redevienne pas député. C’est mieux pour lui, c’est mieux pour l’Assemblée nationale », a poursuivi M. Bartolone.  Le chef de file des députés UMP, Christian Jacob, a espérer pour sa part qu’il restait « une parcelle d’autorité au Premier ministre » pour dissuader l’ex-ministre de reprendre son siège. « Je n’ose pas imaginer que Jérôme Cahuzac puisse revenir après avoir parjuré comme il l’a fait devant la représentation nationale », a-t-il déclaré à l’AFP.  Dans les couloirs du Palais-Bourbon, le député socialiste Thierry Mandon estimait de son côté qu’il serait « inimaginable politiquement, humainement et moralement » que M. Cahuzac revienne à l’Assemblée. Si cela devait arriver, a-t-il précisé, il ne serait pas admis au sein du groupe socialiste, d’autant plus que le premier secrétaire du PS, Harlem Désir, a assuré que Jérôme Cahuzac « s’était exclu de fait » du parti.  Le ministre écologiste du Développement Pascal Canfin (EELV) a estimé pour sa part sur BFMTV que son ex-collègue n’avait « rien à faire à l’Assemblée ».  Moins catégorique, la ministre déléguée aux Personnes âgées, Michèle Delaunay, a souligné que la décision de Jérôme Cahuzac de renoncer ou non à son siège relevait « de sa conscience », tout en estimant que « sa fierté suffira » à l’en dissuader. « Ce n’est pas à nous de lui prescrire, mais à lui de choisir. Le mettre sous pression est une erreur », a-t-elle déclaré à l’AFP.  Le porte-parole de l’UDI, Jean-Christophe Lagarde, jugeait pour sa part que « les Français ne comprendraient pas qu’il puisse à nouveau siéger », « alors qu’il ne peut plus représenter le peuple français ».

 

 




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