Archive pour le Tag 'sexe'

Climat COP 28: Le renouvelable, cache-sexe du pétrole

Climat COP 28: Le renouvelable, cache-sexe du pétrole

Compte tenu des grandes divergences qui caractérisent les pays en matière de recours aux énergies fossiles, il est peu vraisemblable que la nouvelle réunion mondiale sur le climat décide une date pour la fin notamment du pétrole. Plus vraisemblablement, on va se rabattre sur le cache-sexe de la politique énergétique pour théoriquement en tripler la puissance d’ici une dizaine d’années.

Le problème évidemment c’est que parallèlement le pétrole et les énergies fossiles en général conservent leur place dans la politique énergétique et continue de bénéficier de très gros investissements alors que les énergies renouvelables courent après leur rentabilité et leur financement.

Sans parler des questions relatives à leur fiabilité et à leur intermittence. Le président critiqué de la COP28, espère en faire un succès diplomatique grâce à l’obtention d’un accord sur le triplement des capacités mondiales des énergies renouvelables d’ici à 2030. Mais la vérité c’est que l’objectif n’est pas du tout certain d’être atteint tant que le pétrole constituera la source principale de l’énergie mondiale et que se développeront les investissements relatifs aux énergies fossiles.

Le triplement des capacités des énergies renouvelables correspond notamment aux recommandations de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), qui estime que cela permettrait d’éviter l’émission de 7 milliards de tonnes de CO2 d’ici à 2030.

Concrètement, « cela signifie que la planète doit installer environ 7.000 gigawatts (GW) de nouvelles capacités en sept ans », pointe le think tank britannique Ember, afin de passer de 3.600 GW de capacités à fin 2022 à 11.000 GW en 2030. Cela nécessite d’atteindre un rythme d’au moins 1.500 GW de capacités additionnelles annuelles à l’horizon 2030, contre 500 GW de nouvelles capacités installées en 2023, estime le think tank dans une note, soit un taux de croissance annuel de 17%.

Surtout, un accord sur les énergies renouvelables pourrait détourner l’attention d’un enjeu crucial pour endiguer le réchauffement climatique à 1,5°C : mettre fin aux nouveaux investissements dans les énergies fossiles, alors que 80% du mix énergétique mondial repose encore sur le charbon, le gaz et le pétrole. Un pourcentage qui n’a faibli que d’un seul point depuis 20 ans, malgré les investissements colossaux dans les champs solaires et éoliens. Et pour cause : les subventions aux énergies fossiles restent faramineuses. « En 2022, les fossiles ont bénéficié de 1.000 milliards de dollars de subventions, 85% de plus qu’en 2021 », déplore Rana Adib.

« On parle du triplement des capacités, mais pas de la place des énergies renouvelables dans le bouquet énergétique. Or, nous avons des pays comme la Chine, qui augmentent à la fois ses capacités en énergies renouvelables de manière unique au monde, avec une augmentation de 230 GW en 2023, mais qui continue aussi à délivrer des autorisations pour construire des centrales thermiques au charbon, avec 152 GW autorisés depuis 2022 », constate un expert.

le français TotalEnergies, et son patron Patrick Pouyanné ont ainsi largement soutenu l’objectif de triplement des énergies renouvelables d’ici à 2030, en invoquant « l’urgence (…) de construire un système décarboné ». Mais selon lui, l’arrêt des investissements dans les fossiles ne doit intervenir que bien plus tard.

Le grand changement : de sexe, de visage et de nom !

Changer de sexe, changer de visage  changer de nom : bientôt possible ! 

On se demandait parfois à quoi pouvait servir le Parlement la réponse vient avec certaines récentes propositions législatives : à pas grand-chose. La preuve, on envisage la possibilité de choisir son sexe en matière d’État civil. Aussi de changer de nom;  des mesures évidemment sans doute prioritaires par rapport aux faiblesses structurelles du pays ! Certes des changements  marginaux pouvaient intervenir dans ces domaines mais la généralisation ne s’imposait nullement. À moins de créer une pagaille énorme à terme dans le pays dans de nombreux domaines notamment pour identifier les individus.

À défaut de pouvoir faire évoluer collectivement la société vers davantage de progrès économiques et de démocratie, le Parlement offre la possibilité désormais de changer les individus !

Il y a longtemps qu’on peut changer de visage. Récemment, on a ouvert la possibilité de choisir son sexe. Maintenant on peut aussi changer son nom. Justement un domaine sensible puisque par exemple la question de la sécurité apparaît dominante après celle du pouvoir d’achat. Et c’est sur le terrain de la sécurité que les Français sont le plus mécontents de la politique de Macron. Les parlementaires seraient bien avisés de continuer dans la même ligne et de proposer aussi le changement de cerveau à commencer par eux-mêmes pour se rendre compte à quel point leurs propositions sont déconnectées des priorités de la société réelle de la grande majorité des Français.

Cette révolution à haute portée symbolique, contenue dans la proposition de loi du député de l’Hérault Patrick Vignal (LREM), est examinée mercredi à l’Assemblée nationale en première lecture. À la surprise générale, elle a reçu l’appui du garde des Sceaux peu avant Noël. Chaque Français devrait pouvoir «choisir son nom de famille une fois dans sa vie», a plaidé Éric Dupond-Moretti dans le magazine Elle. Et ce par une simple déclaration Cerfa à l’état civil de sa mairie. En parallèle, pour les mineurs, un autre article du texte prévoit que les enfants puissent porter, à titre d’usage, le nom de la mère ou l’adjoindre à celui du père. Un changement très contestée par l’opposition qui prévoit une pagaille infinie dans le domaine de l’État civil.

Changer de sexe, changer de nom : bientôt possible !

Changer de sexe, changer de nom : bientôt possible ! 

On se demandait parfois à quoi pouvait servir le Parlement la réponse vient avec certaines récentes propositions législatives : à pas grand-chose. La preuve, on envisage la possibilité de choisir son sexe en matière d’État civil. Aussi de changer de nom;  de mesures évidemment sans doute prioritaires par rapport aux faiblesses structurelles du pays ! Certes des changements  marginaux pouvaient intervenir dans ces domaines mais la généralisation ne s’imposait nullement. À moins de créer une pagaille énorme à terme dans le pays dans de nombreux domaines notamment pour identifier les individus.

Justement un domaine sensible puisque par exemple la question de la sécurité apparaît dominante après celle du pouvoir d’achat. Et c’est sur le terrain de la sécurité que les Français sont le plus mécontents de la politique de Macron. Les parlementaires seraient bien avisés de continuer dans la même ligne et de proposer aussi le changement de cerveau à commencer par eux-mêmes pour se rendre compte à quel point leurs propositions sont déconnectées des priorités de la société réelle de la grande majorité des Français.

Cette révolution à haute portée symbolique, contenue dans la proposition de loi du député de l’Hérault Patrick Vignal (LREM), est examinée mercredi à l’Assemblée nationale en première lecture. À la surprise générale, elle a reçu l’appui du garde des Sceaux peu avant Noël. Chaque Français devrait pouvoir «choisir son nom de famille une fois dans sa vie», a plaidé Éric Dupond-Moretti dans le magazine Elle. Et ce par une simple déclaration Cerfa à l’état civil de sa mairie. En parallèle, pour les mineurs, un autre article du texte prévoit que les enfants puissent porter, à titre d’usage, le nom de la mère ou l’adjoindre à celui du père. Un changement très contestée par l’opposition qui prévoit une pagaille infinie dans le domaine de l’État civil.

 

Le changement doit être inscrit dans la constitution ! ( Mélenchon)

Le changement doit être  inscrit  dans la constitution ! ( Mélenchon)

 

Mélenchon , en délicatesse avec les sondages les présidentielles puisqu’il n’atteint même pas la moitié du score réalisé en 2017 ,ne sait plus quoi inventer pour se distinguer.

Cette fois il rejoint les thèses du wokisme américain à propos des théories du genre et propose même d’inclure le changement de sexe dans la constitution.

La possibilité de changer de genre existe déjà en France. Mais «c’est toute une procédure», estime Jean-Luc Mélenchon, qui souhaite donc garantir «la liberté individuelle que cela représente» en ajoutant ce droit dans la Constitution, comme c’est déjà le cas en Argentine et en Uruguay.

«J’espère que je ne vous choque pas en vous disant cela. Je dis juste que si c’est votre intime conviction que vous êtes une femme ou un homme, vous avez le droit de l’affirmer contre la réalité des apparences et de votre corps», a plaidé le candidat LFI à la présidentielle, devant un parterre d’étudiants. Et d’ajouter : «La société, la seule chose qu’elle peut espérer, c’est que vous soyez bien dans votre peau, dans votre rôle, dans votre genre, celui que vous aurez décidé.»

Et même s’il «n’y a pas des centaines de milliers de gens (…) torturés par cette question», celle-ci est importante, estime Jean-Luc Mélenchon. «Ceux qui le sont, ils souffrent beaucoup. Une souffrance qui a une origine purement administrative et qu’on peut régler assez facilement», conclut-il.

 

Mélenchon veut introduire le changement de sexe dans la constitution !

Mélenchon veut introduire le changement de sexe dans la constitution !

 

Mélenchon , en délicatesse avec les sondages les présidentielles puisqu’il n’atteint même pas la moitié du score réalisé en 2017 ne sait plus quoi inventer pour se distinguer.

Cette fois il rejoint les thèses du wokisme américain à propos des théories du genre et propose même d’inclure le changement de sexe dans la constitution.

La possibilité de changer de genre existe déjà en France. Mais «c’est toute une procédure», estime Jean-Luc Mélenchon, qui souhaite donc garantir «la liberté individuelle que cela représente» en ajoutant ce droit dans la Constitution, comme c’est déjà le cas en Argentine et en Uruguay.

«J’espère que je ne vous choque pas en vous disant cela. Je dis juste que si c’est votre intime conviction que vous êtes une femme ou un homme, vous avez le droit de l’affirmer contre la réalité des apparences et de votre corps», a plaidé le candidat LFI à la présidentielle, devant un parterre d’étudiants. Et d’ajouter : «La société, la seule chose qu’elle peut espérer, c’est que vous soyez bien dans votre peau, dans votre rôle, dans votre genre, celui que vous aurez décidé.»

Et même s’il «n’y a pas des centaines de milliers de gens (…) torturés par cette question», celle-ci est importante, estime Jean-Luc Mélenchon. «Ceux qui le sont, ils souffrent beaucoup. Une souffrance qui a une origine purement administrative et qu’on peut régler assez facilement», conclut-il.

 

Ma grand-mère veut changer de sexe : que faire ?

Ma grand-mère veut changer de sexe : que faire ?

 

À partir d’aujourd’hui, ma grand-mère m’a demandé qu’on l’appelle Robert. Un choc évidemment quand j’ai reçu cette de déclaration lors de ma visite mensuelle dans la maison de retraite où elle réside. Ma grand-mère va bientôt fêter ses 85 ans, sa tête est encore bonne mais sa mobilité assez handicapée. Ce qui l’a conduit elle-même à décider de rejoindre ce pensionnat de vieux. Aujourd’hui , les maisons de retraite sont relativement modernes par rapport aux anciens hospices d’il y a 50 ou 60 ans. On accède facilement aux médias modernes, radio, télévision, Internet et Smartphone.

 

Du coup , le débat sur la trans_-identité a aussi franchi les murs de la maison de retraite. Normal car ils avaient déjà pénétré dans les maternelles puisque les cas seraient de plus en plus nombreux chez certains jeunes enfants qui veulent changer de sexe.

 Ma grand-mère connaît plus que moi sur le sujet, elle a essayé de me convaincre de la légitimité de la tran- identité. J’avoue être un peu désespéré pour me positionner sur un sujet qui d’après elle constituerait un véritable problème sociétal majeur en ce moment. Que faire ? Rien sans doute qui s’opposerait à la volonté de ma grand-mère d’autant qu’elle ne souhaite pas le moindre consensus familial. Elle m’a d’ailleurs indiqué que sa démarche était déjà bien engagée et qu’elle entendait recourir à une thérapie de conversion.

De toute évidence, il se passe quelque chose dans la société et la problématique de l’âgisme ne saurait être pris en compte dans cette nouvelle revendication sociétale et identitaire .

Le plus dur pour moi sera sans doute d’expliquer à  mon grand-père, resté lui à son domicile, la conversion sexuelle de son ex épouse. Heureusement nos responsables politiques avisés ont prévu les instruments juridiques pour gérer cette situation. Mon grand-père pourra toujours se pacser avec mon ex grand-mère devenu subitement grâce au mode sociétal de libération sexuelle mon deuxième grand-père.À moins évidemment que mon grand-père accepte lui aussi le transfert de genre pour devenir ma grand-mère mais j’avoue que j’imagine mal mon grand-père en talons hauts- haut taille 38- avec un chapeau à fleurs sur la tête.Mais il existe certainement aussi des conversions de genre pour passer des sabots aux talons aiguille.

BCE : une affaire de mecs !

BCE : une affaire de mecs !

Un total de 325 eurodéputés ont voté contre la nomination de M. Mersch, l’actuel gouverneur de la Banque centrale du Luxembourg, tandis que 300 ont voté en sa faveur et que 49 se sont abstenus. Plusieurs groupes, dont les Socialistes et les Libéraux, avaient appelé à donner un avis négatif, essentiellement pour protester contre le déséquilibre entre les sexes au sein de la BCE.  Si M. Mersch devenait membre du directoire, il n’y aurait plus aucune femme parmi les 23 membres du Conseil des gouverneurs de la BCE jusqu’à 2018, date prévue du prochain renouvellement.  M. Mersch, 63 ans, avait été choisi par les ministres européens des Finances pour succéder à l’Espagnol Jose Manuel Gonzales-Paramo.  Les représentants des 27 gouvernements de l’UE ont désormais le choix de prendre en compte le vote du Parlement ou de passer outre et de confirmer M. Mersch.  Le Parlement européen a précisé que sa décision n’était pas fondée sur les compétences du candidat, qui ne sont pas en cause, mais sur l’absence de choix. Le Parlement européen réclame depuis des mois au Conseil (qui représente les gouvernements) non pas un nom mais une liste de noms comprenant des femmes.   »Le Parlement européen est clair: nous voulons la diversité. Un directoire de la BCE uniquement composé d’hommes en 2012 et jusqu’en 2018 n’est pas acceptable », a expliqué l’eurodéputée libérale française Sylvie Goulard.   »Juridiquement parlant, le Conseil peut certes confirmer Yves Mersch, mais ce serait une énorme erreur politique et un mauvais signal », a-t-elle ajouté.   »Il nous faut davantage que des négociations boiteuses et des promesses insatisfaisantes si nous voulons obtenir la parité au sein de la BCE. Il s’agit d’une question qui touche de nombreuses institutions publiques, et pas seulement la BCE », a affirmé pour sa part la présidente de la commission des Affaires économiques du Parlement, la Britannique Sharon Bowles.

 




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