Archive pour le Tag 'seuls'

«Banque de la démocratie» : encore une usine à gaz pour les seuls politiques !

«Banque de la démocratie» : encore une  usine à gaz pour les seuls politiques  !

 

 

 

En apparence une bonne mesure pour faciliter le financement des partis et surtout dans une plus grande transparence. Reste que la création d’une banque spécifique pour les partis politiques peut susciter des interrogations. En effet la vie démocratique ne se réduit pas au fonctionnement des partis et nombre d’associations ou d’organisations justifieraient aussi d’un mode de financement spécifique d’autant que le dirigeant de ces associations et de ses organisations sont souvent des bénévoles qui souvent mettent eux-mêmes la main à la poche. On compte plus d’un million d’associations en France qui agissent  dans tous les champs : économiques, sociaux sportifs et plus généralement sociétaux. Ces associations emploient aussi près de 2 millions de personnes. Le besoin de financement de certaines de ces associations est sans doute autrement plus urgent que celui des partis politiques. Dans le cadre de la loi de moralisation de la vie publique, présentée ce mercredi en conseil des ministres, le garde des Sceaux a donc proposé la création d’une «banque de la démocratie», qui aurait pour mission de «financer la vie publique» et de permettre aux «formations politiques habilitées» d’exercer leur mission. La banque, adossée à la Caisse des dépôts et consignations, financerait donc le fonctionnement des partis et les campagnes électorales. L’objectif est de permettre «aux partis politiques de se soustraire aux intérêts particuliers, (…) de manière à ce que l’indépendance des formations politiques soit garantie». Pour l’instant, pas de précision technique, mais les montants des prêts consentis pourraient dépendre des sondages: si «les intentions de vote» en faveur d’un parti suffisent, «le prêt va de soi» a ainsi déclaré François Bayrou.  Les partis politiques se financent historiquement par les cotisations de leurs adhérents et des dons de personnes physiques, jusqu’à 7500 euros par an et par personne. Dans le cadre d’une campagne électorale, comme la présidentielle, un particulier peut verser en outre 4600 euros au candidat de son choix, mais les partis ont surtout recours à l’emprunt bancaire. Une fois l’élection terminée et en fonction du résultat des votes, l’État verse une somme d’argent et le parti peut donc rembourser sa banque.

La France va demander l’arrêt des conflits pendant un an et demi son seul porte-avions est en réparation !

La France va demander l’arrêt des conflits pendant un an et demi son seul porte-avions est en réparation !

 

 

Sans doute la France va-t-elle demander à l’ONU de se prononcer sur une motion pour l’arrêt des conflits pendant un an et demi. C’est-à-dire le temps nécessaire pour réparer son seul porte-avions  le d Charles-de-Gaulle. La situation est évidemment ubuesque. Ou bien la France renonce à tout porte-avion ou décide  d’en disposer d’ au moins deux. Une problématique posée un peu naïvement le ministre de la défense. «  Peut-être qu’il serait souhaitable d’avoir un deuxième porte-avions », soulignait en novembre le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian. « Peut-être que la question se posera quand on élaborera la loi de programmation militaire qui commencera en 2020. » Loin d’être nouvelle, l’idée d’un second porte-avions a émergé dès le début des années 2000. Face aux contraintes budgétaires, la France propose à la Grande-Bretagne de coopérer sur un projet qui prévoit la construction de trois porte-avions, dont un pour la Marine française. Un accord est signé en 2006 mais le programme est suspendu en 2008 avant d’être définitivement abandonné en 2013. Dans un rapport publié en 2014, la Cour des comptes épinglera un projet dans lequel « des sommes importantes » ont été engagées « alors que l’impasse de la coopération était très largement prévisible ». Depuis, le chantier est au point mort. Lors d’une conférence de presse consacrée aux questions de défense le 6 janvier, Benoît Hamon a estimé que la mise à l’arrêt du Charles-de-Gaulle posait la question. « S’il n’y a pas deux porte-avions, il n’y a pas de permanence à la mer », a dit le candidat socialiste. « La question qui nous sera posée c’est : est-ce qu’on fait deux porte-avions, l’un pour succéder au Charles-de-Gaulle et un autre à côté, ou est-ce qu’on en fait un seul mais avec le même problème qui se posera plus tard ? », a-t-il demandé. « Mais il est incontestable que vu le prix d’un deuxième PA, cette question doit être appréciée au regard des efforts que nous pouvons consentir sur le plan budgétaire. Je ne l’écarte pas mais je ne la retiens pas non plus ». François Fillon, candidat de la droite et du centre, s’est lui montré plus catégorique. « Le porte-avions, accompagné du groupe aéronaval, est un instrument de projection de forces et de puissance », soulignait l’ancien Premier ministre dans un entretien à Valeurs Actuelles en novembre dernier. « Cependant, il faut être lucide : nous n’avons pas les moyens d’en construire un deuxième », ajoutait-il. « Il nous faudra en revanche lancer dès le début des années 2020 les études pour construire le successeur du Charles-de-Gaulle, qui devra le remplacer à partir des années 2035. » La France ne peut toutefois pas faire pendant 18 mois sans porte-avions comme si elle en avait un, a souligné le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Christophe Prazuck, devant le Sénat, le 16 novembre dernier. « Aujourd’hui, on voit bien que les choses changent : les Chinois veulent construire quatre porte-avions, les Indiens veulent en construire trois, les Anglais sont en train d’en construire deux », a souligné l’amiral Prazuck. « Il existe donc un intérêt largement partagé pour cet outil ».

Désherbants- Pesticides : interdits aux seuls particuliers

Désherbants- Pesticides : interdits aux seuls particuliers

A partir du 1er janvier, la loi exige que les commerçants placent les pesticides et le désherbant glysophate  derrière un comptoir ou sous clé, accessibles avec un conseil personnalisé. Et en 2019 le glysophate sera interdit totalement aux particuliers. Mais  profitant sans doute de l’émoi suscité par le brexit  qui fait la Une de tous les médias la commission européenne a, elle,  décidé presque en douce de prolonger l’autorisation de commercialiser le glysophate. La Commission européenne va donc prolonger de 18 mois d’ici fin juin l’autorisation de vente du glyphosate, un herbicide présent notamment dans le Roundup de Monsanto et largement utilisé dans l’agriculture et le jardinage, a annoncé le commissaire européen à la Santé. L’autorisation actuelle de commercialiser dans l’UE ce produit controversé expirait le 30 juin. Sans cette prolongation, les industriels auraient eu six mois pour retirer cette substance de leurs produits. Les conclusions contradictoires des scientifiques sur le caractère cancérigène du glyphosate ont dressé l’industrie chimique et certains cultivateurs contre les écologistes et des associations de consommateurs. En raison des réticences de certains dirigeants européens, notamment français, la Commission européenne n’est pas parvenue à obtenir une prolongation de l’autorisation pour une durée de 15 ans et c’est pourquoi elle a ensuite privilégié une prolongation provisoire le temps d’obtenir de nouvelles études scientifiques. Dans le même temps la vente en libre service aux particuliers sera interdite en France à partir du premier janvier 2017 ! Ou l’écologie à la carte car les  produis évoqués sont utilisés à hauteur de 95% pour l’agriculture

Exil fiscal :seuls 86 cas sur les 3.000 de la liste Woerth inquiétés

Exil fiscal :seuls  86 cas sur les 3.000 de la liste Woerth inquiétés

C’était en août 2009. Le gouvernement d’alors, celui de François Fillon, possédait une liste d’exilés fiscaux, que le fisc s’était procurée par l’intermédiaire de l’ancien procureur de Nice, Eric de Montgolfier. Sur les 3.000 personnes, seuls 86 contribuables sont inquiétés par la justice, rapporte Challenges, qui donne le nom de ces exilés fiscaux présumés.  L’article en question évoque d’abord Arlette Ricci, petite fille de la couturière Nina Ricci. Elle a été mise en examen, selon Challenges : la justice avait réclamé 5 millions d’euros, ce qui correspondait à des impôts éludés. La caution a été annulée par la cour d’appel mais la justice procède à une vérification fiscale sur trois immeubles parisiens.  L’avocat Jean-Claude Guidicelli, qui défend Ziad Takieddine, subit, lui aussi, un contrôle fiscal. « Je subis un contrôle fiscal depuis trois ans, ils ont vu tout mon patrimoine, je ne possède rien à l’étranger », s’est-il défendu. Lucien Harfi, 67 ans, fondateur d’Asiatex, une PME textile de Villeurbanne (10 millions d’euros de chiffre d’affaires), a été mis en examen par le juge lyonnais Guy Sens. Ils se voit aujourd’hui réclamer 1,5 million d’euros par les impôts. « Je ne suis pas concerné, je suis résident suisse », se défend celui qui avait voulu racheter les magasins Tati en 2004, cité par Challenge. Simon Benharrous, 69 ans, créateur de la marque de vêtements pour enfants Du Pareil au Même, fait également l’objet d’une enquête préliminaire. Le conseiller financier et consultant en stratégie d’entreprise, aujourd’hui à la retraite, Hugues Ragaut a également des soucis à se faire. Il a été mis en examen en avril 2012. Selon lui, le listing a été falsifié. Alain Zaquin, ancien dirigeant de la filiale française d’EIM, un fonds d’investissement, basé à Nyon, en Suisse, créé par le millionnaire français Arpad Busson, fait également parti de cette liste : il est visé par une enquête préliminaire.  Pierre Achach, investisseur dans le secteur des matières premières en Afrique, est sous le coup d’une information judiciaire. Ce dernier travaille pour Surestream Petroleum, une compagnie pétrolière anglaise créée par l’ex-premier ministre et actuel président de l’assemblée nationale sénégalaise, Moustapha Niasse.Gilbert Benmoussa, à la tête de sociétés de location de biens immobiliers, a été mis en examen en avril 2012 pour fraude fiscale, escroquerie en bande organisée, abus de biens sociaux, faux et usage de faux. La justice l’accuse d’avoir ouvert quatre comptes HSBC en Suisse via une société au Panama et d’avoir émis des fausses factures entre ses entreprises. Et cela, afin de réduire ses bénéfices ainsi que ses impôts. David Lévy, spécialiste d’art moderne, possède deux galeries à Paris et à Bruxelles. Il est visé par une information judiciaire. Challenges cite aussi Georges Monchablon, qui expose, depuis 2009, des artistes chinois dans sa galerie parisienne.  Le Parisien a révélé en 2011 que Gilles Kaehlin, ex-directeur de la sécurité de Canal+, a été mis en examen pour abus de biens sociaux, blanchiment aggravé et fraude fiscale.

 

Automobile : pastilles vertes pour véhicules peu polluants seuls autorisés à circuler certains jours

 

Automobile : pastilles vertes pour véhicules peu polluants seuls autorisés à circuler certains jours

 

Le gouvernement envisage de relancer la pastille de couleur verte pour identifier les véhicules les moins polluants, selon Le Parisien. « Les villes ont besoin d’outils pour contrôler les véhicules et mieux les réguler, et grâce à la pastille elles pourront, en cas de pic de pollution et selon leurs besoins, instaurer plus facilement des limitations de circulation ou des régulations de vitesse », explique au journal une source au ministère des Transports. Le dispositif avait été lancé à l’été 1998 et la pastille était décernée aux véhicules électriques, au gaz, ainsi que les véhicules d’essence vendus après 1993 et les Diesel vendus après 1997. Ces voitures sur lesquelles étaient apposées une petite étiquette verte étaient alors autorisées à circuler lors des jours de forte pollution, un système qui s’ajoutait au dispositif de circulation alternée suivant le dernier chiffre, pair ou impair, de la plaque d’immatriculation. Le dispositif a toutefois été abandonné en 2003. L’association « 40 millions d’automobiliste » est aussitôt montée au créneau contre une « mesure discriminatoire ». « Si on souhaitait chasser des villes les foyers les plus modestes, on ne s’y prendrait pas mieux », déplore Daniel Quéro, président de l’association, dans un communiqué. « La pastille verte est une mesure discriminatoire qui renforce l’idée d’une exclusion sociale des plus modestes qui n’ont pas les moyens financiers de renouveler leur véhicule ». Pour l’association, « il serait préférable de mettre en place une politique d’incitation au renouvellement des véhicules par le biais d’une prime à l’achat d’une auto d’occasion plus récente et moins polluante. »




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