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Seulement 20 députes PS pour soutenir Valls !

Seulement 20 députes PS pour soutenir Valls !

Ils étaient une centaine de fondeurs les députés PS mais ils ne sont qu’une vingtaine pour soutenir officiellement le plan d’économies de Valls. Il n’ya pas beaucoup de députés qui ont voulu se mouiller pour défendre le plan de stabilité, la plupart sont d’ailleurs à peu près inconnus ;

Avant l’Hémicycle, le combat se passe en tribunes. Après « l’Appel des 100″ frondeurs paru dans le JDD, début avril, les parlementaires socialistes continuent de dialoguer et de faire monter les rapports de force. Jusqu’ici, ce sont surtout les mécontents qui se sont fait entendre. Mais avant le vote très attendu de mardi et redouté par l’exécutif sur le programme de stabilité, une vingtaine de députés s’engagent derrière l’exécutif. « Courage, avançons! Souveraineté, crédibilité, responsabilité : pourquoi nous soutenons le gouvernement », tel est le titre de cet appel initié par Philippe Doucet. Les signataires ne représentent pas le premier cercle de Manuel Valls et il y aura évidemment beaucoup plus de 20 députés pour voter le programme de stabilité mardi.

Liste des 20 députés signataires :

Philippe Doucet (Val d’Oise), Nathalie Appéré (Ille-et-Vilaine), Alexis Bachelay (Hauts-de-Seine), Luc Belot, (Maine-et-Loire), Yves Blein (Rhône), Alain Calmette (Cantal), Corinne Erhel (Côtes d’Armor), Hugues Fourage (Vendée), Michel Francaix (Oise), Yves Goasdoué (Orne), Estelle Grelier (Seine-Maritime), Frédérique Massat (Ariège), Patrick Mennucci (Bouches-du-Rhône), Nathalie Nieson (Drôme), Pascal Popelin (Seine-Saint-Denis), Dominique Raimbourg (Loire-Atlantique), Bernard Roman (Nord), Odile Saugues (Puy-de-Dôme), Pascal Terrasse (Ardèche) et Patrick Vignal (Herault).

 

43% seulement des personnes désinscrites de Pôle Emploi retrouvent un travail

43% seulement des personnes désinscrites de Pôle Emploi retrouvent un travail

. Seul 43% des personnes désinscrites de Pôle Emploi retrouvent un travail. Avant la crise, la proportion était largement supérieure à 50%. Depuis, elle ne fait que chuter et le pays fait face à une pénurie d’emploi. Actuellement, on dénombre 16 millions d’emplois marchands : un chiffre égal à celui de 2002. De son côté, la population active française a augmenté de 100 à 200 mille personnes par an. Conséquence : une progression du chômage se produit. Mais si moins de la moitié des chômeurs désinscrits retrouvent un emploi, que font donc les autres ? Au sein de l’Europe, il existe toujours une fracture entre le Nord et le Sud en matière économique. Le Nord va bien avec un taux de chômage faible à l’instar de celui de l’Allemagne. Le pourcentage de personnes qui travaille augmente au lieu de diminuer normalement en temps de crise. Avec une économie fortement mise à mal par la crise, le Sud a vu le nombre de chômeurs exploser. Inversement proportionnel, le pourcentage de personnes au travail diminue. Une économie au noir a vu le jour.

Économies de 50 milliards: vote seulement « consultatif » à l’Assemblée le 29 avril

Économies de 50 milliards: vote seulement « consultatif » à l’Assemblée le 29 avril

 

Un  vote seulement  consultatif de l’Assemblée nationale mardi 29 avril mais qui risque d’^ter cependant houleux.   »Le vote aura lieu le 29 avril » et non pas le 30 comme initialement prévu, a-t-on précisé dans l’entourage du Premier ministre.  Ce programme de stabilité, qui détaillera la stratégie budgétaire de la France pour les années 2015 à 2017 sera d’abord présenté en Conseil des ministres le 23 avril et le même jour à la commission des Finances de l’Assemblée par le ministre des Finances Michel Sapin et le secrétaire d’Etat au Budget Christian Eckert.  Il viendra donc ensuite en séance le 29 avril en vertu de l’article 50-1 de la Constitution, qui permet au gouvernement de faire une « déclaration » suivie d’un débat et éventuellement d’un vote.  Ce programme sera ensuite transmis à la Commission européenne qui devrait formuler environ un mois après des « recommandations » qui devront être théoriquement prises en compte par le gouvernement dans la construction du projet de loi de finances 2015.  Le plan d’économies présenté par Manuel Valls a été fortement critiqué par une partie du groupe socialiste qui s’oppose en particulier au gel jusqu’à octobre 2015 des prestations sociales (hors minimas sociaux).  L’Assemblée n’aura pas la possibilité d’amender ce texte et le vote sera purement consultatif.  Mais il sera regardé dans les faits comme un deuxième vote de confiance à l’égard du gouvernement, trois semaines après la déclaration de politique générale du Premier ministre où déjà onze députés PS s’étaient abstenus.

Tarif électricité : il y aura « seulement 5%»d’augmentation en Août (Ségolène)

Tarif électricité : il y aura « seulement 5%»d’augmentation en Août (Ségolène)

Le jeu de chat  et de la souris continue entre le gouvernement et le Conseil d’Etat concernant les tarifs d’électricité. Résumons : le gouvernement limite les hausses tarifaires, ensuite le Conseil d’Etat juge illégale cette limitation, enfin le gouvernement se plie à la décsion du Conseil d’Eat. Un petit jeu qui dure depuis un moment. ; Pour sortir de cette hypocrisie, il faudrait évidemment changer la loi qui définit la réglementation en matière de fixation des trafics réglementés d’EDF. La ministre de l’Écologie, Ségolène Royal, en tout cas  a promis mardi 15 avril qu’il n’y aurait « pas d’augmentation » des tarifs EDF d’ici au mois d’août malgré la décision du Conseil d’État contraignant le gouvernement à faire payer une facture d’électricité rétroactive à la plupart des foyers français. « Mon souci, c’est que cette parole du gouvernement soit respectée et que, lorsque les Français vont payer leur facture cette année, en 2014, il n’y ait pas de coût supplémentaire par rapport à ce qui avait été promis », a expliqué la ministre sur la radio RMC.  « Et donc je vais trouver une solution (…) de bon sens, concrète, conforme aux textes et aux règles pour qu’il n’y ait pas d’augmentation sur cette période entre aujourd’hui et le mois d’août ». La plus haute juridiction administrative, qui avait déjà pris plusieurs décisions similaires pour le gaz, a retoqué les tarifs réglementés d’électricité d’EDF pour les particuliers, pour la période allant de fin juillet 2012 à fin juillet 2013. En juillet 2012, le gouvernement de Jean-Marc Ayrault avait limité à 2% l’augmentation de ces tarifs, alors même que la Commission de régulation de l’énergie avait calculé qu’une hausse de 5,7% était nécessaire. La facture rétroactive moyenne devrait osciller entre 20 euros et 40 euros selon le critère retenu concernant la hausse nécessaire des tarifs pour les particuliers en 2012, hausse à laquelle s’oppose donc la ministre de l’Ecologie et de l’Energie.  »Ce que je veux comprendre c’est pourquoi il y a un tel écart entre les critères qui sont donnés pour fixer le prix de l’énergie et la volonté politique, qui, elle, doit l’emporter pour arrêter une politique énergétique », a-t-elle ainsi déclaré.  »La volonté politique doit l’emporter, sinon à quoi servent les ministres, à quoi sert un gouvernement ? » « C’est bien pour faire en sorte qu’il y ait du bon sens, de la justice, et de la protection des consommateurs à un moment où le pouvoir d’achat est en berne », a indiqué Royal, rappelant que 28 millions de Français sont concernés par ce rattrapage éventuel.  »Actuellement je suis en train de comprendre les mécanismes complexes de fixation du prix de l’énergie, ensuite nous en discuterons avec le ministre de l’Economie (…) et nous irons demander un arbitrage au Premier ministre parce que ce sont des sujets considérables », L’ancienne candidate socialiste à l’élection présidentielle de 2007 a confirmé par ailleurs que la hausse prévue en août de 5% des tarifs d’EDF pour les particuliers serait, elle, bien appliquée.

 

« Une Europe des idées, pas seulement des banques » (Renzi)

« Une Europe des idées, pas seulement des banques » (Renzi)

 Il a raison Renzi, Président du conseil italien)  l’Europe va dans le mur avec pour seule doctrine l’austérité, l’intérêt des banques et la concurrence anarchique. Le chef du gouvernement italien a officiellement lancé la campagne de sa formation politique, le Parti démocrate (centre gauche), pour les élections européennes du 25 mai. Matteo Renzi en a profité pour plaider en faveur d’une « Europe des idées, pas seulement des banques ». « L’Italie a contribué à créer l’Europe. Maintenant nous allons en Europe pour changer l’Europe », a ajouté le Premier ministre, l’un des plus jeunes d’Europe, en jeans, chemise blanche et veste décontractée. Il a répété son « non » à une politique européenne uniquement axée sur l’austérité. « Une Europe basée sur la rigueur et guidée par une vision étroite n’a pas d’avenir. » Une Europe basée sur la rigueur et guidée par une vision étroite n’a pas d’avenir. Matteo Renzi ; Il  a toutefois critiqué les formations contestataires qui font campagne contre l’Union européenne ou l’euro, en référence au Mouvement Cinq Etoiles de l’ex-humoriste Beppe Grillo ou à la Ligue du nord.  »Ceux qui disent qu’il faut sortir de l’euro et qu’on ira mieux, cherchent simplement à faire croire qu’il est impossible de réformer les institutions. En gros ils appellent à abandonner la partie », a-t-il estimé. Le président du Conseil des ministres a défendu avec

Sondage : Valls moins bien qu’Ayrault seulement à 41%

Sondage : Valls moins bien qu’Ayrault seulement à 41%

 

Pas de cadeau pour Valls qui part avec seulement 41% de confiance comme Premier Ministre. Les électeurs l’attende au tournant et vite. Un tournant qui pourrait apparaître aux européennes. Visiblement son gouvernement d’apparatchiks n’a pas convaincu. Le baromètre CSA pour « Les Echos » et Radio Classique a plutôt, pour lui, des allures de douche froide. Alors que le nouveau Premier ministre vient à peine de prendre ses fonctions, seuls 41% des Français disent lui faire « confiance » pour « affronter les principaux problèmes qui se posent au pays ». Ils sont plus nombreux, 47%, à ne pas lui faire confiance, tandis que 12% sont sans opinion. Ce sondage a été effectué mardi, au lendemain de sa nomination par François Hollande et le jour de sa prise de fonction, et mercredi, le jour de l’annonce du gouvernement. A 41%, Manuel Valls perd 4 points par rapport au mois précédent, mais il s’agissait alors de son « image » et non de sa cote de « confiance ». Il avait d’ailleurs perdu beaucoup de terrain au cours de ses quatre derniers mois au ministère de l’Intérieur. Mais 41%, c’est aussi moins que son prédécesseur, Jean-Marc Ayrault, lorsqu’il s’était installé à Matignon, au tout début du quinquennat : le premier chef de gouvernement de François Hollande avait démarré, il est vrai au lendemain d’une victoire électorale, avec 56% de confiance (contre 31% d’opinions négatives). Au moment de quitter son poste, il était en revanche tombé à 22%. A titre de comparaison, Jean-Pierre Raffarin avait commencé avec 54 % de confiance en 2002, Dominique de Villepin avec 36 % (à la toute fin du deuxième mandat de Jacques Chirac) en 2005 et François Fillon à 50 % en 2007. Pour l’heure, François Hollande ne profite pas dans l’opinion du remplacement de Jean-Marc Ayrault par Manuel Valls. Quelques jours après le vote sanction des élections municipales, la cote de confiance du chef de l’Etat reste stable à 25%. Les avis défavorables à son égard augmentent même de 1 point, à 72%.

 

Municipales, les vrais résultats: le PS à seulement 20%

Municipales, les vrais résultats: le PS à seulement 20%

 

Etonnant d’afficher la surprise face à la déroute du PS. En effet si on tient compte des votants potentiels (sans l’abstention), le PS représente environ 20%. Soit à peu prés le même pourcentage de soutien à Hollande dans les sondages de popularité. . Il n’y a donc aucune surprise. Et ce résultat se confirmera sans doute lors des européennes où là le FN pourrait arriver devant le PS. Le PS a commis une grave faute d’analyse en pensant que les considérations locales prendraient le pas sur les enjeux nationaux. En réalité ces élections locales ont été très largement politisées, ce qui a permis à nombre d’électeurs d’exprimer leur colère non pas tellement à l’égard de leurs maires mais vis à vis de la politique de Hollande. Hollande paye ses erreurs stratégiques, d’abord en ayant privilégié les réformes de sociétés sur les reformes sociales alors que le problème dominat c’est la croissance et l’emploi. Ensuite en n’ayant pas tenu ses promesses fiscales vis-à-vis des couches populaires et moyennes qu’il a assommées , enfin en étant complètement inexistant pour faire bouger l’Europe, une erreur qui lui coutera cher en mai lors des européennes. La question se pose évidemment maintenant de savoir si on peut encore diriger un pays avec 20% de soutien. Institutionnellement, oui mais sans soutien populaire, non. Sur la tendance ce n’est plus un remaniement du gouvernement qui sera à l’ordre du jour le moment venu mais une dissolution de l’assemblée. En l’état actuel de rapports de force Hollande ne peut plus reformer de manière significative. Prisonnier de ses contradictions et de son immobilisme Hollande aura du mal à finir son mandat.

Ecoutes Sarkozy : Hollande au courant seulement depuis le 4 mars 2014 ou 2013 ?

 

Ecoutes Sarkozy : Hollande au courant seulement depuis le 4 mars 2104 ou 2013 ?

 

Difficile à avaler cette couleuvre de l’Elysée qui affirme n’être au courant que depuis le 4 mars. Selon l’Élysée, le chef de l’État ignorait tout de l’instruction judiciaire à l’encontre de Nicolas Sarkozy jusqu’au 4 mars. Soit le jour où la police a perquisitionné le bureau de l’avocat général Gilbert Azibert dans les locaux de la Cour de cassation. L’institution est suffisamment importante pour que l’information soit remontée au cabinet de François Hollande. Ce n’est qu’à ce moment-là, affirme l’Élysée, que le président de la République a été mis au courant des motifs de cette perquisition et du contexte plus général dans lequel elle intervenait. On l’aurait alors informé de la teneur de l’enquête : les écoutes de Nicolas Sarkozy et les soupçons de trafic d’influence qui pèsent sur l’ancien président dans le cadre du dossier Bettencourt traité au niveau de la Cour de cassation. Si cela est vrai, cela voudrait donc dire que ni la ni la garde des Sceaux Christiane Taubira – officiellement informée le 26 février – ni le Premier ministre Jean-Marc Ayrault, lui aussi au courant, n’avaient jugé bon d’en parler, avant le 4 mars, au président Hollande. Ce qui semble très improbable (à moins qu’il y ait vraiment de gros gros problèmes de communication au sein du gouvernement). Mais que François Hollande ait pris connaissance de la mise sur écoute de son adversaire ne change pas grand chose : si les juges l’ont décidée, que peut-il faire ?

Japon: croissance seulement de 1,5% en 2013

Japon: croissance seulement de  1,5% en 2013

Pour 2013, la croissance a aussi été revue un peu moins vigoureuse, à 1,5% (contre 1,6%).  Même si c’est un tout petit peu mieux qu’en 2012 (1,4%) et si cela représente le meilleur résultat depuis 2010, cela constitue une déception pour l’équipe du Premier ministre de droite Shinzo Abe qui, dès son arrivée au pouvoir fin 2012, avait fait de la relance sa priorité.  Cette politique avait d’ailleurs été confortée par un début d’année en fanfare sur le plan macro-économique, ce qui avait attiré l’attention de responsables politiques de pays européens en pleine cure d’austérité.  Rapidement le gouvernement nippon avait mis le paquet pour relancer la machine, malade d’une déflation chronique depuis 15 ans. Il a engagé des dépenses budgétaires pour soutenir l’activité (l’équivalent de 70 milliards d’euros en 2013 puis 35 milliards supplémentaires début 2014) et poussé la Banque du Japon à assouplir sa politique monétaire, ce qui a fait plonger le yen, au bonheur des grandes entreprises exportatrices japonaises. Le Premier ministre a promis en outre des réformes structurelles pour doper le potentiel économique, la troisième « flèche » d’une stratégie popularisée sous le vocable d’ »Abenomics » via une stratégie de communication minutieuse.  Mais au quatrième trimestre 2013, la consommation des ménages et les investissements des entreprises n’ont progressé que modérément et les investissements publics ont moins contribué à la croissance, à mesure que s’épuisaient les fonds du premier plan de relance de M. Abe et avant les dépenses du deuxième.  L’activité de l’archipel a en outre été freinée par le lourd déficit de sa balance commerciale. « La faible croissance économique mondiale pèse sur les exportations, tandis que les importations grimpent du fait d’un surcroît de demande avant la hausse d’une taxe sur la consommation », a expliqué Marcel Thieliant, du centre de recherches Capital Economics.  Cette taxe, équivalente de la TVA française, va augmenter de 3 points au 1er avril, à 8%, ce qui incite des ménages à acheter des produits qu’ils auraient acquis sinon plus tard, afin de profiter jusqu’au bout du taux à 5%. Et comme les industriels japonais ont délocalisé une partie de leur production dernièrement, l’archipel doit importer davantage pour sa propre consommation.  Le Japon doit en outre importer massivement des hydrocarbures pour compenser l’arrêt de ses réacteurs nucléaires après l’accident de Fukushima, dont le troisième anniversaire sera célébré mardi avec celui du séisme et du tsunami dans le nord-est qui avaient ravagé le nord-est du pays (plus de 18.000 morts directs).  Le déséquilibre des comptes extérieurs nippons s’aggrave même en ce début d’année, avec un déficit courant record équivalent à 11 milliards d’euros en janvier, ont montré d’autres statistiques officielles lundi.  Pour les mois à venir, la principale inconnue réside dans la manière dont l’économie japonaise supportera la hausse de la pression fiscale, destinée à apaiser l’envolée de la colossale dette publique. Le surcroît de consommation attendu au premier trimestre risque d’être suivi d’un comportement plus prudent des ménages une fois la taxe augmentée début avril, d’autant que leur pouvoir d’achat subira le retour de l’inflation.  Le sort de la reprise pourrait dès lors résider dans la décision des entreprises d’accorder ou non les hausses de salaires réclamées par les syndicats, alors que près des trois-quarts des Japonais disaient ne pas ressentir les bienfaits des « Abenomics » d’après un récent sondage.

Sondage : 16% seulement optimistes pour le chômage

Sondage : 16% seulement optimistes pour le chômage

L’optimisme gagne à peine  de terrain. 50% des Français abordent l’année 2014 avec optimisme, selon le baromètre annuel Harris Interactive pour RTL. 48% sont pessimistes et 2% ne se prononcent pas. C’est l’inverse de l’an dernier, où 50% des Français voyaient l’avenir d’un mauvais œil et 49% étaient optimistes. Les Français sont en revanche moins positifs quand il s’agit de faire le bilan de l’année écoulée. Pour 51% d’entre eux, l’année 2013 a été globalement négative. C’est plus que pour l’année 2012, que seuls 46% des personnes interrogées avait qualifiée de négative. Les plus jeunes se réjouissent davantage que le reste de la population. 70% d’entre voient l’avenir de façon vraiment positive et 68% estiment que l’année 2013 a été très positive.  Les sujets jugés prioritaires pour les Français restent le chômage, 83% en font leur priorité, puis le pouvoir d’achat, jugé prioritaire pour 69% d’entre eux, et la croissance économique, priorité pour 69% des Français également.  Les domaines jugés prioritaires par les Français sont précisément ceux pour lesquels ils sont les moins optimistes. 16% des Français seulement sont optimistes pour le chômage, 14% le sont pour le pouvoir d’achat et 19% le sont pour la croissance économique.

Guéant : la chasse à l’homme pour seulement 10 000 euros par mois

Guéant : la chasse à l’homme pour seulement 10 000 euros par mois !

 

Il a raison Xavier Bertrand, c’es vraiment de la chasse à l’homme contre Guéant voire Sarkozy ; 10 000 euros par mois qui auraient été détourné par Guéant, ce n’est vraiment rien, si on compare par exemple aux détournements de fonds d’autres élus qui par exemple se font construire quasi gratuitement des villas en échange de complaisance vis-à-vis d’appels d’offre public ou qui cumulent en toute légalité les rémunérations de maire, d’élus national et les « remboursements de frais divers » (autour de 20 000 euros). Il est clair qu’un smicard qui par exemple met du fuel dans sa voiture au lieu du gasoil sera lui très vite condamné et lourdement, d’autant qu’il va toucher une augmentation de 12 euros mensuels  grâce aux largesses du (12 euros payés par les entreprises et non par le gouvernement). Selon qu’on est smicard ou haut fonctionnaire politisé la justice ne saurait être la même ! Ou alors c’est la « cohésion » de la société qui est en cause. Claude Guéant a donc été entendu mardi sous le régime de la garde à vue dans le cadre de l’enquête préliminaire sur des primes en liquide perçues alors qu’il était directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy au ministère de l’Intérieur, a-t-on appris de source judiciaire. Sa garde à vue a été levée dans la soirée, de même que celle de Michel Gaudin, qui était directeur général de la police nationale à l’époque et a été interrogé également à Nanterre (Hauts-de-Seine). Michel Gaudin dirige aujourd’hui le cabinet de Nicolas Sarkozy. Les responsables de l’UMP ont été relativement discrets sur cette enquête qui vise le premier cercle sarkosyste. L’ancien ministre UMP Xavier Bertrand a cependant déploré une « chasse à l’homme permanente » à l’encontre de l’ancien chef de l’Etat. « Cette chasse au Nicolas Sarkozy n’a pas cessé avec l’élection de François Hollande et ça ne sert à rien de l’entretenir », a-t-il dit sur BFM-TV. « On essaie d’abîmer judiciairement Nicolas Sarkozy », a renchéri Guillaume Peltier, vice-président de l’UMP. L’enquête a été ouverte en juin par le parquet de Paris après la découverte, lors d’une perquisition effectuée au domicile de Claude Guéant, de factures ayant donné lieu à des règlements en liquide pour quelque 20.000 euros. L’ancien secrétaire général de l’Elysée, qui a été aussi ministre de l’Intérieur, avait indiqué que les sommes provenaient de primes de 10.000 euros par mois payées en liquide entre 2002 et 2004 et prélevées dans les fonds destinés aux frais d’enquête et de surveillance de la police. L’enquête n’étant qu’à un stade préliminaire et aucun juge d’instruction n’ayant été nommé, Claude Guéant et Michel Gaudin ne risquent pas de mise en examen à l’issue de leur garde à vue, qui peut être prolongée mercredi.

 

Croissance : seulement 0.5% en 2014 (BFM Business)

Croissance : seulement 0.5% en 2014 (BFM Business)

 

L’observatoire de BFM business est plus pessimiste que Bercy, il prévoit seulement 0.5% de croissance au lieu de 0.9% en 2014. En cause, l’absence de rebond de l’investissement, une consommation poussive, un manque de compétitivité et un climat général ‘. Le gouvernement a présenté, mercredi 11 septembre, son budget 2014, appuyé sur une prévision de croissance de 0,9% l’an prochain. Ce n’est pas une prévision exagérément optimiste puisqu’elle suppose une croissance de 0,2% à 0,3% « seulement » au cours de chaque trimestre jusqu’à la fin de 2014. Un rythme sensiblement inférieur à celui enregistré lors des sorties de récession de 1975, 1980, 1992, 2009. Et pourtant, ce diagnostic nous paraît bien optimiste car il suppose que, même si la reprise est modeste, reprise il y ait. C’est le principal point de divergence entre Bercy et l’Observatoire de BFM Business. Oui la récession est bel et bien finie, mais non, les conditions d’une véritable reprise ne sont pas réunies. C’est ce qu’indique par exemple « social Ecorama », le baromètre élaboré par BFM business, Sas et Inbox, qui nous avait permis d’annoncer la fin de la récession dès le printemps: si l’on sent un certain soulagement du côté des ménages, les patrons restent très inquiets  Nos autres indicateurs exclusifs indiquent de leur côté qu’il y a bien une reprise dite « technique » provoquée par un arrêt du déstockage, voire une reconstitution des stocks des entreprises, mais qu’au-delà, la consommation continue de reculer et que l’investissement ne repart pas. Et pour la suite ? le premier paramètre à prendre en compte est notre capacité à rebondir. Or la France est victime de l’effet édredon : l’importance des filets sociaux empêche un véritable effondrement dans les périodes de récession, mais elle limite l’ampleur des rebonds. Nous redémarrerons donc moins vite que le reste de l’Europe. Le deuxième paramètre à intégrer est notre croissance potentielle : or compte tenu des savoir-faire détruits pendant la crise et du sous-investissement passé, celle-ci ne dépasse plus guère 0,5%. C’est un rythme qui nous paraît difficilement dépassable aujourd’hui. D’abord parce que l’ampleur du chômage, la hausse de la pression fiscale, la rigueur salariale et la préférence pour l’épargne limiteront à presque rien la contribution de la consommation à la croissance. L’investissement sera de son côté contraint par la fragilité de la situation financière des entreprises (leur rentabilité est la plus faible de toute l’Europe) alors que les capacités de production restent globalement sous utilisées. L’environnement international ne sera pas très porteur, avec des pays émergents moins en appétit d’un côté, et des concurrents d’Europe du Sud de plus en plus redoutables de l’autre. Et puis il y a la politique économique: son manque de lisibilité est un obstacle réel à la reprise, notamment pour les entreprises : on leur dit plus de hausse de la fiscalité, mais il y a la pénibilité, et puis quid de l’écotaxe, de la formation professionnelle, de l’assurance chômage ?  Enfin ce scénario est un scénario central qui comporte bien plus d’aléas à la baisse qu’à la hausse. Difficile, du côté des bonnes surprises, de tabler sur autre chose qu’une chute des matières premières ou de l’euro.  La liste des mauvaises surprises potentielles est bien plus longue : crise des pays émergents, conflit au Moyen orient, contrecoup du resserrement monétaire américain, regains de difficultés dans les pays du sud de la zone euro. Au final, c’est plus de consolidation que de reprise qu’il faudra parler en 2014.

 

Immobilier: seulement le début de la correction

Immobilier: seulement le début de la correction

Dans une étude publiée ce vendredi 26 juillet, Standard and Poor’s. estime que ce recul sera de 4% pour l’année 2013. Si la France affiche des indicateurs économiques en berne, son marché immobilier demeure « très cher et n’est qu’au début de sa phase de correction », analyse S&P. L’agence juge que « les primo-accédants aux revenus modestes souffriront le plus pour pénétrer le marché de l’immobilier résidentiel ». « La baisse des taux d’intérêt des prêts immobiliers, l’augmentation constante des prêts immobiliers concédés par les institutions financières françaises, et le déséquilibre entre l’offre et la demande de logement », expliquent ce maintien de prix élevés dans l’Hexagone.  La correction des prix enregistrée par l’Hexagone resterait toutefois contenue au regard de l’Espagne, où S&P estime que les prix vont diminuer de 8%, soit le double de la France. Les raisons de cette chute sont nombreuses: une économie en récession, un stock de logements invendus élevé (635.000 à fin 2012) ou encore un haut niveau de chômage à plus de 27%. Dans ce contexte, les fondamentaux du marché demeurent défavorables. Même si certains indicateurs, consommation des ménages, ventes au détail, laissent augurer une « stabilisation progressive dans les 12 mois à venir », explique l’agence.  Au Portugal, lui aussi en sévère récession, les prix ne devraient se contracter que de 3,5% en 2013, dans la mesure où ils avaient peu augmenté entre 1990 et le début de la crise financière mondiale, en 2007. Et ils devraient se stabiliser l’an prochain (-0,5%), estime S&P, tablant sur une amélioration de l’économie portugaise. La mauvaise conjoncture économique, la hausse du chômage et la perte de confiance des ménages devraient aussi entraîner un recul des prix aux Pays-Bas (-5,5%) et en Italie (-3%) en 2013. En Irlande, après une correction de l’ordre de 50% en six ans, le marché immobilier devrait voir ses prix se stabiliser (-0,9%) cette année et l’an prochain. A l’opposé, le marché immobilier allemand, sous évalué de 20% selon certains indicateurs, devrait continuer de croître de 3% en 2013, prédit S&P, qui prévoit aussi une hausse de 2,5% au Royaume-Uni et de 0,5% en Belgique.

 

BCE : pas d’argent pour les Etats seulement pour l’Euro … et les banques !

BCE : pas d’argent pour les Etats seulement pour l’Euro … et les banques !

 

Draghi de la BCE slalome, d’un coté il  réaffirme la nécessité du dispositif de rachat de titres, de l’autre il ménage l’Allemagne qui en conteste la légalité. Dans le même temps il dit qu’il ne sauvera pas un Etat « en général » mais il sauve les banques. Bref, une politique monétaire assez obscure. Le président de la Banque centrale européenne (BCE), Mario Draghi, a déclaré lundi que le programme d’achats de dette de l’institution ne serait jamais utilisé pour sauver un Etat de la faillite, mais uniquement pour sauver l’euro. Le dispositif d’ »opérations monétaires sur titres » (OMT) présenté par la BCE en septembre dernier n’a jamais été mis en œuvre mais sa seule existence a contribué à apaiser les tensions sur les marchés financiers ces derniers mois. Il continue toutefois de susciter un vif débat en Allemagne, où certains craignent de voir les contribuables obligés de financer le renflouement d’un Etat peu rigoureux. La Cour constitutionnelle allemande doit entamer mardi deux jours d’audience sur la conformité des OMT avec la loi fondamentale de la République fédérale, mais elle ne rendra pas sa décision avant les élections du 22 septembre. Des juristes estiment que la Cour pourrait, pour la première fois, renvoyer le dossier à la Cour européenne de justice. Dans un entretien que devait diffuser lundi la radio publique allemande ZDF, Mario Draghi a déclaré : « Nous n’interviendrons pas pour assurer la solvabilité d’un pays en général ». Rappelant que la BCE avait eu, ces dernières années, beaucoup moins recours à des achats de titres sur les marchés que d’autres grandes banques centrales, il a souligné que « le risque pour les contribuables allemands est aujourd’hui nettement plus faible qu’il y a un an ». Dans les extraits de l’entretien rendus publics avant la diffusion, Mario Draghi explique également que les taux d’intérêt de la BCE recommenceront à augmenter lorsque la confiance dans la reprise économique sera de retour.

 

Sondage : Hollande un bon président pour 22% seulement !

Sondage : Hollande un bon président pour 22% seulement !

 

Seuls 22% des Français estiment que François Hollande est un bon Président de la République, contre une majorité absolue, 51%, qui considèrent qu’il est un mauvais Président, 27% n’ayant pas souhaité se prononcer, selon un sondage CSA pour BFM-TV. Selon cette enquête, diffusée le jour d’une intervention télévisée du chef de l’Etat pour rassurer les Français, les cadres (63%), les personnes travaillant à leur compte (59%), et les retraités (55%), sont particulièrement sévères quant à sa capacité à remplir sa fonction. François Hollande est considéré comme un bon président de la République par 60% de ses électeurs de premier tour, proportion qui n’est que de 48% parmi ceux qui l’ont choisi au second tour, le 6 mai dernier. Ce sondage a été effectué les 26 et 27 mars auprès d’un échantillon national représentatif de 961 personnes âgées de 18 ans et plus. Selon un sondage LH2 pour Le Nouvel Observateur diffusé mercredi, moins d’un an après son élection à la présidence de la République, seuls 27% des Français sont satisfaits de François Hollande alors que 68% se déclarent déçus.

 

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