Archive pour le Tag 'sérieusement !'

Sauvagerie: Une ado de 13 ans sérieusement tabassée par quatre jeunes filles barbares à Lyon

Sauvagerie: Une ado de 13 ans sérieusement tabassée par quatre jeunes filles barbares à Lyon

Évidemment les médias prennent grand soin de s’en tenir au déni de réalité quant à l’identité, l’origine et la sociologie des quatre jeunes filles barbares qui ont sérieusement tabassé une fille de 13 ans en représailles des délits qu’elle avait dénoncés.
Ce phénomène de violence n’est pas nouveau mais il a tendance à se développer dans son ampleur et sa régularité. En outre il touche de plus en plus des ados et même de jeunes enfants.

De toute manière, ces faits sont jusqu’alors rangés dans la case des faits divers pour éviter de reconnaître qu’ il s’agit d’un phénomène général de barbarie et bien évidemment de mise en cause des règles, lois et usages en vigueur que la dans un pays moderne comme la France.

Les quatre mineures étaient en garde à vue depuis vendredi à Lyon après la diffusion d’une vidéo devenue virale, montrant une jeune fille qui se faisait rouer de coups.

Les quatre adolescentes suspectées d’avoir participé à l’agression d’une jeune fille dans le 9e arrondissement de Lyon ont été placées sous contrôle judiciaire ce samedi 16 décembre, a appris BFMTV auprès du parquet. Âgées de 14 à 16 ans, elles ne présentent pas d’antécédents judiciaires et sont poursuivies pour « violences aggravées ».

Elles ont été « placées sous contrôle judiciaire confié à la protection judiciaire de la jeunesse avec interdiction de tous contacts avec la victime et les autres mis en cause », a précisé le parquet de Lyon.

Une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux en date du 10 octobre 2023 montrait le passage à tabac d’une adolescente de 13 ans par quatre autres jeunes filles de son âge. L’agression avait valu à la victime une journée d’incapacité totale de travail.

Barbarie: Une ado de 13 ans sérieusement tabassée par quatre jeunes filles barbares à Lyon

Barbarie: Une ado de 13 ans sérieusement tabassée par quatre jeunes filles barbares à Lyon

Évidemment les médias prennent grand soin de s’en tenir au déni de réalité quant à l’identité, l’origine et la sociologie des quatre jeunes filles barbares qui ont sérieusement tabassé une fille de 13 ans en représailles des délits qu’elle avait dénoncés.
Ce phénomène de violence n’est pas nouveau mais il a tendance à se développer dans son ampleur et sa régularité. En outre il touche de plus en plus des ados et même de jeunes enfants.

De toute manière, ces faits sont jusqu’alors rangés dans la case des faits divers pour éviter de reconnaître qu’ il s’agit d’un phénomène général de barbarie et bien évidemment de mise en cause des règles, lois et usages en vigueur que la dans un pays moderne comme la France.

Les quatre mineures étaient en garde à vue depuis vendredi à Lyon après la diffusion d’une vidéo devenue virale, montrant une jeune fille qui se faisait rouer de coups.

Les quatre adolescentes suspectées d’avoir participé à l’agression d’une jeune fille dans le 9e arrondissement de Lyon ont été placées sous contrôle judiciaire ce samedi 16 décembre, a appris BFMTV auprès du parquet. Âgées de 14 à 16 ans, elles ne présentent pas d’antécédents judiciaires et sont poursuivies pour « violences aggravées ».

Elles ont été « placées sous contrôle judiciaire confié à la protection judiciaire de la jeunesse avec interdiction de tous contacts avec la victime et les autres mis en cause », a précisé le parquet de Lyon.

Une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux en date du 10 octobre 2023 montrait le passage à tabac d’une adolescente de 13 ans par quatre autres jeunes filles de son âge. L’agression avait valu à la victime une journée d’incapacité totale de travail.

Politique: L’ambassadeur de Chine à Paris a encore sérieusement dérapé !

Politique: L’ambassadeur de Chine à Paris a encore sérieusement dérapé !

Comme nous l’écrivions dans un précédent article, l’ambassadeur de Chine à Paris a sérieusement dérapé en contestant les frontières actuelles de l’ex URSS. Des provocations qui ont d’ailleurs amené Pékin à remettre les choses au point pour rappeler le principe du respect des frontières actuelles. Pire l’ambassade de Chine à Paris a été contrainte de publier un communiqué indiquant que les propos de l’ambassadeur étaient personnels et n’engageaient pas la Chine. Un désavœu sanglant !

Une nouvelle fois l’ambassadeur de Chine montrait sa complaisance vis à vis des crimes chinois en même temps que que sa provocation sur les grands thèmes politiques. Cet aussi cet individu qui au cours de la crise du qCovid avait déclaré que le personnel abandonnait les personnes âgées dans les EHPAD pour les laisser mourir! On croyait entendre les discours des communistes des années 1950 qui se caractérisait par la langue de bois, et le mensonge permanent. Parmi tous les ambassadeurs du monde, l’ambassadeur de la Chine en France figure sûrement en tête des contrevérités invraisemblables ( voir par exemple sa définition du communisme qu’il confond avec le nationalisme) et par un négationnisme provocateur voire criminel . Certes l’intéressé traduit d’une certaine manière la position de Pékin mais il en rajoute des tonnes sans doute pour attirer la bienveillance des plus hautes autorités sur lui. Tellement Surréaliste qu’on peut demander si l’intéressé ne tutoie pas par moments la démence. Son comportement agité légitime en tout cas l’interrogation.

L a France a affiché samedi soir sa « consternation » après des propos de l’ambassadeur de Chine en France, qui a nié la souveraineté des pays issus de l’Union soviétique et a questionné l’appartenance de la Crimée à l’Ukraine.

Interrogé vendredi soir sur la chaîne française LCI, Lu Shaye a estimé que les pays de l’ex-URSS « n’ont pas le statut effectif dans le droit international parce qu’il n’y a pas d’accord international pour concrétiser leur statut de pays souverain ».

Concernant la Crimée, un territoire ukrainien que la Russie occupe depuis 2014, il a déclaré : « Ca dépend de comment on perçoit ce problème. Il y a l’Histoire. La Crimée était tout au début à la Russie. C’est Khrouchtchev qui a offert la Crimée à l’Ukraine dans l’époque de l’Union soviétique. »

Le ministère français des Affaires étrangères a indiqué dans un communiqué avoir « pris connaissance avec consternation » de ces propos, demandant à la Chine « de dire (s’ils) reflètent sa position, ce que nous espérons ne pas être le cas ».

L’Ukraine a été reconnue internationalement « dans des frontières incluant la Crimée en 1991 par la totalité de la communauté internationale, Chine comprise, à la chute de l’URSS comme nouvel Etat-membre des Nations unies », a insisté Paris, rappelant que l’annexion de la Crimée par la Russie en 2014 est « illégale au regard du droit international ».

FedEx, Indicateurs d’évolution de l’économie, ralentit sérieusement

FedEx, Indicateurs d’évolution de l’économie, ralentit sérieusement

D’une façon générale, les transports constituent un indicateur avancé de l’économie très pertinent. Le transport véhicule en effet autant la production que la consommation. Or l’un des plus grands groupes de transports américains Fedex vient d’annoncer un énorme plan d’économies compte tenu de la baisse de la demande internationale.

De nouvelles mesures d’économie qui doivent lui permettre de compenser un ralentissement de son activité. Après avoir déjà dévoilé un plan de réduction de ses dépenses annuelles de 2,2 à 2,7 milliards de dollars, le groupe de Memphis (Tennessee) y a ajouté un milliard d’économies, selon un communiqué publié mardi. Il anticipe désormais une contraction de ses coûts de 3,7 milliards de dollars pour l’ensemble de son exercice décalé 2023, qui s’achèvera fin mai.

Très dépendants des échanges commerciaux et du dynamisme de l’économie, les résultats et prévisions des groupes de messagerie sont souvent considérés comme des indicateurs avancés de la conjoncture. Sur l’ensemble du deuxième trimestre de son exercice décalé, qui allait de septembre à novembre, l’entreprise a enregistré un chiffre d’affaires de 22,8 milliards de dollars, en baisse (-3%) et sensiblement inférieur aux attentes. En revanche, le bénéfice net est ressorti nettement au-dessus des prévisions des analystes, à 788 millions de dollars.

Mort de Khashoggi : le prince héritier saoudien sérieusement soupçonné

Mort de Khashoggi : le prince héritier saoudien sérieusement soupçonné

 

 

Dans les dictatures comme celle d’Arabie Saoudite (mais ceci vaut aussi dans de nombreux autres pays comme l’Iran, la Russie ou la Chine)  on ne s’embarrasse pas de formalités accessoires pour supprimer un ennemi politique. Il suffit de l’accuser tout simplement d’avoir la rage ou mieux qu’il a été détenteur d’une barrette de drogue. Dans les cas, les plus pressés on fait même l’impasse sur le motif d’inculpation et on liquide l’intéressé. Ce qui s’est passé pour l’opposant Jamal Khashoggi  Dans un rapport rédigé au terme de six mois d’enquête, la rapporteure spéciale des Nations unies, Agnès Callamard, indique que “M. Khashoggi a été la victime d’une exécution délibérée, préméditée, une exécution extrajudiciaire dont l’Etat d’Arabie saoudite est responsable au regard du droit international lié aux droits de l’homme”.La CIA et plusieurs pays occidentaux sont convaincus que le meurtre a été commandité par le prince héritier lui-même.L’équipe d’Agnès Callamard, qui s’est rendue à Istanbul cet hiver, s’est appuyée sur des documents fournis par les enquêteurs turcs et des informations obtenues dans le cadre des procès saoudiens.“Les enregistrements effectués par des agents des services de renseignement turcs et d’autres pays suggèrent qu’un sédatif a pu être injecté à M. Khashoggi et qu’il a été étouffé à l’aide d’un sac en plastique”, écrivent les auteurs du rapport.Recep Tayyip Erdogan, le président turc, a promis de son côté que les assassins de Khashoggi seraient punis et répondraient de leurs actes.

Grand débat national en Gironde, Macron sérieusement secoué

Grand débat national en Gironde, Macron sérieusement secoué

 

 Cette fois encore Macron a été sérieusement secoué par une participante à une réunion qui se tenait à Pessac. Pas vraiment étonnant dans la mesure où le grand débat national est transformé en meeting. Une véritable caricature de démocratie où les intervenants savamment triés sur le volet (mais il se glisse toujours quelque contestataire quand même) ne dispose que de quelques secondes pour exposer leurs points de vue alors que Macon s’étale pendant 10 minutes voire davantage sur les bienfaits de sa politique. Non pas comme un animateur de débat mais comment partisan et un représentant de commerce qui veut vendre sa camelote politique. Cette fois Macron a été fortement critiquée à propos de ses petites phrases méprisantes. Et pour se justifier Macon réécrit l’histoire à propos de sa phrase « traverser la rue » adressée à un chômeur comme solution pour trouver du travail. Macron ment effrontément en restituant le contexte de cette phrase.

Le président de la République a rectifié à sa façon le dit « contexte », déformé depuis selon lui par les nombreux commentaires que l’épisode a suscités. « Un jeune me dit, ‘venez, embauchez-moi, je fais de l’horticulture’. Je lui dis, ‘je n’embauche pas en horticulture, qu’est-ce que vous êtes prêt à faire?’ Il me dit, ‘je suis prêt à aller dans les cafés-restaurants’ », a relaté Emmanuel Macron. Et de réitérer que, d’après lui, beaucoup d’établissements de restauration à Paris sont toujours en demande de main d’œuvre. Le problème c’est que l’intéressé n’a jamais déclaré qu’il était prêt à aller travailler dans les cafés restaurants. Le locataire de l’Élysée a vainement précisé que, face au jeune à qui il s’adressait en septembre 2018, il ne parlait pas au nom de « toutes les rues de France et de Navarre ». « Je connais suffisamment mon pays pour que ce ne soit pas le cas », s’est-il amusé !

Wauquiez sérieusement sermonné par Sarkozy.

Wauquiez sérieusement sermonné par Sarkozy.

Avec Sarkozy la conversation a été vive convient Wauquiez qui en fait a été très sérieusement sermonné par Sarkozy qui lui reproche surtout de diviser au lieu de rassembler. Une conversation très trash car dans ce domaine Sarkozy ne craint personne.  Selon le Canard enchaîné, l’ex-patron des Républicains aurait même «pulvérisé» Laurent Wauquiez. Selon l’hebdomadaire, Nicolas Sarkozy aurait déclaré: «Beaucoup de monde me disait que tu n’étais qu’une grosse merde. Aujourd’hui je n’ai d’autre choix que de penser comme eux». «Le Canard n’est pas le canal officiel d’expression de Nicolas Sarkozy», a aussitôt réagi son entourage même si les sarkozystes reconnaissent que «la plaie pourrait laisser quelques traces». Laurent Wauquiez lui-même admet que la conversation n’a pas été très facile au téléphone avec l’ancien président. «Il était mécontent et je le comprends», confie le président des Républicains au Figaro. «Mais ceux qui connaissent Nicolas Sarkozy savent bien que ce n’est pas sa façon de s’exprimer». Une drôle d’excuse en vérité car sur l’affaire des téléphones des ministres que Sarkozy était accusé d’écouter il a indique sur BFM : «C’était une rumeur. Je n’ai jamais sérieusement pensé que des ministres étaient écoutés. Ce passage, c’est le seul que je regrette vraiment. J’ai présenté mes excuses à Nicolas Sarkozy. Je ne l’ai pas fait seulement sur le plan politique mais au-delà, car j’ai une profonde estime pour la personne. Cela montre aussi que quand je fais des erreurs, je suis capable de les reconnaître», a répondu le président des Républicains à Ruth Elkrief. Une bien piètre explication !  Il fallait au moins ça après la conversation très vive au téléphone entre les deux hommes. «Nicolas Sarkozy a été vraiment blessé», raconte un sarkozyste. «La conversation a été très vive». L’ex-chef de l’État s’est montré déçu des accusations de Laurent Wauquiez, qu’il avait soutenu dans la course à la présidence du parti. «Ce n’était pas comme ça qu’il fallait faire», a-t-il regretté, rappelant la nécessité de rassembler.

 

 

Brexit : les discussions coincent sérieusement

Brexit : les discussions coincent sérieusement

 

Les discussions relatives à la négociation du brexit  coincent toujours pour les mêmes raisons notamment à propos de la méthode. L’union économique et notamment le commissaire européen, Michel Barnier, chargé de la discussion, souhaitent  que préalablement à de nouvelles négociations sur les relations commerciales entre les deux parties intéressées, le Royaume Uni règle la facture qu’il doit. Ce que refusent les Britanniques qui veulent négocier les conditions de leur accès de leurs biens et services aux marchés européens et ne régler leur facture qu’en fonction de cette discussion. Il existe aussi   »une divergence fondamentale » dans le dossier du sort des ressortissants européens installés au Royaume-Uni, « sur la manière de garantir (leurs) droits », en particulier envers les membres de la famille et sur les bénéfices sociaux. Point principal de divergence l’UE attend toujours la publication de la position britannique sur le règlement financier.  Ce « solde des comptes » est exigé par Bruxelles en lien avec les engagements pris par le Royaume-Uni en tant que pays membre. « Une sortie ordonnée exige de solder les comptes », a de nouveau martelé Michel Barnier en salle de presse. « Aussitôt que le Royaume-Uni sera prêt à préciser la nature de ses engagements nous serons prêts à discuter avec les négociateurs britanniques« , a-t-il ajouté.

Sondage : Fillon décroche sérieusement face à Macron

Sondage : Fillon décroche sérieusement face à Macron

 

 

Un nouveau sondage montre que Fillon décroche sérieusement face à Macon avec un écart de 6 à 7 points. Le Pen et Macron sont désormais dans un mouchoir de poche, autour de 26 %, tandis que Fillon se situe entre 17 et 19 % selon les sondages. François Fillon accuse un retard de six points et demi sur Emmanuel Macron dans les intentions de vote pour le premier tour de la présidentielle, l’ancien ministre de l’Economie talonnant dorénavant Marine Le Pen, selon le sondage « rolling » Ifop-Fiducial pour Paris Match, CNEWS et Sud Radio publié lundi. Emmanuel Macron est désormais crédité de 25,5% (+1 point) des voix, soit son meilleur score dans cette enquête quotidienne, la présidente du Front national Marine Le Pen perdant un demi-point à 26,5%. Derrière, François Fillon perd un point, à 19% des intentions de vote. Suivent le candidat socialiste Benoît Hamon (-0,5 point à 13,5%) et le chef de file de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon (+0,5 point à 11,5%). Au second tour, Emmanuel Macron battrait Marine Le Pen avec 61% des voix. L’enquête a été menée auprès d’un échantillon de 1.381 personnes inscrites sur les listes électorales, extrait d’un échantillon de 1 500 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, interrogées en ligne du 2 au 6 mars.

 

 

Un nouveau sondage montre que Fillon décroche sérieusement face à Macon avec un écart de 6 à 7 points. Le Pen et Macron sont désormais dans un mouchoir de poche, autour de 26 %, tandis que Fillon se situe entre 17 et 19 % selon les sondages. François Fillon accuse un retard de six points et demi sur Emmanuel Macron dans les intentions de vote pour le premier tour de la présidentielle, l’ancien ministre de l’Economie talonnant dorénavant Marine Le Pen, selon le sondage « rolling » Ifop-Fiducial pour Paris Match, CNEWS et Sud Radio publié lundi. Emmanuel Macron est désormais crédité de 25,5% (+1 point) des voix, soit son meilleur score dans cette enquête quotidienne, la présidente du Front national Marine Le Pen perdant un demi-point à 26,5%. Derrière, François Fillon perd un point, à 19% des intentions de vote. Suivent le candidat socialiste Benoît Hamon (-0,5 point à 13,5%) et le chef de file de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon (+0,5 point à 11,5%). Au second tour, Emmanuel Macron battrait Marine Le Pen avec 61% des voix. L’enquête a été menée auprès d’un échantillon de 1.381 personnes inscrites sur les listes électorales, extrait d’un échantillon de 1 500 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, interrogées en ligne du 2 au 6 mars.

Loi travail : la mobilisation des jeunes se tasse sérieusement

Loi travail : la mobilisation des jeunes se tasse sérieusement

 

 

Lors  de la dernière manifestation du 31 mars la mobilisation n’avait déjà pas été exceptionnelle (autour de 600 000 personnes en France) mais cette fois le rassemblement des jeunes de mardi a révélé un être tassement des manifestations avec une participation qui n’a passé à dépasser 50 000 personnes. La faiblesse de la mobilisation a parfois été compensée par quelques actes  de violence heureusement sans conséquences graves.  plusieurs facteurs explicatifs face au tassement de la mobilisation. D’abord peut-être l’évidente  instrumentalisation du mouvement par l’extrême gauche qui brouille l’objectif de la protestation. Certes une majorité de Français à hauteur d’environ 60 % souhaite le retrait du texte mais la proposition de référendum en entreprise et l’adaptation du temps de travail en fonction de plans de charges des entreprises sont, elles, largement approuvées. En outre le gouvernement à rééquilibré les garanties accordées d’une part au patron d’autre part aux salariés,  désarmant ainsi une partie de la contestation.  Plusieurs milliers de jeunes ont cependant une nouvelle fois manifesté mardi à travers la France mais la mobilisation est en net recul contre le projet de loi Travail, dont l’examen a débuté en commission à l’Assemblée nationale. Après les rassemblements du 31 mars, qui ont réuni entre 390.000 et 1,2 million de personnes, étudiants et lycéens entendaient maintenir la pression avant une nouvelle journée avec les salariés le 9 avril, qu’ils espèrent plus fournie. Seuls 23.800 manifestants ont été dénombrés mardi par le ministère de l’Intérieur pour toute la France, y compris Paris. A Paris, entre 3.200 et 3.400 personnes, selon la police, ont défilé alors que les autorités en avaient dénombré 26.000 à 28.000 le 31 mars. Toutefois, une partie des jeunes mobilisés veulent s’affranchir de la tutelle des syndicats et des mouvements de jeunes des partis politiques pour lancer une démarche citoyenne à l’image du mouvement des indignés en Espagne en 2011. Des centaines de personnes, au nom du mouvement « Nuit Debout », ont occupé dans la nuit de lundi à mardi la place de la République à Paris pour la cinquième fois consécutive avec l’intention d’élargir les revendications et de créer un « sursaut citoyen ». Après la capitale, « Nuit Debout » devait s’étendre mardi soir à une vingtaine de villes de province, notamment Toulouse, Strasbourg, Rennes et Lyon.

(Avec Reuters)

Schengen : sérieusement remis en cause

Schengen : sérieusement remis en cause

L e moins que l’on puisse dire c’est que l’accord de Schengen qui autorise la libre circulation des personnes à l’intérieur de l’Europe se trouve largement remis en cause par les décisions de contrôle des frontières prises par certains pays. On se souvient évidemment que la Hongrie a barricadé ses frontières pour empêcher toute migration. Plus récemment c’est  le Danemark qui a décidé de mesures de restriction de l’entrée des migrants en provenance d’Allemagne. À cela s’ajoute maintenant des conditions plus restrictives décidées par la Suède, pourtant l’un des pays les plus accueillants d’Europe. Il sera maintenant difficile d’empêcher d’autres pays de prendre des mesures similaires d’autant que l’accord de Schengen les autorise  en cas de situation exceptionnelle. La France elle-même a évoqué cette disposition. Les principes de Schengen et de libre circulation au sein de l’Union européenne sont « en danger », a donc  estimé lundi 4 janvier un représentant du gouvernement allemand, après la décision notamment du Danemark de contrôler sa frontière avec l’Allemagne.  »La libre circulation est un bien précieux », a déclaré le porte-parole du ministre des Affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier, Martin Schäfer, « Schengen est très important mais est en danger ». Il était interrogé sur la décision annoncée juste auparavant du Danemark d’instaurer des contrôles à la frontière avec l’Allemagne, le jour même de l’entrée en vigueur de mesures restrictives d’entrée de migrants en Suède.  »Quoi qu’il arrive en Europe, c’est toujours mieux si cela se passe de manière concertée », a ajouté M. Schäfer. « Il est important d’agir ensemble afin de faire en sorte que Schengen fonctionne et que nous puissions maintenir pleinement le principe de libre circulation », a-t-il plaidé. « La solution » au problème des réfugiés qui affluent vers l’Europe « ne pourra pas être trouvée à la frontière d’un pays A et d’un pays B », a renchéri le porte-parole de la chancelière Angela Merkel, Steffen Seibert, appelant lui aussi à « une solution européenne commune ». Néanmoins la décision du Danemark, tout comme les nouvelles dispositions suédoises, sont conformes aux accords de Schengen, qui permettent de rétablir des contrôles aux frontières en cas exceptionnel, a rappelé un porte-parole du ministère de l’Intérieur lors de ce point de presse régulier du gouvernement allemand. L’Allemagne elle-même a réinstallé des contrôles à sa frontière avec l’Autriche en septembre face aux flux de réfugiés en direction du Nord de l’Europe depuis la Turquie et via la route des Balkans. Entre 100 et 300 candidats à l’asile quittent l’Allemagne chaque jour pour se rendre au Danemark, selon le ministère de l’Intérieur.

« On a fait sérieusement mal à Daech »(Pierre de Villiers)

« On a fait sérieusement mal à Daech »(Pierre de Villiers)

Plusieurs sources semblent confirmer que les dernières frappes françaises ont durement touché l’état islamique dans la zone de RAKKA. Ont été en particulier& des cibles ou se concentrer des pianistes étrangers notamment français ainsi que certains centres de commandement. Dès leur on comprend mieux la violence des nouvelles menaces adressées à la France qui promet un concept en au pays. Une réaction de bête blessée Ce que confirme Le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées françaises dans une interview au JDD.

L’arrivée ce week-end du porte-avions Charles-de-Gaulle au large de la Syrie peut-elle changer la donne dans la guerre contre Daech?
C’est pour moi, en tant que chef d’état-major, une plus-value opérationnelle majeure. D’abord parce que le porte-avions va nous permettre de tripler notre capacité de frappe, avec 38 avions en tout. Ensuite parce que le groupe aéronaval dans son ensemble est une plate-forme inestimable pour nous donner une capacité supplémentaire de renseignement. Enfin, parce que le Charles-de-Gaulle nous conforte dans la coalition dans la mesure où il part aussi pour relever un porte-avions américain dans le Golfe. Cette interopérabilité avec les Américains est cruciale.

Plus de capacité, donc, mais pas de changement de stratégie militaire?
Non, la mission continue. Nos sorties aériennes visent à affaiblir Daech et à relayer des offensives au sol par des troupes locales. Entre dimanche et mardi, nous avons largué une soixantaine de bombes, soit l’équivalent de cinq semaines de frappes dans le cadre de l’opération Chammal. Nos six objectifs étaient des camps d’entraînement ou des centres de commandement. Je pense très franchement que nous leur avons fait sérieusement mal.

Vous le pensez ou vous le savez?
On leur a fait sérieusement mal. Ça se voit au travers nos capacités de renseignement d’origine image, et on peut aussi s’en rendre compte par d’autres moyens de renseignement.

Le président de la République a évoqué devant le Congrès lundi un « pacte de sécurité » qui passe avant « le pacte de stabilité ». Aurez-vous les moyens de mener cette guerre?
Notre costume est taillé au plus juste. Nous faisons face à des menaces et à un ennemi qui s’appelle Daech. Cela me donne une mission, et pour l’exécuter il me faut des moyens. Avec le ministre de la Défense, nous les avons obtenus, et le Président vient même d’annuler la déflation des effectifs jusqu’en 2019. Cette menace a augmenté. Aujourd’hui, 34.000 soldats sont déployés sur le territoire national comme sur les théâtres d’opérations extérieures. On n’a jamais connu cela depuis la fin de la guerre d’Algérie. Tout cela milite pour une réévaluation permanente des moyens en fonction des menaces et des missions. Pour gagner la guerre, il ne faut pas qu’il y ait de grain de sable. Je suis donc vigilant.

Allemagne : le moral des entreprises se tasse sérieusement

Allemagne : le moral  des  entreprises se tasse sérieusement

 

Le baromètre Ifo s’est établi à 103,2 points en octobre, son plus bas niveau depuis 2012, après 104,7 points en septembre et 106,3 points en août, a annoncé lundi l’institut du même nom.  Ce sont à la fois les attentes à six mois des entrepreneurs et leur estimation de la situation actuelle qui ont cédé du terrain par rapport à septembre, passant respectivement de 99,3 à 98,3 points et de 110,4 à 108,4 points. Dans l’industrie, pilier de l’économie allemande, « l’estimation de la situation actuelle recule nettement pour se situer tout juste au-dessus de la moyenne de long terme », relève l’institut Ifo dans un communiqué. « Les espoirs d’une stabilisation graduelle de la confiance ont été déçus », constate dans une note Thilo Heidrich, analyste de Postbank. Comme d’autres pays, la Chine ou encore le Japon, l’Allemagne enregistre une baisse de sa production industrielle en octobre. C’est évidemment le signe de l’affaiblissement de la croissance mondiale. Cela n’empêchera pas l’Allemagne de connaître en 2015 un records d’excédent commercial mais du essentiellement à la baisse du prix des matières premières. La production industrielle est donc, contre toute attente, retombée en juin, après une petite hausse le mois précédent, selon des chiffres provisoires corrigés des variations.

 

Promesse électorales : La Grèce met sérieusement de l’eau dans l’ouzo

Promesse électorales : La Grèce met sérieusement de l’eau dans l’ouzo

Pour trouver un nouvel accord de financement avec l’Europe , il faudra que la Grèce mette beaucoup d’eau dans l’ouzo et le ministre grec des Finances, Yanis Varoufakis l’ a reconnu, lors d’une réunion vendredi entre dirigeants économiques et financiers à Cernobbio (nord de l’Italie). « Nous sommes prêts à renvoyer à plus tard l’application de certains engagement électoraux si cela s’avère nécessaire à donner la confiance à nos partenaires », a-t-il ajouté dans un entretien accordé au quotidien italien Corriere della Sera publié ce samedi 14 mars. Sauf nouvel accord sur la restructuration de la dette, la Grèce se en effet dans l’incapacité de rembourser. Deux solutions, soit le défaut ( et la sortie de l’euro), soit un accord mais en échange de l’abandon de certaines promesses électorales. Le ministre grec n’a cependant pas précisé quelles pourraient être ces promesses électorales. « Nous avons un programme qui a une durée de quatre ans », a-t-il juste précisé. « Nous voulons rembourser notre dette jusqu’au bout. Mais nous demandons à nos partenaires de nous aider pour relancer la croissance en Grèce. Plus rapide sera la stabilisation de notre économie, plus rapide sera le rythme de notre remboursement ». Yanis Varoufakis a expliqué que son idée était de « convertir la dette en des obligations indexées sur le taux de croissance. Plus la Grèce se redresse plus elle se trouve en condition de rembourser les prêts ».  Le ministre a demandé « l’évolution » de l’approche européenne envers le problème grec, affirmant que le débat ne porte pas « sur des règles divines mais sur des contraintes qui n’existaient pas avant 2010″ pour l’économie grecque. Il a cependant exclu catégoriquement la recherche d’une solution en-dehors du périmètre européen. « Il n’y a pas de solution alternative, nous ne demanderons pas l’aide à l’extérieur. Nous cultivons de bons rapports avec la Russie, la Chine et d’autres pays. Mais notre problème est un problème européen que nous résoudrons à l’intérieur de notre famille européenne », a-t-il déclaré. Le ministre a également exclu un éventuel « accident » concernant un défaut de paiement de la dette grecque : « Nous avons réalisé toutes les provisions nécessaires pour nous assurer qu’il n’y aura pas d’accident ». Un « Grexident » – nouvel acronyme désignant une sortie par accident et désordonnée de la zone euro – n’est « pas à exclure », avait lancé vendredi le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble. « Dans la mesure où la Grèce seule a la responsabilité, la possibilité de décider ce qui se passe, et comme nous ne savons pas exactement ce que les responsables grecs font, nous ne pouvons pas l’exclure », a expliqué le ministre allemand, qui mène le camp des durs face à Athènes. Un accord a été trouvé fin février entre la Grèce et ses créanciers (UE, BCE et FMI) pour prolonger jusqu’à fin juin son programme de financement en échange de réformes. Pour obtenir le versement de la tranche de 7 milliards d’euros suspendue depuis des mois, le gouvernement doit détailler et faire valider toute une série de réformes d’ici fin avril. Mais le processus a pris un retard considérable malgré les besoins financiers pressants du pays, qui doit rembourser plusieurs milliards d’euros au printemps. La Grèce a réussi vendredi à rembourser 336 millions d’euros au FMI, une semaine après le remboursement d’une précédente tranche de 298 millions d’euros, mais elle doit encore près de 900 millions à l’institution de Washington d’ici la fin du mois

 

Medef: Lanxade veut vérifier les connaissances des ministres ; certains vont devoir réviser sérieusement !

Medef: Lanxade veut vérifier les connaissances des ministres ; certains vont devoir réviser sérieusement !  

L’outsider Thibault Lanxade n’est pas seulement candidat à la présidence du Medef, il est aussi révolutionnaire, il veut des ministres compétents ! Du moins ceux rattachés au ministère de l’Economie et des Finances. Dans un communiqué publié ce jeudi 9 mai, le patron d’Aqoba, PME spécialisée dans les cartes de paiement, réclame un « droit de veto pour les organisations patronales et syndicales sur les nominations des ministres économie et social ». « La valse des ministres va débuter », croit-il savoir, « nonobstant la tentative du gouvernement de nous faire croire [que le remaniement] n’est pas le sujet du moment », « personne n’est dupe » assure monsieur Lanxade.  Fort de ses certitudes, il demande que « les postulants soient dans l’obligation de réaliser une audition devant le Conseil économique social et environnemental », conseil au sein duquel siègent les représentants des organisations patronales et syndicales. Ces derniers auraient pour mission de « valider leurs connaissances », explique le patron d’Aqoba. Et si elles étaient jugées insuffisantes, le patronat et les syndicats disposeraient d’un « droit de veto » pour rejeter leur candidature. Un tel casting est nécessaire, selon lui, pour « arrêter de nommer des porte-parole » à Bercy, mais plutôt des personnes « non seulement engagées, mais surtout compétentes ». Thibault Lanxade indique que 11 ministres s’y sont succédé depuis 1997, soit un tous les 14 mois, « une rotation importante »

 




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