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Afrique: ces pays qui n’en finissent pas de s’enfoncer

Afrique: ces pays qui n’en finissent pas de s’enfoncer

Sans être superstitieux, on peut se demander si une malédiction n’affecte pas ce superbe continent qu’est l’Afrique. Pourtant en moyenne tout est réuni pour une vie harmonieuse : les ressources, le climat, la jeunesse de la population. Certes, il s’agit d’une moyenne car des Etats sont plus avantagés que d’autres, plus développées que d’autres. Les avis d’experts ne manquent pas sur les facteurs explicatifs relatifs à l’extrême pauvreté en moyenne de ce continent, une pauvreté économique mais aussi démocratique. La plupart de ces experts n’ont jamais vécu durablement en Afrique en tout cas au sein des populations. Du coup, ils proposent tout simplement face aux crises caractérisées par la montée des violences et des dictatures que les pays occidentaux quittent le continent.

C’est évidemment oublier que déjà les chinois sont les plus influents économiquement en Afrique et qu’ils progressent en développant efficacement et discrètement business sur fond de corruption. Les russes de leur côté s’implantent pour surtout des motifs politiques mais aussi pour piller les pays. Côté occidental y compris en Europe, chaque pays joue son propre jeu dans un intérêt diplomatique et parfois économique.

Certains experts proposent un désengagement total de l’Occident y compris par exemple sur le plan militaire ou économique avec la suppression du franc CFA. Ils oublient évidemment que la place serait vite occupée par d’autres puissances étrangères et surtout par les terroristes islamistes qui ne cessent de progresser.

La plupart des putschistes ne s’intéressent qu’au pouvoir et à la mainmise sur les richesses. Ces militaires se désintéressent totalement de la lutte contre le terrorisme repliés qu’ils sont pour la plupart autour des capitales et des lieux de pouvoir. Des militaires qui la plupart du temps se consacrent surtout à des fonctions de police et à la corruption et qui négligent évidemment les fonctions de défense.

De la même manière, proposer la suppression brutale du franc CFA, aujourd’hui soutenu à bout de bras par l’Europe et la France, aboutirait à une dévaluation de près de 50 % et un renchérissement considérable des biens essentiels. Une véritable catastrophe sociale et humanitaire se produirait alors. Avec aussi comme conséquence son lot d’immigrations sauvages vers l’Europe.

La priorité est donc d’abord de procéder à une analyse pertinente de la situation et ne pas s’en tenir à ce qu’on peut penser dans les salons des ambassades ou même les services de renseignements qui ont été incapables de prévoir les récents événements politiques.

Il ne faut certainement pas quitter l’Afrique mais changer la nature des relations. Par exemple ne plus financer des grands projets dont une partie disparaît dans les sables de la corruption ou dans les superstructures des grandes organisations. Il faut financer des projets beaucoup plus utiles, plus urgents mais ciblés et suivis par des équipes de projets compétentes et intègres.

Parallèlement, il convient de favoriser ce tissu de PME qui manquent tellement à l’Afrique pour remplacer une partie de l’économie informelle. Mais cela suppose des financements des compétences et des formations. Une des urgences est de former à la gestion ces futurs entrepreneurs qui confondent trop aujourd’hui montant du tiroir caisse et profits.

Former doit être l’axe stratégique de l’aide au développement : aide économique, aide sociale, aide militaire, aide technologique et aide démocratique.

Surestimer l’ampleur de la contestation à l’égard de la France constitue une erreur d’analyse. En effet, dans la plupart des pays on peut avec 1,50 € et une bière par manifestant réunir des foules éphémères, versatiles et manipuler temporairement l’opinion.

Une opinion qui a cependant des raisons objectives à ne pas être satisfaite de l’efficacité de la gestion de certains politiques dans certains pays et même de la politique de développement de la France.

Se retirer brutalement de l’Afrique se traduira inévitablement notamment par une progression des terroristes islamiques qui n’auront aucun mal à prendre la place des militaires d’opérette du Niger, du Burkina ou du Mali. Se retirer brutalement de l’Afrique serait provoquer une une crise sociale sans précédent et une vague d’immigration impossible à maîtriser.

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Politique- Cette Afrique qui n’en finit pas de s’enfoncer

Cette Afrique qui n’en finit pas de s’enfoncer

Sans être superstitieux, on peut se demander si une malédiction n’affecte pas ce superbe continent qu’est l’Afrique. Pourtant en moyenne tout est réuni pour une vie harmonieuse : les ressources, le climat, la jeunesse de la population. Certes, il s’agit d’une moyenne care des Etats sont plus avantagés que d’autres, plus développées que d’autres. Les avis d’experts ne manquent pas sur les facteurs explicatifs relatifs à l’extrême pauvreté en moyenne de ce continent, une pauvreté économique mais aussi démocratique. La plupart de ces experts n’ont jamais vécu durablement en Afrique en tout cas au sein des populations. Du coup, ils proposent tout simplement face aux crises caractérisées par la montée des violences et des dictatures que les pays occidentaux quittent le continent.

C’est évidemment oublier que déjà les chinois sont les plus influents économiquement en Afrique et qu’ils progressent en développant efficacement et discrètement business sur fond de corruption. Les russes de leur côté s’implantent pour surtout des motifs politiques mais aussi pour piller les pays. Côté occidental y compris en Europe, chaque pays joue son propre jeu dans un intérêt diplomatique et parfois économique.

Certains experts proposent un désengagement total de l’Occident y compris par exemple sur le plan militaire ou économique avec la suppression du franc CFA. Ils oublient évidemment que la place serait vite occupée par d’autres puissances étrangères et surtout par les terroristes islamistes qui ne cessent de progresser.

La plupart des putschistes ne s’intéressent qu’au pouvoir et à la mainmise sur les richesses. Ces militaires se désintéressent totalement de la lutte contre le terrorisme repliés qu’ils sont pour la plupart autour des capitales et des lieux de pouvoir. Des militaires qui la plupart du temps se consacrent surtout à des fonctions de police et à la corruption et qui négligent évidemment les fonctions de défense.

De la même manière, proposer la suppression brutale du franc CFA, aujourd’hui soutenu à bout de bras par l’Europe et la France, aboutirait à une dévaluation de près de 50 % et un renchérissement considérable des biens essentiels. Une véritable catastrophe sociale et humanitaire se produirait alors. Avec aussi comme conséquence son lot d’immigrations sauvages vers l’Europe.

La priorité est donc d’abord de procéder à une analyse pertinente de la situation et ne pas s’en tenir à ce qu’on peut penser dans les salons des ambassades ou même les services de renseignements qui ont été incapables de prévoir les récents événements politiques.

Il ne faut certainement pas quitter l’Afrique mais changer la nature des relations. Par exemple ne plus financer des grands projets dont une partie disparaît dans les sables de la corruption ou dans les superstructures des grandes organisations. Il faut financer des projets beaucoup plus utiles, plus urgents mais ciblés et suivis par des équipes de projets compétentes et intègres.

Parallèlement, il convient de favoriser ce tissu de PME qui manquent tellement à l’Afrique pour remplacer une partie de l’économie informelle. Mais cela suppose des financements des compétences et des formations. Une des urgences est de former à la gestion ces futurs entrepreneurs qui confondent trop aujourd’hui montant du tiroir caisse et profits.

Former doit être l’axe stratégique de l’aide au développement : aide économique, aide sociale, aide militaire, aide technologique et aide démocratique.

Surestimer l’ampleur de la contestation à l’égard de la France constitue une erreur d’analyse. En effet, dans la plupart des pays on peut avec 1,50 € et une bière par manifestant réunir des foules éphémères, versatiles et manipuler temporairement l’opinion.

Une opinion qui a cependant des raisons objectives à ne pas être satisfaite de l’efficacité de la gestion de certains politiques dans certains pays et même de la politique de développement de la France.

Se retirer brutalement de l’Afrique se traduira inévitablement notamment par une progression des terroristes islamiques qui n’auront aucun mal à prendre la place des militaires d’opérette du Niger, du Burkina ou du Mali. Se retirer brutalement de l’Afrique serait provoquer une une crise sociale sans précédent et une vague d’immigration impossible à maîtriser.

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Cette Afrique qui n’en finit pas de s’enfoncer

Cette Afrique qui n’en finit pas de s’enfoncer

Sans être superstitieux, on peut se demander si une malédiction n’affecte pas ce superbe continent qu’est l’Afrique. Pourtant en moyenne tout est réuni pour une vie harmonieuse : les ressources, le climat, la jeunesse de la population. Certes, il s’agit d’une moyenne care des Etats sont plus avantagés que d’autres, plus développées que d’autres. Les avis d’experts ne manquent pas sur les facteurs explicatifs relatifs à l’extrême pauvreté en moyenne de ce continent, une pauvreté économique mais aussi démocratique. La plupart de ces experts n’ont jamais vécu durablement en Afrique en tout cas au sein des populations. Du coup, ils proposent tout simplement face aux crises caractérisées par la montée des violences et des dictatures que les pays occidentaux quittent le continent.

C’est évidemment oublier que déjà les chinois sont les plus influents économiquement en Afrique et qu’ils progressent en développant efficacement et discrètement business sur fond de corruption. Les russes de leur côté s’implantent pour surtout des motifs politiques mais aussi pour piller les pays. Côté occidental y compris en Europe, chaque pays joue son propre jeu dans un intérêt diplomatique et parfois économique.

Certains experts proposent un désengagement total de l’Occident y compris par exemple sur le plan militaire ou économique avec la suppression du franc CFA. Ils oublient évidemment que la place serait vite occupée par d’autres puissances étrangères et surtout par les terroristes islamistes qui ne cessent de progresser.

La plupart des putschistes ne s’intéressent qu’au pouvoir et à la mainmise sur les richesses. Ces militaires se désintéressent totalement de la lutte contre le terrorisme repliés qu’ils sont pour la plupart autour des capitales et des lieux de pouvoir. Des militaires qui la plupart du temps se consacrent surtout à des fonctions de police et à la corruption et qui négligent évidemment les fonctions de défense.

De la même manière, proposer la suppression brutale du franc CFA, aujourd’hui soutenu à bout de bras par l’Europe et la France, aboutirait à une dévaluation de près de 50 % et un renchérissement considérable des biens essentiels. Une véritable catastrophe sociale et humanitaire se produirait alors. Avec aussi comme conséquence son lot d’immigrations sauvages vers l’Europe.

La priorité est donc d’abord de procéder à une analyse pertinente de la situation et ne pas s’en tenir à ce qu’on peut penser dans les salons des ambassades ou même les services de renseignements qui ont été incapables de prévoir les récents événements politiques.

Il ne faut certainement pas quitter l’Afrique mais changer la nature des relations. Par exemple ne plus financer des grands projets dont une partie disparaît dans les sables de la corruption ou dans les superstructures des grandes organisations. Il faut financer des projets beaucoup plus utiles, plus urgents mais ciblés et suivis par des équipes de projets compétentes et intègres.

Parallèlement, il convient de favoriser ce tissu de PME qui manquent tellement à l’Afrique pour remplacer une partie de l’économie informelle. Mais cela suppose des financements des compétences et des formations. Une des urgences est de former à la gestion ces futurs entrepreneurs qui confondent trop aujourd’hui montant du tiroir caisse et profits.

Former doit être l’axe stratégique de l’aide au développement : aide économique, aide sociale, aide militaire, aide technologique et aide démocratique.

Surestimer l’ampleur de la contestation à l’égard de la France constitue une erreur d’analyse. En effet dans la plupart des pays on peut avec 1,50 € et une bière par manifestant réunir des foules éphémères et manipuler temporairement l’opinion.

Une opinion qui a cependant des raisons objectives à ne pas être satisfaite de l’efficacité de la gestion de certains politiques dans certains pays et même de la politique de développement de la France.

Se retirer brutalement de l’Afrique se traduira inévitablement notamment par une progression des terroristes islamiques qui n’auront aucun mal à prendre la place des militaires d’opérette du Niger, du Burkina ou du Mali. Se retirer brutalement de l’Afrique serait provoquer une une crise sociale sans précédent et une vague d’immigration impossible à maîtriser.

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Par orgueil démesuré, Macron va s’enfoncer dans la crise

Politique– Par orgueil démesuré, Macon va s’enfoncer dans la crise

On connaît maintenant suffisamment le logiciel mental de Macron qui repose surtout sur un ego démesuré. Comme sous la monarchie, il va refuser d’affronter la situation rapidement en faisant comprendre comme d’habitude qu’il est le maître des horloges. Le seul problème c’est qu’en ce moment la situation se dégrade à vue d’œil à tel point qu’on ne sait pas quelle direction la révolte sociale peut prendre.


La grande presse se focalise encore sur la situation du gouvernement et de l’Assemblée nationale. Il se pourrait bien que ces deux questions soient déjà obsolètes. Le gouvernement même s’il est maintenu et de toute façon discréditait et sa première ministre sans envergure avec. Quant au Parlement il a démontré ses limites démocratiques. En utilisant l’article 47 l’assemblée nationale s’est elle-même condamnée à la marginalité, même chose au Sénat qui a utilisé l’article 38 pour empêcher toute discussion des amendements. Et pour finir le coup de massue de Macron qui utilise l’article 47–3 de la constitution pour neutraliser complètement le Parlement.

L’avenir ne se situe plus ni au gouvernement ni même à l’assemblée car la crise politique va sans doute déboucher sur une crise sociale encore plus grande, sur une crise politique et même sur une crise institutionnelle. La démocratie ne fonctionne plus dans le pays et depuis longtemps. Le système de monarchie républicaine tout dépend du président est usé jusqu’à la corde. De la même manière se pose la question de la démocratie représentative où les élus le plus souvent décident sans concertation avec les citoyens des orientations qu’il souhaite et-ou que souhaitent certains lobbys.

En matière démocratique, tout est à remettre à plat en France car notre système repose sur le principe monarchique avec à la tête un président qui s’imagine en monarque absolu et toute une pyramide de petits marquis , et autres barons, sorte de club de l’entre soi.

Politique–Macron va s’enfoncer dans la crise par orgueil

Politique–Macron va s’enfoncer dans la crise par orgueil

On connaît maintenant suffisamment le logiciel mental de Macron qui repose surtout sur un ego démesuré. Comme sous la monarchie, il va refuser d’affronter la situation rapidement en faisant comprendre comme d’habitude qu’il est le maître des horloges. Le seul problème c’est qu’en ce moment la situation se dégrade à vue d’œil à tel point qu’on ne sait pas quelle direction la révolte sociale peut prendre.

La grande presse se focalise encore sur la situation du gouvernement et de l’Assemblée nationale. Il se pourrait bien que ces deux questions soient déjà obsolètes. Le gouvernement même s’il est maintenu et de toute façon discréditait et sa première ministre sans envergure avec. Quant au Parlement il a démontré ses limites démocratiques. En utilisant l’article 47 l’assemblée nationale s’est elle-même condamnée à la marginalité, même chose au Sénat qui a utilisé l’article 38 pour empêcher toute discussion des amendements. Et pour finir le coup de massue de Macron qui utilise l’article 47–3 de la constitution pour neutraliser complètement le Parlement.

L’avenir ne se situe plus ni au gouvernement ni même à l’assemblée car la crise politique va sans doute déboucher sur une crise sociale encore plus grande, sur une crise politique et même sur une crise institutionnelle. La démocratie ne fonctionne plus dans le pays et depuis longtemps. Le système de monarchie républicaine tout dépend du président est usé jusqu’à la corde. De la même manière se pose la question de la démocratie représentative où les élus le plus souvent décident sans concertation avec les citoyens des orientations qu’il souhaite et-ou que souhaitent certains lobbys.

En matière démocratique, tout est à remettre à plat en France car notre système repose sur le principe monarchique avec à la tête un président qui s’imagine en monarque absolu et toute une pyramide de petits marquis , et autres barons, sorte de club de l’entre soi.

Politique–Macron va s’enfoncer dans la crise par orgueil

Politique–Macron va s’enfoncer dans la crise par orgueil

On connaît maintenant suffisamment le logiciel mental de Macron qui repose surtout sur un ego démesuré. Comme sous la monarchie, il va refuser d’affronter la situation rapidement en faisant comprendre comme d’habitude qu’il est le maître des horloges. Le seul problème c’est qu’en ce moment la situation se dégrade à vue d’œil à tel point qu’on ne sait pas quelle direction la révolte sociale peut prendre.

La grande presse se focalise encore sur la situation du gouvernement et de l’Assemblée nationale. Il se pourrait bien que ces deux questions soient déjà obsolètes. Le gouvernement même s’il est maintenu et de toute façon discréditait et sa première ministre sans envergure avec. Quant au Parlement il a démontré ses limites démocratiques. En utilisant l’article 47 l’assemblée nationale s’est elle-même condamnée à la marginalité, même chose au Sénat qui a utilisé l’article 38 pour empêcher toute discussion des amendements. Et pour finir le coup de massue de Macron qui utilise l’article 47–3 de la constitution pour neutraliser complètement le Parlement.

L’avenir ne se situe plus ni au gouvernement ni même à l’assemblée car la crise politique va sans doute déboucher sur une crise sociale encore plus grande, sur une crise politique et même sur une crise institutionnelle. La démocratie ne fonctionne plus dans le pays et depuis longtemps. Le système de monarchie républicaine tout dépend du président est usé jusqu’à la corde. De la même manière se pose la question de la démocratie représentative où les élus le plus souvent décident sans concertation avec les citoyens des orientations qu’il souhaite et-ou que souhaitent certains lobbys.

En matière démocratique, tout est à remettre à plat en France car notre système repose sur le principe monarchique avec à la tête un président qui s’imagine en monarque absolu et toute une pyramide de petits marquis , et autres barons, sorte de club de l’entre soi.

Orgueil et Politique : Macron va s’enfoncer dans la crise

Orgueil et Politique : Macron va s’enfoncer dans la crise

On connaît maintenant suffisamment le logiciel mental de Macron qui repose surtout sur un ego démesuré. Comme sous la monarchie, il va refuser d’affronter la situation rapidement en faisant comprendre comme d’habitude qu’il est le maître des horloges. Le seul problème c’est qu’en ce moment la situation se dégrade à vue d’œil à tel point qu’on ne sait pas quelle direction la révolte sociale peut prendre.

La grande presse se focalise encore sur la situation du gouvernement et de l’Assemblée nationale. Il se pourrait bien que ces deux questions soient déjà obsolètes. Le gouvernement même s’il est maintenu et de toute façon discréditait et sa première ministre sans envergure avec. Quant au Parlement il a démontré ses limites démocratiques. En utilisant l’article 47 l’assemblée nationale s’est elle-même condamnée à la marginalité, même chose au Sénat qui a utilisé l’article 38 pour empêcher toute discussion des amendements. Et pour finir le coup de massue de Macron qui utilise l’article 47–3 de la constitution pour neutraliser complètement le Parlement.

L’avenir ne se situe plus ni au gouvernement ni même à l’assemblée car la crise politique va sans doute déboucher sur une crise sociale encore plus grande, sur une crise politique et même sur une crise institutionnelle. La démocratie ne fonctionne plus dans le pays et depuis longtemps. Le système de monarchie républicaine tout dépend du président est usé jusqu’à la corde. De la même manière se pose la question de la démocratie représentative où les élus le plus souvent décident sans concertation avec les citoyens des orientations qu’il souhaite et-ou que souhaitent certains lobbys.

En matière démocratique, tout est à remettre à plat en France car notre système repose sur le principe monarchique avec à la tête un président qui s’imagine en monarque absolu et toute une pyramide de petits marquis , et autres barons, sorte de club de l’entre soi.

Brexit : pourquoi la Grande Bretagne va s’enfoncer dans une crise profonde ?

Brexit : pourquoi la Grande Bretagne va s’enfoncer dans une crise profonde ?

 

Une nouvelle fois, l’accord négocié entre l’union européenne et Theresa May t a été rejeté par les députés britanniques. Du coup, la Grande-Bretagne va s’enfoncer dans une crise économique et politique grave. Moins en raison du vote que de l’incertitude relative  aux futurs des relations entre le Royaume-Uni et l’Europe. Suite à ce vote négatif le Parlement devrait rejeter la perspective d’un berxit  dur avec une demande de décalage dans le temps de l’application de la rupture. Théoriquement cette période de transition devrait être courte, quelques mois seulement. Ensuite il faudra renégocier un accord commercial qui lui demandera une longue période de négociation. Du coup, la transition pourrait être relativement longue. Pendant ce temps la situation politique pourrait aussi évoluer sous le poids notamment des catastrophes économiques qui se préparent. En effet les acteurs économiques et financiers craignent par-dessus toutes les incertitudes du cadre juridique et fiscal qui encadrera les échanges de biens, de capitaux et de personnes. Des cette année, la Grande-Bretagne pourrait d’ailleurs connaître la récession. Évidemment l’union économique sera également touchée ;  alors que pour l’instant les perspectives de croissance sont déjà limitées à 1 %. On ne peut écarter l’hypothèse d’une contagion de la récession britannique à l’ensemble de l’Europe. Théoriquement la rupture des Royaume-Uni avec l’Europe devrait coûter 0,5 % au PIB  en Allemagne, 0, 3% en France . En Allemagne la prévision est actuellement de 1 % et en France de 1,3 %. Conclusion la croissance tant de l’union économique que de la Grande-Bretagne sera très affectée en 2019 en raison d’une conjoncture déjà très maussade et de l’impact inévitable du brexit.  Theresa Maya dit “regretter profondément” la décision prise par les parlementaires, assurant une nouvelle fois qu’elle était convaincue que cet accord est le meilleur possible. La dirigeante conservatrice a réaffirmé sa volonté, exposée fin février, d’organiser deux nouveaux votes, le premier dès mercredi sur l’opportunité de quitter l’UE sans accord à la date prévue du 29 mars. Elle a précisé au passage qu’il n’y aurait pas de consigne de vote de la part du gouvernement. Si, comme on s’y attend, les députés rejettent la perspective d’un ‘No Deal’, qui effraie les milieux d’affaires de la cinquième puissance économique mondiale, un troisième vote aura lieu jeudi sur un report “court et limité” de la date du Brexit “Je serai claire: voter contre une sortie sans accord et pour une extension ne réglera pas les problèmes auxquels nous sommes confrontés”, a souligné Theresa May mardi soir. “L’UE voudra savoir quel usage nous voulons faire d’une telle prolongation. Cette assemblée aura à répondre à cette question.” L’UE a également prévenu qu’il n’y aurait pas d’autres changements ou aménagements à l’accord de retrait difficilement négocié entre Londres et Bruxelles et entériné fin novembre par les chefs d’Etat et de gouvernement des Vingt-Sept. “Il n’y aura pas de troisième chance, pas d’interprétation sur les interprétations, pas d’assurance sur les assurances si le ‘vote significatif’ de demain (mardi) échoue”, a averti Jean-Claude Juncker lundi soir.




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