Archive pour le Tag 'semoule'

SNCF: le député Hervé Berville d’en Marche patauge encore dans la semoule

SNCF:   le député Hervé Berville d’en Marche patauge encore dans la semoule

Hervé Berville, député et porte-parole de la République en marche qui s’est surtout signalé par son ignorance de l’existence de la prime de Noel (il pensait même qu’elle était destinée aux députés !) a fait encore dans le délire verbal sur BFM en parlant d’un sujet dont il ignore tout : la SNCF. Il a d’abord affirmé que le président faisait ce qu’il avait annoncé dans sa campagne. Or il n’a jamais été question d’ordonnances dans cette campagne et le sujet a à peine été traité par Macron durant cette période. Ensuite,  il a affirmé que les investissements SNCF augmenteraient de 50%. Financé par qui ? Comment ? Par l’emprunt nécessairement.  C’est le contraire qu’a proposé Spinetta justement, réduire la capacité d’emprunt et donc l’endettement. En plus de ses erreurs et approximations, le porte parole d’En marche n’a cessé d’adresser des louanges au gouvernement. Un torrent de banalités, de contre vérités et d’éloges complaisants pour Macron  qui témoigne évidemment qu’en marche a recruté par petite annonces des députés le plus souvent sans expérience sociale et politique.

Exemple des banalités :

« Les ordonnances, c’est uniquement pour des sujets urgents, et la mobilité quotidienne nous semble être un sujet urgent », justifie Hervé Berville, député et porte-parole La République en marche, « Il y a des choses qui ne sont plus acceptables, il y a nécessité d’aller vite. Mais on va les limiter au maximum aux choses techniques », promet l’élu. Hervé Berville assure que  »cela n’empêche pas d’avoir une discussion parlementaire et des concertations. Mais il faut agir. On ne peut plus se satisfaire de la situation actuelle, tout le monde a conscience qu’en matière ferroviaire il nous faut une politique plus efficace et qui réponde aux enjeux de demain ». ! Les députés d’En marche apprennent vite la langue de bois.

Législatives : Baroin pédale dans la semoule

Législatives : Baroin pédale dans la semoule

 

Baroin continue son exercice d’équilibriste qui consiste à se préparer à la fois à combattre Macron et à travailler avec lui. Une sorte de synthèse à la mode Hollande pour tenter de satisfaire les progressistes proches de Juppé et les radicaux conservateurs proches de Wauquiez, des fillonistes et des  sarkozystes. Du coup le discours est relativement confus. On ne sait pas clairement si les Républicains se préparent à être dans l’opposition, dans la cohabitation ou dans l’union nationale.- En outre, François Baroin, qui ne manque pourtant pas de talent, insiste davantage sur ce qui le sépare de Macron que ce qui unit les républicains François Baroin a réclamé mercredi à Toulon davantage de clarté dans la campagne législative, énumérant les différences entre son camp et La République en marche (LREM) pour démobiliser une droite sonnée par l’entrée de plusieurs de ses membres dans le gouvernement et les sondages qui placent le parti présidentiel en position favorable. « J’ai glissé, comme beaucoup et sans état d’âme, un bulletin Macron car je ne veux pas du Front national pour notre pays », a déclaré le chef de file des Républicains lors d’une réunion publique de soutien aux candidats de son parti et de son allié centriste, à moins de trois semaines des élections législatives des 11 et 18 juin. « Mais nous ne sommes pas devenus des marcheurs, nous n’appartenons pas à cette formation politique qui vient à 80% de gauche », a-t-il ajouté. « Je veux que cette campagne législative soit la campagne de la clarté. ». François Baroin a de nouveau dénoncé l’ »unanimisme illusoire et éphémère » suscité selon lui par la victoire d’Emmanuel Macron à la présidentielle. « On veut nous faire courber l’échine, on ne veut plus que nous existions », a ajouté le maire de Troyes, réaffirmant sa volonté d’obtenir une majorité absolue à l’Assemblée nationale pour imposer une cohabitation à Emmanuel Macron. « Nous ne nous battons pas pour être dans l’opposition mais pour gouverner la France », a-t-il souligné.

Programme Fillon : Chartier patauge dans la semoule

Programme  Fillon : Chartier patauge dans la semoule

 

Lors du  «Grand jury» RTL/Le Figaro/LCI, Jérôme Chartier, le conseiller spécial de François Fillon, à sérieusement pataugé dans la semoule pour expliquer les propositions du candidat de droite. Il a d’abord opéré un vrai rétro pédalage à propos du projet santé dont il a convenu qu’il était remis en discussion après les réactions très négatives concernant l’objectif visant à faire rembourser par la sécurité sociale les seules affections graves ou de longue durée  «Cette réforme n’a pas été comprise donc elle n’a pas été suffisamment aboutie», a-t-il admis. Interrogé sur les contours du nouveau projet, le député du Val-d’Oise renvoie désormais à la «grande convention» qui sera organisée sur le sujet courant janvier, en présence de professionnels du secteur. «La méthode Fillon, c’est la discussion», a tenté le proche de l’ancien premier ministre.  Selon un sondage IFOP pour Le Journal du dimanche, le programme de François Fillon est jugé «inquiétant» par 62 % des Français, une statistique en hausse de 16 points chez les sympathisants LR par rapport à fin novembre. Même flou concernant l’objectif de réduction de 500 000 emplois publics en cinq ans. Jérôme Chartier a été incapable de préciser les modalités de cette diminution indiquant qu’on ne pouvait connaître avant les élections où et comment pourrait s’opérer la suppression du nombre  de fonctionnaire. Il a cependant maintenu l’objectif de 500 000 emplois à supprimer mais sans indiquer si l’éducation nationale qui fournit le plus gros contingent de fonctionnaires ou encore la santé seront affectés. « Il faudra voir le nombre de fins de contrats ou de retraite qui auront lieu 2016 » a-t-il indiqué précisant que François Fillon étant dans l’opposition pour l’instant n’est pas en capacité d’évaluer ce nombre. Étant entendu aussi que la gestion des effectifs de fonctionnaires des collectivités locales incombait aux élus locaux. Bref pas vraiment convaincant. «C’est un objectif raisonnable, tiré des non-remplacements des départs à la retraite réalisés entre 2007 et 2012», a expliqué le conseiller de François Fillon. «Cela représente 2 % des fonctionnaires par an pendant cinq ans, c’est un effort extrêmement faible.» Bref une argumentation pas vraiment convaincante et qui explique le tassement de Fillon dans l’opinion même s’il reste encore le favori. À noter qu’un dernier sondage fait apparaître que seulement 28 % des Français souhaitent l’élection de François Fillon.

 

Europe : Sarko patauge dans la semoule

Europe : Sarko patauge dans la semoule

 

Visiblement Sarko patine depuis un moment. C’est encore le cas sur l’Europe où il plaide à la fois pour  l’alignement sur l’Allemagne pour une Europe plus forte mais sans intégration supplémentaire (qui suppose  une zone restreinte et un parlement). Il soutient l’accord sur la Grèce mais le trouve particulièrement faible alors qu’il y a quelques semaines il considérait que la Grèce devrait être virée de la zone euro. Il conteste aussi l’influence du FMI et ses positions sur la Grèce (la réduction de la dette). Enfin la  tarte à la crème c’est l’immigration, pour ne pas dire qu’il faut abolir Shengen, il veut un Schengen 2. Vraiment en mal d’inspiration voire même de conviction Sarko . Pas étonnant qu’il ne décolle pas dans les sondages et que même dans son propre camp. Plus qu’en président de parti, Nicolas Sarkozy se posait ce dimanche 19 juillet en candidat à la présidentielle. À Nice pour le lancement de la caravane promotionnelle des Jeunes Républicains, l’ancien chef de l’État avait mis l’Europe au cœur de son discours à la veille d’un déplacement en Tunisie. « Maintenant, ce n’est plus la question grecque qui se pose mais la question de la zone euro elle-même », a-t-il-déclaré, estimant que, pour sa « pérennité », il fallait « rapprocher nos économies, avec un leadership franco-allemand à la tête de l’Eurogroupe, (qui regroupe les ministres des Finances de la zone euro). C’est aux Européens de s’occuper des problèmes de l’Europe, pas au FMI ou aux Américains ». interrogé sur la proposition de François Hollande d’un parlement de la zone euro, le président du parti Les Républicains a répondu : « très franchement, je ne pense pas qu’on ait besoin d’un parlement de plus ; on a besoin de coordonner les politiques économiques pour être beaucoup plus fort, on a besoin d’une politique économique française qui ne soit pas en contradiction avec la politique économique de tous les autres pays de la zone euro; en fait on a moins besoin de discours que d’actes ». Le chef de l’opposition s’est également félicité de l’accord trouvé avec la Grèce, « aussi faible soit-il ». Pourtant, la semaine précédente il n’hésitait pas évoquer une sortie de la Grèce de la zone euro. Mais il a semblé l’oublier : « Contrairement à certains de mes amis, j’étais en faveur de cet accord. Il ne faut pas faire la politique du pire. Moi, je pense que l’opposition se grandit en étant responsable. S’il n’y avait pas eu d’accord, la France et l’Europe tombaient dans l’inconnu », a déclaré le président des Républicains, dans un discours devant plusieurs dizaines de militants de son parti, sous un soleil de plomb. Nicolas Sarkozy a également brocardé François Hollande lors de cette crise grecque, dénonçant sa « complaisance avec Alexis Tsipras » et sa « faiblesse avec le FMI ».  « Alexis Tsipras et François Hollande ont un point commun, l’un a menti aux Grecs, et l’autre aux Français« , a-t-il lancé, très applaudi, sous un soleil de plomb. Il a aussi plaidé pour une « politique commune en matière d’immigration »: « L’Europe est trop faible, Schengen 1 doit disparaître pour être remplacé par un Schengen 2″, a-t-il indiqué, sans préciser sa pensée.




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