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Ségolène Royal « je suis indispensable au gouvernement » !!!!

 Ségolène Royal «  je suis indispensable au gouvernement » !!!!

Humour ou  surdimensionnement de l’égo ? Ségolène dérape une  nouvelle fois. Son « indispensabilitude » laisse rêveur concernant son état mental.  Et si Ségolène Royal était indéboulonnable du gouvernement? A en croire la ministre de l’Ecologie elle-même, interviewée dans les colonnes de Sud-Ouest ce lundi, ce serait le cas. Et tant pis pour la modestie. Dans le détail, celle qui a fait son retour à la table du conseil des ministres il y a un an se dit capable de « concilier ce qui paraît inconciliable », en citant comme exemple  » la question du nucléaire ». « Et ça, c’est grâce à mon expérience de vingt-cinq ans d’élue de terrain et au fait que je ne m’en laisse jamais compter », justifie-t-elle au quotidien régional. Des qualités qui, toujours selon la principale intéressée, feraient d’elle un élément indispensable de l’équipe gouvernementale. Et de résumer le tout en une phrase: Ce n’est pas la première fois que la ministre de l’Ecologie fait ce genre de déclarations. En mai l’an passé, au cours d’un entretien accordé à nos confrères de Paris Match, Ségolène Royal avait déclaré être « enfin à sa place » après son retour dans le rang des ministres. « Je suis à ce poste parce que je suis compétente. Peut-être même la plus compétente », s’était-elle alors targuée. Pour l’humilité, en revanche, il faudra repasser. Parmi ses exploits à signaler son recul sur les tarifs d’autoroutes,  son recul sur Fessenheim, ses atermoiements pour la circulation alternée à Paris, ses silences pour Notre dame des Landes, pour Sivens. Bref en matière d’écologie elle est curieusement absente mais ce qui ne l’empêche de parler sur d’autres sujets …..et surtout elle-même. Ou quand un personnage dépasse sa caricature .

Changement d’heure : Ségolène Royal s’interroge ….au secours !

Changement d’heure : Ségolène Royal s’interroge ….au secours !

Ségolène Royal ( comme beaucoup au gouvernement) se transforme en commentatrice en constatant  que les « Français doutent de l’impact des économies d’énergie » et  fait référence à un sondage BVA pour Orange et iTélé : 58% des Français s’opposent au changement d’heure ; 40% y sont favorables. Du coup elle s’interroge  et dans ce cas là il y a danger tellement les réflexions et propositions de Ségolène sont absurdes ou fantaisistse. Avec elle tout est possible : le raccourcissement du nombre d’heures par jour, la réduction du nombre de jours dans le mois, la modification de dates des saisons. Exemple on raccourcir  l’hiver et on allonge l’été. Elle pourrait même inventer la montre molle de Dali qui ralentit le temps l’été, «  donner du temps au temps » comme disait le sulfureux Mitterrand.  La ministre de l’Ecologie qui veut exister ( elle était même présente sur les lieux du crash), veut s’attaquer à l’institution, mise en place définitivement en 1976, après le choc pétrolier. Elle l’a annoncé sur Twitter : ses équipes vont « vérifier » les « économies d’énergie » qui pourraient découler de la mesure. Et, à partir des résultats, elle décidera « de l’opportunité l’année prochaine » de reconduire le dispositif. Il faut noter que désormais la politique se faiat après lecture des sondage et sur Tweeter. De toute manière 140 caractères c’est bien suffisant pour résumer la pensée profonde de Ségolène.  Tout le monde sait bien que heure d’été est uen absurdité, pas besoin de nouvelles études sur le sujet. : En 2009, un rapport de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) affirme que le gain sur l’éclairage obtenu est de l’ordre de 440 GWh, soit l’émission de 44.000 tonnes de CO2 évitée. Mais cela ne représenterait que 0,1% de la consommation en éclairage totale, selon l’Association pour le rétablissement de l’heure méridienne. Le changement d’heure est aussi désagréable pour certains. Ce sont les études sur le jetlag (décalage horaire) qui l’attestent : selon les observations des chercheurs, le corps a besoin d’un jour pour s’adapter à chaque fuseau horaire traversé. En somme, décaler sa montre d’une heure et adapter son horloge interne à cette nouvelle heure nécessite un jour d’adaptation. La communauté des chronobiologistes est néanmoins plus sceptique : la plupart de ses scientifiques estiment qu’il faut une semaine à une personne âgée ou à un jeune enfant pour passer le cap. Irritabilité, troubles du sommeil et de l’appétit qui peuvent s’accompagner de quelques petites infections virales, le corps étant plus affaibli que de coutume.  Est-il possible d’arrêter le changement d’heure, alors qu’il a été généralisé à l’ensemble de l’Europe en 1998? En France, il est certains lieux où l’on ne change jamais d’heure : il s’agit des DOM-TOM. En effet, les départements et territoires d’outre-mer ne sont pas concernés car ils n’en ont tout simplement pas besoin, les heures et les couchers de soleil ne variant que faiblement à leurs latitudes. Par ailleurs, plusieurs pays dans le monde en sont revenus : la Russie l’a abandonné en 2011, le Japon, la Corée du Sud et l’Islande, seul pays européen concerné, ne l’appliquent plus non plus.

 

Des villes françaises « respirables » (Ségolène Royal)….une « banalitude » de plus

Des villes françaises « respirables »  (Ségolène Royal)….une « banalitude » de plus

 

 

Spécialiste de l’ingénierie sémantique approximative , Ségolène invente un nouveau concept «  les villes respirables ». Si elle n’existait pas, par certain qu’on puisse l’inventer . Ségolène est un modèle unique. Bien sûr issue comme beaucoup du moule de l’ENA et qui n’a jamais rien fait d’autre que de la politique mais le moule était certainement fêlé quand elle a été conçue. Un nouveau concept pour celle qui a réagi avec « retardité » à la pollution de Paris, en plus en instaurant l’ « alternitude circulationnelle» le jour où vraisemblablement il n’y en aura plus besoin. Ségolène Royal a donc déclaré samedi vouloir rendre les villes françaises « respirables toute l’année » grâce à des plans d’action sur cinq ans, alors que Paris connaît depuis plusieurs jours une forte pollution atmosphérique.  Le préfet de police de Paris a annoncé l’instauration lundi de la circulation alternée dans la capitale et 22 communes proches, une mesure jugée trop tardive par la maire Anne Hidalgo et par l’ex-ministre écologiste Cécile Duflot. Lors d’une conférence de presse, la ministre de l’Ecologie Ségolène Royal a souligné que la région parisienne n’était pas la seule concernée et qu’il y avait en réalité 34 départements en alerte, notamment dans le Nord et l’Est de la France. »Je voudrais pour ma part insister sur la nécessité d’apporter des réponses globales dans la durée, l’objectif étant moins de réduire les pics que de baisser l’exposition en moyenne sur toute l’année« , a poursuivi Ségolène Royal. Cela suppose selon elle d’agir non seulement sur la circulation mais aussi sur l’industrie, l’agriculture et les modes de chauffage, « en prenant en compte les transferts de polluants entre régions et entre pays». Elle a annoncé qu’elle réunirait prochainement les élus concernés des grandes agglomérations et des régions pour « bâtir des plans d’action sur cinq ans« , afin de relever le défi de « villes respirables toute l’année« . « Personne ne peut croire qu’on va régler le grave problème de la pollution de l’air par les particules uniquement en faisant de temps en temps de la circulation alternée« , a-t-elle expliqué plus tard. « Donc, ce que je demande aux maires des onze plus grandes villes de France, c’est vraiment d’avoir des décisions structurantes irréversibles« , a-t-elle ajouté.

 

Pollution Paris : Ségolène avec trois jours de retard

Pollution Paris : Ségolène avec trois jours de retard

 

 

On va donc attendre la fin du pic de pollution pour prendre des mesures. Ségolène si prompte à occuper les médias  une fois de plus réagit avec retard.   Comme sur le nucléaire, le barrage de Sivens, Notre Dame des Landes et tous les dossiers chauds. Il est clair qu’il fallait prendre des dispositions dès la constatation du pic par exemple avec la gratuité des transports collectifs. Lundi il y aura donc la circulation alternée quand la pollution aura disparu ! La gratuité des transports collectifs ce sera seulement ce week-end (comme la proposition de Ségolène de gratuité aussi des autoroutes,  proposée mais non retenue). Des mesures d’urgence s’imposaient bien plus tôt puisque Paris a été la ville la plus polluée du monde pendant quelques jours ( et bien d’autres régions en France). Une politique des transports à long terme aussi. Mais dans ce domaine c’est la contradiction la plus complète. Avec uen fiscalité qui avantage le diesel, la future augmentation d’environ 10% de la tarification des transports collectifs, la libéralisation des cars sur autoroutes et du transport routier marchandises etc. Il ya longtemps qu’il n’y a plus de politique des transports en France dont la responsabilité relève seulement d’un sous secrétariat d’Etat. Résultat celui là fait ce qu’il peut et la ministre de tutelle ( de l’écologie), Ségolène, pas grand-chose puisqu’elle ne connait rien. L’Etat a donc annoncé la mise en œuvre sous condition de la circulation alternée à partir de lundi à Paris après une polémique opposant la ministre de l’Ecologie à la maire de la capitale et aux écologistes sur la lutte contre la pollution. « Lundi, il y aura la circulation alternée sauf s’il y a une baisse manifeste de pollution demain et après-demain », a déclaré vendredi soir la ministre de l’Ecologie, Ségolène Royal, lors d’une conférence de presse. D’ici-là, les transports publics seront gratuits dès samedi en Ile-de-France, a-t-elle ajouté.  Le compromis annoncé par Ségolène Royal est loin des attentes de la maire PS de Paris, Anne Hidalgo, qui réclamait la mise en place de la circulation alternée dès vendredi, après plusieurs jours de forte pollution aux particules. La question a donné lieu vendredi à une passe d’armes entre Ségolène Royal et l’écologiste Cécile Duflot. La ministre de l’Ecologie a mis en garde contre toute « décision intempestive » pour justifier la fin de non-recevoir opposée à la demande de la maire de Paris sur la mise en place de ce dispositif vendredi.  Ce différend a poussé François Hollande à intervenir, pour annoncer qu’une décision serait prise en fin de journée. « La pollution devait être réduite aujourd’hui et encore davantage les jours suivants. Tel n’est pas le cas. Donc, la ministre de l’Ecologie va travailler cet après-midi pour savoir s’il y a un risque de pollution pour les jours à venir », a dit François Hollande à l’issue d’un Conseil européen à Bruxelles. La circulation alternée consiste à n’autoriser que les véhicules dont le numéro de plaque d’immatriculation est pair à circuler les jours pairs et inversement. Une telle mesure n’a été prise qu’à deux reprises, en octobre 1997 et en mars 2014. Après avoir essuyé un premier refus, Anne Hidalgo a demandé vendredi la mise en place pour la journée de samedi « de la circulation alternée et du contournement de l’Ile-de-France par les poids-lourds de transit ».

 

Tennis- Roland-Garros : transféré au parc des princes ( Ségolène Royal)

Tennis- Roland-Garros : transféré au parc des princes ( Ségolène Royal)

 

Ségolène Royal n’est pas à une bourde de plus ; elle veut transférer Roland Garros au Parc des princes pour jouer sur gazon et surtout s’opposer à l’extension de Roland Garros. .C’est connu,  Ségolène est cinglée , ce qui ne l’empêche pas d’être ministre( ce serait plutôt un atout) ! Pourquoi pas aussi transférer les matchs de Rolland Garros dans uen piscine ou sur les Champs Elysées. Elle  est prête à tout pour éviter que les travaux d’agrandissement de Roland-Garros n’empiètent sur les serres d’Auteuil. Même à abandonner la terre battue pour la pelouse du Parc des Princes. Farouchement opposée au projet d’agrandissement de Roland-Garros sur les serres d’Auteuil, la ministre de l’Ecologie semble prête à tout pour préserver les intérêts de son ministère. A tel point que l’ancienne candidate à l’élection présidentielle a proposé une alternative complètement inimaginable à Anne Hidalgo, comme cette dernière l’a confié au Parisien ce mardi. « Ségolène Royal voulait que le tournoi de Roland-Garros se joue sur les pelouses de Jean-Bouin ou du Parc des Princes. Pour un tournoi de tennis de terre battue… […] Je lui ai dit que c’était un peu farfelu », s’étonne la maire de Paris, qui tend elle à aider la Fédération française de tennis dans l’avancement du dossier. Des travaux vitaux pour l’avenir de Roland-Garros Jouer Roland-Garros sur gazon, voilà une idée assez saugrenue qui dénote bien l’opposition farouche de Ségolène Royal au projet de modernisation et d’agrandissement du Grand Chelem parisien. Des travaux nécessaires voire vitaux pour l’avenir du tournoi. Pour le gazon, le circuit professionnel a déjà élu domicile à Wimbledon deux semaines plus tard. Et le jardinier du PSG, recruté à prix d’or il y a un an et demi au club d’Aston Villa en Premier League, risque de ne pas apprécier que des tennismen foulent la pelouse du Parc des Princes pendant deux semaines.

 

 

Environnement : Ségolène Royal plus à l’aise en méditerranée qu’en France

Environnement : Ségolène Royal plus à l’aise en méditerranée qu’en France

 

 

De toute évidence Ségolène ne brille pas par sa cohérence en France ( autoroutes gratuites, libéralisation des cars, Fessenheim, nucléaire en général, pesticides etc ) du coup elle déplace le débat en méditerranée. Finalement une  vieille tactique « Hollandaise » quand on est gêné à l’intérieur, on s’investit à l’extérieur ( tactique utilisée par bien d’autres responsables et pas seulement à gauche). Elle est gonflée de parler de transition énergétique quand en fait en France on a pratiquement enterré les promesse dans ce domaine. La ministre française de l’Ecologie Ségolène Royal a cependant affirmé, ce lundi soir à Lisbonne, vouloir trouver « des propositions communes » avec les pays du bassin occidental de la Méditerranée avant la Conférence mondiale sur le climat que la France réunira fin décembre à Paris.  »Je souhaite qu’il y ait des propositions communes, parce que nous avons un espace commun à défendre, la Méditerranée », a estimé Ségolène Royal, qui s’exprimait avant l’ouverture d’une réunion ministérielle sur l’environnement qui se tient sur deux jours dans la capitale portugaise.   »La Méditerranée est un espace de la planète très gravement impacté par le dérèglement climatique », a ajouté la ministre de l’Ecologie, citant le réchauffement, la pollution et « la dégradation de la biodiversité ». La conférence de Lisbonne sur l’Environnement et des Energies renouvelables, coprésidée par le Portugal et le Maroc, entre dans le cadre des rencontres du Forum 5+5 et regroupe également l’Algérie, la France, l’Italie, la Libye, Malte, la Mauritanie, l’Espagne et la Tunisie. « J’ai décidé d’être là pour marquer l’importance que porte la France, en partenariat avec le Portugal, à l’espace Méditerranéen », a encore affirmé Ségolène Royal, précisant que « ce qui est commun à nos pays, c’est l’entrée dans la transition énergétique ».  »Tous nos pays vont s’engager dans la lutte contre le réchauffement climatique, donc dans la diminution des gaz à effet de serre », a-t-elle ajouté, avant de suggérer des « échanges de technologies dans le domaine des énergies renouvelables ». Le président français François Hollande et son homologue philippin Benigno Aquino avaient lancé ce jeudi « l’Appel de Manille » pour exhorter le monde à trouver un accord sur le climat en décembre à Paris et éviter ainsi à tout prix la réédition de l’échec cuisant de la Conférence de Copenhague en 2009.

 

Retour de Ségolène : un peu plus apprécié que celui de Sarkozy

Retour de Ségolène : un peu  plus apprécié que celui de Sarkozy

 

 

 

 

L’actu politique n’est pas le sujet le pus apprécié par les Français qui placent très au dessus les informations scientifiques ou de société. Pour les intéresser il faudrait de vrais changements sur le chômage d’abord et les impôts ensuite. Le retour de Sarkozy (au demeurant assez raté) ne retient guère l’attention et même moins que celui d Ségolène qui n’a pourtant pas faiat non plus de miracles.  Dans un sondage IFOP pour Paris Match, les Français classent les « bonnes nouvelles » de leur année 2014. Très loin derrière la première implantation d’un cœur artificiel et la libération des otages, les « come-back » politiques n’ont pas enthousiasmé. Mais la nomination de Ségolène Royal au gouvernement s’en sort mieux que l’élection de Nicolas Sarkozy à la tête de l’UMP.  L’actualité politique n’a pas vraiment réjoui les Français. C’est l’un des enseignements d’un sondage réalisé par l’IFOP et à paraître mercredi dans Paris Match. L’hebdomadaire a demandé aux Français quelles ont été les meilleures nouvelles de l’année 2014. Les propositions politiques arrivent tout à la fin d’un classement dominé par « les avancées de la médecine avec la première implantation d’un cœur humain artificiel » (choisies par 95% des sondés) et la libération des otages français (93%). Sur les 13 propositions, les retours de Ségolène Royal et de Nicolas Sarkozy sur le devant de la scène politique arrivent derniers. Mais la nomination au gouvernement de l’ex-candidate à la présidentielle est légèrement préférée à l’annonce de candidature puis l’élection de l’ex-Président à la tête de l’UMP (31% contre 28%) A noter que les Français espèrent tout de même beaucoup de la politique actuelle. Interrogés sur leurs espoirs pour l’année 2015, ils répondent en premier l’inversion de la courbe du chômage (37%) puis la baisse des impôts (24%). C’est sur ces deux aspects que François Hollande est attendu au tournant.

 

 

Autoroutes : gel de tarifs (Ségolène Royal)

Autoroutes : gel de tarifs (Ségolène Royal)

Pour Ségolène Royal «  les tarifs ont trop augmenté par rapport au coût de la vie donc il faut rendre aux automobilistes un peu de justice et d’équité tarifaire », a-t-elle expliqué. Fin novembre, les sociétés d’autoroutes ont proposé d’augmenter d’environ 0,6% en moyenne les tarifs des péages en 2015. Une moyenne qui recouvrait en fait des augmentations comprises entre 0,27 % et 1,13 % selon les sociétés d’autoroutes. Dans la foulée de cette annonce, l’action Vinci perdait 3,5%, tandis que le titre Eiffage cédait 0,5%. Comme la  Cour des Comptes a dénoncé les « rentes » dans un rapport récent, la ministre n’a pas écarté non plus la possibilité d’une résiliation de leurs contrats. « C’est une hypothèse parmi d’autres que le gouvernement n’écarte pas », a-t-elle dit, ajoutant : « Il y en trois, soit la résiliation totale, soit une résiliation partielle soit la rediscussion des concessions dans le cadre actuel. » « Il faut que les sociétés d’autoroutes fassent rapidement des propositions comme cela leur a été demandé pour savoir comment elles appliquent les recommandations de la Cour des comptes », a-t-elle encore dit. Ségolène Royal a chiffré à un milliard d’euros l’effort qui leur serait demandé, peut-être sous la forme d’une taxe, « ce qui est finalement moins de 10% du montant global qu’elles ont versé à leurs actionnaires qui s’élève à 17 milliards d’euros », a-t-elle indiqué.

 

Interdiction des feux de cheminées en Ile-de-France : mesure absurde (Ségolène Royal)

Interdiction des feux de cheminées en Ile-de-France : mesure absurde (Ségolène Royal)

Royal veut encourager la filière bois revenir sur l’arrêté préfectoral interdisant les feux de cheminées en Ile-de-France. Le feu dans les cheminées classiques devait théoriquement être proscrit à Paris et dans de nombreux secteurs de l’Ile de France à partir du 1er janvier 2015. La ministre du Développement Durable a qualifié l’interdiction des feux de cheminées à foyer ouvert en Ile de France de «décision un peu absurde. On était dans le ridicule, je vais faire changer cette décision», a ajouté Ségolène Royal sur France 2. Elle a indiqué que de toutes façons, cette mesure ne serait «pas appliquée car il n’y a pas de sanctions». La ministre a même affirmé: «J’encourage le chauffage au bois». Elle affirme en effet qu’elle ne souhaite pas pénaliser la filière biomasse et qu’elle ne souhaite pas que toute la filière bois pâtisse de cette mesure. Le Grenelle de l’environnement avait d’ailleurs pour objectif de doubler la consommation de bois de chauffage d’ici 2020. Et lorsqu’une maison est construite aujourd’hui, elle doit respecter la réglementation thermique 2012, la RT 2012. Mais, si le chauffage est électrique, les critères de calcul font qu’il faut rajouter une source d’énergie renouvelable pour respecter la norme. Résultat, la plupart des constructeurs adjoignent alors un poêle à bois. Aujourd’hui, on ne peut que s’interroger. Il n’y a que Paris et l’Ile-de-France qui sont visés pour l’instant ?  On peut craindre que d’autres régions soient tentées de prendre les mêmes dispositions. On pense, par exemple à la région Rhône-Alpes où des études démontrent que la pollution par le chauffage au bois est supérieure à celle de la circulation automobile. Gageons que, d’ici quelques années, toutes les régions qui comportent une grosse métropole finissent par interdire le chauffage au bois. Dommage, c’est l’une des énergies les moins chères, pourtant.  Et bien oui, le kilowatt coûte environ 12 à 13 centimes pour l’électricité, 9 centimes pour le fioul domestique, 7 centimes pour le gaz naturel et… 4 à 5 centimes pour le bois. Mais, pour comparer, il faut aussi comparer le rendement des appareils. Une chaudière à gaz a des rendements proches de 100 %, un poêle à bois c’est plutôt de l’ordre de 75 %.

 

 

Nucléaire- Fessenheim ; Ségolène ne sait plus s’il faut fermer !

Nucléaire- Fessenheim ; Ségolène ne sait plus s’il faut fermer !

 

 

 Nouvelle entourloupe du gouvernement qui ne sait plus s’il faut fermer Fessenheim. C’était pourtant la promesse de Hollande. Fermer Fessenheim la plus vieille centrale pour montrer aux écolos sa conversion environnementale. D’abord une promesse idiote car ce qui compte c’est une vraie transition de l’énergie avec progressivement une substitution d’autres sources au nucléaire. Ensuite évidemment un nouveau reniement, du type de celui de la loi «  Florange » pour la reprise des sites industriels fermés ( une loi , elle auusi, complètement vidée de son sens).  Enfin l’orientation réelle du gouvernement c’est le maintien de la production nucléaire puisque deux centrales ne seront fermées que lorsque deux autres seront mises en service. Renvoyer la responsabilité au nouveau patron de l’EDF constitue une argutie technique ; Ségolène patauge dans cette affaire en pleine contradiction. Pour résumer, le gouvernement est pour la transition énergétique mais sans toucher au nucléaire et sans toucher à la voiture (juste une augmentation du gasoil mais surtout pour de raisons  de rentrées fiscales°. Ségolène Royal, ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie, répond aux questions du JDD au lendemain de la clôture de la conférence environnementale.

Fermer la centrale de Fessenheim en 2016, une promesse du candidat Hollande, est-ce toujours possible?
Le plafonnement de la puissance nucléaire est inscrit dans la loi de transition : donc avec l’ouverture de deux nouveaux réacteurs, il faudra fermer deux réacteurs. Nous avons nommé une nouvelle gouvernance à la tête d’EDF qui doit s’impliquer dans la transition énergétique. L’entreprise va proposer des réacteurs à la fermeture. Si elle dit que des investissements ont été faits à Fessenheim et qu’il existe d’autres choix judicieux au regard de la sûreté nucléaire, nous les examinerons. Il n’y a pas d’idéologie en la matière, ce qui compte c’est la pertinence et l’intérêt général.

 

Sondage popularité : Ségolène remonte

Sondage popularité : Ségolène remonte

 

 

Certes Ségolène joue toujours une peu « perso » mais elle remonte dans l’opinion ; pas étonnant compte tenu de la nullité de nombre de membres du gouvernement. Elle a surtout évité une grosse bêtise au gouvernement avec l’annulation de l’écotaxe en se prononçant rapidement contre cette cathédrale administrative. Valls qui affirmait deux jours avant la suppresion de l’écotaxe que son maintien était certain peut lui dire merci. Si les routiers s’étaient mis en grève, le mouvement aurait certainement été incontrôlable tellement les frustrations sont importantes dans cette branche complètement sinistrée par la concurrence internationale. Le retour aux affaires fait du bien à Ségolène Royal. Son entrée au gouvernement lui a permis de redorer sa cote de popularité. Six mois après son arrivée au ministère de l’Ecologie (où 54 % des Français estiment qu’elle fait du bon travail), Royal recueille 45 % de bonnes opinions selon notre sondage Odoxa. Certes, elle ne convainc pas la majorité, mais en novembre dernier ils n’étaient que 34 % à avoir une bonne opinion d’elle.  A gauche, ils sont même 76 % à la soutenir contre 65 % il y a presqu’un an. Royal, adversaire de Nicolas Sarkozy en 2007, clive toujours puisqu’ils sont quasiment autant à droite (78 %) à avoir une mauvaise opinion qu’à gauche (76 %) à l’apprécier. Les jugements sont un peu moins sévères à l’égard de Royal. Ils ne sont plus que 57 % (contre 64 % en 2013) à estimer qu’elle « joue trop perso ». 52 % (contre 59 % il y a un an) à la juger trop impulsive. Et surtout, moins d’un Français sur deux désormais (42 %) pense qu’elle est incontrôlable, contre 57 % en 2013. Elle est en revanche toujours jugée dynamique et autoritaire. « Tout se passe comme si, pour les Français, Royal était — à l’exception du Premier ministre lui-même — le seul homme fort de ce gouvernement », analyse Gaël Sliman, président d’Odoxa.

 

Autoroute A831 : Valls contre Ségolène Royal

Autoroute A831 : Valls contre  Ségolène Royal

 

. Le Premier ministre a autorisé jeudi le lancement de la procédure de consultation sur la réalisation de l’autoroute A831, à laquelle s’oppose Ségolène Royal, sans toutefois préjuger de sa construction. Sous certaines « réserves » qu’il énumère, Manuel Valls déclare que « le gouvernement n’a pas d’objection à ce que la procédure de consultation soit lancée afin de connaître le coût de cet ouvrage ».  Sa position fait l’objet d’une lettre rendue publique par des élus qui l’avaient saisi après que la ministre de l’Ecologie, Ségolène Royal, eut exprimé son hostilité au projet. Le Premier ministre rappelle que, en raison de « l’insertion environnementale délicate « du projet, « des modifications substantielles » au projet initial ont été apportées et il demande qu’elles soient « portées à la connaissance du public ». Il demande aussi d’ »inscrire encore davantage le projet dans une démarche de développement durable ». Enfin, « il conviendra de chiffrer parallèlement la solution alternative » de contournement de la zone écologiquement la plus sensible (le Marais poitevin) évoquée par Mme Royal. »C’est en conclusion de ce processus que sera prise la décision de réaliser ou non l’A831″, destiné à relier Fontenay-le-Comte (Vendée) à Rochefort (Charente-Maritime), conclut Manuel Valls.  Plusieurs grands élus de l’Ouest de la France, issus des rangs de la droite et de la gauche, avaient écrit à Manuel Valls le 28 juillet pour réclamer que l’Etat autorise les élus locaux promoteurs du projet à « aller jusqu’au bout de la procédure de consultation ». Ségolène Royal avait annoncé samedi qu’elle ne lancerait pas la procédure d’appel d’offres de cet ouvrage. « On ne va pas refaire Notre-Dame-des-Landes dans le Marais poitevin ! », avait-t-elle affirmé au micro d’Europe 1, faisant référence au conflit entourant le projet de construction de ce nouvel aéroport en Loire-Atlantique. La décision de Manuel Valls est « une excellente nouvelle dont nous nous réjouissons », souligne le député socialiste Hugues Fourage avec le député UMP Dominique Bussereau, le président PS de la région Pays-de-la-Loire Jacques Auxiette et celui du Conseil général de la Vendée, le sénateur UMP Bruno Retailleau dans un communiqué commun.

 

Transition énergétique : mini réforme de Ségolène

Transition énergétique : mini réforme de Ségolène

 

Ségolène ne s’est pas beaucoup engagée pour cette réforme essentiellement composée de mini mesures qui ne touchent  pas au nucléaire (même parc), pas beaucoup au transport ((installation de prises  électriques !)  et un peu au bâtiment via l’isolation. Une manière pour Ségolène d’éviter de se griller en évitant de s’attaquant aux lobbys industriels. A ce dernier Conseil des ministres avant les vacances d’été, ce mercredi 30 juillet, Ségolène Royal  présente sa loi sur la transition énergétique. Son objectif : réduire la consommation du pays et s’occuper de l’épineuse question du nucléaire. La loi de la ministre de l’Écologie ne règle toutefois pas totalement le problème, le gouvernement ne se donnant pas le pouvoir de fermer une centrale nucléaire et préférant sur la négociation et le compromis avec EDF. Une nouveauté, toutefois : pour ouvrir un nouveau réacteur, EDF devra d’abord en fermer, la capacité totale du parc étant désormais limitée à son niveau actuel. La loi grave également dans le marbre les grands objectifs énergétiques de la France, dont fait notamment partie la multiplication par deux des énergies renouvelables d’ici 15 ans. Le secteur du bâtiment, qui représente 50% de la consommation nationale, sera particulièrement visé. Ségolène Royal veut isoler 500.000 logements par an et veut offrir un « chèque énergie » aux ménages les plus modestes. Le crédit d’impôt sera, lui, renforcé et simplifié. Il pourra atteindre 16.000 euros pour un couple désireux de changer sa toiture ou ses fenêtres.  Les transports feront, eux aussi, l’objet d’un investissement particulier. Sept millions de bornes de recharge pour véhicules hybrides ou électriques seront installées dans les trois ans. L’État va, au total, investir 10 milliards d’euros en trois ans et espère créer en retour 100.000 emplois durables. Un chiffre qui n’engagent qui ceux qui y croient !

Ségolène Royal: Transition énergétique très floue

Transition énergétique très floue

Une transition énergétique très floue qui fixe des objectifs mais sans préciser les moyens.  Ségolène Royal a présenté mercredi un projet de loi de transition énergétique axé notamment sur la rénovation des logements et les transports propres, mais qui remet à plus tard les décisions qui permettront de baisser le poids du nucléaire.  La quatrième ministre de l’Ecologie de François Hollande a réaffirmé la place de l’atome, soulignant que cette énergie, très controversée mais peu émettrice de carbone, allait aider la France à accomplir cette transition énergétique.   »C’est grâce à l’énergie nucléaire aujourd’hui, à la sécurité qu’elle apporte que nous pouvons accélérer et faire sereinement la transition énergétique », a dit la ministre lors de la conférence de presse de présentation de son projet de loi. Le nucléaire, très critiqué en raison des risques de sûreté et des investissements colossaux à réaliser sur le parc, représente une énergie de base, qui n’est pas intermittente et dont les coûts de production actuels restent compétitifs.   »Mais bien évidemment nous devons diversifier nos sources d’énergie », a ajouté Ségolène Royal, en confirmant l’objectif de campagne de François Hollande de réduire de 75% à 50% la part du nucléaire dans la production d’électricité à l’horizon 2025.  Le texte ne décrit pas la façon dont cet objectif sera atteint, ni l’âge auquel devront s’arrêter les réacteurs français, suscitant les critiques des opposants de l’atome. « En se fixant uniquement des objectifs sans mettre en place les outils pour les atteindre, le gouvernement laisse clairement la main à EDF sur les décisions énergétiques », dit Greenpeace.  Le projet prévoit un outil de réévaluation des besoins d’énergie, secteur par secteur, présenté tous les cinq ans dans une programmation pluriannuelle. En fonction de celle-ci, EDF décidera de l’évolution de ses installations. Le pouvoir pour l’Etat de fermer des centrales nucléaires, aujourd’hui uniquement détenu par EDF et par l’Autorité de sûreté nucléaire, ne figure pas dans le projet de loi comme l’avait pourtant annoncé François Hollande lors de la dernière conférence environnementale.   »On ne peut pas parler de transition énergétique quand on laisse EDF décider de la politique énergétique de notre pays à la place des parlementaires et à la place de l’Etat », a déclaré le député écologiste Noël Mamère, évoquant à propos de ce texte « une des grandes mystifications du quinquennat ».  Sans que son nom soit cité, la fermeture de Fessenheim est entérinée dans cette loi à travers le plafonnement de la capacité nucléaire à 63 gigawatts, son niveau actuel. Avec la mise en service de l’EPR de Flamanville en 2016, la plus vieille centrale du parc français devra ainsi fermer ses portes.  Avec le nucléaire, le modèle énergétique français est traditionnellement très centralisé, se confrontant par essence au développement des énergies renouvelables produites dans des unités plus petites, bâties sur des schémas régionaux et qui peuvent être utilisées localement voire autoconsommées.  Le texte prévoit un objectif de 32% de renouvelables dans la consommation d’ici 2030, bien au-delà des 23% actuellement fixés pour 2020 et sur lesquels la France accuse du retard. Les procédures de construction des parcs éoliens et photovoltaïques seront simplifiées par des autorisations uniques afin d’écourter les délais, jusqu’à trois fois plus longs en France que dans d’autres pays, a rappelé Ségolène Royal.  Surtout, plusieurs mesures permettront aux collectivités, notamment aux régions, d’appuyer le développement de ces énergies mais aussi de participer à la rénovation des bâtiments, qui engloutissent 44% de l’énergie consommée en France. Elles auront notamment la possibilité d’agir comme tiers financeur dans les travaux de rénovation et accéderont aux prêts « transition énergétique et croissance verte » mis en place par la Caisse des dépôts.  L’Association des Régions de France (ARF) a globalement salué le texte, estimant que la ministre n’avait « rien cédé sur l’essentiel malgré les pressions » tout en regrettant certains arbitrages qui devront être débattus devant le Parlement. Après plusieurs consultations, notamment devant le conseil d’Etat, le projet de loi devrait être examiné en commission à l’Assemblée nationale à l’automne, pour une adoption début 2015.

 

Filippetti dézingue Ségolène

Filippetti dézingue Ségolène

 

Depuis son arrivée à Matignon, Manuel Valls a une obsession : éviter à tout prix les couacs au sein du gouvernement. Ségolène Royal, en prenant le contre-pied d’Arnaud Montebourg sur le dossier Alstom, avant de rétropédaler, avait créé un premier malaise.  Mais le Premier ministre avait rapidement calmé le jeu. Cette fois, c’est la ministre de la Culture Aurélie Filippetti qui pourrait créer à son tour des remous au gouvernement. Samedi soir, cette dernière a en effet relayé sur son compte Twitter, un sondage très défavorable à Ségolène Royal.  Selon ce sondage BVA publié samedi matin, près de six Français sur dix (59%) estiment en effet que Ségolène Royal est «plutôt un handicap» qu’un «atout» pour François Hollande. Evidemment, le tweet d’Aurélie Filippetti n’est pas passé inaperçu sur la Toile. Bien que rapidement effacé par la ministre de la Culture, le message a été repéré par un internaute qui s’est étonné de voir Ségolène Royal ainsi «dézinguée». Immédiatement, Aurélie Filippetti a répondu sur Twitter qu’elle n’était pas à l’origine de ce tweet.  Ce rapide mea culpa parviendra-t-il à apaiser les esprits au sein de l’exécutif ? C’est primordial pour Manuel Valls et surtout François Hollande, qui a bien du mal à redécoller dans les sondages. L’actuel locataire de l’Elysée est considéré comme le moins bon des présidents de la Ve République selon un palmarès BVA réalisé pour «Le Parisien dimanche» – «Aujourd’hui en France».

 

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