Archive pour le Tag 'Ségolène Royal'

Conflit Ukraine : « La faute à Zelinsky  » (Ségolène Royal s’excuse) !

Conflit  Ukraine  : « La faute à Zelinsky  » (Ségolène Royal s’excuse) !

Ségolène Royal, la folle du Poitou, ne sait plus quoi faire pour se singulariser et exister politiquement. Malheureusement pour elle , elle n’a pu décrocher le moindre poste au plan national et international en dépit de ces démarches très appuyées y compris auprès de Macron. L’ancienne ministre, invitée ce jeudi sur le plateau de BFMTV, a dénoncé une « propagande de guerre par la peur » de la part du président Volodymyr Zelensky. En clair elle a imputé au président ukrainien la responsabilité de la guerre et même des horreurs. Des propos qui ont soulevé de nombreuses protestations dans l’opinion. Du coup Ségolène s’excuse maintenant considérant qu’elle a été mal comprise. Pourtant c’est après de nombreuses questions de l’animateur de BFM qu’elle a considéré le président ukrainien comme le responsable du conflit en cours.

Une attitude qui ne surprend pas les observateurs qui connaissent Ségolène Royal.

 « On ne peut pas lui faire confiance », Estime un conseiller ministériel. Avant qu’un membre du gouvernement ajoute : « Elle souffle le chaud et le froid en fonction des postes qu’elle vise. Tout est calculé en fonction de son propre intérêt. » Aujourd’hui, entre Ségolène et Macron « le lien est totalement rompu. »Du coup, elle multiplie les prises de position anachroniques voire fantaisistes et même scandaleuses. Elle considère en effet que la guerre en Ukraine est imputable aux provocations du président ukrainien. En clair ,elle se situe du côté de Poutine.

L’ancienne ministre, invitée ce jeudi sur le plateau de BFMTV, a dénoncé une « propagande de guerre par la peur » de la part du président Volodymyr Zelensky.

« La paix en Ukraine n’est pas rendue impossible par les victimes de l’invasion, mais par la volonté de conquête de Poutine! », a réagi sur Twitter le Premier secrétaire du PS Olivier Faure.

« Les crimes de guerre sont documentés, le nier est une insulte aux assassinés, aux violées, aux torturés ! Dire le contraire est de la propagande ! », a-t-il poursuivi.

Dans un autre tweet, il a ajouté: « Elle dit que la dénonciation des crimes (dont elle doute) a un objet: entraver le processus de paix. Les agressés deviennent les bellicistes. Jusqu’à preuve du contraire les Ukrainiens sont les résistants dans une guerre qu’ils n’ont pas choisie », a-t-il critiqué.

Le député européen Raphaël Glucksmann (Place publique), a lui aussi dénoncé un « naufrage. Total ».

Limogeage de Ségolène Royal: «la même erreur qu’avec le général de Villiers»

Limogeage de Ségolène Royal: «la même erreur qu’avec le général de Villiers»

Paris-Sorbonne , estime dans le Figaro que le limogeage de Ségolène Royal constitue la même erreur que celui du général Devilliers, une erreur stratégique de Macron.

interview:

 

 Le limogeage retentissant de Ségolène Royal, qui souligne d’autant plus à quel point elle est restée présente dans le débat politique, semble finalement donner à l’ancienne ambassadrice des pôles une visibilité médiatique qui se retourne à son avantage?

Arnaud BENEDETTI.- Elle a piégé l’exécutif. Pour une raison simple: elle joue non sans culot et intelligence sur le libéralisme crispé, autoritaire de ce dernier. S’installe dans le pays le sentiment d’un pouvoir qui accepterait mal la contradiction, qui serait tenté par une forme de contrôle et de muselage du débat public. Les dernières déclarations du Président de la République lors des vœux à la presse proposant une sorte de conseil déontologique de la presse comme ses critiques réitérées contre les réseaux sociaux, certes non exempts d’excès, corroborent cette idée d’un pouvoir qui souhaiterait imposer au forceps les objets légitimes propres à la confrontation au sein de l’espace public, comme si la parole officielle devait aspirer tout cet espace public.

Ségolène Royal adopte à sa façon une position de rebelle dans une atmosphère générale de défiance et de contestation.

Si vous rajoutez à ce climat étrange les polémiques autour de l’usage des forces de l’ordre, vous avez réuni là des éléments de contexte propices à l’adhésion à une parole libre. Ségolène Royal adopte à sa façon une position de rebelle dans une atmosphère générale de défiance et de contestation des paroles institutionnelles. Peu importe pour une large partie de l’opinion qu’elle soit, par sa fonction, soumise à un devoir de réserve. Elle bénéficie d’une forme de «licence d’exploitation informelle» pour reprendre la formule du spécialiste des relations publiques, Stéphane Billie. Elle dispose d’un capital politique qui l’autorise à transgresser le devoir de réserve. Et comme Emmanuel Macron, lui-même, a transgressé si souvent les codes d’une forme de modération sémantique associée à la fonction arbitrale du chef de l’État, un peu comme Nicolas Sarkozy en son temps, Ségolène Royal bénéficie sans doute d’une indulgence au regard des opinions. L’esprit du temps, empreint de mécontentements et de résistances parfois brouillonnes, s’accorde parfaitement au geste sacrificiel de Madame Royal. Lorsque la parole paraît entravée, celles et ceux qui se saisissent fortement du spectre de la parole contestataire sont d’autant plus audibles. Elle a indéniablement réussi là une séquence fortement performative en matière de communication politique.

Sa nomination puis les révélations sur le peu de sérieux accordé à son mandat avaient pourtant éveillé chez beaucoup le soupçon…

Cela importe peu. Parce que le moment se nourrit encore une fois d’un discrédit général des professionnels de la politique. Ce n’est pas nouveau mais le processus s’est amplifié. Et à ce jeu de la dégradation, ceux qui sont au pouvoir sont plus fortement exposés à l’érosion portée par la vox populi, alors que les opposants peuvent toujours exciper leur statut d’opposant pour se protéger, se sanctuariser.

De sa fragilité apparente Ségolène Royal fait une arme de précision communicante.

Ségolène Royal est une professionnelle avertie des jeux de la com’ et de l’opinion. Elle n’ignore rien de cette asymétrie d’un rapport de force entre un pouvoir crédité de «tout pouvoir» et une opposante dont la seule ressource est de s’exprimer librement. La force communicante n’est pas là où on la croit, elle est dans la faiblesse présumée de celle qui pour l’occasion est limogée. De sa fragilité apparente Ségolène Royal fait une arme de précision communicante plutôt astucieuse, voire redoutable. On ne retient plus que le dépôt de toute cette histoire, à savoir son limogeage qui balaye les éventuelles critiques portant sur l’exercice de sa mission … Elle a instauré une figure: celle d’un pouvoir brutal qui chasserait en meute (la ministre des transports, des parlementaires avait dénoncé l’attitude de l’ancienne candidate à la présidentielle) une femme seule, Cassandre venue dénoncer une situation sociale injuste. Elle joue un remake, dégradé toutefois, de ce qui s’était passé avec le Général de Villiers. Elle a presque imposé son tempo au demeurant en annonçant sur son compte Facebook son limogeage.

Candidate malheureuse en 2007, Ségolène Royal fait à peine mystère de ses intentions pour 2022. Pourrait-elle rassembler une gauche lassée d’Emmanuel Macron, et une extrême gauche déterminée à le faire tomber?

Toit ceci reste à démontrer. Tout d’abord une com’ réussie n’est pas le gage d’un succès politique. Les victoires médiatiques sont éphémères. Ensuite combien représente-t-elle de «divisions»? Pour autant, comme il y a du jeu à gauche elle a quelques cartes en mains: son style inimitable de conservatisme dans ce que le sociologue Erving Goffman appelait «la présentation de soi» et une aptitude à porter un verbe d’indignation qui parle aux classes moyennes et populaires. Ségolène Royal a un côté éruptif qui peut rencontrer le moment. Elle pourrait incarner un populisme de gauche, sous réserve qu’elle n’ignore pas comme l’a fait Jean-Luc Mélenchon, la question de l’identité, de la nation qui taraude fortement les classes populaires et moyennes. Si elle n’est pas capable de cette jonction là avec un discours social qu’elle peut endosser, son offre risque de se réduire à celui d’une «voiture-balai» de la gauche social-démocrate. Ce qui restera sans très grande efficience. Pour réussir et revenir dans la course, la gauche qui aspire à gouverner doit repartir à la conquête des classes populaires et moyennes mais cela implique un aggiornamento idéologique profond. Ségolène Royal par son franc-parler, son côté assez atypique, son charisme et son histoire personnelle est un vecteur potentiellement crédible pour cette hypertriangulation. Mais cela n’en reste pas moins une œuvre de longue haleine, difficile. Elle est dans tous les cas l’une des plus audacieuses pour tenter d’opérer cette transfiguration, voire cette rupture.

Les Français sont-ils sensibles à la rhétorique victimaire employée par Ségolène Royal, qui se plaint du «harcèlement» qu’elle subit et dénonce fréquemment la misogynie en politique?

L’ouverture d’une enquête préliminaire par le parquet financier ne va pas infirmer, c’est le moins qu’on puisse dire, sa rhétorique. Elle aurait quand même beau jeu de dénoncer une synchronisation millimétrique entre son départ et la procédure …

Les opinions n’accordent pas plus de bienveillance ou pas moins à une femme ou à un homme politique.

Sur le fond la politique est sans pitié. Ségolène Royal le sait bien. Elle connaît le rapport de forces et elle en a usé plus qu’à son tour également. Longtemps l’idée selon laquelle la féminisation du pouvoir allait changer la nature de ce dernier, son exercice aussi a été promue, véhiculée. La réalité c’est que tout pouvoir tend à s’exercer de la même manière quel que soit le genre de son détenteur ou de sa détentrice. Et les opinions n’accordent pas plus de bienveillance ou pas moins à une femme ou à un homme politique. Mais là où Ségolène Royal se montre habile, c’est dans la saisie du moment encore une fois: prendre des coups de la part d’un pouvoir en manque de popularité ne peut pas nuire à la popularité de celui qui s’oppose à ce pouvoir. La politique est triviale parfois, et la bonne communication souvent c’est d’aller à l’évidence, à l’essentiel!

Il y a au moins une promesse que Ségolène Royal tiendra probablement: c’est quand elle répète à l’envi qu’on «ne [la] fera pas taire»!

Il faudra qu’elle dose néanmoins. Si elle se limite à une posture, la répétant à l’envi, le charme n’opérera pas longtemps. L’environnement médiatique aime les archétypes mais la politique, elle, c’est d’abord de la plasticité, de l’intelligence de la situation, et surtout une aptitude à incarner autre chose qu’un caractère. Le caractère, Ségolène Royal en dispose, c’est celui d’une femme de combat – ce qui au pays de Jeanne d’Arc parle à notre mythologie nationale ; mais il lui faut pour créer une dynamique une offre politique qui rencontre les profondeurs sociologiques de ceux qui s’estiment lésés ou victimes des politiques menées par l’actuelle majorité. Faute de ce travail de fond sur le plan politique, le bûcher médiatique sera intraitable…

Ségolène Royal candidate en 2022, 2027 et …2042 ?

Ségolène Royal candidate en 2022, 2027 et …2042 ?

 

 

 

L’ancienne candidate défaite par Sarkozy montre ainsi son caractère inoxydable et même presque inusable. Plus le temps passe et plus elle tente de rebondir même si ces rebonds sont de plus en plus court voir insignifiants. Ségolène royale doit avoir autour de la soixantaine, elle sera encore présentable en 2022 car elle ne manque pas de charme et de distinction. Pourquoi pas aussi en 2027, aux échéances suivantes et même en 2042. Il serait étonnant que comme Hollande son ex, elle lâche un jour la politique. Finalement une attitude quand même un peu lamentable qui confirme que la vieillesse est parfois un cauchemar quand il n’y a plus que l’espérance d’un mandat pour animer la vie. On a même vu Ségolène royale presque mendier un poste auprès de Macron. Elle objectera sans doute qu’elle ne veut plus entendre parler des socialistes et d’ailleurs elle précise que son éventuel candidature ne se fera pas sous le drapeau socialiste. Mais alors sous quel drapeau ? Sur quelle ligne politique ? Avec quels militants ? Avec quels alliés ? Peut-être que sa seule perspective est de se présenter au premier tour puis de se désister en faveur de Macron afin d’obtenir ce poste ministériel qui lui manque si cruellement. L’ex-candidate socialiste à la présidentielle française de 2007 Ségolène Royal a en effet indiqué samedi à Radio-Canada qu’elle n’excluait pas d’être de nouveau candidate en 2022, ajoutant qu’elle serait « présente sur les échéances politiques qui viennent » mais « pas sous le chapeau socialiste ».

« Oui c’est vrai », a répondu l’ancienne candidate, battue par Nicolas Sarkozy, interrogée par Radio-Canada pour savoir si elle avait bien, lors d’une interview la veille en France, « laissé la porte entrouverte à une candidature peut-être en 2022″.  »Quand je vois à la fois la lenteur de la mutation écologique et la question des droits des femmes, du respect de la dignité de femmes, du nombre très faible de femmes aux responsabilités dans le monde, je me dis que ces combats-là doivent continuer à être conduits », a-t-elle expliqué lors de l’émission « Les faits d’abord », sur la radio publique francophone. De belles paroles, assez juste d’ailleurs, mais qui cache une ambition qui caractérise sans doute son seul projet politique

« Maintenant on verra comment les choses se passent, ce n’est pas du tout une déclaration de candidature, ce serait d’ailleurs très maladroit de ma part, je me ferais immédiatement attaquer de toutes parts », a précisé Ségolène Royal. L’ancienne ministre socialiste de l’Ecologie, nommée ambassadrice des négociations sur les pôles Arctique et Antarctique par Emmanuel Macron, a expliqué qu’elle souhaitait « continuer ses combats environnementaux et féministes ».

« Oui, je serai présente sur les échéances politiques qui viennent pour défendre les valeurs auxquelles je crois et pour me mettre au service de ces valeurs. Sous quelle forme, on verra », a-t-elle ajouté. Envisage-t-elle ce combat « sous le chapeau socialiste » ? « Ah non, pas sous le chapeau socialiste, non », a-t-elle tranché. Sous les couleurs d’un nouveau parti ? « On verra, les choses se construisent tranquillement, on verra si elles vont jusqu’au bout ou pas », a conclu Ségolène Royal.

Lors d’une interview aux chaînes françaises BFMTV et RMC vendredi, l’ex-candidate avait été interrogée sur les souhaits supposés de Nicolas Sarkozy et de François Hollande, son ex-compagnon, de revenir en politique.  »Moi je n’ai pas été présidente de la République, donc j’ai le droit d’y penser un peu », avait-elle répondu. Avant de noter que « ce n’est pas l’échéance ».

Notre-Dame-des-Landes : un nouveau référendum ? (Ségolène Royal)

Notre-Dame-des-Landes : un nouveau référendum ? (Ségolène Royal)

 

La guerre entre le premier ministre Manuel Valls et la ministre de l’environnement Ségolène Royal est loin d’être terminée concernant le chapitre de l’aéroport de Notre-Dame des Landes. D’un côté, il y a Manuel Valls qui ne cesse de réitérer sa promesse de faire évacuer la zone par la force dés cet automne au nom de l’autorité de l’État et de la démocratie. De l’autre, il y a Ségolène Royal qui prône une méthode plus douce, plus participative et qui finalement sur le fond conteste à la fois le caractère démocratique évoqué par Valls et même la finalité du projet. Ségolène Royal n’exclut d’ailleurs pas nouveau référendum faisant sans doute aussi référence à l’opinion d’une majorité des Français lesquels sont majoritairement contre ce projet. Derrière ce dossier ce profil la rivalité entre Valls et Royal concernant la succession de François Hollande en cas de renoncement de ce dernier pour l’échéance de 2017. Pour l’instant Valls sur ce plan tient la corde mais il est peu vraisemblable qu’il parviendra à rassembler toutes la famille socialiste en raison notamment de ses postures martiales aussi de sa ligne sociale démocrate. Par contre, Ségolène Royal, elle, serait susceptible de parvenir à un compromis entre les différentes tendances qui agitent le parti socialiste.- Ségolène Royal, qui s’oppose à Manuel Valls sur l’avenir du projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, a donc de nouveau mis en doute dimanche sa mise en œuvre et évoqué l’hypothèse d’un nouveau référendum. Le Premier ministre a réaffirmé mardi dernier à l’Assemblée nationale que l’Etat se conformerait au résultat du référendum du 26 juin dernier, où le « oui » au projet l’a emporté à 55,17% en Loire-Atlantique, et que les derniers opposants de la « Zad » seraient évacués à l’automne par les forces de l’ordre. « Moi ma conception de la politique, ce n’est pas de prendre des postures, c’est de trouver des solutions », a-t-elle poursuivi en assurant qu’elle ne voulait pas « polémiquer » avec Manuel Valls. « C’est vrai qu’il faut étendre le potentiel d’un aéroport sur ce territoire, mais il faut pouvoir le faire et intelligemment », a-t-elle répété. « Ma conception de la démocratie participative, ce n’est pas de consulter les gens sur tout ou rien, ‘oui’ ou ‘non’, c’est de faire choisir entre différents projets, c’est ça le respect des citoyens et le respect de la démocratie », a dit Ségolène Royal. En juin dernier, les 975.000 électeurs de Loire-Atlantique étaient appelés à répondre par « oui » ou par « non » à la question suivante: « Etes-vous favorable au projet de transfert de l’aéroport de Nantes-Atlantique sur la commune de Notre-Dame-des-Landes? » « Ce n’était pas la bonne question », a jugé dimanche la ministre. A la question de savoir s’il fallait un nouveau référendum, Ségolène Royal a répondu : « Si le système est bloqué, pourquoi pas? »

(Avec Reuters)

Notre-Dame-des-Landes :  » arrêter les frais »(Ségolène Royal)

Notre-Dame-des-Landes :  » arrêter les frais »(Ségolène Royal)

Le débat est loin d’être terminé concernant Notre-Dame des Landes d’une part parce que les opposants sont loin d’avoir déposé les armes et qu’ils entendent notamment engager de nouvelles procédures judiciaires. Aussi parce que le dossier prend maintenant une tournure politique entre deux prétendants à la succession de François Hollande. D’un côté Valls qui veut faire évacuer par la force  l’espace du futur chantier dès la fin de l’automne, d’autre part Ségolène Royal qui parle d’une évacuation  en douceur et qui va même très loin considérant que le projet d’aéroport n’est pas prioritaire et qu’il convient donc d’arrêter les frais, il y a en effet d’autres priorités pour le pays. Officiellement le gouvernement approuve cet évacuation cependant on a appris dans les confidences faites par François Hollande qu’il n’était pas favorable à ce projet. Dès lors  au-delà de la question de l’avenir d’un aéroport dont la construction ne pourra pas commencer avant 2019 ce qui est en cause c’est clairement la succession de François Hollande à la candidature de 2017 avec deux  concurrents opposés sur de nombreux aspects : Manuel Valls et Ségolène Royal.  Sur le dossier de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, Ségolène Royal continue donc  de s’opposer à Manuel Valls. Si mardi, le Premier ministre avait assuré que l’évacuation des occupants du site « se fera » dès « cet automne », la ministre de l’Environnement réaffirme sa position dans le JDD. « Devant le blocage sur le terrain, il vaut mieux arrêter les frais », déclare-t-elle, estimant que « l’évacuation se ferait alors pacifiquement ». « Est-il pertinent de faire prendre des risques pour une infrastructure inadaptée, comme l’ont dit les experts indépendants? N’y a-t-il pas actuellement d’autres priorités pour la Nation? », s’interroge Ségolène Royal, qui se dit prête à « donner du temps pour des réunions de travail afin de sortir par le haut de cette situation ». Surtout que cette position serait partagée par François Hollande si l’on en croit les extraits du livre Un président ne devrait pas dire ça… rendus publics mercredi. Le Président y confie que l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes « ne verra pas le jour ». Le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll, a toutefois ajouté que ces propos n’étaient plus d’actualité, le référendum [de juin] approuvant sa construction étant intervenu entre-temps.

 

Pollution automobile : Ségolène Royal pour de nouvelles normes et…. de nouvelles taxes

Pollution automobile : Ségolène Royal pour de nouvelles normes et…. de nouvelles taxes

 

Ségolène Royal approuve les conclusions de la commission mise en place suite au scandale Volkswagen. Une commission qui demande surtout la refonte de la réglementation européenne à fin de quitter les émissions de CO2 mais aussi d’oxydes d’azote (NOX). Des propositions qui sont fondées sur le fait que la plupart des constructeurs dépassent  les normes actuelles. Cela pourrait se traduire en France par une taxe supplémentaire notamment sur les véhicules diesels des 2017. Selon l’entourage de la ministre de l’Environnement, le rapport, qui s’appuie sur les tests de 86 véhicules, confirme que tous les constructeurs ont, à des degrés divers, des difficultés à tenir les normes de pollution. Montré du doigt après les premiers tests, Renault a déjà annoncé qu’il améliorerait le système de dépollution de ses moteurs diesel. « Les constructeurs seront mis devant leur responsabilité car la pollution de l’air est un grave problème, on ne peut plus tergiverser ni plaisanter », déclare la ministre de l’Environnement dans un communiqué sur le rapport final. Une modification du « malus » automobile sera proposée dans le cadre de la loi de finances pour 2017 pour qu’il intègre les émissions d’oxydes d’azote (NOx), dit-on dans son entourage. Ce système cible aujourd’hui uniquement les émissions de CO2, principal gaz à effet de serre. Dans la droite ligne de ses premières conclusions, elle ajoute que « les tests réalisés ont révélé de nombreux dépassements en regard des seuils retenus par la commission, quelle que soit la norme Euro à respecter ». « En matière d’émissions de NOx, des véhicules Euro 6 de certains constructeurs ont dépassé plus de dix fois la norme », souligne-t-elle. « En matière d’émissions de CO2 (…), sur la grande majorité des véhicules testés, des dépassements importants ont été constatés lors des essais D3, réalisés sur piste, alors que le test D3 reproduit le cycle d’homologation ». Conséquence d’une procédure d’homologation européenne insuffisante, « la plupart des constructeurs semblent avoir conçu leurs modèles en se focalisant sur les conditions d’essais en laboratoire », dit-elle, et « les impacts que cette approche engendre sur les émissions d’éléments nocifs et la qualité de l’air proche des axes de circulation semblent avoir été largement ignorés ». La commission demande la modification du système d’homologation et souligne que « l’absence ou le manque de transparence des tests de surveillance et de contrôle de la part des autorités publiques sur les émissions des véhicules produits en série et mis à la vente dans l’Union européenne constituent une incitation à la fraude et doivent donc absolument être corrigés ». De nouvelles normes européennes d’homologation intégrant les émissions polluantes en conditions réelles de conduite doivent entrer en vigueur, mais pas avant septembre 2017.

(Avec Reuters)

Rupture Hollande Trierweiler : « Il ne faut rien exagérer. Ce n’est pas le 11-Septembre » (Ségolène Royal)

Rupture Hollande  Trierweiler : « Il ne faut rien exagérer. Ce n’est pas le 11-Septembre » (Ségolène Royal)

 

Dan son style très caractéristique Ségolène n’a pas pu s’empêcher de commenter la rupture entre Trierweilller et Hollande, toujours tout en nuance, avec  tact et  finesse ; bref avec ses gros sabots habituels.  Selon un indiscret paru dans Le Canard enchaîné, Ségolène Royal, l’ancienne compagne de François Hollande, a commenté avec ironie l’interview de Valérie Trierweiler dans Paris Match. L’ex-Première dame avait déclaré dans l’hebdomadaire : « Quand j’ai su, j’ai cru tomber d’un gratte-ciel. » Commentaire de la présidente de Poitou-Charentes à l’un de ses conseillers : « Il ne faut rien exagérer. Ce n’est quand même pas le 11-Septembre! ». Sans doute Ségolène avait-elle de bonnes raisons de se réjouir de cette rupture mais ses commentaires méprisants ne rehaussent pas Ségolène qui a fait de la suffisance hautaine et du dédain des vertus « royalistes » ; Elle  ne doute de rien, surtout pas delle –même (comme Hollande)  puisqu’elle revendique même un poste dans ce gouvernement aux abois. Certes Trierweilller ne s’était pas manifesté à Elysée par sa discrétion pour autant elle ne mérite sans doute pas de la part de Ségolène un traitement aussi dédaigneux. Ou quand la nullité politique rejoint la nullité des personnalités !

Ségolène Royal : contre la taxe carbone

Ségolène Royal : contre la taxe carbone

 

 

Politique avisée, Royal en profit pour régler des comptes avec le gouvernement. Elle s’oppose à la taxe carbone en sachant très bien qu’elle a l’opinion pour elle et que ce sujet risque de semer la zizanie au sein d’un gouvernement déjà bien fragilisé par ses divisons. Après avoir ouvert les universités d’été du Parti socialiste vendredi, Ségolène Royal a réitéré son opposition à la taxe carbone, après la présentation de la « contribution énergie-climat » par le ministre de l’Écologie, Philippe Martin.   »La solution, ce n’est pas l’impôt » a déclaré à RTL l’ancienne candidate à l’élection présidentielle. Ce qu’il faut, « ce sont des actions concrètes », a-t-elle estimé, comme « recouvrir les bâtiments publics de panneaux photo-voltaïques. » « Toute notre énergie doit être mise dans le déploiement de nos atouts », qui sont « considérables » selon la présidente de la région Poitou-Charente. Et d’énumérer : « L’aéronautique et l’espace, l’agro-alimentaire, les biotechnologies, les industries de santé, la culture, le tourisme… » Pour Ségolène Royal, il faut « encourager l’innovation, pas la freiner ».  Les Français ont besoin de cette sécuritéSégolène Royal L’ancienne ministre de la Famille est également revenue sur la polémique autour de Manuel Valls, accusé de tenir un discours trop sécuritaire par certains responsables de gauche. « Je crois que les questions de sécurité ne doivent pas faire l’objet de polémique », a déclaré Ségolène Royal ».

Ségolène Royal : « la BPI , pas là pour faire du business »

Ségolène Royal : » la BPI n’est pas là pour faire du business »

« Il n’y a que de bons investissements pour la BPI, pas du business! Faire du business sous-entendrait qu’on ferait le tri entre ce qui est juteux et ce qui ne l’est pas« . Au lendemain de l’annonce par l’Elysée d’un plan d’investissement sur 10 ans, Ségolène Royal en remet une couche sur le rôle de la Banque publique d’investissement dans une interview à Libération de ce mardi 7 mai.  « La BPI est une banque patiente qui n’attend pas de retour sur investissement immédiat, ou alors seulement pour le réinvestir dans l’outil productif, et qui ne place pas son ragent sur les marchés », rappelle l’ancienne candidate à l’Elysée qui est aussi vice-présidente de la BPI.   Voici quelques semaines, une polémique avait éclaté entre elle et Nicolas Dufourq, le directeur de la BPI, à propos du rôle de l’établissement dans le soutien aux « entreprises en retournement « , c’est à dire en difficulté. Cela fait partie des missions de la BPI et c’est « une excellente chose« , affirme Ségolène Royal. « Il est détestable de parler avec morgue des canards boiteux pour désigner des entreprises qui souffrent« , ajoute-t-elle.  Sans vouloir relancer ouvertement la polémique, la vice-présidente de la BPI défend cependant le rôle des politiques et des élus locaux et tâcle les banquiers et les hauts fonctionnaires qui pourraient avoir envie de dicter leur loi à la banque.  La BPI ne « doit pas être un jouet aux mainsde quelques inspecteurs des finances ».  » Nous élus locaux, connaissons parfois mieux les PMEc que les grands financiers qui sortent des entreprises du CAC40″. Les parlementaires doivent se prononcer le 15 mai sur la doctrine d’investissement de la BPI.

Ségolène Royal : la BPI nest pas là pour faire du business

Ségolène Royal : la BPI nest pas là pour faire du business

.  La Banque publique d’investissement a-t-elle vocation à « faire du business »? Oui, pour son directeur général Nicolas Dufourcq. Non, pour sa vice-présidente Ségolène Royal.La polémique entre les deux dirigeants de la toute nouvelle structure, destinée à financer les PME via le regroupement d’Oseo, de CDC Entreprises et du Fonds stratégique d’investissement, n’est toujours pas éteinte. D’autant que l’ex-candidate à la présidentielle en a remis une couche, lundi 22 avril, à l’issue d’un conseil d’administration qui devait, justement, définir la doctrine d’intervention de la BPI. Celle-ci « doit faire de l’emploi, de la croissance, redonner confiance aux chefs d’entreprise. Elle n’est pas là pour faire du business ni du profit sur le dos des chefs d’entreprises« , a-t-elle déclaré au micro de BFMTV.  Des déclarations qui interpellent, puisque le patron de bpifrance (son nom officiel) a, depuis sa nomination, tenu un discours ferme concernant les entreprises se trouvant face à des difficultés d’ordre structurel. « Pour les entreprises en décroissance sur des marchés en déclin, il n’y a pas de solution« , avait-il ainsi prévenu, en janvier dernier, ajoutant: « le coeur de mission de la BPI n’est pas celui de sauver un outil industriel obsolète, c’est de construire France 2030« . La situation de Petroplus, à propos de laquelle Nicolas Dufourcq s’était exprimé, affirmant que cela n’aurait pas représenté un « bon business » est symptomatique. Car Ségolène Royal, qui a alors fustigé le « dérapage » de Nicolas Dufourcq, a montré la dimension politique de la BPI. Deux versions s’affrontent donc, concernant une doctrine d’intervention qui reste floue, mais qui devra pourtant être présentée au Parlement le 15 mai prochain.

 

Ségolène Royal recadre la BPI

Ségolène Royal recadre la BPI

 

. Devant une délégation de l’intersyndicale CGT-CFDT-CFE/CGC de la raffinerie Petroplus de Petit-Couronne, près de Rouen, la vice-présidente de la BPI (Banque Publique d’Investissement) a fermement recadré le directeur général de l’établissement.  Le DG de la BPI avait heurté en estimant mercredi que le sauvetage de Petroplus ou des hauts-fourneaux de Florange n’aurait pas représenté «un bon business». La veille, le tribunal de commerce de Rouen avait rejeté les deux dernières offres de reprise de la raffinerie, scellant le sort de de ses 470 salariés. Ces déclarations constituent un «grave dérapage» aux yeux de Ségolène Royal. Elles «n’ont aucune raison d’être et ne se reproduiront pas», tranche celle qui avait dit, au moment de sa nomination à la BPI, vouloir «servir modestement, mais efficacement une grande idée : la BPI, banque des territoires, des PME, de la mutation écologique». Ce vendredi, face à l’intersyndicale, elle a assuré que la BPI aurait aidé le site si un repreneur avait été retenu par le tribunal de commerce. Son directeur général avait indiqué mercredi que l’établissement ne s’était pas engagé dans le dossier de la raffinerie Petroplus, préférant consacrer ses fonds à des projets jugés plus porteurs d’avenir : «Notre agenda, c’est la France de 2030. Petroplus, est-ce la France 2030 ?» A propos de l’usine ArcelorMittal de Florange, il avait par ailleurs fait valoir que selon l’«arbitrage» réalisé «on aurait perdu beaucoup d’argent et ce n’aurait pas été un bon business». «La BPI est là pour prendre des risques, parfois elle perdra, parfois elle gagnera», a répliqué Ségolène Royal ce vendredi. Elle n’est pas la seule à avoir tiqué. Dès le lendemain de la publication de ces propos – tenus en marge de la première réunion du comité national d’orientation de la BPI, à Caen – le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg a recadré Nicolas Dufourcq. «Je l’ai réprimandé en lui faisant observer qu’il n’a pas à déclarer» cela, a-t-il tancé au micro de RTL, jurant que «la raffinerie est une activité que nous ne voulons pas importer». L’UDI, via son porte-parole Philippe Vigier, s’était aussi offusqué de ces «propos méprisants». «Nicolas Dufourcq, nommé par Jean-Marc Ayrault, semble avoir oublié que la BPI n’est pas un fonds d’investissement privé mais qu’elle a vocation à soutenir les entreprises françaises», rappelait le parti centriste de Jean-Louis Borloo. «On recherchera un repreneur jusqu’au bout. Un repreneur crédible. Et puis si nécessaire, l’Etat interviendra pour compléter», avait d’ailleurs promis le Premier ministre à propos de Petroplus, mercredi sur France

Ségolène Royal : pour des circuits courts de la viande

Ségolène Royal : pour des circuits courts de la viande

 

En pleine crise autour du scandale de la viande de cheval, Ségolène Royal dit vouloir porter un message de « confiance ». « Il faut saisir l’occasion de cette crise pour changer le système et faire en sorte que les agriculteurs puisse vendre directement les produits », explique-t-elle au JDD.fr. La socialiste plaide pour les « circuits-courts ». « Il n’y a aucune raison que la viande fasse 5.000 kilomètres pour atterrir dans nos assiettes », assure-t-elle.. Puis, devant un restaurant gastronomique réunissant les bonnes tables du Poitou-Charentes, où trône une photo de Ségolène Royal, elle vient prendre le micro pour remettre le prix Poitou-Charentes « circuits-courts, de la fourche à la fourchette » à deux lauréats. « L’alimentation n’est pas une marchandise comme les autres », assène-t-elle. Et dénonce « un système prédateur, spéculateur « . « Ce que veulent les éleveurs, c’est que cette crise serve à quelque chose », assure Ségolène Royal, qui considère que les consommateurs sont la « proie des gens sans vergogne et sans morale ». Elle le promet : « Un autre modèle agricole est possible. » Ministre de l’Agriculture, Ségolène Royal? Elle balaye l’hypothèse en quelques mots : « Je m’en occupe déjà. » 

 

Ségolène Royal, recasée à la vice-présidente de la BPI

Ségolène Royal, recasée  à la vice-présidente de la BPI

L’ex-candidate PS à la présidentielle a été nommée par un décret du 18 février au conseil d’administration de la BPI en tant que représentante des régions. Jean-Paul Huchon, président PS de la région Ile-de-France, a également été nommé pour représenter les régions.  Mme Royal « sera vice-présidente de la BPI. Je le proposerai au premier conseil d’administration qui se tiendra demain à Dijon », a déclaré Jean-Pierre Jouyet, directeur général de la Caisse des dépôts et à ce titre président de la BPI.   »Compte tenu de ses capacités en termes de communication, elle pourra jouer un rôle important en tant que porte-parole de la BPI », a-t-il estimé.   »Comme c’est un conseil paritaire, le fait qu’il y ait un président homme et une vice-présidente femme est une bonne chose. Et puis c’est un tandem entre un haut fonctionnaire et une grande responsable politique », a poursuivi M. Jouyet.   »C’est une responsable politique de premier plan. Elle a porté ce projet depuis très longtemps », a relevé M. Jouyet.  Lancée au début de l’année, la BPI regroupe les moyens de la Banque publique Oseo, du Fonds stratégique d’investissement (FSI) et de CDC Entreprises, filiale de la Caisse des dépôts.  La structure doit disposer d’une capacité d’engagement de l’ordre de 35 à 40 milliards d’euros, selon les déclarations d’une source gouvernementale à l’AFP mi-octobre, pour proposer des financements aux entreprises ainsi que des prises de participation au capital.

 

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Falorni- Ségolène Royal : règlement de compte ; ca ne vole pas non plus très haut !

Falorni- Ségolène Royal : règlement de compte ; ca ne vole pas non plus très haut !

Ségolène Royal au gouvernement ? C’est une possibilité que l’intéressée et ancienne candidate socialiste à la présidentielle avait évoqué lundi devant la presse à Poitiers, avant le vote du budget au Conseil régional. « C’est comme dans une équipe nationale de sport, on est sur le banc de touche, mais un jour on entre dans l’équipe », avait elle estimé lors d’un déjeuner avec quelques journalistes locaux.Une phrase bien entendue par Olivier Falorni, son opposant et dissident vainqueur lors des dernières législatives à La Rochelle. Interrogé mardi par Sud Ouest à l’Assemblée Nationale, le député n’a pas hésité a taclé sèchement sa meilleure ennemi : « je pense que les désirs d’avenir de Madame Royal n’intéressent qu’elle ». Il a ensuite rappelé que Jean-Marc Ayrault et Francois Hollande avaient souhaité ne pas avoir de ministre ayant perdu les législatives, déclarant : « je pensais qu’il y avait jurisprudence ».

 

Ségolène Royal ne sera pas présidente de l’assemblée nationale

Ségolène Royal ne sera pas présidente de l’assemblée nationale

 

Dans un journal espagnol, Ségolène Royal vient de déclarer qu’elle renonçait à être candidate pour présider l’assemblée nationale. Bien que les résultats de La Rochelle ne soient disponibles, il semble bien qu’il s’agisse là d’une posture de battue comme le prévoyaient les sondages.




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