Archive pour le Tag 'Sectarisme'

Tuerie Orlando : sectarisme +haine = barbarie

Tuerie Orlando : sectarisme +haine = barbarie

 

La même logique qu’ailleurs : le sectarisme plus la haine qui ne peut générer que la barbarie. Un abruti fanatisé et mal dans sa peau a frappé et a tué 50 personnes tandis que 53 autres ont été blessés dans   Une discothèque gay d’Orlando en Floride. La même logique donc pour ce taré (en plus bipolaire d’après son ex épouse) qui sans doute pour venger les lourdes pertes subies par l’État islamique s’est rendu responsable de la plus grande tuerie de ce type. L’assaillant identifié comme étant Omar S. Mateen, habitant de l’Etat de Floride. Juste avant son geste a fait allégeance à l’État islamique comme pour donner une légitimité idéologique à son geste de fou. La preuve encore que le sectarisme borné et le rejet des autres ne peut déboucher que sur la barbarie la plus ignoble. Encore une fois les très nets reculs enregistrés par l’État islamique en grande partie maintenant encerclée par les forces qui le combattent pourraient susciter de nombreuses vocations chez des déséquilibrés fanatiques. D’une certaine manière un état d’urgence mondiale devrait être décrété pour faire face aux réactions terroristes qui veulent venger la probable défaite de l’État islamique Le maire d’Orlando Buddy Dyer a annoncé que 50 personnes avaient été tuées et 53 autres blessés. « Nous sommes confrontés aujourd’hui à quelque chose qui n’avait jamais été vue et qui est inimaginable », a déclaré Dyer. Il s’agit de la fusillade la plus meurtrière de l’histoire des Etats-Unis devant l’attaque de l’université de Virginia Tech qui avait fait 32 morts en 2007 et le massacre dans une école élémentaire de Newtown (Connecticut) qui avait coûté la vie à 26 personnes dont 20 enfants en 2012. Un officier de police, qui travaillait comme agent de sécurité dans la discothèque « Pulse », a d’abord échangé des coups de feu avec l’assaillant vers 02h00 (06h00 GMT). La situation s’est ensuite transformée en une prise d’otages avant qu’une unité d’intervention de la police (SWAT) pénètre dans l’établissement et abatte l’agresseur. Il n’a pas été établi à quel moment ce dernier avait tiré sur les victimes. Un fusil d’assaut et une arme de poing ont été retrouvés sur l’assaillant, a-t-il ajouté. Selon le chef de la police d’Orlando, John Mina, il aurait également été porteur d’un « engin » dont la nature n’a pas été précisée.

 

Sectarisme et radicalisme sont le produit de l’immobilisme (Macron)

Sectarisme et radicalisme sont le produit de l’immobilisme (Macron)

Encore une fois Macon n’hésite pas à se singulariser en dénonçant les obstacles qui freinent le développement économique et favorise sectarisme et radicalisme. Une analyse qui sans doute ne plaira pas à la gauche classique y compris au sein du gouvernement même chez les plus réformateurs comme Valls. Valls qui a déjà rappelé plusieurs fois à l’ordre l’impertinence (et la pertinence) de son sémillant ministre de l’économie. « Qu’est ce qui s’est passé? Pourquoi ce sont des jeunes français, éduqués en France qui ont commis ça? Il ne faut pas entrer en guerre sans comprendre. » N’hésitant pas à philosopher, Emmanuel Macron a sa réponse à ces questions. Elle s’appelle l’anomie. Un concept inventé par le sociologue Emile Durkheim qui définit- on consulte Wikipedia en vitesse- «  l’état d’une société dont les normes réglant la conduite de l’humain et assurant l’ordre social apparaissent inefficientes. » Pour Macron, le mal français est profond et il faut aller « bien au-delà des mesures de sécurité » en se demandant « pourquoi de plus en plus de gens ont de moins en moins de possibilités de progresser dans la société ». Alors quelles sont les normes à rétablir ou établir pour remettre en route la France et la sortir de sa « langueur craintive », terreau du sectarisme et du radicalisme?  Et c’est là où la France rêvée de Macron rejoint la start-up Nation de Jean-Baptiste Rudelle. Déniant toute crédibilité à une forme ou une autre de « politique de la jeunesse », le ministre trentenaire croit que l’objectif de l’action publique doit être de « donner la possibilité à chacun de choisir son propre destin ». Les trois leçons selon Macron-en s’inspirant du livre de Jean-Baptiste Rudelle sont les suivantes : D’abord, « rien n’advient, si on ne prend pas des risques. Notre société a besoin de risques, même de risques incommensurables ». Ensuite, « nous avons besoin de l’échec, en France on ne l’aime pas, nous sommes restés des aristocrates fascinés par l’excellence ». Reconnaitre l’échec et pouvoir protéger l’individu qui se retrouve dans cette situation, voilà la différence, toujours selon Emmanuel Macron, « entre une politique de libération des énergies et le libéralisme ». Troisième pilier du « Macronisme » : « la célébration de la réussite ». Pour le ministre,  il faut « favoriser ceux qui ont une ambition non réfrénée (sic)». Une gageure dans un pays ou celui qui réussit « suscite la méfiance ». Quant à ceux qui échouent, « on les déteste ». La marge de manœuvre pour réussir la révolution macro-rudelliene est étroite.




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